Le deal à ne pas rater :
Retour en stock du coffret Pokémon Zénith Suprême – ...
Voir le deal

Partagez
 

 | Ludwine & Parsifal Rhoswen |

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Ludwine Rhoswen
~ Vampire ~ Niveau I ~

~ Vampire ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 31
◈ YinYanisé(e) le : 16/08/2024
Ludwine Rhoswen
Ven 16 Aoû 2024, 17:20


Ludwine Rhoswen

Nom : Rhoswen
Prénom : Ludwine
Surnom : X
Sexe : Féminin
Taille : 168 cm
Âge apparent : la trentaine
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Vampire
Lignée : Evgeniya
Créatrice : Roseline Rengaw
Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5
- Charisme : 5 + 1 = 6
- Intelligence : 5
- Magie : 5
Métier : X
Activité : Se promener à pied ou à cheval, lire, aller à des expositions et établir des plans pour la demeure de ses rêves
Armes :
- Un poignard
- Une petite arbalète de chasse
Particularité : Elle souffre de schizophrénie. Elle vit encore au domaine familial, avec sa Créatrice et l'autre fils de celle-ci, Lohengrin. Ces derniers avaient été invités par les Rhoswen à passer quelques jours chez eux après avoir sympathisé lors de certaines réceptions. Charmés par les Vampires, la durée de l'invitation s'est prorogée de façon indéterminée. La transformation de leur fille en Vampire a définitivement statué sur la présence désormais finale des Vampires chez eux. Le château étant vaste et les Vampires respectueux et agréables à vivre, la cohabitation n'est pas délicate bien qu'elle mette mal à l'aise certains domestiques.


Pouvoirs et gains

Pouvoirs de base :
- Aliénation
- Contemple ton ombre
- Le lien du sang
- Richesse à Vie
- Adoration : En plus d'avoir pour habitude d'envoyer des lettres, des cadeaux et des invitations à la rejoindre à ceux qui attirent l'attention et la sympathie de Ludwine, elle peut également créer des clones d'eux, qui s'évaporent invariablement au bout de quelques heures. Ces copies sont telles des mannequins de cire, muets et immobiles, leurs yeux vides ne fixent que le néant. Ils ne réagissent pas aux stimuli extérieurs et ne sont fidèles à l'original que physiquement. Avec une maîtrise de sa magie plus solide, ces clones pourront imiter l'original dans leurs paroles et actes, non pas comme l'original est réellement, mais comme Ludwine imagine qu'il se comporte.

Gain de niveau II :
- X

Pouvoirs :
- Vision des pas : Votre personnage, en demandant à suivre un autre personnage, va voir se dessiner autour de lui la trace des ses pieds ou de ses chaussures. Plus les traces sont pâles, plus il est passé là il y a longtemps. Plus les traces sont foncées, plus il est proche. Si le personnage surveillé n'est pas passé par là, il n'y aura aucune trace et il faudra que le vôtre trouve la piste tout seul.

Armes :
- X

Artefacts :
- X

Formes de magie :
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

Patrimoine et réputation :
- X




Role-play

Ludwine se glissa hors des draps et esquissa une moue dégoûtée en sentant sa tunique de nuit coller à son dos. Une chaleur accablante avait frappé en continu la rangée de fenêtres, plongeant la chambre dans une atmosphère moite et lourde. De mauvaise humeur après avoir si peu et si mal dormi, elle fit appeler sa femme de chambre en tirant sèchement sur le cordon à côté de son lit. Avant même d'être transformée, la vie nocturne avait toujours eu la préférence de Ludwine qui se sentait toujours l'esprit le plus aiguisé lorsque le soleil disparaissait sur la ligne de l'horizon, et le personnel y était habitué.

