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 Chaud cacao, chaud , chocolat (-18) ~ [pv Mitsuko]

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Mer 16 Jan 2013, 00:20

Ce passant une main dans ses cheveux encore humide du bain qu’il venait de prendre Zéleph soupira face à son reflet. Décidément il avait beau chercher il ne savait pas comment il en était arrivé là. Ce détournant il attrapa une serviette pour se séché et sortir de la salle d’eau pour entrer dans le petit salon. Il avait visité un peu en avance les appartements qui leurs étaient destiner as lui et Mitsuko. Il avait profité de ce petit moment de tranquillité pour reprendre un bain et ce détendre, il en avait bien besoin. Le roi n’était pas partisan du luxe, et en ce moment il vivait dangereusement dedans. Que ce soit les bains, les petits salons, ou les chambres excessivement grande et décoré, particulièrement cella. Quand son regard se posait sur le lit à baldaquin il avait l’impression d‘être dans un de ces vieux romans avec les quel il avait appris à lire. Des histoires à l’eau de rose, les seul bouquins qu’avait pour s’entrainer. A cette époque il c’était juré de ne jamais devenir le genre de prince pompeux et délicat qui faisait la cour a ces princesses toute aussi plates les unes que les autres. Seth en avait peut être fait un peu trop, en tout cas pour lui qui était habituer a bien plus sobre. Overdose de meubles et de papier peints qui devait couter des fortunes. Tout ce qui était dans cette maison couté une fortune. Il ne doutait pas de l’argent qu’avait sa Déesse, mais lui aussi en avait énormément, ce n’était pas pour cela qu’il se confondait dans cette parodie d’histoire mielleuse et ennuyante. Il y avait même un lustre dans le petit salon. Qui avait des lustres par tout dans sa maison ? Peut-être était-ce justement par ce qu’il n’avait jamais grandi dans ce genre d’endroit raffiner et élégant qu’il ne comprenait pas que ce soit si important pour le confort des habitant de ce manoirs. Que ce soit dans l’éducation de Mitsuko. Quand il ouvra le meuble supposer contenir ses affaires il se rendit compte que tous ses vêtement avaient était remplacer « l’enfoiré. » siffla-t-il entre ses dents en attrapent une chemise blanche totalement neuve, tellement neuve qu’il pouvait encore sentir l’odeur du blanchisseur. Fouillant encore, il réalisa que tous ses kimono avait disparu, toute ses propres chemises, ses gilets, ses vestes, ne rester plus que la garde-robe qu’on lui avait soigneusement choisi. Fait-il à ce point honte ? Jusqu’à ses chaussures avaient était changer par toute une collection de mocassin vernies. Zéleph ne savait pas si il devait en rire ou bien ce mettre à crier. C’était justement à cause du temps qu’il avait passé ici qu’il avait fini par amasser toute ses affaires, qui n’était pas nombreuse soit dit en passant, et maintenant il ne lui rester plu rien que des vêtements qui n’était pas les siens. Ouvrant le tiroir où devait logiquement ce retrouver ses sous-vêtement, il crue s’étouffer en voyant qu’on avait même changé jusqu’à cela. Il était vrais qu’il ne faisait jamais les course et qu’il n’avait jamais demander à personne de le faire pour lui, ce qui l’avait obliger a porté les même vêtement pendant des années, mais ce n’était pas une raison pour tout jeter sous prétexte que c’était usé, passer de mode, où bien pas assez élégant pour être porté. C’était en réalité très vexant. Soupirant, il fut bien obliger d’enfiler le boxer, puis le pantalon qu’il trouva en suivant, ne pouvant éternellement rester nue, même dans sa chambre. Toucher dans son orgueil, voilà comment il était. Il n’avait peut-être pas bon gout en matière de vêtement, mais tout de même, lui faire comprendre qu’il n’était carrément pas à la hauteur, cela avait quelque chose de blessant. Enfilant la chemise qu’il avait trouvé en première il l’enfila, puis ce dirigea d’un pas lent vers la glace, recouvrant ce qui était les deux portes de la garde-robe de madame, qui était trois à quatre fois plus grande que la sienne.

Là il se fixa en fermant la chemise. Elle était centré et il détesté cela, il se sentait tellement à l’étroit là-dedans. Fixant son pantalon en toile, il en penser bien la même chose. De plus même si il avait apprécié ces vêtement, ils n’avaient pas son odeurs, il n’avait pas cette douceur particulière quand cela était usé. Il n’était pas un paysan, il avait de l’argent, mais il aimer amplement ses affaires. Enfin à l’heure qu’il était-il supposé que l’ombre avait fait un feu de joie avec ses anciens vêtements alors il s’avoua vaincu. Jetant un regard las à son reflet il recula vers le lit et y tomba. Il avait même prit les vêtements qu’il avait retiré avant d’aller se laver, le fourbe. Heureusement il avait toujours ses affaires les plus précieuse, ses armes et encore heureux, sinon il aurait réellement perdu patience. Ce redressant il attrapa sa besace et en sortit son tabac. Il avait bien besoin de ce roulé une cigarette pour évacuer son énervement. Défaisant cette chemise qui était décidément trop cintré, il entendit frapper au salon. « Entrez ! » La porte grinça, puis un bruit de cliquetis de vaisselle ce fit entendre. Le roi vit alors une servante entré dans le cadre des portes de la chambre, le plateau entre les mains. Zéleph ce souvint alors des trois chocolat et a l’odeur cela était encore fumant. Il montra une table à l’entré. « Pose-le là. » Elle hésita, rougissant légèrement, n’osant pas le regardé. Il se demanda un instant si c’était lui, mais elle paraissait mal à l’aise pour autre chose également. « C’est que nous n’avons pas le droit d’entré dans la chambre de Madame, si Madame n’est pas là. » Elle rougie un peu plus. « Ni de son fiancé. » « Oh. » Le roi ce leva trouvant ça plutôt amusant comme situation. Il lui prit le plateau des mains, sa cigarette coincer entre ses lèvres, ce qui parut encore plus la gêner, car à son avis il n’était pas non plus supposer faire son travail a sa place, et alors, il lui rendait service et a lui aussi par la même occasion. « Merci, tu peux … disposé ? » Elle lui fit une maladroite révérence avant de littéralement le fuir. Le réprouvé ria doucement en la regardant fermer la porte derrière elle, puis il posa le plateau là où il lui avait indiqué. Retirant quelque seconde sa cigarette de sa bouche, il trempa ses doigts dans le chocolat le plu noir pour le gouter. Il était amère, juste sucré comme il fallait. Zéleph ne savait toujours pas pourquoi Mitsuko voulait du chocolat, mais là elle l’avait et sous la meilleure forme à son avis. Ce jetant à nouveau sur le lit, complétement débraillé, il fuma tranquillement. Un bras coincé derrière la tête, il fixait le plafond du lit, en soie. Il y avait une cheminer dans la chambre également et il l’entendait crépiter, gâchant le silence qu’il c’était instauré.
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Mitsu
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Mitsu
Mer 16 Jan 2013, 21:15

« Donne moi ça! ». La servante devait trembler de tous ces membres devant sa maîtresse qui exigeait quelque chose qui allait à l'encontre de ce qu'avait ordonné Seth. C'était lui le chef des domestiques alors dès qu'il ordonnait, ils devaient exécuter. Et, il n'y avait jamais eu de contradictions entre ce que disaient le majordome et la maîtresse des lieux. S'il l'apprenait, elle serait punie, mais, en même temps, Mitsuko était particulièrement effrayante à ce moment précis. Cela faisait la deuxième fois qu'elle le lui demandait sans qu'elle ne parvienne à lui obéir. La pauvre jeune femme était comme paralysée et le regard que lui lançait la déesse n'arrangeait pas les choses. Oh, elle ne l'avait jamais fait avant, mais, cette fois, s'en était trop. Sa main se leva, s'abattant sans aucun ménagement sur la joue de la servante qui tomba au sol, le souffle coupé. Une colère froide, voilà ce à quoi cette pauvrette était vouée. Appuyant son talon aiguille contre le dos de la domestique, elle lui chuchota doucement : « Ne te méprend pas, Seth est sous mes ordres. Peu importe ce qu'il te demandera de faire, si j'exige le contraire, aucune hésitation n'est possible de ta part. Il peut te punir pour lui avoir désobéi mais, je t'assure que ça ne représentera que le dixième de ce que je pourrai t'infliger. Maintenant, donne moi ce kimono. ». « Ou..oui madame... ». « Bien. Maintenant va chercher Seth. ». La pauvre, elle dut s'y reprendre à deux fois avant de pouvoir se relever, tremblant à présent de la tête aux pieds face à ce qui était à ses yeux la femme la plus maléfique du continent, entièrement couverte de sang, un regard qui semblait pouvoir la tuer en un instant. Mitsuko attendit qu'elle eut disparu avant de ramasser le vêtement de Zéleph, le seul survivant des habits qui partaient en fumée dans un liquide particulièrement corrosif. En réalité, la jeune femme avait simplement voulu retourner dans les appartements du roi afin de récupérer sa robe, mais lorsqu'elle avait vu ce qui s'y déroulait, elle avait été désagréablement surprise. Cela faisait plusieurs heures qu'elle état au chevet de cet homme et elle se rendait compte que sa tâche serait bien plus ardue qu'elle ne l'aurait cru car les intérêts en cause étaient grands, complexes. Jun s'y mêlait et ça lui était insupportable. En réalité, elle se demandait simplement pourquoi les dieux ne le tuaient pas, lui qui serait la cause de leur perte. Bien sûr, elle savait, elle savait que si ce n'était pas lui, ce serait un autre, mais...

« Madame? ». Seth. Elle sourit, s'approchant de lui. « Te rappelles-tu par le passé ce que faisait mon ancêtre lorsque tu nuisais à ses intérêts? Enfin, bien grand est ce mot, disons, simplement, lorsqu'un vase était brisé? ». Un silence. « Soit elle t'attachait dans la salle de torture pendant des jours, pauvre ange déchu que tu étais, te torturant parfois parce qu'elle trouvait que c'était jouissif. Soit, elle te forçait à participer à ses orgies. Alors je ne le répéterai pas : ne me force pas à faire de même. Oh bien sûr, tu ne risque pas grand chose sur le deuxième plan, mais je doute que tu souhaites que tout le personnel en prenne connaissance. Zéleph est mon futur époux, et tu resteras mon majordome, le mien, pas le sien. Tu n'as pas à lui obéir, mais ne fais rien qui pourrait lui nuire. ». « Bien. Je pensais juste que ces vêtements n'étaient pas dignes de votre futur époux. Mais si vous souhaitez épouser un homme qui à l'air d'un mendiant, libre à vous. Comme je vous l'ai dit, je vous servirai toujours fidèlement, mais je sers avant tout les intérêts de votre famille. Avec tout le respect que je vous dois, il n'a rien à faire à votre bras. De plus, je suppose que si je ne puis le servir, c'est que vous avez réveillé Tara. ». « Exact. ». « Une manière de le tester sans doute? Après tout, les hommes sont tous captivés par elle, non qu'elle soit magnifique, simplement à cause de ses pouvoirs. C'est d'ailleurs pour cette raison que... » « mon ancêtre l'avait forcé à dormir éternellement. Je sais. La jalousie. Mais je l'ai réveillé et elle servira Zéleph. Nous verrons bien. ». Le majordome s'avança doucement, posant ses deux mains sur les frêles épaules de Mitsuko. « Mitsuko, tu joues avec le feu. ». Il lui parlait en tant qu'ami, c'était d'ailleurs pour cette raison qu'il ne la vouvoyait plus. « Tu en finiras blessée. ». Elle sourit. « Au moins, s'il m'est infidèle, la faute lui incombera. Tout sera terminé. ». Puis, elle appela : « Tara! ». Alors, dans les ombres apparut une femme, une femme qui sourit à Seth d'un air amusé. Ils étaient de nouveau deux à diriger les domestiques.

Chaud cacao, chaud , chocolat (-18) ~ [pv Mitsuko] 429084MajordomeZleph

« Ne te méprend pas Seth. Comme je te l'ai dit, j'aimerai que tu évolues en tant qu'ombre également. Je pense que tu vaux mieux que de servir ma maison toute ta vie, tu pourrais prétendre à un haut poste dans la hiérarchie des ombres. ». « Oui Seth, laisse-moi donc gérer cette maison d'une apparente main de velours. ». Ce qu'elle dégageait était sexuel bien que son regard ne montre que la plus sage gentillesse. Elle était réellement mignonne et si son apparence laissait penser qu'elle avait du caractère, ses yeux reflétaient toute autre chose, une certaine dévotion. Un mélange étonnant entre la vertu des anges et l'apparence d'une succube. « Tu resteras sous les ordres de Seth Tara. ». « Bien madame. Si vous avez besoin de moi pour autre chose... ». « Non, je ne suis pas mon ancêtre. ». La manie qu'avait eu Mitsuko I de coucher avec chacun des domestiques était légèrement dérangeante. Enfin. « Viens avec moi, je vais te présenter à Zéleph. Je compte sur toi pour très bien t'en occuper et faire absolument tout ce qu'il te demande. ». « J'espère que je lui conviendrais. ». « Si ce n'est pas ton physique, ce sera ta magie qui troublera ses sens. ». « Madame... ». « J'ai dit que tu devais faire tout ce qu'il te demandait, ne discute pas. Qu'il soit mon époux ne change rien, j'entends à ce qu'il reste fidèle, et je veux savoir s'il est capable de le rester. ». « Ne pensez vous pas qu'un homme entouré de prostituées pourrait très bien... » « Ses prostituées n'ont pas les dons de Tara. Illusion, contrôle des sensations, empathie partagée, changement d'apparence, traitrise de l'odorat. S'il lui résiste, il pourra résister à n'importe qui. ».

