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 Une journée dans ma forge? [rp pour tous]

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Mar 28 Fév 2012, 20:33

La demoiselle si habile de ses mains accepta de me rajouté les plumes ce soir, je rangeais ma bourse, j'attendrais, de toute façon il n'y avais que cela à faire. je pouvais d'ailleurs en profité pour observer les armes, car je devais avouer qu'une paire de griffes m'intéressais, en effet, je cherchais également une lame mais dernièrement j'avais envie de griffes, arme excellence aux corps à corps selon moi. J'observais les armes, avant de regarder Alec, visiblement ce dernier était en train de s'éloignait. je souriais, nous allions une fois de plus nous aventurer sous peu à la recherche d'une gosse qui plus est. Enfin j'y étais habitué car jusque là nous n'avons jamais eu un seul moment de répit lui et moi, les ennuies nous suivait et s'était véritablement amusant. Je continuais d’observés les êtres ici présent, remarquant avec un frisson que le seigneur des Déchus avait sous les yeux une lame, je ne pouvais la voir mais je ne doutais pas que la lame serait dangereuse, tant le reste des armes ici présentes avait cette sorte de lueur de danger, une lueur que certaines armes n'avait pas chez les armuriers.

J'avais largement de quoi payer l'armure, et une arme en plus ne serait pas du luxe. Je sortais, laissant Bast dans un coin avec les plumes, d'ailleurs cette dernière devint lionne et se coucha, calme en apparence mais observatrice surtout. Une fois dehors je remarquais que l'homme que je suivais du regard avec une certaine obsession s'éloignait, sa lame toute neuve en sa possession. je soupirais, s'était vraiment un homme au physique attirant et pourtant à l'air plus que dangereux. je fermais les yeux, aspirant à une brise légère et froide que je venais de faire naître. Je soupirais, pourquoi donc le cœur d'une femme doit il sombrer pour un amour impossible. je rouvrais les yeux pour voir Alec qui revenais vers la forge, je l'ignorais purement et simplement, bien trop occupé à respirer tranquillement l'air légèrement froid que j'avais fait naître dans ce volcan ou semblait régner la chaleur des enfers.

Après un temps qui me sembla long je rentrais à nouveau, cette fois ci bien décidé à regarde, ou plutôt à contempler les armes à la recherche d'une arme qui me ferait craquer. malheureusement pour le moment je n'avais rien vue, toutefois je ne désespérais nullement et je savais bien que tôt ou tard je détiendrais l'équipement souhaitais, celui qui ferait briller mes yeux d'un éclat parfait. Je sentais toujours la présence d'un trop plein de monde, aussi je préférais rejoindre Bast qui n'avait pas bouger. J'offrais à ma compagne un air frais ce à quoi elle répondit par une sorte de ronronnement très grave. Parler à ma précieuse compagne serait un plaisir pour passer le temps et je m'employais déjà à la questionner.


*Merci*
*Tu dit ça maintenant mais dans quelque seconde tu voudra que je cesse de te parler.*
*C'est fort probable ...*
*Bon, tu en pense quoi toi de l'armure ? Moi je la trouve superbe mais j'espère bien qu'elle le soit davantage encore avec les plumes d'oiseau roc.*
*Il va bien falloir qu'elle soit sublime avec car aux pris qu'elles auraient pu nous coûter, certes mis à part leur solidité et le fait qu'elle change de couleur elles ont rien de spécial, mais on a faillit y laissé la vie.*
*N'en fais pas trop quand me^me, sinon je pense m’acheter des armes en prime, des griffes, qu'en pense tu ?*
*Mes propres griffes me suffisent ... oh ne fais pas cette tête. Oui, je pense que cela t'ira bien, mais trouve en des solides, les griffes d'un félins sont son atout le plus précieux.*

Je tirais la langue à Bast avant de la caresser, elle avait raison et je devais l'avouer, les griffes sont le bien le plus précieux des félins, car elles permettent d'attraper les proies ou de grimper. J'approchais d'une sorte de table pour voir les armes de plus près. d'ailleurs je ne tardais pas à redevenir admirative du travail de la forgeronne qui était vraiment un maître dans son art. Je ne trouvais malheureusement pas l'arme parfaite, je choisissais donc de m'écarter un peu de tout les êtres présent, sortant une feuille de mon carnet personnel pour dessiner des plans, de retourner auprès de Bast, nous n'avions plus qu'à attendre que le soir vienne, soir ou je donnerais les plans de cette paire de griffe tout en récupérant l'armure tant désirer.
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Mar 28 Fév 2012, 21:15

Dans toute sa splendeur, l’incarnation de la lumière se situait au beau milieu des cieux, reflétant ses majestueux rayons à travers la fumée du volcan ardent. Pour une fois où la fumée était presque absente, une atmosphère des plus chaleureuses était maîtresse de ces terres. Une somptueuse journée qui fit couronnée par un nouvel évènement, dans un temps égal à midi, une calèche apparut à l’horizon, cette dernière qui avait pour habitude de déposer dans ce moment de la journée tous les voyageurs et habitants de la région au pied de la montagne enflammée, abritait quelqu’un de plus, orne les habitués de cette escale. Une personne assez particulière à vrai dire, puisqu'il s'agissait de moi, je tenais à l’écart du monde, à l’entête de la voiture à cheval et me contentais dans ma solitude de contempler l'immensité qui se dressait devant moi. J'étais accoutrée d’une sorte de costume noirâtre dont la couleur était équivalente à la noirceur de mon âme, tandis que ma veste rouge par dessous mon manteau se distinguait dans sa matière de cuire.

En tant qu'étranger, je m'abstenais de ma position et demeurais dans un silence des plus absolus. Je n'étais point d'humeur à faire part des discussions entamées par les voyageurs ni les côtoyer mais, je réfléchissais plutôt à ce qu’il adviendrait de mon sort une fois pieds dans l'échoppe dont j'avais tant entendu parler. Au bout d’un moment, je finis par émettre un geste et depuis la poche intérieure de manteau, je m'emparais de la bourse qui dormait depuis tellement longtemps à l'intérieur. Une chose était sûre, mon regard était d’une telle mélancolie que l’on pouvait croire à une indifférence totale face à cet argent, enfin, pour l'instant, il n'avait pas encore fait mon bonheur. Quelques instant plus tard, une fois le point d'arrivée atteint, tous les voyageurs se bousculèrent instantanément et agirent inconsciemment en descendant du transport, on aurait cru qu’ils échappaient à un danger imminent comme-ci la calèche allait exploser. Quant à moi, je contemplais délicatement le paysage qui se dressait devant moi, sur un regard aussi inexpressif que surpris, je ne comprenais pas ce genre de réactions prématurées. Ne m'attardant pas plus longtemps de la sorte, la calèche reprit la route, se dirigeant droit vers d'autres contrées.

Quant à moi, je commençais à gravir le volcan dans un cheminement plus où moins balisé. Après de longues minutes de marche où je m'étais encore retrouvé avec moi même comme seule compagnie, je finis par arrivé à l'endroit tant désiré. Tout ce voyage, tout ce temps gaspillé, j'espérais vraiment pouvoir trouver une arme digne de ma personne en ces lieux reculés. J'entrais donc, muni d'un pas manquant cruellement vivacité, presque nonchalant. Il y avait vraiment beaucoup de monde, et beaucoup de bruit inutile dans le même temps, les gens ne savaient pas contempler l'art d'un artiste en silence, il fallait toujours qu'il y ait du bruit. Bien que manquant d'enthousiasme en entrant, je ne pu m'empêcher d'afficher un mince sourire en observant toutes les personnes présente. Ils étaient tous semblable à des chiens en quête de viande pour certains et tandis que d'autres semblaient attendre qu'on leur jette un os à ronger. Pitoyable. Me baladant dans la bâtisse, je ne pris pas vraiment le temps d'admirer les œuvres parfaitement ranger autour de moi. Sur un comptoir, je fis une trouvaille, je venais de mettre la main sur un parchemin qui m'informait sur toutes les armes présente dans la forge. Bien qu'il s'agissait là d'une mine d'information, je ne fis que parcourir avec célérité, les informations répertoriés. Subitement, lorsque je pris la peine de lever les yeux vers le fond du magasin, je fus comme foudroyé par une ces fameuses armes, à vrai dire, je m'étais surpris à agir comme ces chiens.

