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 Un homme pour un autre

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Jeu 11 Avr 2013, 22:42

« Cela suffit ! » Zéleph fut projeté au sol, bloquer à terre, comme attacher par des liens invisible. Il grogna mettant toute sa force dans la résistance de cette attaque, mais rien n’y fit, et lors ce qu’il vu le visage de Méli ce pencher au-dessus du sien, à l’ envers il arrêta de ce fatiguer pour rien, ne manquant pas pourtant de lui jeta un regard assassin. « Cela fait déjà cinq fois que je viens pour t’empêcher de te tuer. Vas-tu écouté ? » Le réprouvé ce remit a ce débattre dans un cries féroce. Il était enrager, et rien ne semblait pouvoir le calmer. Comment aurait-il pu ? Mitsuko l’avait enfermé, lui, son propre mari, sans aucune explication. Son peuple ce bâtait dehors, ils devaient le réclamer, ils avaient besoins de lui après ce que Jun leurs avait fait, et comme si la déesse cautionné cela elle l’empêcher d’aller se battre, de panser les blessures des siens. Il ne savait même pas de puis quand il était ici, frappant les murs sans portes de la pièce, sans cesse. Ceux-ci ne semblaient même pas avoir une seul égratignure, par contre lui ressentait la douleur, ses os ce brisant à chaque coup. Trop de puissance stoppé net ne pouvaient que ce retourné contre lui et fracturé ses os. Seulement même abattue, même les bras briser il continuer de foncer comme une mule contre le mur, comme un bœuf, inlassablement. Il c’était même assommé plusieurs fois et en continuant ainsi à s’obstiné, bientôt la déesse de la justice retrouverait son époux morts, c’était bien pour cette raison que Méli était intervenu plusieurs fois pour l’empêcher de ce tuer, rien que pour donner une leçon à sa femme. « Faits moi sortir ! » L’esprit caressa tendrement le chat qu’elle avait dans les bras, ne ce souciant pas du ton haineux avec lequel le roi s’adresser à elle. Il n’avait jamais eu aucune manière, et elle ne s’en soucier plu, plus lassé d’y faire attention que réellement habituer. « Je ne le peux pas, je te l’ai déjà dit. » Zéleph retomba dans un grognement. Il bouillonné de colère, il aurait tout bonnement était terrifiant si il n’avait pas était dans cette position de faiblesse, tout bonnement impuissant. Pour elle c’était du gâchait. Un être si puissant, c’était une beauté de la nature, une force incroyable dont elle était très fière. Si cela avait était-elle, il serait aussi libre que le vent pour donner libre court à cette beauté pur. Un diamant brute, qui serait toujours indomptable, impossible à tailler, à gravé. Seulement son sort ne lui appartenait plu, du moins, elle ne voulait avoir aucun problème avec les autres. Elle faisait déjà son possible pour le protéger des tourments de William et les jeux pervers d’Harôun. « Pourquoi m’a-t-elle enfermé ? » « Tu lui demanderas. » laissa-t-elle entendre énigmatique. Hors de question qu’elle rentre dans ce genre d’histoire, mais cela avait le don d’un peut plus irriter le roi, qui lui faisait payé en lui crachant littéralement son exécrable comportement. « Et vous vous prenez pour des Dieux. » Elle ne répondit rien. Ce justifier était inutile, sur tout dans cette situation où rien ne là mêler à ça. « Calme-toi. » Murmura-t-elle doucement. Dans le silence de la pièce, Zéleph l’entendit avec une clarté pure comme si elle lui avait ordonné, ou peut-être était-ce son agacement qui lui faisait transformer sa douceur en violence. Tout était raison à laisser sa colère ce déverser.

Méli connaissait ses désirs de violence, cette soir de brutalité, et elle n’entrait pas dans son jeu, il entretenait déjà très bien tout seul cette haine qui le dévoré. D’ailleurs puisse qu’il semblait plus calme, elle disparut pour le laisser seul, le libérant. Elle ne donnait pas chère de sa peau, dans quelque minutes il serrait a nouveau debout et recommencerait à foncer vers le mur pour tenter vainement de passer à travers, seulement ici il ne gagnerait pas. C’était tout bonnement impossible, seulement elle salué sa persévérance. Rien ne semblait pouvoir ébranler son esprit, un mental en acier trempé. C’était ça qui le tuerait, c’était évidant, mais d’une certaine façon, cela était respectable. Zéleph resta un instant à fixer le plafond. Il répara sa chair et ses os. Sa seule pensé aller vers Jun, il voulait tellement sa peau qu’il en sentait ses entrailles bruler de haine. Seulement s’accompagner à cela une tout autre haine, focaliser sur une tout autre personne. Mitsuko. Pourquoi l’avoir mis là, sans un mot, rien, le traitant comme un vulgaire chien que l’on attache pour qu’il se tienne tranquille. Pas un mot, une explication, non, il était clair qu’elle ce débarrasser de lui en le mettant ans un coin attendant surement qu’il soit calmer pour revenir. Seulement il ne ce calmerait jamais, il en était hors de question. Il était torturé par la perte des enfants de l’orphelinat, par les cris de douleurs, de détresses de ses sujets. Au moment où son peuple avait le plus besoin de lui il n’était pas là pour les protéger, il n’était pas là pour les réconforté. Le roi ce redressa, fixant le mur devant lui contre lequel il ce battais ans succès de puis dés heurs, peut-être même des jours, qu’en savait-il ? Il prit une grande inspiration. Il n’y avait rien ici que lui, la pièce était vide, telle une vulgaire cellule de sombre cachots. C’était Méli qui venait le forcer à ce nourrir, il ne dormait qu’une fois épuiser par ses heures de combat contre l’impossible. Chaque heurs ce suivait en ce ressemblant pour lui, et pourtant ce feu subsistait en lui. Rien ne le ferait abandonner.

Serrant les poings il était prêt à repartir au combat lors ce qu’une porte apparut sur ce mur immaculé de tous les dégâts qu’il lui avait infligé. Ce stoppant dans son mouvement il se demanda ce qui ce passer, et cela l’aurait étonné qu’elle soit apparu pour lui. Comme pour affirmer ce fait, elle s’ouvrit. Il grinça des dents voyant qui entré dans sa cage. Un agneau qui en avait toute les apparences mais qui était loin de l’être. A peine entré la porte disparut et il cracha sa haine, une fois de plus. « Qu’est-ce que tu veux, sangsue ? » Violant et simple, il n’avait ni envie de discuté, ni envie d’entendre quelqu’un, autant aller droit au but et pourquoi pas de l’expulsé le plus vite possible. Si il avait pu il l’aurait tué de son regards. En réalité, il avait conscience qu’il le pouvait, d’un point de vue technique, mais d’une certaine façon il en était incapable. Peu importe la façon dont cette femme le dégouté, elle était protéger par son statue. De plus, il savait qu’ici, on ne le laisserait pas tuer un visiteur. Si ce n’était pas Méli qui viendrait pour l’en empêcher, ce serait bien un autre esprit qui lui ferait payé. Qu’importe, cela ne l’empêcherait pas de le désirait ardemment. Après tout cela faisait si longtemps qu’il se sentait impuissant, une nuque briser lui ferait à nouveau ce sentir puissant. Il ne savait pas réellement si il était capable de ce contrôlé dans l’état où il était. Si encore elle avait le pouvoir de le faire sortir d’ici il aurait pu être concilient, mais il savait pertinemment que la seule à le pouvoir était celle qui l’avait enfermé ici. Alors quoi ? La sangsue venait pour se moqué de lui ? Comme les gens vont voir les animaux en cage au zoo, elle venait voir la bête attaché ? Elle devait certainement adoré l’idée. Le voire lui, docilement attacher en attente du retour de sa maitresse. Cela le rendait fou de rage.


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Ven 12 Avr 2013, 01:11

Edelwyn s'avança dans la pièce, doucement, regardant Zéleph sans rien dire au début, le visage impassible malgré le ton qu'il avait employé pour lui parler. Pensait-il qu'elle était venue ici pour le torturer? Elle finit par soupirer, sortant de derrière son dos une bouteille et deux verres. « J'aimerai une table s'il vous plait. ». Et la table apparut. Elle posa la bouteille et les verres sur cette dernière, faisant comme si le roi n'était pas ici. Mitsuko était réellement impossible. « Ta femme... ». Hum, lui dire qu'elle n'était pas venue le voir parce qu'elle ne pouvait pas prendre forme humaine après être sortie du temple n'était peut-être pas la solution. Non, elle avait quelque chose de plus important à lui annoncer avant ça. Oui, cette femme était vraiment impossible. L'Aether était venue la voir avant la réunion des chefs de race, lui faisant une confidence, celle qu'elle allait enfermer Zéleph dans le temple et qu'elle devrait s'y rendre elle-aussi une fois que le conseil serait fini. Oh bien sûr, elle allait refuser, c'était franchement n'importe quoi. Seulement, elle avait accepté et cela faisait maintenant plusieurs jours qu'elle était elle-aussi coincée ici, prise dans un secret encore plus grand qu'elle n'aurait pu l'imaginer, incapable de prévenir qui que ce soit de sa position. Néanmoins, elle n'en avait plus envie et si Mitsuko s'était confiée à elle, elle n'avait pas l'intention de laisser leur petit différend de côté pour autant. D'où l'existence de cette bouteille, bien qu'elle ne soit pas la priorité. Elle devait d'abord lui dire, lui dire ce que la déesse lui avait révélé peu de temps après son arrivée au temple. Elle était ensuite partie avec William à la rencontre du maître du temps, le fameux, celui qui réduirait les plans de Jun à néant, enfin, pas vraiment, juste un espoir, un infime espoir dans lequel les dieux croyaient. Et elle allait devoir expliquer ça à cet homme qui semblait enragé. Elle reprit. « Ta femme ne peut pas te parler pour le moment. ». Ça aurait été assez drôle de dire que sa femme était à l'heure actuelle aussi humaine qu'un objet. Un vrai courant d'air, une sphère de magie trop faible pour pouvoir reprendre une forme humaine pour le moment, invisible, à moitié consciente de son existence. Mais elle préféra passer ce genre de détails. « Elle m'a donc envoyé pour ce faire. ».

Elle s'approcha un peu du roi, prenant un air apaisant, attrapant doucement sa main avec la sienne, son regard se fixant dans le sien. « Elle ne veut pas te voir mourir pour une cause que Jun a déjà perdu. ». Ce n'était pas sûr mais d'après ce qu'elle avait compris, plus le temps s'écoulait, plus l'espoir grandissait. Mitsuko devait savoir à quel point elle détestait Jun pour lui avoir confié un tel secret, mais Edelwyn savait égalment que les aetheri du temple effaceraient sans doute sa mémoire avant de la laisser retourner auprès du sorcier. Le sorcier qu'elle haïssait mais désirait pourtant. Parce que le seul qu'elle aimait était son jumeau. Elle baissa les yeux sur son décolleté où les dernières lettres du prénom de son génie apparaissaient. Clauswitz avait trouvé cela amusant pour tout avouer, il savait tout, elle ne lui cachait rien et elle manipulait le maître du clan Brujah dans l'optique de faire gagner son propre clan au duel qu'ils se livraient sans merci depuis des générations et des générations. Mais la question n'était pas là. « Zéleph, Mitsuko tient à toi, sinon tu ne serais pas là, sinon elle te laisserait te faire tuer sur un champs de bataille pour rien. Perdre leur roi ne vengera pas les réprouvés. ». Elle tenait à lui, elle l'aimait même et ça arrangeait Edelwyn dans son calcul. Écarter Naram définitivement d'elle ne ferait que rendre chacun plus heureux. « Il y a un espoir pour ce monde, pour le sauver du chaos qui l'attend. Jun n'a fait que semer le chaos partout pour mieux reconstituer le cristal maître, pour devenir le dieu des dieux, pour les éliminer tous. Et pendant que les souverains s'entretuent ou se tournent vers leur peuple, lui, se fait passer pour à l'article de la mort alors qu'il se balade tranquillement à la recherche des pierres. Mais il y a une personne qui pourra sans doute l'arrêter. ». Et dire que cette fameuse personne était son propre fils. « C'est pour cela que les dieux restent silencieux, parce que c'est le seul espoir, un espoir fragile, et si les mortels l'apprennent, dans ce monde où la confiance n'existe presque plus, alors l'information pourra remonter dans de mauvaises oreilles. Et Jun n'aura qu'à déplacer un pion pour trancher la tête de cet espoir, un espoir ayant autant de puissance qu'un enfant de cinq ans presque. Faible... et c'est pour cela qu'il ne l'a pas pris en compte, qu'il ignore son existence, ce qu'il fait dans l'ombre. ». Edelwyn finit par lâcher sa main, se tournant pour servir deux verres. « Les dieux préfèrent passer pour des lâches plutôt que d'être les héros responsables de la perte du dernier espoir. Ils doivent laisser les mortels régler le problème si la solution existe et les aider si cela est nécessaire, les guider sans le montrer. ». Mitsuko lui avait dit que les aetheri du temple pouvaient simuler les sentiments, la haine, la rivalité, mais, au final, tout ceci n'était que des interprétations faites par les mortels.

