Déclic.

Je me promenais aux alentours de la ville avec Valar et Nerwen. Daeron lui avait préférée rester chez lui pour s’occuper de sa petite sœur qui était malade. Depuis qu’ont avaient fait l’exercice tous ensemble, on avait passée pas mal de temps tous ensemble, se rapprochant assez fortement et devenant de réels amis.
Ça me faisait du bien, ça faisait maintenant deux mois que Iraë était partie, j’avais reçu une lettre il y a peu ou elle m’expliquait qu’elle s’était rendue dans le berceau cristallin qui valait la visite visiblement. Par compte, le Braskä qui les accompagnaient ne les ménageaient pas, actuellement ils n’avaient plus dormi dans un lit depuis leur départ et ce malgré les villages ou ville proche. ‘’quand vous serez me montrer que vous savez tenir un campement ‘’ leur aurait il dit. Avec les autres, on avait l’impression que ce n’était pas près d’arriver et on espérait ne pas avoir le même, mais dans le cas contraire, on comptait bien profiter de nos vies vie remplie de confort, même si ça n’enlevait pas notre envie de voyage.

Mais aujourd’hui, je n’allais pas rester avec eux. Ça faisait quelque temps que je n’avais plus réellement passée du temps avec Laël et je lui avais promis d’aller le voir aujourd’hui. Bien sûr, les autres n’avaient pas réellement compris, après tout pour eux, c’était un cerf comme les autres, je ne leur avais jamais dis qu’il avait la capacitée de communiquer par la pensée et têtu comme il était, il ne leur avait jamais parler de vive voix. Je n’avais jamais réellement compris pourquoi et je me demandais comment il ferait si je partais avec eux et que du coup il allait certainement me suivre, vu que c’était quelque chose qu’il avait visiblement prévu.

Enfin, une fois a proximité de la forêt cependant, je remarquais qu’il était assez nerveux, enfin plutôt impatient que j’arrive et je n’arrivais pas réellement à saisir pourquoi. «Enfin, je sais que tu à l’habitude d’être en retard, mais tu pourrais quand même faire un effort des fois.» «Oula, calme toi, ça va je n’ai que cinq minutes de retard, Valar terminait de m’expliquer un truc aux niveau de l’entrainement d’hier.» «Oui ben dépêche-toi, j’ai quelque chose à te montrer.» Assez surprise, je le suivais dans la forêt, craignant qu’il ne m’emmène un peut trop loin et que je me fasse engueuler une nouvelle fois. Mais finalement, il se stoppa à proximité d’une fourrée et avec son museau il dégageait quelque branche. Je fini par y apercevoir un animal, en m’approchant c’était un loup, mais plus fin et surtout au lieu d’être de couleur grise et poilue, il était vert et comme couvert de feuille. Enfin vert… Il avait quelque tâche noire, comme si les feuilles avaient pourri. Inquiète, je le regardais un instant, si on se fiait à son cotée loup, c’était un prédateur et je ne savais pas ce que je devais faire. Alors j’envoyais Laël près de Cyriel, c’était une soigneuse animalière, il fallait qu’elle vienne ici et c’était une seule personne avec qui Laël acceptait de communiquer.
Je restais près de lui sans m’en approcher, je remarquais qu’il était tremblant et je m’en inquiétais. J’aurais aimée faire déjà quelque chose, mais quoi ?
Finalement, Cyriel arriva et je lui montrais l’animal, quand elle le vit, elle fit une moue. «Kayla, il faut que tu le prenne et que tu aille voir Eowin. Ce loup est une espèce rare, je ne connais pas exactement ses besoins et encore moins de quoi il pourrais souffrir.» «Mais, on nous à toujours dis de ne pas toucher les animaux que l’on trouvaient.» «Je sais, mais Eowin viens d’avoir une portée de chat caméléon, elle doit s’en occuper et ne sera donc pas venir jusqu’ici car la mère à eues quelque complication. Elle comprendra, même si je te préviens, elle risque d’être de mauvaise humeur. » Tout en enlevant ma veste pour envelopper l’animal dedans, j’appréhendais d’aller voir Eowin. Elle élevait certains animaux, mais on n’avait jamais pu les voir de près, la plupart du temps on les apercevaient plus qu’autre chose. Elle était quelque peu sur protectrice avec eux. Mais je n’allais pas avoir le choix.

