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 Can't it be a nightmare ? [pv Aaron]

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Ven 07 Oct 2011, 21:29

Can't it be a nightmare ? [pv Aaron] Tumblr35
« I'll be there for you through it all »


La nuit était déjà bien avancer, la lune éclairé la ville dormante de Stenfek et le froid gelé les rues abandonner. Dans une chambre du château ce tenait un homme fixant les lumières de ce petit bourge qu’il surplombé. Il tenait dans sa main droite un verre contenant un liquide jaunâtre et limpide qu’il monta à ses lèvres. Le liquide lui brula la gorge alors qu’il en prenait de longues et lentes gorgé pour purger son inquiétude. Il était en colère, dans une terrible colère contre son compagnon. Cela aurait dû faire longtemps qu’il aurait dû franchir la porte, lui avoir préparé le diner et être dans leurs lit contre lui à dormir paisiblement, mais il n’était toujours pas ici et la seul chose que Shizuo ressentait était une profonde colère qui avait remplacé une légère angoisse. Il n’était pas en colère car il n’avait toujours pas mangé par sa faute, la vérité était que tous ces sentiment n’était que le résultat de son inquiétude. Depuis un temps sa vie avait était réglés de la même façon. Il vivait clairement avec Aaron, il l’aimer surement et faisait sa vie avec lui. Chaque jours il partait au travail avant lui qui partait à son tour faire ces mission, puis quand il rentré le soir il mettait les pieds sous la table Aaron ayant fait le diner et ils manger ensemble en se retrouvent après leurs journée. Des discutions banal c’était installer, ou plutôt Aaron parler de sa journée et Shizuo écouté distraitement en s’empiffrant du bon repas que lui faisait son compagnon. Puis ils finissaient la soirée par un câlin, le réprouvé ne pouvant plu dormir sans sentir la chaleur de son elfe contre lui. Il n’était pas du tout lasser par cette routine, au contraire il approcher de ce sentiment de bonheurs qui avant lui était inconnue, la notion elle-même du bonheur lui avait toujours échappé et aujourd’hui il le toucher presque du bout des doigts, du moins c’est ce qu’il penser. Ce soir il ne savait pas où était celui qui avait ouvert ses horizons et même peut être prit ce qui était son organe vital. D’après ce qu’il savait on disait que c’était cette organe qui représenter l’amour, pour lui il ne faisait qu’irriguer son sang dans toutes les partit de son corps, mais il pouvait bien croire qu’il battée pour lui si c’était ce que les autre disait et ce qui ce rapprocher le plus de la réalité.

Agacée par l’attente et de rester planté là à fixer une ville sans âme il but cul sec le reste de son alcool et posa son vers sur la table derrière lui avant de s’assoir sur une chaise et de ce rouler une cigarette pour se détendre un peu plus. Il avait déjà beaucoup but, il était un peu ivre à cause de tout cette alcool qu’il avait assimilé dans son corps, mais cela n’empêcher pas sa colère, au contraire même cela n’avait rien du arranger. Non cela n’avait pas eu beaucoup de points positif, a par peut être celui de l’assumer un peu mais rien de plus et il se sentait trahit par Aaron. S’il avait eu un travail tardif il l’aurait quand même prévenu non ? Et puis c’était étrange de rentré si tard pour un fleuriste, il ne pouvait pas travailler jusqu’au milieu de la nuit, c’était complètement irrationnel et bien que Shizuo ne soit pas un homme brillant, il n’était pas complètement idiot. Il avait le sentiment d’être trahit, comme si Aaron lui avait caché quelque chose et il retrouver ce vieux sentiment de jalousie qu’il avait déjà connue à cause de lui. Il avait du mal à croire qu’il pouvait le tromper et pourtant il était mignons, il attiré les femmes autour de lui avec son foutu charme qui l’avait ensorceler et puis il pouvait bien avoir des hommes aussi dans ses filets. Shizuo grogna en tapant du poing sur la table. Il ne supportait pas l’idée qu’on approche son elfe a lui, il était possessif comme une lionne avec son lionceau et était près a tué pour qu’on ne le touche pas, mais si c’était Aaron qui le faisait de son plein grés c’était pire pour lui, cela pourrait vraiment blesser Shizuo et lui faire regretter tout les efforts qu’il avait fait pour lui jusque-là.

La porte s’ouvrit enfin et Shizuo ce redressa en entendant la poignet se tournait. Ce levant rapidement de sa chaise qui tangua et manqua de tomber sous la brutalité du geste, il fonça sur l’elfe qui n’u pas le temps de voir l’intérieur de la pièce que déjà il ce tenait droit comme un piqué face à lui. Il avait envie de lui crier à la figure, de se défouler sur lui alors qu’il devait être presque trois heure du matin et qu’il l’avait attendu ici en faisant les cent pas comme un lions en cache, inquiet comme jamais.

