Il n’y a pas de fumer sans feu, jamais a vrais dire, qu’il soit magique ou non le feu apparait et la fumer la suis docilement comme dépendante de la chaleur de la chaleur de sa vielle amie. Non il n’y a jamais de fumer sans feu. C’est ainsi que les gens le dise, mais on peut très bien le voir à l’inverse. Y a-t-il souvent du feu sans fumer ? Non dira-ton car cela n’aurait plu de sens. Ce jour-là il y avait plus de feu que de fumer. Un feu rouge, peut-être même nuancé de noir. Alors qu’au fin fond Sceptelinôst une table ce fendit en deux sous la colère d’un homme qui en avait assez qu’on lui dise qu’un de ses crédit n’était toujours pas rembourser. Le bureau du patron du Circus Brothel faillit en être démoli et quelques servantes fuirent la pièce renversant le thé de leur plateau pensant que bientôt leur maitre aller tout détruire. Le seigneur de ces lieux, Zéleph, était un homme sanguin et d’une impulsivité folle. Lors ce qu’il atteignait un certain seuil de rages il était capable de tour détruire autour de lui sans aucune distinction. Pour sa défense, il fallait bien avouer que cette affaire de crédit commencer à peser lourd, non pas pour les caisses de son entreprise, mais pour sa réputation. Imaginez si il venait à s’ébruiter que le Circus préter de l’argent sans besoin de rembourser ? Ou pire qu’un pauvre voleur avait réussi à faire tourner en bourrique tout le personnel de Zéleph et à s’enfuir sans jamais payer ce qu’il devait. Cette homme ce nommé Emile, ce n’était pas quelqu’un de très intellectuel, plutôt discret et sur tout, très amoureux des jeux d’argents. Il avait perdu toute sa grande fortune en pariant au Circus, mais il aurait dû connaitre la devise « la maison n’est jamais perdante » car tout son héritage y est passé. Et Emile n’avait pas perdu que sa grande fortune, mais également sa femme qui avait fui devant sa folie. Alors, désemparé il était venu supplier Zéleph de lui rendre son argent. Le réprouvé avait accepté, mais c’était un crédit et Emile devrait rembourser avec des intérêts que le patron avait fixé lui-même de façon moins dure cas ses autres clients par clémence. Seulement avec le temps Zéleph c’était bien rendu à l’évidence Emile c’était envoler sans intention de rembourser sa dettes. Au début le réprouvé avait laissé l’homme courir, cela ne faisait qu’augmenter de plus en plus les intérêts de Zéleph, jusqu’au jour où il envoya ses mercenaire chercher l’argent. Seulement Emile était ruser et savait ce faire tout petit, malgré leurs savoir-faire tous les mercenaires échouèrent, même les informateurs qui savait tous des terres du Yin et du Yang avait perdu sa trace, Emile était comme mort, plus personne n’avait entendu parler de lui de puis dés mois. N’étant pas un homme patient Zéleph fini alors par ce mettre vraiment en colère. Il avait, par générosité, accepté d’aider cette homme et a présent il se jouer de lui. Plus que pour l’argent ce fut par fierté que Zéleph décida de ce mettre lui-même a la recherche de cette homme. Tout aurait pu être si simple, mais le malheureux Emile n’avait pas eu l’intelligence de coopéré correctement. Tout le monde savait en voyant Zéleph sortir du bâtiment, le regard voiler de rage que le pauvre Emile ne vivrait pas encore bien longtemps.

C’est ainsi que l’histoire commença et que le réprouvé, déployant ses ailes immaculé, volant jusqu’au sous-bois maudit, sur le continent mystérieux, sans détour ni autre penser que de faire cracher son argent a ce maudit lâche. Emile ce cacher la bas, Zéleph ne savait ni de puis quand, ni pourquoi, et s’en ficher en réalité. Tout ce qu’il voulait c’était faire comprendre à cet individu qu’il n’aurait jamais dû lui mentir et vouloir le berner, et il aller faire de lui un exemple en la matière pour que tous ceux qui avaient des dettes envers lui sachent qu’il ne rigoler pas avec ce genre de chose. Il y avait trois chose que le réprouvé ne supporter pas : qu’on fouille dans son esprit, qu’on le prenne pour un idiot et qu’on ce montre d’une lamentable lâcheté. Emile avait déjà trop jouet avec lui, il l’avait pris pour un idiot et c’était cacher comme un lâche, pas capable d’assumer ses actes. Ce n’était pas de sa faute si il était accro aux jeux, il avait perdu son argent de façon tout à fait légale, cette argent n’était donc plu le sien. Zéleph aperçu dans la brume une petite chaumière. Il se posa en silence entre les arbres morts et pourtant encore un peu vivants. Il ne ce formalisa pas de l’aspect dévaster de l’endroit. Sortant son tabac, il roula une cigarette dans l’ombre de la nuit. Doucement, il s’approcha de la porte de la petite cabane. L’or ce qu’il tapa a la porte, il dut attendre quelques minutes avant que l’intéresser vienne lui ouvrir, surement effrayer, n’attendant pas de visite en pleine nuit. Dans un grincement la porte s’ouvrit, Zéleph eu à peine le temps de croiser le regard d’Emile que la porte lui claqua au nez. Ne ce formalisant pas de cette obstacle il frappa à nouveau, dans un certain calme qui ne durerait certainement pas à ce rythme-là.

Emile ▬ ❝ Allez-vous en, je n’ai rien pour vous. ❞

Rien pour lui ? Vraiment ? Mais il avait au moins sa vie à offrir… Zéleph soupira, percevant le tremblement de la voix d’Emile à travers la porte a moitié pourrie par le l’humidité du lieu. Il n’avait même pas le courage d’assumer ce qu’il avait fait, il se cacher comme un rat, cloitré dans un endroit où même des porcs ne voudraient pas vivre là. N’étant ni très bavards, ni pré à perdre son temps dans ce troue paumé, il décida d’enfoncer la porte d’un simple coup de main. Emile eu juste le temps de bondir de l’autre coter de sa cabane pour voir sa porte déjà en mauvaise état, tomber en morceaux aux pied d’un réprouvé pas prés a s’en aller. Emile, petit et encore gras de ses excès passer à vivre sur une rente qui ne lui appartenait pas, attrapa un objet, surement magique et le pointa sur Zéleph.

