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 La nuit féerique (RP pour tous)

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Lun 25 Nov 2013, 11:20

Tinuviel inclina doucement la tête sur le côté, comme elle écoutait le magicien répondre à son tour. Son sourire s’agrandit davantage à mesure, en particulier lorsqu’il conclu sur son appartenance aux protecteurs du bonheur. Bien sur qu’elle les connaissait… et même très bien. Toutefois, elle ne répondit pas tout de suite, se laissant amener sur la piste de danse, alors que la reine des fées venait d’ouvrir le bal. Elle laissa sa main se glisser dans celle de son cavalier et vint poser l’autre sur son épaule. Dyö montra immédiatement une certaine aisance, tant et si bien que l’elfe n’eut plus qu’à se laisser guider pour se mouvoir avec la grâce qu’un bel oiseau. Et lorsqu’elle senti ses pieds quitter le sol, pour s’élever doucement au dessus de la piste, elle ne pu retenir une petit exclamation de surprise. La sensation était bien nouvelle pour elle, mais étrangement agréable. Elle ancra alors ses yeux dans ceux du magicien, afin de partager avec lui l’émerveillement qu’elle ressentait en cet instant. Car Tinuviel était heureuse, heureuse de ce moment étonnement simple dans le plaisir qu’il procure.
Mais elle regretta aussi de ne pas avoir davantage d’occasion de s’amuser de la sorte. Sortir, mener sa propre vie, avoir des amis à elle : des idées qui commençaient à germer dans son esprit. En effet, depuis la catastrophe, l’elfe n’avait vécu qu’attachée à une unique personne, ne voyant qu’elle, n’aspirant à rien d’autre que de se laisser guider. Réaction bien naturelle, lorsque l’on connaissait l’impact qu’avait eu cet évènement sur elle. Traumatisée, blessée, elle ne s’en était pas sortie indemne. C’était une chose. Toutefois, de l’eau avait coulé sous les ponts. Aujourd’hui, elle réalisait qu’elle pouvait faire ses propres choix, qu’elle en était capable… aussi simplement que d’aborder un jeune homme pour danser. Oui, Tinuviel ressenti beaucoup de choses, pour une simple danse. Choses qu’elle abandonna bien vite, pour se recentrer sur le plaisir seul. Un sourire, une main qui se resserre, elle reprit le fil de la conversation.
« Je connais les protecteurs du bonheur, oui. C’est l’un d’eux qui m’enseigne la médecine. La magie blanche, c’est plutôt son domaine ! Enfin, j’apprendrais à m’en servir en temps et en heure… C’est vrai que c’est beaucoup plus rapide… Mais certaines personnes ont une résistance naturelle à cette magie, savoir faire des médicaments est donc un bon complément.
Elle parlait bien sur des humains dotés d’anti-magie, mais ce n’était pas les seuls : les élémentaux aussi résistaient à la magie blanche… se posait aussi la question des poisons, mais à ce sujet, Tinuviel n’était pas sûre des capacités de la magie blanche.  
« On dirait que nous avons pas mal de points communs finalement.
S’amusa t’elle. Puis, son regard s’aventura parmi les invités. Il se posa d’abord sur la reine des fées, avant de scruter le reste de la foule. Elle s’amusa à constater la diversité des races présentes. A son échelle, ce n’était bien sur qu’un simple divertissement, mais à celle des dirigeants, ce devait être un évènement diplomatique des plus importants. Du moins, c’est ce qu’elle pensa.
« La reine des fées est vraiment magnifique. Commenta t’elle, tout en songeant qu’il serait de bon ton qu’elle l’a salue à un moment ou un autre. C’est drôle, elle semble ailleurs…
Tinuviel avait murmuré cette dernière phrase. En tant que femme, elle sentait ce genre de choses. Toutefois, ne pouvant attribuer quelque sens à cette impression, elle accusa simplement la nervosité d’être à la charge des festivités.
C’est alors que son attention fut attiré par l’altercation entre Cocoon et un jeune homme qu’elle ne se connaissait pas. Elle eut à peine le temps de tourner les yeux en direction du bruit que l’orisha avait disparu. L’elfe eut tout de même le temps de l’apercevoir une brève seconde, juste assez pour le reconnaître. Légèrement troublée, elle se senti prise d’une impression étrange, qui n’avait rien à voir avec l’aspect inapproprié d’un tel comportement.
« Hé bien... Elle ignorait si ce dernier avait eu le temps de voir Cocoon ou non. Il y a pas mal de beau monde ce soir, je serais curieuse de savoir qui est qui.
Avoua t’elle avec un brin de malice.

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Lun 25 Nov 2013, 23:43


Une voix froide fit instantanément fondre comme neige au soleil mon malaise, ainsi que certaines appréhensions que j'avais à propos de cette soirée, pour faire naître en moi un sentiment de rancune et de colère que je m'efforçai de faire taire. Mon regard gris acier se riva avec froideur sur une jeune fille aux prunelles écarlates, et regrettai immédiatement mon geste oculaire, aussi infime fut-il. Certes, il était déplacé de la part d'une convive d'amener au cours de cette soirée qui se voulait festive des problèmes qui ne concernaient qu'elle et la jeune femme qu'était Myrialuna – et non la souveraine qu'elle était – mais le mélange de sombres sentiments qui s'étaient frayés un chemin jusqu'à mon cœur étaient issus d'une pensée bien trop extrême pour que je ne me sente guère coupable d'une telle agressivité de ma part. Comme quoi, me rapprocher de mon peuple avait également ses aléas : jamais je n'avais senti autant la partie sombre de mon être vouloir défendre avec un tel égoïsme aveugle la nature et ses avatars qu'étaient les Fées. Baissant mon regard vers le sol afin d'éviter celui de la reine ou de la jeune fille aux prunelles écarlates, je ne fus tiré de mes mornes pensées qu'à l'instant où une demoiselle aux oreilles pointues se jeta sur la jeune femme aux cheveux ébène qui venait d'offrir son présent à l'Edelweiss Eternelle. Et si l'Elfe offrit une salutation distinguée à la souveraine des Fées, il semblait que celle-ci était bien plus obnubilée par celle qui s'était décrite comme la fille de l'Edelweiss – et ouais, rien que ça. Occupé à compter les brins d'herbe sous mes pieds et à écouter d'une oreille plus ou moins attentive les propos que la jeune reine retourna à la dénommée Kitsune, je fus quelque peu surpris lorsque je remarquai du coin de l'oeil l'Elfe m'adresser une salutation semblable à celle qu'elle venait d'adresser à ma reine. Pour moi qui était habitué à être un individu insignifiant parmi tant d'autre, un tel égard ne pouvait que me laisser interdit... - d'autant plus qu'à côté de la reine des Fées, j'étais censé ne pas être si remarquable que cela.

Un sourire gêné se dessina sur mes lèvres lorsque, non contente de m'offrir un salut gracieux, l'Elfe fit un tour derrière moi pour venir me prendre le bras, ses yeux luisant d'une étincelle dont je n'arrivais guère à percer la nature. Et avec un certain enthousiasme – alors que l'une de mes oreilles pointues écoutait toujours la conversation entre la reine et sa prétendue fille – la jeune fille aux traits enfantins ne tarda pas à se présenter, tout en me forçant à me creuser les méninges pour savoir si je l'avais déjà croisée sur le Continent du Matin calme. Pour une raison mystérieuse, ma mémoire qui se voulait pourtant respectable avait quelques difficultés à mettre des noms sur des visages, et vice versa. Si bien que je ne tardai pas à lâcher l'affaire et à répondre sans trop me prendre le chou à la question de la jeune Elfe – qui me dirait bien dans quelles circonstances nous aurions pu nous rencontrer.

« J'travaille au Sanctuaire, il se peut que vous m'ayez déjà vu s'il vous arrive de fréquenter ce coin-là, fis-je en maudissant intérieurement mes anciennes manies de langage qui revenaient au galop et qui n'étaient guère des plus élégantes. Moi c'est Enzel. »

Du coin de l'oeil, je surveillais l'échange entre ma reine et la dénommée Kitsune, sur laquelle je m'efforçai de ne pas user de l'éternel secret malgré la curiosité – presque malsaine – qui me rongeait à son égard. J'avais affirmé à Myrialuna que je pouvais être un soutien pour elle, mais cela ne signifiait pas que je devais la materner toutes les heures de la journée et que je devais me mêler de tous ses problèmes à sa place. Je reportai mon attention sur l'Elfe qui s'était plus ou moins pendue à mon bras, pour ne pas le laisser partir – comme si je risquais de partir quelque part, alors que j'avais une danse à effectuer avec une cavalière qui avait encore plus de retard que moi.