» Cette épée, comment se fait il qu'elle me plaise autant !?


Telles firent mes premières paroles, énoncées sur un ton regroupant à la fois l’indifférence et l’ironie, on ne pouvait point définir l’humeur dont j'étais muni. Je décidais dès lors de me rapprocher au maximum du mur où était accroché, l'objet de mes convoitises, bousculant en faisant presque exprès, la majorité des clients, quittent à s'attirer leurs mépris. " La Puissante " Je demeurais anxieux à son sujet, bien que je n'approuvais pas l’appellation de l'arme car étant trop explicite, je restais figé devant sa beauté sauvage. Elle semblait si rustique tout en ayant une touche d'originalité mais sans trop en faire. Admirable, vraiment. Bien que les rapports sociaux n'étaient pas mon fort, je savais reconnaître la valeur d'une chose quand il le fallait, et je devais bien admettre, que le créateur d'une telle lame devait être quelqu'un doté de la passion du métier.
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Mar 28 Fév 2012, 21:16

Avant de ranger le poignard, Takias tandis un feuille à Ellana sur laquelle était marqué "Le venimeux".

- Fort bien, je t'attendrais, en revanche, lis quand même ça! Dans cette fiche est inscrite tout ce que tu dois savoir sur ce poignard, et si tu le prends, il ne manquera pas de te surprendre, sache le!

- Je n'en doute pas une seconde.

Ensuite, Ellana prit la fiche et se retourna, cherchant un endroit tranquille ou la lire. N'en trouvant pas, elle se mit à marcher en direction de la sortit. Quand elle fut à l'extérieur, elle respira une bouffée d'air, ne lui faisant pas forcément du bien, 'air étant trop emplit de souffre à son gout. Pour pouvoir respirer normalement, elle chassa l'air chargé de souffre, et à la place mit de l'air frai et pur. Pouvant enfin mieux respirer, elle regarda la fiche qu'elle tenait toujours en main. Ellana la lut avec attention, voulant tout connaitre de la lame, bien que la seule façon de vraiment en connaitre une, c'était de se battre avec. Elle apprit que le Venimeux réagissait plus favorablement au Bélua, et se pliait à la volonté de celui-ci, ou celle-ci en l’occurrence. Ce poignard devenait de plus en plus intéressant.

Après avoir finit de lire la fiche, Ellana releva la tête, regardant l'horizon qui se teintait de rouge au furent et à mesure du temps. Ellana regarda se spectacle durant quelques minutes, et eu le temps de clarifier ses pensées. Pour être tranquille, elle était passé derrière la forge, et quand elle revint, elle vit qu'il y avait beaucoup moins de monde, ce qu'elle appréciait. Elle entra de nouveau dans la foule, ce mêlant aux individus, attendant patiemment son tour, qui ne tarda point à arriver. Quand elle fut au comptoir, elle observa de nouveau les lames en attendant que Takias vienne. Deux ou trois lames particulières étaient partit, mais Ellana fut contente de voir le venimeux encore accroché au mur. Bien que se soit la deuxième fois qu'elle le voit, la Bélua était toujours impressionné par les traits fin, ciselés et précis du poignard.

Quand Takias arriva, Ellana lui rendit la fiche de l'arme, avant de parler.

- Je vais peut-être paraître difficile, mais est-ce que je peux tester le poignard dehors?

Cela ne sembla pas gêner Takias qui le décrocha du mur et lui tendit. Ellana le prit et continua de parler.

- Je te le ramène dans pas longtemps.

Ellana se retourna, se dirigeant vers la sortit, en évitant de trop jouer des coudes, ne voulant pas blesser quelqu'un ou elle-même, bien que la lame soit dirigée vers le bas. Etant sortit, elle se chercha un endroit tranquille pour tester la lame, et le trouva derrière le forge.

Elle se plaça en position d'attaque, et entama différents gestes, pour le moments lents, le temps de s'habituer au poids de la lame, et à son maniement, différent de celui du katana. Changer d'arme ne la gênait pas trop, car dans son école, on lui avait appris toute sorte de maniement d'armes, et le poignard en faisait partie. Pendant presque une heure, elle s’entraîna, accélérant ses mouvements, puis, elle demanda à la lame de s'enrouler autour de son bras, ce qu'elle fit rapidement.

Ellana était toujours étonnée de se phénomène, mais cette fois-ci ne faillit pas crier, sachant ce qui l'attendait. Elle essaya plusieurs sorte de forme qui lui venait à l'idée pour un serpent, et toutes marchaient. Quand elle regarda le soleil, elle vit qu'il commençait déjà à descendre, et pensant que Takias devait s'inquiété de ne pas revoir sa lame revenir, rentra dans la forge, attendant encore une fois patiemment son tour, toujours lame en bas, ne voulant blesser personne, et cette fois-ci les gens évitaient de l'approcher de peur qu'elle utilise le venimeux.

Spoiler:
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Aaliah Z'Odra
~ Ombre ~ Niveau I ~

~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 2211
◈ YinYanisé(e) le : 22/02/2011
◈ Âme(s) Soeur(s) : On ne peut conquérir un coeur qui abrite l'amour d'un défunt...
◈ Activité : Bâtisseuse d'empire
Aaliah Z'Odra
Mer 29 Fév 2012, 00:18

    Faire l'effort de prononcer plus de mots, finalement, c'était parfois récompensé... Takias décrocha les armes qui tentaient l’ombre et lui lança un sourire sincère. Aaliah ne pouvait pas encore rendre de sourire, il ne fallait pas non plus exagérer, mais murmura un bref remerciement avant que la maîtresse de lieu ne parte s’occuper d’autres clients. Il y avait beaucoup de monde et tous semblait vouloir acquérir une nouvelle arme. Cela promettait pas mal de bataille à venir… Les Ombres n’étaient pas prêtes de se retrouver sans occupation…

    Aaliah regarda les deux armes qui étaient maintenant à sa portée, et les analysa afin de savoir laquelle lui conviendrait mieux… La lame ondulée de l’Ombre Violette lui rappela de nombreux souvenir lié à un passé bien lointain. Celle d’Eldarius possédait la même forme, mais ne dégageait pas autant de magie. Elle sentit clairement que ce poignard là était fait pour un être maitrisant les ombres… Comme les Ombres… Hors, elle en était une. L’arme serait certainement entrée dans sa possession, si elle n’avait apprit que les Ombres avaient le choix d’opté pour autre chose que les ténèbres. A une époque par si lointaine que cela, Aaliah aurait certainement demandé à possédé l’Ombre Violette sans réfléchir plus, ni même savoir si l’arme était faite pour elle. Aujourd’hui, l’aura maléfique que semblait dégager la lame lui fit faire un étrange geste… Elle reposa le poignard. Elle ressentait que l’arme ne ferait que rejeter la lumière, hors Aaliah voulait choisir un chemin plus éclairer. L’arme ne l’aiderait pas dans sa quête. Pire, il la ferait revenir au point de départ… Et ce n’était pas en se terrant dans les ombres qu’elle trouverait les réponses à ses questions.

    Aussi, Aaliah glissa sa main sur la lame du poignard nommée Petit Siphon. Un nom bien étrange pour une arme. L’arme était aussi petite et légère que l’autre, voire plus. Cependant, Aaliah sentit au toucher que l’arme était faite pour elle. C’était comme une évidence. L’ombre avait depuis longtemps appris à vivre avec le vent. Que ce soit en volant à travers le ciel sous forme de corbeau, usant des courants d’airs pour planer, ou en faisant appel à ses grandes ailes pour se déplacer sur de plus longues distances. Sous ses doigts, elle sentit le métal frémir, comme si une légère vague de vent, à peine perspective s’était glissé entre sa peau et la lame. L’ombre serra les doigts sur le métal, et profita du courant d’air que provoquaient les clients de la forge pour prendre le contrôle du vent. Légèrement bien évidement, le but étant de tester l’arme. Elle bougea à peine le poignard pour lancer une vague de vent sur l’une des fiches décrivant les armes. Aaliah voulait la faire voler, comme le vent balaye les feuilles mortes… La fiche virevolta jusqu’au plafond, avant de retomber lentement sur le sol, tandis qu’un subtil courant d’air frais se glissa à travers la forge.