S'approchant de nouveau, elle finit par prendre les deux mains du réprouvé, sachant qu'il ne pourrait rien lui faire sous la surveillance des dieux. « Allons, viens t'asseoir avec moi. ». Des chaises apparurent. « Maintenant que je suis consignée ici également, je préfère me retrouver avec toi plutôt que d'être seule. ». Pour une fois qu'elle était elle-même, qu'elle ne gloussait pas pour attirer l'attention de ceux qui la voyaient d'une façon bien basse. D'un calme olympien, elle se dit que les individus étaient trop faciles à manipuler, prenant bien souvent un individu habillé en moine pour un moine. Mais elle savait qui elle était, son mari le savait, et seul l'amour qu'elle ressentait pour Naram était une épine dans son pied. Mais, à présent qu'elle connaissait la vérité, qu'elle savait être en réalité le clone des deux Mitsuko, elle savait pourquoi elle l'aimait tant. Mais comment savoir au final si la dernière aimait vraiment le génie? Elle l'avait pensé, parce qu'elle était amoureuse de lui, mais, à présent, elle n'était plus sûre de rien. Seulement, elle ne pouvait pas laisser place aux doutes et l'éloigner de lui était la seule solution. Aussi, le philtre d'amour contenu dans la bouteille serait sa solution. Il ne marchait que sur les hommes et Zéleph devrait l'aimer s'il voulait garder sa femme entièrement à lui. Certes, elle ne lui demandait pas son avis mais le jour où Mitsuko retrouverait la mémoire, ce jour là, si elle aimait Naram d'un amour aussi fort que celui qu'elle éprouvait, alors elle laisserait le réprouvé croupir dans le caniveau. C'était ce qu'elle pensait, alors, l'empêcher de le revoir, à jamais, était le remède miracle. « Bois, je t'en prie. Ensuite, nous mangerons et bien que tu sembles peu apprécier les arts, je pourrai te jouer un morceau de violon pour essayer de te faire aimer... enfin, si tu le souhaites. »
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Ven 12 Avr 2013, 08:56

Qu’est-ce que c’était que ça ? « Ne me touche pas. » crachat-il avec dégout, ce défaisant de son emprise. Trop de gentillesse qu’il ne supportait pas. Voilà qu’Edelwyn défendait la cause de sa jumelle à présent. Il y avait quelque chose qui ne tourné plu rond. Devait-il continuer de l’écouté à déballer ses inepties ? Cela le rendait malade. Pire qu’être seul, c’était bien de devoir supporter sa présence et ses conneries. Il n’en revenait pas. Mitsuko était tombé si bas qu’elle lui envoyait Edelwyn, même pas capable de venir ce justifié elle-même. Il trouver cela insultant. Les dieux, l’espoir, qu’est-ce qu’il en avait à faire lui ? Le sienne avait était tant de fois piétiner qu’il n’en rester rien. C’était pathétique, et ses nerfs commencer a le lâcher. Zéleph ce détourna de la jeune femme, il ne voulait pas la voir, encore moins l’entendre. Il préférait encore rester enfermer que voir son visage. « Vas mourir ! » siffla-t-il entre ses dents, si furieux qu’il en sentait toujours son corps en tremblé. Si seulement on l’avait laissé se défouler, mais ici il ne pouvait rien détruire, c’était d’un extrême frustrant, mais il commencé à comprendre. Ont cherché à le protéger. Lui ? C’était risible. Cela le rendait fou, littéralement fou. Il avait envie de ce frapper la tête contre les murs tellement la colère lui faisait perdre la notion des choses. Au final ce faire mal à frapper les murs de cet endroit l’avait un peu soulagé, et maintenant il en revenait au point de départ, bouillonnant d’une rage qui ne connaissait pas de limite. Qu’est-ce que Mitsuko imaginer faire en lui envoyant Edelwyn lui raconté leurs conneries ? Devenir tout gentils, tout beau ? S’assoir bien sagement dans un coin en disant « ah bien maintenant tout est clair, bien sûr je comprends. » sauf que ce n’était pas le cas. « Mitsuko tien à moi comme un maitre à son chien, rien de plus, rien de moins. Je commence à y être habituer. » Enfermer ici sans aucune explication, juste jeté là, et pourquoi ? Son seul crime aura était de vouloir soutenir son peuple, de l’aidé, de faire ce qu’il pouvait pour être le meilleur roi possible. Elle lui avait dit être fière du souverain qu’il était et maintenant elle l’empêcher de faire ce pourquoi il se battait de puis tant de temps ? Risible ! Nerveusement Zéleph se mit à rire sarcastiquement, tout cela avait un gout amer. « Tu sais pourquoi l’ont dit du chien qu’il est le meilleurs ami de l’homme ? Par ce que contrairement aux autres animaux sa fidélité est sans failles. Tu peux maltraiter la pauvre bête, elle reviendra toujours vers toi. Ils ont une confiance aveugle en leurs maitre, par ce qu’ils les aiment. Quoi que tu leurs face ils reviendront docilement. » Il serra les dents, et lui était un trop bon chien. Fidèle comme aucun. C’était réellement risible. « Ce sont les seuls à supporter la nature humaine. » Zéleph était blesser, au plus profond de son être, d’une blessure qui saigner encore. Comment croire que l’on est important pour qui que ce soit quand le seul geste de tendresse ce limité à être enfermer dans une cellule, dans un endroit où pour seule compagnie il n’avait que rage et dégout pour le monde ? Il ricana, tout cela était réellement insupportable. « Le plus drôle c’est que je ne sais pas si Mitsuko n’a jamais était humaine. » C’était bien le pire dans sa situation. Il supporté depuis si longtemps sa façon d’être, si maladroite avec les sentiments humains que ça en était réellement pathétique. Il avait sacrifié tellement de patience et de temps pour elle, comme pour personne en vérité. Il était dure à admettre qu’elle avait fini par l’usé. C’était triste au fond. Un colosse comme lui, simplement terrassé par la sensation de n’être qu’un grain de sable, par une bourrasque de vent.

Il finit par ce retourné vers elle, plongeant son regard rouge d’un sang brun, imbibé de haine jusqu’à la rétine. « Tu n’as pas vue la chair bruler sur leurs os. Tu n’as pas vue les corps écartelé, les visages figer dans la terreur et la douleur. » Dit-il glacial, le corps tendu par ces souvenirs qui le hantait toujours un peu plus au fil du temps qu’il passait loin de son peuple. Pouvait-elle simplement imaginer l’horreur a la quel il avait dû faire face ? Dans quel état étaient les réprouvés ? Il n’y avait aucune mots pour exprimer cela, rien ne serrait jamais assez fort pour envisager exprimer ce cauchemar. Celui avec lequel il devait vivre. Par ce que tout était de sa faute, par ce qu’au fond tout cela c’était à cause de lui. Ces enfants, son peuple. Il était brisé, désemparait et n’avait plu que cela pour résisté à la folie : l’envie de se battre. « Un peuple a besoin de son roi. Ils ont besoin de me voir debout, de me battre pour eux. Je suis leurs espoirs. Ce n’est peut-être pas aussi important pour le futur de ce monde que votre je ne sais quoi, mais je n’abandonnerais jamais les miens en chemin pour une meilleure cause ! Qu’est-ce que tu veux que ça me fasse ? Tu veux que je saute de joie alors que dehors des centaines de réprouvés ce fond tué pour vengé les leurs ? Alors que dehors mon peuple me réclame et souffre ? » Il se foutait de savoir qui était responsable. Il se sentait simplement impuissant, attaché, muselé, comme un vulgaire animal, vulnérable et incapable de résisté. Au fond étaient-ils autres choses pour ceux qui osaient s’appeler dieux en les traitants tous comme tel ? Zéleph était profondément fatiguer d’en être arrivé là. Tout ce qu’il voulait c’était ce sentir utile, c’était être aux près de ceux qui avaient besoin de lui, pas enfermer dans un temple entouré d’esprits ce foutant de lui, avec une femme qu’il détesté, pour le plaisir d’une autre qu’il ne savait plu très bien si elle était encore la sienne ou non. Épuiser de se battre contre du vide, de brasser du vent. Cela suffisait. Il ne savait plu qui il était, ni ce qu’il devait faire. Il ne ressentait que cette haine pour cacher sa douleurs, pour oublier son âme déchiré, réduire au silence ses cris de détresse que personnes ne semblait vouloir écouter. Abattue il se laissa tomber sur l’une des chaises d’Edelwyn. Ce prenant la tête entre les mains, étouffant son cri de rage dans ses paumes. « Tout ce que je voulais c’était protéger ceux que j’aime. Tout ce que je voulais c’était arrêté de me sentir coupable. » Finit-il par dire tristement, fixant un point entre ses pieds. Il avait passer sa vie a atteindre la puissance, l'excellence, pour ce faire, et au final cela ne servait qu'à sa perte. Cette sensation d’être responsable de tous ces morts lui donner des hauts le cœur. Il avait si souvent eut envie de pleurait, mais n’en trouvé même pas les larmes tant la rage c’était éprit de lui. Le mettre en cage ne servait à rien, si ce n’est le détruire un peu plus, le laisser ce consumer aux lueurs de sa colère et de sa peine. Un roi dévasté, déjà vaincu avant le combat, voilà ce qu’il était. Même plus un homme pour qui sa femme ferait le déplacement, juste une coquille vide. Il ce passa une main lasse sur son cou, sentant la cicatrice du M contre ses doigts. Il était même marqué au fer comme du bétail. Zéleph ce sentait abandonner et rien ne semblait pouvoirs résonné cette pensé. Au final il était victime de ses propres désirs. Ironie qu'il ne parvenait pas admettre, ou même à supporté.

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Ven 12 Avr 2013, 12:20

Doucement, Edelwyn s'approcha de lui, prenant place sur le sol, sa main se posant sur la cuisse du réprouvé. « Je te comprend mais sache que cela ne résoudra pas les choses, ça les aggravera, au contraire. Et puis, Clauswitz pense que, d'ici quelques temps, les vampires et les humains entreront également en guerre. ». Elle finit par sourire tristement. D'un côté, la nouvelle souveraine faisait bien de contenir les maîtres vampiriques mais, de l'autre, si jamais elle demandait à son clan de se battre contre n'importe quelle race, il était sûr qu'il refuserait et se rebellerait. Elle n'avait pas intérêt, sinon, elle ne donnait pas cher de sa peau. En attendant, elle avait un réprouvé en plein désespoir à s'occuper. « Un jour, le seigneur De Mallet a déclaré la guerre à Mitsuko, pour une raison strictement personnelle. ». En fait, c'était du désir mal placé, mais elle n'allait pas lui raconter les petites aventures de sa femme, ça n'aurait rien arrangé. « J'étais aux côtés des vampires qu'elle gouvernait alors pendant la bataille. J'ai vu des corps brûler, des têtes tombées. Je sais ce qu'est la souffrance, tu n'es pas le seul à voir ce genre de choses. Seulement, si les dieux disparaissent, ce sera pire que tout ce que tu as pu imaginer et vivre dans ton existence. ». Elle sourit. « Tu sais, je ne les aime pas vraiment. Remarque, je pense que s'il y a un dieu de l'amitié et de l'amour à sens unique, je devrais plutôt m'entendre avec. ». Elle ne plaisantait pas vraiment, essayant de détendre l'atmosphère en disant pourtant une vérité. « Je regrette tellement que vous en soyez arrivés là tous les deux. ». Surtout qu'elle savait parfaitement que si Zéleph la rejetait, elle allait vouloir le quitter pour de bon et ne plus jamais le revoir. L'Aether n'était pas femme à se battre pour un homme, elle trouvait ça ridicule, elle avait peur qu'en essayant, elle échoue et se retrouve encore plus détruite qu'à l'origine. Alors elle préférait ne jamais se laisser approcher, ne jamais se confier, toujours garder une distance qui lui permettrait de faire marche arrière n'importe quand. La vampire le savait, le ressentait en elle, mais elle se demandait ce qu'il en était pour Zéleph et l'Aether, à quel point elle s'était rapprochée de lui. Cet homme était sans doute le plus fort qu'elle n'ait jamais vu et si il ne pouvait pas supporter sa jumelle, personne ne le pourrait, juste les fous comme Naram. Et c'était bien le problème. Pourtant, Zéleph était à l'intérieur du temple, Naram dehors. Vlad avait été tué, Orion avait été tué, Dante... aucune idée. Mitsuko laissait les gens à qui elle était attachée se faire tuer sans bouger le petit doigt généralement, alors pourquoi enfermer le réprouvé au temple alors qu'il pouvait écraser le crâne d'un homme juste à la force de ses mains? « Moi je crois qu'elle t'aime... d'une façon un peu étrange mais... ». Elle posa sa tête sur sa main. « Je ne sais pas en fait. Je ne t'aime pas en ce qui me concerne. Avant je pensais que cela voulait dire qu'elle non plus mais maintenant, j'ai la certitude que nous ne sommes pas identiques. Quoi te dire? Change de femme? Peut-être qu'une femme aimante et douce, qui t'admirerait pour ta force et ton courage, te conviendrait mieux. Il y a des gens qui ne sont pas faits pour être ensembles alors si tu sens qu'avec elle ça ne va pas, pourquoi t'entêter à essayer de construire quelque chose avec une femme que tu ne considères pas comme humaine? ». Bon, elle allait à contre courant de son plan là. Cependant, c'était important qu'il se pose la question.

