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 Les dessous d'une maison close - (Ethen)

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Sam 30 Juil 2016, 13:52


Les dessous d'une maison close - (Ethen) En_tei11


Dans son voyage Ethen avait choisi de suivre un certain itinéraire avec une liste de chose spécifique à faire. Certaine chose lui avait étaient plus ou moins conseiller, mais ce qui était revenu très souvent quand elle en avait parler avec les Corvus Aeris c’était d’aller visiter le quartier Tsuna si elle passer par la cité Pabamiel. Un peut intriguer par les sourires entendus que c’étaient échanger le groupe d’ami de son père, l’humaine c’était tourné vers le réprouvé qui semblait absolument hors de la discutions. Elle avait rapidement compris que Zéleph n’avait de son vivant jamais mit un orteil dans cette endroit. Il semblait même que cette île étaient apparut pendant qu’il avait étaient porté « disparut », il n’avait donc aucune idée de l’endroit. Ethen avait donc trouver ça particulièrement intéressant de visité des lieux que même son mentor n’avait jamais eu l’occasion de voir. Il y avait quelque chose d’excitant à découvrir quelque chose que son paternel n’avait jamais découvert. Une certaine fierté peut être, mais dans sa pudeur Ethen n’en fit aucune démonstration se contentant de soigneusement prendre des notes sur les conseilles aviser des autres Corbeaux.

Le plus récurant étant d’aller faire un tour dans cette maison, dite close a Tsuna. A la seconde où Scaldis avait émis cette idée, tous autour de la table alla de sa petite expérience. Atax et Cruella étant les plus persistant. De leurs grands sourires, qui cacher bien des pensés perverse, ça n’avait échapper a l’humaine, ils lui recomptèrent comment leur séjour n’avait pas pue être plus agréable qu’en passant par cette endroit magnifique. « Tu me vois désolé Zél’. » Commença l’alfar avec un sourire grognard. « Mais même du temps du Circus, je ne me rappelle pas avoir vue aussi belle créatures. » Le rire de Cruella ne surprit personne. La relation entre un alfar et un vampire était simplement surprenant, mais l’amour qui existé entre eux l’étaient tout autant. C’était quelque chose d’assez sombre et sanglant. Cruella en bonne représentation de sa race aimer le sang, son odeur, son gout plus que tout et Atax, en bon alfar apprécier la beauté sombre de cette fascination pour les activités sanguinaires. C’était à la foi beau et terrifiant de les voir tout deux, et Ethen ne voulait pas savoir ce qu’ils faisaient dans l’intimité, ça devait être… spectaculaire.  Etant assez détacher de ce monde pervers, l’humaine imagina qu’il serait intéressant de voir ce qu’il en était. Etrangère a tout ce qui faisait partie de l’univers de la débauche, elle entreprit de noter au coin d’une page de son carnet de liste de chose a faire « Visité Tsuna » et en plus petit « voir maison close ».

C’est ainsi qu’une fois à Palamiel, quand elle fini de voir tout ce qu’elle avait de plus « important » à visité, son regard se posa sur cette petite note. C’étaient resté dans un coin de sa tête, et ces petits mots finirent de pousser sa curiosité. Son père avait longtemps été le maitre d’une maison des plaisirs lui aussi. Elle connaissait son passer de débaucher. Cette aspect de lui étaient encore un mystère pour elle. En réalité tout ce qui étaient attrait au monde de la luxure été une vraie énigme pour l’humaine. Soyons honnête, à son âge elle n’avait pas beaucoup eu l’occasion de pratiquer ce genre d’activité. L’amour de puis un moment déjà n’était vraisemblablement pas sa priorité. Elle n’avait même jamais été attiré spécialement par quiconque. Il faut dire qu’elle n’y avait jamais penser. Tout ça été un concept totalement étranger pour la jeune humaine qu’elle était. Alors c’était tout à fait l’occasion de s’y intéresser et pourquoi pas de comprendre, où au moins d’observé ce qui intéresser tans les mortels dans ce genre de relation purement charnel. C’était visiblement dans la nature de toute les créatures de ce monde. Les humains particulièrement, et les réprouvés énormément, pour avoir assisté a des beuveries ainsi que des soirées finissant souvent ainsi. Chez les Corvus elle avait pu voir que ce n’étaient pas toujours le cas, il y avait des nuances, avec les vampires par exemple. Leur lien a la luxure étaient tout à fait différente et passionnante a analysé. Pour avoir observé Cruella, on ne pouvait pas dire qu’Ethen avait étaient surprise. Enfin, elle n’allait pas s’amuser à faire des recherches au sain même de cette race pour en savoir plus, Cruella toléré déjà difficilement les autres races au sain des Corvus, elle ne pouvait pas s’imaginer au milieux de Vampires assoiffer seul et vulnérable. Ça aurait étaient une belle stupidité pour une humaine. De plus Cruella n’arrêté pas de lui signaler à quel point elle santé bon. Très sincèrement Ethen ne prenait pas ce compliment a la légère, et ne pouvait empêcher à chaque, fois un frisson d’appréhension, au sous entendu.