    L’ombre posa son regard vers sa louve, qui se redressa et plongea ses yeux bleus dans ceux de sa maitresse. Luuna semblait apprécier le choix de l’ombre, comme elle avait apprécié le fin courant d’air qui lui avait ébouriffé les poils. La langue pendante, l’animal commençait à avoir chaud dans la forge de l’elemental et avait dû plus d’une fois replier la queue sur ses pattes arrières pour être sur que l’un des clients ne lui marcherait pas dessus. Aaliah passa une main en les oreilles de sa fidèle compagne tandis qu’elle chercha l’elemental du regard. Celle-ci avait de nombreux amateurs d’armes et beaucoup de travail. Elle allait d’un client à un autre, faisant de son mieux pour servir chacun dans les détails les plus rapides. L’ombre profita que la jeune elemental était occupé pour jeter un rapide coup d’œil à sa bourse. La jeune femme savait que les armes étaient très chères, et elles valaient certainement leurs prix, au vu du temps et des efforts passé sur chaque modèle. Le métier d’ombre seul ne rapportait pas grand-chose, ses économies, c’étaient surtout sur les corps resté en arrière qu’elle les avait trouvés… Bien qui lui faudrait trouver un jour une bien meilleure façon pour gagner des pièces.

    « Faudra que je trouve aussi un métier à exercer » Murmura-t-elle à sa louve, sans savoir tout de fois, pour quel métier elle serait bien faite… Mais une chose était certaine, au prix des armes, il lui resterait peu de chose au fond de sa bourse une fois l’achat passé. Heureusement, l’Ombre n’avait pas besoin de manger ou de boire aux mêmes rythmes que certains. Elle aurait certainement le temps de trouver un moyen pour remplir sa bourse de pièce. Et lorsque Takias arriva à ses côtés pour prendre de ses nouvelles, l’ombre lui indiqua son choix.

    « Je vais prendre ce poignard » dit-elle en lui montrant l’arme de son choix, puis elle lui tendit sa bourse. « Sers-toi et prend le prix que vaut le temps passer à forger cette arme. Par contre, rends-moi la bourse après, c’est un souvenir et j’y tiens ». De toute façon, la bourse avait peu de chance d’intéresser l’elemental, le temps l’ayant déjà bien assez usé et l’on devinait aisément que la seule valeur que pouvait avoir le morceau de cuir, c’était une valeur sentimentale. Et l’ombre avait assez confiance en elemental pour la laisser prendre le nombre de pièce nécessaire pour l’achat de l’arme. De plus, Takias était la seule à savoir estimer le prix de l'arme. Par contre, l'ombre espérait que sa bourse comptait assez de pièces...



Une journée dans ma forge? [rp pour tous] - Page 3 CLDAsI2

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Mer 29 Fév 2012, 09:12

    Aya était impatiente de pouvoir la prendre dans ses mains. Elle était émerveillée par la finesse de l'arme et les nombreux détails qu'elle possédait. C'était presque une œuvre d'art avant d'être un objet de combat. Le cristal noire absorbait toute la lumière environnante contrairement à ce que ferait ferait un diamant. On pouvait même avoir l'impression qu'une petite lumière était enfermée à l'intérieur, cela devait surement être l'âme de l'épée. De gens racontent qu'une arme n'est pas choisit par son propriétaire mais que c'est elle qui le choisit. Aya ne se souvient pas de comment cela c'était passé pour ses armes, il faut dire qu'elle n'était qu'une très jeune enfant et puis c'était un cadeau de ses parents. Alors peut être que le fait que ce soit des armes familiales avait suffit à la destinée à les récupérer à son tour.

    Son katana avait été la première arme qu'elle avait apprit à manipuler. Son père était très doué dans l'art du combat à l'arme blanche. La jeune était malheureusement pas aussi puissante que son cher papa, affichant une véritable faiblesse physique qu'il tenta de corriger tant bien que mal. Mais malgrè cela elle ne c'était jamais découragé et avait continué de s'entrainer encore et encore jusqu'à devenir juste assez forte pour le rendre fière. Elle avait apprit aussi à tirer à l'arc, un art du combat que sa mère maitrisait à la perfection. Cette arme était pratique pour les combats à distance, mais était difficile à manipuler. L'art étant assez lourd elle était donc face au même problème due à son manque de force. Cependant elle apprit bien vite à viser juste et petit à petit sa force a augmenté avec le temps, lui permettant aujourd'hui de prétendre à devenir la propriétaire d'une véritable merveille.

    Takias accepta donc aimablement de lui confier cette arme splendide. Elle précisa au passage que c'était l'une des plus belle pièce de sa collection, flattant ainsi encore un peu plus son envie de l'obtenir. Aya avait les deux mains ouverte la paume vers le ciel quand elle vint la lui déposer délicatement entre les mains. Ce fut étrange, car dès qu'elle entra en contact avec la Fière Dragonne un léger vent vint soulever ses cheveux blonds. Ce fut comme si ce même vent c'était agité dans un murmure. D'ailleurs, l'effet l'avait tellement impressionné sur l'instant qu'elle en avait encore des frissons dans le dos. C'était comme s'il avait trouvé une partie d'elle même qui lui manquait. La belle demoiselle et la magnifique arme se complétaient à la perfection. Le cristal noire qui constituait une partie de l'arme s'illumina de l'intérieur. Comme si la toute petit lumière que l'on pouvait apercevoir à peine avant venait de prendre une ampleur bien plus importante. C'était comme si chacune d'elle apportait une plus grande puissance à l'autre. Une fois dans ses mains cette pièce de collection devenait un objet de convoitise redoutable, tout comme sa futur propriétaire passait du statut de jolie demoiselle à celui de guerrière.

    Elles se complétaient c'était une chose sur désormais. Aya ne chercha même pas à tenter de l'essayer, car le simple fait de caresser les détails de celle-ci suffisait à lui confirmer l'envie d'aller jusqu'au bout de son choix. Elle voulait l'avoir et serait prête à se ruiner pour cela. Aya avait emmenée beaucoup d'argent mais se demandait tout de même si elle avait prévue assez. Ne prévoyant pas de trouver une si pure merveille elle avait peut être sous estimé la capacité de cette jeune femme, ce qu'elle regrettait maintenant qu'elle avait put constater son travail de titan. Elle sortit donc sa bourse de sa sacoche et la présentant à Takias elle lui demanda le prix.


    -"Excusez-moi, je vous dois combien pour cette merveille?..."

    Aya sentit qu'elle devrait surement revenir avec un autre sac d'argent. Elle avait juste ramené ce qu'elle avait eut d'Astaroth la dernière fois qu'ils c'étaient vu, oui celui-ci lui donnait régulièrement de l'argent pour qu'elle puisse subvenir à ses besoins. Mais elle avait aussi réuni ses nombreux cachets pour ses danses au cabaret, et d'ailleurs la moitié des recettes du cabaret qui avait du mal à bien marché ceci dit. Elle avait donc environ 500 pièces d'or, mais sentait qu'il ne lui manquerait pas grand chose et qu'elle devrait faire un autre aller retour pour en ramener plus.
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Mer 29 Fév 2012, 12:24


Shizuo regarda la jeune femme jeté un coup d’œil au papier et il sourit. Il n’avait pas de doute sur la capacité du forgeron qu’elle étaitet quand elle lui dit :
    Takias J'étudierais ça plus tard, votre commande est prise en charge et je pense m'y mettre ce soir, lorsque je fermerai ma forge au public! Si vous voulez bien inscrire votre nom ici, que je puisse vous faire parvenir votre commande...
I l acquiesça simplement et prit une plume pour signer sur le carnet qu’elle lui avait donner. Il en profita pour regarder un peut les noms et il en aperçu quelques-uns de très intéressant. Fermant le carnet son sourire ce renforça au coin de ses lèvres.
    Shizuo Parfait
A coter de son nom il rajouta une petite note “près a payé n’importe quel prix” et voir plus, il n’en était pas à cela près, mais vue les personne qu’elle avait dans ce carnet elle ne devait plu être en manque d’argent. Posant le petit carnet et la plume il ce redressa satisfait de cette visite, voilà qui avait était une bonne rencontre. C‘était vrais, il avait déjà entendu parler de cette forgerie mais il n’avait jamais eu l’idée d’y venir trop occuper ou simplement par flemmardise. Il aura fallu que ses vieille lames ce brisent pour qu’il se décide a visité cette endroit et pour finir il en était bien contant. Il était venu pour ses sabres et il aller avoir les armes qu’il avait lui-même imaginer, parfaite pour faire ce qu’il faisait. Jamais encore cela ne c’était vue, des lames capable de ce rétracté, totalement cacher et pourtant porté naturellement sur soi. Il espéré que le résultat serrait le même que ce qu’il avait imaginé en dessinant les plans. Il n’avait dû toute façon pas de doute, Takias était à la hauteur pour créer un instrument qui demandait tans de minutie et de délicatesse, mais d’une solidité et d’une terrible force.