Cyriel me raccompagna jusqu’en ville et on se sépara quand j’arrivais à proximité du domaine d’Eowin. Assez inquiète, je frappai à la porte. Peut e temps après, maugréant, je vis la jeune femme m’ouvrir la porte et avant même qu’elle ne me dise de foutre le camp d’ici, je lui montrai l’animal. «Je l’ai trouver prostrée dans une fourrée, il n’avait vraiment pas l’air bien et du coup j’ai fait venir Cyriel, mais elle m’a dit que c’était hors de ses compétences et ma diriger vers vous. Je sais que vous êtes occuper avec une porter de chat caméléon, mais il a l’air d’avoir besoin de soin d’urgence.» «Effectivement, viens le déposée par ici, au moins tu as eue assez de jugeote pour ne pas le toucher de tes mains, c’est encore un louveteau. Mais tu ne touches à rien compris.» Soulager, je rentrais à l’intérieur tout en regardant autour de moi, j’avais tellement peur de marcher sur quelque chose qui ne fallait pas. Et j’avais raison de faire attention, il y avait une multitude de petits animaux qui courait partout.
Je déposais alors l’animal et la regardais faire, un peu plus loin, il y avait une boite et dedans un chat et plusieurs chatons, mais si la mère avait une couleur plus au moins normale, quoi que le brun était fort ressemblant à celui de la boite, les chaton eux avait des couleurs un peu étrange, ce qui me fit sourire. «Comme ils vienne de naitre, il ne contrôle pas encore leur capacitée de changement de couleur, du coup pour le moment ils se colore un peu n’importe comment. Bon, il souffre d’une maladie malheureusement courante chez eux et qui ne leur laisse pas beaucoup de chance de survie…» «Vous aller y arriver n’est-ce pas ?» J’étais réellement inquiète face à  pour lui, il semblait si jeune. «Je vais faire mon possible, mais… Ses chances son faible… surtout qu’il faut le nourrir moi-même et j’ai justement la portée déjà à m’occuper et en plus il y a mes oiseaux qui ont besoin de soins constant aussi. C’est pas vraiment…» «Je peux vous aider ? D’accord je m’y connais mieux en plante qu’en animaux, mais j’apprends vite et puis si je peux me rendre utile, ne fus que pour des choses plus anodins que m’occupe d’eux mais qui vous laisserais le temps de vous en occuper. Je sais que vous n’aimée pas vraiment que des jeunes comme moi traine sur votre domaine, mais mon but est réellement de vous aider et non de vous déranger vous ou vos protéger.» Eowin me regardais un long moment, comme si elle me jugeait du regard, ce qui me m’étais mal à l’aise. «Je te préviens gamine, s’il arrive quoi que ce soit à l’un d’entre eux, tu le regrettera. Va dans l’armoire là-bas, tu trouveras de quoi lui faire un petit nid, il y a des draps, des écueils et regarde au mixte fruitier, car contrairement à son apparence lupoïde, c’est une frugivore. Je vais essayer de lui ramollir, mais je crois qu’il va falloir le biberonner… Il y a de la paille juste après la porte de derrière que tu mettras dans le fond et enfin y a un puit pour l’eau dans le jardin.»
Je me dépêchais d’aller voir les endroits ou elle m’avait dit et cherchait rapidement les choses qu’elle avait demandé. Commençant par lui donner le mixe de fruit pour qu’elle s’en occupe pendant que je faisais le nid, je lui demandais juste ou je devais le posée et elle me montrait un coin tranquille ou je posais le tout. Finalement elle revient vers moi le louveteau et un biberon dans les mains. «Assis toi dans le fauteuil la bas, tu vas lui donner le biberon moi je dois biberonner les chatons. Tu tiens bien ce dernier dans l’axe de sa gueule et essaye qu’il mange tout, même s’il risque d’avoir du mal au début.» Je m’installais alors comme elle me l’avait demander et sous ses conseils… enfin remontrance, je commençais à le nourrir. Malgré ses craintes d’avoir des difficultés, il se jeta sur la tétine et bu à longue gorgée, ce qui me fit rire. «Eh ben, tu avais faim. Mais va doucement, tu risques d’être malade à manger aussi vite.»   «s’il boit trop vite enlève lui, tu n’as pas tort sur ce point, surtout qu’il n’a plus du manger depuis longtemps. Quand il aura fini, masse le bas de son ventre, de léger cercle sans trop appuyer, mais garde bien le drap sur toi sinon tu vas être surprise.» J’hochais la tête et tout en gardant un œil sur lui, je la regardais faire avec les chatons. Et finalement je lui posais des questions sur l’animal que j’avais dans les bras.
Elle m’expliquait alors que c’était un lupus naturalis, autrement dit un loup naturel. «Il y en a plus beaucoup dans nos forêts, justement à cause de la maladie de celui que tu a trouver. Normalement, leurs feuilles changent de couleur en fonction des saisons, pour mieux se fondre dans le paysage. Mais pour une raison que je n’ai pas encore trouvée, les jeunes on depuis quelques années contractée une maladie qui empêche ce changement, du coup les feuilles pourrissent et finalement l’animal tombe malade, même si c’est assez différent compare cela à une infection du sang chez nous. Le changement ne s’est pas fait il y a longtemps, quand il se sera reposé, je vais commencer par lui enlever les feuilles atteintes et après lui enduire un onguent qui va aider les nouvelles a poussée. Ca va prendre du temps…» Quand elle eue fini sa phrase, je compris alors que e petit bout ne regagnerais sans doute jamais la forêt, il allait passer trop de temps avec elle… Le pauvre.
Une fois qu’il eu fini de manger, je le massais et compris rapidement pourquoi elle m’avait dit de garder le drap. Et finalement je le reposais dans son nid avant de me lever. «Merci de m’avoir permis de vous aider et surtout de m’avoir expliquer tout ça sur lui.» «Ce que je vais faire demain va me prendre du temps, serais tu revenir ? Je n’aime pas ça, mais ça à l’air de passée entre vous deux »  Je voyais bien qu’effectivement ca ne lui plaisait pas, mais elle devait se rendre à l’évidence. J’acceptais alors de revenir le lendemain et je partis.