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Sam 30 Juil 2016, 16:19


C’est ainsi qu’Ethen fit son chemin dans les rue de Tsuna. On l’avait mise en garde. Prévenu sur les différents risques qu’il y avait a s’aventuré dans un telle endroit. Pour dire vrais, la réputation de ce quartier n’était pas à la hauteur de la réalité. Par rapport aux autres endroit de Pabamiel qu’Ethen avait pu visité, celui-ci n’avait pas son pareille. Ni pauvre, ni riche, l’alcool et la corruption parfumer les rues d’une atmosphère particulièrement intimidante. L’humaine n’était pas réellement à sa place, elle en avait conscience. Cela dit, elle passait relativement inaperçu, ce qui n’était pas une mauvaise nouvelle. Certainement insipides pour les malfrats et sans intérêt pour les escrocs. On lui proposa quand même plusieurs fois d’acheté de la drogue, alors qu’elle ne faisait que parcourir les rues. Elle refusa froidement à chaque fois, sans craindre qu’on lui force la main. Son père lui avait donner un conseille avant de partir « Si tu croise de la vermine, ne détourne jamais les yeux. Plante-toi droit devant eu, et garde toujours ton sang froid. En répondant à leur provocation par l’impassibilité ils se désintéresserons de toi. C’est un signe de force pour eux, ça montre que tu ne les crains pas, et ces idiots là ne cherchent pas les proies qui leurs résistent. Ils cherche du facile. Ce ne sont que des vauriens de basse race. » Et le désintérêt flagrant avec le quel Zéleph lui avait dit ça voulait tout dire. Ethen avait simplement acquiescer prenant note de cette indication celons elle capital pour sa survit. Puis quelques minutes plus tard, peut être légèrement concerné, le réprouvé était revenu. « Mais, Ethen. Si tu croise de la vermine de haut rang. Pas les parasites, des vrais malfrats. Fuit. » Il avait planté ses yeux rouges et dure dans les siens, l’humaine ne pu s’empêcher de se sentir légèrement mal à l’aise. Il n’avait rien ajouté, se détournant juste pour quitter la pièce. Ethen étaient resté là pensive. Elle avait fini par écrire dans ses notes « Vermine de rang parasite : tenir tête. » puis « Vermine de rang supérieur : fuir. »

Elle était plutôt satisfaite des conseilles du réprouvé, car ça marché. Personne n’avait été réellement agressif avec elle jusque là. Pourtant elle ne ressemblait pas à une autochtone. Au contraire, elle était la parfaite touriste. Tournant dans les rues, son guide sur la ville ouverte pour suivre le plan a peut près correctement dessiner. Son sac sur le dos, vêtue de façon tout a fait décontracté, son visage nue de toute trace de peinture qu’elle porté d’habitude, et ses cheveux lâchés, ce qui était rare. Ethen n’étaient pas là pour travailler, elle était là pour « prendre de l’expérience de vie », quelque chose qu’elle prenait terriblement au sérieux. C’était le but ultime de ce voyage. Même si au fond elle n’ignoré pas que Zéleph l’avait envoyé en voyage pour être tranquille quelque temps, elle ne trouver pas ça stupide et désiré faire ce qui était bien d’après son mentor. Après tout Ethen visé la réussite. Si son mentor avait décidé qu’il était bien pour elle de se forger ses propres expériences et bien soit.

Après avoir tourné pendant un moment dans les rues et ruelles de Tsuna, l’humaine fini par trouvé le bâtiment qu’elle chercher. Bien sur, elle en avait croisé des maisons close, pas si close que ça, qui avait tenté de la racoler. Seulement, dans son carnet il était marqué qu’elle devait impérativement en visiter une plus que les autres et ça suffisait à totalement l’obsédé avec l’idée d’y arriver. C’était un tout autre monde que le siens. L’humaine avait l’impression incroyable de nager dans un environnement presque sauvage. Pas farouche pour autant, elle entra dans la dite « maison ». Dans un premier temps elle se questionna sur le fait qu’on l’as laisser entré. Elle était visiblement tellement insignifiante que personne ne faisait attention à ce qu’elle faisait. Heureusement pour eux, elle n’étaie pas du genre voleur. L’intérieur du bâtiment étais chaudement décoré, quelque chose de chaleureux et même de tout à fait extravagant. Des canapés et fauteuils en velours, des bougies par centaines –qu’Ethen apprécia particulièrement-, les murs recouverts de satin. Bref, elle était rentré dans un autre espace temps. Cela lui rappelait un peut les décorations d’Utopia tout en aillant cette particularité exotique d’abuser sur le mélange des couleurs et des textures. Cela resté curieusement harmonieux. Une décoration qui sied particulièrement avec l’ambiance général du lieu.

L’humaine pris le courage d’avancer plus encore dans la pièce d’entré, qui semblait être aussi là grande salle principal. Une musique peut forte, mais bien présente rajouter quelque chose de plus sensuelle à l’atmosphère déjà charger en phéromones. Voilas quelque chose qui commença à fasciner l’innocente humaine, enfin, du moins si on devait parler de ce genre de chose qui englobé les « relations naturel ».

