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 La volière de mère-grand [quête avec Vivianne]=> Terminé

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Mar 17 Juil 2012, 21:21

Lysis marchait dans le parc. ELle était heureuse aujourd'hui. Elle avait réalisé à quel point il est bon d'avoir des proche avec qui parler et rire. Elle venait de réapprendre à vivre avec du monde. Elle avait vécu trop longtemps en Hermite seul dans un village détruit par le vent... par son vent. Lysis comptait savourer d'un peu de tranquilité. Elle avait couru un peu partout ces derniers temps pour combler sa soif de connaître. Elle regarda le parc avec ses yeux d'enfant. Il était bon de respirer un air pure et fraîche. Le matin était bien calme en cette magnifique journée ensoleillé. Il y avait rien dans le ciel qui présageait du mauvais temps. Lysis regarda et vit au loin un grand arbre. L'arbre était très ancien et l'écorce était en morceau. Lysis était une fille de nature. Elle trouvait l'arbre magnifique malgré sa vieillesse. Lysis se rendit d'un pas lent vers cet immense arbre. Elle comptait prendre un peu de repos à l'ombre de ce dernier. Lysis remarquit que Phoebus, étant assis sur son épaule, avait l'air bien triste. Lysis le regarda et lui présenta sa main. Ce dernier sauta dessus et se fit transporter jusqu'au visage de Lysis. L'élémental le regarda et dit d'une voix tendre:

- Qu'est-ce qu'il y a mon garçon? Tu t'ennuie?

Phoebus baissa la tête. Depuis qu'il avait été avec Lysis, il n'avait pas eu autant de liberté que dans le passé. Avant, il voyageait de région en région avec ses confrères. Depuis qu'il reste avec Lysis, il n'avait plus vraiment vu ses amis les oiseaux. Il était rendu un oiseau solitaire. Lysis fit un sourire au petit oiseau et lui dit avec un jolie sourire:

- Allez, va t'amuser un peu. Je vais rester ici! J'ai confiance en toi que tu m'abandonneras pas ainsi.

Phoebus était ravie. Il leva la tête et se frolla contre le visage de Lysis. Puis, il s'envola rapidement dans l'air pur du matin. Il virevoltait dans le vent et partie à l'aventure dans le ciel. Quand à Lysis, elle le regarda faire et ferma tranquillement ses yeux fatigués par les voyages.

Phoebus chantait bien fort pour que ses amis les oiseaux viennent le voir. Par contre, il attendait des réponse, mais les oiseaux ne venaient pas. Ils étaient nombreux pourtant. Phoebus continua de chanté, mais cette fois, il cherchait précisément la source. Il chanta encore et encore. Lysis ouvait même l'entendre au loin. Soudainement, Phoebus tomba devant une volière. Il regarda les oiseaux à l'intérieur. Ils étaient tous beaux et joyeux. Phoebus ne comprenait pas comment des oiseaux pouvaient être heureux enfermés de la sorte. Phoebus n'avait pas d'autre choix. Il devait aller chercher sa maîtresse. Il vola rapidement au point tel qu'il passa droit. Lysis sentit un courant d'air devant elle. Elle ouvrit un oeil et vit Phoebus un peu paniqué. Elle ouvra complètement ses yeux et leva la main. Phoebsu s'assis délicatement comme à son habitude. Il faisait des drôles de sons. Lysis avait rarement vu Phoebus dans un tel état. ELle lui demanda d'un ton naïf:

- Qu'est-ce qu'il y a Phoebus? Tu as vu un oiseau prédateur?

Phoebus fit non de la tête. L'Oiseau avait apprit la langue des hommes, mais pas celui de communiquer ce dialogue. Il savait dire oui ou non avec sa tête uniquement. Lysis continua:

- Alors, c'est que tu as vu quelqu'un de méchant voulant te faire du mal.

L'oiseau lui répondit non. Lysis se mit à réfléchir et dit:

- Tu as vu des animaux en danger?

Phoebus s'envola de sa main. Elle avait trouvé la bonne réponse selon Phoebus. Lysis se leva et ne prit pas de temps. Elle secoua un peu sa robe remplis d'écorce du vieux arbre et suiva d'une marche rapide son oiseau. Phoebus volait rapidement. S'il continuait ainsi, Lysis ne pourrait plus le suivre. Comme elle n'avait pas attaché sa cape au niveau des jambes, l'élémental avait de la misère à courir. Lysis devait utilisé ses pouvoirs pour le suivre. Elle projetta sous ses pieds un petit jet de vent. Cela lui permettait de faire des sauts beaucoup plus loin qu'à la normal. Les personnes qui marchaient dans le secteur voyait une femme faire des sauts en longueurs incroyables. Ces bonds sont plutôt inhumain, mais Lysis ne s'occupait pas de ce que le monde disait sur elle. Elle ne voulait juste pas perdre de vue son ami. Phoebus l'emmena au fin fond du parc. Lysis commençait à être fatiguée. Elle n'utilisait que rarement ses pouvoirs et le faire guider dans une zone précis la fatiguait encore plus. Lysis finissa sa course à la marche. Elle reprit tranquillement l'air qu'elle avait perdu. Lysis avait traversé complètement le parc pour voir ce que Phoebus avait vu.

Lysis n'en croyait pas ses yeux. Elle voyait une petit volière avec des oiseaux magnifiques. Ils étaient tous différent avec des couleurs vives. Phoebus trouvait cela outrageux de mettre des oiseaux dans des cages. Par contre, il aimerait bien faire un tour. Lysis s'approcha tranquillement de la porte et vit que la porte n'était pas verrouillée. ELle ouvrit tranquillement la porte. Quand Phoebus vit l'opportunité de rentrer, il vola à l'intérieur. Il alla rencontrer ses amis emprisonnés. Il alla parler avec eux d'un dialecte qu'elle ne comprenait nullement. ELle trouvait juste que le chant des oiseaux était magnifique. Elle contempla la volière d'un oeil d'enfant. ELle aimait les oiseaux plus que tout et le fais d'en voir de tous les couleurs, cela l'a réjouissait. Puis, elle entendit des voix d'enfants.

- Merci madame pour ses bonbons! Vous êtes la plus gentille des grand-maman!