Le réprouvé regarda autour de lui, il n’avait plu grand-chose à faire ici à présent qu’il avait trouvé – en quelque sorte – ce qu’il désiré. Il prit pourtant son temps pour partir, il jeté encore quelque coup d’œil autour de lui, mais il était un peu étouffer par la foule, il n’aimait pas être autant entouré. Il trouvé cela désagréable, trop de bruit, trop de respirations. Il prit donc le partie de se rapprocher d’un endroit où il y avait le moins de monde possible, près du mur du fond dans un coin. Il avait bien envie de rester ici et de regardé encore ces armes magnifique et il trouvé amusant de voir les visiteurs s’émerveiller devant tout cette étalage. D’armes plus dangereuses les unes que les autres. Shizuo réalisa alors qu’il n’avait pas fait attention aux armures et il s‘y approcha, il n’était pas pour porter ce genre de chose, cela faisait du bruit et était lourd a porté la plupart du temps, de plus cela limité le déplacement rapide, en claire ce n’était pas pour lui qui préférait la furtivité et la vitesse extrême à la défense pur du corps, mais en les regardant il avoua qu’elles devait être de qualité, seulement de ce coter là il ne si connaissait pas du tout contrairement aux armes.

Il l’ai parcourra du regard sans osé trop s’en approché, ce n’était vraiment pas son truc, mais étrangement vue le beau travaille qu’elle avait fait il était très tentant de ce risquer. Seulement le réprouvé fut raisonnable et puis il fallait être honnête si il en prenait une il ne l’utiliserait jamais alors cette achat serrait bien inutile, de plus il n’en voyait aucune qui pourrait lui correspondre et ce n’était pas son genre, autant rester dans ses propres trancher et ne pas aller chercher chez le voisin, c’était bien mieux de cette façon. Shizuo prit le partie de retourna vers les armes, là au moins-il se sentait chez lui, c’était exactement ce qui lui fallait et il se sentait bien plu à lèse près de ce qu’il connaissait. Il retourna face à cette arme le Fouet Sableux, qui l’avait interpellé en entrant ici. Serrait-il raisonnable de ce laissé amadoué par sa beauté et son pouvoir ? Il ne pensait pas, il en avait déjà bien assez avec les lames secrètes qu’il avait commandait, ce serait de la gourmandise quelque par de se laisser prendre par cette beauté, mais il ne pouvait s’empêché d’avoir un petit sourire a sa vue : elle était simplement splendide et laisser paraitre de grande promesse au regard de celui qui était face à elle. Il réfléchissait un peu à ce qui était le plu raisonnable, car c’était bien beau d’avoir beaucoup d’arme à sa disposition, mais quand on ne peut pas les portés et qu’on a un trop gros choix à faire c’était très difficile. Il savait déjà qu’il ne ce déferait jamais de sa trois lame, une arme unique et si légère qu’une plume parait insignifiante face à elle, si équilibré et fine, mais rapide et permettant sur tout de portée trois armes en une seul. Il aimer bien l’idée de portée le moins de chose sur lui et puis de faire croire à son adversaire qu’il ne porté qu’une armes alors qu’en réalité il en avait trois. C’était aussi pour cela qu’il voulait ses gants, il pourrait porté deux lames légères et rapide supplémentaire, cacher aux yeux de tous et très facilement transportable, du moins si le rendu était a la hauteur de ses attentes mais il ne douté pas de l’efficacité du forgeron, de plus quand on voyait les clients qu’elle avait il n’y avait plu de raison de douté. Alors serrait-il prêt à craquer pour ce sabre qui lui faisait de l’œil ? Rien n’était moins sur car c’était difficile de résisté à telle beauté…

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Mer 29 Fév 2012, 19:39


    Il semblait plus émerveillé que surpris et cela me rassura. Cela voulait dire qu'il l'appréciait pour le moment. De toute façon je ne voyais pas comment on pouvait ne pas apprécier une telle arme. Seule le pouvoir me gênait un peu, plutôt maléfique mais comme je l'avais déjà dit, cela ne me regardait pas. J'avais été chargé de forger cette arme avec ardeur, je l'avais fait et c'était tout. La suite n'était plus de mon ressors, bien que j'appréciai voir mes armes un ans ou deux plus tard, pour être sûr de leurs soins. Le Roi des Déchus me fit signe qu'il allait l'essayer dehors. Je lui rendis son signe de tête avant de me diriger vers un autre client. C'était Alec. Je l'avais vu revenir et il m'interpella gentiment.

    "Ça ne me gêne pas de patienter,
    il n'y a pas de soucis ! Par contre, en parlant d'armure, j'ai oublié
    de te demander si tu avais en stock un pourpoint sans manches, qui
    serait léger et assez souple pour ne pas gêner les mouvements ?"


    "Enfin
    ça ne presse pas et je peux attendre qu'il y ait moins de monde pour
    voir ce que tu as ! Je vais aller faire un tour dehors, prendre l'air me
    fera le plus grand bien !"


    Je lui souris avant de répondre:

    "Oui, cela m'aiderait vraiment de m'occuper de toi à la fin. Merci beaucoup, cela me permettrait de respirer un peu entre deux clients! En tout cas je vais déjà voir ce que j'ai et ce sera prêt lorsque tu reviendras!"


    Sur un signe de tête, le garçon partit prendre l'air. Je partis dans la salle du fond et fouilla dans les étagères pour voir ce que j'avais. Je tombai sur une belle armure que je déposai sur une table un peu à part en essayant de me souvenir de bien montrer au vampire ce que j'avais. Je me dirigeais ensuite vers la jeune femme qui avait jeté son dévolu sur le Venimeux. La jeune Bélua, attendait visiblement pour payer son arme. Elle lui correspondait parfaitement. Arrivant près d'elle je demandai:

    "Alors, c'est décidé tu la prends? Si c'est le cas, cela fera six cent pièces d'or s'il te plaît! Dépose les là!"

    J'indiquai un rebord de la table percer d'un trou, au dessous de celui-ci se trouvait une bourse, c'était pratique pour y déposer les pièce sans se faire voler et ainsi ne pas perdre de temps avec les autres clients. Repassant de l'autre côté, j'aperçus Dante qui semblait satisfait de sa petite séance d'escrime, à ma plus grande joie.

    - On n'entend qu'un
    murmure hein ... Tu as fais du très bon travail forgeron , viens me
    rendre visite quand tu l'entends pour pouvoir juger de l'attention que
    je porterais à ton chef d’œuvre . Je sais pertinemment que les
    remerciements et les éloges ne nourrissent pas un homme.

    Je souris et n'eut pas le temps de répondre quoi que ce soit. Il posa sur la table une énorme bourse de cuir d'une taille que je n'avais jamais vu, ou plutôt si, mais pas remplie à ce point, avec un sourire il continua:

    - C'est pourquoi je
    t'offre ton pesant d'or . A l'intérieur tu trouves pierres précieuses et
    or pour un montant exorbitant , à la hauteur de ton travail .


    Je le remerciai fièrement:

    "Merci votre Altesse, c'est grâce à des clients comme vous que je peux donner naissance à de tels chefs-d’œuvre!"


