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Edgard Nilsson ~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 20 ◈ YinYanisé(e) le : 18/09/2024 | Mer 18 Sep 2024, 12:54 | |
| Edgard Nilsson Jour de larmes que ce jour où, de la poussière, ressuscitera le pêcheur pour son jugement IDNom : Nilsson Prénom : Edgard Surnom : Ed ; Eddy Sexe : Masculin Taille : 179 cm Âge apparent : La cinquantaine abîmée Ère de naissance : La Renaissance du Dieu-Roi | Troisième partie Race : Ombre Race officielle : Magicien Spécialités : - Agilité : 6 - Force : 5 - Charisme : 1 - Intelligence : 6 - Magie : 7 Métier : X Activité : S'apitoyer sur son sort, jurer sur Ezechyel, hanter sa maison Particularité : Pupille de la reine Edwina Nilsson, il a grandit au palais royal à Caelum †††††††††††††† HRPLe thème de votre personnage : Quand je vois mon âme | Nuit IncoloreLa mort : Ha ha, funny Votre fréquence de rp : plutôt régulière Le code du règlement : Tartelette au citron (mais c'est mieux quand c'est une tarte) crédit bannière : Tate S Pouvoirs & Armes Pouvoirs de base : - L'Esprit d'Ezechyel - L'Illusion d'Edel - La Mortelle Clairvoyance - Création du feu bleu - Que s'arrête le Temps | Edgard est capable, pour une durée déterminée par sa magie et celle des autres, de figer le temps autour de lui.Armes : - A quoi bon, quand on est impalpable Gains Gains de niveauxNiveau II : X Pouvoirs : - X Armes : - X Artefacts : - X Formes de magie- La Magie du Souffle - La Magie des Morts Patrimoine et réputation- X Roleplay Tu n'avais jamais été aussi paisible. En paix avec toi-même. Même Lionel te l'avait fait remarquer. « Tu sembles aller mieux. Ça fait plaisir de voir ça, ça faisait longtemps qu'on ne t'avait pas vu comme ça. » t'avait-il dit autour d'un café. Tu aimais le café de Lionel. Il le faisait venir de l'un des meilleurs torréfacteurs en vie que ce monde connaissait. À la fois fort en arôme et puissant en bouche. « Merci Lionel, Flora. Pour tout. ». Tu étais parti de chez eux en leur offrant une accolade. Ils en furent étonnés, de même qu'ils le furent par tes derniers mots. Mais ils prirent cela pour une bonne chose, la preuve que tu te remettais de ta dépression. Ils ne le relevèrent donc pas. Autrefois tu avais été un homme désirable. La mâchoire carrée, une carrure à l'image du sportif que tu étais, des iris comme l'acier, un sourire franc dont les rides aux coins de tes yeux montraient qu'ils avaient été nombreux. Mais cela faisait longtemps que tu n'avais pas souri maintenant. Cela faisait longtemps que tu avais cessé la pratique du sport. Cela faisait longtemps que tu ne prenais plus soin de toi. Ton corps émacié et tes prunelles ternes ne renvoyaient plus que l'image d'un homme usé mentalement et ayant perdu goût à la vie. Tu n'étais plus que l'ombre de ce que tu avais été. Pourtant, pour la première fois depuis longtemps, tu traversais les rues le dos droit et le visage serein. Le Soleil allait se coucher. Tu rejoins les côtes pour profiter de ses dernières lueurs chaleureuses, et du spectacle hypnotisant de l'Astre tombant dans les flots. Ce n'était pas n'importe quelle côte. Non loin, une femme faisait danser ses doigts sur les touches du piano magique, agitant de façon gracieuse les flammes à la surface de la mer. C'était une douce mélodie, mélancolique et nostalgique. Le souffle marin faisait valser ses longs cheveux blonds et détachés dans les airs. Un oiseau n'aurait pas eu autant de grâce. Tu eus envie de pleurer. Tu venais régulièrement ici par le passé. Avec Maria. C'était elle qui jouait du piano. Elle était une véritable maestro, et sa