Lysis se retourna et vit une vieille dame avec deux petits garçons. Il avait 2 grosses sucettes entre les mains. L'élémental doutait bien que la volière était à la vieille dame devant elle. Elle n'avait pas encore vu son visage, mais elle semblait bien sympathique. Lysis laissa Phoebus s'amuser avec les autres oiseaux. Elle s'approcha tranquillement de la vieille dame et lui dit d'un ton doux:

- Bonjour chère dame! Je voulais vous dire que je trouve votre volière d'une beauté immaculée.
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Mer 18 Juil 2012, 04:28


PNJ-ANITA

La volière de mère-grand [quête avec Vivianne]=> Terminé Oldladyvictrolacolor



Anita sourit de toutes ces dents aux deux petits garçons, ils étaient si mignons dans leur salopette identique. Cela lui rappelait sans cesse ces propres petits fils, ils étaient tous deux blonds…malheureusement, un grave accident avait eut lieu tuant sa fille unique et ses deux jolis garçon, Anita était veuve depuis maintenant 10 ans. Cela peu sembler une triste histoire, douloureuse, noir, mais Anita n’était pas le genre de femme à ce laisser abattre, malgré son âge avancée, elle avait toujours aussi goût à la vie.

Après le tragique accident, elle se promit de réaliser le rêve de sa fille. Elle qui aimait tant les animaux, tout particulièrement les oiseaux. Elle en rapportait toujours à la maison, des blessés, des mourants. Lucie avait un grand cœur et sa bonté avait touchée par plus d’une fois sa mère. Elle avait commencé à soignée les petites créatures ailées afin de voir poindre sur le minois chagrinée de sa chère enfant, un sourire. Ils ne gardaient jamais bien longtemps les oiseaux après leur convalescence, la nature était leur domaine.

Mais Lucie avait comme rêve de leur créer un magnifique univers rien que pour eux et plus proche, afin qu’elle puisse les admirée à loisir. Car Lucie était handicapée physiquement, elle n’avait pas le loisir de courir dans les champs après ces volatiles. Et donc, afin de combler le cœur de sa chère fille, Anita avait ramené un beau jour un ravissant petit canari jaune.

Suite à la mort de sa famille, le canarie dépéri et mourut, se sentant bien seule, Anita commença à ramasser les oiselets tomber du nid et délaisser, soigner les blesser ou recueillir les oiseaux déserteurs. Au bout du compte, elle en avait maintenant une centaine. Tous colorés et pimpants de vie. La volière était une gigantesque cage au barreau d’argent, si grande qu’un vrai petit arbre s’y était établit, ses branches se glissant par les fentes. Ses oiseaux étaient heureux. Et la porte de la volière était ouverte en permanence, mais jamais ces petits amis ne partait, ils aimaient sa compagnie tout comme elle les aimait.

Anita entendit alors une voix douce de jeune fille. Elle se tourna vers elle. Une très belle jeune femme en fait, plus âgée que la plupart de ceux qui lui rendait visite. Normalement c’étaient les enfants qui venaient lui tenir compagnie. Elle appréciait néanmoins la compagnie d’adulte, pour discuter, mais peu venait où ceux qui venaient tentait de lui soutirer quelques secrets…

-Oh, mais merci jeune demoiselle. Vous voudriez la voir de plus près?

Sans attendre sa réponse la vielle dame trottina vers la porte et y tendit un bras, rapidement un petit geai bleu vient si posé.

-Allez, n’ai pas peur mon p’tit, vient…j’ai si rarement la visite d’une grande dame. Tu aimes le thé n’est-ce pas, bien sûr, bien sûr.


Comme se parlant à elle-même la femme disparut à l’intérieur laissant la jeune fille sur la terrasse. Elle alla mettre de l’eau à bouillir et revint le geai toujours sur son bras.

-Oh, quel hôte je fais assaillez-vous ma chère.

La vielle dame s’assit sur un long divan sur la terrasse tapotant la place à ces côté. Son visage parcheminé dégageait une douce odeur de crème et de lavande. Ses petits yeux verts pétillaient de malice et de douceurs. Elle parlait vite, son discours semblait parfois décousu, mais elle était d’une grande gentillesse. Et pour une fois elle pourrait converser avec quelqu’un plus que pour de simples bonbons.

-Alors, comment-tu t’appelle?
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Mer 18 Juil 2012, 16:08

Lysis regarda la vieille dame toute excitée. Elle était très contente. Anita pouvait enfin invité quelqu'un à parler et boire du thé. Lysis aimait côtoyer les personnes âgées. Elle avait beaucoup eu d'attachement avec des personnes du troisième âge dont son vieux magicien. La dame devait avoir l'âge similaire à son vieux magicien. Lysis fit un beau sourire. Elle avait l'air si gentille, mais elle devait avoir une histoire merveilleuse derrière son grand âge. Lysis la regarda marcher avec son geai bleu. Il était magnifique. Son plumage était éblouissant. On pouvait voir que les oiseaux étaient bien soignés dans ce lieu. Lysis remarqua que la porte qu'elle venait de traverser était toujours ouvert. Les enfants ne l'avaient pas fermé derrière eux, mais les oiseaux ne sortaient pas de la volière. Ils aimaient l'environnement au point tel que l'extérieur était rendu fade à leur yeux. Lysis vit disparaître la vieille dame à l'intérieur pour faire bouillir le thé. Lysis en profita pour regarder les oiseaux voler. Elle ne voyait pas Phoebus. Elle ne voulait pas le perdre, mais elle avait l'impression qu'il n'était pas loin. Puis, elle entendit le champ unique de Phoebus. Il était aux anges. Il virevoltait dans tous les sens et était heureux. Il avait de nouveau ami. Lysis, en voyant une telle scène, se demanda s'il serait pas mieux ici. Il aurait plein d'attention, de bonnes nourriture que Lysis à parfois de la difficulté à donner et plein d'amis. Lysis devait réfléchir sérieusement à l'avenir de son oiseau. Soudainement, la vieille dame réapparu. Lysis étant toujours debout fut invité à s'asseoir. La vieille dame faisait un signe de la main typique aux humains; elle tapait l'endroit où elle voulait voir Lysis s'asseoir. Lysis s'approcha et prit la place qui lui était destiné. Lysis regarda la vieille dame lui poser une question. Avec une dame de ce style, il lui fallait bien lui répondre:

- Je me nomme Lysis Ventus. Je passais dans le coin et mon oiseau m'a amené jusqu'à vous. Je m'excuse de ne pas vous l'avoir présenté plus tôt. Il est parti s'amuser avec vos protégés.

Lysis regarda dans les airs et ne le voyait toujours pas. Elle allait prendre une vieille technique qu'elle avait longtemps pas utilisée. Elle mit pouce et son majeur collés ensemble et se les met dans la bouche. Un sifflement puissant sortie de sa bouche. Phoebus, dès qu'il entendu ce son, arrêta de voler dans la direction qu'il allait et commença à descendre. Ce signal signifiait que sa maîtresse avait besoin d'elle. Phoebus plana tranquillement vers les deux individus qui était assis sur un grand divan. Lysis leva la main et Phoebus fit un atterrissage parfait. Suite au retour à Phoebus, elle regarda la vieille dame et dit d'une voix douce:

- Je vous présente Phoebus. Il est un oiseau que j'ai guéri dans le passé et qui me suis partout désormais.