    Shizuo « Où étais-tu ? »

Cette phrase retentissait comme une accusation froide et agressive. Il était prêt à en découdre avec lui et violement si il le fallait, seulement quelque chose n’aller pas dans son scénario, quelque chose clocher et le réprouvé le remarqua. Aaron avait un visage abattu, creusé par une fatigue et une sorte de douleur qu’il n’avait jamais vue chez lui. Il était si fort pour lui cacher ses sentiment, si fort pour avoir toujours un visage sans ride qui ne lui permettait jamais de lire en lui, mais là il lui laisser tout voir et cela frappa Shizuo. Il comprit que quelque chose n’aller pas et l’inquiétude revint empiété sur la colère qu’il avait pourtant libérée un peu plus tôt. Le grand blond ce pencha sur le visage du brun et il remarqua une trace sombre a la lumière de sa seul lampe de chevet allumer au fond de leurs chambre. Il prit alors rapidement le menton de son compagnon entre ses doigts et elle força a tourné son visage pour mieux observer l’énorme bleu qu’il avait sur la joue et qui remonté sur son œil gonflé par le sang. Il était blessé ? On l’avait agressé? Cette idée frappa alors l’esprit embrumé d’alcool du réprouvé qui remarqua du sang coagulé pas loin. De force il ouvrit alors le manteaux de Aaron puis sa chemise et vu son torse bien que soigné, couvert de sang et il le lâcha brusquement choquer par cette révélation. Pendant tout ce temps où il était resté là sans rien faire Aaron c’était fait tabasser, même plutôt torturé vus les quelque marque qui resté ce qui montré bien que Aaron manquer outrageusement d’énergie pour ce soigné. Shizuo prit alors l’elfe contre lui et le serra contre son torse blesser au fond de son être et malheureux a l’idée que Aaron est connue pareille chose, plus encore, son air bouleversé le rendait fou de chagrin. Que c’était-il passer au juste pour le mettre dans un état pareille ? Il prié pour que ça ne soit pas de sa fautes, il avait tellement d’ennemies et de gens qui chercher a le tué qu’il avait peur qu’on s’en est pris à lui pour le toucher lui, ce qui aurait marché plus qu’il ne pouvait lui-même l’imaginer. Le serrent contre lui il le souleva alors, ne voulant plus qu’il se fatigue pour rien, et il le transporta à travers la pièce, ferment au préalable la porte à clef, puis le posa doucement sur leurs lit. Il ne posa pas de question, ne dit rien, ne voulant pas le brusquer car il avait l’air plus fragile que jamais et il y avait cette rage animal en lui qui bouillonner a l’idée qu’on s’en est pris à lui et c’était dangereux d’ouvrir la bouche sans s’être calmer un peu avant.

Doucement il retira les vêtements d’Aaron, pour le laisser en sous vêtement, puis il partit dans la salle de bain, prit une bassine qu’il remplit d’eau et une éponge puis une serviette. Il revint vers Aaron pour poser cela, avant d’aller vers la petites cuisines qu’ils avaient pour faire chauffer une tisane, la seul chose qu’il savait faire, bouillir de l’eau et mettre des herbes dedans n’était pas sorcier. Il repartit s’assoir au bord du lit ou était allonger Aaron et toujours sans un mot il se mit a nettoyé le sang qui était resté coller contre son corps, dévoilant parfois des reste d’hématomes mal soigné par son compagnon qui le crisper dans ses gestes. Quand il finit tout cela il le sécha doucement, prenant bien soin de ne pas lui faire mal et puis il lui fit enfiler une de ses chemises propres ne sachant pas très bien où il ranger ses propres affaires. Puis peut être se sentirait-il plus en sécurité dans ses propre affaire lui qui lui avait déjà dit que son odeur le rassuré… Allant ranger la bassine pleine d’eau rougeâtre il passa prendre la tisane qu’il avait préparé, brulante certes, mais cela lui ferait peut être du bien lui qui était gelé. Il la posa sur la table de chevets avant de s’assoir par terre à coter du lit pour fixer son visage qui le rendait profondément malheureux. Il monta la couverture sur son corps glacé et si jusque-là il n’avait rien demandé, il finit par enfin avoir le courage de savoir ce qui était arrivé.