Sans ajouter un mot, elle fit signe à la jeune femme de la suivre et elles se retrouvèrent bien vite devant la porte de la chambre de Zéleph, une servante venant de sortir, rouge comme une pivoine. « Êtes vous réellement sûre d'avoir besoin de moi? ». Mitsuko se tourna vers la jeune fille qui essayait de fuir. « Toi là! Que penses-tu de mon futur époux? » « Pa...pardon? ». « Il est beau n'est ce pas? ». Elle la fixait, si bien que la jeune fille ne savait plus si elle devait confirmer ou infirmer, surtout que sa maîtresse était couverte de sang. « Euh...ou...oui, vous avez de bons goûts...je crois. ». « Bien. ». Se retournant, elle sourit à Tara, comme pour lui signifier qu'il était normal que les employées rougissent à la vue du roi. Elles entrèrent, trouvant ce dernier sur son lit. « Mon chéri, voici Tara. Elle sera sous tes ordres à partir de maintenant afin que tu croises moins souvent Seth. ». Elle lui jeta l'un de ses kimonos. « J'ai réussi à sauver celui-ci mais c'était au péril de ma vie... ». La déesse sourit, il avait dû remarquer sa tenue ensanglantée. « Je vais prendre un bain, je vous laisse donc faire connaissance. ». Puis, elle se dirigea vers la pièce réservée à cet usage, laissant les deux individus ensembles.

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Mer 16 Jan 2013, 23:04

Le roi fixa quelque seconde la femme devant lui, un peu perdu par ce qui venait d’arriver. Sous ses ordres ? Seulement il n’avait rien demandé lui, pourquoi fallait-il que Mitsuko face ce genre de chose sans lui demandé ? Et qu’est-ce qu’elle fichait couverte de sang ? Parfois il se demandé comment il arriver a gardé un esprit saint. Regardant son vieux kimono il soupira. Est-ce que c’était à cause de Seth ? Surement, de toute façon il s’en fichait, il ne voulait personne sous ses ordres, il en avait déjà assez au Circus et si il avait eu envie qu’on s’occupe de lui, il y serrait à cette heure. Ce rallongent sur le confortable lit, il ferma les yeux, ce trouvant très bien avant qu’elles ne viennent toutes l’emmerdé. « Vas, je n’ai besoin de personne. » Tara sourit. « Je vois. » Souffla-t-elle en s’approchant de lui, puis elle lui prit sa cigarette des lèvres avant qu’il finisse par bruler les draps de soie. Zéleph ouvra brusquement les yeux. Si il y avait bien quelque chose qui l’irrité c’est qu’on l’empêche de fumer. Il aller pour la reprendre, mais elle lui fit signe que non, un petit air mutin sur le visage. « Non, non, non. » La cigarette fut jetée au feu. « Pas de ça dans un lit Monsieur. » Le roi grogna, la fusillant du regard. « Vous êtes quoi ? Ma nounou ou ma servante ? » Elle sourit de plus belle, lui offrant un regard plein de malice. « Ce sera comme vous voudrez. » Zéleph secoua la tête dépité avant de retomber sur son lit. Voilà pourquoi il ne voulait pas qu’on s’occupe de lui, cela finissait toujours mal. « Je ne t’es pas dit de sortir ? » Tara haussa les épaules en regardant autour d’elle, puis elle vit le chocolat et ne put s’empêcher de trempé ses doigts dedans. Le réprouvé qui sentait toujours sa présence allait la mettre dehors de lui-même, mais ce qu’il vit fut assez dérangent pour un esprit humain, mâle qui plus est. Les doigts de la jeune femme glissée dans sa bouche, marquant une expression de profond plaisir sur son visage, accompagner d’un léger gémissement qui fit frémir le roi. Il y avait quelque chose d’hypnotique dans ce geste, comme si il ne pouvait s’en détacher. « Hum… il est vraiment bon. » Ce rendant compte de la situation il ce frappa intérieurement avant de se lever. Lui attrapent le poignet avant qu’elle ne se mette à gouter a un autre il lui leva, lui empêchant tout geste. « Il n’est pas pour toi. » Tara lui sourit, baissant pourtant les yeux. « Je suis navré, il sentait si bon. » Le réprouvé lâcha prise en soupirant. « C’est bon. » Autrement dit, il la laisser disposer, seulement elle ne parut pas le comprendre de la même façon car il sentit ses mains lui attraper sa chemise. Un peu déconcerté il la regarda le boutonné. « Qu… » « Vous êtes le genre à ne pas savoir vous habillez c’est ça, hum ? Vue ce que Seth à fait de vos vêtements, et le faite que votre chemise soit déjà toute froisser, je n’en doute pas. » Zéleph ne savait pas du tout ce qui ce passer, trop choquer surement pour réagir alors qu’elle lui botté jusqu’en haut pour finir par lui lisser le tissu sur le torse « voilà, ne vous inquiétez pas, je vais m’occuper de vous. », puis elle rebroussa chemin en défaisant un ou deux boutons, enfin, l’air satisfaite de son travaille elle passa au bas de la chemise prête a lui rentré dans le pantalon, mais à cette instant le réprouvé recula brusquement manquant de très bucher sur le meuble et faire tomber le chocolat. « Non mais j'suis pas un gosse ! » Tara le regarda de haut en bas ce moquant ouvertement de lui. « Excusez-moi mais ce n’est pas l’air que vous donnez. Vous devez être sacrément bon autre part pour que ma maitresse en supporte autant. » Le sous entendu était claire et net, on pouvait clairement le lire dans ses yeux, trop insistant, il y avait quelque chose de sensuelle dans ce regard, et la façon dont-elle mordit sa lèvre était étrangement érotique. Zéleph du ce ressaisir une nouvelle fois. Il y avait un drôle de parfum dans la pièce. Elle l’ensorcela, mais quand il se rendit compte que c’était celui de Mitsuko il parut ce réveiller, Tara très près, trop près de lui. Avait-il avancé, ou bien elle ? Il ne savait même plu ce qu’il faisait. Zéleph sentit alors la colère en lui. On lui avait déjà fait le coup du parfum, celui qu’il aimer le plus. Edelwyn lui avait expliqué comment cela marcher, autrement dit celle femme avait le pouvoir de le séduire de la même façon, seulement si il c’était laisser prendre avec le vampire c’était bien par ce qu’il n’avait pas gouté au modèle original.

«Sort d’ici. » siffla-t-il soudain entre ses dents, ce retenant de la mettre lui-même a la porte. Tara ne parut pas satisfaite de cette tournure que prenait les choses. Elle posa ses mains sur son colle comme pour lui remettre, un air de petite fille déçu sur le visage. « J’ai toujours bien servit mes maitre vous savez, nous pourrions nous entendre, j’en suis sur… » Le roi défit violemment les mains de la brune de son col, d’un coup de main. Il sentait la vraie colère montée. Mitsuko lui avait envoyé une succube ou bien ? « Je n’ai jamais frappé une femme mais ça pourrait bien arrivez. » Tara lui sourit alors. « Oh oui punissez moi. Vous êtes si séduisant quand vous êtes en colère. » Zéleph ce paralysa à nouveau, ne s’étant pas du tout attendu à cela. Elle se fichait de lui ? Ou bien était-ce encore un jeu de sa chère déesse pour le rendre dingue ? Sans prévenir le réprouvé prit la femme par les hanches et la plaqua contre la porte, le regard féroce. Tara, surprise le fixa à son tour déstabiliser par une si grande réactivité, puis elle lui sourit l’air satisfaite. « Vous êtes moins résistant que se que je croyez. » Seulement quand elle voulut prendre en otage sa bouche, il ce recula la forcent à rouvrir les yeux, frustré. « Tu n’es pas là pour me servir, avoue le ! Elle me fait toute une leçon sur la fidélité, comment me tenir, puis elle m’envoie une femme magnifique pour me servir, et qui m’aguiche en plus ! » Tara soupira l’air ennuyer « tu as raison mon chérie, je suis démasquer. » Elle ce changea alors en Mitsuko. Zéleph relâcha sa prise n’y comprenant plu rien. Seulement quand il voulut ouvrir la bouche elle posa son index sur ses lèvres, puis glissa ses mains sur son visage pour venir cueillir ses lèvres. Cela expliquer le parfum si fort qu’il sentait l’envahir. C’était plutôt plausible, sa déesse était bien capable de lui jouer ce genre de tour. Seulement il y avait quelque chose qui n’allait pas. Son parfum, ses formes, sa voix, tout était parfait, seulement la déesse ne l’embrasser pas ainsi. Cela manquer de passion, d’envie, de désir, d’un quelque chose qui faisait que ses baiser tait unique. Quand Zéleph s’en rendit compte, il poussa Tara si fort qu’elle en traversa la porte. Sous le bois briser elle avait repris sa forme et cette fois la rage le repris. S’essuyant la bouche, il était dégouté d’avoir était ainsi berné. Fixant la jeune femme qui ce redresser il fallait qu’il évacue sa colère. « Je ne veux plus jamais te voir ! PLUS JAMAIS ! » Furieux était un faible mot pour traduire à quel point le sang de Zéleph bouillonnait en lui. La servante ce leva en baissant la tête. Il avait l'air terrifiant et très impressionnant, la colère marquant son visage. Continuer de jouer aurait était signer son arrêt de mort. « Je m’excuse, je n’ai pas l’habitude qu’on me résiste. » « Et c’est pour ça qu’elle ta envoyer. » « Plus ou moins. » « Répond par oui ou par non !. » « C’est que … ce n’était pas explicite, mais comme personne ne me … » « C’est donc Oui. » Cela lui suffisait largement pour le rendre fou. C’était la marque qu’elle n’en avait jamais assez, qu’elle était toujours en doute sur lui et ça lui faisait bien plus de mal qu’il ne voulait bien l’admettre au final. Il soupira. Tara s’approcha doucement de lui, comme pour ne pas l’énervé plus, elle posa une main sur son bras et il ce redressa près à sévir, mais dans son regard il y avait une réel once de honte alors il l’écouta. « Vous êtes le premier à y arriver. Vous devez réellement tenir à elle. » « Si on veut » grogna-t-il. Tara s’approcha de son oreille, comme pour murmurer quelque chose que personne d’autre ne devait savoir dans ce manoir et avoua la pure vérité au fond « Elle ne le mérite pas. » La servante lui sourit avant de prendre la direction de la sortit. L'homme ce détendit un peut, réalisant que ce n'était pas la faute de Tara et encore moins la sienne. « Tara ? » « Oui Monsieur ? » « Je suis vraiment aussi séduisant ? » Elle lui sourit. « Presque autant que moi, Monsieur. » Puis elle sortit, sachant que c’était la marque qu’il ne lui en voulait pas pour tout ça. C’était vrais qu’il était beau, et il embrasser merveilleusement bien, seulement il paraissait obsédé par la déesse, a tel points que même en jouant son rôle il l’avait démasqué en un baiser. C’était impressionnant. Elle avait trouvé cela amusant, mais ne recommencerait pas, du moins elle ferait de son mieux car, au fond, elle ne maitriser pas toujours ses pouvoirs, comme pour le chocolat elle c’était un peu trop emballait et quand elle avait vue l’effet que ses pouvoirs avait eu sur le roi elle avait imaginé que cela serrait drôle d’aller un peu plus loin, puis encore un peu et de fil en aiguille elle avait voulu jouer le jeu comme Mitsuko l’avait suggéré. Peut-être qu'il serait plus amusant à servir qu'elle ne l'avait imaginé.

Zéleph quand à lui retira sa chemise, puis son pantalon. Eteignant toute les lumières il partit dans le lit pour dormir. Il savait très bien que Mitsuko avait tout entendu, il s’en fichait, elle l’avait cherché eh bien elle avait tout gagné. Lui qui avait juré à genoux qu’il serrait a elle et rien cas elle comme il ne l’avait jamais était pour personne, même pas pour les quelque personne qu’il avait aimé, même pas pour l’amour de sa vie. Elle lui montré une fois de plus qu’il n’était pas grand-chose, qu’un grain de sable superficiel, en lequel elle n’avait aucune confiance car il pouvait très bien ce lasser du soleil et voler au gré du vent. Peut importer ce qu’elle pensait au bout du compte, car il resterait là pour toujours quoi qu’elle face ou qu’elle dise, que cela lui plaise ou non. Ce serrait peut être sa torture, mais il tiendrait debout et ce n’était pas ses misérables enfantillages qui allait le faire tomber.



