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 Croque la pomme [pv: Eden]

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Dim 19 Aoû 2012, 11:23


Depuis quelque semaines, un étrange parchemin c’était échouer sur le bureau d’un homme. Cacher sous des pilles d’autres papiers il avait était oublier là, pour le travail ou bien pour la paresse du maitre de ce bureau. Cet homme n’était autre que le patron du Circus Borthel. Un endroit non recommandable, mais très lucratif pour ses dirigent. Cet homme se nomment Zéleph était en haut de la pyramide des pouvoir, c’est ainsi que tous les travaux proposer à son organisation passer par lui. Un jour ou il prenait du bon temps, la bonne s’occupant de ses appartement fini par en avoir marre et fit un grand vide dans ses affaire, un ménage de printemps contre el quel Zéleph ne dit rien, quelque part bien soulager que l’on défraichisse un peu cette endroit. Le mystérieux parchemin fini donc dans une corbeille. C’était sans compté le poussin du patron qui en jouant un peu trop avec son chat, fit tomber celle-ci et vida tout son contenu dans la pièce. Zéleph en colère les réprimanda et du tout ramasser. Ce fut ainsi qu’il vit enfin ce parchemin. C’était une page de livre arraché, elle conter l’histoire d’une mystérieuse pomme dite « éternelle». Apparemment ce n’était qu’une légende, une vieille histoire, mais ne dit-ont pas que toute histoire a un fond de vérité ? De plus il était question de la forêt du château d’Ethernoir. L’homme qui n’était qu’autre qu’un réprouvé, s’avait que ce lieu était des plus réels, il l’avait déjà vue lors d’une « promenade » autour du lac. Il y avait une histoire d’amour entourant ce fruit, mais Zéleph s’en lassa très vite, bien plus attiré par ses étranges propriétés. On pouvait dire trois choses certaines de Zéleph. L’une était qu’il était totalement imprévisible, l’autre qu’il se ficher de toute règles ou de lois, et la troisième qu’il aimer l’argent et la possession. C’est ainsi qu’il vit en cette pomme, un objet d’une grande valeur. Pourtant il oublia cette histoire de fruit, occuper a bien d’autres choses. Ce fut un jour ou il s’ennuyait qu’il ce souvint de cette étrange histoire. Y avait-il tout à fait crue ou non, il ne savait trop, mais voulant sortir de son ennui il était prés à croire n’importe quel conte d’enfance, simplement pour sortir de sa chambre.

Ce fut sans plus de conviction qu’il partit a l’aventure. Il fallait aussi avouer que cela faisait une éternité pour lui qu’il n’était pas partie de cette façon à l’aveuglette, juste pour vivre une aventure. Avec le temps il c’était construit des choses utiles autour de lui, mais qui dépendait totalement de lui et qui le forcer à être plus sérieux qu’il ne l’avait jamais était. Pourtant ce qu’il aimer le plus, c’était l’incertitude, l’adrénaline lors ce qu’on se perd dans les montagnes ou dans le désert, de savoir comment on en est arrivé là et sur tout ce qui nous attendra plus tard. Oui, Zéleph était un homme qui aimer le danger, sentir sa vie sur un fil de rasoir. Plus jeune il avait adoré cela et ne vivait qu’ainsi, d’air pur et d’eau fraiche. Aujourd’hui, coincer entre deux murs il n’avait plu souvent l’occasion de revivre ce genre d’expérience. Alors cette fois il en avait décidé ainsi, il partirait qu’on est besoin de lui ou non, que cela dur un jour, un mois ou un an. Il fallait qu’il s’araire l’esprit ou il deviendrait fou entre tous ces papiers.