    Shizuo « Aaron… Qu’est ce qui c’est passer ? Pourquoi es-tu dans un état pareil ? Si tu ne veux pas me le dire ce soir, je peux attendre demain, mais il faut que je sache. »

Il laissa une de ses main ce glisser dans ses cheveux brun, un peu trop long qui lui tomber devant ses beau yeux sombres. Shizuo ce redressa un peut ne put résister à l’embrasser si faible face à l’être qui lui avait arraché le cœur et qui en soufrant le faisait souffrir avec lui. C’était donc ça être vraiment amoureux, tout vire, tout partager, même ce genre de chose.

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Sam 08 Oct 2011, 13:12

La haine, l'amour, la honte, la faiblesse, la fatigue: un bon mélange pour devenir fou

    A vrai dire, sur le chemin du retour, je n'avais même pensé à comment réagirait Shizuo de ma longue absence. Avec un peu de chance, il aurait travaillé tard, et je serai rentré avant lui, pour ne serai-ce que me laver afin de reprendre mes esprits. Je n'avais pas vraiment remarqué que j'étais convers de sang, et puis il était si distrait parfois, j'espérais qu'il ne se rende compte de rien. J'avançais comme un automate jusqu'à la porte, vide de toute pensée, regardant dans le vide. Je n'étais plus qu'un mort vivant. Ces drows venaient de rouvrir une plait bien veille, et ce n'était pas leur coups qui m'avaient fait le plus mal. Mon frère, vivant? Je ne voulais pas y croire. Je voulais dormir à présent, retrouver les bras de Shizuo, pour oublier. Qui sait, c'était peut être un simple cauchemar, une plaisanterie, que sais-je?

    J'arrivai enfin devant la porte de l'appartement. Il faisait sombre, mais je ne voulais pas voir la lumière. Cette même lumière qui m'avait éblouie pendant que je me faisais torturer. J'abaissai la poignée distraitement, ne pensant à rien, regardant le sol et mon visage devait être horrible à voir, mais heureusement, il faisait sombre aussi dans la pièce. Je n'eus même pas le temps de me retourner que le corps massif de Shizuo me faisait face. Je ne sursauta même pas, et je ne le regarda que furtivement, puis je baissa de nouveau la tête, comme honteux, voyant son expression en colère. Je me rendais compte maintenant qu'il avait dût s'inquiéter. En fait, je ne savais même pas quel heure il était, ça n'avait pas eu la moindre importance pour moi. Par contre, pour lui si, car le ton de sa voix était agressif, reflétant l'inquiétude. Je m'en voulais un peu maintenant, j'aurais peut être dût me dépêcher, ne pas rester dans cette cave à pleurer comme une fillette apeuré et Shizuo ne se serait pas inquiété.


    « Nul part, j'étais nul part. » dis-je d'une voix rauque et faible.

    Brusquement, je le sentis attraper mon visage, comme ce drow l'avait fait pour me regarder plus en détail. Je déglutis alors, fermant les yeux, sentant une vague de peur m'envahir. Toutefois, les mains de mon compagnon était bien plus douce. Timidement, je rouvris les paupières. Cela faisait du bien de sentir son contacte. Mais qu'était-il en train de regarder? Si j'en croyais son regard surpris, j'avais dût oublié de soigner un bleu. Tout mon corps m'avait fait tellement souffrir, que j'avais sûrement dût oublier quelques uns moins douloureux que les autres. Je me mordis alors la langue fortement, comme pour me punir. Je m'en voulais encore plus d'avoir était si distrait. Maintenant Shizuo allait vouloir me poser des questions, et je serais incapable de lui répondre. J'avais trop honte. Lui, jamais il ne se faisait avoir comme ça. Il se serait détaché de cette put*i* de chaise en moins de temps qu'il faut pour dire « oups », et puis il les aurait tué la seconde d'après. Moi tout ce que j'avais réussis à faire, c'était de les avoir cru, et de mettre laissé fait battre. Puis au final j'avais pleuré. Je me sentais tellement nul, faible. J'attendais le moment où il me foutrait à la porte, je méritais d'être seul.

    Ensuite, il baissa le regard sur moi, et je suivis ses yeux. Je remarqua alors avec lui que j'étais couvert de sang. Ça aussi je ne l'avais même pas remarqué. J'aurais dus jeter mes vêtements quelque part pour en mettre des propres. Il ouvrit nerveusement ma veste et ma chemise pour voir les dégâts. Il put constater, et moi avec, que j'avais encore oublié de vilains bleus. Une fois encore, je me mordis la langue, évitant soigneusement le regard de mon compagnon. J'avais plus honte que jamais. Maintenant il pouvait deviner aisément que je m'étais fait tabasser. Je ne pris même pas le temps de finir de me soigner. C'était ma punition pour avoir oublié. Peut être bien que je méritais ses coups après tout. A présent, Shizuo pouvait voir combien j'étais faible, un moins que rien. Et j'attendais qu'il me foute prestement à la porte.