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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Jeu 17 Jan 2013, 00:49

La robe de Mitsuko tomba sur le sol, alors qu'elle s'avançait vers l'eau du bain. En réalité, elle préférait ne penser à rien, simplement faire ce qui devait être fait. Les laisser seuls tous les deux était réellement dangereux, elle en était consciente, et ainsi mise à l'écart, elle se demandait réellement ce qui lui avait pris. Plongeant sa tête dans l'eau, elle resta là plusieurs minutes, les yeux ouverts sur sa propre bêtise, ne souhaitant rien savoir de ce qui pourrait se passer dans la pièce d'à côté. Personnellement, elle ne connaissait rien de Tara, elle venait de la réveiller d'un sommeil de plus de mille ans, mais sa réputation parlait d'elle-même. Seth avait également succombé à ses charmes et, pourtant, cela avait pris du temps. Elle était irrésistible, tout simplement, un avantage considérable mais également un inconvénient car cette femme avait perdu l'homme de sa vie à cause de ses dons. Enfin, après un si long sommeil, cela n'avait sans doute plus aucune importance. Mais elle? Était-elle prête à s'entendre dire que le roi avait succombé aux charmes de Tara? Pourquoi avait-elle fait ça? Peut-être dans l'espoir fou qu'il ne soit pas un homme, un homme comme les autres? Mais si il fautait? Que ferait-elle? Le mettrait-elle réellement dehors pour quelque chose qu'elle avait provoqué consciemment? Lui en voudrait-elle? Oh oui, elle lui en voudrait, elle était même déjà en train de lui en vouloir. Mais sans doute pas pour les mêmes raisons. Elle émergea de l'eau, absolument pas essoufflée. D'ailleurs, une personne normale serait déjà morte. Il ne régnait qu'un silence pesant dans la pièce d'à côté, pesant pour elle. Pourquoi lui en voulait-elle donc? Parce qu'elle pensait qu'il n'avait rien à faire à ses côtés? Parce que, pour elle, c'était juste impensable qu'il soit encore là? Il la détruisait, petit à petit, de l'intérieur, tout simplement parce qu'elle ne désirait pas que quelqu'un soit si proche d'elle, parce qu'elle préférait être seule, parce qu'elle préférait être critiquée et craint plutôt que d'être admirée et aimée. Au début ce n'était qu'un jeu, une séduction qu'elle savait déjà dangereuse à cette époque. Mais, à présent... c'était différent. Ils étaient un couple aux yeux du monde, ils s'aimaient aux yeux des habitants des terres du Yin et du Yang, ils allaient se marier, elle allait avoir un enfant. Rien que cette dernière idée la hantait, tout simplement parce qu'elle avait toujours fuis l'accouchement, ça l'effrayait. Elle ne voulait pas qu'on la voit souffrir, elle ne voulait pas qu'il lui tienne la main lors de ce moment. Pourtant, il y avait ce sentiment de rage en elle dès qu'elle imaginait Zéleph fauter. Elle voulait qu'il la laisse mais elle ne supporterait pas qu'il aille avec une autre. Peut-être devait-elle réellement le tuer pour s'être immiscé ainsi dans son intimité? Elle soupira, disparaissant.

Mitsuko fixa Tara qui s'était stoppée juste à temps pour ne pas lui rentrer dedans. La jeune femme ne parut pas gênée le moins du monde de voir la maîtresse des lieux nue devant elle. « Vous avez changé d'avis quant à moi? ». La déesse ne releva pas, posant la seule question qui lui tenait à cœur. « A-t-il succombé? ». La seconde du chef du personnel lui sourit, visiblement amusée : « A mon grand damne, non, mais quelques efforts supplémentaires et je pense qu'il pourrait, comme tout le monde. Il est vrai que votre futur mari est réellement beau. Mais si vous me posez une telle question, dois-je en conclure que je suis renvoyée? ». L'Aether la fixa un instant. Elle aurait dû répondre affirmativement mais elle n'en avait pas envi, c'était comme avouer qu'elle était faible face à cet homme si énervant. « Non, bien sûr que non, continue, si tu le veux. Qu'est ce qu'il t'a dit? ». « Je doute que vous voudriez réellement le savoir. ». Elle fit une pause, fixant sa maîtresse comme si elle hésitait, puis, elle se lança. « Vous savez, je servais votre ancêtre auparavant. Elle avait la rare faculté d'être plus douée que moi dans mon propre domaine. Jalouse mais plus douée, je devais lui céder. Elle couchait avec tout le monde, elle aimait ça, elle se complaisait dans la luxure, même en aimant elle ne pouvait s'en empêcher. Je la trouvais excessive. Mais il n'en est rien par rapport à vous. Pourquoi ne pas simplement profiter de ce que vous avez au lieu de toujours chercher à le fuir? Vivez, et vous verrez bien ce qu'il se passera. Zéleph pourrait être réellement à vous que jamais vous ne le croirez. C'est un bel homme, je pense que s'il l'avait voulu, il serait parti depuis longtemps, alors je me demande ce qu'il vous faut d'autre. ». « Je ne le mérite pas n'est ce pas? ». « Franchement? Non. Je trouve qu'il perd son temps avec vous. Il serait à jamais malheureux si vous continuez ainsi, et, avec tout le respect que je vous dois, vous aussi. ». Mitsuko ne savait pas quoi répondre, s'apprêtant à partir dans un endroit où elle pourrait penser à autre chose. Cela dit, Tara lui attrapa le poignet. « Allez, venez, il va falloir vous faire pardonner. Certainement nouveau pour vous mais il y a un début à tout non? ». La déesse la suivit, ne cherchant pas à en savoir plus. Tara la sécha, n'hésitant pas une seule seconde car, après tout, personne n'avait jamais refusé un traitement semblable de ses mains. Puis, attrapant un objet magique qui lui était fort utile, elle fit apparaître des sous-vêtements, ou, du moins, que le bas. « Je ne mettrais jamais ça! ». « Oh que si. Vous verrez, il sera bien plus ravi de vous voir arriver ainsi qu'en robe, surtout après le coup que vous venez de lui faire subir. Je suis irrésistible, il a sans doute dû vraiment prendre sur lui... ». Mitsuko fut donc habillée par Tara qui semblait bien attentive à ce qu'elle faisait, l'Aether étant sans doute la plus gênée des deux en réalité. Quelques minutes après, la cheffe du personnelle lui sourit : « Voilà. Et faites moi le plaisir d'entrer dans la chambre comme une personne normale. Parce que cette manie de vous téléporter est juste... exaspérante. Et puis, si vous croisez Seth, je donnerai cher pour admirer sa tête... ».

Décidément, chaque individu voulait admirer au moins une fois le visage du majordome en état de choc. C'est que, ce n'était pas évident de le faire sortir de ses gonds ou de lui arracher un sourire, c'était une évidence. Mitsuko entra donc dans les appartements qui leurs étaient destinés sans croiser personne, et heureusement. Elle n'avait nullement besoin de lumière pour voir, aussi, elle s'approcha doucement du lit dans lequel se trouvait le réprouvé, se glissant lentement entre les draps. Elle espérait au moins qu'il ne la prenne pas pour une étrangère vu qu'elle ne sortait pas de la salle de bain. Elle se colla à lui, ses seins nus contre son dos, ses lèvres s'approchant de sa peau. La déesse l'embrassa sur l'épaule d'abord, puis, un peu plus près du cou, encore plus près. Elle avait envi de l'embrasser mais elle ne savait pas s'il dormait ou non. Délicatement, elle passa son bras autour de sa taille, l'enfermant contre elle, continuant ses baisers, effleurant doucement son torse de ses doigts. Il sentait le tabac, elle détestait cette odeur en temps normal, mais mêlée à la sienne, cela donnait toute autre chose. Peut-être devrait-elle s'excuser, lui demander de lui pardonner ou, au contraire, lui demander de partir. Mais, finalement, aucun mot ne sortit de sa bouche, sa main descendant doucement dans de voluptueuses caresses jusqu'à ses hanches, descendant sur sa cuisse avant de remonter sur son flanc, sa bouche s'occupant de ses épaules, de ses bras, de son cou, de son dos. « Tu es stupide, tellement stupide. ». Une excuse étrange, certes, mais tout était de sa faute à lui. Elle soupira et elle priait pour que jamais ils ne restent ensembles après l'amour, à se regarder de manière tendre, à se caresser comme des niais, à se prouver leur attachement. Elle préférait penser que ce n'était que charnel, qu'il n'y avait rien entre, ni amitié, ni toute autre chose. Doucement, elle amena sa main sur son ventre, descendant vers son bas ventre avant de s'arrêter, souriant. Non, en fait, c'était elle qui était stupide. Remontant sa main, elle la posa sagement sur son torse. « Abruti, tu as de la chance d'être séduisant. Pourtant je me demande ce que je préfère chez toi, que tu sois stupide ou que tu sois beau... c'est sans doute ta beauté qui m'attire et ta stupidité qui te fait rester avec moi. Je devrais te tuer pour être ainsi... ». Elle attrapa son lobe d'oreille, le mordillant avant de le lâcher totalement, lui tournant le dos, couchée sur sa partie du lit.

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Jeu 17 Jan 2013, 02:10

Est-ce qu’elle était nue ? Peut-être, en tout cas il sentit très bien sa poitrine s’écraser contre les muscles de son dos. Il santé très bien ses tétons contre sa peau, et à son plus grand malheur il ne put s’empêcher d’en frissonner. Zéleph ne bougea pas. Il fit tout pour le pas faire un geste et succomber à ses caresses. Ses lèvres, cette façon de le toucher, oui, cette fois c’était bien elle et ça le rendait fou. Il la haïssait tellement fort. De chaque parcelle de peau, de chaque cellules de son corps, il la détester, malheureusement pour lui son désir pour elle était bien aussi fort que celle colère en lui. C’était comme si l’un nourrissait l’autre. Cela faisait peur à voir. Il avait envie de la tuer, comme il avait envie de lui faire l’amour. Qu’est-ce qu’elle cherchait à faire en venant le caresser ainsi ? Un pardon ? Ou peut-être était-ce sa récompense pour avoir dit non, pour avoir rejeté les avances de Tara. Une gamine capricieuse et insupportable, voilà ce qu’était la grande et pur Mitsuko. Une garce. Ni plus ni moins que ça, et il n’y avait que lui pour voir la réalité. Son plus gros problème était que cette sorcière avait un pouvoir certain sur lui, sur son corps et ses envies. Pour que Tara puise le séduire il fallait qu’elle se change en elle, c’était pour dire comme il était tombé bien bas. Il frissonna à nouveau en sentant sa main sur son ventre. Les yeux fermés, il cherché à ne pas y penser, il ne voulait pas la toucher. Elle l’avait bien cherché, si elle voulait quoi que ce soit elle ne l’aurait pas ce soir. Si il avait un droit sur ses plaisir il en avait aussi quand il décidé qu’elle ne le mérité pas. Quand elle lui souffla l’oreille tous ces mots il trembla, trembla de rage, ou peut-être de frustration, mais elle fit bien de ce défaire de lui car il ne pouvait plus supporter de la sentir. Ejectant les draps de lui, il s’assit au bord du lit, étouffant sa rage dans un grognement. « C’est ça, je suis qu’un pauvre con. » Puis il se leva, prenant rageusement son coussin pour quitter la pièce, a peine éclairé que du feu de cheminer, mais avant de passer la porte il se tourna une dernière fois vers le lit. Il en avait gros sur le cœur. Il avait envie de tout casser, ou de ce jeter sur elle pour la prendre sans attendre, de force si il le fallait, seulement que ce soit l’un ou l’autre il trouva la force d’y résister. « Tu as perdu le droit de me toucher, Mitsuko. » C’était sec, sa voix tremblant sous le regard de la profonde haine qu’il ressentait à cet instant. Il ferma la porte à moitié casser derrière lui, la claquant en réalité. Qu’elle ne lui demande plus jamais de lui faire l’amour quand elle en avait besoin comme aujourd’hui, qu’elle ne lui demande plus jamais rien en réalité. Il lui avait déjà beaucoup trop donné, mais puise qu’elle n’en avait rien a faire il s’arrêter là. Il n’était pas un jouer, ou une chose avec la quel elle pouvait s’amuser comme cela lui chanter. Il était un être vivant qui avait un cerveau et un cœur, que cela lui plaise ou non. Il avait une put*i* d’âme qu’il lui avait offert sur un plateau d’argent et ce jour-là il avait crue être réellement connecter, il avait crue partager quelque chose d’unique, quelque chose d’incroyable qu’il n’oublierait jamais. Seulement, il était apparemment le seul à ce souvenir de cette nuit où ils avaient créé leurs filles. Il était apparemment le seul abrutie à y attacher un semblant d’importance, sur tous les efforts qu’il avait fournie, la confiance qu’il lui avait donné, pourquoi ? Pour qu’elle lui envoie une trainer pour le tester et qu’en plus elle vienne comme une fleur lui dire qu’il était con ?!