Emile ▬ ❝ Ne m’approchez pas … pas Zéleph-fff ! Je n’ai … n’ai pas votre ar … argent ! Si … si vous entrez … je … je vous grille ! ❞

Le fixant d’un regard totalement vide d’expression, le réprouvé fit un pas, puis deux pour se retrouver très vite devant le petit homme tremblant. Zéleph prit alors une longue bouffer de sa cigarette, puis sous les yeux écarquiller de son interlocuteur, il l’écrasa sur sa chevelure inexistante, lui brulant le crane. Emile ce mit à couiner sous la douleur, lâchant son « arme » il ce frotta son crâne chauve maintenant ornait d’un rond rouge, un peu grisâtre à cause de la cendre. Les yeux apeuré et humide il chercha à ce baisser pour retrouver son arme, mais n’en eu pas le temps. Zéleph le pris à la gorge, serrant ses doigt autour de son cou fragile. Emile, prit de panique chercha à ce défaire de cette prise, qui comme un étau, paraissait ce refermer inévitablement. Le réprouvé le souleva alors, avec une étrange faciliter, si bien que bientôt Emile ne toucha plu le sol de ses pieds et croisa le regard profondément sombre de son prédateur.

Zéleph ▬ ❝ Je tes prêter cet argent pour que tu reprennes ta vie en main et cas tu fais gros plein de soupe ? Tu t’es goinfré comme un âne, tu es devenu gras et moche, reclus dans l’ombre comme un cafard. Je n’accepte pas que la vermine s’amuse à me voler. Tu vas me rendre cet argent, même si tu dois en crever sale rat ! ❞

Il était prêt à le saigner, a lui faire manger son plancher ronger par les verres. Il jeta le petit homme sur son lit qui s’effondra sous un nuage de poussière lors ce qu’Emile le percuta. Il n’osa même pas ce redressa, touchant son coup, une marque singulièrement rouge y étant marqué. Zéleph voulait lui faire payer sa lâcheté et ses dettes, d’une manière ou d’une autre. Cela en ferait un exemple pour tous ceux qui aurait envisagé de ne pas suivre les règles comme Zéleph les avaient écrite.

Le regard empli de peur d’Emile ne pouvait attendrir un cœur comme celui de Zéleph. Il avait déjà fait preuve d’une grande générosité envers cet homme, mais il ne referait pas deux fois la même erreur. Le réprouvé aurait très bien pus le tuer, là, de sang-froid. Pour montrés l’exemple. C’était sans compter sur la fraction de seconde qui changea la vie de ce misérable. Un instant, le brun vit le regard de l’homme changer, puis un souffle dans son cou.

Mitsuko ▬ ❝ Bou ! ❞

Surprit, il se retourna pour se retrouver nez à nez avec une femme, une femme qu’il aurait eu du mal à oublier. Mitsuko, quel charmante visite en plein travaille. Simplement, Zéleph n’en était pas ravis. La première rencontre avec elle avait était « mouvementé » et il aurait espéré que cette soirée resterait sans encombre. Or, cette venue suscitait soudain un obstacle dans sa mission.

Zéleph ▬ ❝ Mitsuko … ❞

Un soupire qui voulait en dire long. Etrangement elle n’avait pas changé, comme si lui avait avancé dans le temps et pas elle. L’homme jeta un regard a la vermine encore cloué au sol. L’heur de sa mort n’était que retarder.

Mitsuko ▬ ❝ Bonsoir cher Zéleph, je ne pensais pas vous retrouver en si charmante compagnie, à croire que nous visions tous les deux la même personne ce soir. Et dire que le patron du Circus Brothel ainsi que le roi des réprouvés auparavant si peu soucieux des attraits de la royauté se tient devant moi...j'en frémis d'excitation. ❞

La première réaction du réprouvé fut simplement de lever les sourcils, non pas surprit, mais ce demandent ce qu’elle avait pris avant de venir. C’était vrais, autre fois il cracher sur les souverains autant qu’il le pouvait, mais ce n’était pas par ce qu’il était roi que cela avait changé sa vision des choses. Il avait d’ailleurs du mal à se dire qu’il était roi. Il l’était devenu sur un simple coup de tête, une envie soudaine, maintenant il s’en ficher. Seulement il ne penser pas que Mitsuko soit là pour parler de ses changements de vie, mais pour Emile. Emile qui d’ailleurs en avait profité pour ce redresser et pensant qu’on aller l’oublier ce mit à ramper vers la sortit. Zéleph ne lui laissa pas l’ombre d’un espoir, et tout en regardant la déesse il écrasa de son pied le corps gras du rat.

Zéleph ▬ ❝ Et la courtoisie ? ❞

Le pauvre étouffer sous la force de son prédateur, mais il ne contester que par des couinements, préfèrent encore cette humiliation a la mort.

Emile ▬ ❝ Bon… bonsoir Ma… Madame… ❞

Le réprouvé lâcha prise. Emile ce redressa prudemment, comme si il attendait que Zéleph le batte encore, puis se rendant compte qu’il l’ignorait totalement il posa son regard sur la déesse. C’était pour lui un espoir de survie, il le savait et aller si accrocher de toute ses maigres force, pour autant il n’oublier pas que l’homme a ses cotés pouvait être un démon et qu’il le tuerait si il lui en prenait l’envie, même au péril de ce mettre un Dieu a dos.

Emile ▬ ❝ Que … me vaux ce plaisir, Madame ? ❞

Le regard noir, toujours blasé du roi ne quitter pas Mitsuko, un simple sourire ce dessina légèrement aux bords de ses lèvres. Emile devenait obéissant, et avait posé exactement la question qu’il fallait. Zéleph en était satisfait, par contre il redouté la réponse de leur invité et avait bien peut que si elle était là ce soit pour récupérer cette imbécile de nain répugnant. A présent il se demander comment il avait pu le croire lors ce qu’il lui avait juré qu’il retrouverait sa femme. Un mensonge aussi gros que lui, a n’en plu douter. Cette penser ne fit qu’enrager un peu plus le réprouvé. Il voulait en finir le plus vite possible, la patience n’étant pas une de ses qualité les plus probante, pour autant il cacha sa colère et attendit tranquillement que cette chère beauté blonde réponde à Emile. Ce qui était certain, c'est que c'était chasse gardé. Zéleph espéré qu'elle le sache, sinon il aller devoir lui expliquer...