présence dans l'orchestre symphonique de Caelum était une preuve qu'il ne s'agissait pas d'un point de vue purement subjectif. Tu la revis, là, un sourire sur les lèvres et un chapeau dissimulant ses premiers cheveux blancs. La Lune était haute dans le ciel quand tu revins chez toi. En douceur, tu fermes la porte derrière toi, mais ne la verrouilles pas. Tu avances jusqu'au salon. Tu n'allumes cependant aucun des bougeoirs devant lesquels tu passais. Puis, tu débouches une carafe en cristal de haute facture, et te sers un verre du bourbon qu'elle contenait. Un grand cru que tu ne servais qu'aux initiés et ne sortais que pour les grandes occasions. Tu rejoins un large et confortable fauteuil en cuir clair. T'y installes. Tu trempes les lèvres dans ton verre. La liqueur fit son chemin entre tes papilles, puis s'écoula comme un remède dans ta gorge. Le Temps s'écoulait lentement. Comme pour te laisser le temps de profiter de cette soirée. Habituellement, la nuit te semblait triste à mourir. Là, ce n'était pas le cas. Tu exhales un souffle court, satisfait, puis tournes le visage sur un vitrail ornant l'une des fenêtres. Il illuminait la pièce d'une myriade de couleurs pâles. Tu les avais oubliés, à force de ne plus t'en soucier. Tu poses le verre encore plein sur la petite table de chevet, à proximité. À côté, une enveloppe. Le sceau officiel d'un notaire la scellait. Elle était à l'attention de tes frères et sœurs ayant grandi avec toi, au palais. Tu avais longtemps gardé le contact avec eux. Tu avais ensuite arrêté. Dessus, tu y déposes un petit médaillon. Y était renfermé un portrait de famille. Ta femme. Ton fils. Ta belle-fille. Tes petits-enfants. Toujours dans l'obscurité, tu rejoins les escaliers. Tu en effleures la rambarde, récemment cirée, du bout des doigts. Faite par un artisan de talent, ouvragée par un ébéniste de renom, taillée dans un bois exotique en provenance des terres sauvages de l'est du Continent Naturel. Chaque marche était une délivrance. Tu ne fus jamais aussi bien qu'en arrivant à l'étage. En fait, si. Entre les bras de Maria. Rien n'égalait ses mains sur ton visage. Ses grands yeux bleus, brillant d'un éternel éclat émerveillé. Ses longs cheveux bouclés, d'une douceur sans précédent. Tu souris. Tu te souviens de ses râles agacés lorsqu'elle essayait de les coiffer. « Tu es parfaite. » lui disais-tu alors. « Non, tu m'aimes. » rétorquait-elle en riant. Alors tu l'embrassais. Et elle te répondait. Surgissait alors ton fils qui vous prenait en flagrant délit. Tu riais, de même que sa mère, lorsqu'il exprimait son dégout. Plus tard, ce dégout s'était transformé en admiration. « Moi aussi je veux vivre un amour comme le vôtre. » disait-il. « Ça viendra. » le rassurait Maria. Elle avait eu raison. Elle avait toujours eu raison lorsqu'il s'agissait de sa famille, même pour les pires choses. Tu attrapes la montre à gousset, glissée dans ton veston. Tu en tires le mécanisme. Le Temps se fige pour de bon. Tu ranges ta montre. D'un geste assuré, tu récupères la corde à tes pieds, déjà fermement attachée au garde-corps. De même, tu passes le nœud coulissant, à l'autre bout du solide cordage, à ton cou. Tu étais heureux. Cela faisait une éternité que tu ne l'avais pas été. Ton Malheur prenait enfin fin. Tu avais lutté. Longtemps. Tu avais échoué. Tu avais hésité. Longtemps. Mais tu avais enfin trouvé le courage de mettre fin à ce Cauchemars. Pour la dernière fois, tu souris, de ce sourire que plus personne ne t'avait vu faire. Enfin, tu te laisses tomber. Un crac retentit dans la maison silencieuse. Tu lèves la tête. Et pleure.