Le lendemain, je l’aidais dans un premier temps à installer le louveteau qui ne pouvais pas manger tout de suite, il ne put boire qu’une mixture qui l’endormis profondément. Pendant qu’elle faisait ça, elle m’avait passée un livre pour que je m’occupe des différents nids qui se trouvait dans la pièce, comprenant qu’elle c’était sans doute occuper des enclos extérieurs pour pouvoir garder un œil sur moi malgré ce qu’elle faisait.
Je restais donc prudente dans mes gestes, préfèrent être lente, mais méticuleuse. Je passais alors la journée à nettoyer les nids, remplir les gamelles, nourrir les chatons du coup et aider la mère à manger aussi. Ce n’était pas toujours simple et j’eu droit à quelques morsure ou griffure, mais c’était normale, je n’avais pas encore l’habitude et j’étais un peu gauche pour les déplacer par moment, même si je faisais attention.
J’avais apporté à boire aussi à Eowin qui ne quittais pas le louveteau. Je la regardais faire tout en continuant à m’occuper du reste. J’avais remarqué qu’elle était plus proche des animaux que des gens, je me demandais pourquoi.
Quand elle eue fini, elle me le donna en me disant de le tenir bien au chaud le temps qu’il se réveil et qu’après je ne nourrirais. Pendant ce temps, elle fit le tour pour voir ce que j’avais fait.   «Hum, ce n’est pas trop mal… Quelques erreurs, mais d’une manière générale tu à bien suivie les consignes que j’avais noté… Au moins tu sais t’appliquer.»

Dans les jours qui suivirent, elle me demanda de revenir quelque fois, pendant ces jours-là, je pu voir ce qu’elle faisait exactement. Elle s’y connaissait vraiment dans tout ces animaux malgré qu’ils n’étaient pas courant. Je fini d’ailleurs par foncer dans une bibliothèque pour en apprendre davantage. Mais je voyais qu’elle restait assez prudente vis-à-vis de moi, comme si elle s’attendait à ce que je fasse un faux pas a un moment ou un autre. J’aurais aimée la rassurée, mais je sentais que c’était peine perdue.
Et puis le louveteau et les chatons eurent besoin de moins d’intention et elle m’annonça que je n’avais plus besoin de venir. C’est donc déçu que je quittai l’endroit, mais pas résignée pour autant.

Entêtement, négociation, apprentissage

Dans les jours qui suivirent, je passai un moment a la bibliothèque, cherchant des livres sur les animaux que j’avais pu voir chez elle. Mais je regrettais de ne plus les voir en vrai. Du coup, il n’était pas rare que je m’approche de son domaine, tout en faisant attention aux limites et je m’installais pour y lire les livres que j’avais pris, espérant apercevoir les protéger d’Eowin. Mais cette dernière était prudente et du coup elle c’était arranger pour qu’il aille un terrain ou elle stockait nourriture et matériel avant celui des animaux du coup cela nous bouchait la vue.
Mais ce n’étais pas grave, j’avais une idée derrière la tête et je comptais bien essayer de la mettre en œuvre le plus rapidement possible. Seulement, je ne m’attendais pas à ce que ce soit elle qui me tombe dessus plutôt que l’inverse.