Jetant son oreiller en jurant sur le canapé il s’y assit. Seulement il n’avait pas sommeille. Non. Quelque chose lui manquer, quelque chose dont il avait vraiment besoin, une chose qui à une époque l’aurait soulagé. Ce levant il fit quelque pas avant de retrouver de quoi rouler une cigarette, ses penser de plus en plus envahit par cette penser. La colère avait toujours eu cet effet sur lui. Un besoin féroce de ce faire du mal, de ce détruire, pour soulager la frustration qu’il ne pouvait évacuer. Pour simplement ce faire mal, ce sentant coupable d’à peu près tout ce qui lui arrivait dans la vie, bonne ou mauvaise chose. Assit sur le canapé, Zéleph fuma a grande bouffer, finissant presque sa cigarette avant même de l’avoir commencé. Il fallait qu’il se calme, ou sinon tout ça aller mal finir, mais quand il penser à cette femme qui se foutait pas mal de lui en réalité, il ne pouvait s’empêcher de serré les poings à s’en faire saigner les paumes, en l’insultant de tous les noms. Sortant des appartements, dans le couloir il se mit à appeler, fébrile. « Tara ! Tara, bon sang ! » Zéleph se sentait mal, il avait honte quelque part, mais il sentait cette douleur en lui plus fort que tout et pour l’oublier il avait deux solution : sauter dans les bras de Mitsuko, ou boire jusqu’à en tomber par terre. Son choix était fait, cette femme ne mérité pas qu’il se batte pour elle, elle ne l’avait jamais mérité et idiot comme il était, stupide et faible, il venait à peine de s’en rendre compte. « Oui Monsieur ? » Sursautant le roi ce retourna sur la servante qui le fixer sans rien dire. « Du vin, du whisky, apporté moi n’importe quoi ! » « Il n’y a rien de tel ici. » Le roi frappa contre le mur, excédé. « Débrouille-toi pour en trouver ! » Tara acquiesça simplement, laissant là le roi qui reprit un peu d’air, comme si savoir que sa soif allait être enfin assouvit lui redonné déjà de l’oxygène. Il rentra dans le petit salon et s’assit. Tara apparut un peut après lui servant un verre de ce qui semblait être un vieille alcool artisanal. Elle le regarda, fébrile, sur son canapé et comprit que quelque chose n’aller réellement pas. Jetant un regard à la chambre. « Vous êtes dans un sale état, vous ne devriez pas… » « Dégage ! » Elle disparut sans plus attendre. C’était Mitsuko qui l’avait condamné, à jouer avec le feu elle finissait par le bruler, lui. C’était ainsi depuis le début. Elle était son enfer et son paradis. Elle le tuer, pour mieux le faire vivre, avant de l’assassiner encore.

Prenant le verre entre ses mains, il regarda le liquide ocre dedans et le fit tourné, son arome se dégagent pour venir enivrer son odorat. Il se perdit de dans ne pouvant faire autre, que rester là au bord du gouffre, à contemplé la chute sans fin qu’il allait endurer une nouvelle fois. Il savait ce que c’était que toucher le fond, en arriver à supplier que cela s’arrête, à n’être plus que l’ombre d’un parasite, d’un minable, d’un rat d’égout. Tara avait emmené la bouteille, c’était le seul verre qu’il aurait, le seul qui le ferait replonger, retomber en enfer. Après tout, c’était ce qu’elle voulait non ? Mitsuko. Qu’il finisse a nouveau comme un déchet au bord de la route sur le quel tout le monde crache. Oui, c’était bien pour cela qu’elle le piétiner. Il avait beau résister, il était humain, plus qu’elle en tout cas, c’était certain. Il avait de l’amour propre, de la fierté, un orgueil gigantesque dans lequel on pouvait surement ce noyait, et pourtant il c’était courbé devant elle. Il c’était mis à genoux comme un abrutie. Bien sûr il avait eu ce qu’il voulait, mais au fond il visait bien plus haut. Il visait bien plus depuis toujours. Jusqu’à ce qu’elle lui face comprendre qu’elle garce elle était resté et elle resterait toujours. Maintenant il allait être papa, et cette fois c’était vrais, c’était bien plus réel. Au fond il n’avait plu que ça a quoi ce rattacher, au faite qu’il allait avoir une fille. Est-ce qu’elle appréciait un père qui ne se rappelle même plu de son nom le lendemain d’une cuite. Non, surement pas. Ce levant il jeta violement son verre au feu, qui ce brisa sous le cou, les flammes doublant de volume sous l’alcool. Il s’appuya à l’arc de la cheminer, posant son front contre son bras. Elle était derrière lui, il la santé, elle était entré dans la pièce. Elle était peut-être même là dans l’ombre depuis un moment il n’en savait rien, mais à ce moment il la santé, car malgré tout ils étaient liés. Il ne savait comment cela marcher, mais elle était sa déesse et ça aussi, ça lui bouffer la vie. « J’ai fait beaucoup de chose. Beaucoup pour toi. Je sais que tu t’en fou, mais je l’ai fait. J’ai renoncé à ma vie, j’ai renoncé aux femmes, j’ai renoncé à l’alcool, j’ai renoncé à ma liberté. Je pensais que tu avais confiance en moi, et au lieu de ça tu m’envoie tes pantins pour que je tomber. » Il y avait de la rage dans sa voix, mais le dépit le voiler. Le dépit et a souffrance car il venait de réaliser, réaliser quelque chose d'évidant au fond. « Tu as peur. Tu es tout le temps effrayé, mais j’en ai marre d’être fort pour deux. J’en ai marre de devoir me battre pour deux. » Il se retourna, la distinguant à peine dans le noir, loin du feu. Son regard brillant de colère et de douleur, il aurait du boire, il regretter déjà son geste et en tremblé encore, ne pouvant contrôler ses spasmes. « On ne s’aimera jamais, et ce n’est pas ce que je cherche. On baise. Point. Ça s’arrête là, et tu sais quoi c’est tout ce que je veux. J’ai pas besoin de supporté tes caprices, tes jeux, tes conneries. put*i* je suis adultes moi, je sais résister à une paire de seins ! » Il s’approcha d’elle, le visage défiguré par la rage qu’il canalisé depuis pas mal de temps maintenant. La fixant menacent, le feu éclairant une lumière démoniaque dans son regard. « Seulement je ne tolère pas qu’on me prenne pour un con. » Il la prit a la gorge commencent doucement a dérivé vers un coter de sa personnalité qu’il avait crue longtemps enfouit. « Alors maintenant tout ce que je ferais, je le ferais pour notre fille, pas pour toi. Les efforts à ton égard c’est terminer. Plus jamais ! » Siffla-t-il avant de la lâcher aussi brusquement qu’il l’avait prise. « On fait ce qu’on a à faire et après chacun retourne à ses occupations. » Il se détourna et alla s’allonger sur le canapé, lui tournant le dos. La discutions était close et même si il n’arriverait jamais à s’endormir avec autant de rage qui bruler en lui, il était soulager de lui avait dit ce qu’il pensait, et d’avoir mis ça au point. Elle pouvait bien piquer une crise ou bien lui faire du mal, il s’en fichait, il la laisserait faire même si ça lui faisait du bien, mais la discutions tait fermer de son coter. Elle n’avait pas confiance en lui, lui non plus, c’était fini.
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Mitsu
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Mitsu
Jeu 17 Jan 2013, 04:00

Mitsuko sentait les flammes s'en prendre à ses joues, tout doucement, mais surement. Ce n'était pas possible, impossible que les paroles du réprouvé aient cet effet sur elle. Pourquoi? La chaleur qu'elle ressentait n'avait rien de celle qui empourpraient ses joues lorsqu'ils faisaient l'amour, non c'était autre chose, une chose qu'elle ne voulait pas ressentir, une chose qui devait s'arrêter, maintenant. Il devait se taire, mais il continuait. Elle se fichait qu'il cherche à l'étrangler, ce n'était pas ça le problème, le problème c'était ses paroles. Elle sentait sa vision se troubler, et elle préféra disparaître, réapparaissant dans la chambre d'Alicia qui devait dormir, contre le mur. Doucement, son corps descendit le long de cette surface dure, son visage s'enfouissant entre ses bras alors qu'éclatait son premier sanglot. Elle n'en pouvait plus. Elle n'en pouvait plus de lui, elle n'en pouvait plus d'elle. Elle se détestait quand elle était auprès de lui. Et elle détestait qu'il la rejette alors que c'était justement ce qu'elle voulait. Elle sentait ces larmes étonnamment chaudes qui coulaient le long de ses joues. Elle pleurait, vraiment, tremblante, secouée par des sanglots qui ne voulaient pas se stopper, comme s'ils rattrapaient le temps perdu. Elle l'aurait tué mais elle avait été incapable de dire quoi que ce soit, son rejet avait été tellement intense, tellement cru, tellement déplaisant. Pourtant, il avait raison, ils ne faisaient que baiser, c'était tout. Et pourquoi donc baisait-elle avec lui? Pourquoi lui? Il y avait des hommes partout! Bon sang, elle était stupide d'avoir cédé, elle ne voulait pas de ce mariage, elle ne voulait pas de cet enfant, elle ne voulait pas de lui. Alors pourquoi est ce que ses mots la blessaient autant? Elle n'arrivait même plus à s'arrêter de respirer, elle n'arrivait plus à faire reprendre le dessus à son appartenance à la race divine, elle respirait bruyamment, essayant de retenir ses sanglots, réussissant parfois mais pour qu'ils reprennent mieux leurs droits par la suite. Si bien que cela finit par réveiller la réprouvé qui s'avança vers son amie en robe de chambre. « Mitsu...? ». Elle s'était arrêtée de parler, voyant bien dans quel état celle-ci se trouvait. Elle n'aurait jamais cru une telle chose possible. La jeune femme s'agenouilla en face d'elle, l'enlaçant de ses bras, attendant un peu avant de lui demander : « Que se passe-t-il? Ca ne va pas? Tu as besoin de quelque chose? ». Que pouvait-il bien arriver à une déesse? Elle lui caressa les cheveux doucement, essayant de la faire se calmer sans grand succès, mais ces choses là prenaient du temps, elle le savait. « Tu te rappelles, je t'ai dit que tu pouvais tout me confier. Jamais je n'en parlerai, ça restera entre toi et moi. ». « Je... ». Non, elle ne pouvait rien dire, elle ne pouvait pas dire que Zéleph venait de lui signaler que tout était fini, qu'ils ne faisaient que baiser, qu'il n'y avait rien d'autre entre eux, qu'elle ne comptait pas pour lui, qu'elle l'avait poussé à bout et qu'il n'y aurait certainement plus aucun retour en arrière possible. Elle pleura donc, silencieuse, seul le bruit de ses pleurs remplissant la pièce. Puis, après quelques minutes, la peau nue de ses bras mouillée par ses larmes, elle releva la tête. Alicia la fixa, essuyant doucement ses joues. Elle avait l'air de s'être calmée, plus aucun sanglot ne déformant ses traits. Mais la réprouvé se rendit bien vite compte qu'elle était soudainement trop neutre pour que cela soit le calme qu'elle escomptait. « Ne t'inquiètes pas, je suis sûre que ça va aller... ». C'était difficile de conseiller une personne qui refusait de se livrer. Elle passa ses mains douces sur les joues de son amie, les essuyant. Même ainsi elle était belle, une beauté torturée. « C'est Zéleph. Je viens de me rendre compte que... que... nous n'avons rien à... ». Elle ne termina pas sa phrase, se relevant brusquement. Sa voix avait été étrangement froide et Alicia se doutait qu'elle allait partir. « Mitsuko, où vas-tu? ». « A l'éch...hum...peu importe. ». Elle disparut, laissant la jeune femme seule dans la pièce. Alicia réfléchit. D'accord, il s'était passé quelque chose avec son roi. Elle savait qu'ils allaient se marier, qu'elle était enceinte, donc, ils couchaient ensembles... est ce qu'ils s'aimaient? Cela semblait moins sûr, du moins, le sujet était très discuté. Mais alors pourquoi pleurait-elle? Elle avait nié quelque chose, quelque chose qu'ils auraient pu avoir en commun... elle venait de se rendre compte que ce n'était pas possible. Donc elle était partie à... l'éch...l'éch... « L'échiquier! ». Pourquoi faire? La réprouvé commençait doucement à relier les évènements, tout ce qu'elle savait. A l'échiquier, il y avait Jun, Jun qui l'aimait, Jun qui prendrait un malin plaisir à... non.