« Je vous avouerais que j'ai aussi l'impression de vous avoir déjà vue, poursuivis-je. Et j'vous avouerais aussi que ma mémoire n'aimant pas franchement me servir quand j'en ai vraiment besoin, je ne saurais pas vous en dire plus, ajoutai-je avec une pointe d'auto-dérision. »

Constatant que la discussion entre Kitsune et Myrialuna touchait à sa fin, je posai doucement ma main sur celle de l'Elfe, et me défis le plus délicatement possible de son étreinte, avec un sourire d'excuse.

« J'me vois obligé de vous abandonner quelques instants, ma reine va avoir besoin de moi. Mais si vous le souhaitez, je pourrais vous offrir une danse tout à l'heure. Vous pourrez me dire à ce moment-là si ma mémoire me fait réellement défaut. »

Après avoir adressé un nouveau sourire à l'Elfe, je m'approchai de ma reine, songeant distraitement que ce qui me fatiguerait plus qu'autre chose au cours de cette soirée ne serait pas la danse, mais ces exercices oratoires que je m'efforçais d'effectuer en adoptant un parler quelque peu plus soutenu qu'à mon habitude. Probablement que j'allais craquer avant la fin et en revenir à mes travers de langage courant... Mon sourire s'effaça de mes lèvres lorsque la Fée aux cheveux couleur neige s'approcha de moi pour me confier l'identité de celle qui venait de l'importuner, et je posai un regard peiné sur l'Edelweiss Eternelle. Oui, je savais à quel point la disparition de son âme-soeur l'affectait. Mais je ne pouvais également m'empêcher de penser que quelque chose n'était pas juste dans la manière de penser de ma souveraine. Je gardai néanmoins le silence et refermai doucement mes doigts sur ceux de Myrialuna, faisant apparaître mes ailes de noir de jais entre mes omoplates. Et alors que nous nous élevions dans les airs, je sentis l'air être affecté par la magie des Fées, et imprégner chacun des convives qui auraient le plaisir de profiter de la danse féerique. Moi-même ne tardai guère à tendre mon esprit vers chacune de ces fleurs qui nous accompagnaient au cours de nos embardées aériennes et sentis toute appréhension me quitter, pour ne laisser place qu'au plaisir du spectacle féerique.

« Oubliez-vous quelques instants, fis-je doucement à ma reine en lui offrant un doux sourire. »

Et, avec une audace que je n'aurais guère possédé en temps normal, j'initiai notre danse, d'abord avec douceur, alors que mes ailes s'illuminaient et laissaient pleuvoir sur le monde cette lueur que j'avais empruntée à l'astre solaire au cours de l'après-midi ayant précédé la soirée. Peu à peu, je me laissai enivrer par le parfum et la joie des fleurs, et m'appliquai à pirouetter avec grâce dans les airs, ma main ne lâchant celle de l'Edelweiss uniquement pour la retrouver quelques instants plus tard, suivant instinctivement les pas de danse qui étaient gravés bien plus dans mon corps que dans mon esprit. Virevoltant avec fantaisie et en harmonie avec la nature et sa musique, la souveraine et moi dansions, dans les airs, alors qu'une fois de plus, l'extase du spectacle conquérait tout mon être. J'ignorais tout de l'état des pensées des convives, mais j'espérai de tout cœur que notre ballet féerique ferait écho dans leur cœur, afin que naisse cette envie de danser parmi les fleurs qui était l'apanage de notre peuple.

La première partition achevée, je refermai de nouveau mes deux mains sur celles de Myrialuna, sortant peu à peu de la transe dans laquelle m'avait plongé la danse, et m'efforçant de ne pas rougir de l'audace dont je venais de faire preuve au cours de celle-ci – pour tout dire, j'avais totalement oublié cette gêne que j'éprouvais à l'égard de la souveraine le temps du ballet.

« Ma reine, lui dis-je à voix basse, cela va peut-être vous sembler impertinent, mais vous devriez lui parler. Quand bien même je le désirerais, ce n'est pas à moi de régler un conflit existant entre une mère et une fille. D'autant plus que je doute qu'elle m'accorde un crédit quelconque. Si vous l'aimez, c'est à vous de le lui montrer, pas à moi. Je crois qu'elle a besoin de le savoir. Je sais que ce n'est pas facile, mais... vous devriez essayer. Ca vous aiderait autant qu'elle. »

Au final, cette jeune fille était semblable à Myrialuna. Et plutôt que de demeurer dans la distance et l'adversité, il aurait été autrement plus profitable pour les deux femmes qu'elles se rapprochent, quand bien même cela devait également se faire par la douleur d'une disparition d'un être qui leur était tous les deux chers. Je ne connaissais pas Kitsune. Et il aurait été de ce fait malvenu de ma part de tenter de faire quoi que ce soit pour elle et Myrialuna. J'estimais que ce genre de problème requérait de l'honnêteté, et non des intermédiaires tels que moi, même pleins de bonnes intentions. Je détournai mon regard de celui céruléen de l'Edelweiss.

« Pardonnez-moi. »

Autant pour mon impudence que pour mon incapacité à faire quoi que ce soit vis-à-vis de Kitsune. Mais cela, je le gardai sous silence, laissant doucement s'échapper les mains diaphanes de la reine des Fées avant de virevolter dans les airs en semant derrière moi une poussière d'étoile pour venir me présenter devant Fonille et lui tendre la main pour l'inviter à me rejoindre dans les airs afin de débuter une nouvelle danse.

« Qu'en dites-vous ? fis-je avec un sourire espiègle. »

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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

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Mitsu
Mar 26 Nov 2013, 20:43

Mitsuko avait longtemps hésité à se rendre à la soirée organisée par la nouvelle Edelweiss éternelle. Cependant, son amour pour les fées l'avait largement emporté sur sa préoccupation nouvelle de savoir où était Naram. C'était une sorte de cache-cache malsain auquel elle se livrait car, chercher le génie et, surtout, le trouver, était impossible à cause des vœux qu'elle avait réalisé pour le jeune homme. Ainsi, il possédait une partie de son âme et elle ne pouvait lire en lui comme dans un livre ouvert. Cette malédiction l'exaspérait, surtout à présent qu'elle avait pris une grande décision. Il serait le seul à pouvoir se tenir à ses côtés pour cela car son époux ne voulait pas entendre parler des Aetheri. De plus, comme l'homme avait élu domicile dans le désert de glace, elle doutait qu'il souhaite se livrer à une quelconque guerre contre autrui. La guerre qu'il livrait n'était que contre lui-même. C'est pour toutes ces raisons qu'elle avait besoin de Naram. Seulement, tout comme Jun, il semblait introuvable. A croire que les deux hommes qui n'avaient cessé une seconde de la côtoyer durant toute sa vie durant avaient cru opportun de disparaître en même temps. Ces deux idiots ne méritaient sans doute pas qu'elle les cherche et, au final, sa raison lui disait qu'ils se présenteraient à elle le moment venu, ou, alors, lorsqu'elle s'y attendrait le moins. Cesser de chercher Naram, continuer à ne pas chercher Jun, voilà ce qui semblait être la meilleure option. Elle allait les ignorer, tous les deux et, peut-être que se sentant délaisser, ils viendraient à elle d'ici peu.

C'est avec ces pensées en tête que Mitsuko arriva à cette nuit féerique, non sans avoir, au préalable, placé la couronne des génies sur le sommet de son crâne, couronne qui disparut dès qu'elle y fut nichée. C'était le seul moyen qui lui était donné pour être mortelle, quoi que piètre consolation puisque génies et Aetheri n'étaient pas si différents, surtout lorsque l'on partait du principe qu'elle était de loin la plus puissante génie de ces terres une fois l'artefact en place. Elle s'était toujours demandée ce qu'il se passerait si on la tuait dans cet état mais la question restait sans réponse et le resterait encore longtemps probablement car tuer un génie sans habitacle n'était guère chose aisée.

Regardant les alentours avec une certaine lassitude, elle ne fit pas réellement attention aux individus qui se trouvaient là. Après tout, si sa condition d'Aether était déprimante, celle de génie ne l'était pas moins. Elle réfléchit un instant, ayant envie de faire quelque chose de totalement fou, quelque chose qui la changerait de son quotidien terne. Aussi, retrouvant le sourire, elle s'avança vers la première personne qu'elle trouva : un homme assis sur un banc. Se plantant devant lui, elle s'éclaircit la gorge avant de lui dire d'un ton amusé : « Faites donc un vœu. ». Son regard émeraude attendait que l'homme la regarde alors que sa robe d'un rouge bordeaux ondulait doucement autour de ses jambes. Ses cheveux suivaient le même schéma, sa magie à l’œuvre sans qu'elle ne la commande réellement. Cette nuit, elle serait le génie de cet homme, un génie gratuit, qui pouvait rompre le contrat à tout moment, choisir ou non d'introduire un malus, choisir ou non d'exhausser les souhaits, choisir ou non d'emmener son maître dans le monde de la poussière d'étoiles, dans le monde du fantastique. Que pouvait-elle faire ? Sans doute tout ce qui était possible, sans doute bien plus que lorsqu'elle revêtait son costume d'Aether. Les dieux de rangs inférieurs n'étaient que des ombres de ce qu'ils avaient été et ce n'était que lorsqu'ils choisissaient au moyen d'un artefact de rompre avec cette immortalité qu'ils se rendaient compte ô combien ils étaient puissants. Pour le meilleur et pour le pire.