Appuyer tranquillement sur un arbuste en train de lire sous un soleil radieux, j’étais totalement plongée dans ce que j’étais en train de lire. Ça parlait d’espèce qui avait supposément disparue, mais que certaine personne pensait qu’il y en avait encore dans certain endroit, bien cachée ou alors qu’elle avait simplement muter en autre chose pour mieux s’adapter à leur nouvel environnement. J’avais alors sursauté quand une ombre à forme humaine apparue sur les pages du livres. «Ce livre, bien que juste, est quand même assez incomplet. Dit moi qu’est-ce que tu fais à furetée autour de chez moi depuis plusieurs semaines.» Je me relevais rapidement. Semaines ? ça faisait déjà tellement longtemps ? «Je suis désolée, je ne pensais pas que rester ici vous dérangerais.» «Il est vrai que tu es resté à une distance respectable de mon domaine, néanmoins, ça ne change rien que tu traine autour de chez moi et je croyais t’avoir fait comprendre ce que je pensais de cela. » «Vous savez que je ne ferais pas de mal à vos protéger ! J’espérais juste les revoir… Et je me demandais comment allait les petits.» Je baissais légèrement la tête, honteuse de m’être un peu emportée et je murmurais un rapide désolée. Je me demandais si je devais être totalement franche déjà maintenant ou s’il valait mieux attendre. Mais au fond, autant y aller directement, car je ne savais pas quand j’aurais la chance de lui parler à nouveau. A moins de bonne raison, elle n’ouvrait pas toujours la porte aux autres. «Pour être tout à fait honnête… J’ai vraiment apprécier les jours que j’ai passé avec vous pour m’occuper de vos protéger. Non seulement j’avais l’impression de me rendre utile, mais en plus j’avais réellement soif d’apprendre et ça faisais longtemps que ça ne m’était plus arriver. J’aime apprendre, l’histoire de notre peuple, des autres et tout le reste. Mais avoir autant envie d’apprendre, sans avoir la sensation que je pourrais me lasser après quelques jours, ça faisait longtemps. Alors quand vous m’avez dit que vous n’aviez plus besoin de moi, j’ai senti comme un déchirement. Je pensais que ça allait passée, que c’était normal… Mais depuis, je ressens comme un manque, enfin je n’arrive pas réellement à l’expliquer, mais je veux que vous sachiez que vous m’avez beaucoup appris pendant ces quelques jours… Et vous avez raison, j’ai commencé à apprendre via les livres, mais ce ne sera jamais suffisant. Les animaux ne sont pas des choses fixe et les livres explique des généralités. Ce qu’il me faut c’est un mentor, quelqu’un qui acceptera de m’enseignée les rudiments de l’élevage. J’ai déjà pensé demander a Cyriel, mais elle est plus soigneuse qu’éleveuse, la finalité n’est pas la même. Vous je sais que vous les élevée dans le but d’arriver à les relâcher si cela est possible et surtout de vous assurer que certaine espèce ne disparaisse pas.» Je m’arrêtais alors quelques instant pour reprendre mon souffle, j’avais parler d’une traite pour ne pas lui laisser le temps de m’interrompre, mais visiblement ca n’étais pas nécessaire car quand j’eu fini elle ne semblait pas vouloir prendre la parole. «Je sais que vous n’aimée pas avoir quelqu’un auprès de vous, enfin auprès d’eux surtout. Mais vous avez pu voir que je les ai toujours respectées, que j’ai tout fait pour bien m’en occuper et cela malgré mes faibles connaissances. Je ne pense pas vous avoir gênée un seul instant. Alors je vous le demande, apprenez-moi. Enseignée moi à devenir éleveuse. Je suivrais les mêmes objectifs que vous, je serais assidue, le travail ne me fait pas peur. Alors s’il vous plait, donner moi une chance, rien qu’une…» Elle me regarda un instant, puis fini par tourner les talons sans m’adresse le moindre mot. Déçue, je la regardais s’éloignée, à un moment, elle se stoppa et sans même se retournée s’adressa enfin à moi. «Le louveteau et les chatons se porte bien, ils jouent même ensemble. Il est tiré d’affaire.» Et elle rentra chez elle.

Même si elle ne m’avait pas répondu, je notais aussi qu’elle ne m’avait pas dit de ne plus trainer autour de son domaine. Bon en même temps elle ne pouvait pas m’empêcher vu que je n’étais pas sur ce dernier, mais ça ne m’aurait pas étonné qu’elle essaye. Du coup, je continuais à rester là, prenant des notes au niveau des livres que je lisais, sur ce que je ne comprenais pas ou que je trouvais illogique ou alors que même moi je voyais qu’il manquait quelque chose. Ça dura encore des semaines et même si je commençais à croire que j’allais soit être partie soit dans un temple avant de pouvoir lui redemander, je ne voulais pas perdre espoir, continuant à chaque temps libre à venir ici. Que ce soit Laël qui restait avec moi du coup, ou les trois autres, ils me trouvaient obstiner et que c’était inutile, je leur avais alors simplement répondu que peut m’importait qu’elle refuse et m’ignorais, j’essayerais d’apprendre seul dans un premier temps. Ensuite une fois que je partirais de nos terres, je chercherais un autre instructeur, même si je n’étais pas certaine d’en trouver un qui avait ses connaissances. Mais je ne voulais pas partir avant d’avoir fait mon maximum pour lui prouvée ma volonté.