La relation qu’il avait avec Mitsuko était conflictuel, il fallait bien avouer que leur première rencontre avait était mouvementer et qu’elle c’était bien jouer de lui. De plus elle avait un petit quelque chose qu’il ne supporté pas, sa beauté, son sourire, même sa voix l’agacer. Il ne savait ni trop comment, ni pourquoi mais c’était ainsi de puis le moment où elle c’était amuser à le soigner et à reprendre sa magie a peine la plaie refermer. Cela faisait bien longtemps. A cette époque il était encore un simple vagabond sans réel motivation dans la vie, et elle reine des buveurs de sang. Oui c’était il y a bien longtemps. Cela n’empêcher pas que Zéleph se souvenait parfaitement d’elle, et elle de lui.

Mitsuko ▬ ❝ Allons, vous parlez de courtoisie mon cher mais vous ne m'avez même pas salué. Vous n'avez fait que soupirer et, jusqu'à preuve du contraire, cela n'est pas très poli en présence d'une femme. ❞

Pour simple réponse, ce fut un léger grognement qui sortit de la gorge du roi. Elle n’avait réellement pas changé, tout pour l’agacer. A croire que c’était un jeu pour elle, donc il était l’acteur principal. Il croisa son regard, mais ne rajouta rien, la laissant ce tourné vers le nain à moitié chauve et pas laver de puis tellement de temps qu’on pouvait se demander si Emile avait un jour connue un bain.

Mitsuko ▬ ❝ Emile, je ne m'intéresse pas à vous à présent mais plus à ce que vous pourriez devenir. Je sais que vous avez envi de devenir quelqu'un de bien, quelqu'un de juste qui n'aurait pas besoin de se cacher pour fuir des individus comme Zéleph par exemple. Mais vous clamez à l'injustice aussi, la vie ne vous ayant pas souri quand il le fallait, votre femme vous ayant quitté alors que vous aviez le plus besoin d'elle. L'on ne vous a sans doute pas assez soutenu dans votre existence pour que la vie fasse de vous quelqu'un de bien. N'est-ce pas? ❞

Le roi des réprouvés avait à peine écouté, jusqu’à ce qu’il entende son nom. Il trouver très rabaissant la façon dont elle parler de lui, il était peut être mauvais, mais dans la plus haute catégorie des crapules ce monde. S’il c’était soudainement intéresser à la discussion, il comprit vite que Mitsuko se tromper totalement. Emile était bien autant un individu irrécupérable que lui, ce n’était pas faute de lui avoir offert une seconde chance, seulement il avait raté le coche et aujourd’hui il était plus dans le gouffre que jamais. Tant pis pour lui Zéleph ne serait pas généreux une seconde fois, cette fois c’était lui qui réclamer justice.

Mitsuko ▬ ❝ Je peux vous aider. Et c'est pour cette raison que je suis venue ici, pour vous, rien que pour vous. La question que je me pose c'est si vous me suivrez. Je réparerai les injustices qui ont été commises, je ferai de vous un homme juste et vous n'avez qu'une chose à faire, venir avec moi... ❞

Zéleph avait presque envie de rire. Elle ne se demander même pas pourquoi lui était là ? Non on aurait dit une mauvaise pub pour l’élixir de vie du docteur Ashton, encore une belle escroquerie. Mitsuko faisait exactement la même chose, ses promesses ne pouvaient tenir, sur tout lors ce que ses petits protéger vendait leurs âmes au diable.

Zéleph ▬ ❝ C’est hors de question. ❞

Attrapent Emile par le col du tissu qui lui servait encore de chemise il le tira vers lui, sans jamais quitter la déesse du regard. Si ça avait était n’importe qui d’autre il s’en serrait arrêter là. Seulement voilà, Mitsuko n’était pas une personne comme une autre. Il se ficher bien de son statue, de ses pouvoirs ou quoi que ce soit d’autre, mais il se souvenait qu’elle lui avait sauvé la vie. Du moins elle avait renoncé à ses rêves pour lui, elle aurait très bien pu le laisser mourir alors que lui, lui avait laissé la vie sauve, mais au lieu de cela elle avait choisi de le laisser en vivre. Elle avait vue au plus profond de lui et lui d’elle. Il ne l’avait jamais oublié. Ainsi il lui devait bien des explications.

Zéleph ▬ ❝ Emile a eu toutes ses chances de s’en sortir. Lors ce que ce gros imbéciles a perdu son héritage aux jeux, je lui ai fait un pré pour qu’il récupéré tout ce qu’il avait perdu. Il m’avait juré qu’il perdrait plus jamais son argent aussi stupidement, qu’il trouverait un vrais travaille et récupérerait sa femme. ❞

Rien que de penser qu’il c’était fait floué par ce nabot Zéleph en eux les dents qui se mirent a grincer. Il resserra un peu plus son poing sur sa chemise, l’étranglant presque, mais il se ficher bien de ce qu’il pouvait lui arriver à présent.

Zéleph ▬ ❝ Le délai de remboursement est passé depuis trop longtemps maintenant, il à assez jouer avec ma patience. J’ai cru pouvoir lui faire confiance et maintenant je suis autant perdant que lui. ❞

Et ça il ne le supporté pas. Ce qu’il supporté encore moins c’était qu’il c’était enfuit devant lui, qu’il n’était qu’un lâche. Il serrait insupportable qu’il s’en sorte sans payer d’une façon ou d’une autre ce qu’il lui devait. Zéleph ne le laisserait pas aussi facilement entre les mains de Mitsuko, elle qui parler de justice, où se trouvait-elle là ?

Zéleph ▬ ❝ Il n’a pas respecté notre pacte, il doit payer pour ça. ❞

Qu’il ait de l’argent ou non, sa vie lui suffirait amplement. Dommage pour Mitsuko, il était le premier arrivé et donc le premier servis. Elle arriver trop tard, elle aurait dû se tourner vers Emile lors ce qu’il en était encore temps. Il c’était mis tout seul dans de beaux draps et la seul chose qui aurait pu l’aidée c’est une somme d’argent introuvable en si peu de temps.