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Mer 27 Nov 2013, 02:06

Il continuait a marcher au milieu des fleur géante et appelait Lysis tout en commençant une discussion qui semblait plus avec lui même qu'avec quelqu'un d'autre. Pourtant il était sur et certain que Lysis l'entendait. Il la connaissait. Elle pouvait avoir toute les intentions du monde de partir, de le fuir, jamais elle serais partie sans un adieu ou un au revoir a sa manière. Malgré se qu'il se disait il commençait a douter quand quelque minute c'était déjà écouler. Alors qu'il commençait a se résigner et déjà se morfondre d'avoir été asser stupide pour la laisser partir, il se sentait comme tiré vers la droite. On ne l'avait pas tiré avec une grande force mais mélanger a la surprise cela avait été suffisant pour le faire déséquilibré.

Il c'était fait tiré en direction d'une fleur et en moins de deux seconde il avait disparu comme s'il n'avait jamais été la. Il était prés a se défendre une fois dans la fleur et était étonné aussi que son assaillant l'ai aidé a maintenir son équilibre. Son agressivité disparaissait en entendant les sanglot de la personne qui l'avais entouré de ses bras et était rester derrière lui. Une partie de son être se détendait même en reconnaissant Lysis, mais de l'entendre sangloter ne lui faisait pas vraiment du bien. Qu'avez elle pour agir aussi bizarrement. Elle fait tout pour disparaître et ensuite elle fait tout pour le retrouver. Qu'est ce qu'elle avait. Son être qui c'était calmer commencer maintenant en pensant a cela a s'inquiéter.

Il avait voulu se retourner pour voir se qu'il se passait avec Lysis, mais c'était a se moment qu'elle prenait la parole d'une voix étouffé. Cela lui coûter cher de dire ce qu'elle disait et il était presque sur que s'il se retournait elle ne pourrait plus parler. Comme si de le voir de face aller lui couper la parole. C'était pour cette raison qu'il rester comme il était et n'offrait aucune résistance a Lysis. Pendant que Lysis parlait, Xiérel ne disait rien. Ses nouvelles lui faisait mal. Lui qui avait juré de ne jamais faire de mal a Lysis. Voila qu'il l'avait fait rien qu'en restant a ses côté. Il attendait qu'elle ai fini avant de prendre la parole et ne pouvait avoir qu'un sourire triste en entendant la phrase de fin de Lysis. Il avait eu un léger sursaut aussi en entendant Lysis lui dire qu'elle l'aimait. Jamais elle ne lui avait vraiment dit il le savait c'est tout et nombreux était les fois ou lui il lui avait dit mais elle c'était la première fois.

"Oui je pense aussi que sa aurait été plus simple. J'ai je pense d'ailleurs tenté de t'oublier mais plus j'essayais de t'oublier et plus fort ton souvenir revenait. Pendant tout ses jours de ta fuite Lysis, tu n'as cesser d'être dans mes rêve et mes pensé jour après jour. Je n'avais qu'une chose en tête. Te retrouver."


Sa voix était basse et elle commencer elle aussi a s'étouffer. Ses mains travailler par le temps et le maniement de l'épée se déposait sur celle de Lysis. Il ne pouvait la prendre dans ses bras mais il lui fallait se contacte avec elle, comme s'il était en manque et il l'était. Il était en manque de Lysis.

"Après ton départ j'ai essayait de t'oublier mais c'était impossible les seul chose qui arriver te cacher un peu de mon esprit était la connaissance et l'alcool. Pourtant même cela ne m'a pas empêcher de quitter Stenfek quand j'ai entendu des rumeur sur des inconnus, pensant sans cesse que sa pouvait être toi."


Un larme commençait a rouler sur la joue du Réprouvé pour couler sur la main de l'elemental. Ce n'était pas seulement une larme de tristesse mais aussi de joie. La joie d'avoir retrouver Lysis et pourtant la peine d'être le centre de ses problèmes. Que pouvait il faire pour la soulager. Il était prêt a tout pour elle. En pensant a l'élémentaire qui habitait dans le corps de Lysis et a se qu'elle avait dit, Xiérel ne pouvait s'empêcher de lâcher un petit rire ou rien d'autre que la tristesse était a entendre.

"Je savait bien que se jour la je ne m'étais pas fait une amie mais ne peut elle pas te laisser en paix. Veut elle a tout prie gâcher ta vie. Pourquoi juste pour le plaisir?"


Il n'attendait pas vraiment de réponse de la part de Lysis. Il avait rencontré déjà une fois l'élémentaire de l'air et avait vue que par simple envie elle pouvait tuer. Il y avait une solution pour régler le problème de Lysis mais il ne voulait pas y penser tout de suite. Il devait y avoir une autre solution et pourtant il ne voyait que celle la. S'il voulait que Lysis retrouve la paix, il devait la quitter pour son bien a elle. Au moins comme sa il était sur de ne plus la faire souffrir et était sur qu'elle reste elle même. Sa pouvait paraître égoïste de ne pas vouloir prendre en compte cette solution et c'était même égoïste, mais je voudrais bien vous y voir a sa place.

Malgré ses vêtements il sentait la tête de Lysis contre son dos et son souffle contre ses vêtement. Ils étaient tellement bien la ensemble l'un contre l'autre. Si seulement il n'y avait pas tout ses problèmes. Jamais Xiérel ne se serait douter de la tournure que les choses allaient prendre en participant a se bal. Sa voix avait reprit un peu de forme et de sûreté.

"Lysis je ... Je suis désolé pour tout le mal que je t'ai fait. Je ne suis qu'un sombre idiot qui ne pense qu'a lui. Je n'ai pas pu voir que tes problèmes venait de moi. Je ne mérite même pas de te revoir après toute la peine que je t'ai faite."


Il ne pouvait plus lui parler comme il le faisait. Pour se qu'il allait dire il voulait la regarder dans le blanc des yeux ....sans Vouloir faire un mauvais jeux de mots. Il arrivait asser facilement a se libéré de l'étreinte de Lysis et a se tourner vers elle. Du premier regarde il pouvait voir que l'air se mêler encore une fois de leur histoire personnel.

"Lysis si par ma présence ... Si par le simple fait d'être a tes côté je te fait souffrir."


Sa gorge commençait a se noué et les derniers mots qu'il voulait lui dire ne voulait pas sortir. Il avait du faire un effort monstre pour les prononcé.

"Je ... Je préfère alors disparaître. Je préfère partir et te savoir en paix et sain d'esprit. Je préfère être alors loin de toi et laisser cette victoire a l'air."


Tout en parlant il avait prit la tête de Lysis entre ses mains et l'avait regarder droit dans les yeux sans tourner le regarde ou faire quoi que se soit pour détourner l'attention.

"Mais avant de partir je voudrait que tu m'accorde se dernier baiser."


c'était sans vraiment attendre de réponse qu'il embrassait Lysis comme il ne l'avait encore jamais fait. Il voulait marquer se baiser car sa serait sûrement leur dernier. C'était un baiser long et sensuelle. Sa langue faisait entré celle de Lysis dans une douce et pourtant frénétique danse. C'était un baiser que seul Lysis gouterait. Un baiser remplit d'amour et de passion envers sa bien-aimé. Puis après de longue seconde, Xiérel stoppait cette danse pour détacher le bracelet que Lysis lui avait offert et l'attacher au poignée de cette dernière. Seulement après il reculait de quelque pas.

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Mer 27 Nov 2013, 03:34

Je me sentais si bien coller contre lui. Je voulais rester là éternellement. Je voulais sentir sa chaleur contre ma peau. Un doux frissons se fit sentir quand il commença à parler. Je sais bien que je l'avais entendu parler plus tôt, mais on dirait que le fait qu'il sache réellement que c'est moi, cela créa un certain réconfort au plus profond de mon être. Je l'aimais, je l'avoue et je pourrai le crier haut et fort désormais. Je n'avais jamais oser lui dire je t'aime parce que j'avais peur de mes sentiments auparavant. J'aimais un autre homme, mais l'amour que j'avais pour Khan n'était pas comme celui que j'ai pour Xiérel. Un amour pur et véritable. Un Amour qui crée des rêves par le simple contact de l'autre. La seule absence de l'autre pouvait causé un sentiment de manque aussi fort que l'Orine envers son maître.