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Sam 30 Juil 2016, 17:33


La première chose qui frappa Ethen quand elle rentra une bonne fois pour toute dans la pièce fut de voir toutes ces filles. Oui, la majorité des personnes ici étaient féminines. Toutes extrêmement peu vêtus. Ethen imagina que ce n’étaient pas un problème vue la température ambiante. Ça ne devait pas être gênant. La seconde chose que l’humaine remarquas ce fus le comportement des êtres masculins. Ils semblaient avoir perdu, plus ou moins tous, l’esprit. Certain allonger, riait niaisement, d’autre assit semblait bavé, ce qui dégouta légèrement nôtre jeune touriste. Plus elle avancer, et plus l’endroit lui paraissait étrange. Elle n’était pas idiote et n’ignoré pas où elle avait mis les pieds, mais sa pudeur lui avait interdit d’imaginer pareille scène. Certaines femmes se frotter de façon extrême contre certains hommes, d’autres retiré le peut de vêtement qu’elle porté encore, ne gardant qu’un seul pauvre tissu qui ne faisait pas toujours bien son travaille. Elles riaient elles aussi, mais pas de la même façon. Il était flagrant qu’elles jouaient une sorte de comédie, surveillant chaque fait et geste des hommes qu’elles avaient près d’elle. C’était un drôle de ballai qu’Ethen fini par analysé avec des yeux sain et objectif. Les « clients » étaient évidement victime du charme féminin, et pour certaine elle les soupçonner d’y ajouter même un peut de magie. Bon nombre de ces femmes devaient être des sirènes, ou capable de sorcellerie de ce genre. Les hommes devenu fou s’enivré de leur simple présence, parfois même sans les touché. C’était tout à fait remarquable. D’autre disparaissaient dans, ce qui devaient être des chambres, derrières.

L’humaine n’avait aucune envie de savoir ce qui arriver ensuite dans ces chambres. Elle en avait une petite idée, et cela lui suffisait. « Je suis navré, nous n’avons pas d’homme ici. » Une voix ridiculement enjôleuse vin se glisser dans l’oreille d’Ethen. Celle-ci ce figea sous l’intrusion flagrante de son espace personnel. Elle se tourna rapidement pour se retrouver en face d’une somptueuse vision. La femme qui se tenait devant elle était simplement à couper le souffle. Peut être était-ce sa faible nature qui donnait a Ethen cette impression d’écrasement soudain, quoi qu’il en soi elle eu peine à ouvrir la bouche. « Ça n’est pas mon intérêt. » A la seconde où l’humaine vit la moue amuser de l’inconnue devant elle, elle comprit son erreur. Il fut trop tard quand la dame se mit à bouger de manière suggestive vers elle. « Ô je vois, dans ce cas, nous pourrons nous arranger. » Le ton était mielleux, les gestes lents et calculer. Ethen resta figer, comme hypnotisé. Ce qui était peut-être tout à fait le cas. Une main aux doigts long et fin vin se glisser sur sa hanche, l’autre sur sa joue, alors que là femme se rapprocher dangereusement d’elle. Ethen, pris soudain consciences qu’elle était comme l’un de ces insectes sans défense, pris dans la toile d’une araignée féroce. Pris d’un soudain élan de lucidité, l’humaine réussit difficilement à dire quelque chose. « Je… Non, je… » Enfin, dire quelque chose … c’était croire qu’elle en était capable. L’ensorceleuse se contenta de sourire, se collant maintenant littéralement à elle.

Ethen avait chaud, ça ne lui était jamais arriver avant. Un genre de bouffer de chaleur qu’elle trouva très désagréable, et qu’elle assimila à l'inconfort de la situation. Ses yeux étaient écarquillés, son corps rigide et sa lèvre tremblé sous l’appréhension. Cela ne faisait qu’amuser un peut plus son prédateur. Jamais elle n’aurait crue qu’une demoiselle qui semblait de l’extérieur très dur et joliment bâtit serait aussi tétanisé qu’un enfant. La femme, porta son attention sur ces lèvres charnues qui tremblé légèrement. Elle humidifia les sienne avec envie, et fit la moue, comme si elle bouder quelque chose ou quelqu’un. « Il est interdit d'embrasser les clients, mais toi… tu semble si appétissante. » Elle effleura du bout des doigts la bouche d’Ethen qui arrêta net de respiré. Un petit rire échappa là femme. « Tu es si farouche. Tes tu perdu ? » Ses yeux étaient d’un jaune presque or, et quand elle les planta dans ceux de l’humaine celle-ci perdu presque pied. « N… non. » tans bien que mal, elle concentré toute son énergie à gardé son sang froid, ou au moins un semblant de dignité. « Vraiment ? » Continua la femme, jouant maintenant distraitement avec les cheveux brun d’Ethen. Posant sa tête sur son épaule elle sourit. Elle semblait avoir trouvé une place confortable tout contre l’humaine changer en pierre. « Combien as tu sur toi, ma beauté ? » C’est à cette instant que la chasseuse commença à se détendre. Elle n’avait pas un sou, pas même une pauvre petite pièce. Ce qui intéresser cette dame ça n’étaient pas elle, non, ce genre de créature sortie tout droit des fantasmes des hommes ne pouvaient pas, dans une réalité proche ou lointaine, s’intéresser à elle juste pour elle. Alors Ethen trouva la bravoure de lui avouer. « Rien. »