Alicia ne prit même pas le temps de s'habiller, sortant de sa chambre, se dirigeant vers celle de Zéleph. Il n'y était pas, d'ailleurs, cette pièce ne semblait même pas lui appartenir. Elle commença donc à chercher quelqu'un, mais elle était coincée car si elle trouvait vraiment une personne, alors ses dons fonctionneraient. D'ailleurs, elle ne pouvait même pas se présenter d'elle-même au roi. Elle soupira, entrant dans une femme qui semblait prise de remords. Elle la fixa, ses pouvoirs ne marchant pas sur elle. Tara. Elle ne la connaissait pas mais puisque le hasard semblait de son côté, elle n'avait pas à hésiter une seule seconde. « Excusez moi, où se trouve la chambre de Zéleph? ». Elle était légèrement paniquée et son ton produit le même effet sur la seconde de Seth qui leva des yeux inquiet sur elle. « Pourquoi donc? ». « C'est... hum... c'est personnel. ». « Dîtes moi sinon je ne vous montrerez pas le chemin... je suis à son service perso... » « Oui, peu importe. C'est Mitsuko, elle... hum... je crois qu'elle va faire quelque chose de... » « Très bien, venez. ». Elle lui prit la main et elles disparurent toutes les deux dans les ombres, réapparaissant devant le roi. Alicia le saisit, elle n'en avait rien à faire qu'il dorme ou non, elle, ce qui l'importait c'était de sauver une situation qui paraissait désespérée même si elle n'avait aucune idée de ce qui en retournait. C'était la première fois qu'elle voyait son patron, mais peu lui importait, elle lui dit d'une voix sèche, précise et sans le moindre détour : « Mitsuko est partie à l'échiquier pour y voir Jun et je crois que... que... hum, excusez moi si je me trompe mais je pense qu'elle veut noyer son chagrin dans les bras de cet homme, parce qu'elle est venue me voir en larmes et qu'elle n'a rien voulu me dire hormis des bribes de mots. Alors je ne sais pas ce qu'il s'est passé, mais... si vous n'allez pas la chercher, moi j'irai. ». « Moi aussi... c'est pas tous les jours qu'un loup devient un petit agneau... ». Alicia tourna son regard vers Tara qui se tut, autant la réprouvé était d'une gentillesse sans pareil, autant, lorsque la colère l'enlaçait doucement, il ne valait mieux pas s'y frotter. Puis, une petite lueur éclaira ses yeux, l'évidence même. « A moins qu'elle veuille vous écarter d'elle... définitivement. Peu importe le prix. ».

Et, en réalité, c'était ça. Quitte à souffrir, autant le faire correctement, jusqu'au bout, ne pas s'arrêter en si bon chemin. Il avait raison, il avait fait beaucoup d'efforts et elle non, ils n'avaient rien à voir l'un avec l'autre alors, tant pis, comme il disait, il s'occuperait de sa fille mais elle ne voulait pas qu'ils se marient, elle ne voulait pas l'enchaîner à elle vu qu'il ne souhaitait pas l'être. Elle n'avait plus envi de le voir. Jamais. Et il suffisait qu'elle agisse comme une trainée pour ça. Il suffisait que le monde soit au courant de son infidélité pour les détacher définitivement l'un de l'autre. Cela paraissait tellement logique. Elle avait un choix à faire, un choix qu'elle avait fait de toute manière : soit rester sur le quai bien sagement, soit sauter dans un bateau qui ferait chavirer sa vie. Et elle préférait le navire, se perdre dans les bras de Jun, quitte à assassiner la réputation de Zéleph et sa propre réputation, et mettre fin à tout ceci. Mitsuko apparut devant le futur roi des sorciers qui se tenait à son bureau. Il releva la tête vers elle mais avant qu'il ne parle elle lui dit simplement. « Je viens t'offrir ce que tu cherches. Alors, prend moi et finissons en. ». « Hé bien... si j'avais un jour su que tu m'apparaîtrais en porte jarretelles un beau soir en me demandant une telle chose, je pense que je ne l'aurai jamais cru. Mais, puisque tu sembles y tenir, je ne vais pas te poser de questions, juste faire ce que tu me demandes. Comment refuser? ». Il l'avait désiré pendant des centaines d'années, pourquoi cracher dessus? Surtout qu'il se doutait très bien que si elle était là, ce n'était pas pour des raisons très réfléchies, plus par vengeance ou désespoir. Il s'approcha donc d'elle, la prenant par la taille avant de la poser sur son bureau, le fixant dans les yeux. « Ne t'inquiètes pas, je ferai ça bien. Tu regretteras même de ne pas avoir succombé avant. ». Il passa doucement l'une de ses mains dans ses cheveux, conscient qu'il touchait la femme d'un autre, mais, pour tout avouer, ça lui plaisait particulièrement.
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Jeu 17 Jan 2013, 05:19

Les yeux de Zéleph passait d’Alicia à Tara qui le fixer comme si il était la réponse suprême. Seulement il y avait comme un vide en lui. C’était fini avant même d’avoir commencé. Comme il ne bouger pas tara fini par se mettre à crier le secouant. « Mais vous allez vous bougez oui ?! » Le roi baissa la tête pour seul réponse, et son air abattu fit baisser les bras de l’ombre, trop surprise de ne voir aucune rage dans ce réprouvé. Est-ce possible ? « Ca ne fera que la troisième fois où je perds tout ce que j’ai. Que la troisième… » Souffla-t-il, sa voix submergé par le désespoir. Elle était à l’Echiquier, dans les bras de Jun. Elle se vendait au diable, pourquoi au juste ? Ce n’était pas de sa faute. C’était elle qui merdait tout le temps. Lui il faisait les choses bien, pourquoi devait-il la sauver en permanence ? Il n’avait pas signé pour ça, il n’avait rien faite pour ça. Après tout il avait tout fait, absolument tout pour elle et elle ce jeté dans les bras de son sorcier, l’homme le plus abjecte qui soit. Pour une femme qui se trouvait faible dans les bras d’un homme, pour une femme qui avait peur, elle le dégouté et elle ce dégouterait. Tant mieux pour elle, après ça elle ne pourrait plus jamais ce regardé dans une glace et elle l’aurait mérité. A quoi bon se battre ? Il en avait marre. Il était fatigué. Plu rien ne compté, rien n’avait jamais compté. « Votre fille est dans son ventre ! Ça ne vous fait rien ça ? » Quelque chose qui devait le faire réagir, quelque chose d’effort, de plus puissant que tout. Tara avait trouvé, mieux que toute les gifles du monde, l’idée qu’on puisse toucher à la chair de sa chair. Cela marcha, la haine naquit à nouveau de ses cendre. Zéleph se leva, le noir envahissant son être. Jun ne toucherait pas à sa fille ! Seulement le temps qu’il vole la bah et c’était fichu. Il faisait comment alors. Tara lui sourit et lui prit la main, là ils disparurent.

Quand Zéleph rouvrit les yeux ils étaient dans un bureau. Un bureau sur lequel un homme était allongé sur SA déesse. Le sang du roi ne fit qu’un tour et à ce moment il y avait plus de gêne démoniaque en lui que dans tout l’enfer. En un éclair il fut sur Jun, le plaquant contre le mur du fond, lui éclatant littéralement contre la pierre. Quand il se rendit compte qu’il l’avait assommé il le laissa tomber par terre, comme la loque qu’il était et en profita pour lui cracher au visage avec toute la haine et la répulsion dont il était capable. Ce retournant vers le bureau, c’est à ce moment qu’il réalisa réellement que Mitsuko était en très petite tenue. « Trainé. » grogna-t-il en l’attrapent par le bras et en la forcent à sortir de cette salle. Tara avait très bien comprit et c’était volatilisé laissant là son maitre et sa maitresse. Zéleph marcha un peu dans le long corridor avant de finir par la lâcher quand il fut sûr qu’il n’y avait plu personne, quoi qu’il ne douté pas cas un moment où un autre les gardes allaient débarquer, et il serrait ravis d’expliquer a Masha, que sa futur femme c’était jeté sur son futur époux, oui ravis. Ce tournant vers Mitsuko il était furieux, mais quand son regard se posa sur elle on ne pouvait y voir que du dégout. Une profonde répulsion. Il finit par les détourné comme incapable de continuer à la regardé, tant cela l’insupportait. « Tu me dégoute. » cracha-t-il en lui tournant complétement le dos. « Tu joues les catins alors que tu as ce que tu as toujours voulu ? Enfin… maintenant tu n’as plus rien. » Il appela tara, qui n’était pas loin, et elle s’approcha pour lui prendre la main, puis prendre celle de Mitsuko et les faires revenir au manoir, dans leurs chambre. Elle disparut à nouveau, laissant là le couple, qui paraissait n’être que des miettes de ce qu’ils étaient avant. Zéleph posa ses yeux sur le chocolat, froid, figé à présent, qu’il avait fait faire pour elle. « J’ai toujours crue que le plus fort de nous deux c’était toi, alors qu’enfaite, c’est moi. Tu es incapable d’assumer tes erreur, tu es incapable de profiter de ce qui est bien, enfaite tu n’es capable de rien et c’est pitoyable, pathétique. » Le plateau, et les bols de chocolat traversèrent la pièce. Il avait l’air calme, mais si son visage était fermer et sa voix basse, à l’intérieur il se consumer de rage. Il avait envie de sang, besoin de sang, besoin d’alcool aussi, tellement que cela lui bruler la gorge et le ventre. Seulement au fond il avait sur tout mal, mal de ce faire encore trahir. Ce tenant sur le meuble, face au mur pour ne pas la regardé, car à présent il en était incapable tant cela lui donner la nausée, il serra les dents pour ne pas montrer sa souffrance. « Tu me dégoute. Te vendre à un autre par ce que tu es en manque alors que tu portes ma fille, ça me… » Le meuble fini en morceau sous son poing, qui s’abattit si fort sur lui qu’il n’aurait pu y survivre. « Tu fais ce que tu veux, j’en ai rien à foutre maintenant, mais c’est ma fille aussi et je ne te laisserais pas faire ce genre de chose, par ce que même si ça me rend malade tu es sa mère et je n’aurais pas envie de lui expliquer quand elle serra grande quel trainer tu es. Je n’ai pas non plus envie de l’expliquer à Neros, as Faust, ou à un autre de tes enfants. » Il ce tapa la tête contre le mur, ses yeux s’irritant alors qu’il n’avait rien demandé, alors qu’il était en colère. Il voulait crier de rage, évacuer, mais rien en voulait sortir comme il voulait. Au final c’était lui qui penser aux choses et elle qui dérailler. Qu’est-ce qui était arrivé. C’était elle qui était censé le sauver, pas lui qui devait s’en occuper. Il se dirigea vers le petit salon, puis il ce stoppa dans sa marche, avant de ce retourné. Il ne a regarda pas, mais parla avec la plus grande clarté dans la voix, son être entier bléser au plus profond de l’âme. « Ça aurait pu s’arranger. Seulement maintenant ce n’est plus possible, plu jamais. » Il s’approcha d’elle par ce qu’il ne pouvait s’en empêcher. « Je tes tout donner, je tes même parlé de toute ma vie, je tes offert mes peur, mes doutes, mes angoisses... mes cauchemars. Je penser qu'on était connecté, qu'il y avait quelque chose, pas de l'amour, mais quelque chose qui nous allez bien. » Zéleph attrapa un de ses katana, il en sortit le sabre du fourreau et il le plaqua sur la poitrine de la blonde. « Tue moi, fait le si c’est ce que tu veux, vas-y. Par ce que je ne peux pas vivre comme ça. Tu sais bien que c’est la seul solution si tu veux te débarrasser de moi. » Il lui prit les mains et les lui posa sur le manche, puis il prit la lame entre ses propre main et posa le bout sur sa poitrine, pile là où était son cœur et où elle pourrait le transpercer en un seul coup. Une larme coula sur sa joue. Il avait eu le malheur de croire un jour qu’il pourrait revivre un semblant de bonheur. Qu’il pourrait voir sa fille grandir, être père, réellement père et pourquoi pas aimer ça ? Seulement la femme à qui il avait tout donné avait piétiné son être plus que n’importe qui ne l’avait jamais fait. Au final il ne c’était jamais sentit aussi humilier de toute sa vie, même quand son père et ses amie s’en était pris à lui, car à cette époque il était faible et innocent, alors que là c’était lui le fautif. Il avait laissé cette femme mettre sa main dans sa poitrine et tenir son organe gorger de sang, entrain de battre. A cette instant elle était en train de le serré dans sa main, elle lui arracher, son âme, sa vie, tout d’un seul coup. Il se sentait vide, affreusement vide, comme si le désespoir l’avait envahi pour la première fois, comme si plu rien ne pouvait arriver. Son soleil c’était était. Elle ne l’éclairé plu. Au contraire, elle était l’ombre la plus noir qu’il avait jamais vue, et peut être que quelque part c’était ça qui lui ferait le plus mal. Il l’avait éclairé, jusqu’à ce qu’elle se transforme en trou noir et ne l’aspire pour le faire disparaitre. C’était l’heure, le jour. Il avait vu sa mort arriver autrement, mais il lui avait tant donné qu’il était même prés à ce sacrifié. Posant un genou, puis deux à terre, il eut un sourire vague, come déjà absent « Lucie. Lucie c’est bien comme nom. » Il pensa a sa mère, à son ancêtre qui c’était sacrifier pour sa progéniture. Il en était arrivé là, comme elle, celle qui portait son enfant lui était insupportable a regardé et il préférait mourir en paix et que Mitsuko retrouve le semblant de bon sens qu’il lui connaissait plutôt que de continuer à devoir subir cela, encore et toujours. Elle ne pouvait peut être pas tué un de ses fidèles, c’était peut-être contre l’une de ses lois, seulement elle l’avait déjà fait. Il était déjà mort. Il ne rester plu rien en lui. Serrant plus fort la lame entre ses doigts elle le coupa, le sang commencent à couper, il l’approcha plus la pointe qui perça la peau. « Je prie ma déesse de réparé l’injustice commise. Tout est de ma faute. Je suis une erreur. Mon crime est d’être encore là. » il n’avait même plu mal, c’était très étrange, comme si tout l’avait réellement quitter, même la douleur. Que du néant, quelque chose qui n’avait pas de nom, car il n’y avait plus rien. « Achève-moi » fini-t-il par murmuré dans le calme de la nuit.