Je sentis soudainement sa main sur la mienne. J'avais l'impression qu'elle était devenu plus robuste. Une main plus forte comme si les efforts du passé l'avaient rendu plus résistante. Cependant, je restai toujours à l'écoute de mon bien-aimé qui me comptait sa vie depuis mon départ. Il avait sombrer dans l'alcool... Cette nouvelle m'avait fait comme un couteau. J'avais fait en sorte que mon amour devient attaché à des rêves superficiels... Je m'en voulais, mais cela semblait être du passé à la façon qu'il me le disait.

Je sentis par la suite une larme sur ma main. Par ce simple touché de cette infime goutte sur ma main, j'avais l'impression d'avoir atteint un aspect de lui que j'avais presque oublié. Cet homme si fort et courageux laissait cacher un homme talentueux qui était simplement amoureux d'un amour impossible. Il était si doux et si fragile. Même si j'étais en état de vulnérabilité en ce moment, j'avais l'impression que si je refermais plus fort mon étaux sur lui, il allait tomber en poussière.

Suite à ce moment de révélation du passé, il fit une petite touche d'humour à sa façon. Je crois que je n'avais pas besoin de dire quoi que se soit sur ce point. Il le savait. L'air n'est jamais sereine. Elle ne veut que ma souffrance et la mort de ce monde. Elle ne me laissera en paix qu'à ma mort je crois bien. Je commençais à paniquer à l'intérieur de moi. L'air me tiraillait comme jamais, mais elle était devenue moins forte suite à cet un an d'absence de force.

Le temps des excuses se firent entendre. Il s'excusa pour un tord qu'il n'avait même pas fait. Il n'avait rien à se reprocher après tout. Tout était uniquement de ma faute. J'aurais jamais dû me sacrifier pour ce jeune homme dans mon passée. Nous aurions pu vivre simplement ensemble sans elle... Cependant, j'ignore si nous aurions pu se connaître sans elle... Je me sentais tellement triste. Pourquoi tout cela m'arrivait à moi? Je ne voulais que son bonheur à lui aussi et on dirait que ce bonheur était rendu impossible. Comment vivre loin de celui que l'on aime? Je crois que cela est impossible...

Tranquillement, je sentis son corps s'éloigner un peu de moi. Il allait partir? Non, il se retournait seulement. Il attrapa délicatement ma tête et mon regard blanc entra dans le sien si profond mais où je pouvais voir de la poussière d'étoiles à l'intérieur. Cependant, ces étoiles devinrent cacher par la tristesse de ses paroles. Il avait décidé de partir par lui-même. Je n'en revenais pas. Je ne voulais pas. Par contre, l'air était heureuse comme jamais. Elle voyait tout ce qui se passait en ce moment et on dirait que cela lui faisait sa journée. Je ne voulais pas, je ne voulais pas... Je me sentais si faible soudainement. Je me sentais comme un enfant qu'on venait lui annoncer la mort de ses parents. Une larme se mit à couler tranquillement sur ma joue à sa nouvelle. Je ne pouvais croire de telles paroles de sa part.

Il me demanda une dernière chose, un baiser. Je n'avais même pas eu le temps de répondre que nos lèvres se furent en contact. Un contact si doux et remplis d'amour. Un baiser qui réchauffe le coeur des âmes solitaires. Je sentis qu'on me demandais pour une danse qui ne pouvait se faire qu'uniquement à deux. Une danse où la chanson de l'amour était le seul rythme qui pouvait nous guider. Je me laissai emporter et j'oubliai même le temps. Je me sentais simplement si bien dans cette danse qui était si longue, mais si agréable. Je sentis même l'air sortir par elle-même pour nous entourer pendant notre bref moment d'intimité. J'aurais aimé rester ainsi pour l'éternité, mais toute bonne chose à une fin il parait. Il se décolla de ma bouche et il pouvait voir que j'étais complètement redevenu moi-même. J'étais redevenue la frêle jeune femme au cheveux blancs qui étaient rendu beaucoup trop loin maintenant. Je n'avais pas changé à part les cheveux depuis son départ.

Quand il m'offrit mon cadeau, cela fut la goutte qui fit déborder le vase. Je lui avais donner en cadeau pas pour qu'il me le redonne... Je regardai l'objet entre mes mains. Les petits coquillages brillaient de mille et un feu. Je me mordis les lèvres. L'air avait vraiment gagné... Je levai mon regard vers Xiérel avec des larmes qui chutaient. Je ne voulais pas le laisser... Je ne savais plus quoi faire. J'étais prise dans une situation si troublante. Je décidai de me vider le coeur.

- Je ne... Je... Pourquoi? IDIOT!

Je projetai le bracelet à terre de toutes mes forces. Ce dernier se défit et les coquillages tombèrent à terre. Pour ma part, je passai au travers des pétales et je me fusionnai avec l'air. Je fuyais encore et toujours, mais je ne crois pas qu'il y aura de retour en arrière cette fois-ci. Je m'envolai dans le ciel. Je n'avais qu'une place dans ce monde qui démontrait toute ma désarroi et j'allais y retourner pour surement finir ma vie dans ce lieu...

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Mer 27 Nov 2013, 07:45

Tranquillement perdu dans ses pensées, une bouteille à ses côtés et piochant de temps à autres dans son assiette, l'Ombre avait perdu de vue la petite fête. En fait, il était tout simplement déjà parti, peut être pas physiquement, mais c'était le cas mentalement. Il serait bien parti, mais tout comme pour la raison qu'il était venu, il ne pouvait pas s'éclipser avant la fin. C'était malheureux mais c'était ainsi. Et bon, on ne pouvait pas dire qu'il était des plus mal loti. On lui foutait la paix, il avait de quoi se sustenter et surtout, il gênait personne dans son coin. C'était presque parfait non ? Bon, il était vrai qu'ainsi, il ne se mêlait pas vraiment aux gens comme il aurait du le faire. Mais au moins, tout le monde était heureux. D'une certaine façon. C'est simple la vie, non ? Oué, personne n'y croit. Quoiqu'il en soit, c'était ainsi et ça le resterait probablement toute la soirée. Jusqu'à l'entière fin, jusqu'à ce que Raeden puisse quitter le bal sans paraître mal poli ou que cela ne lui retombe dessus par la suite.

Il y a apparemment dans ce bas monde des gens qui ne peuvent s'empêcher d'aller vers les autres. Peut être parce qu'ils sont ouverts, curieux, jovials ou alors parce qu'ils aiment emmerder les gens. Quoiqu'il en soit, l'Immortel mit plusieurs secondes avant de réaliser que quelqu'un se tenait devant lui et surtout, que cette femme voulait qu'il lui demande un vœu. Une génie. Manquait plus que ça. Il n'avait rien contre elle, mais il avait déjà deux génies dans sa besace dont un qui sortait trop souvent à son goût pour lui demander encore et encore qu'il voulait bien faire un vœu. Pendant une breve seconde, l'homme ferma les yeux en priant très fort pour que ni Papy ni Izis n'aient entendu les quelques mots de la femme en face de lui, depuis leur habitacle. Mais rien ne se passa … ses génies devaient donc certainement bien se tenir … ou alors ils préparaient un sale coup pour après. Pourvu que ça soit la première solution !

Raeden releva la tête, rouvrant les yeux, pour les fixer sur la personne en face de lui. Il esquissa un maigre sourire à son attention, pour ne pas paraître impoli. Après tout, elle semblait dégager une telle joie de vivre, un tel plaisir d'être ici que l'Immortel ne pouvait décemment pas lui gâcher cela. Alors, cela voulait-il dire qu'il devait répondre favorablement à sa demande ? Tout le monde savait que les vœux des génies n'étaient jamais sans contrepartie. Et que même des fois, ils se révélaient plus catastrophiques que bénéfique. Devait-il tenter le coup ? Il en avait fichtrement aucune idée.


Pourquoi ne vous asseyiez vous pas ? Un peu de nourriture ? De boisson?

Il s'écarta légèrement sur le banc pour lui faire de la place, avant de nouveau de la regarder en silence. Il n'était nullement en train de la mater. Il était juste plongé dans ses pensées à se demander les portes qui s'offraient à lui présentement.

Et vous ? Aimeriez vous faire un vœu?

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Mer 27 Nov 2013, 14:01


C'était agréable que des personnes en reconnaissent d'autres sans avoir l'obligation de se présenter. Ophalee sentit cette petite bouffée de chaleur au niveau du torse, assez plaisant et assez revigorant. Elle se sentait importante, enfin, bien différemment que d'habitude. Et elle salua la mise en garde de la reine des fées qui se comprenait parfaitement ; néanmoins il y avait bien des idiots sur cette planète et Myrialuna le verrait assez vite.