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Sam 30 Juil 2016, 18:11


C’était la vérité, elle avait toujours du mal a trouvé un lieu ou dormir ou manger. Elle y arriver en rendant des services ou par fois, elle ne manger pas, tout simplement. La faim n’étai pas quelque chose qui l’effrayait vue son enfance, et ça se voyait au corps charnue qu’elle avait. Quoi qu’il en soit la réponse fut sans appel. La femme, qu’Ethen jugea être une sirène, ce décolla d’elle, non sans lui jeté un regard déçu. L’humaine fut certaine qu’elle était désappointée d’avoir passer dix minutes avec elle pour rien. Le temps était de l’argent pour toute ces filles. Fronçant le nez, frustré, elle fini par soupiré restant pourtant, au grand désarroi d’Ethen, dans serré contre elle. « Voilas qui est décevant. Moi qui imaginer m’amuser pour une fois… » L’apprenti chasseuse ne su si c’était sincère où si elle jouait la comédie comme elle avait pu observé toute els autres filles ici le faire. Elle préféra ne pas se laisser berné et misa sûr le mensonge. Continuant de faire une moue, qu’Ethen trouva, malgré son bon sens, de plus en plus adorable, elle lui sourit. « Peut être quand j’aurai fini mon service. Je m’occuperai de toi. » Pleine de confiance, et de sa voix suave, la sirène s’approcha de la joue d’Ethen et déposa un baiser juste sur sa pommette. L’humaine avait tellement chaud qu’elle aurait pu fondre, elle en était certaine. La femme ricana doucement dans son oreille. « Tu es adorable. » Toujours incapable de bouger, elle préféra ne pas penser a ce que venait de lui dire cette femme. Adorable ? Elle trouva ce terme légèrement offensant, ça n’était pas réellement ce qu’elle voulait inspirés aux autres. Pourtant, bien qu’elle n’avait aucune intention de l’avouer, elle rougissait maintenant de puis bien vingt minutes sans relâche. Ca n’inspiré pas franchement grand chose d’autre que la stupidité d’après elle. C’était tout de même une pensé personnel. « A plus tard. » La sirène, s’éloigna enfin, non sans lui offrir un dernier clin d’œil. Ethen la regarda partir chercher un autre client, cette fois un vrais avec de l’argent.

L’humaine ce détendit petit a petit retrouvant un rythme cardiaque normal et reprenant une respiration qu’elle avait entrecouper régulièrement sous le coup de l’appréhension. Sérieusement, elle avait vingt-deux ans, et elle avait des réaction d’enfant de douze ans. C’était pitoyable. Elle comprenait un peut mieux l’idée de son père quand il avait voulu qu’elle prenne de l’expérience. Il ne parlait certainement pas de chasse ou de combat, il devait parlait de sociabilisassions ou se genre de choses. Ethen avait toujours extrêmement chaud, elle décida donc d’aller chercher de l’eau, au moins pour faire cesser cette inconfort fortement handicapant. A force de tourné dans le bâtiment, elle fini par trouvé une sorte de fontaine a eau. Sans se demander si c’était correcte, elle il plongea ses mains et ce rafraichit le visage, ce qui fut tout à fait efficace en terme de relaxation. Pour la chaleur, c’était autre chose, et elle mit ça sur le fait que peut être c’était parce qu’il faisait tout simplement très chaud dans cette environnement confiner. Ca n’avait absolument rien a voir avec tout les corps a demis nue qui passer régulièrement sous son regard pas du tout intéresser, non, non, non.

Elle fini d’éponger l’humidité de son visage avec le tissu de son haut de vêtement, quand une présence se fit sentir près d’elle. Quelqu’un, une femme, venait de s’asseoir au bord de la fontaine en laissant échapper un profond soupire d’exaspération. Ethen, crue un moment que se fut de sa faute et qu’elle avait fait quelque chose d’interdit, alors elle se permit de ce tourné vers la femme. Enorme erreur. Si la sirène qui l’avait aguiché avant était une créature de rêve, celle-ci ne devait tout simplement pas être réelle. Pendant un instant, l’humaine en oublia même quel était son nom. La grande femme au cheveux noir et au yeux gris se tourna vers elle, nonchalamment. Elle la fixa un instant. Ethen eu la désagréable sensation qu’elle arriver même à voir à travers elle, comme si elle n’était tout simplement pas là. Puis, dans un geste d’une beauté incroyable, la femme soupira de nouveau, passant une main lasse dans sa splendide chevelure. « Je n’arrive pas as croire que j’en soit arriver là. » Ce plaignit la mystérieuse, et non moins fabuleuse inconnue. Ethen ne sut trop quoi faire, elle préféra ne pas bouger de peur de briser le moment. Un peut comme quand elle chasser un animal sauvage, le moindre geste brusque pouvait faire disparaître l’animal. Ici c’était pareil. La femme se tourna vers elle, le visage fermer, les lèvres pincées. Elle avait l’air remarquablement en colère, ce qui effraya un peut l’humaine. Elle n’en resta pas moins splendide, au contraire c’était tout à fait fascinant. « Costia mas dit que vous étiez en quêtes d’argent. C’est vrai que… » Elle la jaugea d’un œil, et pendant un instant Ethen crue être nue. « Vous semblez dans le besoin. » L’humaine pris la pique sans broncher, venant d’une telle créature il était difficile de se sentir insulté. Cela paraissait même normal. Ethen était de ces gens pauvre et modeste qui ne cracher pas sur l’argent mais qui n’y courait pas après non plu. Cette femme, elle couverte de bijoux plus que vêtement semblait être tout l’inverse. Elle lui sourit soudain, se surprenant elle même. « Je peut donner raison à Costia, vous êtes une drôle de personne. » Costia, certainement la sirène rencontré plus tôt. Une drôle de personne disait-elle ? décidément, Ethen ne savait pas comment prendre ça.