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Jeu 17 Jan 2013, 06:43

« Tu es stupide, tellement stupide ». Ce ne fut qu'à la fin de sa phrase que Mitsuko prit conscience que... elle se redressa dans le lit, comme si elle sortait d'un mauvais rêve, d'un cauchemar qui la faisait encore trembler de la tête aux pieds. Elle ne comprenait pas, elle était incapable de se rappeler comment c'était arrivé. Jun, Zéleph, le katana. C'était pourtant vrai, tout était vrai, elle se rappelait encore le tenir, voir ce regard si vide se dégager des yeux de son fidèle. Alors pourquoi est ce qu'ils étaient de nouveau dans ce lit? Pourquoi est ce que...? Pourquoi? Elle n'avait pas de tels pouvoirs, elle n'avait jamais su contrôler le temps et à moins qu'un dieu plus puissant soit intervenu, cela était totalement impossible. Elle connaissait la suite des évènements, elle savait, mais elle était dans un état d'esprit bien différent à présent, consciente de la douleur qu'elle ressentirait si elle devait le perdre, consciente que cette douleur serait bien plus forte que celle qu'elle avait ressenti lorsqu'il lui avait jeté aux visages ses mots haineux, bien plus forte que celle qu'elle avait ressenti en laissant les lèvres de Jun la parcourir. Le voir là, à genoux, s'enfonçant cette lame dans le cœur, elle était encore sous le choc. Oui, le simple fait qu'un homme comme lui puisse à ce point plier, qu'il puisse plier. Oh, elle l'avait déjà vu par le passé, lorsqu'il s'était débarrassé de son alcoolisme, mais ce n'était rien par rapport à ça. Elle resserra son emprise, ses doigts s'enfonçant dans son torse comme si elle ne voulait pas qu'il s'en aille. Elle ne comprenait pas comment ils avaient pu en arriver là, comment elle avait pu avoir une si grande emprise sur lui sans le manipuler comme elle le faisait par le passé sur tout être vivant. C'était tellement troublant qu'un homme, sans l'aimer, puisse en venir à un tel point de non retour. Peu importe la raison, peu importe que se soient ses propres pouvoirs ou ceux de quelqu'un d'autre, elle ne laisserait pas les choses se dérouler comme elle les avait vécu. Aussi, elle exerça une pression sur le bras de l'homme, le forçant à se retourner vers elle, lui grimpant dessus sans aucun ménagement, une jambe de chaque côté de son bassin. Peu importait, elle ne le laisserait pas bouger, pas se lever, pas partir.

« Je sais. Tu as fait tellement de choses pour moi : arrêter de boire, me promettre de ne plus succomber aux charmes des femmes t'entourant, accepter de te marier avec moi... et tout ce que tu dois te dire maintenant c'est que je ne suis qu'une garce qui n'a aucune confiance en toi et qui cherche à te tester en permanence. C'est vrai, je ne suis qu'une garce, j'ai cherché à te tester mais, maintenant, j'ai confiance en toi, une confiance aveugle. Je... ». Elle hésita. Après tout, peut-être était-ce suffisant? Mais, à vrai dire, elle se rappelait de ce qu'il s'était passé, elle ne l'oublierait jamais, jamais. Elle avait souffert ce soir, mais lui aussi et elle ne le souhaitait pas, elle ne souhaitait pas que tout ceci recommence. Elle devait le lui dire, elle devait être franche, lui expliquer, quoi qu'il décide de faire. Elle préférait largement qu'il parte, qu'il se mette en colère plutôt que de le voir pleurer avec cet air si résigné, lui demandant d'effacer l'erreur qu'il était de la surface de ce monde. Elle ne voulait pas lui fendre le cœur en deux, c'était au dessus de ses forces. Elle savait qu'il ne se souvenait pas de ce qu'il s'était passé mais ce n'était pas important, il avait cas la prendre pour une folle, mettre ça sur le compte de sa grossesse... le bébé? La pensée que ce soit lui qui ait pu faire ceci la traversa mais elle ne le saurait probablement jamais. « J'avais peur, mais ce n'est plus le cas. Je sais, il n'y a rien entre nous, pas d'amour, nous ne faisons que nous complaire dans la plus grande des luxures. Je ne te demanderai plus de faire des efforts pour moi, je ne les mérite pas, je ne te mérite pas tout court. ». Mitsuko prit les mains de Zéleph, les maintenant fermement sur le lit. Elle ne le lâcherait pas, plus jamais. « J'avais peur parce que plus le temps passe, plus je m'attache à toi, plus des éléments extérieurs nous relient et...ça ne m'est jamais arrivé avant. J'avais peur de trop m'accrocher à toi, de croire au bout d'un moment que tu me considères un peu plus qu'une femme avec qui tu baises. ». Elle avait dit cela si crument mais, après tout, elle reprenait ses propres termes, ceux qu'il ne se rappelait sans doute pas avoir prononcé un jour. « Ca me fait peur, alors j'ai cherché à me prouver que j'avais raison, que tu te lasserais, que tu faillirais à tes promesses. Mais maintenant c'est fini. Je sais que tu ne le feras pas et, même si c'était le cas, je m'en remettrais. Je pense. ». La jeune femme s'avança vers le roi : « Parce que, la vérité, c'est que je ne peux pas vivre sans toi, plus maintenant. A présent qu'il y a cette chose dans mon ventre que nous avons eu la folie de créer, une chose qui ressemblera à chacun de nous, en espérant qu'elle prenne uniquement nos bons côtés, je ne me vois pas l'élever seule. Même si tu finissais par te détourner de moi, par prendre du plaisir dans d'autres bras, même si tu finissais par me détester encore plus, je voudrais toujours que tu sois aux côtés de cette enfant pour la rendre heureuse. J'ai peur de l'accouchement, j'ai peur de ne pas être à la hauteur pour élever ce bébé. Je n'y arriverai pas sans toi. J'aurai besoin de ta force dans les moments où je faiblirai, j'aurai besoin de ta présence, de discuter avec toi des bonnes décisions à prendre pour son avenir. J'ai besoin de toi, sans doute même plus que toi tu as besoin de moi. Alors tant pis si tu finis par me blesser et tant pis si tu n'es pas élégant comme le devrait la tradition eu égard à mon rang. Moi j'aime tes vieux kimonos, j'aime ton odeur de tabac et je ne veux pas me marier avec un autre homme que toi. ». Elle l'embrassa, d'une manière si passionnée qu'elle aurait pu exiger qu'il lui fasse l'amour directement. Néanmoins, elle s'arrêta, attrapant son oreiller avant de plaisanter : « Maintenant je vais dormir sur le canapé parce qu'il faut que je me fasse à l'idée que je viens de faire un très long monologue dont tu dois te foutre éperdument et que tu pourrais être tenté de quitter le manoir tout de suite en pensant que je suis folle. Bonne nuit. ». Puis, elle se détacha de lui, fermant la porte de la chambre pour se retrouver dans le salon. Elle soupira, envoyant son oreiller sur le sofa avant de s'asseoir dessus. Elle n'avait aucune envie de dormir, ça ne la tentait même pas. Pourtant, avec tout ce qu'ils avaient vécu en si peu de temps, cela lui aurait fait du bien. La jeune femme fixa ses mains, celles qui avaient tenu le sabre. Jamais elle ne voulait que cela se reproduise, quitte à passer pour une épouse parfaite aux yeux du monde et devenir bien trop gentille avec Zéleph, à tel point qu'il finirait par se lasser d'elle. Elle ramena ses jambes à sa poitrine, songeuse, ayant encore la sale impression de ressentir les mains de Jun sur elle. Pourquoi avait-elle fait ça? C'était totalement absurde. Elle posa la main sur son ventre, doucement, caressant ce dernier avec toute la délicatesse qui lui était possible d'avoir : « Excuse moi, ce n'est pas vrai, je te veux. Je suis désolée ma chérie, ça ne se reproduira plus, plus jamais. Ton père est le seul à pouvoir me toucher, à me faire frémir. ». Parler à un enfant non encore né, c'était sans doute étrange mais ce serait une habitude qu'elle prendrait, petit à petit, s'attachant à ce bébé à venir, un peu plus chaque jour. Et, une chose était certaine, elle ne voulait plus voir le dégoût dans le regard de Zéleph, elle ne voulait plus y voir la rage, la haine à son égard. Peut-être préférait-elle y voir l'indifférence. Et, de même, elle ne voulait plus y voir cette résolution, les yeux qui indiquaient qu'il n'y avait plus d'espoir, plus rien, juste la fin. Jamais.
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Jeu 17 Jan 2013, 08:09

Zéleph ne savait plu où il en était. Il y a un instant il était furieux contre elle, plus encore que ça, il était dans une colère noire et puis elle lui avait sorti exactement ce qu’il pensait, si bien qu’il en avait perdu ses mots, et prit à contrepied il c’était laisser surprendre. A présent il était étalé là en travers du grand lit, fixant le plafond dans le noir, sans savoir s’il devait en rire ou non. Mitsuko était si… incroyable ? Il n’y avait pas quelques minutes elle lui disait qu’elle voulait le tuer pour être si bête et beau après lui avoir pratiquement jeté une femme dans les bras pour qu’il faute, et maintenant elle lui faisait une déclaration qui ressembler presque a celle d’une femme amoureuse. Il ne manquer plu que le « avec toi je n’ai pas peur de vieillir » et il était bon pour finir sa vie avec elle. Quelque chose était arrivée ? Il avait manqué un passage ? Si elle avait conscience de ce tout ce qu’il avait fait pour elle, si elle avait confiance en lui, comment était-ce arriver si vite ? En quelque seconde, juste entre le moment où elle c’était détacher pour en réalité resserré sa prise, ne le quittant pas pour finir. Zéleph était perturbé. Il avait crue qu’il allait piquer une crise, qu’il allait sortir de ses gonds, mais elle lui avait fait tout ravaler et il en rester indécis. Mitsuko venait de lui avouer toute ses peurs, bien qu’il les connaissait bien avant, il n’était pas complétement aveugle, mais qu’elle lui avoue quand, les yeux dans les yeux c’était un pas si grand entre eux qu’il n’avait rien pu dire pendant qu’elle débité ses quatre vérités. La baiser ? Le roi grimaça, où est-ce qu’elle avait trouvé ça ? Est-ce qu’il lui avait un jour laissé entendre ça ? Ou bien fait quelque chose qui aurait pu le traduire ? Non, il était extrêmement attentif à ses désir, on ne pouvait pas dire qu’il n’était pas attentionné avec elle, c’était même l’une des rares personne avec qui il l’était autant. Enfaite ce qui l’avait le plus choquer c’était qu’elle lui dise qu’elle avait besoin de lui. Mitsuko n’avait besoin de personne. Elle était bien plus forte que n’importe qui. Pourtant il était vrai qu’on lui avait toujours dit que même les plus puissants avaient besoin d’aide par fois. Il y a certaine chose qu’on ne peut faire seul. Peut-être qu’il pourrait encore faire ça pour elle. Après tout elle lui avait dit quelque chose de plutôt touchant. Quelque chose qui lui fit ravaler la fierté qu’elle avait froissée en lui envoyant Tara. Le réprouvé soupira. Le faite qu’elle est confiance en lui devait tout arranger n’est-ce pas ? Seulement il avait peur que ce soit encore une de ses ruses, et il n’arrivait pas à savoir comment elle était passée de si froide à si chaleur. « Tes vraiment con par fois. » Il se leva. Après tout même si il avait des doutes, il fallait qu’il joue sa dernière carte et qu’il voie ce que cela pouvait bien donner sinon, il valait encore mieux jeter l’éponge tout de suite, cela reviendrait au même. Entrant dans le petit salon, il la vit assise sur le canapé, recroqueviller, et il se sentit attendrie, plus qu’il ne l’aurait dû, peut-être. S’approchant doucement, il s’accroupie devant elle, peut sans un mot il esquissa un sourire, la prenant dans ses bras, il la teint fermement contre lui, la ramenant a leur lit. Elle n’aurait plu besoin de son cousins, il était là, et il ne compté plu là lâcher pour la nuit, plu jamais. La posant, là sur les draps défaits, il la couvrit de son corps, l’entourant de ses grands bras pour l’emprisonner.