Et cela fini par payer, il fallu du temps, beaucoup. Mais un jour elle vient vers moi, le loup naturel à ses cotées. «Tu sais que tu es bien trop jeune pour prendre racine ici ? Bon, écoute, visiblement tu ne comptes pas lâcher l’affaire et ça me désole de te voir te contenter de ses livres. Et franchement, tu trouveras des éleveurs dans le monde, mais rare sont ceux qui s’occupe de ce genre d’animaux… J’ai peur de te voir faire des bêtises si je te laisse continuer apprendre seul, alors c’est d’accord, je vais t’aider et t’apprendre. Mais attention, je te laisse une seule et unique chance. Si ne serais ce qu’à un moment j’ai un doute sur tes capacités, ta volonté ou encore la raison de cet apprentissage, alors je cesserais tout de suite. Est-ce que c’est compris. » «Je ferais tout pour ne pas vous décevoir, ces promis. » «Bon, alors il faut que tu sache plusieurs petite chose. Je ne vais pas te ménager. Je sais que tu loue une petite maison en ville, tu peux la laisser car je vais te louer une chambre du domaine. Le métier d’éleveur demande énormément de temps. On vit plus pour nos protéger que pour nous même. Je ne veux pas non plus que tu ramènes n’importe qui chez moi. Seul ton ami le cerf peut entrer dans le domaine, mais devra rester sur le terrain extérieur. Je veux de la tranquillité. Et ce sera à toi de te débrouiller pour combiner et ton apprentissage à mes cotées et celui que te donne tes instructeurs. Oh une dernière chose. Je ne sais pas ce que va donner le regard, mais préviens-moi dès que tu as le résultat, ne part pas comme une voleuse et si maintenant tu deviendrais une Löth, alors demande à quelqu’un d’autre de me prévenir. Comme tu le sais sans doute, personne ne peut être présent avec toi et l’Enelyë. Aller vient maintenant. » Elle me fit alors entrée et me montra ma chambre, celle-ci était assez simple, une armoire, une bibliothèque avec quelques livres, un bureau avec des parchemins, des plumes et de l’encre et enfin, un lit spacieux. Je déposais alors ce que j’avais sur moi et je remarquais un parchemin utiliser, ce dernier en le lisant contenait les questions que j’avais noter sur mon propre parchemin et a cotée de chacune d’entre elle, les références d’un ouvrage, qui en y faisant attention, se trouvais dans la bibliothèque. Je souris alors et fis demi-tour le temps d’aller chercher tout mes affaires. Bon, je demandais l’aide de mes amis pour les préparée, mais si on c’était mis d’accord sur le fait qu’ils les déposerait aux débuts du domaine pour éviter de servir de repas aux protégés d’Eowin. Mais malgré cela, le transfert fut vite fait. Une fois installer, en tout cas en partie, elle m’annonça que je commencerais réellement demain et m’ordonna d’aller me reposer.
Montant dans ma chambre, mais trop existée pour dormir, je pris le parchemin et commençais à chercher dans les livres références, j’avais enfin les réponses que j’avais cherché, je n’allais pas attendre davantage.
Finalement, je ne vis pas le temps passer et je m’endormis sur le bureau, quand Eowin cria après moi aux premières lueurs de l’aube, je me redressais rapidement, mettant un certain temps à saisir ou j’étais. Finalement, je courus rejoindre Eowin en bas. «Ah moins qu’il aille une urgence, j’aimerais que tu ne cours pas dans cette maison. Je vais aller nourrir les animaux extérieurs, occupe-toi de ceux de l’intérieur. Il n’y en a pas de nouveau depuis ton départ. Par compte la nourriture des chatons et du louveteau on changer, ce ne sont plus des nouveaux nés. Je viendrais m’occuper des animaux après. Chaque matin ce sera ainsi pour le moment.» J’hochais alors la tête et me mis à l’ouvrage, une fois fini, on déjeuna et elle me montra ou je pouvais me laver et me changer. Et je partis à mes cours du jours, entrainement et cours d’orientation.
Je ne trainais cependant à rentrer. Je ne savais pas réellement ce qui m’attendais, mais j’avais promis d’être assidue et ça commençais par rentrée à des heures plus que correcte.

Et en fait, les premiers temps je les passais principalement dans ma chambre. Elle avait vérifié ce que j’avais fais pendant mon absence, m’avait expliqué ou je m’étais tromper ou que je n’avais pas été chercher assez loin. M’expliquant bien qu’il fallait réellement creusée quand on se demandaient quelque chose, car si on se contentait des premiers choses que l’on voyait, alors on allait passée à cotée de plein d’autre et ça pourrait être dommageable.
A chaque fois que j’avais fini quelque chose, et autant dire qu’il faut considérée fini quelques choses qu’elle estimait parfait et que tu coup je devais recommencer plusieurs fois. J’avais de nouveau exercice. C’était assez varier. Race, aliment particuliers, soin particulier, comportement animalier, comportement à avoir face à ces animaux ou encore signe de bonne et mauvaise santé. Il y avait tellement à apprendre que j’avais l’impression que je n’en finirais jamais.
En plus de cela, elle voulait que je sois capable de faire des croquis corrects des animaux, du coup j’ai eu droit à quelques cours de dessin en bonus, mais j’étais autant douée que pour l’entrainement au combat.

En plus de ça, aux débuts, je devais me servir des sachets de nourriture qu’elle avait déjà préparée au préalable, par la suite je dus commencer à les préparée moi-même et ce n’était pas beaucoup plus simple. Le loup par exemple, bien que frugivore, il fallait évitée tout ce qui était agrume car il avait du mal à les digérées, mais essayer de privilégier les fruits riches en eau pour facilitée la pousse de ses feuilles lors des changements. Les oiseaux pouvaient manger que certain type de graine et finalement je failli ne pas m’y retrouver dans toute les notes que j’avais prise et je fini par me crée un cahier ou tout était retranscrit correctement et que je n’avais pas trop difficile à m’y retrouver.
Je devais aussi étudier le type d’habitation, grotte, rive d’étendue d’eau mobile ou stagnante, cime des arbres ou terriers.