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Sam 30 Juil 2016, 18:46


« J’ai besoin que vous me rendiez un service. Vous semblez être… digne de confiance, bien que nul de nos jours ne le soi vraiment, n’est-ce pas. » Ethen ignorait si elle devait répondre ou non, cela ressembler à tout sauf a une discutions et elle avait raison. La femme continua, perdu dans ses pensés. « Vous comprendrez qu’étant la propriétaire de cette endroit j’ai des responsabilités et beaucoup d’ennemie. Il me faut trouver quelqu’un en qui je peut avoir confiance pour trouver ce que j’ai perdu. » Son regard était percé. Ethen eu du mal à avaler sa salive. La femme le vit et sourit satisfaite de l’effet qu’elle faisait à l’humaine. Si elle était crainte, elle n’aurait pas de mal à ce faire obéir. « Je vois que nous nous comprenons. » L’humaine pris son courage a deux main avant de s’approcher un peut, histoire d’avoir au moins l’air de participé à la conversation. « Qu’avez vous perdu, madame ? » L’audace et la civilité soudaine de la jeune personne fit sourire la sirène. Charmer elle aussi par cette juvénile vulnérabilité, quelque peut adorable. Voir une personne de si belle taille tellement déstabilisé par son seul charme grisé au plus haut point la reine mère de l’endroit. « Mon collier favori. » Son ton était plus amer qu’elle ne l’aurait voulu, irrité rien que d’y penser. « Il n’est pas le plus chère, mais il met particulier. Ici tout le monde le sait, je le porte le plus souvent. C’est pour ça qu’il me faut quelqu’un pour le retrouver, qui ne soi ni un client, ni une de mes employés. J’ai peur qu’on me les prit pour je ne sais qu’elle jeu stupide de vengeance ou je ne sais encore… » Elle cracher ses mots avec un dédain et une fureur contenue qui impressionna Ethen. « La chaine est faite d’argent, et le pendentif est une fleur. Une de ces fleurs des océans dont vous ne connaissez certainement pas l’existence. » Ca n’était pas une reproche méchante, l’humaine en tout cas ne le pris pas mal et acquiesça simplement. « Je vous donne la permission d’entré par tout, de fouiller qui vous voudrez, ça met égale. »

Ce levant de son assise, la sirène se tourna lascivement vers Ethen. « Retrouvez-le, ou croyez-moi ce soir vous regretterez avoir franchis ces portes. » La froideur de son ton aurait tout à fait pu trancher l’épiderme d’Ethen. Celle-ci acquiesça machinalement dans un effort impressionnant. Satisfaite, la sirène partit, le menton haut, mais pas moins énervé par la situation. La chasseuse avait la sensation que la situation c’étaient lentement dégradé jusqu’à ce qu’elle s’inverse totalement. D’abord la femme voulait de l’aide en échange d’un revenu, et maintenant Ethen devait impérativement retrouver ce bijou sous peine d’être blâmer si ça n’était pas le cas. Rapidement, l’humaine eu le réflexe d’ouvrir son carnet. D’abord elle relut les notes des conseilles de son père « Vermine de rang supérieur : fuir. »  Visiblement c’était raté. Ensuite, elle lue la partie sur les maison close de son guide de voyage sur Pabamiel et trouva ce qu’elle chercher : Rellyra. C’était donc bien sur elle qu’elle était tomber. Une sacres malchance pour elle. Fermant ses bouquins pour les ranger soigneusement dans son sac, elle ce mit a regardé autour d’elle. Trouver un bijou certainement voler. C’était complètement fou pour quelqu’un qui ne connaissait nullement les lieux.

L’humaine ignoré totalement comment si prendre et encore moins par où commencer. Elle jeta un coup d’œil autour. Les gens semblaient ne pas être inquiéter de grand chose ici. Peut être était-ce ça l’idée. Observé chaque personne et voir si leur comportement avait quelque chose de suspect. Le problème majeur était le suivant : Ethen n’était pas très douer pour comprendre les comportements autres qu’humains et réprouvés. Ici il n’y avait pas beaucoup de gens de sa race ou de son peuple. La tâche allait être sacrément ardus, et si elle fuyait maintenant elle aurait des problèmes, elle le savait. Son père l’avait prévenu, pourquoi n’avais elle pas fuit quand il en était encore temps ? Eh bien il y avait deux raison a cela : La première, elle avait étais submerger et tétaniser par autant de charisme, et la seconde c’était qu’elle n’était pas lâche. Peut être que pour la culture humaine ça n’était pas une chose commune, mais ayant été aussi élever avec la culture réprouvée, il se trouver que pour elle il était hors de question de tourné le dos a un problème et de se cacher la tête dans le sable pour attendre que ça passe. Non, jamais, plutôt s’étouffer avec une miette de pain que d’affronté une telle honte. Bien sur sa nature la pousser à penser avant d’agir, mais dans ce cas précis on ne lui avait pas beaucoup laisser ni le choix ni le temps de le faire. Alors tans pis, il fallait qu’elle fasse l’effort. Cette Rellyra l’attendait d’elle, et de part les regards lourds qu’elle lui lancer de temps en temps de l’autre bout de la pièce Ethen sentait une pression sur ses épaules grandissante. Non, elle ne pouvait plu fuir.

