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 [A] - C’est ainsi que nous mourons | Réprouvés

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Priam & Freyja
~ Ange ~ Niveau III ~

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◈ Parchemins usagés : 4103
◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018
◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes
◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I]
Priam & Freyja
Sam 24 Aoû 2024, 22:05




C’est ainsi que nous mourons

En solo | Les Réprouvés


Intrigue : État des lieux de Gein’Drakul après l’attaque et intrigue politique suivant la mort d’Erza Taiji Stark, ancienne Impératrice des Deux Rives.

RP précédent : Bienvenue chez eux !
RP liés : Les fleurs de la colère ; Que l’Ombre rayonne.
Actualités liées : Actualité 1 ; Actualité 2.


Les yeux de Raguel Asdunaar balayèrent les visages des trois Réprouvés qui lui faisaient face. Des interrogations pigmentaient leurs traits et dans leur respiration sommeillait l’attente de ses instructions. Les mains enroulées autour du dossier d’une chaise, les épaules voûtées au-dessus d’une carte de Gein’Drakul, elle inspira et se redressa. Depuis le départ de Dastan Belegad et du garçon aux dragons – probablement Lucius Paiberym –, le chaos était retombé. L’eau avait retrouvé sa teinte habituelle, l’ombre s’était estompée, la tempête avait faibli. L’hydre s’était volatilisée par le portail créé par son maître sorcier, et des Bipolaires expérimentés en magie avaient réussi à le refermer. L’incendie avait été maîtrisé. Dans les rues, on s’activait toujours : il fallait extirper les blessés des décombres, décompter les cadavres, dégager les avenues, évaluer les dégâts matériels. « Je veux que l’accès au corps d’Erza soit empêché. Personne ne doit s’en approcher. » Une femme, grande, blonde, ses traits ronds en contraste avec son regard de fer, acquiesça. « Je m’en charge. » Son clan, proche de celui des Asdunaar, gérait plusieurs établissements dévolus à la vie nocturne d’une main de fer. Ils avaient l’habitude de contrôler les espaces et de faire respecter les règles. Raguel la toisa, opina d’un battement de cils, puis ramena son attention sur l’ensemble du trio. « Poursuivez vos rapports sur l’état de la ville et des habitants. À la fin de la journée, je veux pouvoir dresser un bilan qui soit le plus précis possible. Et sillonnez Gein’Drakul. Vérifiez qu’aucun étranger non autorisé, non habituel, n’y traîne encore. S’il y en a, foutez-les dehors. Si jamais ce sont des Sorciers, exécutez-les. Fermez les portes. Contrôlez les navires. » Elle plaqua son index sur un point de la carte qui figurait devant elle. « Dastan Belegad possède une habitation ici. Fouillez-la. De fond en comble. Je veux un rapport détaillé de tout ce que vous y trouverez, que ça paraisse suspect ou non. » Du bout du doigt, elle caressa la surface parcheminée, l’air pensif. Ses iris bruns anatomisaient le plasma du réseau urbain, remontaient le long des artères, scrutaient le papier comme si un mystère pouvait s’y terrer. « Essayez de comprendre comment il a réussi à venir ici avec autant d’étrangers. Trouvez qui les a laissés entrer. » Depuis la guerre contre les Sorciers, les entrées et sorties ne s’effectuaient que sous la surveillance des groupes mafieux qui composaient l’élite de la cité portuaire. Dastan Belegad n’était impliqué dans aucun d’eux. Il ne disposait pas de passe-droit, et ses amis encore moins. « Enquêtez sur sa sœur. Freyja. » Les prunelles de ses interlocuteurs lui renvoyèrent une expression de franche surprise. Ils n’avaient pas idée des réseaux d’informations dont elle disposait. C’était en partie ce qui lui assurait sa place à la tête de Gein’Drakul. Elle veillait à toujours progresser avec un coup d’avance. En la matière, son impulsivité la desservait souvent – mais des conseillers malins et qualifiés l’épaulaient. « Elle est venue ici il n’y a pas si longtemps. Et s’il s’agissait bien de Lucius Paiberym, elle a épousé son père, Kaahl. Il y a peut-être des connexions à faire. » Elle avait aussi défendu son frère, à Lumnaar’Yuvon. Elle s’était interposée entre lui et les Réprouvés qui désiraient faire appliquer la justice. Hazaan la tenait en estime, mais la Thur, elle, se méfiait. L’Ange avait retourné sa veste plus d’une fois. Un fin sourire ourla ses lèvres. « Interrogez Ulla Geirshand. » Elle releva le menton, et sa figure récupéra son masque d’implacabilité. « Si vous n’obtenez rien, ramenez-la-moi. » Les trois missionnés approuvèrent les ordres, puis quittèrent le phare. Laissée seule, Raguel se dirigea vers l’une des étroites fenêtres qui offraient une vue dominante sur la cité. Le paysage battu par les feux et les marées paraissait soudain terne et silencieux. Les sirènes s’étaient tues et on entendait désormais plus que les gémissements et les cris éparses des blessés et de ceux qui les aidaient. L’absence troublante du mugissement du vent et du grondement des vagues créaient un vide. Raguel ressentait une sorte de spectre oppressant, des serres tordues prêtes à se refermer sur les quais et les murailles et à arracher à la ville ses boyaux de pierres, de terre et de sel. Elle ferma les paupières. Erza était morte, et si sa poitrine souffrait de sa perte, elle redoutait déjà l’avènement du nouveau Léviathan.