Le château ne dormait jamais véritablement. En pleine saison de vendanges, les travailleurs des champs arrivaient avant l'aube pour récolter les grappes mûres. Sa mère aimait se joindre à eux, estimant qu'il était important qu'ils participent à la production viticole. C'était devenu une tradition pour les Rhoswen qui n'oubliaient pas à quoi ils devaient leur notoriété. La nuit venaient les réceptions, nombreuses, organisées pour leurs clients les plus généreux, à leurs amis, les plus loyaux comme les connaissances plus vagues, aux parents éloignés ainsi qu'aux voisins ou aux personnalités en vogue. Ludwine détestait ce gratin sociétal multicolore et ne s'y montrait que par obligation. C'était en basse saison qu'elle adorait déambuler dans le château, lorsqu'elle était seule à en profiter avec sa famille. Cette période touchait à sa fin, et la perspective de revivre dans quelques heures une fois encore cette valse incessante de visages poudrés et bavards l'emplissait d'une angoisse impossible à réprimer. Contrairement aux années précédentes, elle ne se sentait pas apte à affronter celle-ci. La décision de ses parents de continuer leur vie comme si de rien n'était était pure folie. Rien n'était plus pareil. Elle avait changé, et Parsifal n'était plus. Le chagrin, encore trop récent, effaçait les pâles sourires qui se dessinaient rarement et avait jeté une chappe de malaise suintant sur tout le domaine et ses occupants.

Sortie de son bain, séchée et vêtue, elle alla s'installer à sa coiffeuse, suivie d'Orvale. Le face à face avec le miroir était déroutant pour l'une comme pour l'autre et Ludwine n'arrivait pas encore à s'y habituer. Son reflet disparu à jamais, elle craignait d'oublier un jour à quoi elle ressemblait. Pour soulager son appréhension, Lohengrin s'était proposé de peindre quelques portraits d'elle. Elle avait immédiatement accepté et l'admiration qu'elle éprouvait pour le Vampire s'était muée en tendresse et gratitude sans bornes. Depuis que Roseline l'avait transformée, il était devenu comme un frère à ses yeux. Avant et après le baiser, Lohengrin l'avait beaucoup rassurée en lui contant sa propre expérience et comment il avait surmonté les difficultés et trouvé son épanouissement dans cette nouvelle vie. L'entendre d'une autre bouche que celle de Roseline avait chassé ses dernières réticences, ainsi que celles de ses parents qui n'avaient jamais su aller contre les désirs de leur fille, qui avait toujours été aussi excentrique que capricieuse, et n'acceptait jamais un non comme réponse.

Alors qu'Orvale défaisait les rouleaux des cheveux de la jeune Vampire pour arranger ses boucles couleur de neige, le regard de Ludwine se vissa sur le coin de la tablette où se tenait une flûte en cristal remplie aux trois-quarts. Roseline s'était assurée auprès des domestiques de la nécessité absolue d'assouvir sa soif en mettant régulièrement du sang à sa disposition. Son visage se crispa de contrariété et sa main partit violemment pour heurter le verre qui alla se briser contre le mur, faisant sursauter sa femme de chambre. « J'avais dit, toujours dans des récipients opaques. » articula-t-elle, les dents serrées. Le sang se répandait sur le parquet, ses effluves plus intoxicantes que jamais. « Je suis désolée, je vais vous le changer immédiatement. » Ludwine ne la regarda pas partir. Elle respirait fort par le nez et ses yeux s'étaient comme enracinés sur les éclaboussures carmines tâchant le papier peint. Quand elle les baissa sur la flaque au sol, son corps bougea de lui-même et elle s'agenouilla, plongeant le bout de ses doigts dans le liquide sirupeux avant de les porter à sa bouche en aspirant bruyamment.