C’est en volant que Zéleph arriva à Ethernoir. Il contourna vite le château et ses sortiléges, puis se posa dans les bois. Aurait-il du survoler la zone pour trouver cette arbre dit « gigantesque » histoire de ne pas se perdre ? Car il était connu que ce seigneur n’avait pas le sens de l’orientation d’une enfant de quatre ans. Il était capable, au grand dames de ses employer, de se perdre dans son propre lieux. Pour sa défense le Circus était un lieu très vaste, mais c’était lui qui en avait fait les plans, alors il était normal que l’ont ce demande comment il pouvait encore ce perdre. Simplement, Zéleph préférait marcher que volé. Il fit disparaitre ses ailes immaculé et ce mit en marche tout droit, sans se poser plus de question. Il se sentait mieux que dans les murs de son antre. Le vent aillant flatter son visage durant le voyage, c’était comme un voyage revigorant pour lui en cet instant. Ne manquer plu qu’une chose a son plaisir. Portant la main à l’intérieur de son mentaux il en sortit un petit sachet de tabac. Avec délicatesse il roula alors une cigarette qu’il alluma d’une allumette. C’est à ce moment, marchant dans l’herbe verte, le tabac coincé entre ses lèvres, qu’il se sentit tout à fait à son aise. Au bout d’un moment de marche, il sembla croiser un petit chemin. Il le suivit alors, pensent à juste titre que cela aller l’emmener jusqu’au mystérieux pommier. Des bruit étranges ce faisaient entendre, venant d’un peut par tout, mais Zéleph ne s’en formalisa pas. Il savait que cette forêt était réputer pour ses locataires des plus monstrueux, mais ce n’était pas la première fois qu’il rentré dans ce genre d’endroit. Au bout d’un certain temps on si habitue… du moins il le penser.
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Dim 16 Sep 2012, 21:05

Le ciel commençait enfin à se dégager, et les nuages gris gorgés d'eau s'éloignaient peu à peu, laissait l'horizon se teindre de bleu et de lumière. L'air était humide et frais, comme toujours après de longues heures d'averses. Perdue au beau milieu d'une immense forêt, je contemplais à travers les épais branchages les rayons du soleil qui parvenaient à percer l'amas de verdure. Je n'avais pu échapper aux intempéries, bien trop occuper à fuir le plus loin possible du domicile de mon père, mort depuis peu. Je sentis un fin sourire étirer mes lèvres roses à cette pensée, si délicieuse, si délectable. Mon bourreau n'était plus, et j'étais responsable de son trépas. Je l'avais vu quitter ce monde dans une lente agonie, et la vue de son sang qui coulait lentement et dans le silence le plus total sur le vieux plancher usé de son sombre bureau m'avait ravie. Paupières closes, je pris quelques respirations censées m'apaiser après avoir couru durant de longues heures sous la pluie, vêtue si légèrement. Mes habits étaient trempées, et je savais sans même regarder que ma robe, si blanche et vaporeuse, devait être des plus transparentes et dessiner les contours de mon corps fin. La cape pourpre que je portais ne m'avait guère protéger du mauvais temps. Mes si longs cheveux blonds dégoulinaient d'eau sur mes épaules nues, sur mes joues et mon cou, une sensation peu agréable. Jamais je n'avais été de ce genre de femmes, superficielles et hautaines qui refusaient de mettre la main à la pâte ou qui se plaignaient du moindre petit drame qui venait troubler leur insignifiante vie. Non, depuis ma naissance, je n'avais connu pas d'autre luxe que celui d'avoir une brosse, et si maintenant j'aimais prendre soin de moi, je n'en demeurais pas moins une femme libre et indépendante, pas une minette coquette qu'on trouve dans les beaux quartiers. Pourtant, me réchauffer auprès d'un feu m'aurait plut. A défaut, je me contentais simplement de rouvrir mes yeux verts et repris ma route, déterminée à mener enfin ma propre vie, selon moi, selon mes envies.

J'errais sur les routes et les chemins, sans but précis, souhaitant juste profiter de cet avant-gout de liberté. Bien sûr, cela faisait maintenant quelques années que j'étais libre de mes mouvements, mais au fond de moi, je savais que tout cela n'était que foutaises tant qu'il était encore en vie. Et aujourd'hui, ce n'était plus le cas. Enfin. Dorénavant, je pouvais vivre à ma guise, et j'avais déjà tellement de plans qui fleurissait dans mon esprit. En réalité, je les avais gardé dans un coin de ma tête durant de longues années, jusqu'à ce jour où j'aurais atteint mon but. D'un geste aérien, je dégageais distraitement mon visage des quelques petites mèches blondes encore humides qui s'obstinaient à tomber sur mes yeux ou mon nez, contemplant avec attention le paysage qui m'entourait. J'étais perdue. C'était un fait, une évidence. Mais loin de me décourager, je continuais d'avancer en haussant les épaules. Peu importe, j'aimais me laisser porter par le vent et suivre la voie du hasard, qu'elle me mène dans les tours les somptueuses ou au bord d'un ravin. Je ne voulais pas d'une vie calme et réglé au millimètre près, d'une petite maison entourée d'une barrière blanche où traineraient deux ou trois bambins. J'aspirais seulement à l'imprévu et aux doutes, aux difficultés et aux chaos.