Edelwyn se redressa, préférant changer de sujet. « Je sais qu'un peuple a besoin de son roi mais, en l'occurrence, aucun esprit du temple ne te laissera sortir et Mitsuko ne peut même pas prendre une forme matérielle en ce moment. Tu ne dois pas ressasser sans cesse le fait que tu ne peux pas aider les tiens. Ça va te détruire encore plus et ça n'arrangera rien. Les réprouvés sont forts, tu es leur modèle et ils se battront jusqu'au bout. Je suis sûre qu'ils savent très bien que si tu n'es pas là, c'est que tu es dans l'incapacité d'y être! Peut-être même croient-ils que tu t'es fait enlever par Jun et, si c'est le cas, je plains les sorciers, parce qu'ils feront tout pour te récupérer. ». Doucement, elle posa l'une de ses mains sur sa joue, plantant son regard dans le sien : « Tu as fait tellement pour eux déjà, ne t'accables pas de ne pouvoir en faire plus. Il y a tant de souverains qui se fichent des leur mais, toi, non, toi tu fais toujours le maximum, alors ne t'en veux pas pour quelque chose qui n'est pas de ta faute. Ne cesse jamais de croire en toi, sinon comment veux-tu que tes sujets croient en eux? ». Peut-être n'était-ce pas une si bonne idée de lui faire boire le philtre? Après tout, il avait de plus importants problèmes et si Mitsuko se fichait de lui, puisqu'elle ne pouvait pas non plus écarter cette thèse, elle n'obtiendrait rien hormis la haine de Zéleph. Elle n'avait pas grand chose à perdre, c'était vrai, il la détestait déjà, mais peut-être ferait-elle mieux de travailler à améliorer les choses entre eux? Elle finit par se déplacer jusqu'à sa chaise, en face de lui, prenant la bouteille et le verre qui était devant le roi pour les rapprocher d'elle. « Si tu veux, je peux t'écouter... ça te fera du bien de parler et, même si je ne suis pas l'interlocutrice rêvée, au moins, je suis là. Et puis je joue aux échecs contre moi-même depuis des jours et je n'en peux plus. Je ne dirai rien à Mitsuko, rien à personne, je te le promet. ». Généralement, c'était quand on disait aux gens qu'ils pouvaient parler qu'ils ne le faisaient pas, mais peut-être réagirait-il autrement? Elle avait envi de l'aider même si pour la guerre, elle ne pouvait pas faire grand chose.
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Ven 12 Avr 2013, 14:33

Le roi soupira. Pourquoi ne pas changer de femme ? Savait-elle ce que signifier le mariage dans sa culture ? Même l’orishala ne pouvait défaire son lien avec Mitsuko, non pas même Lison, bien qu’il savait que si il demander elle ne se ferait pas prier. D’ailleurs il y pensa, quand Lison serra qu’il avait disparu que se passera-t-il ? Elle impliquera son propre peuple dans la guerre et cela serait à nouveau de sa faute si elle était en danger. Elle et les Orishas. Zéleph ne supporté plu ce poids sur ses épaules. Il voulait bien sauver les dieux, mais vue ce que cela couté, toute cette souffrance en attendant ne valait pas la peine. Il pouvait bien empêcher son peuple d’aller si mal ? De faire de son mieux pour apaiser sa douleurs, mais au lieu de cela il était enfermer comme un chien. Comment accepter cela ? Le réprouvé fut forcer de posé son regard dans celui d’Edelwyn. Il en avait oublié de lui en vouloir pendant un instant. Que racontait-elle ? Où était passé Mitsuko ? Pourquoi était-il toujours le dernier au courant ? C’était agacent, voir même horripilant de voir à quel point on le traiter comme un enfant. N’avait-il pas droit à un peu plus de considération ? Au-delà de ses reproches silencieuses contre sa femme, contre les Aethers, et contre tous, il fut forcé d’admettre que quelque chose avait changé chez Edelwyn. Pourquoi cette main sur sa joue ? Pourtant tant d’attention et de bonne volonté à son égard. C’était pourtant l’endroit rêver pour le nargué, pour l’écraser. Il fallait seulement qu’il soit l’intention de lui faire du mal pour qu’un esprit vienne l’attacher. C’était la place de la honte, l’instant rêvé pour écraser le seigneur des deux rives, et jubiler devant sa vulnérabilité. Elle le réconforté, et cela était si étrange, si loin de tout ce qu’il eut pu imaginer qu’il en resta choquer pendant de longues secondes. Il était possible qu’elle se fiche de lui, et il garda cette idée a l’esprit. Il ne pouvait pas avoir confiance en une hyène telle qu’elle. Elle c’était trop souvent jouée de lui pour que soudain il se laisse prendre à son petit jeu. Zéleph laissa son regard la suivre jusqu’à sa chaise, restant sur ses gardes. « Qui es-tu ? » Il était tout à fait sérieux, il n’y avait pas une once de dérision dans cette question. « Qu’as-tu fait de la garce que je connais ? Cette sangsue qui ne rate pas une occasion pour me mettre des bâtons dans les roues et nargué sa jumelle ? » Il se souviendrait certainement toute sa vie de la réaction de Mitsuko quand elle avait vue Edelwyn ce pavané sur ses genoux, lors ce qu’elle avait appris qu’elle l’avait mordu. Un tel élan de jalousie à son égard l’avait grisé à cette époque, à présent il ce demandé si cela était toujours possible. Elle c’était mise dans un tel état pour si peu. Non, maintenant qu’en aurait-elle à faire ? Elle paraissait penser que tout lui était acquit, peut-être avait-elle raison… Il laissa échapper un profond soupire. « Qu’importe. Je n’ai pas envie de parler, certainement pas à toi. De toute façon que tu parles ou non, ici les murs ont des oreilles. » Il eut un sourire amer. « Même ta pensé leurs est visible. » C’était pire que tout pour lui. Aucune intimité, pas la moindre.

« De toute façon que pourrais-je dire que je n’ai pas déjà dit ? Des milliers de gens comptes sur moi, mais je ne peux pas les aidées car ma femme qui est … je ne sais pas j’hésite entre excessivement possessive, ou juste égoïstement égocentrique, m’as enfermer dans une jolie prison doré. Pas un mot pour l’expliquer, juste un très dédaigneux : » Il prit une voix aigüe, explicitement exagérer accompagner d’un aire pincé qui irait très bien à la déesse. « Oh non, Zéleph. Toi, tu vas rester bien sagement ici. Je t'interdis de sortir. » Il grinça des dents à nouveau furieux. Il recommencer à ce le répéter et cela ne faisait que fatiguer un peu plus ses nerfs. « Je ne l’as vois pas pendant des jours, des nuits entières. Je perds tous ceux à qui je tiens, je vois tous mes proches mourir les uns après les autres sans pouvoir rien y faire, et la seule personne dont j’aurais besoin ne vient jamais. Même en tant que déesse, j’ai beau être là a crié justice, tu penserais qu’elle écoute ma détresse ? Non, bien sûr que non ! Pourquoi écouter un fidèle ? Pourquoi écouté un homme briser ? Bien sûr que non, ce serait une faiblesse d’être si attentive à la détresse d’un homme. Je ne suis que son mari après tout ! » Il frappa son poings sur la table sans même s’en rendre compte. Sa colère le ronger, comme la gangrène, elle envahissait chacun de ses pores et il ne pouvait rien faire d’autre que ce sacrifier, mais cela il en était hors de question. « Comment croire qu’elle s’inquiète pour moi alors qu’elle n’est jamais là Je ne lui en aie jamais voulu jusqu’à maintenant. Je pensais que faire sa vie chacun de notre côté était la solution. Elle avait ce qu’elle voulait, après tout. Plu de possibilité de "m’aimé", d’être … vulnérable dans mes bras. » Oui, il avait supposé que c’était mieux si chacun avait sa liberté, pour lui comme pour elle. Cela ne faisait que rendre leurs retrouvaille plus piquantes, mais à présent elles l’étaient tellement que cela l’insupportait. Il ne savait plu ce qu’il voulait, qu’elle soit là, qu’elle ne soit pas là. Ses propres pensés s’embrouiller à ce sujet et il n’en était que plus agacer encore. Etait-ce la marque qui accentuer cette sensation d’abandon ? Ce sentiment de trahison ? « Seulement entre ça et la solitude que je dois subir, je commence à ne plus le supporté. Peut-être qu’elle y est habituer, mais pas moi. Je n’ai pas choisi la plus simple des femmes, je l’admets, je ne suis pas le plus simple des hommes non plu et entre nous il y a comme… un gigantesque ravin qui n’en finit pas de nous séparer. Je ne le déplore pas, c’est cette Dame qui m’a séduit. Intouchable sur son pied d’estale, parfaite, élégante, agaçante aussi. » Il arriva à en sourire, les yeux perdu dans le vague. Elle lui avait fait beaucoup de bien, pour autant de mal. Pourtant il avait souvent vue cette souffrance comme un prix certain a payé pour elle, par ce qu’elle le valait bien. L’envisageait-il toujours de cette façon à présent qu’il voyait le fond de ses pensées enfin s’éclaircir ? « C’est difficile d’imaginé qu’elle est pu se faire charmé par le chat de gouttière du coin. » continuât-il amère. Il avait une basse estime de lui, mais en même temps il fallait être honnête. Il était grossier, brutal, vulgaire et colérique, cela contrasté avec la parfaite image que Mitsuko renvoyait d’elle. Au moins quand il était à coter d’elle, il ne faisait que la faire s’illuminer un peu plus, on ne pouvait pas dire qu’un homme comme lui pouvait faire de l’ombre à une femme comme elle. « Il faut croire qu’elle aime les mauvais garçon pour avoir choisi leurs chefs. »

Zéleph prit le verre qui était face à lui, il fixa le liquide brun dont il était remplit. Une jolie couleur de velours qui donner envie. Etait-ce du vin ? Il n’avait pas le droit de boire, il l’avait promis. Seulement elle lui avait promis amour et fidélité et si l’un paraissait être encore respecté l’autre n’était qu’un au-dieu mensonge, alors il pouvait bien faillir à ses propres responsabilité au point où ils en étaient. C’était amusant de voir à quel point il avait changé pour elle, comme il c’était amélioré d’une certaine façon. Quand elle lui était apparut il était une tel loque humaine, il avait honte de ce rappeler de cette alcoolique pleurant à ses pieds. Il se souvenait aussi de ses larmes et de ces promesses. Non, il ne pouvait pas boire, il n’en avait pas le droit. Il lui en voulait, c’est vrai, il était en colère contre elle, mais il n’abandonnerait jamais pour autant tout ce qu’il avait donné pour elle, et jamais il ne le regretterait. Il repoussa le verre. « Je n’ai pas le droit de boire. Je l’as perdrait tout à fait si je cède à nouveau. » Et ce qu’il avait d’elle était déjà si peut, qu’il ne pouvait ce le permettre.

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Ven 12 Avr 2013, 16:34

« Bonne initiative. ». Elle attrapa le verre qu'il venait de lâcher, le buvant elle-même. Ce n'était pas de l'alcool en réalité mais elle n'allait pas le lui dire. Cela était devenu compliqué et il y avait tellement de gens qui profitaient de cet homme pour que, finalement, elle le fasse. Elle devait lui dire, même s'il le prendrait mal. « En fait, je suis bien une garce pour ceux qui le croient. Mais comme tu sembles un peu changer d'avis, je renonce à te faire tomber amoureux de moi. ». Plaçant son coude sur la table, elle appuya son menton dans sa main, le fixant avec un petit sourire, comme si elle plaisantait. « Je vais même t'exposer les choses autrement. ». Elle baissa un instant son regard vert sur son propre verre, l'attrapant de sa main libre. « Tu sais, lorsque je n'étais que le clone de Mitsuko, nous parlions beaucoup toutes les deux. Mais, en ce temps là, son ancêtre était en elle, elle l'influençait. Ta femme avait envi de puissance, envie d'être la plus puissante, de vivre dans le luxe, d'être intouchable. Elle était prête à beaucoup de choses pour ça, pour le pouvoir et la science. Alors, forcément, quand on veut atteindre les sommets, on a besoin d'un homme parfait, bien élevé, puissant sans être ennuyeux. ». Elle ne savait pas si il suivait mais tant pis. « Mais, à présent, depuis la première fois de sa vie, Mitsuko est elle-même, personne ne se trouve dans son esprit, ni Jun ni son ancêtre. Crois-tu alors que ce qui l'intéresse est de devenir puissante, d'être entourée d'hypocrites qui ne peuvent élever la voix à cause de la peur qu'elle leur inspire? Non, si elle veut atteindre les sommets aujourd'hui, c'est pour devenir humaine et en finir avec tout ça. Elle se fiche des richesses, sinon elle aurait déjà repris le manoir Taiji. Que crois-tu? Une Aether face à une ombre aussi fragile qu'un nouveau né? Laisse moi rire. Non, elle veut simplement vivre normalement, comme tout le monde. Et les gens normaux ont des chats de gouttière. ». Elle lui sourit. « Peut-être qu'elle veut simplement élever votre enfant en ta compagnie, sans avoir à se soucier du sort de ce monde? Mais si tu meurs avant que le maître du temps n'opère, alors ce sera définitif, aucun retour en arrière possible. Alors oui, peut-être qu'elle se fout de toi, qu'elle ne t'aime pas et qu'elle fait ça dans un but malveillant... ou peut-être est-ce tout le contraire? ». Elle fit une pause, réfléchissant. « Tu sais, elle adore la politique, du moins, c'est ce que j'ai souvent cru. Il n'empêche que lorsqu'elle était reine des vampires, c'était moi qui me rendait aux réunions à sa place pendant qu'elle faisait je ne sais quoi. D'ailleurs parfois elle ne revenait pas au manoir pendant des jours et des jours sans qu'elle ne me dise rien en rentrant. ». Elle se rappelait bien de ce temps là. Collant ses lèvres entre elles, elle les laissa reprendre leur place avant de lui dire. « Du coup, je ne peux pas t'éclairer sur le vide que laisse Mitsuko entre elle et toi. Je n'ai jamais su à quoi elle occupait son temps libre et tu ne le sauras probablement jamais. Peut-être que cela a un rapport avec les sciences? Je ne sais pas. Tout ce que je sais c'est qu'elle a créé les chamans en compagnie du monarque démoniaque, qu'elle a créé Somnium avec Naram, même si elle n'en a plus le souvenir... ». Edelwyn finit par sourire, lui prenant l'une de ses mains. « Ses créations ont le mérite d'être merveilleuses mais elle a toujours entrepris avec un homme à ses côtés. Alors tu pourras te dire tant que tu veux qu'elle se fiche de toi, qu'elle ne veut rien faire avec toi, moi je vois les choses différemment. Votre fille... peut-être que ce sera sa plus belle création? ».