Message I – 731 mots




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Priam & Freyja
Lun 02 Sep 2024, 22:29




C’est ainsi que nous mourons

En solo | Les Réprouvés


RP précédent : Le temps des anniversaires.


Les rayons rasants du soleil couchant brûlaient les rétines de Raguel. Elle avançait sur la plage en silence, Hazaan dans ses traces. L’embrun des vents marins avait enrobé l’odeur du charnier, et il régnait dans l’air un puissant parfum de mort et de sel. À quelques mètres, le cadavre de l’Impératrice des Deux Rives écrasait la ligne d’horizon. Devant l’entrelacs de chair et de tentacules, plusieurs hommes de main de Maídís Hohën’Tak se tenaient, comme cela avait été demandé. Des binômes avaient été composés, et ils tournaient toutes les heures tant les effluves et la vue des restes d’Erza entachaient l’esprit. Même morte, l’Impératrice du Léviathan semblait capable d’aliéner les âmes. « Laissez-nous. » ordonna la Thur, et les deux gardes s’éclipsèrent sans protester. Hazaan s’arrêta près d’elle. Ses iris remontèrent progressivement le long du corps hybride de leur ancienne souveraine. Dans les éclats projetés par les rais de lumière, Raguel crut discerner des prémices de larmes au bord des cils du Réprouvé. Elle baissa les yeux. Le silence s’étendit sur eux à la manière d’un linceul. Aucun mot n’aurait pu décrire la peine qui pulsait en eux.