Phoebus regarda Lysis. Elle lui fit signe de la tête d'aller se présenter convenablement à la vieille dame. Phoebus s'envola pour aller sur les jambes de mère-grand. Rendu sur elle, il l'a regarda et descendit la tête. Il fait un geste de révérence. Lysis avait pris plaisir dans son temps perdu à lui montrer des petits techniques bidons, mais tellement amusant. Puis, Lysis Ventus fit un clin d'oeil à son ami. Ce dernier la vit et savait ce qu'elle voulait. Il commença à siffloter d'un son doux et merveilleux. Il faisait la court à la vieille dame. Lysis trouvait ça bien drôle, mais elle lui fit qu'un sourire. Elle regarda dans sa poche et mit une petite baie sur ses jambes à elle. Phoebus regarda la baie et sauta pour s'y rendre. Il adore les baies. Elle commençait à le connaître depuis 5 ans. Lysis regarda la vieille dame et lui dit d'une voix douce:

- Vous, chère madame, comment vous appelez vous?
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Mer 18 Juil 2012, 17:54

Anita regarda la jeune fille les yeux pétillant, elle lui parla de son oiseau, elle l’avait déjà remarqué. Avec les années et malgré les centaines d’oiseaux qu’elle possédait, la vielle dame les reconnaissait tous et ce petit nouveau tout fringuant avait attiré son œil dès le premier instant. Son invitée lui proposa de lui présenter, Anita tapa dans ses mains saluant l’idée. Un magnifique petit oiseau vint virevolter jusqu’à sa maîtresse reconnaissant sa voix. Des oiseaux bien dressé il y en avait peu, surtout des oiseaux qui aimaient leur maître. Étant en liberté en permanence, c’était encore plus impressionnant qu’il lui reste aussi fidèle. La vielle dame sourit à la jeune fille attendrit. Elle lui rappelait sa Lucie avec sa douceur enfantine.

Elle lui dit qu'elle guérit et que depuis il lui était fidèle, une lueur triste anima un instant les yeux bleus d’Anita. Ce genre de visite, elle l’avait attendu longtemps, quelqu’un qui lui rappelait sa chère fille. C’était si agréable…L’oiseau vint alors se poser sur ses genoux la saluant avant de lui chanter la sérénade. Anita gloussa comme une jeune fille couvrant sa bouche d’une main.

-Quel charmant jeune homme, je suis un peu vielle pour vous néanmoins.

Dit-elle à la blague caressant le dessue de sa tête avec son doigts. Elle entendit la bouilloire qui commençait à siffler.

-Je me nomme Anita, enchantée de faire vôtre connaissance jeune demoiselle.


Dit-elle avec un large sourire. Puis elle déposa un plat de bonbon sur la table sans pour autant en proposer. C’était un petit test à elle. Tester la pureté de ceux qui venait lui parler. Ces bonbons magiques envoyaient le désir autour d’eux d’être mangé. Elle utilisait ce test afin de savoir si ces invités étaient capable de résister à l’envi, Anita n’était pas méchante, seulement prévenante. Elle quitta la terrasse allant préparer le thé laissant la jeune fille un long moment seule avec les dits bonbons.

Quand elle revint elle s’assit donnant une jolie tasse fleurit à la Lysis.

-Voilà ma chère. Je dois avouer que vous m’impressionnez, avoir aussi bien dressé vôtre petit compagnon c’est un exploit, bien peu de gens se soucis de soigner les oiseaux, ils les croient perdu, mais ils n’en reviennent que plus fort n’est-ce pas mon petit.

Dit-elle ayant ramassé dans sa cuisine de petits gâteaux qu’elle fabriquait spécialement pour les oiseaux.

-Dites jeune fille, pourriez-vous me rendre un petit service, mon vieux dos me fait souffrir, pourriez-vous aller me chercher un cousin à l’intérieure?

Demanda-t-elle avec une grande gentillesse. Elle attendit qu’elle se lève pour vérifier si elel avait touché aux bonbons…
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Mer 18 Juil 2012, 21:38

Lysis regarda la vieille dame être tout excité en voyant l'oiseau lui faire la court. L'élémental trouvait cela très drôle. Malgré que l'âge avait vieillie sa peau, elle avait un coeur vivant et toujours enjoué avec les petits bonheurs. Lysis trouvait ça très drôle à voir. Puis, elle mit un plat de bonbons sur la table. Elle ne savait même pas de où elle les sortait. Il avait tellement l'air bon. Il était dans des petits enveloppes colorées. Il donnait un certain plaisir du regard. Lysis les regarda un peu, mais observa la vieille dame partir voir la bouilloire. Elle était maintenant seule. Pas complètement seule, car il y avait ce plat de bonbons ensorcelés. Il appelait Lysis à l'intérieur d'elle. Elle avait rarement eu l'occasion de manger des bonbnos dans sa vie. Sa mère était contre le fait de manger des bonbons. Elle disait que ça donnait des carries. Lysis détourna son regard. Elle n'avait pas le droit d'en prendre un, car elle ne lui avait pas permis. Lysis connaissait les principes de politesse. Si on ne se fait proposé dans prendre, il est fortement interdit d'en prendre un. Phoebus regarda lui aussi les bonbons, mais lui il trouvait que un ne ferait pas de mal. Phoebus s'approcha du plat tranquillement en sautillant. Lysis se retourna la tête assez rapidement pour attraper l'oiseau. Il était à un poil d'en prendre un avec son bec. Il n'aurait sûrement pas été capable de le manger vu qu'il est trop gros pour lui, mais elle avait eu peur quand mère. Quand elle attendit la vieille dame arrivée, elle projeta Phoebus dans les air. Ce dernier s'envola instantanément. La vieille dame revint avec des tasses fleuries remplies de thé. Elle en offra un à Lysis et un dessert à Phoebus. Il revient rapidement sur la table. Il hésita un peu et commença à le goûter. Il devint toute suite accro. Il le picora sans arrêt. Lysis se réjouissait de voir son ami être aussi heureux de manger et aussi, d'être complimenté sur l'éducation de Phoebus. Lysis regarda la vieille dame et lui dit:

- Il est très futé cet oiseau. Il m'a été un grand secoure par moment dans ma vie. Il sait très bien quand le monde ne va pas bien. Il m'a redonné le goût de vivre que parfois j'avais perdu. À vrai dire, nous sommes rendu plus fort mutuellement. Il pourrait très bien partir maintenant, mais il sait que j'ai toujours besoin de lui.