Elle finit par détourner les yeux en soupirant. « Bon, cela ne veut pas dire que je la défend. Elle m'énerve et je la déteste autant que je la chéris. Sans elle, je n'existerai pas mais elle a tendance à aimer les mêmes hommes que moi. ». Elle rit. « Des histoires de filles en somme. ». Elle se mordilla la lèvre inférieure en baissant les yeux avant de les replanter dans ceux de Zéleph. « Seulement, tu sais, si un homme devait rester à ses côtés, j'aimerai que ce soit toi. ». Elle sourit. « Tu es le plus à même de l'aimer... et même quand tu t'énerves en parlant d'elle, c'est mignon. Toi tu es fort, tu es capable de te battre où d'autres préfèrent fuir. ». Elle lâcha sa main. « Et puis, Naram est à moi. Moi, je pourrai l'attendre autant de temps qu'il sera nécessaire de le faire. Je sais qu'il ne se donnera jamais à aucune femme mais ça m'est égal. Mitsuko a besoin d'un homme qui soit là pour elle. Je suppose qu'il veut la protéger mais elle n'en a pas besoin dans le fond, elle veut peut-être juste être écoutée, pouvoir se reposer un instant sur une épaule. ». Elle regarda un instant celle du roi. « La tienne est solide. ». Elle pencha la tête sur le côté. « Et puis moi, les oreilles des murs, je les emmerde. Si les dieux sont si friands des histoires de mortels c'est qu'ils voudraient bien le redevenir. ». Elle rit à cette idée, lui faisant un clin d'oeil, sachant que ce n'était pas vrai, surtout dans le cas des esprits du temple qui pouvaient renoncer à leur divinité partiellement s'ils le souhaitaient. « Enfin, je te ferai remarqué que pour une personne qui ne voulait pas me parler, tu en as beaucoup dit. Je suis désolée pour ton peuple et j'aimerai t'aider. Le plus simple serait de ne pas faire la guerre mais je sais que tu te refuseras à cette idée. Pourtant, d'autres réprouvés mourront forcément et Jun se fiche de son peuple, il l'a juste utilisé. Je ne sais pas, mais j'aimerai vraiment t'aider. Tu es un homme bon dans le fond. Je vois clair tu sais... et la décoration de la pièce est franchement de mauvais goût! ». Elle ne pouvait pas rester sur ce genre de confidence et elle avait préféré détourner la conversation. Elle se leva, commençant à faire une liste à haute voix de ce qu'elle voulait, remplissant la pièce de meubles et bibelots afin que le roi se sente déjà plus dans un environnement normal. Lit, commode, vêtements, chevet, tout ça. « Peut-être que si tu arrêtes de foncer dans les murs, les dieux te laisseront-ils te déplacer dans le temple à ta guise. Tu pourras découvrir plein d'endroits nouveaux chaque jour car l'univers change en fonction de l'envie des esprits du temple. Une fois je suis venue et une forêt immense se trouvait derrière le temple. »
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Ven 12 Avr 2013, 17:40

Zéleph fronça les sourcils, contrarié. Il y avait certaine chose qu’il ne voulait pas comprendre, refusé même d’entendre. Tout ce qu’Edelwyn était si loin de ce qu’il croyait. Il s’efforcer de tiré le vrais du fau, mais il n’était entouré que de gens jouant si aisément avec ces choses fragiles qu’il en était totalement perdu. Il la regarda un instant décoré la pièce a son bon plaisir, restant silencieux. Il réfléchissait, s’enfoncer dans son esprit embrouiller, souiller par la haine, un sentiment qui lui collé à la peau. Il avait beau ce repasser en boucles ses idées, ce qu’on lui disait, le doute persisté. Il se sentait abandonner, toujours en danger, prêt à se faire éjecté et il en était terrifier. Pouvait-il seulement l’avouer ? Peut-être était-ce pour cela qu’il c’était si ardemment plonger dans cette idée de guerre, plus que de vengeance auprès de Jun, simplement pour oublier sa peur. Il avait moins peur de mourir que d’être rejeté. Cela lui était trop souvent arrivé, de la part d’inconnus ça ne lui faisait plu rien, mais de quelqu’un qu’il aimer l’idée à elle toute seule était déjà si douloureuse. Il ne s’en sentait pas capable. Devait-il être rassuré par les paroles de la sangsue ? Non, cela ne changer absolument rien, qu’elle le voit comme « le plus à même à l'aimer », qu’importe ce n’était pas lui qui choisissait, et puis ça l’arranger bien de le penser. Si Mitsuko ne voulait que de lui, elle aurait son Naram pour elle seule. Il avait bien vu son tatouage sur sa poitrine, il n’était pas encore du genre à ne pas regarder ce qu’on lui laisser voir, et la dernière fois elle ne l’avait pas encore celui-là. Qu’avait-elle toute avec cette homme ? Il le trouvé d’un ennui affligent. Enfin, cela n’impliqué encore que lui et continuer de penser à tout cela ne faisait que s’infliger un peu plus de souffrance.

Son regard se posa de nouveau sur la bouteille. Edelwyn avait dit que cela le rendrait amoureux, c’était donc un filtre d’amour. Voilà qui remettait les choses dans leur contexte, rien n’était toujours gratuit pour eux, dans leur monde, il avait fini par l’apprendre. La pure gentillesse, la vraie bonté, ils n’avaient aucunes idées de ce que cela pouvait bien être. Ce faire aimer de lui, mais dans quel but ? Il prit l’objet en verre pour regarder de plus près. Les écrits étaient effacés, certainement pour l’empêcher de reconnaitre ses effets avant qu’il ne le boive. Jeta un instant un regard au vampire, toujours dans ses idées déco, il but cul sec le récipient, vidant le reste de l’élixir. Cela avait un petit gout fruité, ce n’était pas mauvais, voir même rafraichissant. Pourquoi le boire en sachant que dans quelques minutes, voir quelques secondes a peines il serrait aux pieds d’une femme qu’il détesté d’ordinaire ? Par ce que tout était bon pour oublier sa souffrance, qu’importe le prix. En reposant la bouteille, il attendit quelques secondes. Il resta incertain. Avait-il sentit quelque chose de différent ? Non, il n’en était pas certain. Il n’y avait qu’une seule façon de savoir si cela marché de toute façon. Ce levant de sa chaise il s’approcha du vampire. Ce qui le répugner tant chez elle, ce n’était pas réellement la garce qu’elle pouvait être, car il serrait de mauvaise foi. Il se souvenait sur tout de son chantage pour pouvoir lui arraché de force son sang. Il se souvenait de ses crocs dans son cou, et frissonner encore sous le dégout que cette acte lui inspiré. C’était à cause de sa mère, et même maintenant qu’il la savait bien vivante cela n’y changer rien. Il n’aimerait surement jamais la façon répugnante dont les vampires devaient ce nourrir, pour lui c’était un simple vole d’essence de vie car eux n’était pas capable de survivre sans dépendre des autres.

« Je n’avais jamais remarqué. » Sans s’en rendre compte il c’était penché sur elle. Dans son cou, peut être bien à cause de ses pensées sur le sien. « Tu sens bon… » Soufflât-il. Le poison avait fait effet plus vite qu’il ne l’aurait crue. Il le savait car il n’avait jamais aimé son parfum, il avait quelque chose de légèrement ressemblant a celui de Mitsuko, mais rien qui ne l’égalé et si il c’était laisser séduire la première fois c’était à cause des pouvoirs dont elles avaient usé. Cette fois il n’en était rien. Il trouvé simplement cela envoutant, quelque chose d’irrémédiablement attirant. Zéleph sourit, peut être bien pour la première fois depuis que l’orphelinat avait brulé. Etait-il sincère, non, il était envouté et si cela semblait l’être ce n’était que par ce que ses réel sentiment tait voilé par un bonheur factice d’être près d’Edelwyn. Baisant son regard sur sa silhouette, il la détailla comme il ne l’avait surement jamais fait. Ses yeux rouge ce stoppèrent sur sa poitrine. Approchant sa main, il souleva délicatement le tissu. Il savait déjà ce qu’il y avait dessous, mais c’était comme une opportunité pour l’effleuré. Le réprouvé fit une légère moue agacé en lisant les lettres noire. « Serais-je toujours dans son ombre ? » Il ressentit un étrange sentiment de lassitude, blesser, pire que cela, réellement meurtrie pas l’idée qu’elle préfère le Marid à lui, déjà qu’ils étaient l’un et l’autre déjà marier, cela n’aidé réellement pas leurs relations. Elle ne faisait aucun effort. C’était lassant, voir même vexant d’être le seul à faire des preuves d’envie face à cette relation. Sa main le mit à le brûler vivement et il fut forcé de retiré sa main en grimacent, regardant son dos pour y voir la forme du yang rougir avant de revenir normal en arrêtant de faire souffrir sa chair, calmé une fois loin du corps d’Edelwyn avec ses pensées traitre à son mariage. « Ah puis ça aussi ! Ça fait un mal de chien. » Il relava un regard d'adoration vers la jeune femme. Si il avait su que le filtre d'amour le rendrait comme ça il ne l'aurait surement jamais prit, mais a cette instant son vrais esprit semblait endormit pour laisser place a un être transi d'amour. Loin de l'homme qu'il pouvait être, même amoureux. « Vois-tu comme je soufre pour toi ? » Il lui attrapa vivement les mains pour la rapprocher de lui dans l’espoir de ne plus jamais la voir s’échapper.
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Ven 12 Avr 2013, 18:46

Elle n'avait pas compris tout de suite en réalité. Oh bien sûr, le fait qu'il lui fasse un compliment alors qu'en temps normal elle n'était qu'une insupportable sangsue pour lui l'avait quelque peu surprise, et le fait qu'il lorgne plus le pseudonyme du Mârid sur sa peau que le reste aussi... d'ailleurs, rien le fait qu'il la touche l'avait étonnée. Généralement, elle était bien plus tactile avec les gens qu'eux avec elle et Zéleph n'avait aucune raison de venir ne serait-ce que l'effleurer. Néanmoins, lorsqu'il l'attrapa avec son petit commentaire, elle commença à se douter. « Écoute euh... ». Le problème c'est qu'elle se retrouvait prise dans son propre piège, ayant abandonné l'idée et n'étant plus du tout préparée à faire face à un homme amoureux. Amoureux de Mitsuko, oui, mais amoureux d'elle, non, pas du tout. Elle devait vérifier quand même, histoire de s'assurer qu'il ne lui jouait pas la comédie pour se venger. La vampire finit par se dégager de lui par un mouvement rotatif de ses mains, se dirigeant vers la table pour attraper la bouteille, ses yeux s'écarquillant quand elle vit qu'il avait tout avalé. Mais quel abruti!! Se tournant vers lui, elle recula de quelques pas, de façon à mettre la table entre eux deux. Pourquoi avait-il bu le contenu de cette bouteille alors qu'elle lui avait avoué son plan? Elle l'observa un instant, essayant de ne pas tenir compte de son regard d'amoureux transi. Était-ce par désespoir? Elle y réfléchissait, se demandant s'il ne voulait pas avoir la preuve que la déesse tenait à lui un minimum. Elle n'en avait aucune idée. Voulait-il oublier? D'un côté elle comprenait, bien que l'oubli corresponde plus aux pratiques de sa femme, mais, de l'autre, pourquoi? Elle n'avait pas envi d'être mêlée à tout ceci au final, même si elle était venue pour faire du chantage à Mitsuko par rapport à Naram et son mari. L'un ou l'autre, elle devait choisir. En attendant, elle se retrouvait dans une situation délicate. Après avoir réfléchi, elle se dit qu'essayer de le fuir ou élever la voix ne résoudrait absolument pas le problème. D'ailleurs, dans son plan, elle n'avait pas prévu ce qu'elle ferait avec lui une fois qu'il tomberait amoureux. Oh bien sûr, elle aurait nargué la déesse, lui aurait écrit une lettre pour lui demander de renoncer à voir le génie, mais elle ne s'était pas vraiment imaginée avec le réprouvé sur le dos. En plus de cela, elle ne savait pas quel genre d'homme il était dans la sphère amoureuse, le genre passif à écouter sagement ou le genre actif à imposer ses règles? Était-il dominant ou dominé? Elle ferma les yeux un court instant, songeant que s'il se signalait lui-même comme le chien de sa femme, c'est qu'il était plutôt dominé. Mais Mitsuko préférait les hommes dominant. En même temps, comment dominer l'Aether? « Raaa! ». C'était énervant quelque part parce que leur couple était plutôt atypique et elle ne pouvait pas savoir comment il allait se comporter. Allait-il s'agenouiller pour lui déclarer tout son amour ou la plaquer contre un mur dans une pulsion incontrôlable?