Zéleph la fixa, les yeux plonger dans les sien, la langue perdu. Il ne savait pas quoi dire, réellement pas habituer à ce genre de chose. Alors là dans le silence, il passa une main sur sa joue. Il avait cette étrange sentiment de soulagement, comme si un énorme poids venait de disparaitre, comme si quelque chose de grave avait subitement disparut. Elle avait confiance en lui, il n’avait plus rien à craindre tant qu’elle comprenait qu’il n’y avait qu’elle. Qu’il n’y avait jamais eu qu’elle. C’était triste à dire, mais le patron du lieu de débauche le moins fréquentable était fidèle à une femme, et il s’en sentait étrangement fière. Après tout ce temps, on ne pouvait pas dire qu’il ne ce serrait pas battue, la plu part du temps contre lui, mais aussi contre elle. Ce penchant doucement sur elle, il l’embrassa tendrement, la serrant le plu fort possible contre lui. Il en avait besoin, il avait besoin de la sentir. Il ne savait pourquoi, mais a cette instant sa chaleur lui manquait atrocement. Ce laissant tomber a coter d’elle, sans jamais la lâcher, il soupira d’aise. « Tu en vaux la peine. » Juste une phrase, des mots sincères qu’il n’avait jamais autant penser. Zéleph savait ce que cela avait dû lui couté de lui avouer tout ça, de lui donner la clef de son corps, de son âme. Comme il lui avait donné le pouvoir de le détruire, elle venait de lui donner exactement le même. Ils avaient l’un sur l’autre ce pouvoir destructeur, mais ils en avaient aussi un autre, celui d’être libre ensemble et d’en profiter. Lui était prêt à le faire. Dans cette phrase il lui prouvait qu’il n’avait pas besoin de l’alcool, des femmes ou d’autre chose, il n’avait besoin que d’elle, et il serait toujours là. Il était près à le juré devant un autel le jour où elle le voudrait. Posant sa tête sur son oreiller, sa main libre –c’est-à-dire pas celle appartenant à son bras écraser par la déesse- caressa sa taille, descendant sur sa hanche, sous son regard plus qu’intéresser. Ses doigts longèrent les coutures de la fine lingerie, alors que ses yeux retrouvèrent les sien, amuser. Peut-être qu’elle avait tout prévu depuis le début. « Une des raisons pour les quel je te hais le plus, c’est pour ça. Tu es magnifique, enfaite tu es parfaite. J’avais oublié ce que cela faisait de voir une personne illuminer une pièce par sa présence, rendant tous les autre si triste et fade. » Sa main glissant sur ses reins il la colla a lui, là son corps caressant le sien, il effleura ses lèvres des sienne, l’envie montant en lui comme la lave dans un volcan en pleine éruption. « Tu pourras m’envoyez autant de femmes que tu voudras, je ne voudrais jamais que toi. Tu les éclipses toutes, quoi que je fasse. » Et c’était pour cela qu’il la détester le plus, car sans ça en réalité tout serrait arranger, il n’aurait pas à la supporté, que ce soit ses crises, ses mensonges, ses ruses ou ses manipulation. Il serrait libre. Seulement qu’en fois qu’on avait goutté au saint des saint, plus rien en pouvait éclipser cette aveuglante lumière, vous hypnotisant, vous rendant fou d’obsession. Ses lèvres ce plaquèrent contre les sienne, brutalement, pour la faire voyager dans ce monde de passion et de plaisir qui était le leur. Leur bulle quelque part, un espace réservait à leur envie et désir cacher. Maintenant qu’elle avait compris qu’il était à elle et exclusivement a elle jusqu’à ce qu’elle le jette, il n’avait plu aucune raison de s’inquiéter et il était prêt à ce lâcher, comme tout homme saint d’esprit le ferait.

Quelque part il regretter tout de même qu’elle n’ait pas compris la première fois. Elle c’était tellement obstiner à croire que ce qui l’arranger qu’elle avait dû le tester et il lui en voulait toujours pour cela, il lui en voudrait surement pour un long moment au bout du compte, mais ce qui compté vraiment à cette instant c’était leur deux bouche fusionnant à nouveau dans une harmonie parfaite. Elle le faisait frémir, voilà ce qui manquer à Tara, Mitsuko avait cette façon de faire qui le faisait chaviré et couler a pique. Ses mains glissèrent doucement vers les fesses de sa déesse, les agrippant pour la coller au maximum a lui, et sur tout en profiter aussi le plus possible, il n’était pas encore aussi stupide qu’elle le disait. Ce détachant de sa bouche, il déposa des baisser dans son cou, puis son épaule, rebroussant chemin avant de recommencer. Il finit par se redresser et planter brusquement son regard dans le sien, comme si un éclair de génie l’avait traversé. « Et si on se marier qu’avec les enfants ? On a pas vraiment besoin d’une grande fête. Tu voulais quelque chose de simple et, même si j’aurais voulu que tous les hommes de ces terres comprennent qui avait tiré le gros lot, je ferais ce que tu voudras. » C’était en quelque sorte un cadeau, une sorte de récompense pour avoir enfin baissé le reste de sa garde, étant maintenant à égalité avec lui, mise à nue devants es yeux émerveiller.
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Mitsu
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Mitsu
Jeu 17 Jan 2013, 21:41

Elle n'en valait pas la peine, elle avait envi de le lui dire, mais elle préférait rester silencieuse, sentir ses lèvres sur elle. C'était tellement étrange de savoir que tout ceci aurait pu se terminer autrement, qu'elle aurait pu le pleurer, qu'ils auraient pu se déchirer, qu'elle aurait pu finir souillée par Jun, qu'il aurait pu être totalement détruit. Le contraste était flagrant, ce qui la faisait réfléchir encore une fois, une fois de plus, aux conséquences des petits gestes, aux conséquences de chaque décision et de chaque mot. Bien sûr, elle connaissait tout ceci par cœur, elle était une encyclopédie de la manipulation à elle seule, mais... oui, quand cela la concernait, elle devenait tellement incompétente, tellement stupide que personne ne l'aurait jamais cru. Pourtant, elle était tellement heureuse à ce moment précis, n'ayant pas à vivre des choses qui la dégoûtaient, qui l'attristaient. L'important c'était qu'ils soient tous les deux, que leurs lèvres se mêlent, que ce désir si fort continue de vivre. Puis, il se redressa, et elle le regarda, là, attendant ce qu'il allait dire de plus. Elle finit par sourire, un sourire adorable, avant de venir se coller un peu plus à lui, se blottissant dans ses bras puissants, lui grimpant dessus. Elle aimait bien être sur lui, les deux mains reliées sur son torse, son menton posé sur ces dernières. Elle l'observait avec des yeux qu'elle n'était capable de montrer qu'à si peu d'individus. « Tu veux savoir ce que j'en pense? ». Elle sourit. « Je crois que c'est une bonne idée, une excellente idée même. On peut être encore plus fous, décider d'un jour au hasard, sans prévenir personne, juste Neros et Faust. On va à Bouton d'Or et on se marie, comme ça, sans rien prévoir, tous les deux. Bien sûr, les réprouvés le comprendront et ils finiront par faire la fête, mais tout sera fait à la dernière minute, sans préparation. Un peu comme nous. Parce que, finalement, on y était pas vraiment préparé, c'est venu comme ça, sans qu'on ne puisse lutter. ». Elle avança son visage vers celui de l'homme, le regardant dans les yeux. « Je ne veux pas d'un mariage pompeux et hautain. Je veux que chacun y soit à l'aise, naturel, et non que les tensions, qui existent toujours dans ce genre de fête où tout le monde est invité, soient présentes. Je veux quelque chose de vrai, de fort et d'heureux. Et je ne veux pas non plus une superbe robe de mariée immaculée qui m'empêchera de me déplacer. Je veux pouvoir bouger, danser dans tes bras, t'obliger à me courir après et me rouler dans le foin. ». Elle finit par rire, roulant sur le côté pour regagner sa place. Elle semblait tellement innocente parfois. Seulement, ses yeux brillaient d'une lueur merveilleuse, tout simplement parce qu'elle disait la vérité. « Non, une robe simple avec un petit voile suffira, et pourquoi pas une couronne de fleur dans les cheveux pour le côté champêtre? ». Elle tourna sa tête vers lui, amusée par ce qu'elle disait. Il devait sans doute se demander sur quel pied danser avec elle, parfois sèche et sérieuse, d'autres fois amusée et fantasque. Enfin, si elle commençait à lui faire confiance, peut-être qu'elle changerait petit à petit, qu'elle lui confierait des choses, qu'elle se dévoilerait, elle, et non l'image que l'on avait d'elle, l'image qu'elle voulait avoir. « Et puis, tu ne seras pas obligé de t'habiller en costume. C'est élégant, certes, mais ça ne te ressemble tellement pas. ». Elle rit encore, taquine. La déesse voulait oublier les évènements qui s'étaient déroulés plus tôt, elle voulait construire des fondations à leur relation qui seraient tellement solides qu'ils pourraient bâtir dessus sans aucun soucis. Elle ferma les yeux un instant, un petit sourire aux lèvres puis, doucement, elle se leva, se dirigeant vers le chocolat qu'elle n'avait remarqué que lorsqu'il avait fini par terre dans ce futur qu'elle ne voulait plus jamais vivre.

« Merci pour le chocolat... ». Elle regardait le liquide qui commençait doucement à durcir, se saisissant du plateau pour le déposer devant la cheminée, s'agenouillant lentement pour ne rien renverser. Puis, prenant appui sur sa main gauche, elle trempa son doigts dans l'un des trois parfums avant de le porter à sa bouche, souriante. « C'est vraiment délicieux, tu devrais venir goûter... ». Mitsuko sourit, trempant de nouveau son doigt dans le liquide avant de se relever et de se diriger vers le lit, proposant à Zéleph de goûter directement ainsi. Elle le regardait de ce même air étrange qu'elle avait pris avec lui depuis que tout était reparti à zéro. Elle le força à se redresser, s'asseyant sur lui, les fesses de la déesse entre les cuisses du roi, ses jambes l'entourant alors que ses pieds se reliaient dans son dos. Ainsi, face à face, elle lui sourit, approchant son doigts de sa bouche, lentement, avant de faire un mouvement brusque et de lui en mettre partout sur les lèvres. Elle rit, amusée, avant de s'avancer, recueillant le chocolat avec sa langue avec volupté. Puis, se reculant un peu, elle mit son propre doigt dans sa bouche, le regardant intensément sans qu'aucun doute ne soit possible sur les intentions qu'elle pouvait bien avoir. « Le pire c'est que je ne peux même pas m'empêcher de te désirer. Tout le temps. ». La déesse passa ses mains dans le dos du roi, rapprochant sa poitrine de son torse. Elle avait tellement besoin de le sentir auprès d'elle. Elle l'embrassa, dans le cou, nichant ses lèvres ici et là, ses lèvres qui dégageaient cette chaleur si agréable. Elle aimait parcourir chaque centimètres de sa peau, le sentir frisonner. Elle lui chuchota doucement. « Je serai ton rêve, parfois, un doux cauchemar d'autres fois. Tu ne me haïras plus, ou si, tu me haïras pour ma perfection, et, en réalité, il ne pourra pas s'écouler une seule seconde sans que tu ne me désires. Tes souvenirs troubleront ta vue, et si un jour une femme s'approche de toi, tu ne la trouveras pas fade, non, tu ne la verras même pas. Parce que tu n'auras d'obsession que mes mains sur ta peau, que mes lèvres parcourant ton corps, encore et encore, tu n'auras aucun répit, sauf lorsque tu tomberas dans le plus profond des sommeils, un sommeil sans rêve. Chaque objet, chaque meuble, chaque pièce te fera penser à moi, à mon corps qui pliera sous le tien, à mon corps qui se courbera sous tes caresses, à mon corps qui te dominera parfois, souvent. Je ferai ressortir le côté le plus démoniaque de ton être mais aussi le plus angélique. Je n'aurai jamais peur de ces deux faces, de ces deux parties de toi. ». L'une de ses mains était remonté jusqu'au cou du roi, le caressant doucement de la pointe de ses ongles, sa bouche si proche de son oreille. « Je suis certaine qu'aucun autre homme ne pourra me faire ressentir un plaisir aussi fort que celui qui m'embrase lorsque je suis dans tes bras, je ne veux personne d'autre, je veux toujours te sentir en moi, de la plus chaste des manières à la plus indécente, surtout la plus indécente. ». Elle attrapa son lobe d'oreille, le mordillant légèrement. « Je vais t'aimer, Zéleph. ». Ce n'était pas une déclaration d'amour à proprement parlé, non, c'était autre chose. Elle l'acceptait, lui, dans son ensemble, lui et son désir, lui et son futur statut de mari et de père. Elle allait l'aimer pour ce qu'il était, sans en demander plus, sans en demander moins, elle remplirait le rôle qui serait le sien, pour que plus jamais il ne puisse penser qu'il n'était qu'une erreur, pour que jamais il ne puisse penser à enfoncer la lame d'un sabre dans son cœur.
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Ven 18 Jan 2013, 20:36