    Or, au lieu de ça, il me colla à son torse pour m'enlacer. Ce simple geste me fit tellement du bien, que tout mon corps crispé se relâcha soudainement, s'adonnant totalement à mon amant. De larmes de soulagement s'échappèrent de mes yeux, mais je m'empressai de les essuyer contre sa chemise. Il m'avait vu abattu, il n'avait pas besoin en plus, de voir mes larmes. Je sentais son odeur, et cela suffit à me sentir un peu mieux. Cependant, je ne comprenais pas pourquoi il ne m'avait pas foutu à la porte. J'étais quelqu'un de faible, je ne méritais pas Shizuo. J'aurais même dut être content, mon frère était vivant. Pourquoi est-ce que je n'étais pas directement partit à sa recherche?

    Mon cerveau était vraiment en plein délire, quand je sentis qu'il me souleva du sol. Je n'avais même plus la force de résister, ni même de me demander qu'est-ce qu'il était en train de faire. J'étais devenu un pantin et Shizuo pouvait faire absolument tout ce qu'il voulait de moi. Je sentais son inquiétude, mais je ne l'a comprenais pas vraiment. C'était sûrement parce qu'il m'aimait, mais je n'avais pas l'esprit assez lucide pour le comprendre. Je me sentais tellement nul que j'en avais presque envie de mourir.

    Il me posa délicatement sur le lit, puis il commença à me déshabiller avec tellement de douceur que je dus ouvrir grand les yeux pour ne pas me remettre à pleurer. J'évitais également soigneusement son regard, ne voulant surtout pas lire du mépris dans ses yeux. Il n'était plus contre moi, et j'eus soudainement froid. Je commença alors à trembler légèrement lorsqu'il partit faire je ne sais quoi. Je serrais les poings énervé contre moi même. J'aurais du le repousser, lui dire que tout allait bien et que j'étais simplement tombé dans les escaliers, que j'avais passé une longue journée. Néanmoins, je ne pouvais pas lui mentir et il ne m'aurait sûrement pas cru, il n'était pas si bête. J'avais tellement besoin de lui maintenant, mais je m'en voulais. Je me sentais égoïste. Oui, après tout il avait vécu bien pire, et moi je chialais pour si peu.

    Il revint avec une bassine d'eau et une éponge afin de me nettoyer. Une fois de plus, je me laissa faire, appréciant ce moment. Il était si doux, il n'avait jamais était aussi attentionné avec moi. Je finis par croiser son regard emplie d'inquiétude. Il n'avait pas honte de moi, non et cette fois je ne pus m'empêcher de pleurer de nouveau silencieusement. En plus d'avoir honte, je m'en voulais de l'inquiéter pour si peu. Je me détestais. Je ferma alors les yeux, cherchant à ne plus penser. Il fallait absolument que je vide mon esprit sinon j'allais devenir fou. Il ne me posait même pas de question et je le remerciais intérieurement pour ça. Je n'avais même plus la force d'ouvrir la bouche.

    Une fois qu'il eut finit de s'occuper de mon pauvre corps, il m'enfila une chemise à lui. Décidément, il pensait à tout. Je savais que Shizuo pouvait se révéler attentionné, mais pas à se point. Je décida alors de le regarder enfin dans les yeux pour lui sourire, comme pour le remercier. Au passage, j'essuyai d'un revers de la main, mes larmes encore fraîche. Il m'aimait, je m'en rendais bien compte maintenant, mais j'estimais que je ne méritais pas son amour. Il repartit pour aller chercher une tisane, mais je n'étais même pas sûr d'avoir la force de la boire. Quand il revint, il me couvrit, mais je continuais toujours à trembler un peu. Je voulais qu'il vienne dans le lit avec moi, mais je n'osa pas lui demander. Je fixais le plafond de mon regard vide, quand enfin il me posa tout un tas de questions. Mon ventre fis un nœud et je me crispa. Heureusement, il mit une main dans mes cheveux pour me rassurer, et il ajouta que je n'étais pas obligé de lui dire ce soir. Le problème c'est que, ni ce soir, ni demain, ni aucun autre jour j'aurais la force de lui dire. Je ne pouvais pas lui dire, sinon c'était sûr, il allait vraiment me prendre pour une m*rde. Je pleurais parce que mon frère était vivant et lui il ne pouvait même pas espérer de revoir sa mère un jour. J'avais pas le droit de pleurer pour ça. Tout ce que je savais faire c'était m'apitoyer sur mon sort. Pourquoi est-ce que ces drows ne m'avaient pas tué comme ils avait tué mon frère? Je le méritais.