L'endroit où je me trouvais se voulait peu accueillant. La magie semblait me rejeter et vouloir m'éloigner. Il me fut pourtant des plus facile de percer ces maigres barrières et de vagabonder à ma guise là où je le souhaitais. Le sourire aux lèvres, un éclat pétillant dans les yeux, je me mis à courir à travers une forêt, encore une fois, sans savoir où j'allais. Qu'importe. Mes prunelles vertes fixaient le lointain, et avec l'agilité d'une gazelle, je détalais à travers les bois sans jamais m'arrêter. Je sautais élégamment les troncs recouvert de mousses vertes qui me barraient de temps à autre la route et ne rechignais certainement pas à passer dans les branches piquants et les ronces. Quand surviens un chemin, et du coin de l'œil, j'entrevis une ombre fugitive. Sans crier gare, je m'arrêtais net.

A quelques pas de moi se tenait un homme, l'allure nonchalante, qui fumait tranquillement, le regard absolument pas méfiant, du moins pour l'instant. Sa chevelure était aussi courte et sombre que la mienne était claire et longue, et il était largement plus grand que moi. En tant que génie, je ressentais certaine chose. La puissance, notamment. Et cet homme dégagait quelque chose de fort, de particulier. Assez pour que je m'arrête pour le contempler. Lentement, je me tournais, sans bouger de mon petit coin de chemin. Je me mettais simplement face à lui, mes grands yeux verts et innocents se posant avec douceur sur lui. Je devais ressembler à une belle petite poupée à moitié brisée, et qui avait pris l'eau, de surcroit.
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Lun 17 Sep 2012, 12:40


Le tabac bruler au bout des doigts de Zéleph lors ce qu’il leva la tête pour expédier dans un souffle toute la fumer nocive de ce doux plaisir. Lors ce qu’il baissa la tête, il croisa le regard d’une jeune fille qu’il n’avait ni sentit, ni entendu arriver. Là planter devant lui, une blonde aux yeux vert fixé. Où était-elle passé pour être totalement trempé de la sorte, mais sur tout pourquoi elle le fixer comme cela ? Le réprouvé ce contenta de la regarder sans qu’un seul mot ne sorte de sa bouche. Ils auraient pu rester comme cela des heures, le brun ce soucient peu d’avoir une conversation avec une parfaite inconnue alors qu’il chercher quelque chose de bien précis qui n’avait en rien à voir avec une jeune fille. Le temps aurait pu paraitre s’arrêter pour un spectateur extérieur, les deux êtres ce fixant sans qu’un ne fasse un geste ou ne dise un seul mot. Cette jeune femme était délicieuse a première vue du moins, Zéleph avait bien trop l’habitude des apparences trompeuse au possible. Un ange à l’apparence de sorcière, un démon au visage innocent, un enfant a l’air d’un vieillard, il avait tout vue dans sa vie, de bonne comme de mauvaise chose. Tout était relatif n’est-ce pas ? Tout sur tous les êtres que l’on peut croiser en ce monde. Finissant sa cigarette, le seigneur en laissa tomber le mégot a terre et l’écrasa de son pied, seul geste fait depuis que ses yeux c’était poser sur cette charmante compagnie. Il sourit simplement, puis contourna la demoiselle. Partant pour chercher sa pomme il s’arrêta dans sa démarche. Et si ? Ce retournant le réprouvé eu de nouveau un petit sourire dessiner sur le visage. Il avait une idée derrière la tête.
    Zéleph Aimez-vous les pommes ?
Cette question était d’une simplicité affligent, mais aux premiers abords sa quête l’était également tout à fait. Aller chercher une pomme cela paraissait dérisoire comme aventure, et pourtant Zéleph ne savait trop ce que pourrait lui rapporté un tel trophée. L’argent, le pouvoir, des choses futiles aux yeux du souverain qui ne chercher ici plus, qu’une simple pomme ou qu’un objet de grande valeur, mais retrouver cette excitation unique de ce perdre sur un chemin sans savoir ni comment ni pourquoi on en est arrivé là. La liberté, l’insouciance d’un instant ou le monde ne tourne plu autour de vous, le temps d’un instant. Ce redressant le réprouvé laissa son regard tourné autour de lui. Des arbres à perte de vues, des ombres menaçantes, une magie étrangère. Il y avait tout ici pour rendre ce voyage intéressant. De plus il y avait ici de la compagnie. Zéleph ce reconcentra sur la créature qui avait fait une apparition très subtile.
    Zéleph Pour ma part, je les aime particulièrement juteuses et doré.
Il n’y avait dans ses mots aucun sous-entendu particulier, quoi peut être très léger vue le sourire en coin qui se forma sur les lèvres du roi. Le charme n’avait jamais était quelque chose qu’il apprécier particulièrement, pas qu’il n’y soit pas douer ou non, simplement que cette occupation ne lui paraisse raps si intéressante que cela au fond. Seulement, une broutille de ce genre par ci, par-là, ne faisait de mal a personne n’est-ce pas ? De plus en fonction des réponses qu’aller lui donner la jeune fille, Zéleph pourrait la cerné. La subtilité du moment n’était pas transparente, et pourtant ce n’était pas lui le plus rusé ici, il en avait conscience vue son niveau actuel dans ces jeux là. Tout dépendait d’elle au fond. Il verrait bien si elle valait la peine de croquer la pomme ou de la laisser aux cochons.
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Dim 09 Déc 2012, 23:09