Lorsqu'elle lui eut offert le présent symbolique, elle vit un étonnement sur le visage de Myrialuna qui ne s'attendait certainement pas qu'on lui offre quelque chose de ce genre. Néanmoins, Ophalee put voir un sourire se dessiner sur les lèvres de la fée et des yeux bienheureux qui accentuèrent la sympathie de la Reine des béluas en cette soirée-ci. Cela donnait du baume au cœur que des personnes puissent apprécier quelques présents. « Bien. » souffla la Déesse totem, ravie qu'on ait accepté le cadeau. « Oui, nous aurons tout notre temps un autre jour, en attendant... Profitez bien de votre soirée et n'oubliez pas que c'est la votre. » conclut Ophalee qui tapotait l'envers de la main douce de l'Edelweiss. Quand soudainement, une arrivée ébranla l'heureux événement entre les deux reines. C'était une petite femme qui devait à peine avoir l'âge d'Ophalee, voir carrément moins. Voyant que là n'était pas ses affaires, Ophalee se recula tout en regardant l'homme de la Reine qui se tenait d'ailleurs, tout au près d'elle. Elle ne l'avait pas remarqué jusque-là du fait de l'échange assez bref.

Il était temps pour elle d'aller fêter un peu la soirée de l'Edelweiss. Et c'est dans cette optique qu'elle recula encore jusqu'à rencontrer un corps qui la serra si fort – enfin, du mieux que la personne pouvait. Elle voulut se retourner mais n'eut pas le temps. C'était Fonille, la joyeuse elfe. Un sourire s'afficha sur les lèvres de la bélua qui accueillit sans autre mal la fille de son amie. Comme à son habitude, Fonille était assez vive et bavarde pour qu'on ne puisse lui répondre. Lorsque Fonille en eut fini avec elle, Ophalee éclata de rire et dit « J'espère que ta mère n'est pas trop loin, j'aurai à parler avec elle. »

Elle vit rapidement l'elfe se défaire de son emprise pour aller attaquer une autre personne : l'homme de main de la reine des fées. Ophalee n'était pas sa mère et ne pouvait rien lui dire. Et de toute façon, l'elfe n'en faisait qu'à sa tête et quoique l'on dise, ses soixante ans l'avaient bien forgé. Elle avait pourtant l'air si jeune que cela en était tout à fait amusant, alors qu'Ophalee n'abordait même pas un cinquième d'un siècle, Fonille quant à elle, s'en rapprochait de plus en plus.

La déesse totem n'eut pas le temps de s'écarter bien plus puisque Myrialuna alla annoncer les suites des festivités. Elle vit bientôt Fonille revenir vers elle et lui demanda « Alors, ton cavalier ? Tu l'as capturé et mis dans ta poche ? Tu sais, il faut danser avec les gens, pas les voler. » Elle déposa une main affectueuse sur le haut du crâne de l'elfe, effleurant ses oreilles pointues. Remarquant la mine légèrement déçue de son amie, Ophalee s'approcha du buffet et lui présenta un grand verre d'eau clair « Cela guérira tes peines ! » dit-elle dans le jeu avant de regarder le ballet qui s'élevait dans les airs.

Depuis qu'elle était arrivée, des personnes dansaient déjà dans les cieux mais là, le fait que du monde s'élève et pas des moindre, rendait l'atmosphère encore plus formidable. L'oiseau qui l'avait plus tôt accompagné réapparu sur son épaule en sifflotant. Cette fois, la bélua le chassa d'un coup de main. « Allez oust, j'ai autre chose à faire et toi aussi. »

Fonille quant à elle, avait déjà disparu. Ophalee ne s'en inquiéta pas.


[spoiler=Résumé]3e post

DONC, Ophalee et Myria s'entendent bien. Ophalee s'écarte lorsqu'il y a Altercation, on lui saute dessus, aucun verre n'est cassé, elle parlote, elle vit tranquillement.
Jusqu'à ce qu'un oiseau lui apparait sur l'épaule qu'elle chasse d'un coup de main en lui parlant

Si quelqu'un souhaite danser avec Ophalee, faites! Elle sera toute ouïe (:111:)[/color]
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Mitsu
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Mitsu
Mer 27 Nov 2013, 23:24

Étonnant. C'est ce que Mitsuko pensa en rencontrant le regard de l'homme qui était assis ici. Tout d'abord, il s'agissait d'une constatation physique qui ne pouvait passer inaperçue pour elle : cet homme ressemblait légèrement à Vlad. Cependant, cela n'aurait pu la faire s'étonner. Non, il y avait autre chose et cette chose était ses paroles. N'avait-il donc besoin de rien pour lui demander de s'asseoir, pour lui demander de boire et, pire encore, pour lui demander si elle aimerait faire un vœu ? C'était tellement plaisant au fond. Après tout, qui demandait aux génies s'ils souhaitaient ? Qui rechignait à voir ses espérances se réaliser ? Personne. Elle ne dit rien un instant, un fin sourire se dessinant lentement sur ses lèvres rosées. Finalement, il lui semblait qu'elle n'avait pas perdu son temps à venir ici puisqu'il y avait encore des mortels qui en valaient la peine, autres que ceux qu'elle avait déjà rencontré. Pas qu'elle s'ennuie en leur compagnie, simplement qu'elle ne cessait de régler des affaires de justice les concernant, des petits rien. Elle ne cessait de les tromper en prenant l'apparence de soi-disant mortels qui éparpillaient ses paroles aux quatre coins des terres du Yin et du Yang. Ce jeu était pire que celui auquel devaient se livrer les rois, un jeu de tromperie qui ne l'amusait pas car ses adversaires n'étaient pas à la hauteur. C'était comme faire combattre un chat et un tigre dans une arène. Le spectaculaire ne pouvait se créer, tout était prévisible et c'était cela qui la rendait malade. Les seuls adversaires qu'elle pouvait trouver étaient les Aetheri et selon les lois qui régissaient le monde, ils n'avaient aucun droit de se livrer bataille, hormis dans une plaine dans l'univers à laquelle elle n'avait pas encore accès. Et, en plus de cela, le seul homme qui pouvait la distraire convenablement lui avait fait l'offense de disparaître. Quel ennui. Elle ne retrouvait son souffle de vie, ce pétillement, qu'auprès de Zéleph et elle préférait mourir plutôt que de devenir femme au foyer. Alors oui, entendre un individu lui rétorquer sa question, comme un refus, l'étonna, éveilla sa curiosité. Elle s'assit à ses côtés avant de murmurer. « Savez-vous au moins quelles conséquences pourrait avoir votre question si jamais vous étiez en mesure d'exhausser le seul vœu que j'aimerai faire ? ». Elle sourit. « Mais vous ne le pouvez pas, n'est ce pas ? ». Ce n'était pas réellement une question, plutôt une affirmation sous forme de question. « De ce fait, je suppose que je peux vous répondre que oui, j'aimerai éperdument faire un vœu, un qu'aucun génie ne pourrait exhausser. ». Celui de redevenir mortelle, de sentir de nouveau le danger, la présence de la mort trôner au dessus d'elle. C'était cela son vœu le plus cher, ce pour quoi elle devait se battre, évoluer pour gagner sa liberté.

« C'est gentil mais non merci. ». Elle ne voulait rien, notamment parce qu'en tant que génie, elle ne ressentait pas le goût des choses. Elle pouvait les imaginer, les feinter, mais elle ne les apprécierait pas. Un génie ressentait le manque de sommeil mais quand il dormait, ce n'était jamais réparateur, comme une malédiction de plus. Mitsuko réfléchit, elle ne pouvait pas laisser là cet homme qui avait su la surprendre d'une façon pourtant si simple. La dernière fois qu'elle était venue ici, c'était pour contempler les fées danser et, justement, c'était justement ce qui commençait : un ballet féerique ouvert à tous. Elle rit, argumentant alors : « Cela dit, si vous voulez réellement exhausser l'un de mes souhaits, un qui se trouve à votre portée, pourquoi ne m'inviteriez vous pas à danser ? ». Elle n'allait pas le lui demander directement car, selon son éducation, une femme n'invitait jamais un homme. Non, la femme avait un rôle plus discret mais non moins essentiel : celui d'envoyer les signes, celui d'amener l'homme à prendre l'initiative. Du moins, c'est sans doute ce que son ancêtre aurait dit. Elle espérait que celle-ci jouissait de son statut de démone si durement acquis.

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Jeu 28 Nov 2013, 01:30

Il c'était attendu a la réaction de sa bien-aimée. Comment d'ailleurs aurait elle pu réagir autrement. Après tout il venait de l'embrasser pour se qui semblait être la dernière fois et lui avait dit qu'il la quitter. Certes il la quittait pour qu'elle puisse enfin vivre en paix sans être tourmenter par l'air. Il le faisait pour le bien de Lysis. Entre deux maux il avait pris le moindre. Pourtant c'était vrai qu'importe le regarde qu'on porte a la chose cela reste une rupture. Telle qu'un meurtre reste un meurtre qu'importe se qu'on avait fait et pour quel raison on avait tuer. Les larmes commençaient a couler le longue des joue de Lysis. Xiérel quand a lui essayait de rester aussi neutre que possible mais certaine chose le trahissait. Comme son regarde ou se lisait sa tristesse ou encore ses mains serraient en poing.