Mitsuko ▬ ❝ Hé bien, je ne savais pas que le patron du Circus Brothel faisait crédit à des sources peu sûres. Auriez vous quelques soucis de discernement quant aux personnes à qui vous pouvez faire confiance ou non? ❞

Zéleph grinça des dents. Quoi ?! Comment osait-elle lui parler sur ce ton ? Ce moqué de lui, alors qu’il venait de faire avec elle ce qu’il n’aurait jamais fait avec personne ?! Le réprouvé sentit la rage monté en lui. Elle était insupportable, et ce sourire ! Il grogna pour évacuer sa colère. SI elle n’avait pas était une femme il ne se serait pas gêner pour lui montrer qu’il n’était pas source d’amusements, seulement voilà, il avait des principes. C’était très frustrant. Elle s’approcha de lui. Zéleph ne broncha pas, la fixant de son regard noir et profond, les sourcils froncer, presque tremblant de par la rage qui ce déverser en lui. Comment fait-elle pour le faire sortir de ses gonds aussi rapidement ? Sans qu’il ne si attende il sentit sa main ce poser sur la sienne. Un éclair de surprise passa durant quelques secondes dans le regard du grand brun. Elle appuya sur son poignet, comme pour le faire cédé. Le combat fut plus échange par le regard que par la force, car son acte était étrangement doux. A quoi jouait-elle ? Zéleph n’était pas douer pour comprendre le comportement social des autre, il avait déjà du mal avec le sien, alors il n’avait jamais fait d’effort avec les autres et sur tout avec Mitsuko.

Mitsuko ▬ ❝ Quoi qu'il en soit, il semblerait que nous ayons un problème à présent. Vous voulez qu'Emile vous rembourse mais comme il ne le peut pas je suppose que vous souhaitez le tuer. Et moi, je veux qu'il me suive, qu'il me soit soumis et fasse partie des individus qui fondent ma puissance. Voulez vous vous battre pour lui? Savoir qui de nous deux aura un droit sur son existence ? ❞

Et pourquoi pas ? Si c’était elle qui commencer il n’aurait aucun scrupule à la frapper. Quoi ce n’est pas correcte ? Au diable les conventions, lors ce qu’on vous lance un duel il est très irrespectueux de refuser. Un léger sourire vin ce loger au bord de sa bouche. Etrangement sa colère c’était dissipé pour un temps. L’idée de réglé son compte à Mitsuko lui plaisait beaucoup, cela soulagerait sa frustration pour un temps.

Mitsuko ▬ ❝ Croyez moi, je préfère m'adonner à des jeux plus agréables avec vous que celui du combat physique. ❞

Cette fois Zéleph ne s’attendait vraiment pas à une telle tournure. Le ton de sa voix avait changé, son regard également et le sous-entendu qu’elle venait gracieusement de lui offrir, un enfant de quatre ans l’aurait compris. C’en était presque vexant pour lui, et décevant.

Zéleph ▬ ❝ Je ne crois pas, non. ❞

Un soupire qui en disait long. Il ne ce formalisa même pas de son rire. Elle pouvait le prendre pour ce qu’elle voulait, un idiot, un homme de bas étages, mais glisser sur cette pente serrait plus dangereux pour elle que pour lui. Il se souvenait de son baiser, ho ça il s’en souvenait, mais il ne se laisserait plu prendre à ce petit jeu mesquin, et puis… à cette époque il était encore jeune, maintenant tout était diffèrent. C’est pour cela qu’il ne bougea toujours pas lors ce que le visage de cette chère Mitsuko s’approcha du sien, sa bouche se dirigent vers son oreille. Il reconnaissait bien là l’ancienne reine, elle ne reculer jamais.

Mitsuko ▬ ❝ Nous pourrions trouver un compromis, qu'en dîtes vous? ❞

Cela devait intéressant, très intéressant en réalité. Il ne savait pas ce que mijoté Mitsuko, il ne pourrait surement jamais savoir ce que cette femme avait dans la tête, mais elle était bien plus rusé que lui. Tout comme lui savait qu’elle ne reculerait pas, elle savait également qu’elle n’était pas un obstacle dans ses plans. Un compromis était en effet le mieux pour éviter le pire, resté à voir ce qu’elle avait à offrir à un homme qui n’avait besoin de rien. Zéleph laissa échapper un léger rire, puis ce fut à son tour de ce penché sur l’oreille de la jeune femme. Si c’était un jeu, elle avait trouvé le meilleur adversaire.

Zéleph ▬ ❝ Et qu’avait-vous à offrir Madame ? ❞

Qu qu’avait Emile de si important pour elle pour qu’elle ce risque à jouer avec lui ? Il ne l’avait toujours pas lâché, celui-ci ne ce gênant pas pour ce faire oublier le temps que les grandes personnes règles les problèmes. Le réprouvé sourit, peut-être qu’au final il était celui qui avait le moins à perdre ici. C’était l’occasion de rendre cette petite visite un peu plus amusante. Zéleph ce recula légèrement, juste assez pour croisez son regard. Leur proximité était à son comble, et dans le regard de Zéleph briller un éclat de défit, corroboré par un sourire en coin. Il ne penser pas qu’elle pourrait gagner, en réalité il ferait tout pour que ça ne soit pas le cas, comme une petite vengeance personnel.

Il y avait vraiment quelque chose qui clocher dans l’air, quelque chose d’anormal dans les gestes et les mots de Mitsuko. Zéleph se méfier d’elle, comme aux premiers jours. Elle lui avait peut-être sauvé la vie une fois, mais il n’avait pas confiance, en tout cas pas assez pour ne pas croire qu’elle cacher des choses. Trop de choses.

Mitsuko ▬ ❝ Aah...je me demande ce que je ferai sans vous mon cher Zéleph. Vous êtes irremplaçable... ❞

Qu’est-ce qu’elle voulait dire par là exactement ? Etait-il devenu un jouet pour elle ? Une sorte d’occupation qui l’amuser particulièrement. Sincèrement, cette idée ne lui plaisait pas du tout. Il ne savait trop quoi penser, et lors ce qu’elle glissa sa main jusqu’à son col il ne sut trop quoi penser non plu. Il attendit alors. Ne pouvant deviner ce qu’elle avait dans la tête, il ne pouvait faire que cela.

Mitsuko ▬ ❝ En réalité, je cherche un travail, et je pense que vous pouvez m'aider... ❞

Zéleph était de plus en plus perdu, et c’était un très mauvais point pour lui ça. Cela voulait dire qu’elle gagner du terrain, la pire chose qui pouvait lui arriver.