« Ludwine ? » fit une voix douce qui l'interrompit immédiatement. Vivement, elle sortit ses doigts de sa bouche et leva un regard brumeux sur sa Créatrice. Un éclair de conscience le traversa et elle baissa la tête, la gorge serrée par la honte. « Pardon, je n'ai pas su... » « Ce n'est pas grave. Tu apprendras. » Roseline lui caressa la joue et l'aida à se rasseoir sur sa chaise. Se saisissant d'un mouchoir, elle essuya patiemment la bouche de sa protégée. « J'ai croisé Orvale, elle m'a dit ce qu'il s'était passé. Je t'ai apporté un autre verre. » Elle savait que Ludwine n'aimait pas l'aspect du sang et que l'idée d'en consommer la répugnait, mais pas suffisamment pour réfréner les besoins de sa condition. Dégoût et envie se chevauchaient en alternance sans que l'un parvienne à supprimer l'autre totalement.

Par expérience, Roseline savait aussi ne pas précipiter les choses. Aussi méticuleuse que lorsqu'elle composait la structure de ses partitions, elle y allait étape par étape avec l'ancienne Magicienne. Il était encore trop tôt pour parler de chasse, des pratiques d'autres Lignées. Il y avait des horreurs qui auraient révolté la jeune femme. « Qu'est-ce que je vais faire si je perd la tête tout à l'heure, et que je me met à sucer le sang des invités ? » gémit-elle d'une voix tremblante. Elle avait attrapé la main de sa Créatrice et la serrait de toutes ses forces. « Je pourrais peut-être m'isoler ? Je pense que ce serait mieux pour tout le monde. J'ai peur que... Je n'y arriverais pas. » Elle n'osait pas dire que si Orvale n'était pas partie précipitamment, elle se serait jetée sur la domestique. Comment allait-elle faire au milieu de plusieurs dizaines de convives ? « Il ne se passera rien. Tu as confiance en moi, non ? Ça te fera du bien de voir du monde. Plus tu sortiras, plus ce sera facile. Je resterai avec toi tout le temps, je ne t'abandonnerai pas. Tes parents seront heureux aussi de voir que tu vas de mieux en mieux, ils ont besoin de retrouver un peu de normalité. Ils ont déjà perdu Parsifal, ils ne veulent pas te perdre aussi. Fais cet effort pour eux, et pour moi aussi. » Murmurante, sa voix apaisait la jeune fille qui avait fini par appuyer sa tête contre la musicienne, les yeux clos. C'était de cette même voix que Roseline avait su envoûter chaque membre de cette famille, ou presque. Elle avait fait l'erreur de ne pas commencer par Parsifal, considérant que le frère suivrait naturellement la voie de son aînée, et cette erreur stratégique avait coûté cher à tout le monde.



HRP

Le thème de votre personnage : Roses & Revolutions - The Pines (Accoustic) & Noises In My Head
La mort : Suicide
Votre fréquence de rp : Aléatoire
Comment avez-vous découvert le forum ? : DC
Le code du règlement : Tartelette au citron

Revenir en haut Aller en bas
http://lesterresdesympan.forumactif.com/t40583-ludwine-parsifal-
Ludwine Rhoswen
~ Vampire ~ Niveau I ~

~ Vampire ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 31
◈ YinYanisé(e) le : 16/08/2024
Ludwine Rhoswen
Ven 16 Aoû 2024, 17:21

Parsifal Rhoswen

Nom : Rhoswen
Prénom : Parsifal
Surnom : /
Sexe : Masculin
Taille : 178 cm
Âge apparent : fin d'adolescence
Ère de naissance : Ère de la conciliation
Race : Ombre
Race officielle : Magicien
Thème : Florence + the Machine - Seven Devils
Niveau : I

Armes :  
- X

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5 + 1 = 6
- Charisme : 5
- Intelligence : 5
- Magie : 5

Pouvoirs :
- L'Esprit d'Ezechyel
- L'Illusion d'Edel
- La Mortelle Clairvoyance
- Possession des statues : Parsifal peut insuffler un souffle de vie aux statues en les pénétrant. Inutile à faible niveau de magie où il pourra tout au plus battre des cils avec ou bouger un petit doigt, une plus grande maîtrise de sa magie permettra à Parsifal de faire se mouvoir la statue, voire de parler à travers elle.
- Malédiction : Dévoré par la rancœur, Parsifal peut être amené à maudire autrui lorsque ses émotions débordent (sur accord du joueur uniquement). Les malédictions de Parsifal ne sont que temporaires et n'ont qu'une faible ampleur au début, elles gagneront en substance avec l'évolution de ses compétences. En aucun cas, elles ne pourront dérégler ou influencer le Cycle de la Vie autrement qu'il est prévu.