Je dois être honnête, quelques fois je me demandais si j’allais y arriver, elle ne me ménageait pas et il n’était pas rare que je m’endorme sur le bureau pendant que j’étais en train de travailler, ou un fauteuil que j’avais demander à installer pour quand je devais lire de lourd et épais ouvrage. Mais je ne voulais pas laisser tomber. Ça avait beau m’épuisée, je ne pouvais pas dire qu’elle ne m’avait pas prévenue. Et puis, je l’avais entendue, plusieurs fois elle se levait pendant la nuit, s’occupant des animaux qui allait mettre bas, ou encore de ceux qui avait des soucis. Après tout, même si elle-même disait qu’elle n’avait pas les connaissances d’une réelle soigneuse, être éleveuse signifiait aussi qu’il fallait savoir soignée nos animaux, car il n’y avait pas toujours des personnes capables de s’occuper de tel créature.
Et puis je m’accrochais au fait que si j’y arrivais, j’allais pouvoir mettre en pratique tout ce que j’avais appris, alors pas question d’abandonner. Surtout que je me demandais dans quelle mesure elle n’était pas en train de tester ma motivation…

Dur leçon.

Le comportement d’Eowin commença à changer environs deux mois après le début de mon apprentissage. Bien que toujours sévère, je remarquais aussi qu’elle était plus douce et me parlait plus facilement, même de chose qui n’avait rien à voir avec les animaux. Elle me demandait comment se passait mes journées, si ça allait dans le reste de mes cours. Je me rendis aussi compte qu’elle ne s’y connaissait pas qu’en animaux rare. En plante aussi, en même temps elle disait que c’était la base à pas mal de ses remèdes, ce qui du coup était logique. Mais en magie ou tout autre matière possible. Du coup, si pour une raison ou une autre j’avais une certaine difficulté, elle m’aidait à la surmontée. Le seul truc qu’elle ne voulait pas encore, c’était repos car j’avais eu ou que j’allais avoir une longue journée le lendemain, il n’y avait que là qu’elle était intransigeante. Mais en même temps, la nature de mon travail était moins physique, moins épuisant. Je savais qu’elle se permettait de le faire car nous étions deux, elle pouvait des lors me ménagers quand les jours le demandaient. Seul, ce n’était pas réellement quelque chose de possible, car tu n’avais personne pour s’occuper des animaux à ta place.

Puis finalement un matin alors que j’allais partir rejoindre les autres pour les cours. Elle m’annonça qu’au soit j’irais l’aider à m’occuper des animaux à l’extérieure. J’étais contente, je ne les avais presque jamais vues. Je savais qu’il y en avait un aquatique, un volant et un terrestre, mais qui avait besoin de beaucoup d’espace. Mais je n’en savais pas plus, mis à part leur alimentation, car ça j’avais du effectivement m’en occuper par moment. Mais ça c’était arrêter là. Du coup, je trouvais que la journée passait affreusement lentement. Mes amis me voyaient m’impatientée et passait leur temps à me taquiner, disant que je donnais l’impression d’être un peu trop remplie d’énergie et que je devais faire attention si je ne voulais pas exploser. D’un autre cotée, ils comprenaient que j’avais juste hâte que la journée soit finie, même si j’allais certainement être encore plus extenuée le lendemain, heureusement je n’avais pas de cours.

Une fois rentrée, je déposais rapidement mes affaires et alla rejoindre Eowin qui m’attendais déjà. «On va commencer par le lac. Dedans il y un couple de dauphin a deux têtes. La femelle va bientôt donner naissance à son premier petit, j’aimerais vérifier cela. Ensuite on ira voir le cheval que j’ai recueilli, j’ai bonne espoir qu’il puisse retournée dans la forêt dans les jours à venir. Et enfin, on ira voir les aigles qui eux ont déjà eux, les œufs on éclos avant-hier.» en entendant cela, je remarquais quelque chose d’assez étrange, enfin à mon sens. «Ca ne fais pas longtemps pour les chatons… maintenant le dauphin et vos aigles. Je croyais que chaque animal avait sa période de prédilection pour la reproduction et je pensais qu’en élevage on regardait justement à cela, pour bien savoir s’occuper de chaque animal séparément. Je ne dis pas que tu as fait quelque chose de travail, j’essaie juste de comprendre.» J’espérais que je m’étais rendue compte assez tôt de ce que je lui avais dit, car ce n’était vraiment pas contre elle, je savais qu’elle faisais de son mieux. «Non, tu à raison. Il est vrai qu’habituellement, j’essaie d’éviter que cela n’arrive, surtout chez ces trois animaux ou les soucis pendant les gestations ou les naissances, voir même chez les nouveaux nés son assez courant. Mais j’ai joué de malchance et d’idiot. Des enfants ont pénétré mon domaine pendant que je m’occupais des dauphins et mes deux chat caméléon était séparée, ils ont ouvert ma porte et du coup les deux se sont retrouver… Tu voies, c’est à cause de ça que je ne supporte personne près de mon domaine. Quant au oiseaux, ils ont pris un peu d’avance, ça arrive même si c’est rare.» Effectivement, je comprenais pourquoi maintenant elle n’aimait personne, ca avait fini par lui causée pas mal de soucis et je me demandais si le fait qu’elle se retrouvait un peu surchargée n’aidais pas au fait qu’elle aille fini par accepter de m’apprendre. Si c’était le cas, je n’allais pas m’en plaindre réellement, je ne serais pas honnête avec moi-même.