Mitsuko ▬ ❝ Ne pensez pas une seule seconde à m'engager comme prostituée... ❞

Il leva les sourcils. Et laissa échapper un léger soupire à peine audible, mais il penser bien qu’elle l’entendrait…

Zéleph ▬ ❝ Dommage… ❞

Il ne penser pas pour lui personnellement. Il y avait une règle qui c’était fixer, il n’avait jamais aucun rapport avec ses employer. C’était d’après lui le seul moyen pour qu’il n’y ait aucun conflit à ce propos, et de toute façon il n’avait pas le temps pour ce genre de bêtises. Ce qui était sur c’était qu’en ce moment Mitsuko s’amuser comme une enfant. C’était lui qui lui faisait un tel effet ?

Mitsuko ▬ ❝ Visiblement, vous réclamez justice et c'est justement ce que moi aussi je souhaite. Il semblerait donc que nous ayons un point commun pour une fois. Vous savez pertinemment qu’Émile ne vous rendra pas ce qu'il vous doit et sa mort n'y changera rien. C'est pourquoi je propose que vous hum...m'engagiez pour vous rendre justice dans ce genre de situations. ❞

L’engager pour lui rendre justice ? C’était une blague. Il se rendait justice seul. La justice du Circus c’était lui et lui seul. Qu’est-ce qu’elle pourrait lui donner qu’il n’avait déjà ? De plus elle n’arrêter pas de le tripoté et cela devenait agacent. Qu’est-ce qu’elle avait à le toucher comme ça ?

Mitsuko ▬ ❝ Ecoutez, si vous m'engagez, je vous rendrai l'argent qu'il vous doit. Vous avez tout à y gagner puisque je ne vous demanderez pas de me payer. Vous commencez à me connaître non? ❞

C’était justement cela le problème. Il commencé à la connaitre, un peu trop peut être à son gout, mais cela ne l’empêchait pas de savoir que quelque chose ce tramer sans qu’il ne sache quoi et il détester cette idée. Etre la cible de Mitsuko ne voulait rien dire de bon, sur tout lors ce que l’on s’appelle Zéleph. Elle jouer, encore et toujours. Plissent les yeux il chercha dans son regard à comprendre, mais elle ce recula avant qu’il n’aperçoive la lumière espiègle qui illuminer ses prunelles.

Mitsuko ▬ ❝ Vous savez à quel point j'aime m'amuser. Aussi, vu qu'en ce moment je m'ennuie, je me suis dit que vous pourriez...jouer avec moi. ❞

Il se redressa. Etait-ce encore un de ses sous-entendus ?

Mitsuko ▬ ❝ Dîtes simplement oui, vous n'avez rien à perdre, tout à y gagner... ❞

Du charme, elle lui faisait du charme depuis le début. Si Zéleph savait bien une chose c’était que lors ce qu’on charme quelqu’un c’est qu’il y a quelque chose a en tiré. Qu’est ce qui l’intéresser tant dans le faire de lui rendre service ? Car elle ne demander aucune rémunération, au contraire elle était prête à lui offrir de l’argent. Le roi lâcha son otage, mais Emile nu pas le temps de profité de sa liberté, une longue lame venant bientôt ce planter dans sa chemise et le plancher. Emile avait bien crue mourir voyant le sabre passer a quelque millimètre de sa peau, allonger sur le sol il ne pouvait plu bouger, terrifier de ce couper si il le faisait. Zéleph n’avait pas baissé les yeux une seul second pour ce débarrasser de son poids mort. Il fixait Mitsuko avec un sourire aux lèvres, infimes mais bien là. A une seconde près il avait failli tuer ce pauvre Emile sans attendre, mais au dernier moment son sabre avait dévié. Il avait cherché à tester l’ancienne reine. Seul elle pouvait le savoir. Il s’approcha.

Zéleph ▬ ❝ Tout travail mérite salaire. ❞

Il s’avança encore un peu plus jusqu’à arriver à sa hauteur, puis enfoncent ses mains dans ses poches il se pencha vers elle scrutant son visage. Il fallait qu’il sache et il trouverait, car elle ne vaincrait pas tant qu’il ne saurait pas ce qu’elle cacher. Tout ça était bien trop louche.

Zéleph ▬ ❝ Tu n’as pas besoin de travail, encore moins d’argent. Si c’est un jeu, je veux en connaitre les règles. ❞

Le réprouvé approcha son visage du sien, et sortant une main d’une de ses poches il prit le menton de la demoiselle entre ses doigts.

Zéleph ▬ ❝ Et j’ai bien peur que tu triche. ❞

Un ricanement, puis il ce recula pour s’approcher d’Emile. Lui lancent un regard de dégout. Il avait presque honte d’avoir voulu croire que cet homme pouvait se rétablir. Honte d’être parfois aussi généreusement naïf. Mitsuko était venu chercher Emile au début, pourquoi tout d’un coup c’était lui qui l’intéresser ? Tout ça avait un rapport avec la justice, mais pourquoi un tel besoin de justice chez elle ? Tant de question qui mérité des réponses.

Zéleph était un homme, tout ce qu’il y a de plus normal. A la différence qu’il n’avait jamais était très intelligent, du moins il ne s’en était jamais servi à bonne escient, préfèrent foncer dans une situation tête baisser plutôt que d’y réfléchir avant. Pourtant il était un homme d’affaire redoutable, il avait su partir de rien et ce construire une immense fortune. A présent il former une équipe avec une certaine sirène, lui qui ne possédé pas l’intelligence du relationnel avait trouvé en la rousse un moyen de ce défaire de cela. Seulement si le roi des réprouvés n’était ni bon pour la ruse, ni bon pour les relations il garder un avantage. Les affaires étaient pour lui comme un jeu d’échec, a chacun sa pièce et ses atouts pour faire tomber le roi de l’autre. A ce moment précis ce jouer une bataille qui au fond n’avait rien d’un jeu. Dans son monde c’était manger ou être manger, cela avait toujours étaient ainsi et il l’avait appris à ses dépend bien trop souvent, jusqu’au jour où il avait décidé qu’il ne serrait plu manger.