    Voilà qui avait le mérite d'être assez peu commun, pour ne pas dire original, saugrenue et plutôt étrange. C'était assez rare qu'un inconnu s'arrête quelques instants pour lui parler de pommes. Les conversations sur les fruits et légumes n'étaient guère ses préférés, et durant à peine une seconde, Eden songea à rebrousser chemin et laisser cet ivrogne de petits chemins continuer sa route à la recherche d'un jardin ou d'un verger. Mais la génie ne bougea pas, se contentant de pencher très légèrement la tête, ces grands yeux verts à l'éclat pétillant et malicieux poser sur l'homme en face d'elle. Elle sentait sa puissance, dissimulée, mais bien présente et réelle, et elle préférait penser qu'il avait une petite idée derrière la tête, qui, de toute évidence, devait concerner le fruit du péché dont elle portait le nom. Le hasard faisait bien les choses, à moins que le destin soit plus vicieux qu'il n'y paraisse. Quoiqu'il en soit, elle devait rester, écouter un peu ce que cet étranger avait à dire, qui sait, il pouvait se révéler pleins de surprises, et la jeune femme était avide d'inattendue et de risques, de toutes ces choses qui faisaient qu'on se sentait vivant et libre. Qu'elle appréciait se comporter de façon incompréhensible et inconsidérée, car c'était bien la preuve qu'elle pouvait agit comme bon lui semblait, aussi stupide que cela pouvait paraître, elle avait trop longtemps été surveillé, et était maintenant heureuse d'être maitresse de ses faits et gestes. De sa voix chantante et claire, tinté de rires, elle répondit, évasive :

    « Les pommes? Qui n'aime pas les pommes? Qu'il soit pendu sur la place publique pour une telle infamie et livré en pièces détachés aux loups affamés. Le fruit des péchés doit être apprécié à sa juste valeur. Lui et moi sommes étrangement liés.»

    Elle fit quelques pas sur le côté, sans lâché du regard le jeune homme qu'elle détaillait discrètement. Etait-il du genre à rechercher inlassablement le pouvoir? Si tel était le cas, il valait mieux qu'elle se méfie de lui, car les génies étaient toujours convoités. Les fous, s'ils savaient. Mais par pure précaution, mieux valait qu'elle cache son habitacle. Elle tourna avec élégance les talons dans une envolée des boucles claires, et sans qu'on ne puisse le voir, mis le pendentif ovale qui lui était si précieux dans ses vêtements. Se dirigeant vers un arbre, elle posa l'une de ses paumes sur l'écorce tout en disant

    « Je préfère les pommes les plus sucrés. Et j'ai un faible particulier pour celles qui sont aussi rouges que le sang. On se croirait dans un conte, et j'attends de voir le jour où quelqu'un s'étouffera avec un morceau avant que son bien aimé vienne l'en délivrer d'un baiser.»