Puis, la vieille dame lui demanda un service. Elle avait besoin d'une oreiller. Lysis se leva tranquillement et dit d'une douce voix:

- Je veux bien vous rendre service madame.

Lysis se leva et marcha d'un pas normal vers la demeure de la vieille dame. Elle rentra et enleva ses souliers pour ne pas salir le planché de madame. Puis, elle remarqua que ces vitres était sales. Elle prenait tellement soin de ses oiseaux qu'elle n'avait pas prit soin de ces fenêtres. Lysis prit le coussin qui était sur la chaise principale de la cuisine et revint à la porte. Elle remit ses souliers et emporta le coussin à madame Anita. Lysis lui dit en s'approcha d'elle:

-Puis-je vous l'installer confortablement?

Lysis n'attendait pas la réponse qu'elle le tapota et le mit dans le dos à madame Anita. Elle lui continua ensuite de parler:

- Madame, j'aimerais vous remercier de vos gestes de tous les jours. J'ai remarqué que vous aviez un grand coeur en acceptant que le monde vient vous voir avec toujours ce grand sourire. J'aimerais vous rendre service pour vous remercier de votre générosité.

Lysis se doutait bien qu'elle devait avoir quelques rhumatismes et qu'avec le soin de ses amis les oiseaux, elle n'avait pas beaucoup de temps pour prendre soin de ses biens personnels. Elle serait honorée de lui rendre service. Lysis a toujours été le genre de fille à aider le monde sans rien demander en échange. Elle veut juste rendre un peu de bien au monde qu'elle côtoie.
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Mer 18 Juil 2012, 22:22

La dame fut soulager qu’elle ne succombe pas à la tentation. Beaucoup en chipait sans le lui dire. Certains avouaient leurs méfaits et elle leur pardonnait, mais cette fois aucun bonbon ne manquait. Elle gloussa de plaisir. Enfin une bonne personne, gentille et serviable qui plus ait. Elle revint avec le cousin et le lui plaça, la vielle dame ferma les yeux se callant confortablement.

Sans même qu’elle le lui propose, Lysis demanda à Anita si elle pouvait faire quoi que ce soit. Elle sourit hochant la tête.

-Quelle gentillesse ma chère, si seulement la moitié des gens étaient comme toi, le monde serait bien moins noir.

Dit-elle devant elle, la vielle dame se remémora alors les paroles de la jeune fille plus tôt. Elle lui indiqua dans le coin de la terrasse un grand bac d’eau savonneuse avec une brosse pour la cage.

-Tu pourrais brosser la cage, les oiseaux ont de la difficulté à ce poser sur les barreaux quand ils sont trop sales, j’ai bien voulut le faire moi-même, mais mon dos c’est coincé du coup je ne suis bonne à rien.

Quand la jeune fille empoigna la brosse elle se mit à se balancer elle-même.

-Les oiseaux sont des créatures magnifiques. Bien plus affectueux qu’on le croit. Ma petite Lucie aimait beaucoup les oiseaux….elle avait un superbe canari, il la suivait partout, c’était son meilleure ami, même sous la douche il l’accompagnait.

Anita éclata d’un rire doux et à la fois lourd de souvenirs. Elle semblait parler seule comme pour elle-même. Cette enfant ressemblait trop à Lucie. Anita glissa sa main dans sa poche serrant un petit morceau de tissu. Peut-être était-ce un signe, aujourd’hui Lucie aurait eu 35 ans…

Était-ce la volonté de sa fille qu’elle le lui offre en cadeau? Peut-être, mais avant elle devait être sûr que c’était Lucie qui avait mené Phébus et sa jeune maîtresse jusqu’ici. Elle la testerait donc, comme Lucie aimait bien tester ces amies avec des devinettes. Elle lui en lancerait quelques unes pendant qu’elle ferrait ces tâches ainsi elle aurait le temps de réfléchir. Anita sourit, c’était une gentille grand-mère et elle adorait toujours autant jouer
.
-Mieux que dieu, Pire que le diable, Les pauvres en ont, Les riches en ont besoin, Si on en mange, on meurt qui suis-je?

Demanda-t-elle regardant la jeune fille avec une lueur amusé dans les yeux.
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Mer 18 Juil 2012, 23:14

Lysis regarda le sceau en question. Il avait l'air d'être là pour elle. Lysis fit signe de la tête pour remercier que l'eau soit déjà fait. Elle avait pas une ouïe extraordinaire, mais elle avait une bonne audition. Lysis joua dans l'eau pour ramasser la brosse et aussi, pour enlever la saletés sur ses mains. Elle ne les avait pas lavé depuis son arriver dans le parc. Elle avait touché à plein de choses qui n'est pas toujours propre. Lysis ventus, la brosse à la main, prit son envole en frottant de plus belle les barreaux sales. Les oiseaux étaient de magnifiques oiseaux, mais il devait être des excréments qui parfois atteignait les barreaux. Par ailleurs, la cage avait subit le vent qui emportait la saleté avec lui. Elle en avait beaucoup à faire, mais elle tenait le faire correctement. Lysis avait une détermination dans ce genre de tâche. Elle frotta très fort et rigoureusement. Elle se demandait bien comment une vieille dame pouvait faire une telle chose. Est-ce que personne venait l'aider? Il y avait juste des profiteurs qui venait manger ses friandises et de son thé? Lysis avait la certitude que l'homme n'est pas complètement mauvais, mais il a tendance à profiter des occasions gratuites. Puis, elle entendit une devinettes.

*Mieux que dieu, Pire que le diable, Les pauvres en ont, Les riches en ont besoin, Si on en mange, on meurt qui suis-je?... Oulala! Je suis tellement nulle dans les devinettes. Tout le monde riait de moi dans le passé... Bon, je dois réussir cela...*

Lysis avait vécu dans un petit village avec des villageois tous gentils , mais qui aimait bien s'amuser. Quand il faisait la blague du toc toc, Lysis répondait c'est qui? Elle ne jouait pas la comédie. Elle pensait vraiment que c'était quelqu'un qui cognait réellement. Lysis ne voulait pas perdre cette fois. Elle pensa au point tel qu'elle en avait presque mal à la tête. Puis, elle trouva la réponse:

- Il s'agit de rien. Rien est mieux que dieu, rien est pire que le Diabile, rien ont les pauvres, rles riches ont rien besoin et si on mange rien, on meurt de faim!

Lysis était contente d'avoir trouvé la réponse. Elle ne pensait jamais le trouvé. L'élémental avait peut-être changé avec le temps. Lysis arrêta deux secondes de frotter les barreaux et dit à la vieille dame:

- C'est à mon tour maintenant! Qu'est-ce qui a 4 pattes, puis, 2 pattes et enfin, 3 pattes?