Dernière édition par Edgard Nilsson le Jeu 19 Sep 2024, 23:08, édité 4 fois |
| | | Edgard Nilsson ~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 20 ◈ YinYanisé(e) le : 18/09/2024 | Mer 18 Sep 2024, 12:55 | |
| Creidylat
Que racontent donc ces végétaux en leur majesté ombrageante ?
Prénom : Creidylat Sexe : Asexué Ère de naissance : Les Prophéties Race : Lesovik Métier : / Niveau : I [Niveau I à 0 point de RP] Le thème de votre personnage : Forest Sanctum - Adrian Von Ziegler Crédit bannière : HatschYuh Armes : - La Nature Spécialités : - Agilité : 5 - Force : 4 - Charisme : 1 - Intelligence : 6 - Magie : 9 Pouvoirs de base : - L'Éveil de la nature - La Crypte enchantée - La Vague verte - Télépathie - Symbiose | Creidylat est capable, avec ce pouvoir, d'entrer en symbiose avec la faune et la flore. À l'inverse de l'Éveil de la nature, iel ne prend pas le contrôle de son hôte, néanmoins, iel peut l'aider à subvenir à ses besoins ou à la soigner en sacrifiant de sa magie et de sa force pour lui. En échange de quoi iel assimile les connaissances de son hôte, qu'il s'agisse d'événements auxquels il a participé ou d'échanges auxquels il a assisté.~ Gains de niveauxNiveau II : N/A Niveau III : N/A Niveau IV : N/A Niveau V : N/A ~ Pouvoirs- N/A ~ Armes- N/A ~ Artefacts - N/A ~ Formes de magie- Magie D’Argent - Magie Primitive ~ Doubles nationalités- N/A ~ Patrimoine et réputation- N/A ~ Autres- N/A Particularité : X Histoire : Un craquement se fit entendre, celui du bois qui se pliait, des branches qui se percutaient entre elles. Embla observait la pousse qui sortait de terre. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas donné naissance à un autre Lesovik. Mais il le sentait. Cette fois, de cette petite faine qu'il avait perdue il y a un mois de ça, naîtrait un nouvel Enfant de Meli. Il fixa les cotylédons de longues heures durant. Un Nain, qui passait à proximité, observa le Lesovik avec curiosité. C'était toujours impressionnant pour eux de croiser cet esprit protecteur. Personne ne l'avait jamais vu ainsi cependant. Le Lesovik usa de sa magie pour mettre à l'abri le fœtus. Ils n'étaient jamais aussi fragiles qu'en sortant tout juste de terre. La plantule n'était pas encore assez développée pour pouvoir prendre vie et les humanoïdes avaient la fâcheuse tendance à ne pas prendre garde aux petites choses à leurs pieds. Même les Nains, qu'Embla avait accepté d'aider dans leur malheur et encore aujourd'hui, piétinaient parfois de jeunes pousses tout juste éveillées. Alors, une fois certain que l'embryon était protégé, il s'en alla. Il lui faudrait encore plusieurs mois, peut-être même plusieurs années avant de s'animer. En attendant, Embla veillerait sur lui. La petite pré-feuille grandit ainsi, à l'abri du danger, dissimulée par la magie de la Vague verte. Un jour, ses petites ramilles s'agitèrent enfin, comme s'étirant après un long sommeil. Embla le sentit, et sauta d'arbre en arbre pour rejoindre le nouveau-né. Alors il quitta son réceptacle. Ils se comptaient sur les doigts d'une main ceux qui avaient eu l'occasion de croiser le Lesovik sous cette apparence de Faun qu'il arborait lorsqu'il était son propre hôte. L'arbrisseau s'agita un peu plus, tremblant de tout son phloème face à cette entité inconnue. Il ne s'enfuit cependant pas, et ce malgré la main velue qui s'approchait de lui. Dans la langue de leur race, Embla l'accueillit, l'apaisa, puis le baptisa. « Creidylat. » prononça-t-il d'une voix caverneuse. Lea nouvelle.au-né.e se répéta mentalement ces trois syllabes, à défaut de pouvoir les vocaliser. « Où sommes-nous ? » s'interrogea-t-iel ensuite. Ces mots trouvèrent néanmoins leur chemin dans l'esprit de son géniteur. Ce qui aurait pu être une réponse brève, révélant simplement le nom du lieu, fut en vérité un véritable exposé. « Dans la