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- La Magie du Souffle
- La Magie des Morts
- La Magie de la Lumière
- La Magie Bleue

~ Double nationalité magicienne
- Umbra in Lucem (Benedictio)
- La Valse Créatrice
- La Magie des Pentacles

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Frère de Ludwine

Roleplay :

Un brouhaha diffus me parvenait. Ça durait depuis plusieurs heures déjà. J'avais beau eu me rouler en boule, me tordre et me griffer les oreilles, je n'y échappais pas. Chaque nouvelle mélodie était un coup de couteau dans ce moi qui refusait de mourir convenablement. Seul dans ce lieu que j'avais tant aimé, où j'avais passé tant d'heures à revâsser, à admirer les œuvres, je me sentais comme broyé par l'insoutenable réalisation. Ils continuaient sans moi. Leur peine n'était qu'hypocrisie. Leur deuil, un odieux mensonge. Je ne leur manquais pas. Ils s'amusaient, se divertissaient, pendant que je subissais les affres de la plus atroce des agonies. J'avais hurlé pour couvrir les décibels croissants des bavardages et de la musique. C'était inutile.

Le bruit s'amplifia. « Laissez-moi... » geignis-je pitoyablement avant de comprendre. La porte de la galerie s'était ouverte et en se refermant, ramena le volume sonore du bal à quelque chose de presque supportable. Un chuchotement, suivi d'un gloussement étouffé me fit lever la tête de la couronne de mes bras. Je plissai les yeux et distinguai deux silhouettes entremêlées. Les bruits humides de leurs bouches et leur essoufflement me renseigna rapidement sur la raison de leur venue ici. Une onde d'outrage me parcourut, dérangeant les colonies de nécrophores qui s'éparpillèrent. Comment osaient-ils ? Personne n'avait-il donc eu le bon sens de verrouiller la galerie, ma galerie, pour éviter que des intrus souillent mon souvenir ? De mon vivant, j'aurais été plus tolérant avec eux. J'aurais pu entendre raison, j'avais moi-même connu ce désir empressé et le besoin de trouver un lieu isolé où le laisser s'exprimer. Ils ne pouvaient pas savoir. Mais je n'étais plus d'humeur ni à la bienveillance ni à l'empathie.

Ils heurtèrent un buste de femme dans leur frénésie et je fus saisi d'effroi en le voyant vaciller sur son support comme s'ils m'avaient bousculé moi-même. C'était une œuvre d'art historique, qui n'avait pas de prix, cadeau d'un client qui n'avait pas le goût pour ces choses. Eux-mêmes retenaient leur souffle puis, voyant que la statue s'était immobilisée, ils pouffèrent comme des idiots et s'éloignèrent. La colère rugit en moi et je me laissai flotter jusqu'à eux, tout près, jusqu'à respirer dans leur cou. Bien sûr, je ne respirai plus, mais je fis l'effort de le mimer. J'accompagnai mon souffle d'un grondement bestial, sinistre. J'espérais qu'ils sentiraient l'effluve putride de mon haleine et qu'elle leur soulèverait l'estomac. La femme se mit à gémir alors que l'homme lui pétrissait la poitrine à travers sa robe. Vexé par cet échec humiliant, je fis une nouvelle tentative en avançant une main couverte d'asticots vers le visage de l'homme, cherchant sa gorge. Comme elle passait au travers, ma colère retomba aussi vite qu'elle avait surgi. Qu'avais-je espéré ? Que seule ma famille était sourde et aveugle ? Que peut-être, ces inconnus seraient capables de sentir ma présence ? Et après ? Je m'éloignai pour ne plus les voir et m'avachis sur le sol en me lamentant doucement. Je ne me lassais plus de pleurer, il n'y avait que ça à faire pour passer le temps. C'était ça ou regarder le plafond, perdu dans des pensées qui me donnaient envie de me repasser la corde autour du cou.