Lysis ne savait que cette devinette. Le vieux magicien lui avait raconté dans le passé et elle en avait garder souvenir. Elle retourna frotter ses barreaux. de plus belle. Elle était rendu à moitié de la tâche. Elle était fière. Elle avait chaud, mais rien d'improtant. Phoebus s'installa sur les barreaux propres et regarda sa maîtresse travailler. Lui, il était chanceux il avait la belle vie contrairement à Lysis. Phoebus, déterminé, prit une feuille qui alla tremper dans l'eau et commença à frotter le haut des barreaux. Là où Lysis avait de la difficulté à ce rendre. Lysis avait adopté un drôle d'oiseau. Lysis prit une légère pause pour prendre une gorgée de thé. Cela lui fit un bien fou. Lysis regarda la vieille dame et sentit un peu de peine. Elle n'aurait jamais l'occasion de s'occuper de sa mère de la sorte. Elle l'avait perdu durant sa folie de son adolescence. Lysis se sentait bien démunie sans famille maintenant. Lysis fit un beau courire à la vieille dame et dit d'un ton moqueur:

- J'aurais bien aimé que ma mère soit comme vous, Madame!

Elle déposa la tasse et alla frotter les derniers barreaux qui lui restait. Elle ne comptait pas resté avec seulement cela de fait. Elle voulait faire beaucoup plus. que ça. Dans son enfance, elle passait toute sa journée à nettoyer la maison du vieux magicien. Le fait de laver ce lieu lui faisait vraiment chaud au coeur. Lysis venait de terminer et rejoint le divan de la vieille dame, sceau à la main. Lysis le déposa et dit avec un beau sourire:

- Est-ce que je peux faire quelque chose d'autre pour vous?
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Jeu 19 Juil 2012, 03:40

La vielle Anita la regarda travailler avec un sourire, aucune malice dans cette jeune fille, aucun soupir exaspérée, aucun coup d’œil…peut-être ne savait-elle pas ce qu’elle connaissait, après tout elle n’avait pas regardé partout à la recherches des dites reliques. La vielle dame se dandina d’aise sur son fauteuil. Lysis sembla réfléchir un moment à l’énigme visiblement concentrée. Mais elle eut la réponse juste. Anita tapa frivolement dans ses mains.

-Bravo ma chère, vous êtes la première à la réussir, disons que les jeunes enfants qui viennent ici n’ont pas nécessairement l’esprit si vif.

Dit-elle en rigolant derrière sa main. Elle avait de jolis ongles entretenus. C’est qu’elle avait de l’esprit cette jeune fille, sitôt répondu qu’elle lui lançait à son tour une nouvelle. Elle ricana amusée, elle la connaissait bien celle là.

-C’est l’humain, 4 pattes quand il est bébé, 2 pattes adultes et 3 pattes pour la canne, mais pour moi ce sera encore quatre car j’ai une marchette.

Dit-elle en rigolant. La jeune fille continua de tout frotter si bien que rapidement le soleil vint plomber faisant miroiter la cage de reflet dorée splendide qui jouait sur les ailes multicolores de ses habitants. Anita ferma les yeux appréciant le soleil qui réchauffait sa vielle peau fripée. Quand la jeune femme parla qu’elle aurait voulut avoir une mère comme elle son cœur fondit. La vielle dame avait un regard triste et pourtant un doux sourire résigné planait sur ses lèvres.

-J’ai déjà eu une petite fille, Lucie, aussi adorable que vous et elle adorait tout autant les oiseaux, c’est elle qui m’a donné ma passion. Chacun de ses petits volatiles me rappelle ma Lucie, magnifique et libre, avec une voix de rossignol.

Une fois terminé le ménage, Lysis proposa son aide pour d’autres tâches, Antia réfléchit pour le moment il y avait bien quelque chose qui lui tenait à cœur, elle le garderait pour un peu plus tard, après sa devinette.

-Je commence la nuit, je finis le matin, je suis dans l'étang, je suis dans le jardin et je passe 2 fois dans l'année, qui suis-je ?

Dit-elle un peu rêveuse. Et comme si elle n’avait jamais fait mention de l’énigme elle enchaîna afin de lui laisser le loisir d’y réfléchir plus tard.

-Si vous avez l’après midi j’ai en effet plusieurs petits choses qui pourraient m’aider…mais avant j’ai une très grande demande.

Elle se leva trottinant vers elle pressant la délicate main entre els siennes son regard doux posé sur elle.

-Pourriez-vous chanter pour moi mon enfant, pour me rappeler ma petite Lucie?

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Jeu 19 Juil 2012, 04:37

Lysis regarda la vieille dame. Elle avait l'air si soudainement triste. Elle lui rappelait ça petite fille. Cela doit être douloureux pour une dame solitaire comme elle. Elle semblait très proche de sa fille pour avoir garder sa passion. Cette Lucie semblait avoir le coeur sur la main. Sa mère méritait un prix. Elle honorait sa fille comme Lysis voudrait honorer sa mère. Par contre, elle n'avait que très peu de souvenirs de sa mère. Puis, une devinette fut envoyé. La vieille dame prenait plaisir à user le cerveau de la pauvre Lysis. Elle prenait aussi plaisir à la voir chercher autant on dirait. Lysis Ventus commençait à penser, mais elle n'avait même pas eu le temps de penser qu'elle eu une demande. Elle voulait une chanson. Lysis avait une voix de rêve dans le passé, mais elle avait grandit depuis ce temps et avait vécu multiples situations qui la troublait en permanence. Lysis avait appris qu'il faut chanter avec le coeur et son coeur était noircit depuis le jour de la tuerie. Par contre, Lysis regarda les yeux de la dame. Ils étaient pétillants. Elle voyait toute l'espoir de revoir sa fille que pour un instant. Un instant d'évasion qui la rendrait plus que heureuse. Lysis ne pouvait pas dire non. Cependant, elle devait boire un peu pour hydrater sa gorge. Elle dit avec un beau sourire:

- Je peux bien essayer madame, mais laisser moi deux secondes. Je dois boire un peu.

Lysis prit sa tasse fleurie et commença à la boire d'un rythme constant. Elle était désormais stressée. Est-ce que ça voix avait changé depuis ce jour? Lysis voulait tenter sa chance. Phoebus arriva devant elle. Lysis le regarda avec des yeux un peu inquiets. Phoebus vint se frôler contre sa maîtresse. Il voulait l'encourager un peu. Lysis le caressa un peu sous la gorge et lui dit d'une voix douce, mais faible.