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Sam 30 Juil 2016, 22:35


Pendant plus de deux heurs, ce qui fut une éternité pour l’humaine, Ethen parcourra la maison close a la recherche de ce collier perdu. Prenant son rôle très a cœur, elle ne ce gêna pas pour rentrer dans chaque pièce, quand bien même étaient-elles occupées. Par fois cela lui valut des insultes, d’autre fois, a son grand étonnement, des invitations. Essayant d’oublier quand le rouge lui monté au joue de temps en temps, elle marcha le long des couloirs concentré sur sa tâche. Certaines filles de la maison s’amusèrent de la voir passer encore et encore, avec son air stoïque et sa stature rigide. Le bruit qu’elle fut engager par Rellyra pour retrouver un objet perdu fit vite le tour des oreilles des jeunes filles. Elles s’amusèrent à lui mettre des bâtons dans les roues, ricanant quand Ethen, malgré elle ce voyait rougir de leur comportement frivole. Très honnêtement, jamais la chasseuse n’avait crue être aussi sensible au charme de ce genre de femme. Bon, il fallait dire que le manque de vêtement et les charmes magique qui les accompagner certainement, n’aider pas beaucoup. Ethen était encore une humaine vulnérable, elle était pratiquement dénuée à cent pour cent d’anti-magie, ce qui faisait d’elle une cible atrocement facile. A un certain moment, Ethen compris que puise qu’elles ignoraient son nom elle lui en avait trouvé un autre. Quelque chose comme « pommettes-chaudes » ce qui échappa totalement a l’humaine, mais qui était un terrible jeux de mots sur le fait qu’elle n’arrêté pas de rougir, mais aussi qu’elle avait un visage tout à fait attirant.

Ethen, ou « pommettes-chaudes », ne se formalisa pas et continua sa quête. Elle avait encore deux, trois fois croiser le regard intransigeant de la mère de la maison, et cela l’avait complétement perturbé. De cette femme émaner une aura fabuleusement dangereuse et attrayant. Après ces heures à chercher sans avoir trouver le moindre indice, la chasseuse se retrouva à nouveau dans le malaise d’un visible échec. Seulement, elle ne pouvait pas échouer, ça lui était génétiquement interdit. Une chose sur la quel elle ne pouvait être souple. Impensable. Hors de question. Non. Tenace plus que buté, ou peut être l’inverse, Ethen recommença a fouillé la maison de fond en comble. Elle n’hésita même plus a fouiller certain client qui étaient là de puis dés heurs. Elle fit le choix après un long moment à y avoir pensé, à fouillé également les employés de Madame Rellyra. Cela lui pris un moment avant de décidé car elle su tout de suite que cela serait une épreuve.

Cela semblait être un jeu amusant pour ces demoiselles. L’une après l’autre elles vinrent près d’Ethen, sugestivemant. L’humaine du prendre sur elle avec une impressionnante fermeté pour ne pas rougir quand elles désiraient de façon tout a fait innocente lui montré plus qu’elle ne demandé. De toute façon, c’était une idée stupide, elle s’en rendit bien compte. Avec le peut de vêtement qu’elles porté Ethen ne voyait pas comment elles pouvaient cacher quoi que ce soit, jusqu’à ce que se fut le tour de Costia et qu’elle lui donne une partiel hypothèse sur l’idée. N’ayant pas arrêté de flirté ouvertement avec l’humaine, la sirène un peut déçu de voir que « pommettes-chaudes » ne répondait pas toujours à ses provocations tenta une ultime attaque. « Peut être que si tu ne trouve pas c’est parce que tu ne cherche pas là où il faut. » Costia était déjà sein nue. En réalité elle avait enlevé son haut en marchant vers Ethen, lui souriant de toute ces dents, ce qui avait faillit faire tomber l’humaine de ses pieds. Maintenant, elle venait d’attraper la main de la chasseuse, la faisant glisser le long de son buste avant de la conduire plus bas. Bien plus bas. Trop bas. Ethen écarquilla les yeux en réalisant ce que Costia faisait. Cette fois elle fut certaine que sa tête venait d’explosé sous la chaleur alors qu’elle était figée par l’appréhension et l’embarra. La sirène ricana, victorieuse. « Amuse-toi bien, beauté. » A nouveau elle lui embrassa la joue, et partie en riant. Laissant une pauvre Ethen dans un état second. La fille suivante la fixa les sourcilles lever, un sourire amuser accrocher au visage. L’humaine eu du mal à s’en remettre. Il fallait bien l’avouer. Heureusement, les autres, bien qu’elles aussi joueuses, ne s’aventurèrent pas aussi loin.

Une fois ses « fouilles » terminer, Ethen n’eu rien trouver d’autre qu’un tenace traumatisme et des bouffer de chaleur à répétition. C’était une torture. Cette endroit était un lieu de monstruosité physique. Ethen ignorait pourquoi les autres Corbeaux adulé tans cette endroit, et encore moins comment son père avait pu en tenir une autre fois. C’était stressant, à un rare point qui atteignait l’humaine pourtant d’ordinaire scandaleusement calme en toute circonstance. Que lui arrivait-il au juste ? C’était invraisemblable.