Cela lui brisait le coeur de voir Lysis de la sorte mais il ne voyait pas d'autre solution, pour qu'elle ai enfin une vie. Une vrai vie pas une vie qui pouvait basculer a tout moment parce qu'elle penser trop a lui. Pour le Réprouvé c'était la meilleur des solutions. Naturellement il n'avait pas penser a se qu'elle pourrait faire dans sa tristesse. Les parole qu'elle lui prononçait le blesser plus qu'elle ne l'aurait penser. Dans la voix de son âme soeur il avait pu entendre toute la détresse et la tristesse qu'elle avait et le geste de détresse qu'elle faisait. Briser le bracelet sur le sol lui faisait aussi mal. Cela voulait dire qu'elle ne risquait pas d'oublier Xiérel si tôt que prévu. Une pensé en voyant se geste lui traversait l'esprit. Et si elle essayait encore une fois de se donner la mort? Une vague de paniqué monter en lui et il voulu la retenir et s'assuré qu'elle ne fasse rien de stupide mais trop tard elle avait déjà disparu dans les airs.

Cette vague de panique se calmait légèrement en pensant a l'élémentaire de l'air. Jamais il ne laisserait mourir son hôte sinon c'était aussi la mort assuré pour lui. Tien les livres de Stenfek commençaient enfin a servir. Rien de telle que la connaissance. Bref revenons a nos mouton. C'était après se départ rapide de Lysis que Xiérel lâcher prise sur ses émotions. Il tombait lourdement a genoux juste devant le bracelet brisait de coquillage. Des larmes avait commençait a humidifiait le sol de la plante géante ou il se trouvait et son esprit lui était mort.

Le départ de Lysis lui chagrinait plus qu'il ne l'aurait cru. Pas sur qu'il puisse se relever sur se coup. Son corps n'avait aucune blessure mais son esprit lui saigner a blanc. Cela lui mettait plusieurs longue minute avant de pouvoir se relever et de sécher ses larmes. Il s'apprêtait a sortir et ne voyait plus de raison valable de rester a se bal, quand son regarde tombait sur le bracelet. En y regardant bien, les coquillage avait réussit a tenir le choc ou du moins une bonne partie d'entre. Il serait simple a réparer. Donc finalement au lieu de laisser le bracelet sur place et de partir il se baissait pour le ramasser et l'enfiler dans l'une de ses poches. Il n'avait pas l'attention de le garder mais sa serait dommage de laisser un si belle objet a l'abandon.

Il pensait le réparer et le donner a la première personne qui lui semblait sympathique. Au moins sa lui occupera l'esprit et sa lui évitera de penser a celle qu'il avait quitté. Qu'allait il faire a présent ? Il n'avait plus vraiment le goût pour le voyage et ses idée n'était pas clair. Peut être retourner chez lui et vivre une vie paisible dans son village? Oui sa pouvait être une idée. Au moins la bas il ne blesserait personne par ses actes et ses parole. Au moins la bas il pourrait se faire oublier de tous et disparaître. Qui sais peut être qu'un jour on le retrouvera mort dans sa petit cabane a l'orée du village. Peut être ... Quoi que non il n'était pas du genre a se tuer sans se battre. C'était sur ses dernière pensé sombre qu'il quittait la fleur géante et se dirigeait vers la sortit pour débuter son voyage de retour a son village natal. Comme Lysis l'avait dit, chaque bonne chose a une fin. Pourtant chaque fin annonce un nouveau début mais sa c'était une autre histoire. A raconter un autre jour.

Résumé et Gain:
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Jeu 28 Nov 2013, 19:03

Aiko dans ses habits de soirée:
J'était très fébrile d'être ici, j'ignorais si s'était ma place ou même si je devais rester. Devrais-je simplement me cacher ? mon coeur battait à tout rompre, je suis sur qu'il enterrait la musique, du moins, c'était le cas dans ma tête. On m'avait indiqué cette endroit, on m'avait que je trouverais des réponses cette nuit. Je m'y étais rendu le plus rapidement possible mais mes petites jambes et mes ailes frêles m'avaient permit d'arrivée juste à cette instant. Je souhaitais de tout mon coeur que mon arrivée avait passé inaperçu, je n'avais aucune envie d'être le centre d'attention. J'avais pris le temps de me mettre belle, de me mettre une belle robe et de soignée mon apparence, après tout, je voulais faire bonne impression, j'avais envis de connaitre du monde, de comprendre la vie, de réponses à mes questions, je ne voulais plus vivre dans cette ignorance qui me tourmentait...C'était l'occasion idéal pour rencontrer les hauts dirigeants, peut-être, eux, me diraient ou se trouve ma place, m'aiderais, me guiderais ! Ou peut-être je ne faisais que rêver...

Je me planta là, à l'entrée admirant le décore. C'était la première fois que je venais ici mais pourtant, tout me semblait si familier, j'avais le coeur qui se remplissait de chaleur, ma peur, celle qui me hantais depuis toujours semblait s'envolé en même temps que mes problèmes et mes milles questions, j'étais si bien...si bien ici. J'admirais tout les invités un par un, de la tête aux pieds, bien sur, je n'en connaissais aucun, j'avais espoir qu'un visage me soit familier mais cette espoir s'effaça rapidement, j'étais une total inconnue entouré de totales inconnus....Je me sentais si petite....Et ils étaient si grand, si gracieux, si beaux et si heureux, se posaient-ils autant de question que moi ? Étaient-ils tous si mal à l'aise de se trouver ici comme moi je l'étais ? ...Enfin....Je fis quelques pas, essayant de trouver des yeux quelques choses à faire pour essayer de m’incruster dans la fête mais à chaque pas que je faisais quelques choses attirais mon attention, une belle dame que j'enviais, un sourire d'un homme qui me faisait rougir, une belle fleur illuminée de mille feux...Je lâcha un long soupir, je pourrais jamais m'intégrer ici, les gens sont tellement...extraordinaire ! Alors que je commençais à déprimer, le stresse me prenait à la gorge, je tremblais de tout mes membres, mal à l'aise, jamais je ne serais à leur hauteur, j'avais juste une envie, me retourner et partir d'ou je venais...J'avais telllement peur de faire une gaffe ou pire de faire honte à ma race...Non...je refuse de passer pour une idiote, je devrais partir. Alors que je tournai les talons pour partir un drôle d'appel vint à mes oreilles, quelqu'un cherchait à rencontrer des fées? C'était peut-être ma chance ? ....Je ne pu m'empêcher de sourire, la façon dont il appelais les fées était si naturel...Si normale. Je me retourna et je m'approcha de Toble, un petit sourire gêné et les joues un peu rougit de timidité.

-..vous avez une drôle de façon d'appeler les fées mais votre technique bien que très peu ordinaire à belle et bien fonctionné !  

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Jeu 28 Nov 2013, 19:10

Quelque chose disait à Raeden qu'il avait surpris son interlocutrice, par sa réponse. Peut être était-ce dans son sourire, dans ce qui pouvait se lire dans ses regard ou même dans son attitude générale. Quoiqu'il en soit, la génie prit quelques secondes de silence, probablement pour réfléchir à ce qu'elle allait faire ou dire maintenant que sa première approche était désamorcée. Il y avait de force chance qu'elle le laisse là pour aller trouver une autre personne qui voudrait bien faire un vœu. Mais non ? Elle s'assit quand même à ses côtés, signe que malgré le refus de l'Ombre, poli et indirect mais refus quand même, elle ne se formalisait pas de la chose et qu'elle comptait tout de même rester. Pourquoi ? Aucune idée pour le moment mais l'Immortel finirait bien par le savoir à un moment ou à un autre si leur conversation allaient assez loin pour ça. Il n'y avait pas de raison qu'il en soit autrement, mais on ne savait jamais ce que l'avenir pouvait réserver et puis surtout, l'homme n'était pas forcement des plus bavards. Déjà en tant normal, mais encore plus ce soir, ça se voyait dans ses traits.

Elle reprit la parole, lui posant une question, comme si elle connaissait la réponse, ou plutôt, qu'elle n'avait pas besoin de cette dernière pour continuer son raisonnement, le cheminement de sa pensée. Les conséquences. Ca donnait l'impression que quelque chose échappait au Passeur, une information capitale, à propos de cette femme, qu'il ne possédait pas et qui pourtant était vital pour répondre, pour juger de toute l'étendu de ce que la question englobait. Mais sinon, elle avait raison, lui-même ne le pouvait pas. Il n'était pas génie, il n'avait pas cette capacité en sa possession. Mais peut être que l'un de ses deux compagnons djinns pourraient faire de ce en quoi il était incapable. Mais apparemment, non. La femme a ses côtés semblait avoir déjà essayé. En tout cas,c 'était ce que laissait sous entendre sa phrase. Et l'Ombre pouvait comprendre ce qu'elle ressentait. Rêver à un souhait si fort, si puissamment que des fois, il vous faisait perdre la tête … sauf qu'il ne resterait qu'à jamais un mirage, certains vœux ne pouvait être réalisés, même pour tout l'or, le sang et la vie du monde.