    C'était vrai, je ne pouvais pas forger sans argent, cela m'étais tout bonnement impossible, encore moins des œuvres comme celle ci...Un Roi! J'avais forgé la propre épée d'un Roi, bon, peut-être pas le meilleur, certes. Mais un Roi quand même! Une bouffée de fierté m'envahit et c'est en rêvassant qu je me dirigeais vers le prochain client. Qui n'était autre qu'Aaliah. L'Ombre avec qui j'avais voyager sur la montagne...Je m'approchai d'elle à vive allure. Elle l'indiqua le Petit Siphon en disant:

    « Je vais prendre ce poignard »

    Puis, me tendant sa bourse, elle dit:

    « Sers-toi et prend le prix que vaut le temps
    passer à forger cette arme. Par contre, rends-moi la bourse après, c’est
    un souvenir et j’y tiens »


    "Je ne comptais pas la prendre de toute façons!", répliquais-je sans monter la voix. Simplement parce que j'estimai que ce n'était pas polie de prendre la bourse de quelqu'un sans le lui demander et même en demandant! L'argent suffisait amplement pour ne pas voir à prendre aussi un pauvre morceaux de cuir! Je comptais les pièces, l'arme coûtais cinq cent pièces et il en restait encore assez dans la bourse de l'Ombre. En principe, le vrai prix du poignard aurait été entre huit cent et mille pièces d'or, mais j'avais bien précisé que lors de cette journée, je baisserai les prix de chaque arme, c'est donc ce que je fis. Et je ne savais pas pourquoi, j'étais contente que ce poignard soit tombé dans les mains de l'Ombre et pas de quelqu'un d'autre! Je reposai sa bourse devant elle en lui disant:

    "Fais-en bon usage!"

    Puis, toujours avec le sourire aux lèvres je me dirigeais vers le jeune garçon amoureux de l'Empoisonnée....Je l'entendis dire à la jeune fille aux cheveux blonds qui avait choisi l'Estoc Enflammée:

    « Je ne peux la choisir mais j'espère en être digne. »

    Un petit sourire triste passa sur mon visage, si l'arme ne réagissait pas, le pauvre garçon serait bien obligée de se faire une raison...Se tournant alors vers moi, il me dit:

    « Vos armes sont toutes dignes de grands guerriers,
    cependant, je suis encore loin d'en être un. Je préfère donc que ce soit
    l'arme qui me choisisse plutôt que moi-même, je pourrai faire des
    erreurs. »


    Il regarda de nouveau la belle lame verte et reprit:

    « Celle-ci est pour moi la plus magnifique de toute
    et si j'avais le choix, je la choisirai. Mais est ce qu'elle même le
    ferai? Je voudrai la prendre dans mes mains afin de savoir si elle me
    juge apte à la manier. J'ai la certitude que si je ne la touche pas, je
    regretterai toute ma vie de ne pas avoir su sa réponse... »


    Je le comprenais au fond. Je me dirigeais vers le mur du fond et décrochai l'épée verte. Je la déposai ensuite dans la main du jeune homme. Il se passa alors quelque chose de mystérieux. A peine eut-elle touchée les paumes du jeune homme que la lame s'éleva dans les airs à quelques centimètres ses doigts du jeune garçon. Une lumière verdâtre illumina le visage de son porteur tout comme un sourire illuminait mon visage en ce moment même. J'en riais presque:

    "Elle t'a choisi! Tu devrais sortir un peu et voir les mouvements que tu peux faire, histoire de t'y habituer un peu, elle est très particulière, reviens me voir après pour le paiement!"


    Cela me faisait mal au cœur de devoir parler d'argent dans un moment aussi magnifique et passionnant. Mais je n'avais pas le choix, je ne pouvais forger sans argent! Je laissai alors le garçon en tête à tête avec son arme pour me diriger vers la jeune femme aux cheveux blancs, qui semblait m'attendre, lorsque je passais près d'elle elle dit:

    -"Excusez-moi, je vous dois combien pour cette merveille?..."

    Je regardais l'arme, la Fière Dragonne. Je trouvais que cette arme allait parfaitement bien avec la jeune femme, je répondis donc:

    "Six cent pièces d'or s'il vous plaît!"

    Attendant la réaction de la jeune femme, j'ajoutai:

    "Si je puis me permettre, vous allez merveilleusement bien ensemble!"

    Et c'était vrai!


Spoiler:
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Mer 29 Fév 2012, 20:50

J'entrais de nouveau en croisant quelques personnes qui sortaient armées, le sourire aux lèvres. Me retournant un instant, j'en vis certains s'essayer à quelques mouvements avec leurs nouveaux joujoux et je me dépêchais de voir ce que Takias m'avait trouvé. Même si l'armure passait en second derrière la faux, voir tant de personnes satisfaites me filait presque le bourdon car je mourrais d'envie de ressentir la même chose. Le seul problème était que contrairement à ce que j'avais dit à Takias, je ne tenais pas en place et était excité comme une puce à l'idée d'avoir cette faux et maintenant un équipement défensif associé.

Certains accordaient une confiance aveugle et partagée envers l'élémental tandis que d'autres restaient là, plantés en admirant des armes. Je lâchais un petit sourire en voyant cette scène quand un morveux me bouscula sans crier gare. J'allais l'engueuler et je ne su quoi d'autre mais je me retins vite en pensant que cela ferait de l'ombre au commerce de Takias. Je pris mon mal en patience et arrivais enfin devant l'objet de mes convoitises, sorti pour l'occasion. Je trouvais le pourpoint sympathique mais en laissant mon regard dévier, j'aperçus une armure complète sur laquelle je bloquais. J'étais en train de réagir exactement de la même façon que celle qui m'avait fait sourire mais je m'en fichais. Je venais de découvrir un set d'armure qui - même s'il ne correspondait pas vraiment à mes exigences premières - me fascina tant que je décidais aussitôt de délaisser la première armure.
Spoiler:
Des soupirs de surprise interrompirent mon admiration et j'eus à peine le temps de voir une des armes s'élever qu'elle retombait déjà dans les mains de son futur propriétaire. C'est alors que je comprenais que ses armes n'étaient pas simplement de bonne factures, mais uniques en leurs genres. J'avais finalement très bien fait de venir et m'en félicitais. Tout ce qu'il me restait à faire était de réserver l'armure complète pour être sûr et certain que personne n'irait se servir avant moi. Je passais entre les personnes qui avaient semblait-il du mal à être des plus polies en dégageant le passage mais j'arrivais tant bien que mal jusqu'à l'élémental. J'attendis - encore - qu'elle eut fini de discuter et encaissé l'or pour m'exprimer :

"Le pourpoint que tu as sorti correspond plutôt bien à mes attentes, mais je viens de remarquer que tu as une autre armure complète, et je crois que finalement je vais l'acheter !"

Je lui montrais du regard l'objet de mes convoitises et ajoutais, en espérant qu'elle ne soit déjà pas prise, car je la voulais vraiment :

"Je te dois combien pour l'armure et la faux ? Je vais payer maintenant, ça sera plus simple !"

Si je proposais de payer maintenant, ce n'était pas que pour des raisons pratiques. De cette façon, cette armure serait aussitôt mienne, ainsi que la faux, et je pourrais patienter sans crainte de les voir m'échapper. Je sortis de mon sac le pesant d'or demandé avec un supplément, car je savais qu'elle ne les vendait pas au prix maximum mais j'avais suffisamment d'or pour lui laisser un bon pourboire.

"Je peux récupérer l'armure d'ici combien de temps, j'aimerais bien l'essayer avant de repartir avec la faux ?"

J'attendis sa réponse, prêt à foncer sur le mannequin pour le dessaper en moins de deux et lui piquer son équipement.
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Mer 29 Fév 2012, 21:33


"La Siamoise"


Répétais-je lentement comme fasciné par cette lueur qui émanait de cette arme. Qu'était-ce ? Je me sentais comme attiré par elle ! Elle était...divine. Je la pris en main et dis lentement à Takias :

"C'est un honneur de tenir une si belle arme entre mes mains. De tous mes forgerons c'est la plus belle lame que l'on m'aie tendu."


Je la pris puis fis quelques passes légères. Je dis au forgeron :


"Je vais dans l'arrière-cour. Je ne la volerai pas ayez confiance."