Comment en était-il arrivé là ? Il parlait de mariage avec une femme qu’il n’aimer même pas et qu’il était pourtant près à épouser par simple fierté. Si il avait dû croiser ce qu’il était encore il y a quelque année, il ce serrait dégouter de sa propre vision. En finir par se soumettre, c’était perdre ce qu’il était. Seulement son double n’aurait pas compris. Comprit qu’ils étaient deux à genoux aujourd’hui, et que le prix a payé pour qu’elle le soit avec lui n’était que superflu, en vue de la valeur des heures incandescente que cela lui apporterait. Zéleph était quelqu’un de possessif, et jaloux à en crevé. Alors même si cela le perdrait, même si cela tuerait une partie de lui, il l’épouserait. Le réprouvé s’installa sur le coter, sa main soutenant sa tête pour la regarder s’émerveiller de ce que serrait leur mariage. Elle avait l’air heureux. C’était étrange à voir, comme si il n’y avait rien de dangereux en elle. Comme si elle était l’une de ces femmes rêvant du jour où elles diraient oui à l’homme qu’elles aimé. Seulement il n’était pas cette homme là, et c’était bien cela qui rendait toute cette histoire si étrange. Une robe, des fleurs, il lui offrirait ce qu’elle voudrait, car de toute façon au fond qu’il soit d’accord ou non elle n’en ferait cas sa tête, alors autant avoir l’air gentil et faire comme si il était d’accord pour tout. « Et puis, tu ne seras pas obligé de t'habiller en costume. C'est élégant, certes, mais ça ne te ressemble tellement pas. » Il leva les sourcils faussement agacer. Qu’est-ce qu’ils avaient tous avec sa tenue au juste ? Il ne s’habiller pas si mal, sinon comment toute ces femmes serrait tomber sous son charme ? Comment elle avait succombé ? Peut-être était-il plus séduisant nue, mais ça c’était encore autre chose. Doucement, sans rien dire, il laissa ses doigts glisser sur le drap du lit, pour aller caresser le bras de la déesse. Il se surprit a ce sentir bien, juste à cette instant, ne voulant pas autre chose que ce calme apaisant. C’était peut-être pour cela aussi qu’il voulait l’épousé, car ils serraient obliger de cohabiter, de vivre ensemble une partie du temps, et donc de ce supporté ne serait-ce qu’un peut. Assez du moins pour profiter de ce genre d’instant, comme volé. Elle se leva pour le quitter et prendre le chocolat. Il l’avait complétement oublié. Son regard ne la quitter pas, suivant scrupuleusement chacun de ses mouvements. Son corps était la perfection à ses yeux. La lumière matte de la chemiser ce disposé sur ses formes les rendant plus délicieuse encore au regard du roi. Elle dit quelque chose qu’il entendit a peine, laissant échapper un vague « hum. » montrant le peu d’attention qu’il avait sur ses mots, mais il était bien trop absorbé par sa beauté pour penser à autre chose. Quand elle s’avança vers lui, il esquissa un sourire satisfait. Oui si son double lui avait posé la question il lui aurait montré la femme qui avait su le persuader, et jamais son double ne lui en aurait voulu pour ce futur qui s’annoncer délicieux a subir.

Mitsuko s’assit sur lui, et alors qu’elle lui intimait de ce redressé il le fit sans discuter, simplement hypnotiser. Ensorceler, c’était cela, elle lui avait jeté un sort qui le rendait fou dès qu’elle faisait un geste. Il était fasciner et ne pourrait jamais rien y faire. Avait-il seulement envie de combattre ce désir ? Non, il se complaisait dans ce besoin malsain de la vouloir, toujours plus, toujours plus loin et cela sans se soucier des conséquences. Zéleph était près a cueillir le chocolat qu’elle avait sur les doigts, entrouvrant doucement les lèvres, quand elle les écrasa sur son visage brisant ce moment, le perdant dans un rire. Il ne put s’empêcher de sourire en la regardant rire. « Gamine » murmura-t-il plus pour lui que pour elle, par ce que c’était réellement ce qu’elle était à cet instant, et ça l’amuser. Mitsuko ce rapprocha, venant récupéré ce qu’elle avait coulé, et il se sentit frissonner a ce contacte. Quelque part il la redécouvrait, elle avait l’air quelque peu différent qu’avant. Plus joueuse, plus naturelle, bien plus libre. C’était étrange, c’était comme si un mur avait était franchi. C’était bien meilleur de l’avoir ainsi, tout à lui. Elle jouer avec lui, et il avait envie d’en rugir, de la dévoré et de ne rien laisser. Ses mains la tenait contre lui, il apprécier tellement la sentir contre lui, juste peau contre peau, rien pour les séparé. Il ferma les yeux sous ses caresses. C’était à la fois doux et intense, il en soupira d’aise, ce sentant simplement bien. Etait-ci un mal qu’elle le désir ? Pour lui non, et au fond pour elle non plut, pas quand ils faisaient l’amour.

Zéleph l’écouter, les yeux fermés, ce vouant totalement aller à ses caresses. Elle était sa maitresse, son amante, et bientôt sa femme, il la laisserait toujours faire ce qu’elle voulait de lui, du moins de son corps, car à présent il n’était cas elle, comme le sien était à lui. Elle lui mordit le lobe de son oreille et il grogna, si sensible après ce qu’elle venait de dire. Mitsuko était tout à lui et c’était tout ce dont il rêvé de puis trop de temps pour ne pas satisfaire ses envies. La basculant en arrière, sous lui, il écrasa brusquement ses lèvres sur les sienne, son bassin ce frottant au sien, cherchant à lui dévoiler sans un mot, qu’il avait très bien compris le message. Si elle voulait de l’indécence, cette nuit il était près à lui en donner sous toutes les coutures, de la plus belle des façons. Seulement il ne savait pas si il pouvait attendre, il avait envie de la prendre là et sans attendre, ne faire qu’un pour sellé les paroles de sa belle blonde. Ses lèvres glissèrent sur sa mâchoire, ce laissant guider vers son cou avant de se redresser. Il la regardé le regard assombrie, remplit d’un désir si grand qu’il se demander toujours comment elle faisait pour créer cette puissante réaction chez lui. Brusquement il ce défi d’elle, s’éloignant sans rien dire. Il descendit du lite, puis prit un pot de chocolat, redevenu fondant, et chaud à cause du feu. Remontant sur le lit, il la fit à nouveau s’allonger, pour la dominer, et lui faire un sourire carnassier. « J’ai faim. » Dit-il simplement, faisant abondamment couler le chocolat sur la poitrine de la déesse, puis sur son ventre. Il versa pratiquement tout, recouvrant sa peau blanche du liquide chaud. Quand il eut fini il délaissa le bol, pour la dévoré du regard. Le réprouvé humidifia ses lèvres de sa langue, alors que son regard sondé son corps plus appétissant que jamais. Il avait l’air d’un tigre prés a ce jeté sur son gibier. Oui il avait faim, il avait faim d’elle et son plus grand malheur était qu’il ne serait jamais rassasié. Zéleph avait peut-être bousillé le lit avec ses jeux, mais cela lui importa peut quand sa langue vin parcourir sa poitrine.

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Ven 18 Jan 2013, 22:10

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Sam 19 Jan 2013, 00:03

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Lun 21 Jan 2013, 17:41

Revait-il où bien l'entendait-il réellement les gémissement de sa déesse résonner dans la chambre, puis le salon pour arriver jusqu’à lui ? Était-elle entrain de ce touché ? Là maintenant qu'il l'avait laisser seule ? Cette idée était si érotique, si excitante et lui toujours esclave de ses désirs, laisser, abandonner a ses envie dans cette ce bain et cette eau a la chaleur étouffante. Il aurait tout donner pour ce lever et la rejoindre, mais voilas Zéleph était un homme d'une grande fierté et il était impossible qu'il cède ainsi. Pourtant il là voyait, là les yeux clos, l'image de Mitsuko ce touchant, gémissante, ce tortillant sur le lit, sa main perdu entre ses cuisses. Il grogna, un gémissement plus fort que les autres le frappant. Elle prenait plaisir a le torturé il en était certain, c'était pour le punir de l'avoir laisser, mais elle n'avait pas idées de ce que cela faisait naître en lui. Cela la rendait plus belle, plus sensuelle, plus désirable que jamais. Sa futur femme n'avait plu aucune pudeur, ni décence, il lui avait fait lever toute ses réticence, a présent elle n'avait plu de limite, plu de tabou et ça la rendait extrêmement voluptueuse. Sans réellement s'en rendre compte, le réprouvé laissa sa main glisser a son entre jambes, il fallait dire qu'il arriver a un point où il ne contrôler plu réellement se qu'il faisait. Cela en faisait partie. Petit a petit ses geste ce rythmèrent grâce aux crie de sa belle, il en atteignit l’extase, la voyant parfaitement sous ses gémissement. Bien sur il y avait une certaine frustration a ne faire qu'entendre ce qu'il imaginer, mais tout de même il atteignit le sommet, s'évaporant dans un gémissement qu'il étouffa en ce plongent dans l'eau, lâchant a temps l’instrument de ses plaisirs. Il resta quelque seconde, là, la tête sous l'eau flottant dans une autre dimension avant de sortir vers la surface, revenant a lui. Il sourit simplement quand la porte s'ouvrit. Elle était fière d'elle ça, il n'y avait pas à en douté. Elle ce glissa dans le bain contre lui, et il ne dit rien, pensant simplement qu'elle avait raison, cela avait était très agréable, bien qu'un peut frustrant pour lui, mais c'était certainement le but de la manœuvre.

Mitsuko s'amuser a le toucher, le griffer. Il l'écouté distraitement parler appréciant simplement le moment, ses caresse qui le relaxer étrangement. Il était bien ainsi, et pour rien il n'aurait voulu que cela change. Au bout du compte il ce ficher de ce mariage. Il n'était pas idiot, il savait que tout ne serrait pas aussi calme que ce moment, ils avait qu'il y aurait des déchirement, des souffrances, beaucoup de souffrance, mais il était près a tout enduré pour quelque minutes comme celles-ci. Il la regarda lécher l'un de ses doigts souriant légèrement quand elle parla d'un modèle de luxure. On ne pouvait pas dire qu'elle n'avait pas vite appris à oublier ses doute et ses craintes, aujourd'hui il ne ce voyait pas la quitter pour une autre, jamais, cette idée était même dérisoire, improbable. Fière ? Oui il était plutôt fière de ce qu'il avait fait d'elle. Il l'avait rendu plus belle qu'elle ne l'aurait jamais était, plus épanoui qu'aucun homme n'aurait pu lui apporté tant de bien être. Il était le seul, comme si son corps avait était fait pour elle, comme si le sien, c'était vouer au sien. S'en était presque déconcertant de simplicité au fond. S'abandonnant aux lèvres de la déesse, Zéleph ce laisser portait dans leur baisser, ses mains rejoignant les reins de la blonde, jouant langoureusement de sa langue contre la sienne. Voilas une chose qu'il aimer particulièrement chez elle, sa façon de l'embrasser, sa façon de jouer, malicieuse, coquine, et a la fois câline. Était-ce a cause de lui tout ça ? Était-ce lui qui l'avait façonner de cette façon par la force et la douceur, par se mélange explosif de deux extrême. Elle était délicieuse, il n'y avait que ça, délicieuse et envoûtante, et lui comme un débutant il c'était laisser prendre et avait succomber a la plus simple des tentations, la plus futile, mais aussi la plus puissante.

Profitant de chaque seconde où leurs bouchez ce rejoignaient, il la rapprocha de lui, serrant ses bras autour de son corps a l’aspect si fragile. Le roi ce retira, pour revenir a l'assaut plus pressant encore. Jouant, il ce recula encore l'effleurant, caressants es lèvres du bout des siennes, la faisant languir pour mieux la faire sienne encore avant de tourné ainsi dans cette danse qui n'avait ni début, ni fin. Quand il commençait a cédé ses baisait ce faisait plus rude, plus langoureux, avant de revenir dans une douce sensualité, une tendresse coquine, plein de malice. Zéleph était un grand enfant, il avait beau avoir perdu son âme il lui rester quelque bride qu'il n'avait jamais perdu, où bien peut être les avaient il gardé jalousement jusqu'au jours, où comme celui-ci, il pouvait s'abandonner a ses plaisir, a ses jeux enfantin qui était pourtant loin d'être innocent. Ses mains ce faisait baladeuse, voulant participé, elles aussi a ce moment de plaisir. Montant sur son dos pour redescendre plus bas encore, effleurant ses fesses, avant de remonter. Il aurait pu passer un temps fou, juste là, ainsi, a la caresser, a ce perdre dans leurs baiser, mais le bain commencer a refroidir et pour finir le lit était terriblement plus confortable, car au final il ce sentait un peut coincer dans cette endroit tout de même bien restreins. La serrant contre lui, ses mains agrippant fermement ses fesses pour ce lever. Était-ce lui qui était particulièrement fort, où bien elle qui était particulièrement légère, il n'y avait jamais penser. La posant sur le sol, il fini par ce retiré de sa bouche, attrapent simplement plusieurs serviettes pour s'en entouré et lui en passer. Ils avaient peut être assez abîmer les draps pour cette nuit.

Il la reprit a lui, ne pouvant décidément plu s'en séparé, comme une drogue, comme dépendant de son toucher. Il la porta jusqu'à leur lit l'allongent sous lui pour la dominer encore, satisfait de cette place qu'il voulait être la sienne. Là Zéleph ce remit a la couvrir de baiser, cela faisait écran a ce qui c'était passer un peut plus tôt, a leurs ébats puissant, presque sauvage. Au bout du compte ils pouvaient tout vivre ensemble, tout leur coller parfaitement a la peau, douceur ou violence, peut importé car le résulta était le même, ils étaient tout les deux a la recherches d'un plaisir pur et sans faille, peut importait le chemin a arpenté tant qu'ils jouissait chacun l'un de l'autre.
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Chaud cacao, chaud , chocolat (-18) ~ [pv Mitsuko]

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