    Toutes ses pensées négatives, me firent pleurer de plus belle après que Shizuo ait déposé ses lèvres si douce sur les miennes. S'il savait il n'aurait même plus envie de m'embrasser. Je m'efforçais de garder mes sanglots silencieux, cherchant quelque chose à dire. Il avait dit qu'il fallait qu'il sache et c'est vrai, après tout il avait le droit de savoir. J'étais totalement tiraillé entre lui dire et ne pas lui dire. Je pouvais peut être lui mentir, mais je culpabiliserais encore plus.


    « Je suis faible Shizuo... un moins que rien. Pourquoi est-ce que tu restes avec moi? » dis-je d'une voix faible et un peu tremblant. J'essuya alors vivement mes larmes, voulant me montrer un peu plus fort, puis je me mis à parler plus fort, sortant ma colère contre moi même « Pourquoi ils ne m'ont pas tué moi aussi? »

    Je serrais les dents, voulant retenir mes larmes de rages, mais c'était impossible. Mon corps tremblait encore plus. Sans le vouloir j'avais laissé échapper un indice « moi aussi ». Cela voulait dire que les personnes qui m'avait fait cela avait tué quelqu'un d'autres. Est-ce qu'il allait y faire attention? J'avais besoin de sommeil, j'avais besoin de le sentir contre moi. Je ne voulais plus jamais qu'il me quitte et pourtant je lui dis presque méchamment: « Laisse moi Shizuo! »

    Je regretta immédiatement ce que je venais de dire, mais si cela pouvait permettre qu'il oublie ses questions, ça valait mieux pour tout le monde. Cette fois mes sanglots n'étaient plus silencieux. J'étais tellement en colère contre moi, j'en tremblais encore.
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Dim 09 Oct 2011, 14:31


Shizuo voulait simplement que Aaron aille mieux, il n’était pas forcer de lui parler, bien que le réprouvé voulait savoir ce qui lui était arriver et aller tuer sur le champs ceux qui avait osé lever la mains sur lui, mais il avait l’air d’être dans un tel état de choc qu’il n’osé pas le brutalisé. C’est à ce moment que Shizuo se rendit compte que le brun pleuré. Il pleurait et lui ne l’avait même pas encore remarqué à cause de toutes ses inquiétudes. Que c’était-il passer pour qu’il retrouve son elfe dans un état pareille ? Qu’avait-il manqué au juste pour ne pas remarquer ça ? Si Aaron avait eu des problèmes il le lui aurait dit, enfin c’était ce qu’il pensait, seulement il ne savait jamais ce que Aaron aller faire ou non, il rester une énigme pour lui et ça le mettait dans une colère noire à chaque fois qu’il se faisait prendre a contre pieds de la sorte. Ce moment n’échapper pas à la règle. Quand enfin Aaron ouvrit la bouche, ce n’était pas du tout ce à quoi Shizuo c’était attendu, non loin de ce qu’il avait espéré.

    Aaron « Je suis faible Shizuo... un moins que rien. Pourquoi est-ce que tu restes avec moi? »

Le réprouvé resta sans voix devant cette question. Que racontait-il au juste? C’était complétement idiot et il ne savait pas quoi répondre tellement cela lui paraissait insensé que Aaron puise penser une tel chose. Il le regarda essuyer ses joues rageusement en ajoutant une autre annerie.

    Aaron « Pourquoi ils ne m'ont pas tué moi aussi? »

C’est là que Shizuo réalisa qu’il avait eu raison, que Aaron c’était bien fait agresser, que cela avait un rapport avec sa vie qu’il connaissait si mal. Mais pourquoi « moi aussi ? » qui était mort ? Pourquoi Aaron lui demander toujours de parler de lui mais ne disait rien sur lui ? Il comprit que cela n’était pas juste et qu’il c’était toujours focaliser sur lui, mais est ce que Aaron n’en avait pas aussi profité pour lui cacher des choses et éviter lui-même dans dire trop sur sa vie ? Shizuo était agacé par toutes ces questions sans réponses et encore plus par les paroles d’Aaron qu’il ne comprenait pas et qu’il trouver idiote.