Je me rendis dans l'arrière-cour puis fis tomber mon manteau. J'avais ma tenue de combat habituelle que je portais sous mes vêtements. Ma canne-épée tomba à terre et je me mis en position. D'un sort de magie noire j'invoquai un parfait clone de moi qui réagissait exactement comme moi. Je pris l'épée et commençai par plusieurs passes simples. Puis je fis un premier coup d'estoc, un petit cri d'adrénaline sortit de ma gorge et je vis avec stupeur une seconde lame arriver. Elle réagissait exactement comme moi au début et, intrigué, je dis :


"Va"


L'épée devint indépendante et une troisième arriva. Ceci arriva plusieurs fois puis soudainement la brume rougeâtre de l'épée s'étendit autour de moite je vis Shinda passionnée. Je compris enfin toute l'étendue des pouvoirs de ce bijou, de cette lame. Elle était...hypnotisante, dans tous les sens du terme. Je la repris et annulai mon sort. Cette lame était la plus belle. Jamais je n'avais vu telle perfection et je me dis que des gens avaient beaucoup de talent. Peut-être pas plus que moi, mais dans ce domaine beaucoup oui ! En tout cas j'étais ébahi, j'étais seul dans l'arrière cour avec Shinda et je regardais cette lame simplement, souriant. Je n'oubliai pas de reprendre ma tenue et de me rhabiller convenablement. Finalement je convins qu'il était plus simple de rester en tenue de combat classique. Je pris donc mon manteau sur une épaule, mais restai dans ma tenue fine et moulante qui dévoilait mes muscles, comme pour être humble face à la lame. Je revins souriant dans la forge.

En arrivant je n'eus pas le temps de parler que je vis Aya en train de payer son arme. Je m'introduis dans ses pensées et je vis qu'il lui manquait cent pièces d'or. Je vins vers elle et Takias et dis en montrant six-cent pièces d'or dans des sacs au fond.


"Six-cent vous avez dit ? Le compte est bon."


Je montrai ma lame en disant à Takias.


"Pour la mienne j'ai laissé deux-mille pièces derrière votre comptoir en passant. Gardez tout, pour vous remercier de votre sympathie. Sachez que vous êtes la bienvenue à mon château et que je serais ravie de vous accueillir comme invitée ou comme forgeron. Mes portes vous sont toujours ouvertes. Par contre vous resterait-il un fourreau digne de La Siamoise ?"


Tout en parlant je pris la main d'Aya, espérant qu'elle se laisse faire.
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Mer 29 Fév 2012, 22:56

    Aya tenait le petit sac d'argent dans sa main attendant que la jeune femme lui donne le montant de l'objet tant désiré. Elle arriva et lui annonça que l'arme valait six cents pièces d'or. Oh mince! Elle n'en avait que cinq cents, décidément le sort s'acharnait sur elle, elle avait de quoi payer mais n'avait pas penser à en ramener plus. Elle grimaça donc puis réfléchit à comment elle pourrait aranger cela. Alors qu'elle était sur le point de la reposer et de proposer à Takias de revenir la chercher demain une voix s'éleva près d'elle.

    -"Six-cent vous avez dit ? Le compte est bon."

    -"Mais je ..."

    Aya ne put finir sa phrase, en fait elle n'avait pas comprit comment il avait réussit à deviner son problème. Astaroth était venu arranger son problème sans lui demander son avis, décidément il avait le cœur sur la main. Elle garda donc l'arme avec elle et la plaça dans son fourreau qu'elle attacha à sa taille. Aya sentit la main du roi réprouvé saisir la sienne alors qu'il s'adressait à Takias. L'ange déchue fit un sourire à la demoiselle puis la remercia d'une voix douce tout en replaçant son sac d'argent dans sa sacoche.

    -"Merci beaucoup! Comptez sur moi pour faire venir de nouveaux clients dans votre forge. Vous êtes une véritable artiste et je vous souhaite de continuer ainsi encore longtemps. Au revoir..."

    Elle concentra ensuite son attention sur Astaroth, gardant sa main dans la sienne. Elle ne voulait pas jouer les femmes ingrate, et fut vraiment touchée par son geste. Elle se sentait même coupable lorsqu'elle repensait à tout ce qu'elle lui faisait endurer alors que lui de son côté tentait de tout faire pour lui faire plaisir. Aya se tourna donc vers lui puis affichant un petit sourire gêné elle le remercia à son tour.

    -"Merci... Mais tu ne devrais pas en faire tant pour moi, je ne le mérite pas et tu le sais..."

    Elle ne pensait pas le voir aujourd'hui et encore moins devoir lui parler pour le remercier de quoi que ce soit. Pourtant, depuis le temps qu'elle lui avait promit de revenir le voir pour lui parler, il était temps tout de même de lui donner des explications sur les derniers événement. Elle décida donc de ne pas repousser ce jours à un autre et prit conscience qu'elle devait le retrouver plus tard.


    -"Je ne veux pas que l'on parle de quoi que ce soit ici, il y a trop d'oreilles curieuses. Retrouvons-nous ce soir."

    Elle posa son autre main libre sur sa joue puis approcha son visage du sien. Elle vint lui glisser quelques mots à l'oreille de façon à ce que cela ne puisse être entendu.

    -"Je te retrouverais dans ta chambre, préviens tes sentinelles que je passerais par la fenêtre comme d'habitude..."

    Puis elle vint déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Elle s'éloigna de lui lâchant peu à peu sa main puis se séparant de lui totalement. Elle passa le seuil de la porte sans se retourner et s'envola vers un lieux inconnu.
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Mer 29 Fév 2012, 23:28

Finalement après un long moment à revoir mes plans, les plans de griffes splendides à mes yeux mais terriblement sombre je finit par soupirer. J'avais dessiné ce que j'attendais, des armes parfaite pour une Ombre, et j'avais bien raison, je le sentais car bientôt des choses changeraient, j'en avais déjà eu des visions, trouble certes. Le remplaçant de Mitsuko me ferait face, mais l'issu ne voulais se dévoilé. Je quittais ses pensées sombre pour revenir sur mon dessin, je n'étais pas très bonne artiste et pourtant pour une fois ma main avait suivit le fil de mes pensées, s'était magique, comme lorsque je danser. Bast me toisais, un coup de son museau me fit comprendre que je ne devais tardé davantage pour parlé à Takias, car mon projet lui donnerai du travail et tout travail se doit de laisser du temps à celui qui le fait. J'allais donc trouver Takias, regardant Alec flasher sur une armure, attendant patiemment mon tour. Finalement arriver face à la forgeronne je me rendais compte que j'avais le trac, je contrôlais donc mes propres émotions afin de parler calmement.

"Excuse moi de te déranger à nouveau, je sais que tu as du travail et que tu t'occupera de mon armure ce soir, mais j'aimerai que tu vois ses plans pour moi, je suis prêt à payer très cher pour obtenir des armes pareil mais nul autre forgeron n'aurait le talent et l'adresse que tu possède. Donc si tu peux voir cela pour moi je t'en saurais extrêmement reconnaissante, d'autant plus que ses griffes si elles voient le jour risque de m'être rapidement utile."

J'affichais un léger sourire, je me voyais tué avec ses lames, des griffes faîte pour tué, pas pour blesser mais pour éliminer. Étais-je donc devenue une de ses tueuse sans cœur ? Je ne le savais pas mais j'avais de plus en plus souvent des visions d'un futur plus grand, même si je doutais de mes propres visions je préférais ne pas jouer avec le feu, le futur était variable et le mien était toujours très flou. J'aurais bientôt mes armes, je n'en doutais pas. j'attendais patiemment la réponse de Takias, qui ne tarda à venir avant de m'éloignais pour la laissé répondre aux exigences de ses autres clients. il y avait là tant de gens que je me sentais un peu mal à l'aise, comme étouffé sous une masse de puissance inaccessible.

L'air extérieur ne me fit pas plus de bien, des gens s'entrainer avec leur futur arme, et le silence du volcan ne m’apaisais pas, contrairement à ce que j'aurais plus croire. Je finit par m'assoir dans un coin, croisant les bras pour fermer un peu les yeux. Il régnait ici une atmosphère de joie ou de déception presque énervante, moi aussi j'étais heureuse, très heureuse mais j’espérais sincèrement que le soir vienne plus vite, je voulais repartir au plus tôt avec mon armure et pourtant je devais encore attendre, non pas qu'attendre soit épuisant, étant presque féline je pouvais le supporté, mais attendre en voyant un balai incessant sans discutions était épuisant. Afin de pallier à cet attente forcés je me mit à songer à mon armure qui, une fois recouverte des plumes d'oiseau roc ressemblerait certainement bien plus à une robe, une robe solide et protectrice.