Forêt aux mille clochettes, au pied des montagnes de l'Edelweiss enneigé. La forêt revendiquée par la race des Déchus où se cache le peuple Nain. Où les feuillus sont rois et dont la faune est amicale. ». Et il continua ainsi, plusieurs minutes durant, immobile, à l'image de l'arbre qu'il incarnait majoritairement. Il parlait d'une voix lente, grave, âgée. « Tu es né ici, toi aussi ? » lae relança l'enfant, croyant que son aîné pouvait lire en ellui. « Il y a longtemps, bien longtemps. À une époque où la forêt était encore sauvage. À une époque où les Anges noirs n'étaient qu'un peuple de parias et où ils étaient tués pour leur différence. À une époque où les Petits hommes vivaient encore parmi le reste du monde et commerçaient avec lui. » - « Toutes les forêts sont comme celle-ci ? » - « Toutes ? Non. Un village peuplé d'irréductibles gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Mais toutes ont un jour été sauvages avant de voir leurs richesses se faire accaparer par les hommes. ». Lae jeune Creidylat était bien heureux.se d'être en compagnie d'Embla. Il semblait si intelligent et si sage. Iel était cependant incapable de dire si son aîné était critique ou non envers ces créatures qu'il appelait tantôt homme, tantôt Nain, tantôt Déchu. « Tu n'aimes pas les hommes ? » - « Les hommes sont compliqués. » répondit lentement le Lesovik. « Certains sont plus respectables que d'autres. » - « Les Nains et les Déchus. ». Si l'Enfant de Meli avait commenté avec certitude, pensant commencer à comprendre le fonctionnement des choses de ce monde, Embla lui donna immédiatement tort. « Le Petit Peuple, oui. Ils sont comme nous. Ils se fondent avec la Nature. Vivent par elle. Vivent avec elle. Comme les Hommes-bêtes et les peuples aux oreilles pointues. Comme les Muses et les Fæs. Tous, nous sommes en harmonie avec elle. » - « Pas les Déchus ? » - « Les Anges noirs arrangent la Nature à leur besoin. Ils la modifient selon leurs désirs. Les considérations des arbres et des fleurs, des insectes et des oiseaux, des champignons et des mulots, ne sont que secondaires. Mais ils ne sont pas violents et savent cohabiter. » - « Certains le sont, violents ? ». Le Lesovik se redressa. Son attitude se fit dangereuse et menaçante. Alors il répondit, d'un ton si féroce que les feuilles de Creidylat se refermèrent sur elles-mêmes. « Oui. » - « Qui sont-ils ? » osa tout de même demander lea novice. « Tu le découvriras rapidement, mon petit, malheureusement. ». L'enfant se tut, angoissé.e. Constatant le mutisme de sa progéniture, Embla rejoignit l'Âme d'un arbre et s'en alla. Lae jeune Lesovik avait pourtant encore beaucoup de questions sur ce monde qui lui semblait, à chaque réponse qu'iel avait obtenu, plus compliqué. Iel devra se contenter de cela, pour le moment.
Dernière édition par Edgard Nilsson le Jeu 19 Sep 2024, 23:07, édité 1 fois |
| | | Invité Invité | | | | Fawëlysa En Auraushnee ~ Alfar ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 73 ◈ YinYanisé(e) le : 19/02/2023 ◈ Âme(s) Soeur(s) : Quelqu'un de très stylé et très puissant ◈ Activité : Lycéenne | Jeu 19 Sep 2024, 11:00 | |
| J'ai adorééé ton histoire ! J'adore les ombres, j'ai hâte de le voir joué ! Rebienvenue |
| | | Edgard Nilsson ~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 20 ◈ YinYanisé(e) le : 18/09/2024 | | | | Jun Taiji ~ Orine ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 5548 ◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2012 | Mar 01 Oct 2024, 12:03 | |
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Rebienvenue ! C'est pas moi qui rédige l'administration de la fiche mais : - Citation :
- Armes :
- A quoi bon, quand on est impalpable - Citation :
- La mort : Ha ha, funny
- Citation :
- « Tu es parfaite. » lui disais-tu alors. « Non, tu m'aimes. » rétorquait-elle en riant.