- Merci mon ami!


Lysis regarda la vieille dame et prit son air. Elle ne voulait pas paraître stressée. Puis, la musique sortie de sa bouche...



La voix de Lysis était féérique. La musique amenait le vent à suivre la cadence. Une douce brise flottait dans la volière. Il s'agissait du pouvoir de Lysis qui se libérait tout seul, mais pour une fois, ce vent n'avait rien de méchant. Il était doux et réconfortant. La vent alla caresser la vieille peau d'Anita et ensuite, il alla dans les branches. Les oiseaux qui volaient son tour ont tous arrêté de voler et regardait la scène. Lysis avait les mains ouverte dont l'une vers le ciel. ELle garda les yeux fermées pour rester la plus calme possible.

Quand la chanson fut terminé, Lysis se sentait bien. Elle avait remarqué que sa voix était toujours aussi magnifique même avec le temps. Puis, la réponse de la devinette lui vint à l'esprit. Elle fit un beau sourire et dit à Anita:

- La réponse à votre devinette est la lettre N.

Elle espérait avoir fait plaisir à la vieille dame.
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Jeu 19 Juil 2012, 16:31

Anita lâcha la main de la jeune fille reculant pour l’écouter, joignant ses main ensemble avec un mince sourire sur ses lèvres. Elle attendit qu’elle se sente prête à chanter. Aussitôt qu’elle commença, la vielle dame cru sentir le vent se lever, un vent doux, enveloppant et réconfortant qui semblait la caresser. Alors Anita ferma les yeux s’imaginant que ce vent c’était sa Lucie qui dansait avec et autour d’elle. Sa toute petite Lucie, sa Lucie maman et rayonnante…C’était si doux, si mélodieux qu’il fallut un moment à Anita pour comprendre que ce champs féerique venait de sa jeune invité. Cela l’empoignait au cœur. C’était si beau, si profond et une touche de tristesse rendant ce chant encore plus inaccessible par le commun des mortels.

Pour la première fois depuis le décès de sa fille et de ses petits fils, elle se mit à chanter et malgré sa vox brisé par le temps, elle chantait divinement bien, un chant du à une souffrance passé. Elle accorda sa voix à celle de Lysis, la jeunesse et l’âge, tout deux réunit dans un chant commun. C’était si beau que plusieurs passants s’arrêtèrent, émus par la douceur des voix qui s’élevait de chez Anita. Ceux qui la connaissaient savaient qu’elle n’avait pas chanté depuis très longtemps.

Quand elle eut finit Lysis sourit avant de lui donner la réponse à sa deuxième énigme, mais Anita en cet instant s’en fichait un peu plus qu’à l’accoutumé, ce chant l’avait vraiment touché au plus profond de son être. Ses yeux luisaient de larmes et sa lèvre inférieure tremblait d’émotion.

-Si tu savais quel cadeau tu viens de me faire ma petite, tu as fait revivre ma Lucie, pas le souvenir pâle et fade de Lucie, mais Lucie dans toute sa beauté et sa douceur. Ta voix est celle des anges ma chère, un don du ciel pour guérir de la peur et de la douleur. Merci mille fois.

La vielle dame s’essuya les yeux avec un mouchoir. Elle se dirigea vers la porte d’entrée.

-Je vais préparer des cookies. Si tu veux tu pourrais ramasser les feuilles qui traînent sur le gazon le râteau est juste là.

Dit-elle l’indiquant à côté de la volière. Avant de se retirée elle lui lança une autre devinette.

- Un père et un fils ont à eux deux 36 ans. Sachant que le père a 30 ans de plus que le fils, quel âge a le fils ?

Elle sourit disparaissant dans la cuisine allé faire ces cookies et aussi se remettre de ses émotions, elle ressortit 10 minutes plus tard, les cookies enfournés.
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Jeu 19 Juil 2012, 18:37

Lysis, après avoir terminé de chanter sa chanson, remarqua que les yeux de la vieille dame était remplis de larmes. Elle avait chanté elle aussi. Elle l'avait entendu. Lysis était ravie de faire le bonheur d'une vieille dame. Elle n'aimait pas voir le monde pleurer par contre. Lysis se réconforta en disant que c'étais des larmes de joie et non de peine. Puis, elle eu une demande. La demande était simple. Elle pourrait faire tout simplement un peu de vent pour les ramasser. Par contre, Lysis tenait à ne pas utiliser ses pouvoirs pour un rien. Elle pouvait facilement le faire à main comme dans le bon vieux temps. Elle alla prendre le vieux râteau de la dame. Il n'avait plus toute sa splendeur, mais il semblait faire l'affaire. Lysis le prit et remarqua ensuite qu'il y avait du monde qui la regardait. Ils attendaient un rappel. Puis, Lysis se sentait mal. Elle fit signe de non de la tête. Les personnes passantes n'ont pas eu d'autre choix que d'accepter son choix. Ils étaient, cependant, à la félicité. Il y eu des applaudissements qui retentir de l'extérieur. Lysis Ventus n'était pas du genre à être gênée, mais cette fois, elle a rougie. Lysis fit les salutations pour remercier le monde à l'extérieur. Lysis se demandait réellement pourquoi il tenait tant à la remercier. Est-ce qu'elle avait bien chanté ou est-ce qu'elle a plutôt réveillé une Anita que le monde convoitait depuis longtemps? Lysis l'ignorait, mais elle le prenait personne. Puis, elle commença à travailler de façon ardue. Phoebus ramassait lui aussi des feuilles, mais ceux qui était coincé dans les bras. Il les tirait à terre pour que Lysis les ramasse avec son râteau. Lysis travaillait vite, mais de façon impeccable. Par contre, elle ne savait pas trop où mettre les feuilles mortes. Puis, elle vit un gros sac de tissus. Elle ne voulait pas paraître indiscrète, mais elle jeta un coup d'oeil. Bingo! Il s'agissait d'un sac avec desvieilles feuilles mortes à l'intérieur. Lysis prit son râteau et commença à prendre des grande pelleter de feuille et l'introduire dans le sac de tissu. Elle espérait pas faire de gaffe. Si oui, elle le viderait au plus vite. Quand elle eu fini, Lysis sentit la douce odeur de biscuits. Il sentait aussi bon que ceux de son enfance. Sa mère n'était pas une grande cuisinière, mais il y avait une bonne cuisinière dans son village qui réalisait des biscuits à faire rêvé. ELle en faisait tous les jeudi et si Lysis lavait son planché, elle méritait toujours un de ces déliceux biscuits. Lysis avait l'eau à la bouche. Suite à cela, elle déposa le râteau à sa place et vit la vieille dame revenir. ELle alla à ses côtés et lui montra son bras:

- Je peux vous guider vers votre place madame?