Mitsuko ▬ ❝ Moi? Tricher? Voyons comment peux-tu dire une chose pareille? ❞

Le réprouvé ne put s’empêcher de sourire, un peut malgré lui. Lui se ficher des « conventions » des règles de vie, il passer du « tu » au « vous » comme un chat saute de toit en toit. Seulement entendre pour la première fois Mitsuko le tutoyé avait quelque chose de surprenant. Cela sonné comme une victoire. Du plu loin qu’il ce souvienne, il l’avait tutoyé lors de leur première rencontre, quel soit reine ou pas n’y avait rien changé. Elle par contre avait toujours gardé cette « barrière » entre eux, comme une limite pour lui montrer qu’il ne l’atteignait pas. Est-ce que cela avait changé ?

Mitsuko ▬ ❝ Tu as raison, je ne t'avoue pas tout, mais es-tu prêt à entendre la vérité? Es-tu prêt à l'accepter? ❞

Mitsuko c’était rapprocher et apparemment elle commencé à avoir une relation très intime avec le col de ses vêtements car elle ne pouvait plu s’en passer. Son parfum vin l’enivré alors qu’elle s’approcher, encore, trop près.

Mitsuko ▬ ❝ J'ai besoin de toi Zéleph... ❞

Il eut un instant, un infime instant ou son corps frissonna. Cette intimité, cette voix, ce parfum, ce toucher… cette phrase. Le roi se mit à rire alors qu’elle reculait. L’ambigüité de la situation aurait presque pu le faire faiblir à de basse penser, mais quelque chose clocher dans cette scène. Elle avait beau être une femme, tout ce qu’il y a de plus désirable, elle rester Mitsuko. Cette situation était tout simplement irréelle. De plus lors ce qu’elle disait avoir besoin de lui cela sonnet tellement faut à son oreille qu’il ne pouvait le prendre que pour une farce.

Mitsuko ▬ ❝ De toute façon, je ne repartirai pas d'ici sans ce que je veux, Emile ou toi. Et à choisir, je préfère que ce soit toi, je suis une femme après tout, j'apprécie la beauté, l'intelligence, le pouvoir... ❞

Décidément il n’avait pas perdu sa soirée. Etait-ce des compliments ? Enfin il était vrais que vue la situation, comparait a Emile il avait tout et lui rien, donc Zéleph ne sut trop si c’était sincère ou juste la situation qui la laisser dire cela. Si il avait bien apprit une chose aux cours de ces dernières années c’était de ne jamais se laisser prendre à ce genre de petite combine.

Mitsuko ▬ ❝ Le jeu a changé pour moi à présent et il n'y a plus de règle. Je ne dépend pas de besoins primaires comme toi et la mort n'a plus d'emprise sur moi. En réalité, il n'y a qu'une règle: faire respecter ce que je représente : la justice, ma justice. J'ai besoin de toi pour ça. Ta soif de justice nourrira ma force, voici mon seul salaire. Et, en échange, justice te sera toujours rendu, peu importe le moyen employé. ❞

Alors elle ne se moquer pas de lui ? Elle avait réellement besoin de lui. Un sourire vin doucement ce loger aux coins de ses lèvres. Zéleph ne le voyait pas comme un échange, c’était plutôt une dépendance. Si elle avait tant besoin de justices pour puiser sa force, elle avait tiré le gros lot, il passer sa vie à rendre justice, sa propre justice soit, mais de la justice quand même. Le fondement du Circus Brothel se résumer presque à cela. Quelque chose cloché pourtant toujours. Elle disait ne plut craindre la mort, comment était-ce possible ? Le secret de l’immortalité n’avait encore jamais était trouver. Il ne savait même pas si il avait était prouvé. Elle représentait la justice, c’était sa force, mais le roi ne comprenait pas. Il était perdu.

Mitsuko ▬ ❝ Je sais que tu as toujours voulu me tuer, alors je te donne ta chance à présent. Essaye de le faire, de tous les moyens possibles et inimaginables. Abats tes cartes, essayes de gagner contre moi, mais je te préviens, mon jeu n'est constitué que d'as... ❞

Baissant les yeux pour les garder plongé dans son regard alors qu’elle s’approcher encore, il resta de marbre ne voulant pas montré qu’il avait perdu le fil. Elle jouer, bluff ou vérité ? Zéleph ne savait plu quoi penser. Pour cette fois Mitsuko était en train de le vaincre et il n’aimait pas se sentir si affaiblit. Sur tout face à une femme. Sur tout face à Mitsuko.

Mitsuko ▬ ❝ Lorsque je suis entrée dans la pièce, ne t'es tu donc pas posé la question de savoir à quelle race je faisais partie à présent? Quel était mon rang? ❞

L’irritation des débuts refit surface. Il se sentait en danger, elle avait le pouvoir sur cette situation et lui faisait sentir. C’était vrais, il ne c’était pas poser a un seul moment la question de savoir ce qu’elle était devenu. Il avait su qu’elle était passée de reine des vampires, à reine des ombres, mais à présent ce n’était plu vrais. Elle n’était plu souveraine. Il fallait qu’il ce reprenne, il détester l’ascendant qu’elle était en train de prendre sur lui.

Zéleph ▬ ❝ Cela suffit ❞

La colère, son principal défaut. Il y cédé bien trop facilement, mais c’était également ça principal arme. Il se redressa, surplombant la pièce de sa stature il ne quitta pas des yeux celle qui, à présent, l’agacer vraiment.

Zéleph ▬ ❝ Tu te trompes sur un point, jamais je ne te toucherais. M’attaquer à une femme, je suis peut être un monstre mais je ne suis pas cruel. ❞

Faible être qu’était la féminité à ses yeux. Sa mère l’avait trop bien élever pour lui faire croire qu’il avait le droit de tuer une femme sous prétexte qu’elle disait ne pas pouvoir mourir. Vestige d’une éducation, d’une femme qui en avait trop fait pour lui pour cas plus d’un siècle d’existence il ose lui désobéir.

Zéleph ▬ ❝ Je penser également que tu commencer à me connaitre, avait-je tort ? Je me fiche de ta race, de ton rang ou même de ta couleur de cheveux naturel. Tu n’es pas assez folle pour te mettre en danger inutilement, c’est donc que tu ne ment pas. ❞

En effet il aurait était à son désavantage de lui mentir, pour peu qu’elle pense vraiment qu’il était prêt à la tuer. S’approchant d’Emile il reprit sa lame et la rangea, mais ne libéra pas pour autant le nain. Il l’attrapa au col et le tendit à Mitsuko.