« Qu'est-ce que vous faites ? » Comme le couple, ma tête pivota brusquement vers la porte. Le visage blême de Ludwine s'y encadrait. Une colère glaciale avait durci son regard, mais j'y décelai autre chose, cette dégoûtante, affreuse soif de leur sang. « Sortez d'ici. Cette pièce n'est pas accessible aux invités. » Alors qu'ils partaient précipitamment, ma sœur resta. Aux aguets, je la scrutai. Je la trouvais moins belle qu'auparavant. Elle était si fière de son teint frais, de la ligne rosée de ses lèvres et de l'éclat vif de ses prunelles, savait-elle à quoi elle ressemblait désormais ? Je la trouvais laide, amaigrie et fatiguée. Sa peau blafarde était éteinte et alors qu'elle restait sans bouger, on aurait pu jurer qu'elle était une de ces statues exposées.

Vicié de rancœur, mon regard ne vit dans le luxe de sa robe argentée qu'une indécente façon de montrer qu'elle avait tôt fait de faire le deuil, et je notais avec satisfaction qu'elle flottait dedans. Elle qui détestait tout ce qui n'était pas fait sur mesure, savait-elle qu'elle ressemblait à un épouvantail plutôt qu'à la jolie Magicienne qui aimait venir me sortir du lit au beau milieu de la nuit ? Ces promenades nocturnes n'étaient que des traquenards qui duraient parfois jusqu'au milieu de la journée suivante et durant lesquelles elle m'entretenait de tous ses projets. Elle se voyait architecte, et voulait que nous vivions ensemble dans les demeures qu'elle concevrait, juste elle et moi.

Elle venait souvent dans la galerie, plus que papa et maman. Ils semblaient pressés de tourner la page. Je pensais avoir deviné pourquoi ce n'était pas son cas. Je lisais la culpabilité sur ses traits alors qu'elle avançait, ses doigts effleurant légèrement les statues sur son passage. Elle s'arrêta pile à l'endroit où ils m'avaient découvert. Je m'étais relevé et je lui faisais face mais ses yeux me traversaient sans me voir. Ensemble, nos têtes se levèrent sur le lustre où mon corps s'était balancé. « Qui est là ? » demanda-t-elle soudain, les sourcils froncés. Je crus m'évanouir de bonheur. Elle pouvait me sentir ! Me voir ! « Je suis là ! Ludwine ! » m'écriai-je. Elle tourna les talons et marcha jusqu'à l'extrémité opposée de la galerie. Mon expression se décomposa, au figuré cette fois. « Je vous ai entendu ! Arrêtez de rire ! Où est-ce que vous vous cachez ? Vous n'avez pas le droit d'être là ! » Interdit, je la vis aller de gauche à droite comme si des mains invisibles jouaient à se l'envoyer comme une balle. Avait-elle senti que j'étais là ? Ou était-ce autre chose ? Ces parasites l'avaient-ils privée de raison en la transformant en l'une des leurs ?

Je dérivai jusqu'à elle et disparus à l'intérieur d'une statue d'Ange sur le point de s'envoler. Je me calai dans les replis de pierre comme s'il s'agissait d'un moule et me concentrai. Ça n'avait jamais fonctionné auparavant, il n'y avait pas de raison que les choses soient différentes aujourd'hui. Le découragement qui m'envahit fut tel que je faillis renoncer immédiatement. Avec un sursaut de motivation, je focalisai toute mon attention sur les lèvres figées dans le marbre. J'avais l'impression d'essayer de vouloir pousser un mur avec la seule force de mes lèvres. Inconsciente de l'effort colossal à l'œuvre à seulement un mètre d'elle, Ludwine s'en alla, marmonnant pour elle-même. Écœuré de dépit, je relâchai ma concentration et me laissai couler hors de la statue.