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Sam 30 Juil 2016, 23:19


Assit sur une chaise, Ethen observé chaque personne dans la grande pièce. Concentré, elle cherchait chaque petit détaille suspect. Le problème étant que chacune de ces personnes n’agissait pas comme des gens « normaux » autrement ils n’auraient pas été ici, n’est-ce pas ? Elle pouvait bien parler, après tout personne ne l’avait forcé à venir, il fallait bien qu’elle l’avoue Tous ça, c’était stupide. Si elle était honnête avec elle, elle savait très bien où était passer ce collier. Quelqu’un l’avait volé était sorti avec. Pourquoi avait-elle perdu son temps a chercher ici ? Non, plus encore. Pourquoi Madame Rellyra lui avait demandé de chercher ici ? Elle devait bien savoir que si on lui avait dérobé son bien le plus précieux, le voleur, quand même pas aussi stupide que ça, aurait quitter les lieux avec son butin. Ou alors. Elle était persuadée que c’était l’une de ses filles. Seulement Ethen avait fouiller toute les employés, plus qu’elle l’aurait souhaité d’ailleurs. Elle avait fouillé leurs chambres, une a une, pas un seul matelas n’avait pas été retourné, où une seule latte de plancher tester par ses soins. Tout ce qu’elle avait appris plus jeune pour cacher la nourriture, elle avait tout essayait. Il ne resté rien. Aucune possibilité. Ethen s’imaginer déjà ce que la patronne des lieux serait capable de lui faire pour se venger de sa médiocrité. Elle craignait énormément le retour de bâton. C’était que cette femme, bien que remarquablement splendide, était tout simplement terrifiante. Elle avait un pouvoir d’intimidation prononcé sur l’humaine, ça elle ne pouvait décemment le nier. Cela avait était son erreur n’est-ce pas ? La laisser voir à quel point elle l’affecté. Quoi que, de puis qu’elle avait mit les pieds ici, il semblait que tout ce qui avait plus ou moins une poitrine avait un certain pouvoir sur elle. La magie de charme étaie tenace dans ces lieux, l’humaine pouvait le sentir.

Perdu dans le vague à l’âme de ses regret, Ethen n’aperçu pas tout de suite l’animal qui fila à travers la grande salle. Son œil ne capta que l’extrémité d’un éclair blanc. Froncent les sourcils, l’humaine se leva pour suivre cette mystérieuse chose qu’elle n’avait pas vue de puis le temps qu’elle tourné en rond dans cette demeure. Quand elle poussa la porte du bureau de Madame Rellyra avec précaution, Ethen resta sans voix devant la vision qui s’offrais à elle. Là, tranquillement sur le meuble en bois trônant au milieux de la pièce, une grosse boule de poile. Un chat. Un chat blanc et élégant, faisant sa toilette. Si ça n’avait était que ça, ça n’aurait pas était aussi déconcertant. Non, ce chat porté autour de lui, emmêler, une chaine qui semblait étrangement être en argent, avec une joaillerie qui pendait et ressemblé à n’en pas douté à une fleur maritime. C’est une plaisanterie. Ethen eu du mal à y croire. Tout ce temps a chercher encore et encore. A ce ridiculisé devant toute les employés de la maison, pour qu’au final ce soit un chat, certainement celui de la sirène, qui l’avait ? L’animal avait peut-être jouer avec les bijoux de sa maitresse, et c’était retrouvé enrouler dans ce collier, pour bien sur aller faire la sieste quelque part où ni Madame Rellyra, ni Ethen ne pouvait le trouver. Non, ça aurait était trop simple. Au moins la chasseuse fut rassurée. Ce cauchemar était bientôt terminé. Elle était sortie de cette impasse avec brio.

Son père lui avait dit une fois, de ne pas vendre la peau du cerfeuil avant de l’avoir tué, et Ethen aurait dû se souvenir de ça avant d’être soudainement si sur d’elle. Parce qu’attraper un chat n’était pas aussi simple que ça, même pour un chasseur. Quand l’humain se lança pour prendre le chat sur le bureau, celui-ci croisa son regard et Ethen fut certaine qu’il la défier. Une seconde plus tard l’animal partie en courant, et lui échappa en passant entre ses jambes. Retenant un grognement d’agacement, Ethen ce mit à courir après la boule blanche. S’en suivit une course poursuite folklorique a travers les couloires et les chambres de la maison close. Essayant de bousculer le moins de gens possible sur son chemin, chose difficile vue la situation, Ethen se retrouva plusieurs fois au cour de cette course dans des situations particulièrement cocasse. Pas besoin de les décrire, dans une maison close on peut l’imaginer.

Au moment même où Ethen pensa avoir coincer l’animal, elle se jeta sur lui. Seulement, au moment même, la porte au quel le chat était à dos s’ouvrit. « Ô, Polochon ! » Ethen sentit le terrible choque lui briser le nez. Tombant a la renverse, tout fut noir pendant un instant. Confuse, elle sentit son nez hurlé de douleur alors que le sang chaud commencer à abondamment couler de ses narines. « On dirait que vous avez fait du bon travaille. Vous avez trouvé et mon chat, et mon collier. » Levant difficilement les yeux, l’humaine croisa les yeux satisfait de Madame Rellyra. Ce tenant son nez douloureux, Ethen eu la politesse de répondre tout de même. « Un vrais, plaisir. » Une certaine ironie dans sa voix qui fit rire la dame. Très vite elle appela Costia, puise qu’elle était celle qui lui avait conseiller ses services, pour qu’elle vienne en aide à leur des à présent invité.