Elle soupira, quelque peu contrariée, avançant tout de même vers lui en faisant des gestes qu'elle souhaitait apaisant avec ses mains. « Zéleph, tu sais que tu es sous l'emprise d'un sort, non? Tu ne m'aimes pas, tu ne m'as jamais aimé alors j'aimerai que tu te concentres pour essayer de lutter contre les effets du philtre, d'accord? ». C'était comme demander à un lapin de manger un chien mais elle préférait essayer quand même. « Je ne sais pas combien de temps ça va durer mais on va s'asseoir tous les deux calmement et tout va rentrer dans l'ordre... ». Ou pas. C'est qu'il l'attirait quand même et, si elle avait toujours su que ce n'était pas réciproque, ça devenait à présent dangereux. S'il n'y mettait pas du sien, ce serait réellement difficile de rester de marbre à essayer de calmer la situation. Elle n'avait cependant jamais voulu, en venant ici aujourd'hui, faire du mal à sa jumelle. Certes, le fait de lui demander de renoncer à Naram ne lui ferait sans aucun doute pas plaisir mais vu l'état de leur relation actuelle, elle penserait ne pas perdre grand chose. Depuis que Mitsuko avait perdu ses souvenirs, on ne pouvait pas dire que c'était le grand amour entre le Mârid et elle. En même temps, elle avait rencontré Zéleph et faisait avec lui des choses que jamais le génie n'aurait même songé à lui faire. Du coup, forcément, le jeune homme n'avait pas dû apprécier. Enfin, peu importait, au stade où tout ceci en était, il n'y avait qu'une solution et si son reflet devait être curieuse par rapport à Naram, elle ne pouvait ressentir quoi que ce soit pour lui. Elle s'approcha encore un peu du réprouvé. « Et puis, ne dis pas de bêtises, je suis sûre que beaucoup de femmes sont attirées par toi. Tu n'es pas du tout dans l'ombre du Mârid. Vous êtes juste... différents. Mais vous avez tous les deux un charme immense. Et, entre nous, j'ai toujours pensé que tu étais meilleur au lit que lui. ». Elle rit, gardant toujours ses distances tout en les diminuant progressivement. De toute façon, ce n'était pas pour le plaisir qu'elle pourrait ressentir dans les bras du génie qu'elle l'aimait, c'était même pas du tout ça, elle n'attendait même pas ce genre de choses de lui. C'était plus spirituel bien qu'elle ait beaucoup aimé se pavaner à son bras à Drosera. « Mitsuko a de la chance de t'avoir comme époux. Je te promet que c'est elle que tu aimes et pas moi. En plus, tu détestes littéralement les vampires. Tu ne m'aimes pas du tout, déjà parce que j'ai bu ton sang, ensuite parce que depuis qu'on se connait je n'ai fait que t'attirer des ennuis, comme cette fois au Circus quand tu étais attaché à ta chaise. Tu te souviens? Tu vois, tu ne m'aimes pas. ». Elle était à présent très proche de lui, lui attrapant la main doucement. « Allez viens, allons nous asseoir. Je ne sais pas combien de temps le philtre va faire effet mais garde à l'esprit que si tu continues à dire n'importe quoi, le réveil risque d'être brutal. Surtout que si tu m'approches, tu vas souffrir pour rien. ». Elle espérait clairement être très loin lorsque l'élixir cesserait de faire effet. Quoi que non, c'était lui qui s'était jeté dans la gueule du loup tout seul. Maintenant, ils étaient tous les deux dans une situation compliquée. Elle devait trouver quelque chose pour détourner son attention. « Tu veux manger quelque chose? Pour moi tout est fade mais on peut toujours demander aux esprits quelque chose à te mettre sous la dent, tu ne sembles pas très bien nourri... ». Évidemment, elle savait que les aetheri ne l'aideraient pas à faire redevenir Zéleph normal. Après tout, maintenant qu'il cessait de frapper les murs, pourquoi faire changer les choses? Et puis, elle était la seule responsable de la situation pour avoir amené cette fameuse bouteille.
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Ven 12 Avr 2013, 19:52

« Hum, mais enfin, qu’est-ce que tu racontes ?! » dit-il vivement, de plus en plus contrarier la mine renfrogner. Elle était agacent à dire qu’il ne l’aimait pas. Qu’en savait-elle ? Il savait très bien ce qu’il ressentait, ce n’était pas la première fois qu’il était amoureux, mais c’était la première fois qu’il ressentait un sentiment si fort. Son cœur s’emballait, il le sentait battre dans sa poitrine comme jamais. Il n’y avait qu’elle dans son esprit. Il avait beau chercher le visage de Mitsuko, il ne voyait que le sien. C’était Edelwyn qui aurait dû être sa femme, et pas une autre ! Il n’y avait qu’elle qui compté à ses yeux, la seule et l’unique. Vampire ou non, il passerait au-dessus de cela, ça lui était égale, elle était si charmante, si belle, si attentive, il avait besoin d’elle coute que coute ! Zéleph refusé de croire à son philtre d’amour. Il l’avait toujours aimé, sans se l’avouer c’est tout. C’était ça son problème, il se cacher la vérité, et quand elle éclaté, elle faisait peur a tout le monde, pourtant il en était persuadé, c’était elle qu’il voulait à présent. « Puisse que je suis meilleurs au lit, pourquoi ne pas le vérifier ? » C’était bien la seule phrase qu’il avait bien voulu entendre dans toute sa tirade. Observant son visage, détaillant chacun de ses traits, il était dans une admiration sans borne, presque niaise. Si il avait était éveiller il ce serrait giflé jusqu’à qu’il n’en puisse plu pour s’enlever cette air idiot. Cependant, à cette instant rien n’avait plus d’importance que le reflet de son visage dans ses yeux. Cette beauté époustouflante. Elle lui coupé le souffle. Il voulait la prendre dans ses bras, l’embrasser jusqu’à crier grâce. « J’ai était idiot, c’est toi que je veux. » fit-il le plus sincère du monde, l’entourant vivement de ses bras pour l’emprisonner et la coller à lui. C’était un réelle calvaire d’être à coter d’elle sans pouvoir la touché, une torture pour lui. Ainsi plaquer contre lui, il refuser d’entendre sa marque le bruler. Il la voulait et rien n’irait contre ses désirs pour elle. Seulement lors ce qu’il se pencha pour l’embrasser, la brulure fut si violente qu’il dut la lâcher en serrant les dents pour ne pas gémir. C’était la même sensation que si on lui avait marqué la peau au fer rouge, et il ne pouvait user d’aucun pouvoir pour calmer la douleur. Il s’énerva alors en regardant sa main. « Elle me pourrira la vie jusqu’en enfer ! » cracha-t-il presque furieux d’être forcé de resté a sa place à cause de ce tatouage. Pourtant, pendant un instant ce fut comme si la douleur lui avait fait réalisé, fait revenir à lui, mais maintenant cela n’était plus qu’une légère sensation. Il s’éloigna alors d’elle, d’une façon presque inconsciente. Quelque part en lui, quelque chose le pousser a résisté, mais il ne s’en apercevait pas aveuglé par une magie bien trop puissante, après tout il avait bue tout le philtre ce qui concentré une forte dose de pouvoirs.

Comme un enfant réprimandé, rancunier, il se mit à faire la moue, contrarié, en croisant les bras sur son torse. Il en avait marre de ne jamais rien pouvoir faire, même pas pouvoir déclarer son amour et en profiter avec la vrais femme qu’il désirait plus qu’aucune autre. C’était très frustrant. « Non seulement je suis enfermer, mais en plus je ne peux pas en profité ! » Il se leva brusquement et ce mit a marché pour extériorisé sa colère. Puis soudain il sembla ce calmer, et posa son regard sur Edelwyn avant de sourire. Levant les yeux au ciel comme si ce qu’il aller demander tomberait du ciel, ce qui d’une certaine façon n’était pas loin de la vérité. « Une glace vampirique s’il vous plait ! » A peine l’eut-il formulé qu’elle apparut dans sa mains accompagner de deux cuillère. Il se rassit alors à coter d’elle. C’était au sang, chose qui serrait répugnante pour lui vue qu’il n’était pas un vampire, et qui plus est qu’il haïssait leurs façon de se nourrir, mais a cette instant il était près a tout pour les beaux yeux de la demoiselle, même boire son propre sang si il le fallait, Zéleph n’avait déjà d’ordinaire aucune limite sur les sacrifice qu’il pouvait faire, mais en plus ensorceler, il aurait très bien pu s’ouvrir les veine pour faire plaisir à Edelwyn et ce vidé de dans sang avec le sourire. Prenant une cuillère, il prit un peu de crème glacer rouge, puis l’amena aux lèvres du vampire, fixant ses lèvres avec une gourmandise certaine sur le visage, s’humidifiant les lèvres en imaginant le gout délicieux qu’elles devaient avoir, qui plus est avec la crème glacé. Oui, la perfection, il en était certain. « Il parait que plus l’envie et forte, plus le repas et meilleurs, et j’ai tellement faim que je pourrais te dévoré. » Il releva les yeux sur les sien, son regard soudain emplit de désirs. Sa main continuer de le piquer, mais cela resté innocent, ça ne s’apparenté qu’a un flirte et donc la marque n’avait plu à s’affoler. Il avait compris, il resterait sage, mais rien ne l’empêcher de resté dans des moments volés, c’était belle et bien innocent… du moins il essayait de le resté pour ne plus avoir l’impression que sa main était dans un four à quatre cent degrés. Zéleph continua de contemplé Edelwyn, comme la plus belle des créatures et ce mit a soupiré, désespérant d’amour pour elle. « C’est criminel, tu es si attirante, et moi je ne peux même pas te touché. » Il ne pouvait pas s’empêcher de râler, mais en même temps il n’avait qu’une seul idée en tête : elle, et il n’avait même pas l’envie de ne plus y pensé.

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Ven 12 Avr 2013, 21:05

C'était un vrai calvaire en fait, la jeune femme ayant déjà changé de couleur à cause de son rentre dedans. Tout ceci était totalement déplacé et même si elle aimait bien titiller les hommes, elle aimait justement que les titiller, pas qu'eux le fassent en étant prêts à passer à l'action. Elle le laissa donc lui donner à manger, totalement découragée par son comportement auquel elle ne s'attendait pas vraiment. Se comportait-il comme ça avec Mitsuko? Elle fit la grimace, se demandant comment cette dernière pouvait supporter ça. Elle le trouvait un tantinet niais d'ailleurs. Peut-être était-ce à cause du philtre tout ça? Peut-être ne se comportait-il pas comme ça en temps normal? D'un côté, c'était assez flatteur mais elle imaginait ça sur une grande durée, se disant qu'elle finirait par fuir la demeure conjugal si elle était sa femme. Pourtant, il était attendrissant quand même et elle ne savait pas trop quoi faire, surtout qu'il avait fait apparaître son pêcher mignon. Hum... voilà, elle allait lui parler de sang, ce serait bien comme sujet de conversation. « Tu sais, les vampires du clan Malkavian ne boivent plus de sang humain... enfin, nous essayons du moins. Cependant, plus le temps passe, plus nous nous nourrissons du sang de nos semblables, des autres vampires je veux dire. Comme ça, plus besoin de tuer les individus appartenant aux autres races. Certains vampires nous jugent, eux aimant tuer par dessus tout, trouvant impropre de boire le sang appartenant à d'autres vampires. Néanmoins, je trouve que c'est une bonne chose, même si j'adore chasser. ». En fait, elle était un peu comme ça : le plaisir de la chasse mais en aucun cas celui de la consommation. Elle laissait partir ses proies. Elle se mit à rire. « Heureusement que tu es enfermé ici parce que sinon tu serais bien capable d'aller tuer mon mari! J'en suis sûre! ». Elle réfléchit, essayant de rester à distance de lui. « Le mariage réprouvé est quand même étrange. Je ne sais pas comment l'on peut s'engager pour l'éternité à aimer quelqu'un. ». C'est vrai qu'il n'allait pas la croire si elle lui disait encore qu'il ne l'aimait pas. Cet homme était impossible et elle avait dû se forcer à fermer la bouche après ses dernières répliques. Heureusement qu'il y avait cette marque entre eux, sinon elle ne savait pas ce qu'il se serait passé. Au moins, elle était protégée et elle bénissait ce mariage bizarre. Cependant, elle se posait une question. « Il se passe quoi si on se coupe la main? Le tatouage migre vers une autre partie du corps? ». Elle marqua un temps d'arrêt, comme si elle venait de se rendre compte de la bêtise monumentale qu'elle venait de lui servir. Se reprenant elle planta son regard dans le sien, un peu plus tendue. « Mais je ne veux absolument pas que tu essayes pour voir, tu m'entends? ». Elle fixa sa main, essayant de se montrer plus convaincante. « En plus, j'adore tes mains, elles sont grandes et fortes... ». Le pire c'est que c'était vrai, elle aimait ses mains. Elle fixa le tatouage, se rendant compte qu'il était peut-être la solution. Oui, s'il voyait que « leur histoire » était impossible, qu'il souffrait, peut-être que ça le libérerait ou le convaincrait totalement? Avait-elle seulement le droit de lui faire endurer ça? Elle leva les yeux vers le plafond, demandant alors. « J'aimerai une plume, de l'encre et un parchemin s'il vous plait. ». Ceci apparut sur la table. « Bien, maintenant je vais écrire à ta femme et tu ne dois pas regarder, d'accord? ». Elle lui sourit puis s'exila de l'autre côté de la table, cachant avec l'une de ses mains ce qu'elle écrivait.