Spoiler:

Après un temps qui me sembla bien trop long je finis par me relever pour faire les cent pas, inutile certes mais apaisant. Je me mit soudain à observer les gens. Il y avait le roi des Réprouvé, plus loin, et à son bras une bien belle jeune femme. je finis là aussi par me lasser, il y avait foule et mis à part quelque personne je ne connaissais personne. Pour une fois j'aurais aimer que Bast rentre à nouveau dans mon esprit, mais non, cette dernière somnoler près des plumes et de l'armure sans pour autant être dans le passage. je rageais tant et si bien qu'avant que je ne m'en rende compte j'avais mon fouet, déroulé, en main. Je rangeais l'arme avant de me rassoir dans mon coin, me mettant à ranger mes aiguilles comme je le faisais parfois pour passer le temps. j'aurais très bien plus jouer avec le vent, ou faire apparaître un petit peu de sable, mais non, voilà que je me remettais à classer mes aiguilles comme si ma vie en dépendait.

Après quelques minutes il me sembla que quelqu'un m'observais. je redressais la tête sans voir personne, d’ailleurs qui irai s'intéresser à une Ombre qui crois naïvement que le destin pourrait reposé en partie sur elle. Mes visions me troublais bien trop et je me rendais compte que ses dernières faisait naitre en moi une envie de pouvoir, une avidité faible pourtant car je ne voulais qu'une chose, protégé les êtres cher à mon cœur. Je devenais presque paranoïaque maintenant. je fermais les yeux, j'avais besoin de repos, besoin de calme, et le calme n'était pas vraiment ici à vrai dire. Pour passer le temps je me mit à cherché des morts ou de futur morts, après tout s'était mon travail de Passeuse, pourtant même cela n'était qu'une faible occupation, et quoi que j'en dise j'avais toujours cette désagréable sensation d'être épiais.
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Jeu 01 Mar 2012, 13:02

Quand Ellana arriva au comptoir, Takias se dirigea vers elle après avoir déposé une armure.

Désolé si j'ai pris du temps, mais je préfère tester les armes avant de les prendre, je le prends, mais sa tu devais t'en douter. Enfin au lieu de t'embêter avec çà...

Ellana prit son sac, l'ouvrit et sortit sa bourse pleine et se tourna vers la forgeronne.

... Je te dois combien?

La Bélua était sur que Takias savait qu'elle allait le prendre, mais lorsqu'il s'agissait de choisir ses armes, Ellana était assez exigeante.

- Alors, c'est décidé tu la prends? Si c'est le cas, cela fera six cent pièces d'or s'il te plaît! Dépose les là!

Ellana savait que le prit serait fort, mais être engagée pour tuer des gens, ou tuer des personnes recherchées rapportait assez d'argent, et même s'il n'y avait pas le compte dans cette bourse là, Ellana en gardait toujours une seconde. Enfin, au lieu de réfléchir à des choses sans importance, la Bélua fit le compte, déposa six cent pièces d'or dans le trou, faillit partir, mais se retins, voyant qu'il lui manquait le fourreau. Elle appela Takias quand elle eu finit avec d'autre client, et lui demanda.

- Je pourrai avoir le fourreau?

Elle n'accusait en rien la forgeronne, qui était assez surchargée. Takias le lui tendis, et la Bélua le prit.

- Merci, et si un jour tu as besoin d'un assassin ou autre appel moi, c'est Ellana, Ellana Caldin.

Puis la Bélua se retourna, commença à partir, avant d'apercevoir Neith et Bast.

* Je me disais bien qu'il y avait des odeurs que je connaissais.*

Ellana leva la main, les saluant toutes les deux, ais ne sachant si elles avaient vue son geste, avant de se retourner, et de sortir de la forge sa nouvelle arme en main.

Quand elle fut à l’extérieur, elle passa le fourreau par habitude à droite, mais ne put pas, son katana se trouvant déjà sur ce coté de sa hanche. Ellana avait de la chance, car elle était autant droitière que gauchère, et donc, elle accrocha le fourreau du Venimeux à sa hanche gauche. Afin de terminer tout cette installation, elle sortit deux ou trois fois le poignard, pour voir s'il coulissait bien, avant de le ranger et de commencer à descendre le volcan ardent. Arriver à son pieds, elle se retourna et regarda en direction de la forge.

* Je ne regrette pas d'être venue. J'ai pu gagner cette magnifique arme qui est faite pour les Béluas.*

La Bélua en question sourit avant de se regarder le soleil qui se teintait se rouge, ayant comme pensée que le Venimeux ne tarderait pas à sortir et à frapper. Le sourire d'Ellana disparut quand des pensées sombre virent dans son esprit.

* Une lame parfaite pour m'aider à accomplir ma vengeance.*

Et, c'est sur cette pensée sombre, que Ellana se remit en route d'un pas décidé.
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Ven 02 Mar 2012, 13:59


Nathaniel continuait son voyage sans vraiment se préoccuper d'où il allait. Au fur et à mesure que le temps avançait dans sa course, la louve noire aux pattes blanches du jeune démon lui faisait sentir qu'elle voulait se reposer.
Le binôme s'approchait du volcan bien connu pour son activité régulière. Ce n'était pourtant pas le cas aujourd'hui. La fin d'après midi approchait et le jeune démon voyait non loin de là une activité plutôt consistante.

La curiosité l'animant, il décida de s'y rendre. Au grand malheur de Naomira qui n'en pouvait plus de trottiner.
Une petite foule se rassemblait de ci de là autour d'une .. échoppe ?
A en juger par le nombre croissant d'aventuriers en quête et de créatures diverses et variées cherchant divertissement, armure et armes ; le coin n'était certes pas anodin.
En s'avançant un peu, et accompagné du grognement las de Naomira, Nathaniel pu voir un autre attroupement de personne agglutinés autour d'une jeune femme, visiblement affairée et tenancière de la forge devant laquelle tout le monde se trouvait.

Cependant, avant de s'approcher davantage, Nathaniel eut son attention retenue par une jeune femme aux allures plus ou moins sombres. Cette jeune femme était en train de replacer des aiguilles entre ses doigts fins. Naomira, qui en avait marre des lubies incessantes de son maître choisit d'aller se reposer dans un coin plus propice et laisser là son maître avec sa curiosité.
La louve, qui paraîssait pourtant désinvolte, continua cependant à garder un oeil sur son : '' inconscient de démon ''
Et pourtant elle l'aime bien au fond. Après tout elle l'avait aimé à en croqué il fut un temps .. Quoi mauvaise blague ? Quoi mauvaise blague ? Ce n'est tout de même pas de sa faute si elle avait faillit le manger à une époque, en revanche il est toujours de la faute de Nathaniel d'avoir dévasté sa famille.

Passons là sur ce destin tragique et penchons nous sur le regard insistant de ce jeune démon insolent.
Il n'avait pas l'air au courant mais ce qu'il fixait était une ombre. Oui vous savez ces personnes dont le malheur n'avait pas finit de s'acharner sur eux ?
Cheveux noirs de jais, un regard concentré sur son affaire et un nom dont l'assonance était similaire à celle de Nathaniel, cela dit il était loin de le savoir.

En faisant attention à ne pas déranger les personnes autour de lui, s'amusant avec leurs nouvelles armes ...

* Tseuh ! Bandes de riches ! *

Nathaniel décida de s'assoir, là, à même le sol et de faire subir à sa "victime" un regard incessant jusque réaction s'en suive.
Totalement puéril, sans intérêts visibles, et il se peut qu'il n'y ait même pas de réaction de la demoiselle. Pourtant Nathaniel s'amusait réellement à harceler les gens que ce soit à haut ou bas niveau. Les yeux vairons de Naomira, la louve, se baissèrent de consternation. Il allait encore s'attirer des problèmes et elle devrait encore tenter de calmer le jeu.
Mais pourquoi le suivait-elle ? Des fois la vie d'une louve est bien compliquée, mais avec Nathaniel comme fardeau cela relevait de l'enfer. Cela tombe bien, car étant démon, Nath' allait pouvoir lui faire comprendre toute la mesure de ses pensées.

La veste sur son torse nu voletait avec les bourrasques que certains provoquaient en maniant leurs armes et leur fouets. Mais Nathaniel ne vacillait pas d'une seule corne, son regard rougeâtre toujours fixés sur la ravissante ombre.
Il faudrait qu'il pense accessoirement à voir les magnifiques armes que proposait l'élémental, mais l'heure était au jeu.

* haaaa mais .. j'ai pas vraiment d'argent à ce sujet d'ailleurs ... *

Naomira qui avait entendu la complainte de son maître par la pensée commença à s'effrayer, s'il lui venait l'idée de faire encore une fois attraction elle le tuerait.