Lysis faisait comme tout bon gentleman fait, mais elle était une fille. Elle voulait juste faire rire encore un peu la vieille dame. Puis, rendu au divan. Elle lui dit d'une voix tout à fait enjoué:

- Vous me ménagez avec vos devinettes Madame. La réponse est 3 ans. Si j'aurais dit 6 le calcule n'aurait plus été aussi bon.

Puis, Lysis regarda encore un peu la volière et dit à Anita:

- Est-ce qu'il y a des personnes qui viennent vous aider parfois?
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Jeu 19 Juil 2012, 19:48

La vielle dame ce laissa guidée jusqu’à sa place, cette jeune fille était vraiment polie et bien élevée, avenante… Elle répondit de nouveau bien à la devinette ce qui fit largement sourire la dame. Elle était la seule à avoir bien répondu à toute.

-Oh, mais tu t’en tires très bien ma chérie, tu as vraiment un bon jugement et un bon sens logique, il ne me reste que deux devinettes promis, si tu les réussis aussi, j’aurais un petit quelque chose pour toi.

Dit-elle avec un sourire espiègle sa main venant toucher le morceau de tissu dans sa poche. Oui…elle voulait lui en faire cadeau, c’était un signe…Lucie lui avait envoyé ce petit rayon de soleil pour lui rappeler qu’elle veille sur elle d’en haut. Qu’elle reste son ange gardien et protecteur, si Lucie avait pu être là, elle lui aurait donné ce cadeau aussi. Anita ne se sentait pas mal de se départir d ce bien, ce serait un magnifique cadeau.
Les devinettes n’était qu’un moyen d’agrémenté un peu les choses, de l’amusée, elle adorait à l’époque ce genre de chose. Lysis demanda alors si beaucoup de gens venait la visiter. Elle ferma les yeux semblant réfléchir.

-Oh, quelques uns, surtout de jeunes enfants…mes oiseaux les font sourires et puis, une grand-mère à bien besoin de testeur pour ces petits bonbons et gâteau non? Parlant de gâteau, j’espère que vous avez un peu de place pour mes cookies aux noisettes et chocolats, ils sont encore tous chaud.

Dit-elle s’éloignant déjà avant de revenir ave une platés fumantes de délicieux biscuits dorés à point. Anita était la reine des friandises. Elle posa le plateau sur la petite table en verre où se trouvaient les tasses de thé.

-Des spécialistes retrouvent deux individus morts, congelée, leur corps est donc identique à celui qu’ils avaient étant vivants. En observant juste un détail, ils deviennent certains qu'ils sont en présence d'Adam et Eve. Quel est ce détail ?

Demanda la dame avec un large sourire avant de prendre un biscuit dans ses doigt et d’y croquer.
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Jeu 19 Juil 2012, 20:30

Lysis avait un beau sourire. Elle était là pour rendre compagnie à une vieille dame qui semblait si seul. Phoebus ne l'avait pas amené là pour rien. Il avait vu des oiseaux dans une cage, mais ce n'était sûrement pas pour cette raison qu'il est venu la chercher. Il a du pressentir qu'il y avait quelqu'un en détresse. Il est possible que la détresse n'était pas énorme, mais suffisamment pour que Phoebus le sent. Puis, elle écouta la dame. Il y avait de la jeune visite, mais pas beaucoup d'adulte. C'est cela qu'elle croyait. Il n'y avait aucun adulte pour l'aider à entretenir sa belle volière. Lysis se devait l'aider et ne pas la laisser dans un tel état. Le parc était une magnifique place. Elle pourrait facilement revenir la voir. Elle pourrait lui donner quelques coups de mains. Lysis fit un beau sourire et vit la vieille dame chercher ses biscuits. Lysis siffla son oiseau. Phoebus revint avec élégance. Elle voyait à quel point il était heureux. Il chantait comme il chantait rarement avec elle. Lysis se demandait si elle faisait une bonne chose pour son ami l'oiseau. Puis, la vieille dame revint avec les biscuits toutes chauds. Il sentait bon. Elle en salivait juste à l'idée dans prendre un. Elle n'avait pas eu d'invitation formelle pour les biscuits. Elle ne savait pas si elle devait en prendre un ou non. Lysis fit une petite demande à la vieille dame:

- Puis-je vous prendre un biscuit?

Lysis attendait la réponse, mais Phoebus alla en pigosser un. Lysis trouvait ça mal poli de sa part. Par contre, il est un oiseau. On ne peut pas lui faire de reproche. Lysis le gronda un peu:

- Phoebus, on ne doit pas prendre des biscuits sans avoir la permission! Allez, va faire tes excuses à la madame.

Phoebus se sentait un peu mal. Il sauta jusqu'à la dame et fit signe de révérence. Il ne voulait pas mal paraître, mais il ne comprenait pas toujours les normes humaines. Suite à cela, Lysis dit avec un air plus naturel à la dame:

- Madame, j'ai remarqué que vous avez peu de visite de personnes adultes. J'aimerais revenir dans le futur pour vous aidez à entretenir cette volière. Je ne veux rien en retour. Je veux juste votre bonheur. Je sais ce que c'est de perdre ses proches et je sais que c'est difficile. Je voudrais qu'on se revoit pour un jour reprendre un biscuit ensemble.

Lysis fit un beau sourire par la suite. Elle avait réellement un bon coeur cette petite élémental. Puis, elle venait de se rappeler qu'elle avait une devinette à répondre. Elle pensa premièrement à la pomme d'Adam, car Eve en n'avait pas, mais Adam oui... Par contr,e cela ne répondait pas adéquatement à l'énigme. Soudainement, elle eu la réponse en un coup de flash. Elle fit un sourire en coin et dit à la dame:

- Vous m'avez presque eu. J'ai presque donné la mauvaise réponse à votre devinette. La bonne réponse est le nombril. Ils sont les premiers, donc il n'ont pas été fait par une mère et un père.
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Ven 20 Juil 2012, 15:38

La jeune femme demanda si elle avait la permission de prendre un biscuit, Anita gloussa amusée. Qu'elle délicatesse vraiment...

-Bien entendu ma chérie je ne pourrai jamais manger tout cela toute seule et puis, cela me ferait plaisir de savoir si tu les apprécies...qui sait je pourrais peut-être te filer la recette.


Dit-elle lui faisant un clin d'oeil complice. Elle rit doucement quand Lysis chicana son oiseau pour son manque de politesse, l'oiseau sembla vraiment honteux ce qui toucha la grand-mère au plus haut point quand il vint s’excuser.