    Juteuse et doré. C'était ainsi qu'il avait dit préféré les pommes. Auprès de son arbre, elle réfléchie deux ou trois instants à d'éventuels sous-entendues. Et relevant ses yeux de poupée, elle croisa le sourire léger mais satisfait du jeune homme qui avait le coin de la bouche frémissante. Elle rit doucement, douces clochettes livrées au vent brièvement, avant d'ajouter :

    « Coupée en deux et cuite avec un peu de caramel, c'est excellent, aussi. Vous ne trouvez pas? A présent, trêve de cuisine, vous avez éveillez ma curiosité. Dites moi en plus sur l'idée que vous avez derrière la tête, peut-être que vous obtiendrez de moi ce qu'au fond vous deviez chercher : un peu de compagnie» Elle sourit. Jusque là, elle s'était montrée relativement sage, ne révélant que les parties plutôt douces et agréable de sa personne. C'était étonnant. Cela ne risquait pas de durer très longtemps, ce n'était guère dans ces habitudes de rester douce et joviale des heures durant.
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Mar 11 Déc 2012, 16:45

« Tout dépend de ce que vous avez à offrir. » souffla-t-il.
Subtil intérêt pour une inconnue croisé dans une forêt. Il voulait une pomme, désiré l’aventure, chercher l’excitation oublier. Autre fois il aurait poussé le destin plu loin, aurait cherché à séduire cette jeune fille sans se soucier des conséquences, mais avec le temps venait aussi l’expérience. A force de se retrouver dans un fossé on finissait par être un peu plus prudent sur la route. Peu importe, de toute façon ce n’était pas cela qui l’intéressait, non, c’était bien loin de ce genre d’histoire.
« Ce que je recherche, outre votre délicieuse présence. » Il lui sourit, moqueur. « C’est ce fruit qui alimente notre discussion. »
Une pomme, c’était aussi simple que cela. Si simple et si compliquer à la fois. Qu’est-ce qu’une pomme au fond ? Un fruit, simple, rond, au parfum si nombreux et si commun. Tans de couleurs et de gout pour la même malheureuse chose. Un fruit, une passion, un poison. Pas étonnant que les femmes aiment tellement les pommes, elles sont si semblables au fond.
« Bien sur la pomme que je recherche n’est pas commune à ses sœurs, sinon je ne serais pas venu jusque ici pour une simple crise gourmande. »
Il aurait visité un marché quelconque, pour une pomme quelconque, mais il n’était pas homme à ce suffire du moindre objet semblable à miles autres objets. Il avait un petit côté cupide, avec un soupçon d’avarice. Zéleph ne s’en cachait pas, c’était ce qu’il y avait au fond de chacun. De l’envie, du désir, c’était l’essence même de la vie. Du moins aux yeux du roi, il en était ainsi.
« Il parait que l’arbre qui en est le gardien habite ici, et j’ai dans l’idée de lui voler son trésor. »
C’était une drôle de façon de parler d’un simple fruit au fond, mais si la légende disait vrais, derrière son apparence si simple ce cachait le plus terrible des plaisirs. Vivre pour le plaisir devait être la seule motivation de l’homme. C’était la sienne a cette instant. Oubliant pour ce voyage qu’il était roi, qu’il avait des obligations, des choix a faires chaque jours toujours plus important. Ne compté que les désirs.
« Avez-vous entendu parler de ce mystère ? Cette légende a propos de cette forêt ? Je n’oserais imaginer quel plaisir cache cette pomme pour que son histoire ais traversé les âges, si longtemps. »
Il n’osait l’imaginer et pourtant si il pouvait il n’hésiterait pas une seconde. Zéleph avait décidé qu’aujourd’hui il oublier tout et ce consacré à sa quête, comme autre fois. C’était une forme de nostalgie de sa part, mais ce n’était pas négatif, au contraire, cela ressemblait à une pause plus qu’autre chose. Le problème du éprouvé était son sens de l’orientation inné et connue à travers tout le monde du Yin et du yang. Oui sa réputation le précédait car il avait l’habitude de se perdre même dans ses propres appartements. Pathologie ou simple déficience de la vision dans l’espace, cela était un réel handicap. Alors puise qu’il avait quelqu’un sous la main autant tenté sa chance.
« Vous venez souvent-ici ? »
Si elle connaissait cette forêt peut être pourrait-elle lui venir en aide, bien sûr il supposer que cela lui couterait quelque chose en échange. C’était toujours le cas, personne ne rendait un service par pure plaisir d’être aimable, non, où alors cette personne était un ange hors bien que sa beauté se rapproche de ces créatures divine, il ne pensait pas qu’elle en soit un.
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