« Chère Mitsuko.
J'ai voulu reculer mais ton mari a décidé de boire la bouteille entière du philtre d'amour que j'avais amené avec moi. Du coup, je me retrouve dans une situation délicate. Si tu pouvais venir me chercher dès que tu reprendra forme humaine, ça m'arrangerait. Ah oui, j'aimerai aussi que tu renonces à voir Naram-Sin, sinon je garde Zéleph. Edelwyn. ».


Cette lettre ne ressemblait à rien parce qu'elle était à la fois une supplication et un chantage. Le truc c'est que si la déesse lui disait de se débrouiller, elle serait vraiment dans un sale pétrin. La missive ne tarda pas à disparaître et son regard se reporta sur le réprouvé. « Tu sais, tu vas t'en vouloir de t'être comporté ainsi quand tu reviendras à toi. Tu es marié et tu aimes ta femme. Moi aussi je suis mariée, et bien que je n'aime pas mon mari, le résultat est le même. ». Elle jouait avec sa plume, la faisant glisser doucement entre ses doigts d'un air pensif. « Pourtant c'est vrai que quand je t'ai vu la première fois, je t'ai tout de suite désiré. Aujourd'hui encore, je ne le nie pas, mais même si j'avais envi de profiter de la situation, je ne pourrai même pas sans t'entendre crier de douleur. Un simple baiser a déjà l'air d'être un véritable calvaire pour toi alors... Qu'espères-tu? Que je pourrai me satisfaire d'une relation où l'on ne pourrait absolument pas se toucher? ». Si ça ne le réveillait pas, elle ne savait plus quoi faire pour lui faire entendre raison. Elle s'imaginait déjà dans trois heures à écouter ô combien il l'aimait sans n'avoir plus aucune envie d'argumenter sur la nature magique de son amour. Peut-être devrait-elle faire avaler ce philtre à Naram pour voir comment il serait en amoureux transi? Elle rit, amusée à cette idée, imaginant le génie se plier en quatre pour elle. « Et puis, tu me trouves attirante parce que je ressemble à ta femme. En plus de ça, si tu étais vraiment fou d'amour pour moi, tu te ficherais bien de la douleur. ». Elle soupira, décidant de se lever pour marcher dans la pièce, portant le manche de la plume à ses lèvres. Combien de temps faisait effet le philtre déjà? Elle n'aurait su le dire puisque le jeune homme avait bu toute la bouteille alors qu'on lui avait conseillé de lui donner uniquement un verre. Et puis, les esprits l'avaient prévenu qu'elle ne pourrait pas sortir de la pièce tout de suite. « Hum... ». Il fallait trouver une occupation pour le distraire et qu'il arrête de lui faire les yeux doux. Elle finit par sourire, demandant un bandeau. « Bien, on va jouer à un jeu. Je te bande les yeux et toi, tu dois m'attraper. Ça nous fera passer le temps comme ça. ». Elle s'approcha de lui, plaçant le foulard sur ses yeux avant de préciser. « Si tu m'attrapes, je fais ce que tu veux du moment que je n'ai pas à te toucher. Mais, par contre, toutes les minutes où tu ne m'attraperas pas, j'aurai le droit à une gorgée de ton sang. ». Au moins, si elle le vidait presque de son sang, il ne lui poserait plus de problèmes. Prenant la glace de ses mains, elle partit à l'opposé de lui, léchant ce délicieux repas. S'il pensait pouvoir l'attraper, il se mettait le doigt dans l'oeil. Quant à elle, du moment qu'il était d'accord, boire son sang ne lui causerait aucun préjudice.
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Ven 12 Avr 2013, 22:00

Ce coupé la main ? Il y pensa un instant. Seulement le problème c’est qu’une fois la marque détacher de son corps, le lien lié a son âme lui ferait payé et cela le plongerait d’une torture insoutenable, d’affreuse douleurs qui ne prendrait fin qu’une fois son corps vidé de son âme, et sans âme il en pourrait plu jamais aimer, et donc perdrait Edelwyn pour toujours. Cette idée le terrifia, et il refusa d’y penser plu longuement. Il regretté de s’être marier avec sa jumelle a défaut de l’avoir fait avec elle, mais il ne pouvait pas renoncer à son lien, il préférait encore tromper directement Mitsuko. La douleur serrait tout aussi atroce, voir peut être plus violente encore, mais au moins son lien avec elle serrait estompé et il pourrait toujours aimer, puis la déesse lui en voudrait tellement qu’elle ne viendrait plu l’ennuyait. Oui, c’était cela la solution ! Assouvir ses désirs. Après tout il était Zéleph, le seigneur des deux rives ! Aucune souffrance au monde ne pourrait lui faire peur et l’empêcher de se battre pour celle qu’il aimer. Puise qu’elle aimer ses mains en plus, tout le monde serrait heureux, bien qu’il aller devoir serré les dents pour oublier le mal, mais cela ne serait qu’un petit moment à passer, rien de bien grave. Le réprouvé était déjà tout près a ce lever pour ce jeté sur elle, mais elle se mit à vouloir écrire il ne savait quoi a sa femme. Ce renfrognant il la regarda faire d’un mauvaise œil, puis soudain cela lui parut évidant. Elle était bien sûr en train d’expliquer à Mitsuko à quel point ils étaient amoureux et qu’ils ne pouvaient plus ce cacher ! N’était-elle pas merveilleuse de prendre de telles initiatives ? Il en était presque ému, mais ce remit bien vite. Il y avait toujours cette espace insupportable entre eux, et cette marque répugnante sur sa main qui les séparé pour être totalement heureux. Elle parlait mais son cerveaux n’en analysé que la moitié, complétement absorbé par sa beauté. C’est que à cause du voile que le poison avait posé sur ses yeux elle rayonné littéralement pour lui, et il était éblouit, voir même totalement hypnotisé de façon qu’il ne pouvait même plu détourner les yeux d’elle. Il l’entendit vaguement lui dire qu’ils devraient avoir une relations ans ce touché, et il en fut scandalisé. Il était incapable de vivre comme cela. Il avait besoin de câlins, il avait besoin de l’avoir près de lui et c’était justement de ne pas vouloir qui lui était aussi douloureux. Plus encore que ce que la marque pouvait lui faire subir, et pourtant il y avait toujours cette écart entre elle et lui qu’il parut incapable de franchir depuis un moment.

En plus elle ce trompé sur un point. « Non je l’ai épousé par ce qu’elle te ressemble et que tu étais déjà marier, nuance. Mais je ne peux plu vivre comme cela, a me voilé la face. Tu es celle que je veux Edelwyn. Celle que je désir vraiment. » C’était étrange, il avait l’impression que cela sonné faux et pourtant il continua de s’en persuadé. C’était elle et aucune autre. Et voilà qu’elle voulait jouer maintenant, le rendant aveugle. Si il en sourit en se disant qu’elle ne perdait jamais une occasion pour le faire tourner en bourrique, il ne trouva plu du tout cela drôle au bout d’un instant où il ne l’avait plu sous les yeux. Le philtre d’amour plus que le rendre amoureux, lui inspiré un sentiment de possession, d’envie malsaine en réalité, car il fallait être honnête, aucune potion ne pourrait réellement créer l’amour. C’était pour cette raison que soudain Zéleph ressentit une profonde colère. Il était pourtant partager ce disant que si cela lui faisait plaisir il pouvait se plier à ce jeu, mais très vite il trouva cela stupide. Il ne voyait plu son visage et comme en réaction à ce manque l’élixir réagissait de façon négative, il paniquer. Si Zéleph ne voyait plu l’objet de ses fantasmes, cela affaiblirait le pouvoir du poison. « Je ne trouva pas ça amusant. » Il brasser de l’air, la cherchant comme il le pouvait. Il se référait à son ouï et son odorat. Le parfum de la jeune femme embaumé la pièce, mais avec un peu de chance il arriverait à suivre sa trace, puis si elle bouger il ne pourrait pas raté un bruit. Petit à petit la colère monta en lui. Ce n’était qu’une garce de ce joué ainsi de lui ! Mais non, elle était adorable, c’était mignon au fond. Non ! Elle n’était qu’une garce qui jouait avec ses sentiments, elle était déjà marier et courait après le génie et en plus ce faisait désiré par lui, oui elle aimer jouer avec les hommes. En même temps elle était si douce et tendre par fois, puis elle était belle et sentait bon. Elle ne voulait que jouer elle ne pensait pas à mal. Seulement il était insupportable de penser qu’elle se jouait de lui, elle ce moqué de ses sentiment, et il commencé à en avoir marre d’être traité comme un jouet. « Ça suffit ! Je ne joue plus ! » Criât-il sans prévenir en s’arrachant le bandeau. Il fallait qu’il la voit où il deviendrait fou. Elle était à lui, et rien qu’as lui ! « Viens ici ! » Le sol trembla légèrement. Il ne contrôlé pas sa force étant ensorceler. Son regard se posa sur elle furieux. Elle était à lui, il la voulait et si il devait employait la force tant pis, quitte à lui faire mal. « Tu es à moi ! » Et comme pour appuyer ses dires il fonça sur elle, sa main ce logent sur sa gorge. Oui le sentiment qu’il éprouvé n’avait rien avoir avec de l’amour, bien que dans le calme et la gentillesse cela face illusion, mais ce qu’il ressentait c’était un besoin de pouvoir, de domination, de possession, quelque chose de bien plu violant maintenant qu’elle l’avait fait sortir de ses gonds, mais il fut bien vite projeté en arrière par une force aussi invisible que puissante. Son corps frappant brutalement le sol il en eut le souffle coupé à nouveau attaché par Méli qui apparut, posant son regard sur Edelwyn sans même se soucier des cris de Zéleph qui ce débâté comme un tigre en insultant de façon assez vulgaire l’esprit. « Il était évidant que cela arriverait. Vous auriez du faire plus attention Madame, ce genre de philtre peut être très dangereux pour ceux qui l’emploi. Maintenant vous avez réduit mon plus beau tigre en un monstre désirant votre souffrance. Je vais le laisser attacher jusqu’à ce qu’il se calme, mais évité de disparaitre de son champs de vision, comme un animal cela le fait paniqué. » Et elle disparut, laissant derrière elle un Zéleph qui ce comporté comme si il avait contracté la rage.
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Ven 12 Avr 2013, 23:12