« Il n’y a pas de trêve avec eux. » finit par souffler la Thur de Gein’Drakul. Ses prunelles glissèrent brièvement vers Hazaan. Il n’avait pas bougé, le regard fixe, la tête haute, les cornées aussi ardentes que le ciel enflammé. « Ils n’ont pas d’honneur. Un enfant pour tuer notre souveraine ? » Un rire amer fit trembler ses lèvres. Il sonnait comme un mensonge. « La défaite, c’était pas une humiliation suffisante ? » Ses mots se brisaient contre la poitrine du brun, vague jetée au pied d’une falaise. « Je le jure devant les Zaahin, Hazaan. J’aurai la tête de Dastan Belegad. » Ses propres paroles la firent frémir. Elle repensait à sa peau qui ne fondait pas, à ses cheveux qui ne s’effritaient pas, à son corps qui semblait brûler de lui-même. À ce soleil lancé au cœur de l’obscurité. Il lui avait rappelé de vieilles légendes, des contes de marins, des mythes égarés sur les mers, des histoires murmurées par l’océan. « Je te l’apporterai si je le peux. » Hazaan leva le visage vers la voûte étirée de nuages. « Je lui ai donné une chance. Il l’a gâchée. » Raguel acquiesça gravement. « Mais je ne crois pas qu’Erza ait été tuée par l’ancien Prince Noir. » Elle tourna la tête vers lui comme s’il venait de dire une insanité. Certaines vérités ressemblaient davantage à la folie. « J’ai interrogé autant de témoins que je le pouvais. Ils sont trop nombreux à avoir vu Érasme Salvatore devant sa dépouille. Et pourquoi il aurait été ici si c’était pas pour la tuer ? » - « Les Empereurs du Léviathan meurent tous très tôt. C’est ce qui les attend dès qu’ils acceptent de diriger l’empire. Tu le sais très bien. » Il baissa la tête et croisa les pupilles incendiaires de la Thur. Elle le savait très bien. « Ça ne change rien au fait qu’Érasme Salvatore a mis la ville à feu et à sang, et que Dastan Belegad l’a entraîné à l’abri. » Il s’avança vers la brune. « Je ne suis juste pas sûr qu’on devrait approuver et faire circuler la version qui offre le meurtre d’Erza au Sorcier. Ils en feront un héros, tu sais. » - « Ils en feront un héros quoiqu’on dise. Il a détruit près de la moitié de la cité, on peut à peine circuler dans le port. » - « Et ici ? Tu sais qu’il ne l’a pas tuée. Tu vas leur mentir ? Tu vas salir sa mémoire ? » Les iris bruns de la femme se durcirent. « Je leur dirai ce qu’il faut pour donner à toutes les générations à venir l’envie de raser Amestris et de faire sauter la tête de ce Prince. » - « Alors ne fais pas de lui un ennemi redoutable. Il a déjà causé suffisamment de tort aux gens d’ici. Dis qu’il ne l’a pas tuée, que les Sorciers le savent et qu’ils en font quand même un héros. Si tu dois salir quelqu’un, salis-le lui. Pas elle. » Un rire rauque secoua la poitrine de Raguel. « Alors c’est ça, tes méthodes de grand pacifiste ? Insulter la Perle Noire ? » Elle souffla par le nez, tandis qu’il esquissait une ombre de sourire, la nuque inclinée vers l’avant. Le doute s’était installé dans le palpitant de la Manichéenne. Elle y cèderait. « J’y réfléchirai. Le plus urgent, c’est de s’occuper d’elle. » Hazaan pivota pour regarder à nouveau Erza. « Le plus simple, ce serait de la brûler. Le brasier devrait bien durer une semaine… » Il ne répondit pas tout de suite. « J’organiserai la cérémonie, si tu veux. Tu as envoyé un message à Atthirari ? » Elle haussa les épaules. « Tu peux faire ça aussi. Graelf arrive demain. Il faudra qu’on se réunisse. Tous les trois. »



Message II – 837 mots




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Mer 04 Sep 2024, 21:15




C’est ainsi que nous mourons

En solo | Les Réprouvés



Bravant la distance, les vapeurs de la fumée irritaient les bronches d’Hazaan. Il demeurait néanmoins droit, le menton légèrement relevé et le regard verrouillé sur le brasier, en contrebas de la falaise. Derrière, la mer battait les rochers. Ils avaient réussi à dégager la majeure partie du corps d’Erza des tentacules. Seul le monstre brûlait. La souveraine démembrée avait été nettoyée, peignée, maquillée et habillée comme ils le faisaient pour chacun des leurs. Son corps, allongé dans la terre sablonneuse du promontoire, reposait avec tous les honneurs. Les rites avaient été respectés. Elle rejoindrait les Zaahin. Une torche surplombait sa tombe, semblable à un phare au bout d’une jetée, dominant l’océan. Une impressionnante foule s’était réunie sur le sommet battu par les vents pour rendre hommage à la souveraine. Certains n’avaient jamais connu l’époque où elle côtoyait encore son peuple, d’autres s’en rappelaient à peine, mais tous avaient gravé en eux le souvenir de cette Reine. Des chansons célébreraient son règne, son nom serait donné aux petites filles, on citerait ses actes de bravoure pour inspirer les moins hardis. On l’érigerait au rang de Zaahin. Certes, personne n’oublierait que la bataille d’Amestris avait souffert de son absence, mais chaque histoire de Héros comporte sa faute : ces erreurs n’existent que pour rendre meilleurs les vivants. On retiendrait qu’un peuple sans chef est un corps sans tête, que des pieux sans Zaahin sont des bicornes sans berger. La Foi serait renforcée et les vieilles croyances ressuscitées. Personne n’oublierait son absence, parce que ce matin-là, tout le monde réalisait le vide qu’elle laissait – qu’elle avait déjà laissé, et que son trépas creusait encore. Cette cérémonie scellait des adieux qui aurait dû être faits longtemps auparavant. Pourtant, ça n’était que maintenant qu’Hazaan mesurait l’ampleur de leur perte. Elle lui avait manqué ; elle lui manquait désormais plus cruellement. Il baissa les yeux sur la flamme mortuaire, puis sur la tombe où étaient gravées des inscriptions. Erza Taiji Stark, Impératrice des Deux Rives, Impératrice du Léviathan, Le Silence, La Génitrice, fille de Zel’Eph Shizuo Stark et Mitsuko Taiji Stark, épouse d’Eerah Von Dreth – Celle qui gouverna les terres et les flots. Il tourna la tête. À sa droite, Atthirari fixait lui aussi les flammes qui dévoraient les restes de la créature marine. Sur son profil noble pesait une tristesse aiguë. De tous les Thur, il était indubitablement celui qui avait été le plus proche de l’Impératrice. Ses iris poursuivirent leur chemin jusqu’à Graelf. Celui qui officiait les fonctions de Thur Lahvu arborait la posture solide des combattants. Ses traits marqués de peine ne frémissaient pas. Quant à Raguel, elle posait sur l’horizon des yeux qui brillaient de colère. Surface craquelée pour cacher la détresse.