Zéleph ▬ ❝ Prouve-moi que tu es sincère. Rend moi justice. ❞

Il sourit. Une chose était sacret pour Zéleph. Les paroles ne valait pas un sous, alors que les actes, eux, prouvé la vérité. Il croyait dur comme fer en cette religion qui était la sienne. Émile sentit la mort plus proche que jamais. C’était comme si le réprouvé l’offrait en sacrifice a Mitsuko et il n’apprécier pas tant que ça de prendre la place du cochon. Zéleph n’en démordrait pas. Peut importer ce qu’elle faisait, il voulait voir ce dont elle était capable, ce qu’elle était prête à faire pour l’avoir dans son camp. Si elle avait besoin de lui, qu’elle lui prouve qu’il pouvait avoir confiance.

Les yeux de Zéleph suivirent le corps d’Emile lors ce qu’il ce cogna la tête et tomba à terre. Il c’était attendu à autre chose que cela, mais soit, ce n’était pas plu mal. A présent il n’ennuierait plu personne. C’était malgré tout un peu décevant. Le réprouvé aurait bien voulu voir de quoi était capable Mitsuko, autre que cette violence qui étrangement ne lui aller pas beaucoup. Tout cela pour lui faire la morale sur ses convictions. Si elle croyait qu’il ne savait pas ce dont les femmes étaient capable. Avec tout ce qu’il avait subi et toute celles qu’il côtoyait jour après jour. De toute façon il se ficher de ce qu’elle avait à dire, il n’attendait qu’une chose qu’elle soit honnête avec lui et qu’elle arrête de tourné autour du pot. Ce qui ne tarda pas tant que cela. Il ne bougea pas alors qu’elle n’arrêter pas de lui tourner autour. Qu’est-ce qu’elle pouvait avoir la bougeotte aussi… Lors ce qu’il la sentit derrière lui il tourna à peine la tête vers elle pour lui donner toute son attention.

Mitsuko ▬ ❝ Je suis une déesse Zéleph, un être qui peut devenir ce qu'il veut, qui peut faire ce qu'il souhaite, qui n'a aucune limite... ❞

Le réprouvé ne réalisa pas au début. Il se retourna simplement sous la pression qu’elle exerça sur son épaule. Il la fixa sans qu’un seul mot ne puisse sortir de sa bouche. Une déesse ? Comment cela était possible ? Pourtant tout ce qu’elle avait dit avant. L’immortalité, que la mort ne la concerné plu. Elle ne pouvait pas mentir, c’était impossible, un mensonge aussi gros, personne n’était assez fou pour cela et surtout pas Mitsuko. Le pire dans tout cela c’était qu’elle s’en amuser, elle s’en était toujours amuser. Avec ses airs d’ange et sa douceur excessive, on lui aurait donné le bon Dieu sans confession. Enfin, apparemment maintenant elle n’en avait plu besoin puise qu’elle faisait partie du club. Il avait pourtant beaucoup de mal à le croire. Mitsuko, une déesse. L’information avait du mal à être avaler et pourtant lors ce qu’elle encadra son visage de ses longue mains de dentelière il ne pu penser le contraire.

Mitsuko ▬ ❝ Aucune limite si ce n'est que la puissance de chaque Aether est relative au nombre de ses fidèles. Et pour le moment, je ne suis pas assez forte pour pouvoir tuer Emile si c'est cela que tu me demandes, sauf si tu me prête ceci... ❞

Il ne lui demander rien, juste de comprendre et savoir la vérité. Au final la vérité était éclairé, mais rester tellement improbable aux yeux du réprouvé qu’il ne sut toujours quoi lui dire. Il était déjà déstabiliser par une telle nouvelle, alors la sensation de la main de Mitsuko sur son torse lui fit échapper un frisson. Il était déconnecter, et c’était bien là son malheur.

Mitsuko ▬ ❝ Je ferai tout ce que tu veux pour te rendre justice, je possède beaucoup de moyens, des moyens que tu ne soupçonnes même pas. Mais avant, promets de te lier à moi... ❞

Les yeux dans les yeux, si près l’un de l’autre. Elle gagner du terrain et ce fut cela qui l’insupporta le plus. Hors de question qu’elle prenne de l’ascendant sur lui. C’était elle qui avait besoin de lui, pas l’inverse. De son regard sombre Zéleph posa sa main sur la sienne pour lui faire lâcher son sabre.

Zéleph ▬ ❝ Je n’ai qu’une parole. Une fois lié je ne renoncerais jamais. ❞

C’était bien cela son problème. Une fois qu’il avait donné sa parole il ne revenait jamais dessus même si cela devait lui couté la vie. L’idée d’être lié à elle était étrange pour le réprouvé. Cela voudrait dire qu’il la verrait bien plu souvent, qu’il devrait la supporté, et c’était cela qui le laissa douté quelques secondes. Etre lié à Mitsuko ça ne serait pas de tout repos, mais soit. Si il avait bien comprit cela ne pourrait que l’arranger et la penser qu’elle est besoin de lui était des plus grisante, il ne pouvait que l’avouer. Il n’avait toujours pas lâché sa main, la tirant avec douceur vers lui et eu un sourire.

Zéleph ▬ ❝ Seulement pour ça, il faut que j’ai confiance. ❞

Il donna un léger coup de tête vers Emile, continuant, la voix basse gardant cette étrange intimité qui c’était installer entre eux, sans réellement en être une.

Zéleph ▬ ❝ Laisse le vivre, rien ne serait pire comme torture que de vivre ici. ❞

Cette maison santé le rat mort et était ronger par toute sorte de bête, de plus il était dans l’un des bois les mains recommandable de ces terres, alors à côté de cette vie la mort n’était qu’un doux repos.

Zéleph ▬ ❝ Rend moi ce qu’il ma prit. ❞

Jouant avec le feu il approcha son visage du sien, tirant un peu plus sur sa main pour faire ce frôler leur corps. Dans un demi-sourire, leurs visages si proches qu’il pouvait sentir son souffle sur sa peau, il laissa échapper un murmure.