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Sam 30 Juil 2016, 23:53


Ce fut ainsi qu’Ethen se retrouva dans une chambre avec Costia au près d’elle. La sirène ne se gêner pas pour taquiner l’humaine sur cette journée, et cette bonne partie de nuit, complétement pittoresque. Malheureusement, rien ne pouvait défendre son honneur. Ethen, était bien forcer de simplement acquiescer, se sentant légèrement misérable alors que Costia continuer de s’occuper de son nez. Après avoir nettoyé et remit en place ce qui ne l’était plu, elle lui posa un bandage. « Tu ressemble à un enfant. » Ria-t-elle doucement. Ethen se renfrogna, se qui fit d’autant plus sourire la splendeur des océans. Une fois terminer, Costia posa un baiser sur son nez et lui offrit un clin d’œil. « Et voilas, fini. » L’humaine resta sans bouger, à nouveau friser. La sirène commencer a y être habituer et aimer bien l’effet qu’elle faisait à cette étrangère. Quand elle eu fini de nettoyé le matériel médical dont elle c’était servit, elle s’assit au coté de l’humaine qui n’avait pas broncher. Toujours stoïque, droite, mystérieusement impérial et adorable à la fois. « Dit moi, pommettes-chaude... tu porte un nom, par hasard ? » Ethen acquiesça simplement, mais quand elle comprit que cela ne suffisait pas dans cette situation, elle répondit, sous le sourire amuser de la sirène. « Ethen. » Costia s’approcha un peut plus d’elle. Un léger inconfort se ranima chez l’humaine. Elle n’aimait pas cette proximité. Elle se sentait vulnérable ici. « Jamais entendu parlé. J’aime bien. » Comme pour s’échapper de cette situation embarrassant, Ethen décida de concentré son esprit sur autre chose. « C’est réprouvé. » « Réprouvé ? » La sirène parut réellement déconcerté et pris le temps de jauger l’humaine. Ethen savait très bien à quoi elle pensé. « Mais tu n’es pas réprouvé. » « En effet. » Les réponses simple et rapide d’Ethen n’avaient pas l’air d’agacer Costia qui continua sa curiosité de travaillé. « Pourquoi un prénom Réprouvé pour une humaine alors ? » La chasseuse esquissa un sourire. Puis se tourna vers la sirène, ayant reprit toute sa raison. Elle juste encore un peut mal, mais tout aller bien. « Parce que je suis de sang-mêlé. » La sirène acquiesça simplement, l’explication lui convenait. Ça ce voyait de plus en plus, des mélanges de race. Elle fini par lui sourire. « C’est jolie. » Ethen ne trouver pas particulièrement, mais pour être polie, elle répondit quand même. « Ca veux dire "être sain d’êsprit." » et l’instant d’après Costia ce mit a rire comme Ethen avait rarement vu quelqu’un rire. Ce fut légèrement embarrassant pendant un moment, mais l’humaine attendu avec patience que la sirène ce calme. Quand ce fut le cas, elle s’essuya ses yeux humide de joie. « Pardon, mais c’est plutôt ironique, non ? »

Sans s’en rendre compte Ethen avait serré ses poings, se sentant légèrement insulté. Oui, elle avait eu l’air d’une folle de puis qu’elle était rentrée ici, mais elle n’était pas comme ça d’ordinaire. Il y avait quelque chose ici. Une chose qui l’avait perturbé, mais maintenant ça aller mieux. Il n’était pas obligé de lui faire remarqué, a quel oint elle avait eu l’air d’une idiote. Costia se contenta de rire devant la nouvelle rigidité de sa compagne. Posant une main sur sa joue, Ethen s’adoucie au contacte, sans réellement savoir pourquoi. « J’ai trouver ça adorable tu sais. » Elle posa pour la troisième fois ce jour là, ses lèvres sur la joue d’Ethen, la laissant confuse. « Pommettes-chaude. » ricana-t-elle avant de l’embrasser. Pris de cour, elle ne su trop quoi faire. Simplement transformé en statue. Qu’est ce qui se passait là exactement ? Cela n’eut pas l’air de déranger Costia. Sans attendre la porte s’ouvrit brusquement, faisant se séparé les deux femmes. Rellyra entra un petit sourire mutin à la bouche. « Je vois que Costia s’occupe déjà de tout. » Un clin d’œil échanger plus tard, la maitresse de maison se mit sa main sur la poigner de la porte. « Je tenais personnellement à vous remercier pour vôtre dévouement… spectaculaire d’aujourd’hui. Vous êtes la bienvenue quand vous le souhaitez mas chère. » Ethen acquiesça légèrement perdu, bien que satisfaite. « Je vous laisse en bonne compagnie, et espères que vous en profiterait bien. » Après un dernier regard entendu avec son employé, Rellyra disparut dans un souffle.

La seconde d’après Ethen fut attaquée par Costia. La sirène s’étant déjà arranger pour grimper à califourchon sur elle. Ses bras autour de son cou, elle lui offrait un sourire enjôleur. « Où en étions-nous ? » Ethen n’eut pas l’occasion de répondre, très vite pousser dans les draps du lit. La nuit fut longue, mais extrêmement enrichissante pour l’humaine. Voilas qui n’était pas exactement la « paye » qu’Ethen attendait, mais elle l’accepta malgré tout. Le lendemain, quand elle quitta la maison, Costia l’embrassa « Une dernière fois », car pour elle ça n’avait pas était une nuit de travaille. Costia sembla satisfaite et Ethen un peut déboussolé par tout ce qui venait de lui arriver. On lui répéta qu’elle était de tout temps la bien venu dans la demeure de Rellyra, mais Ethen n’imagina pas revenir de s’y tôt, même si quand elle repensa a Costia un sourire rêveur se forma sur ses lèvres.

- Fin -

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Les dessous d'une maison close - (Ethen)

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