Edelwyn avait placé sa main sur sa gorge juste après que Zéleph se fasse expulser par l'esprit du temple. Il était fou ou quoi? Respirant étonnement vite, elle devait se remettre de la peur qu'elle avait eu en le voyant foncer vers elle comme une bête enragée. Toussant plusieurs fois, elle écouta l'esprit d'une oreille à moitié attentive, les yeux fixés sur le réprouvé, les sourcils froncés, la respiration toujours haletante. Elle allait le frapper. Serrant les dents, elle resta pourtant en place, incapable de se diriger vers lui pour lui administrer la gifle qu'elle s'était imaginée lui donner. Cela ne ferait qu'aggraver les choses. « J'espère que tu n'es pas aussi possessif en temps normal. Sinon tu pourras toujours traiter ta femme d'excessivement possessive ou d'égoïstement égocentrique, je ne ferai que te répliquer que qui se ressemble s'assemble. ». Elle fixa un instant sa glace qui, sous le coup de l'action, avait fini par terre, replaçant ses cheveux en arrière en s'interrogeant sur ce qu'il convenait de faire à présent. Il était déchainé et elle se demandait même si il l'avait entendu. Ça lui faisait de la peine de le voir ainsi, tout ça à cause de ses bêtises. Enfin, il avait aussi sa part de responsabilité. Il lui faisait peur maintenant mais elle devait passer outre, essayer de trouver une solution pour le calmer. Rester devant lui pour qu'il s'apaise. Un homme amoureux, excessivement amoureux, voilà ce qu'il était. Il la tuerait si elle s'en allait, il serait tellement enragé qu'il préférerait presque la tuer plutôt qu'un autre ne l'ait. C'est ce qu'elle pensa, préférant aller dans les extrêmes pour être en mesure de s'attendre à tout. « Excuse moi, j'ai mal réagi... Tu m'as fait peur. ». Sa voix était douce, ne voulant pas le brusquer. Elle fit quelques pas, essayant de lutter contre sa propre peur. Il lui faisait penser à un animal enragé mais elle allait essayer de l'apprivoiser. « En fait, moi aussi je t'aime. ». C'était plutôt risqué mais elle n'avait pas d'autres possibilités. Elle allait s'approcher et si elle voyait qu'il essayait de la blesser, alors elle se fondrait dans les ombres pour se délier. Elle était tellement désolée pour lui au fond d'être obligé d'en arriver à boire cette foutue bouteille pour oublier ses problèmes. C'était ça, elle en était presque convaincue. Mitsuko le maltraitait au final et il devait avoir l'impression d'être si seul face à l'adversité. Elle ne comprenait pas les agissements de sa jumelle parce que, si elle avait un homme comme lui à elle, un homme dont elle attendait l'enfant et qui avait accepté de se marier par un semblant d'amour, alors elle en prendrait sans doute soin. Elle n'espérait pas ça de Naram, sachant que c'était impossible, mais elle l'avait déjà envisagé, d'être liée avec lui pour la vie. Et elle le chérirait, peu importe les côtés sombres de son âme. « Seulement, tu sais, c'est compliqué. Notre situation est complexe. Je ne veux pas espérer quelque chose qui ne se fera jamais. ». Elle s'approcha encore, s'en voulant de lui mentir mais elle n'avait pas vraiment le choix. « Je vois ce côté sombre en toi, Zéleph, mais je veux t'accepter comme tu es, toi, tout entier, avec tes bons et mauvais côtés. C'est ça l'amour tu sais. Tu ne m'as pas fait peur tout à l'heure, tu m'as surprise. Je n'ai pas peur de toi, je sais que tu ne me feras pas de mal. Naram n'est rien, pas plus que mon mari quand je me retrouve à tes côtés. Je les oublie tous les deux. ». Elle était proche de lui, tellement qu'elle parcourut rapidement la distance qui les séparait pour se jeter dans ses bras, l'enlaçant, sur lui. « Je vais te soutenir pendant ces moments difficiles, d'accord? ». Il semblait avoir d'ailleurs complètement oublié son peuple. « Je sais à quel point tu es fort mais si ça ne va pas, tu peux te reposer sur moi. Je t'aime comme tu es, d'accord? Je peux supporter tes faiblesses, je peux supporter le monstre qui est en toi et qui crie vengeance, je peux porter ton désespoir avec toi. ». En réalité, elle n'était pas totalement fausse, ayant envi de l'aider. Son nez dans le cou de l'homme, elle respira son odeur, doucement. « Tu sens si bon mon amour. ». Elle ferma les yeux, se reposant sur lui, contre lui. Ce n'était qu'un simple câlin, sa marque ne devrait pas le faire souffrir plus que ça. « Je vais rester avec toi, d'accord? Je suis à toi, rien qu'à toi. ».

Edelwyn ouvrit les yeux, regardant le roi avant de dire doucement à l'intention de Méli : « Veuillez le détacher s'il vous plait... ». C'était risqué pour elle mais elle restait malgré tout sur ses gardes. Peut-être devrait-elle s'entretenir avec sa jumelle pour lui révéler comment marchaient les hommes? Après tout, ce n'était pas humain de laisser le réprouvé là, dans cette pièce, sans qu'il ne puisse savoir pourquoi. Ce n'était pas digne d'une épouse de laisser son mari dans l'attente, de ne pas se rendre à ses côtés souvent. En plus, oui, il devait être sacrément doué au lit, et même s'il s'était montré violent avec elle, quelque chose lui disait qu'il pouvait être doux aussi. Enfin, il paraissait pouvoir endurer tant de choses... alors pourquoi ne profitait-elle pas de sa présence? Croyait-elle qu'il était à elle? Que jamais il ne pourrait lui échapper, avoir envi d'aller voir ailleurs? Bien sûr, ce ne serait jamais le cas mais si elle était à sa place, elle se ferait un malin plaisir de débarquer à l'improviste pour quelques minutes de plaisir charnel, ou juste pour manger un morceau, même si, dans son cas, la nourriture n'était pas très recommandée. Mince, sa jumelle était vraiment impossible, elle qui pouvait se téléporter, pourquoi ne pas juste venir embrasser son mari de temps en temps? Trente secondes, c'était quoi au final? Rien, surtout pour une femme immortelle. Ça l'agaçait qu'elle soit aussi peu douée. Finalement, Naram et elle étaient pareils : des malades de l'amour, des névrosés des sentiments. « Si j'avais un homme comme toi à mes côtés, j'en prendrais soin. ». Mais les hommes préféraient les femmes inaccessibles et difficiles, c'était bien connu. « Ça va aller? Tu te sens mieux? ». Elle espérait que Méli allait répondre à sa requête.
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Sam 13 Avr 2013, 00:07

Les yeux grand ouvert sur le plafond, sans bouger, allonger sur un tapis qu’il n’avait pas choisi de mettre ici il sentait la jeune femme le serré contre elle. Il était détaché, mais il ne bouger pas pour autant. C’était étrange. Il était essoufflé de s’être débattu, mais ne savait plu réellement pourquoi, soudainement apaiser, du moins il en avait la sensation. Quelque chose n’aller pas, quelque chose le gêner et pourtant en même temps il était rassuré, calmer par les paroles d’Edelwyn. Calmer, mais un doute persisté. Comme une faille au milieux de tout cela. Ce n’était pas réellement les mots du vampire, ni la façon de lui dire c’était sa propre réaction. Il ne culpabilisé même pas. Il avait la sensation d’avoir fait quelque chose de mal, quelque chose de terriblement regrettable qu’il n’aurait jamais fait dans d’autre circonstance. Quelle circonstance ? Il n’y e avait jamais eu d’autre que celle-là. Il n’avait aucune raison de penser à ça. Ce n’était pas sa faute à lui, c’était elle qui avait disparu, qui lui avait parlé de son mari et du génie. Oui, ce n’était pas sa faute, elle avait mérité qu’il se mette en colère. C’était malgré tout un peu flou dans son esprit. Après sa crise de rage il ne se souvenait même plu très bien de ce qu’il avait fait. Un mot qu’elle avait dit lui resté en tête « amour ». Son amour. Il s’en sentait heureux, mais un bonheur qui lui semblait extérieur a lui. Il n’était pas réellement heureux, ce n’était qu’une vague sensation qui laisser au fond un profond vide. Quelque chose de douloureux et noire. Que lui arrivait-il ? Pourquoi n’arrivait-il pas à ce satisfaire de la femme qu’il aimer alors qu’elle était dans ses bras et lui juré son amour ? « Mon amour ? » Il l’avait murmuré, quelque part incrédule, mais la part de lui posséder par l’ensorcellement chercher à l’en persuadé. Cela comme le reste, il avait la sensation que ça sonnet faut. Ses sentiments devenait amer en réalisant que jamais cela pouvait être, pour la simple et bonne raison que personne ne prenait soin de lui, personne ne lui disait ce genre de chose, et certainement pas la femme à qui il tenait réellement. « Non. » Il avait fini par répondre à sa question. Non, il n’allait pas bien, il était embrouiller et ne savait plus où donner de la tête. Non seulement ses pensées ce bousculer, s’embrouiller, mais ses sentiments paraissaient floue, ce ternir et c’était extrêmement troublant. Il y avait cette impression que tout était factice qui commencé à l’obsédé, mais il persisté à la combattre malgré tout. « Tu n’es pas à moi. » Il ne le disait pas sur le ton de la reproche, en réalité il avait l’air de réfléchir à voix haute, ce concentrant sur ce fait. « Non. Celle que je désir m’échappe… » Elle ou une autre, il n’en avait aucune idée, il n’arrive pas à savoir. Une chose était pourtant certaine, celle qu’il voulait, sans la quel il se retrouverait briser lui glisser entre les doigts comme du sable, insaisissable.

Doucement il ce redressa en la repoussant pour la regardé semblant chercher quelque chose. S’accrocher aux file de ses pensées, mais ce qu’il devait sur tout écouté c’était ses sentiments, les sensations, son instinct plutôt que sa tête qui était totalement embrouiller par l’élixir. Oui, il avait bue quelque chose, quelque chose qui lui avait fait perdre l’esprit, ou quelque chose comme cela. « Je ne t’aime pas. » Il l’assura. Oui, il commencé à en être sûr. Il ne l’aimer pas, pas du tout même. Il était pris dans un torrent de sentiments qui lui échappé, mais il ne ressentait pas cette étincelle, non, ce n’était pas elle. Et alors que la potion finissait de voir ses effets s’estompé, il parut reprendre peu à peu ses souvenirs. La lumière qui éclairé Edelwyn disparut, pour n’être plus qu’un souvenir, des couleurs à nouveau fade. Son monde se retrouva a nouveau a découvert, mais sans couleurs. La mélancolie l’envahit, et l’euphorie le quitta. Il lâcha tout à fait la sangsue et s’éloigna pour la regardé soudainement choqué par ce qui était arrivé. Zéleph ne se souvenait pas de tout, c’était encore un peu floue, mais il ce rappelait avoir bue la bouteille, puis s’être mit à parler, et être très belliqueux, tellement que cela le dégouté. Le réprouvé était soudainement tendu en posant un regard glacial sur le vampire. « Rassure-moi… Je ne t’es pas touché. Dit moi que je ne t’es pas touché ! » Non, il ne l’aurait jamais fait ! Rien que l’idée le dégouté. Il voulait dire, lui touché une sangsue gluante et répugnante ? Jamais ! Le roi soupira en se passant une main sur le visage dans l’espoir de s’éveiller. La douleur était revenue. Il n’avait pas à ce posé la question sur pour quel raison idiote il avait bu cette potion. Pour oublier cette souffrance qui revenait à lui comme si elle ne l’avait jamais quitté, et quelque part c’était le cas. Si il s’en était pris si violement a elle c’était bien par ce qu’inconsciemment il manquer cruellement d’attention, qu’il était fait pour vivre dans les bras de quelqu’un, à sentir cette chaleurs humaine qui lui manquait tant. Un souffle de vie, une bouffé de tendresse. Il était pathétique et s’en rendit compte s’effondrant sur son lit, ‘assit, le visage perdu entre ses mains. « Qu’importe. Je suis déjà au fond du gouffre, un peu plus ou un peu moins. Je suis déjà condamné alors… » Il se laissa tomber sur le dos, le matelas était confortable, plus que le sol dur qu’il c’était complu a gardé, histoire de résisté a l’envie de s’habituer à ce lieux. Maintenant cette salle ressemblait à une chambre, cette idée le révolté, mais il n’avait plu la force de se battre, épuiser par le combat psychique auquel il c’était soumis. Une chose était sur il aimer Mitsuko, assez pour avoir senti à chaque tentative d’approche vers Edelwyn quelque chose qui l’en empêcher, plus encore que la marque, et encore celle-ci n’aurait pas une si grande emprise sur lui si il ne l’aimer pas d’un amour sincère et pur, et gnagnagna … Et voilà, maintenant qu’elle avait son cœur, il ce retrouvé démunie, comme un imbécile dépendant d’elle. « Je suis désolé. Je n’aurais pas dû le boire. Au final j’ai dû te faire payer mes propres problèmes. » Il devait au moins reconnaitre qu’elle avait était étonnamment patiente avec lui. Peut-être pouvait-elle être autre chose qu’une garce par fois. Elle mérité au moins qu’il arrête de lui en vouloir pour le passer vue l’étrange gentillesse dont elle avait fait preuve aujourd’hui.