Zéleph ▬ ❝ Et, je serais tout à toi. ❞

Puis il ce recula, la lâchant il croisa les bras sur son torse et leva les sourcils dans un « hum ? » qui voulait explicitement dire qu’il attendait qu’elle se décide. Il ne ferait plu rien tant qu’elle n’aurait pas prouvé qu’elle pouvait effectivement faire ce qu’elle disait pouvoir faire. Ce petit jeu l’amuser bien pour finir. Ces sous-entendus, ces gestes. C’était comme jouer avec le feu en sachant pertinemment qu’on ne pouvait pas se bruler.

HJ: je suis désoler, je suis pas satisfaite mais j'ai pas le courage de recommencer u.u

Un sourire, c’est tout ce qu’il eut à offrir et pourtant c’était une envie de rire qui le traversa. Avait-il bien entendu ? Mitsuko l’invité chez lui et si elle ne l’avait pas proposé sur ce ton il n’aurait peut-être pas eu besoin de s’empêcher de rire. Pas que cette nouvelle façon qu’elle avait de communiquer avec lui n’était pas par fois troublante, mais quand on regarder en arrière et que l’on voyait comment ils c’était quitter, quels relations ils avaient, il ne pouvait s’empêcher de ressentir cette amusement. De plus tout chez elle montrés qu’elle jouer plus avec le feu que lui. Ses sourires, ses regards, ses mains qu’elle laisser trainer. Lui était un homme, et même si c’était elle, Mitsuko rester une femme des plus désirable qui plus est. S’il se souvenait bien, c’était à cause de cela qu’il l’avait détesté la première fois, par ce qu’elle avait usé de son charme pour se jouer de lui. A présent tout était diffèrent, non ? Avant qu’il ne réagisse vraiment, la déesse lui avait déjà attrapé la main pour l’entrainer dehors. Il prit une grande bouffer d’air une fois dans la nuit, la fraicheur faisait du bien après l’odeur nauséabonde qu’il avait du subir. Lors ce que son regard se posa sur le chat ailé Zéleph eu comme une impression de déjà-vu. L’histoire ce répéter étrangement.

Mitsuko ▬ ❝ N'oublie pas de t'accrocher à moi si tu ne veux pas tomber... ❞

Quel humour décapant. Zéleph la regarda monté moqueur. Cette fois cela ne le dérangerait pas le moins du monde de s’accrocher à elle. Après tout il pouvait bien profiter de certaine situation lui aussi. Comme elle avait profité de certaines situations autre fois …

Mitsuko ▬ ❝ Ne t'inquiètes pas, je ne poserai pas mes lèvres sur les tiennes cette fois, à moins que cela ne serve à te rendre justice. ❞

C’était à médité comme idée. Une justice qui la forcerait à l’embrasser, elle ne pourrait pas ce plaindre, c’était elle qui venait de planter la graine dans son esprit. Elle ne pourrait s’en prendre cas elle-même si un jour cela devait ce réalisé. Lors ce qu’un tel jour arriverait, le quel pourrait bien s’en sortir gagnant ? Zéleph ne perdit pas son temps. Le visage de Mitsuko était illuminé d’un sourire et le réprouvé ce demander ce qui pouvait bien la rendre si heureuse. Il soupira.

Zéleph ▬ ❝ Puis-ce que je suis condamné. ❞

Montant sur le chat géant, le réprouvé posa ses mains sur la fine taille de la jeune femme, en profitant pour ce collé plus qu’il n’aurait dû à son dos. Elle ne pouvait rien lui dire, c’était sa proposition et il ne faisait qu’obéir. De nouveau-il eut la sensation d’avoir déjà vécue cette scène. Le vent fouettant son visage, une sensation qu’il aimer particulièrement pour lui rappeler son enfance, et ce parfum, les cheveux de Mitsuko chatouillant son visage. Oui, il avait déjà vécue ce moment, mais à cette époque il n’aurait jamais eu le cran de ce redresser et ce coller un peu plus à elle pour ce débarrasser de ce chatouillement assez irritant au bout du compte. Ce voyage était très intime, mais Zéleph fin de ne pas le remarquer, ferment les yeux et respirant a plein poumon l’air des hauteurs.
Ils finirent par arriver dans le jardin du manoir de madame. Ce détachant d’elle il descendit, posant son regard un peu partout. C’était donc ici là où Mitsuko vivait ? Zéleph la suivit en silence, ce demandant bien ce que cette « visite » aller lui réserver. Il entra dans la pièce qu’elle finit par ouvrir et lors ce qu’il fut à l’intérieur il eut l’impression d’entré dans le coffre du Circus. Si il voulait doubler son capital il savait a qui s’en prendre, malheureusement i n’était pas assez fou pour tuer tous ses membres d’un seul coup.

Mitsuko ▬ ❝ Sers toi, tu peux prendre tout ce qui se trouve dans cette pièce mais ne prends que ce qu'il te doit. ❞

Les moments comme ceux-là était si rare d’en une vie qu’il valait mieux prendre le temps de s’en délecté. Le roi s’approcha d’une étagère où plusieurs joyaux étaient installés. Comme un présentoir de collectionneur, elles étaient toutes parfaitement bien ranger. Zéleph avait un œil expert pour ce genre de chose. Il avait passé dès année à courir après la fortune, des années bien utiles à présent.

Mitsuko ▬ ❝ Une fois que tu auras fini, tu partiras. ❞

Le réprouvé ce tourna vers la déesse. Il avait déjà entendu cette phrase et la situation ne correspondait pas du tout. Le plus souvent c’était lui qui disait cela, mais soit. Il prit le trio d’émeraude qui était sur l’étagère. Cela suffirait a remboursé ce que lui devait Emile. Les glissant dans l’une de ses poches il se dirigea vers la maitresse de maison.

Zéleph ▬ ❝ Il ne faut donc rien de plus pour nous lier ? C’est un peu décevant. ❞

C’était vrais, elle aurait pu profiter de lui, lui faire faire il ne savait quoi et pourtant rien. Il regretter presque qu’elle ne lui est pas jouer de mauvais tour comme la première fois, mais il supposa qu’elle ne manquerait pas un seul moment pour cela une prochaine fois. Zéleph ce recula doucement vers la sortie.

Zéleph ▬ ❝ A bientôt, déesse. ❞

Il y avait une pointe de moquerie dans sa voix, mais il ne s’attarda pas, ouvrant la porte il disparut derrière. Il était temps de rentré au Circus et de dormir, il en avait bien besoin…