Revenir en haut Aller en bas
http://lesterresdesympan.forumactif.com/t40583-ludwine-parsifal-
Ludwine Rhoswen
~ Vampire ~ Niveau I ~

~ Vampire ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 31
◈ YinYanisé(e) le : 16/08/2024
Ludwine Rhoswen
Ven 16 Aoû 2024, 17:21

+1
Revenir en haut Aller en bas
http://lesterresdesympan.forumactif.com/t40583-ludwine-parsifal-
Ludwine Rhoswen
~ Vampire ~ Niveau I ~

~ Vampire ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 31
◈ YinYanisé(e) le : 16/08/2024
Ludwine Rhoswen
Ven 16 Aoû 2024, 17:22

+1 | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 1266825537
Revenir en haut Aller en bas
http://lesterresdesympan.forumactif.com/t40583-ludwine-parsifal-
Priam & Freyja
~ Ange ~ Niveau III ~

~ Ange ~ Niveau III ~
◈ Parchemins usagés : 4098
◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018
◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes
◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I]
Priam & Freyja
Ven 16 Aoû 2024, 21:00

Rebienvenue | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 009 J'adore le pouvoir de ta Vampire XDD Ceux de l'Ombre sont trop chouettes aussi, Nicodème serait fier d'avoir un disciple si passionné de sculptures (:^^:) Comme toujours c'est joliment écrit et on cerne bien les personnages nastae (petit coup de cœur pour la fiche de l'Ombre, et d'ailleurs c'est une hérésie d'avoir pris cet avatar pour une Ombre, c'est une perte colossale pour l'humanité, mais je me contenterais de cette maigre pitance) Maintenant je veux les voir galérer en rp, je ne suis qu'impatience | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 2289842337




| Ludwine & Parsifal Rhoswen | 1628 :


| Ludwine & Parsifal Rhoswen | 2289842337 :
Revenir en haut Aller en bas
http://lesterresdesympan.forumactif.com/t40510-priam-freyja-bele
Mitsu
♚ Fondatrice ♔

◈ Parchemins usagés : 36435
◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Ven 16 Aoû 2024, 21:04


Rebienvenue sur le forum | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 1628 | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 1628 | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 1628

Je serai la rédactrice en cheffe pour cette fiche | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 758782

Citation :
et établir des plans pour la demeure de ses rêves

Moi aussi je veux trop faire ça !   (:^^:)

Citation :
- Possession des statues : Parsifal peut insuffler un souffle de vie aux statues en les pénétrant. Inutile à faible niveau de magie où il pourra tout au plus battre des cils avec ou bouger un petit doigt, une plus grande maîtrise de sa magie permettra à Parsifal de faire se mouvoir la statue, voire de parler à travers elle.

Bwahahaha ! J'imagine trop des adolescents avoir peur en voyant une statue bouger les yeux xD

Citation :
Comment osaient-ils ? Personne n'avait-il donc eu le bon sens de verrouiller la galerie, ma galerie, pour éviter que des intrus souillent mon souvenir ?

Encore des Luxurieux ça, je reconnais /sbaf

Du coup tout est bon pour moi ! Trop hâte de voir l'évolution des personnages inrp ! Je suis trop contente de voir une Ombre en plus  nastae

Tu es validée !  | Ludwine & Parsifal Rhoswen | 4116475107

Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

| Ludwine & Parsifal Rhoswen |

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» | Ludwine & Parsifal Rhoswen |
» | Ludwine & Parsifal |
» C'est la faute à Tharja | Ludwine
» Tous les morts ne se ressemblent pas | Parsifal
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Terres de Sympan :: Votre personnage :: Présentations :: Validées-