Je comprend … Plus que vous ne pouvez peut être l'imaginer … ou peut être pas finalement.

Il ne fut par contre pas surpris outre mesure qu'elle refuse sa proposition à la boisson et à la nourriture. Il savait que les génies avaient perdu tout plaisir physique, toute sensation de goût. Un peu comme les vampires, pour ce dernier point, même si cela pouvaient toujours éprouver quelque chose envers le sang. Rien ne pouvait émouvoir les papilles des djinns malheureusement. Presque sans s'en rendre compte, l'Ombre arrêta de manger. Cela ne se faisait vraiment pas d'exhiber sous le nez de son interlocutrice une tentation qu'elle ne pouvait pas, ne pouvait plus, s'offrir. Bien évidemment, il n'en avait pas vraiment conscience lui-même. C'était juste son … instinct, ses bonnes manières innées et acquis, qui agissaient en lui, comme une entité à part entière. Il se contenta donc de la regarder, d'attendre la suivre. Parce que forcement cela n'en resterait pas là. Sinon, pourquoi se serait-elle assise ?

Elle avait quand même un vœu, un souhait à lui faire … qu'il l'invite à danser. Ca, l'homme ne s'y attendait vraiment pas. N'avait-elle personne ici, aucun compagnon, aucun ami connu avec qui elle pourrait faire quelques pas et s'amuser ? Non, sûrement pas, sinon, elle ne se serait pas tourné vers lui et n'aurait pas demandé à un parfait inconnu s'il voulait bien l'inviter à « s'envoyer » en l'air. Pendant quelques secondes, le silence s'installa, le regard du Passeur se perdant dans la foule et la nuit autour d'eux. Que cela lui coûterait-il au final d'accéder à ce souhait ? Ah bien y réfléchir, rien. Simplement rendre quelqu'un heureux pendant au moins quelques minutes. Faire plaisir à une personne, même une inconnue, pour lui faire oublier le fait qu'il ne pouvait pas exhausser son vœu le plus cher certainement. Il reporta donc son regard sur elle, avant de se lever doucement et de tendre sa main vers elle.


Puis-je vous inviter à danser, dame des vœux?

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Sam 30 Nov 2013, 11:49

Continue à appeler mon petit, une fée finira bien par t'entendre ! C'est c'que j'dois m'dire. Sûrement qu'elles sont occupées pour le moment ou qu'tout le monde veut leur parler pour une raison ou une autre. Après tout, c'est quand même la fête pour leur nouvelle reine. C'est aussi leur fête à elles en quelques sorte. C'est normal qu'elles veuillent en profiter et s'amuser elles aussi. Je les comprend mais j'ai b'soin d'eux moi aussi. Pas pour longtemps en plus. Juste le temps d'une ou deux questions. Peut être que j'leur fait peur en fait, à les appeler comme ça. J'devrai sûrement trouver une méthode plus douce, moins « agressive ». Mais pour une fois qu'j'peux enfin avoir une vrai piste ! C'est vrai qu'j'aurai du y penser avant. C'était pas compliqué comme idée. J'ai vraiment été con sur c'point là, j'le reconnais … Ou alors, j'ai sciemment pas prêté attention … P't'être qu'au final, j'étais trop lâche … Enfin, à partir de maintenant, j'vais m'rattraoer et ça ira mieux. Y'a qu'ça à se dire !

Tiens … on m'parle ! … Ma technique a fonctionné ?!! C'est une fée ? Une vrai fée. YAHOUUUUUUUUUU J'AI TROUVE UNE FEE !!! Trop bien ! J'ai réussi ! Maintenant, ne pas lui faire peur. Y aller en douceur, se montrer jovial, gentil, accueillant et tout le tralala. C'pas compliqué. Juste ne pas mettre la charrue avant les bœufs … ou les bœufs avant la charrue … rahh, je sais plus … c'pas grave, j'm'en fou, en fait, j'ai ma fée !


Merci. J'savais pas comment faire d'autre. J'suis désolé si c'était malpoli. J'voulais pas blessée l'une ou l'un d'entre vous. Mais vous comprenez, j'vais b'soin d'parler avec l'une de vous … ou même avec votre reine, ça serait encore mieux. J'ai des questions à poser en fait … j'recherche une certaine fée, c'est pour ça …

J'espère qu'elle va pouvoir m'aider. Ca serait vraiment bête qu'j'tombe sur la seule fée qui sache pas me répondre. Enfin, en même temps, quand on réfléchit bien, moi non plus j'connais pas tous les gens d'ma race … aucun en fait d'ailleurs … Oué, c'pas top ça … faudrait qu'j'vois comment j'peux arranger ça. P't'être que si j'retourne voir Violette, elle pourra m'guider vers d'autres chamans .. après tout, elle est maître chaman, elle doit bien en avoir initié d'autres comme moi. Surtout qu'elle semblait savoir comme s'y prendre, donc j'devais pas être son premier …

Au fait, j'ai oublié d'me présenter. J'm'appelle Toble Rone.

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Dim 01 Déc 2013, 18:13

Si Fonille était bien douée en quelque chose, c'était très certainement pour interrompre des conversations. Elle avait attiré la fée en dehors du cercle royal pour l'inviter à danser. Elle était toute gaie à cette idée, cela devait d'ailleurs la sauver en parti des conversations ennuyeuses – pour la plupart du moins – des conversations des adultes. Elle doutait sincèrement que sa mère ne rejoigne pas bientôt Ophalee. La reine des béluas n'étaient franchement pas très difficile à trouver et encore moins la reine des Fées qui vibrait de magie et d'un éclat blanc de pureté. Bref, elle était un joyaux dans une pierre polie et ce serait sans doute là la prochaine destination de sa mère. Fonille aimait beaucoup sa famille, sachant que sa mère était l'un des seuls membres, toutefois dans des occasions comme celle-ci, cela lui permettait de découvrir d'autres personnes. L'elfe saisissait l'occasion en cet instant-là alors que ses jolies mirettes d'un ton caramel observaient sans réellement fixer la Fée qui se présentait.

Ils s'éloignaient au fur et à mesure des reines mais l'homme l'arrêta. Enzel avait toute l'attention de l'elfe. « Oh ! Je vois ! » Oui désormais elle savait où elle l'avait vu puisqu'elle y mettait les pieds très régulièrement : au Sanctuaire. Le monde était petit. « Je m'appelle Fonille ! » lâcha-t-elle avant qu'il ne doive remplir ses conditions d'hommes de la reine. Elle acquiesça, non sans éprouver un peu de déception. Néanmoins lorsqu'il lui avoua qu'il reviendrait, elle lui sourit et ils se quittèrent là, à deux pas des pistes. Elle le suivit toutefois dans l'idée de rejoindre Ophalee et trouva en la bélua une bonne compagnie. La jeune femme avait aperçu sa légère mine déçue et l'avait de suite réconforter. L'affaire entre la reine des fées et elle étaient terminées d'après ce que Fonille comprenait, elles auraient sans doute l'occasion de se revoir bientôt. « Oui, et moi je me ramènerai au Palais ! » s'enchanta Fonille. « Quand j'aurai mon poney, tiens. » Ophalee rigola, ne comprenant pas très bien la relation entre avoir un poney et venir au Palais, sachant qu'il y avait bien d'autres transports pour y parvenir. Fonille dit « Tu verras Ophalee ! »

Puis l'elfe disparut, pensant rejoindre la piste de danse, là où elle avait vu l'homme s'envoler avec sa reine. Elle attendit pas très longtemps même si elle crut voir un siècle se défiler sous ses yeux. Elle ne voyait pas son chevalier danser dans les airs et elle se demandait bien comment elle ferait pour y parvenir car démunie d'ailes, il serait bien dur pour elle. Peut-être faudrait-il mieux qu'ils restent à terre. Fonille ne voyait franchement pas comment elle ferait et surtout, elle craignait la panique. Il serait idiot que pour une première fois, la jeune elfe perde ses moyens. Alors elle se mit à ronger des  sang avant de le voir arriver, laissant derrière lui une magnifique traînée de mini étoiles. Enzel était désormais à sa hauteur et lui tendit une main.