Je dirai ça à Jil la prochaine fois
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| | | Priam & Freyja ~ Ange ~ Niveau III ~
◈ Parchemins usagés : 4323 ◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018 ◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes ◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I] | Mar 01 Oct 2024, 12:22 | |
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Coucou ! J'aime trop le dernier pouvoir au choix que tu as choisi, il est hyper chouette (et pareil pour celui du Lesovik ! Trop cool !) - Citation :
- Edwina Nillson
Il y a un seul L mais deux S - Citation :
- Tu n'étais plus que l'ombre de ce que tu avais été.
J'aime cet humour /sbaf - Citation :
- Tu en effleures la rambarde, récemment cirée, tu bout des doigts
Tu as une petite coquille là du pas tu - Citation :
- Surgissait alors ton fils qui vous prenez en flagrant délit.
Là aussi ! prenait pas prenez - Citation :
- Elle avait toujours eu raison lorsqu'il s'agissait de sa famille, même pour les pires choses. Tu attrapes la montre à gousset, glissée dans ton veston. Tu en tires le mécanisme. Le Temps se figea pour de bon. Tu ranges ta montre.
Petite erreur de temps ici ? (Et il n'y a pas de s à cauchemar ) J'ai adoré le rp de présentation d'Edgar ! C'est trop bien raconté. Maintenant je veux savoir ce qui est arrivé à sa famille - Citation :
- Cette fois, de cette petite faine qu'il avait perdue il y a un mois de ça, naîtrait un nouvel Enfant de Meli. il fixa les cotylédons de longues heures durant.
T'as oublié une petite majuscuuuuule ! - Citation :
- Embla le senti
Sentit ! - Citation :
- « Toutes ? Non.
Un village peuplé d'irréductibles gaulois résiste encore et toujours à l'envahisseur. Mais toutes ont un jour été sauvages avant de voir leurs richesses se faire accaparer par les hommes. » C'est pour m'achever ? - Citation :
- « Le Petit Peuple, oui. Ils sont comme nous. Ils se fondent avec la Nature. Vivent par elle. Vivent avec elle. Comme les Hommes-bêtes et les peuples aux oreilles pointues. Comme les Muses et les Fæs. Tous, sommes en harmonie avec elle. »
"Tous sont" ou "Tous, nous sommes" ? - Citation :
- ne sont que secondaire
Le petit pluriel ! <3 - Citation :
- Iel devra se contenter de cela, pour le moment.
Je pense que c'est "devrait" plutôt que "devra" ? J'ai appris plein de mots sur les plantes grâce à ton Lesovik ! Merci XD Il est trop mimi en plus A part les petites fautes d'étourderie (je te laisse les corriger si tu le souhaites, sinon c'est pas un drame), tout est bon pour nous ! Dis-moi et je repasserai valider
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| | | Edgard Nilsson ~ Ombre ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 20 ◈ YinYanisé(e) le : 18/09/2024 | | | | Priam & Freyja ~ Ange ~ Niveau III ~
◈ Parchemins usagés : 4323 ◈ YinYanisé(e) le : 02/02/2018 ◈ Âme(s) Soeur(s) : La bière et le saucisson | L'adrénaline et les problèmes ◈ Activité : Berger [III], traducteur [II], diplomate [I] | Soldat [III], violoncelliste [I] | Mar 01 Oct 2024, 18:59 | |
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- Edgard Nilsson a écrit:
- Hum, moi ça me semblait correct, comme on est pas sur du conditionnel
Oui ce serait correct si le texte était écrit au présent ! Mais comme il est au passé, normalement on utilise le "futur du passé" qui est en fait le conditionnel (les joies de la langue française xDD). C'est pas grave du tout ! Tu me diras si tu veux que j'édite, sinon on laisse comme ça. Parce que je te... VALIIIIIIIIIIIIIIDE Officiellement rebienvenue !
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