    Shizuo « Aaron, qu’est-ce que tu racontes ? »
    Aaron « Laisse moi Shizuo! »

Le réprouvé ne put alors retenir sa colère, allait-il cesser avec toutes ces conneries ? Shizuo se leva en grognant, il le prenait pour qui au juste ? Pourquoi ? Il ne se sentait pas blesser par ces paroles, mais il était déçu qu’il le traite ainsi alors qu’il s’inquiéter pour lui et que pour la première fois il prenait soin de lui. De plus il avait des idées bien idiotes sur lui-même. Shizuo ne dit plus rien en se déshabillant. S’il le prenait ainsi, très bien, mais qu’il ne compte pas sur lui pour faire ce qu’il désirait, bien au contraire Shizuo détesté qu’on lui donne des ordres alors Aaron pouvait toujours chouiné pour qu’il le quitte, cela n’arriverait jamais. Il se glissa dans le lit poussant au passage Aaron pour avoir de la place, il se ficher même de lui faire mal, il faisait tous les efforts possible pour lui, il s’angoisser a son propos et tout ce qu’il récolté c’était un « Laisse-moi Shizuo » ? Qu’il aille au diable si c’était tout ce qu’il avait pour le remercier. En plus ses histoire de faiblesse et de « pourquoi tu restes avec moi ». Depuis quand voulait-il être fort ? Shizuo savait bien qu’entre eux deux c’était lui le plus fort et il n’aurait pas supporté être le plus faible de toute façon, non cela lui aurait était insupportable. Il avait besoin de protégé, pas d’être protéger et c’était l’une des raisons pour les quel il était avec Aaron, avec lui il avait la sensation d’être utile, seulement si cela gêner tellement l’elfe eh bien soit il ne ferait plus rien pour lui, pour le protéger ou autre, il le laisserait devenir fort si cela lui faisait tant plaisir. Après tout, d’après lui pour devenir fort il fallait le faire seul alors si c’était ec qu’il voulait cela tomber bien, seulement ce lit était aussi son lit donc il ne quitterait pas ce lit, ni cette pièce même si Aaron continuer de pleuré pour cela, il sen ficher.

    Shizuo « Bonne nuit, Aaron! »

C’était peut-être un peu agressif vu la situation, mais il pensait que Aaron l’avait bien mérité. En réalité peut être qu’il l’avait blessé et maintenant il ne voulait plu l’entendre parler ou dire quoi que ce soit, il voulait dormir et oublier cela. Demain il ferait a propre enquête et il trouverait bien lui-même ce qu’il clocher, en attendant si Shizuo n’était pas rancunier il ne pardonnerait pas si facilement au brun de lui avoir parlé de la sorte après qu’il est pris soin de lui. Shizuo ce mit dos a son compagnon pour ne pas le voir et éteignit la bougie qui était sur la table de chevet ou la tisane qu’il avait faite refroidissait tristement sans même avoir était toucher. Il avait même fait une tisane ! EN y repensant Shizuo ce jura de ne plus jamais faire ce genre de chose si cela ne servait à rien et si on devait ce faire envoyer voyager plus loin. Peut-être qu’il était plus vexer que blesser, en attendant le réprouvé ferma les yeux ne voulant plus entendre un seul mot, la colère c’étant remis bouillir en lui.
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Dim 09 Oct 2011, 16:57

Les rêves sont le reflet de notre inconscient.

    Une partie de moi savait que je délirais totalement. J'avais dis des choses que je n'aurais jamais dites dans des circonstances normales, mais la honte et les vieux souvenirs me faisaient dire tout cela. Bien sûr que je ne voulais pas qu'il me laisse, je voulais qu'il me prenne dans ses bras pour me réchauffer, je voulais encore sentir ses lèvres sur les miennes. J'avais étais si ému qu'il s'occupe de moi ainsi que finalement, c'était ça qui avait ouvert le robinet de mes larmes. Je me rendais compte maintenant, en le voyant vexé par mes mots, que c'était lui le centre de ma vie, et plus mon frère. Sans que je m'en rende compte, ça faisait bien longtemps que j'avais fait le deuil de sa mort, grâce à Shizuo. Si je réfléchissais bien, j'étais encore plus préoccupé de la manière dont me voyais Shizuo que ce qu'était devenu Ethan. Avant, il ne se passait pas une minute sans que je ne pense à mon frère, me demandant ce qu'il serait devenu s'il n'avait pas été tué, et maintenant, c'était quasiment comme si ça ne m'importait plus. Toutes mes priorités avaient été échangé, et je ne m'y retrouvé plus du tout. Je ne savais plus quoi penser, si bien que j'en avais presque envie de mourir.