Elle parut un instant hésiter, examinant la main à l'invitation et se décida finalement à lui donner la sienne. Fonille ne doutait pas quand à la force des fées, il était clair que pour elle, ces êtres possédaient des ressources et pas des moindre. Cependant, Enzel avait des ailes tellement fines et si délicates qu'il lui semblait impossible qu'il puisse l'emporter dans les airs. Mais les mots de la reine des fées raisonnèrent dans sa tête et Fonille s'abandonna totalement à la magie du lieu, ne se souciant plus que des pas de danse qu'elle devait faire.

« Je m'appelle Fonille. » reprit-elle. « Et je sais où on s'est déjà vu ! Votre mémoire ne vous crée pas autant de tords que cela car il est tout à fait possible qu'on ne retienne pas toutes les têtes ! Même si... » Fonille passait souvent sur l'estrade du Sanctuaire et lorsque des occasions se présentaient, elle faisait non seulement chanter les enfants, mais elle chantait aussi. Alors elle était très souvent mise sur le devant de la scène. « … Je n'ai pas autant de difficulté ! Je suis la fille qui s'occupe des enfants à la chorale, au Sanctuaire. » Elle avait les mains posés sur les épaules d'Enzel et le suivait dans sa danse féerique. Elle sentit ses oreilles rougirent. « Vous êtes gentil Enzel de m'accompagner dans cette danse, j'espère que votre reine ne vous en voudra pas trop... » Fonille ne voulait faire de peine à personne bien qu'elle se plaisait à être devant lui, poser dans les airs et dans cette magie environnante. Elle tourna sur elle-même, appuyant son pied sur rien si ce n'est la conviction qu'il y avait un sol. Fonille riva ses yeux en-dessous d'elle – ce qu'elle n'aurait pas du faire – et resserra légèrement sa prise sur les épaules de la Fée. « Vous habitez ici ? C'est un bel endroit ! »
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Dim 01 Déc 2013, 22:25

La valse nous entraîna sur ce sol qui n'en n'était pas un un, ce vide solide qui nous soutenait d'une bien étrange façon, d'une façon que je pouvais concevoir et anayser, une magie inconnue et très puissante. Cette danse avec Tinuviel était simplement magnifique, assez envoûtante au final, mais qui ne devient pas envoûté par une connaissance nouvelle et plaisante ? Je n'en connaissait pas un. Jamais je n'avais vécu de chose semblable avec personne, et cette expérience exaltante était d'autant plus amusante que ma cavalière semblait aussi prendre du plaisir à cela, et même si je me trouvais très peu habile, plutôt pataud et maladroit, je ne croyais pas que Tinuviel m'en tenait rigueur, mais sait-on jamais... Les gens, en général, cachent leur véritables sentiments à l'égard des autres, afin de ne pas les blesser, ou de les tromper. Mais l'Elfe ne m'apparaissait pas de cette façon, elle était plutôt franche et je ne la voyais pas vraiment me jouer des tours malveillants. Et, au contraire, elle me semblait plutôt s'amuser, ce qui d'ailleurs, me rassura quelque peu quant à mon incapacité relative aux soirées mondaines... Mais il fallait bien admettre que ladite soirée était vraiment très bien organisée, et le fait que Tinuviel ne s'effarouche pas pour un rien apportait beaucoup au charme.

Alors que la danse était bien entamée, ma cavalière, me regarda dans les yeux, de ses yeux profonds et francs qui laissaient deviner son humeur sans problème. Nous restâmes ainsi à danser pendant quelques minutes, sans parler, juste à profiter de la soirée sans prise de tête, sans problèmes, mineurs ou majeurs, un océan de tranquillité qui me ravissait. J'étais d'ailleurs tellement pris dans la danse que j'entendis à peine mon interlocutrice s'exprimer, me donnant son avis sur la magie blanche et les médicaments, avis auquel je ne pouvais qu'approuver. « En effet, votre raisonnement est parfaitement juste. Simplement, je n'ai pas et je n'aurai sûrement pas l'occasion de soigner un Elémental, vu que ceux-ci veulent tous me tuer en me voyant... Magiciens et Elémentals ne font pas bon ménage même si le Magicien ou l'Elémental en question se montre poli et doux, soupirais-je. » Je m'arrêtais un instant pour humer l'air doux qui était notre lot depuis notre arrivée en ce lieu et cette fête, puis repris. « En effet, savoir faire des médicaments peut aider grandement. » Je souris. « M'apprendrez-vous à en faire un jour ? Fis-je sur un ton légèrement espiègle. Et il est vrai que nous avons plus de points commun que je ne l'imaginais. »

Puis l'Elfe détacha son regard du mien pour observer la foule, fixant de ses yeux curieux tous les invités qui passaient à sa portée. Elle me fit une réflexion par rapport à la souveraine féerique, qu'elle trouvait très belle. Je fis une légère moue. « Oui, la reine des Fées est belle... Mais ce n'est pas vraiment le genre de personne que je préfère... Trop superficielle à mon goût. » La danse allait bientôt prendre fin, la musique devenait de plus en plus lente, nos pas la suivaient, nous allions bientôt nous arrêter, et cette merveilleuse sensation prendrait fin... J'en étais triste par avance. Mais en même temps, j'étais heureux, car ce moment passé avec Tinuviel était sans aucun doute l'un des meilleurs de mon existence. Peut-être qu'avant celui-là il y avait le fait que je ne m'étais pas tué en tombant de la maison de mes parents, mais baste. « Je ne reconnais aucune haute personnalité de ce monde, pour ma part, excepté bien sûr la souveraine des Fées, mais si vous le dites, je vous crois... Vous devez être bien plus calée que moi en politique. » La danse était finie, nous descendîmes au sol lentement, avec douceur. Maintenant,nos chemins se séparaient, à moins que l'Elfe veuille une seconde danse, je devais retrouver Astomaseth, qui devait bien s'ennuyer tout seul. « Eh bien, Tinuviel, ce fut un réel plaisir, de vous rencontrer, fis-je avec un franc sourire dessiné sur mes lèvres. Ce fut une expérience fascinante, et je vous en remercie. A présent, voulez-vous une autre danse ? Dans le cas contraire, je m'en irait, car je ne puis rester trop longtemps. Mais j'ai tout de même le temps pour une autre danse, me semble-t-il. »


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Lun 02 Déc 2013, 16:53

Je n'avais qu'une envie, s'était de lui sourire, il était si gentil, si drôle ! Je ne pu m'empêcher de laisser échapper un petit rire, un rire cristallin, doux et mélodieux. Il ne faisait ni manière, ni courbette, il était à son naturelle et c'est ce qui me réchauffait le coeur, c'est ce qui me mettais à l'aise, je n'aurais pas pu tomber mieux ! Il se présenta à moi, je retiendrais son nom pour toujours ! Enfin ! J'avais réussi à approcher quelqu'un ! Mon coeur battait toujours aussi fort, Il fallait que je présente à mon tour, je m'approchai et je lui tendis doucement la main:

-C'est un plaisir Toble Ronde, je m'appel Aiko mais certaine personne m'appel Fay....Alors....C'est à vous de décider comment vous voulez me nommer, je répond au deux prénom.

Je ris, d'avantage un rire gêné et mal à l'aise qu'un rire de joie. Je ne savais même pas sous qu'elle nom me présenter...On m'avait appeler tellement longtemps Fay que je ne me demande encore si je répondrais au nom d'Aiko.....MAis S'était quand même mon vrai prénom...Que d'intérogation...Aussi bien utiliser les deux...Sétait beaucoup plus facile pour moi oui beaucoup plus facile, se n'était pas à moi de faire le choix mais aux gens que je rencontrerais, ainsi je n'aurais qu'à attendre une réponse de leur part, un question de moins ! ....Je me repassais en boucle les paroles de mon nouveau compagnon et je me dépêchai de rectifié:

-Non ! Non ! Ne vous inquiétez pas ! Vous n'avez pas du tout été mal polie! Au contraire, vous m'avez fais sourire, je trouve votre façon originale, mais je ne suis pas tout le monde alors je ne serais dire pour les autres...Vous pouvez me dire ce que vous voulez, je vous écouterai avec attention et si je ne peux répondre à votre question, je m'engage à chercher la réponse avec vous... il est rare que je laisse quelqu'un sans réponse, je déteste moi-même avoir des questions sans réponse et croyez moi....j'en ai beaucoup...Pour ce qui est de ma reine...je..,

Je baissai les yeux honteuse...Comment dire à quelqu'un que tu n'avais jamais vu ta propre reine ? que tu ne la connaissais pas et que tu n'avais aucune idée de qui elle était réellement....Est-ce qu'il me laisserai toute seule si je lui révèlais se détail voyant qu'elle ne lui était pas utile ?....Je me devait d'être honnête...Je ne pouvait quand même pas mentire !

...Je ne peux pas vous aider....Pas pour le moment du moins ! ....J'espère que vous comprendrez....

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La nuit féerique (RP pour tous)

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