-Ne vous en faites pas ma jeune amie, je ne lui en tiendrait pas rigueur, c'est qu'ils sentent rudement bons ces cookies n'est-ce pas Phoebus?

Dit-elle caressant doucement le plumage du cou de l'oiseau. Elle aimait bien leur compagnie a tout les deux, et qu'elle ne fut pas sa surprise quand Lysis lui proposa de revenir souvent, non seulement pour l,aider, mais surtout lui tenir compagnie. Elle joignit ses mains devant elle en signe de remerciement, la jeune femme n,avait aucune idée a quel point elle comblait le vieux coeur d'Anita. Puis elle répondit de nouveau bien a sa devinette ce qui l'enchanta encore d'avantage, ne lui restait qu'une devinette et c'était tout...mais elle avait encore une dernière faveur a lui demander aussi.

-Cela me touche extrêmement ma jeune amie, vous réchauffer mon âme avec vôtre belle énergie et vos sourires, si je puis bénéficier de vôtre aide et de vôtre compagnie j'en serais très heureuse, et j'ai bien des moyens sucrées de vous rachetés vôtre bienfaisance.

Anita savait bien que Lysis ne faisait pas cela pour avoir quelque chose en retour, mais Anita l'appréciait tellement et c'était tellement agréable de cuisiner pour une si jolie et gentille personne.

-Suivez-moi a l'intérieure j'ai une dernière devinette et un petit service a vous demander encore...

La pièce était toute ensoleillé, une très belle décoration. Un superbe miroir trônait au dessus d'un énorme divan rouge, le plancher en bois luisait sous les rayons du soleil et la maison embaumait des parfums exquis et inconnus.

-On vient souvent me regarder, mais jamais pour me voir moi...qui suis-je?

Puis la dame enchaîna en tendant un plumeau a Lysis avant de gémir se tenant le dos d'une main, Anita alla s,assoir

-Pourriez-vous dépoussiérée mon salon, je suis trop petite et cambrée pour atteindre les hautes poutres.

Dit-elle avec un doux sourire sa main fermement serrer autour du tissu dans sa poche.
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Ven 20 Juil 2012, 16:30

Lysis aimait bien voir le sourire de la vieille dame. Il démontrait tellement un âme pur et simple. Lysis ne se rappelait plus à quel point il est bon de servir les personnes les plus faibles quoi que dans le passé, elle était juste un enfant, mais cela était un détail. Quand Lysis eu la permission, elle prit un biscuit qu'elle fit fondre dans la bouche. C'était un pur régale. Lysis salivait sous l'impact du morceau tendre sur sa langue. L'élémental ne se souvenait plus à quel point c'est bon des biscuits. Elle mangea tranquillement le biscuit de mère-grand. Elle voulait savourer chaque morceau qu'elle avait jusqu'à ce que le goût soit ancré dans sa mémoire. Après avoir terminé de manger son biscuit, Phoebus reprit son envole pour rejoindre ses amis volatiles. Il était tellement heureux d'être ici présentement. Puis, la vieille dame demanda un service. Lysis était toujours ravie de rendre service. Par contre, elle devait aller à l'intérieur. Elle suivit la vieille dame de près. Phoebus était bien trop occupé pour remarquer qu'elle rentrait à l'intérieur.

En rentrant dans la demeure, Lysis voyait plus en détail cette charmante maison. Elle était grandiose. On voyait très bien que les articles n'étaient plus aussi jeune que dans le temps, mais cela donnait un charme à la vieille maison. Lysis ne voulait pas salir le plancher. Par conséquent, elle enleva ses souliers simple, mais souple qu'elle portait. Elle suivi la vieille dame et reçu un plumeau et une devinette. Lysis commençait à avoir le cerveau en compote. Par contre, elle tenait toujours à faire plaisir en parfois s'oubliant. Elle dit d'une voix enjouée:

- Je vais faire votre ménage avec plaisir madame. Je n'ai pas peur de la poussière.

Elle ricana un peu et commença à Nettoyer de fond en combre. Elle commença par la partie la plus haute. Il y avait effectivement beaucoup de poussière. Elle ne devait jamais s'y rendre on dirait. Par contre, Lysis avait elle aussi un peu de misère à si rendre. En temps normal, Phoebus le ferait, mais il n'est pas disponible pour le moment. Elle sauta et épousseta en même temps. Elle ne voulait surtout pas prendre ses pouvoir dans une telle maison. Elle pourrait tout casser sur son passage. Quand elle eu fini de laver le haut, elle commença à nettoyer les «craques» du divan. Il y avait toujours des choses cachés à l'intérieur de ces petits trous noir. Elle trouva des grains de biscuit, un vieux mouchoir utilisé et des enveloppes de bonbons. La vieille dame n'avait pas vraiment surpris Lysis. Puis, elle vit une table de salon à côté du divan. Il y avait une photo. Plutôt un portait dessiné par quelqu'un. Il s'agissait d'une jeune demoiselle avec de long cheveux foncés qui souriait avec plusieurs oiseaux autour d'elle. Il s'agissait sûrement de sa fille bien aimé. Elle était tellement belle. Beaucoup plus belle que Lysis à son avis. Elle ne l'avait jamais vu et cela ne la surprenait pas d'un point. Puis, elle pensa à l'énigme. Elle avait vraiment de la difficulté pour cette dernière. Elle devait bien réfléchir pour avoir ce présent qu'elle convoitait avoir. Puis, Lysis se leva et vit le grand miroir. Le miroir était là pour qu'on se voit et non qu'on le regarde. Lysis se retourna avec le plumeau à la main et dit:

- Le miroir est la réponse à votre devinette Madame puisqu'on va le voir pour nous regarder, mais jamais pour regarder le miroir.

Lyis était fière, jamais elle avait été bonne dans les devinettes dans le passé. Puis là, elle venait de tous les avoir bon. Elle était fier. Puis, Lysis avait quelque chose à demander à la vieille dame:

- Puis-je vous demandez une faveur? Phoebus est un oiseau formidable qui est prêt à risquer sa vie pour moi, mais il est tellement heureux ici avec ses confrère que je me sens mal de partir et le rendre malheureux en l'emportant avec moi. S'il désire rester avec ses confrères, est-ce que je peux vous le laisser? Je suis prête à donner une petite pension s'il le faut. Je ne veux juste que son bonheur.

Ce que Lysis venait de dire lui faisait un peu mal au coeur. Il était la seul chose qui lui restait dans la vie, mais elle voulait son bonheur avant tout. Elle ne lui en avait pas encore parler, mais si la vieille dame confirmait sa réponse, elle allait lui en discuter.
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La volière de mère-grand [quête avec Vivianne]=> Terminé

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