    Le voyant se lever en grognant puis se déshabiller, ça me fit m'arrêter de pleurer brusquement, appréhendant ce qu'il allait faire. Il n'avait pas l'air de vouloir partir et ça me soulagea quelque peu. Je tremblais toujours un peu, mais au moins, il avait réussis à asséché mes larmes indirectement. Ce que je pouvais être pitoyable parfois. Maintenant, je ne pensais plus du tout à mon frère et à ce que j'avais subis. J'espérais juste très fort que Shizuo ne m'en veuille pas trop de l'avoir ainsi rejeté alors qu'il s'était montré si attentionné. Je n'osais vraiment plus rien dire, le regardant du coin de l'œil en attendant qu'il s'installe dans le lit. Hélas, il ne vint pas me prendre dans ses bras et il se mit le plus loin et dos à moi. Ça c'était bien plus douloureux que tous les coups que j'avais subis, mais je le méritais bien après ce que j'avais dis. Et j'avais de la chance qu'il ne parte pas. Si seulement ma conscience me permettait de tout lui dire... Le manque de communication entre nous était le pire défaut qui menaçait de nous séparer à chaque instant. Alors pour me rassurer un peu, je me dis que demain, à tête reposé, je trouverais les mots pour nous réconcilier et faire en sorte qu'il ne me pose pas trop de questions.

    Quand je l'entendis dire bonne nuit d'un ton froid, je décida moi aussi, de me mettre dos à lui pour dormir. J'avais encore très froid et une terrible envie d'être dans ses bras, mais je savais que le sommeil réussirait tout de même à m'emporter. Je m'en voulais terriblement de réagir ainsi, mais je ne voyais pas comment agir autrement.


    « Pardon » dis-je d'une voix si faible que même moi, j'eus du mal à m'entendre. C'était tout ce que je parvins à dire. Je ferma alors les yeux, grelotant et je me mis à penser à mon frère et à ce qu'il aurait put devenir. Étrangement, cela me calma. Ethan était quelqu'un de brillant, et c'était sûr pour moi qu'il avait réussit sa vie. Et enfin, le sommeil me rattrapa.

    Je fis un horrible cauchemar. Enfin, c'était plus une sorte de souvenir modifié. J'étais dans cette fameuse maison avec mon frère, quand une bande de drows vint nous attaquer. Ethan m'ordonna de rester à l'intérieur et je l'écouta, la peur au ventre pendant qu'il se précipita dehors. Pour voir ce qu'il se passait, je m'étais mis à la fenêtre quand je vis mon frère se faire transpercer le coeur par le sabre de l'un des drows. Ensuite, tout ce passa très vite. Des elfes de mon village tuèrent la plupart d'entre eux mais le drow en question réussis à s'enfuir en me riant au nez. Une fois que je réalisa ce qu'il venait de se passer, je me précipita dehors, sur le corps étendu d'Ethan, me mettant à pleurer à chaude larmes, le serrant dans mes bras. Dans mon lit, j'étais également en train de pleurer aussi fort, et je serrai mon cousin dans mes bras, comme substitut. Soudain, Shizuo arriva et il trancha la tête de mon frère, ce qui me fit pleurer de plus belle. Des bras me saisirent pour m'éloigner de son corps et je cria de désespoir dans mon rêves ainsi que de la chambre:


    « Ethan!! Non Ethan! Il est pas mort, laissez moi avec lui! Ethan! Je t'aime me laisse pas! »

    Maintenant, dans mon lit, je n'avais plus du tout froid, mais je transpirais, me battant avec les draps. Finalement, alors qu'on me traînait le plus loin possible de mon frère, je vis Shizuo s'approcher de moi avec son sourire bienveillant qu'il ne sortait qu'à de rares occasions. Et cela suffit à me calmer. Tout autour de moi, il n'y avait plus rien, mis à part lui et moi. Mon frère avait disparut.
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Mer 12 Oct 2011, 09:03


    Aaron « Pardon »