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Sam 13 Avr 2013, 01:05

« Tu ne m'aimes pas? ». Elle sourit, s'approchant de l'homme qui s'était allongé sur le lit. « Tu ne peux pas savoir à quel point je suis heureuse de te l'entendre dire. ». Le pire c'est que c'était vrai. Elle finit par s'asseoir à son tour, se laissant tomber en arrière tout comme lui, soulagée. Passant ses mains sur son propre visage, elle souffla, essayant de se détendre un peu. Le silence régna quelques secondes avant qu'elle ne déclare tout haut : « Je me donnerai bien volontiers une médaille pour cette interprétation. Je suis plutôt douée en fait... peut-être devrais-je essayer de faire partie des comédiens du théâtre de Somnium? ». Elle rit, attrapant l'une de ses mèches de cheveux, commençant à la tripoter. C'était curieux parce que si Zéleph avait fait un coup pareil à Mitsuko, elle lui en aurait sans doute voulu, mais elle, non. Peut-être ne valait-il mieux pas chercher à comprendre au final. Quoi que, demander à un vampire du clan Malkavian d'arrêter de réfléchir était comme le tuer. Elle sourit, fixant le plafond, laissant de nouveau les secondes s'écouler. Que devait-elle lui dire? Il devait savoir qu'il ne l'avait pas touché, hormis sans doute dans le but de l'étrangler. Le préciser ne changerait rien. « Tu sais, peut-être que j'aime Naram parce qu'il est inaccessible. Avec lui, je suis sûre de ne pas vraiment pouvoir être déçue. Bien sûr, vu que je ne suis un clone, je subis aussi les sentiments de celles que je représente, mais j'ai mes propres sentiments également. Cependant, je me demande si Mitsuko et lui n'étaient pas si proches uniquement parce qu'elle avait peur de l'amour et qu'elle voyait en lui l'homme idéal pour ne jamais s'exposer et être blessée. Je ne sais pas mais, en tout cas, ils ne s'entendent plus vraiment, même plus du tout. Elle m'a dit qu'elle l'avait vu à Drosera lors de l'anniversaire de règne de la reine des alfars et que cela s'était mal passé. A la réunion des chefs, apparemment, c'était même pire. ». Elle marqua une pause, semblant réfléchir à la situation. « Peut-être que cela continuera d'être ainsi après qu'elle ait retrouvé ses souvenirs? ». Elle tourna la tête vers lui. « En attendant, je ne t'aime pas mais si un jour je devais aimer quelqu'un d'autre que Naram, j'aimerai que ce soit quelqu'un comme toi. ». Elle sourit puis ajouta. « En un peu moins torturé quand même. Et puis, si tu essayes de tuer Mitsuko à chaque fois qu'elle sort de ton champs de vision et que tu assassines tous tes rivaux, tu dois vraiment avoir un emploi du temps chargé. ». Elle finit par rire, lui donnant un petit coup de coude amical, laissant un vague sourire flotter sur son visage par la suite. Se redressant, elle se tourna vers lui, s'asseyant en tailleur sur le lit après avoir enlevé ses chaussures. Les coudes sur les genoux, la tête posée dans ses paumes de main, elle se mit à le fixer comme si il la laissait perplexe. Elle posa sa main sur son bras, serrant ses lèvres entre elles, habitude qu'elle avait prise et dont elle n'arrivait plus à se débarrasser. « Tu sais, j'étais sérieuse. ». Elle n'avait pas eu envi de préciser son commentaire au début mais elle se demanda s'il allait comprendre ou se faire des idées. Il valait mieux être plus claire, sans doute. « Je sais que tu dois avoir plusieurs personnes pour t'écouter, des gens que tu apprécies plus que moi. Et puis, tu as ta femme normalement, même si elle semble plutôt absente dans ta vie en ce moment. Cela dit, si vraiment tu te sens seul, que tu n'as pas le moral, tu pourras venir me voir. J'aurai dit au château Malkavian mais comme j'ignore jusqu'à quand nous serons enfermés ici, je ne vais pas donner de point de rendez vous. Si tu veux me parler, de n'importe quoi, sans vraiment attendre de conseils, même juste pour vider ton sac, alors je t'écouterai. Et je garderai ce que tu me diras pour moi, promis. ». Après tout, elle lui devait bien ça après avoir mis le bazar dans sa relation avec Mitsuko au Circus. Non et puis, en réalité, elle voulait apprendre à le connaître et lui être utile. Bon, elle passait le plus clair de son temps dans la prison aux côtés de Jun, mais c'était pour autre chose, quelque chose qui ne concernait pas cette guerre. Et puis, ce n'était pas parce que les deux hommes se haïssaient qu'elle était obligée de choisir entre l'un et l'autre. Elle précisa alors. « Tu n'a pas à répondre à ce que je viens de te dire. Juste que si jamais un jour tu as besoin de quelqu'un, tu pourras penser à moi en dernier ressort. ». Elle lui sourit, attrapant ses cheveux pour faire une tresse.

« Du coup, moi qui pensais faire du chantage à Mitsuko pour qu'elle me certifie par écrit qu'elle ne chercherait plus jamais à revoir Naram, je pense que c'est raté. Tu es vraiment trop résistant à ce genre de sortilèges. Ça ne devrait pas être permis! ». Elle rit, visiblement de bonne humeur. « Tu sais, être un vampire c'est triste. Je suis condamnée à ne jamais voir mon reflet et, de ce fait, je ne peux jamais savoir si je suis bien coiffée ou si j'ai un bout de salade coincée entre les dents. ». Encore aurait-il fallu qu'elle mange de la salade. « Ma tresse est bien faite ou non? ». Elle ne le laissa pas répondre, déjà repartie sur autre chose. « Ah oui! Ce serait bien que quand Mitsuko viendra te voir, tu fasses encore semblant d'être amoureux de moi. Elle ne le croira peut-être pas mais vu qu'elle est faible depuis qu'elle est sortie du temple, je pense qu'elle ne sera pas en mesure de connaître tes sentiments. Je pense que si tu lui fais peur, elle pourra comprendre que tu n'es pas chose acquise et qu'elle devrait se comporter un peu mieux avec toi. Et puis, avoue que tu rêves de la voir faire une crise de jalousie. ». Elle sourit de toutes ses dents. « En plus, j'aimerai vraiment qu'elle me signe un papier. Ça m'arrangerait, même si ce n'est pas très moral de l'écarter du génie par la force. Enfin, c'est que j'ai bien envi de savoir la réaction du Mârid. Sérieusement, ça ne t'agace pas toi de ne pas savoir ce qu'il éprouve? Moi je ne sais même pas s'il aime Mitsuko ou non. Comment savoir quand il ne fait même pas le déplacement pour te ravir ta femme? Pourtant, ce serait amusant si vous vous battiez en duel à l'épée pour vous partager la déesse... digne d'un roman!! ». Elle rit, le taquinant mais n'en pensant pas moins.
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Sam 13 Avr 2013, 08:25

Il était difficile d’expliquer ceux a quoi pensé Zéleph, ce qu’il ressentait. A la fois coupable, perdu, émietter, et quelque part un peu amuser, mais le reste du flot de ses sentiments qui le ronger l’empêcher de le comprendre. Ce qui était certain c’est la fatigue qui l’accablé a présent. Il réfléchit à ce qu’elle lui dit sur son chantage. Il ne pouvait pas mentir a Mitsuko, prendre le risque de lui faire croire une chose pareille qui plus est. Après comment pourrait-il lui assuré qu’il ne lui avait jamais mentit ? Il était un homme honnête, ce qui contrasté avec ses activités douteuse. Seulement il partait du principe que l’on pouvait bien être le pire des salops, rien ne servait de vivre dans le mensonge. Pourtant il eut une idée. Mitsuko n’était pas douer avec les sentiments humains, elle ne savait pas écouté son cœur, ou en était effrayait ce qui la poussait a chercher des résonnement logique là où il ne pouvait en avoir. Le roi n’aurait cas ce servir de cela, de ces sentiments si controversé que la déesse ne parvenait pas à comprendre. Il ne mentir pas, il dirait juste la vérité qui l’arrange, et puis d’ici qu’il lui adresse la parole elle pourrait bien croire ce qu’elle désiré, pour ce qu’il en avait à faire … Quoi qu’il advienne il était toujours en colère contre elle, il ne paraissait pas pouvoir changer d’avis. Il fallait le comprendre, des milliers de gens l’attendait, et lui était là allonger sur un lit enfermer chez les Dieux. Dans d’autre circonstance il en aurait peut-être rit, ce disant que son histoire aller finir dans les vieux conte pour enfant que l’on trouve dans les grandes bibliothèques poussiéreuse. L’histoire du roi éprit d’une déesse qui pour sa sécurité l’eut enfermé dans la tour des Dieux, seul endroit où cette homme puissant pouvait être gardé. Seulement cette homme aussi grand et fort soit-il, ce lamentait de son sort et entendait les cris d’appelle de ses sujets, cela lui briser le cœur. Seulement la déesse refuser de l’entendre et préférait ce cacher pour ne pas être affecté et changer d’avis, que même venir voir son roi pour l’aidé a surmonté sa peine. Zéleph eut un profond soupire. Il en était à s’inventé un roman maintenant… Etait-il enfermer depuis si longtemps ? Il leva les yeux sur Edelwyn qui lui montré sa tresse. Il n’était pas le seul enfermer ici, et dans un autre genre de roman cela ce serrait transformer en relation étrange, mieux valait ne pas y penser vue ce qui venait de ce passer à l’ instant.

Il posa son regard rouge-sang sur la coiffure de la sangsue, dénué d’intérêt. Il n’avait jamais eu une grande passion pour la coiffure. Il admettait cependant que ne jamais pouvoir voir son reflets devait être pesant, bien qu’il éviter le plus possible le sien pour dire vrais. Avec ses cheveux blanc et ses yeux carmin, il ne ce trouvé pas séduisant pour une pièce d’argent. Un albinos pas tout à fait comme les autres, cela le rendait rare et unique d’après sa mère, mais lui tout ce que cela lui inspiré c’était le souvenir des regards haineux et dégouté des autres gens, des autres enfants en particulier. Rien de plus cruel au monde que le jugement d‘un enfant. Qu’importe il n’avait plu cinq ans et était passé au-dessus de cette épreuve, mais tout de même-il garder une certaine amertume et préférait encore ne pas ce confronté à sa propre vue. Zéleph avait de réel complexe, ce qui faisait de lui un homme normal au fond, malgré sa grande puissance. Il ce rapprocher du commun des mortel, ce n’était pas plus mal. Edelwyn parlait de duel à l’épée ou d’il ne savait quoi encore et il soupira à nouveau. « Un roman, oui. » Si il devait se battre à l’épée avec Naram-sin il savait déjà qui gagnerait, lui, mais il ne pourrait pas tuer le génie donc en réalité ce combat n’en finirait pas. Vouer à l’échec avant même d’avoir commencé. Au fond il avait un réel respect pour le Marid. Il n’avait rien contre lui, a part un petit détaille. « Tu sais-je Naram n’est pas si… inactif. Je l’aime bien. Il est juste bizarre et prend de grands airs pour ma grand-chose. Même coupé du pain serrait pour lui une occasion pour le faire avec de grand geste et de grands mots. » Il exagéré un peu, mais il n’était pas loin de la vérité, à chaque fois qu’il avait vu le souverain celui-ci prenez des poses et faisait des choses qui avaient toute un sens, une grande logique, tout était calculer dans le moindre détail et cela l’agacer au plus haut point. Il n’avait aucune réelle spontanéité. « Je lui en veux par ce qu’après être venu me voir et m’avoir pratiquement donné sa bénédiction pour épousé Mitsuko, il est allé la voir. Il m’a dit préférait rester dans l’ombre, ne jamais approcher, pour une semaine plus tard finir a ses coté sur la plage. » Il aurait pu s’en énervait a nouveau et dans son ton lasse Edelwyn devait le ressentir, mais cela faisait trop longtemps qu’il éprouvé cette rancœur en vers le Marid, il était épuisé de s’énervé à nouveau sur ce sujet, tout seul. « Il est venu à elle. Elle me l’a avoué. Pourquoi soudain ? Chercher contacte après tout ce temps, juste après m’avoir rencontré. Je pensais pouvoir avoir confiance en ce qu’il me disait, mais j’ai finalement comprit. Toi, Jun, Mitsuko, Naram … vous vivez dans un monde de tromperie et de mensonge, tout n’est qu’images et illusion. Je ne suis pas capable de lire entre les lignes, je ne fais pas partit de votre monde. Peut-être est-ce cela qui à attirer Mitsuko, je suis sa fenêtre vers le monde, un monte ou le sentiment passe avant la pensé. Je l’évade, mais en même temps je ne pourrais jamais tout à fait être à son niveau par ce que je refuse d’être comme vous. »

Ce redressant il se fit craquer la nuque dans un souffle, satisfait avant de s’étiré. A quoi bon en parler. Il se tourna vers Edelwyn et lui offrit un léger sourire. Petit, certes, mais sincère. Puisse qu’ils étaient tout les deux enfermer et qu’il devait oublier le mal qui le ronger, autant faire les choses bien et montré qu’il n’était pas aussi idiot qu’il le laisser penser. « Tu a dit que tu jouer au échecs ? » Une table de jeux apparut. Méli devait être ravis qu’il trouve quelque chose de calme et silencieux à faire pour ainsi l’exposer sans qu’il ne le demande. Ce levant il attrapa dans sa poche de quoi ce rouler une cigarette et s’assit devant les pions noire, laissant bien sur les pions noir a la Dame en parfait gentleman. Il n’avait pas d’éducation, c’était bien vrais, et pourtant… « Voyons ce que tu vaut. » Allumant sa cigarette, il en tira la fumer avant de la défier gentiment. Peut-être avait-il changé d’avis, peut-être qu’Edelwyn était une garce, certes, mais pas aussi méchante qu’elle avait voulu lui faire croire. « Dit moi… pourquoi est-tu enfermer ici. Toi aussi Mitsuko veux te protéger ? Je croyais qu’entre vous ce n’était pas l’amour fou. » Bien que a son plus grand regret, elle en sache dix fois plus que lui sur sa femme, sur ce qu’elle faisait, où elle était. Il était toujours le dernier au courant, mais à présent il paraissait que l’inverse soit aussi vrai. Edelwyn en savait plus sur lui que n’importe qui dans l’entourage de la déesse.
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Un homme pour un autre

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