« Il n’a pas sa place ici. » Raguel s’était figée sur le pas de la porte, son regard planté sur Atthirari. Hazaan se redressa. « Il est tout autant concerné par la mort d’Erza que nous autres. » - « Tout comme il était concerné par la guerre ? » - « C’est une insulte ? » fit Atthirari en levant les sourcils. « Elle n’oserait pas. » trancha le Thur Merrill. « Pas vrai ? » - « Son armée a droit d’indépendance. » appuya Graelf. « Nous sommes du même peuple et Erza l’aurait voulu ici. Ne contrarie pas les Zaahin. » - « Ne me martèle pas ce que tu crois que les Zaahin pensent, Hazaan. » cracha la brune. Pourtant, face à une opposition aussi franche, sa poitrine se gonfla d’une inspiration désireuse d’aspirer tout le calme qu’elle pourrait trouver. « C’est la dernière fois que tu mets les pieds ici. » siffla-t-elle à l’adresse du Roi de Keizaal, avant de tirer une chaise et de s’y asseoir lourdement. Elle leva les yeux vers la cinquième personne qui se trouvaient avec eux, debout devant la table ronde autour de laquelle ils avaient pris place, dans une salle perchée au sommet du phare. Vêtue d’une longue robe rouge sombre décorée de filaments d’argent et ceinte d’un corset de cuir noir semblable à ceux des combattants, la femme jaugeait les quatre protagonistes d’un regard distant. Son visage portait les signes des Völva, les devineresses : la bouche et les paupières charbonnées, des symboles liés aux divinités entre les sourcils et sur la gorge. Prêtresse capable d’interpréter les volontés des Zaahin, on avait fait appel à elle pour connaître la future tête couronnée. On avait souvent procédé de cette façon lorsque le trône ne tombait pas naturellement entre les mains d’un Manichéen – parce qu’il avait tué son prédécesseur, parce qu’il en était l’héritier légitime, parce qu’il revendiquait la royauté et que personne ne s’y opposait. Néanmoins, depuis la bataille d’Amestris et les bribes de prophétie qui se répandaient sur les lèvres du peuple, la parole des religieux était d’autant plus précieuse. Aussi, les regards s’arrimèrent rapidement à sa figure, et dès qu’elle fut certaine d’avoir leur attention, elle parla. Sa voix semblait venir d’ailleurs, d’un monde auquel eux n’avaient pas accès. « Les présages sont bons. » déclara-t-elle. « Le choix des Zaahin est clair et limpide. » Ses iris céruléens se posèrent sur chacun des présents, avant de s’arrêter sur Hazaan. « Ils disent que tu feras un bon Empereur des Deux Rives, Hazaan Tyd’Saan. » Un long frisson glacé dévala son dos. Il savait quel serait leur choix bien avant qu’elle ne le prononçât. Il l’avait su des mois auparavant. Ça ne rendait pas l’annonce moins pénible. Il n’avait jamais voulu devenir souverain. Graelf acquiesça gravement, tandis qu’Atthirari clignait les yeux d’assentiment et que le visage de Raguel se marquait de l’ombre d’un sourire. Le désigné se leva et inclina la tête en prononçant les paroles rituelles : « Que la volonté des Zaahin soit faite. Que je sois l’Ombre et la Lumière et le pont qui les relie entre elles. » Il amena son poing sur son cœur. C’était fini.


Fin [A] - C’est ainsi que nous mourons | Réprouvés 3298876942



Message III – 985 mots

PNJ : Atthirari & Graelf.




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