On commença donc par les dauphins, je regardais avec curiosité les dauphins, c’était assez particulier de voir ce genre d’animaux à deux têtes. Eowin m’expliquait de bien donner la même quantité à chacune des têtes, car même s’il n’y avait qu’un seul estomac, ils n’aimaient pas que l’un aille plus que l’autre. Elle me montra comment faire avec la femelle et pendant que je m’occupais du mal, elle regardait pour la femelle, lui parlant d’une voix douce et rassurante. «Et ben ma belle, je crois que c’est pour aujourd’hui. Tu auras bientôt ton petit avec toi, tu es contente ?» Je ne lui avais jamais demander si elle savait réellement communiquer avec eux, des fois j’avais réellement l’impression que c’était le cas.
Une fois ces dauphins nourris, on partit voir le cheval. Je lui demandais alors pourquoi il était ici, elle m’expliquait alors qu’elle l’avait trouvé dans la forêt, la jambe cassée. Elle l’avait ramené chez elle le temps que celle-ci guérisse, mais il n’y avait pas que l’os de touchée donc ça avait pris un certain temps. Mais ici, il commençait à de nouveau galoper sans montrée la moindre gêne, du coup elle comptait le relâcher dans deux trois jours.
Arriver auprès de lui, je vis un magnifique cheval argenté aux sabot dorée. Sa crinière était blanche et volatile, on aurait dit de la soie. «Je suppose qu’il vaut extrêmes cher dans le trafic animalier…» Nul curiosité dans ma question, en fait, c’était plus un constatation amère en voyant l’animal. «Effectivement… Les riches aiment parader sur le dos de ces chevaux. Contrairement à certaine espèce, ils ne sont pas spécialement menacés d’extinction, car ce qui intéresse les marchands c’est de les avoir vivants. Mais peu à peu quand ils sont en captivité, ils perdent leur éclat et son alors juste exploitée pour une reproduction. Regarde celui-ci, malgré le plus de liberté que je lui laisse, on dirait qu’il est plutôt gris au niveau de son encolure. Ca redeviendra argentée après, mais pour ça faut qu’il sorte.»
Elle me montra alors comment m’occupe de lui après lui avoir remplis ses bacs de nourriture, comment le panser totalement, vérifier ses sabots, m’expliquant que pour ceux-ci, il fallait du matériel spécial car plus solide que les sabots de chevaux ordinaires. Puis elle me montra comment vérifier sa jambe et elle le lâcha dans le domaine ou il partit dans un galop effréné. Il semblait vraiment heureux de ces moments et effectivement sa jambe ne semblait pas réellement le faire souffrir.

Et finalement, quand on arriva auprès des aigles, je la vit froncée les sourcils, placer dans une sorte de mini volière, les adultes étaient sur le sol, ainsi que leurs petit. «Prend les petits avec le drap la bas et rentre, moi je regarde au parents et je te rejoins.» Je m’exécutais sans attendre. J’avais perçu l’inquiétude dans sa voix, chose qui n’était pas courante, même quand un des animaux semblait avoir un souci.
Une fois à l’intérieur, je les posais dans un coin en sécurité et je commençais à leur crée leur petit nid pour les y placer après. Peut de temps après que j’aille fini, Eowin arriva et se précipita sur les petits. Pendant un long moment elle les observa et je la vis leur administrée quelque chose. Puis, en les remplaçants elle se tourna vers moi. «Ça arrive au mauvais moment… Je ne serais pas m’en occuper ce soir, elle va vraiment mettre bas aujourd’hui… Ecoute moi bien Kayla. On va rapidement terminer ce qu’on doit faire aujourd’hui, ensuite je veux que tu reviennes ici et que tu t’en occupe. Quand ils dorment, je veux que tu lises cela. Tu comprendras mieux, aller dépêche toi.»
On commença alors à courir dans tous les coins pour finir tout ce que nous devions faire, ensuite elle partit dehors pendant que je m’occupais d’eux. Elle m’avait quand même rapidement expliqué qu’ils étaient eux aussi atteint d’une maladie comme Lupa, une maladie qui touchait que les jeunes animaux. C’était un problème qui venait du cœur et qu’il fallait agir vite.
Elle me donna aussi de quoi les nourrir grâce à une pipette et un traitement à leur donner régulièrement. Finalement elle ressortit pour s’occuper du dauphin.