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Ven 02 Mar 2012, 22:20


Shizuo laissa son regard parcourir les pièce. La pauvre Takias était débordée, on la demande de tous les coter, sollicitais dans toute la boutique, elle faisait bien tourner sa forge c’était certain. Voilas une entrepreneuse qui tenait très bien sa boutique.Lui ne pensait pas avoir eu un jour autant d’énergie et de patience que quand il s’entraînait au sabre et aux maniements des armes. Il s’en amusa posant sa main sur le pommeau de son katana à sa ceinture. En attendant ses gants il n’allait avoir plu que cela, son katana au quel il tenait particulièrement au vue de sa rareté, de sa richesse et de son pouvoir.Il n’était au moins pas sans défense, mais en vérité il n’était jamais sans défense même dépourvu d’arme. Seulement il était vrais que munie d’une lame il devenait redoutable et plus celle-ci était de qualité plus il devenait dangereux, il n’y avait pas de doute sur ce faite. En continuant de regarder un peu autour de lui il était assez satisfait de son passage ici, c’était une bonne chose car il aurait ce dont il avait vraiment envie comme armes et puis, il fallait l’avouer, cette forgerie était une très bonne découverte, a présent il viendrait sûrement toujours ici. En tout cas si il était satisfait après sa commande il était près à devenir un client régulier et fidèle, après tout il n’y avait pas des centaine de forgerons de ce type et avec se talant sur les terres du yin et du yang. Cela aurait étais une bêtise que de ne pas profiter d’une telle opportunité et il avait beau ne pas être un grand intellectuel il avait assez d’esprit pour ne pas laisser passer un forgeron comme Takias. Elle avait simplement des mains en or vu ce qu’elle faisait. Des lames aussi travailler que des bijoux car au final elles étaient bien plus précieuses et rares que ces richesses que les rois et autres hommes et femmes de luxe gaspiller et jeté par les fenêtres de leur palais pour se gargariser et étaler leur puissance matérielle sans réel importance. Lui avait beau avoir de l’argent, beaucoup de richesses en tout genre que nul ne connaissait, il ne s’étalait pas, c’est d’ailleurs ainsi que personne au premier regard ne pouvait soupçonner un instant le patrimoine gigantesque qu’il possédait a l’heur d’aujourd’hui.Il porté un petit regard amuser par ailleurs vers ceux qui sortaient leur bourse sans complexe en pleins publics et montré à quel point il en avait. Il trouvait cela pathétique mais ne disait rien car pour lui cela était insignifiant, seul était les grand ceux qui rester toujours dans la discrétion, et c’était par ce genre de petit détaille qu’il savait reconnaître les vrais puissance de ceux qui voulait faire croire ou qui justement avait peur qu’on ne vois pas assez cette force et qui pensait être obliger de la montré de cette façon ou bien d’une autre mais tout aussi idiote a son regard. C’était malheureux mais il n’y pouvait rien et s’en ficher royalement de ces petites gens insignifiant et si complexer.

Il laissa son regard azure ce poser une dernière fois sur le sabre qui l’avait tans interesser et c’est avec un petit pincement au cœur que malgrés tout il décida de ne pas cédé et de le prendre. Il décida même pour ne pas avoir de regret qu’il le prendrait a coup sûr si l n’était pas vendu d’ici qu’il revienne chercher sa commande. Il savait pertinament qu’il n’aurait sûrement pas cette chance, mais il ne voulait pas une nouvelle fois rentré dans cette foule pour ce sabre et il prit la décision de le laisser car après tout si celui-ci lui était réellement destiné il le retrouverait dans quelques jours, sinon cela montré que les Dieux n’en avaient décidé autrement et il n’était pas compliquer pour une pièce d’or lui, il ce laisser porté par la vie. Il verrait bien après tout. Shizuo sortie alors d’une poche de son lourd manteau un papier et du tabac pour se rouler une cigarette alors qu’il prenait déjà le chemin du départ. Il reviendrait chercher sa commande plus tard et il était déjà un peu excité l’idée de trouver ses nouveaux jouer.Allumant cette cigarette avec une allumette, une fois hors de la forgerie, il prit le chemin de sa maison. Voilas un moment qui n’aura ni était perdu, ni inutile a notre réprouvée. Il avait à présent l’envie de voir enfin ses gants réalisé et quelque par l’appréhension de savoir ce que cela aller donner et puis un peu celle de savoir si ce sabre serrait toujours en vente ce jours-là.

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Mitsu
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Mitsu
Ven 02 Mar 2012, 23:01

"Tenez, essayez là, et c'est un très bon choix si je puis me permettre! Une des plus belles pièces de ma collection, je dois dire!"

Lorsque le forgeron tendit l'arme à Mitsuko, celle-ci ne put s'empêcher de sourire en la prenant délicatement avec ses deux mains. Elle était tellement légère et la chaleur qu'elle dégageait était totalement divine. La reine contrôlait le feu et, de ce fait elle pourrait se servir de l'arme de manière optimale. De plus, si ses plans l'amenaient où elle le souhaitait elle pourrait également créer cet élément, comme tous les autres d'ailleurs, et cette arme, qui était un véritable chef d’œuvre, atteindrait donc son apogée en puissance. Sa construction était à la fois pratique et magnifique. Regardant Takias, la reine ne lui dit que :

« Merci beaucoup »

avant de partir à l'extérieur, un peu à l'écart des individus afin d'essayer l'objet. Ce fut d'ailleurs à ce moment là qu'elle repéra le lion, un lion qui se faisait discret mais qui surveillait tout de même la forge, sans doute contre les voleurs. S'approchant un peu de ce dernier, sans pour autant aller importuner la bête qu'elle ne connaissait pas, Mitsuko commença à lui parler. Cela pouvait sembler inutile puisque beaucoup d'individus ne se donnaient pas la peine, mais la jeune femme aimait la nature et la respectait au plus haut point.

« Tu dois être content d'avoir une maîtresse, ou amie, qui a autant de talent. »

Après une petite pause, elle rajouta avant de repartir à ses occupations :

« Ne t'inquiètes pas, je ne suis pas une voleuse. De plus, je pense que je vais contribuer à la prospérité de Takias. »

Mitsuko essaya donc l'arme, faisant de petits moulinets dans un premier temps avant de passer aux choses sérieuses, fendant l'air avec la lame avant de trouver un silex sur lequel elle fit glissée la pointe de l'épée qui s'enflamma. La jeune femme ne maîtrisait pas encore très bien le contrôle du feu qu'elle venait d'acquérir mais c'était justement l'occasion de voir un peu ce qu'elle pouvait en faire.

Après une bonne vingtaine de minutes, la reine retourna dans la forge pour trouver Takias, attendant que celle-ci ne soit plus occupée pour venir l'aborder :

« Je pense que je vais la prendre. Cette arme est un joyaux, facile à manier, légère, convenant très bien à mon contrôle du feu. Cela dit... »

Elle suspendu sa phrase comme si elle cherchait ses mots puis reprit sur une nouvelle phrase :

« Ecoutez, ma famille m'a laissé une véritable fortune qui sera sans doute jamais épuisée. Je ne cherche pas à me vanter simplement à vous dire que j'apprécie votre travail et que j'aimerai beaucoup, à l'avenir, vanter les mérites de vos talents et vous aider financièrement. Ne me voyez pas comme une bienfaitrice ou comme une personne qui cherche à se faire apprécier ou connaître de par ses bonnes actions. Je trouve simplement juste que le bon travail soit récompensé. De plus, je préfère que vous vous préoccupiez uniquement de votre passion plutôt que de vos fins de mois difficiles. Bien entendu, je ne vous demande rien en échange et si un jour je souhaite me procurer une nouvelle arme, je paierai comme une cliente normale. De plus, mes fonds vous permettront de pousser vos recherches en armement, de renouveler votre matériel si vous en avez besoin et de vous procurer des métaux encore plus précieux. »

Mitsuko disait la vérité, elle trouvait ce travail si minutieux qu'elle souhaitait maintenant acheter ses armes ici, un peu comme elle vantait les mérites de l'atelier Shidori quand on la questionnait sur ses tenues vestimentaires. La reine attendait donc la réponse de Takias, l'arme à la main.

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Une journée dans ma forge? [rp pour tous]

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