Bien qu’inquiète, je commençais à lire ce qu’elle m’avait donné. L’aigle illusoire était capable de faire voir ce qu’il voulait aux autres, des fois il s’en servait pour tromper leur proie, d’autre fois pour éloigner les autres oiseaux de leurs nids. Ils vivaient dans des montagnes verdoyantes, du coup il était rare de les trouver sur de trop grande hauteur. Mais je ne trouvais rien sur la maladie qu’elle m’avait parler. Peut-être que c’était dans un autre livre, mais je ne préférais pas commencer à le chercher.
Je ne la vis pas revenir de toute la nuit, je m’occupais alors du mieux que je pouvais des petits, en étant méticuleuse sur le traitement que je devais leur administrée.
Mais au bout d’un moment, l’un des petit commença a montrée des signes de faiblesse. Elle m’avait montrée quoi faire dans ce cas là et j’avais donc commencer rapidement à faire les gestes qu’elles m’avaient montrée, mais il ne semblait pas réellement allé mieux.
Pendant combien de temps j’essayais de la ramener à nous ? Je n’en sais trop rien, je ne calculais plus tant je me concentrais sur ce que j’avais à faire. Mais au bout d’un moment, je sentis une main sur mon épaule et une voix douce me dire que je devais arrêter, que ca ne servait à rien. «Kayla ca suffit, il est partit, tu ne peux plus rien faire. Il était beaucoup trop malade pour survivre.» Je tournais alors la tête vers elle, je lui expliquais que j’avais pourtant fait tout ce qu’elle m’avait dit, que je ne m’étais même pas endormie quand du coins de l’œil je vis que le soleil était en train de se levée. Que j’avais bien fait pour le traitement ou alors de ne pas leur donner trop à manger pour que la digestion ne les fatigues pas trop. «Je sais. Ecoute, ce que je vais te dire ne vas certainement pas te plaire, mais écoute moi bien. Hier quand je les ai examinés, j’ai vu que celui-là était trop atteint pour passer la nuit. Il n’y avait plus rien à faire. La seule chose que tu pouvais faire, c’est qu’il passe ses derniers moment confortablement, ce que tu à fait à merveille.» «Pourquoi… Pourquoi ne pas me l’avoir dit directement…» «Qu’est-ce que ca aurai changer ? L’aurais dû délaisser aux profils de ceux qui avait leur chance ? Ou au contraire, te serais tu focalisée sur lui pour rendre ses derniers moments encore meilleurs aux détriments des autres du coup ? Kayla, si je ne t’ai rien dis, c’est car ca fait aussi partie de ce que tu veux devenir. Des fois, on ne sait rien faire pour eux, tout ce qu’on peut faire c’est leur rendre leurs derniers moments le plus agréable possible. Plus tu passeras du temps dans ce domaine, plus tu remarqueras que les petits ou les parents ont quelques fois des soucis mortel, ces pourquoi il faut être vigilant. Mais surtout, il ne faut pas oublier les autres quand ça arrive. Tend l’oreille un instant.» Bien que quelque peut sous le choc, je m’exécutais. J’entendis alors rapidement le bruit des autres aiglons. «Eux on survécu et vont continuer à avoir besoin de toi. Tout comme tous nos protéger ici présent. On doit continuer, même si ça nous fait de la peine. Tu as grand cœur, je m’en suis rendu compte au fils des semaines. Je suis contente de t’avoir donné la chance que tu m’as demandé. Alors continue sur cette voie, continue à me montrer que tu es capable de tout surmontée, de te surpassée pour t’occuper d’eux.» Au même moment, Lupa viens vers moi et me lécha la main, comme pour me consoler. Je fis alors un faible sourire en hochant la tête et je partis faire ce que l’on devait.

Ces jours-là, je ne parlais pas beaucoup, me contentant de ce que je devais transmettre. Je ne pouvais m’empêcher de repenser a tout ce qu’elle m’avait dit. Même si je savais qu’elle avait raison, je ne pouvais pas m’empêcher de lui en vouloir. D’accord j’aurais peut-être agit différemment, comment je n’en sais rien. Mais elle, arrivait-elle réellement à y faire abstraction quand ça arrivait ? j’avais du mal à y croire, car même si c’était assez subtile, je l’avais vu la tristesse dans ses yeux, j’avais vue avec qu’elle attention elle c’était occuper du corps de l’aiglon. Et finalement, je compris qu’elle avait largement raison d’avoir agit de la sorte. Ce métier n’avait pas que des bon cotée et je devais bien m’en rendre compte. Je n’avais vu pratiquement que les bons côtés, il y avait des moments un peu plus durs, mais pas insurmontable. Il fallait que celui-ci ne le devienne pas non plus. J’allais certainement revivre la même histoire à l’avenir et il allait falloir que je fasse avec.

Du coup, le travail continua comme à son habitude, même si l’aiglon occupa mon esprit pendant un moment. Comme si je ne voulais pas l’oublier. Et finalement, je ne pouvais être que reconnaissante pour l’enseignement que je bénéficiais et autant que je continue à me montrée digne de la confiance qu’elle ma accorder.