Il s’en ficher, cela ne changer rien. L’avait-il seulement vraiment dit sincèrement alors que cela était presque inondable et que si il n’y avait pas eu ce silence si pesant il ne l’aurait jamais entendu ? Il avait mal, il trouver injuste d’être traité de cette façon après tout ce qu’il avait fait pour lui, il trouver injuste qu’après tous ses effort sur sa colère, sur les gestes de tendresse, sur leur vie il lui dise ça. Oui, Shizuo était blesser, profondément inquiet et il ne savait pas quoi faire par ce que jamais il n’avait était confronter à ça et jamais Aaron n’avait réagis de cette façon. Il se sentait profondément impuissant et en colère contre l’elfe qu’il ne pouvait abandonner même avec toutes les insultes et les cris de haine possible. En réalité Shizuo ne trouva jamais le sommeil. Il finit par se levait et refaire chauffer la tisane qu’il se mit à boire assit sur une chaise près de la fenêtre en profitant pour allumer une cigarette. Il n’arriver pas a calmé sa colère et ses angoisses. Bien que Aaron n’avait pas était très gentils il savait qu’il était perturbé et il y avait de quoi vu l’état dans lequel il était rentré. On l’avait roué de coups, plus encore torturé vu les blessures qu’il avait, mais ce qui était aussi inquiétant c’était le faite que Aaron ne ce soit pas soigner en revenant. Enfin, Shizuo savait bien qu’il c’était soigné, mais pas totalement ce qui prouver qu’il était perturbé par quelque chose, assez pour en oublier la douleur physique et même ces traces immonde. Il avait envie de tuer, tuer ceux qui avait touché à son elfe, ceux qui avait osé levait la main sur lui, personne, personne n’avait le droit de le toucher. Il savait que Aaron c’était fait agresser par plusieurs personnes, vu son état c’était bien obliger et puis il savait que Aaron n’était pas si faible que ça et que si cette personne avait était seul il aurait pu se défendre, à part si elle était vraiment puissante, mais il l’aurait tué plutôt que de risquer qu’on remonte à lui et lui c’était ce qu’il aller faire, remonter a ceux qui l’avait touché et leurs faire enduré les pires souffrances pour se venger de lui.

Il le regarda dormir, il avait l’air d’un enfant, si calme, comme si tout cela n’avait était qu’un mauvais rêve et que rien ne c’était passer. Aucune trace sur son visage, son doux visage pâle. Cela faisait un petit moment qu’il avait appris à accepter ce qu’il ressentait totalement, comme le faite qu’il trouver le brun particulièrement mignon. Il avait un visage sans défauts à son gout, un petit nez, une bouche fine, des paumes marquées… Shizuo soupira, il en était là maintenant ? A regardé Aaron dormir, inquiet et cherchant à ce rassuré ? C’était pathétique. Il se reprit et fini culs ce sa tasse de tisane en ce jurant de retrouver ces hommes qui s’en était pris à Aaron et de les tuer au plus vite pour soulager cette colère qui aller le rendre dingue. Le réprouvé resta alors là, au bord de la fenêtre a fumer en fixant la ville, ce demandant comment il aller faire si Aaron ne voulait pas lui parler. Et d’ailleurs il ne comprenait toujours pas pourquoi il avait dit qu’il ne devait plus être avec lui par ce qu’il était faible. Est-ce qu’il avait peur ? Est-ce qu’il pensait qu’il ne le mérité pas juste par ce que lui savait ce battre et que Aaron n’était pas aussi douer que lui pour cale ? Si c’était le cas il se tromper largement. Shizuo ne savait faire qu’une seul chose dans la vie et c’était sa force physique. Aaron lui était fort pour bien d’autre chose, il était brillant, savait se servir de ses pouvoir sans faire tout exploser, il savait être doux, écouté les gens, être attentif, aimé et bien d’autre chose encore qui échapper totalement à Shizuo et qui parfois lui manquer cruellement dans la vie. Au fond et il en savait bien conscience, c’était lui qui ne mériter pas de vivre au coter de Aaron mais il savait que si il tenté de s’éloigner de lui il le regretterait, il ne pouvait plus faire cela alors qu’Aaron c’était accrocher a lui par ce qu’il l’aimer et maintenant si il l’abandonner il ne pourrait plu vivre comme avant. Il était devenu dépendant de cette être « faible », il en avait besoin par ce que pour lui c’était sa force et quoi qu’il dise il ne partirait plu. Il l’avait cherché, il l’avait enchainé a lui alors, non, il n’avait pas le droit de penser des choses comme il l’avait dit, il n’avait pas le droit, ni de mourir, ni de l’abandonner, il ne lui permettrait jamais de faire cela.

La nuit passa doucement, du moins ce qu’il en rester. Shizuo fixa le ciel devenir doucement clair et pourtant restant si sombre. Le crépuscule, le moment ou le ciel et la terre pouvaient ce rejoindre, le moment ou les limbes s’ouvrais sur le monde et où l’ombre rejoignait la lumière. Le réprouvé écrasa son énième cigarette dans le petit bol qui lui servait pour mettre ses cendres et qui était remplit de mégots. Il avait donc passé la nuit ainsi, à fumer en cherchant à se vider l’esprit. Il aller ce rallumer une autre cigarette quand il aperçut Aaron qui s’agiter dans son lit, un peu trop peut-être. Il bouger étrangement vigoureusement et Shizuo comprit qu’il faisait un cauchemar vu les bruit et les grimace sur son visage. Le réprouver ce leva alors et s’approcha de lui. Il serré son cousin en pleurante t le pauvre blonde ne savait pas quoi faire face à cette situations des plus inhabituel pour lui. Ce fut quand Aaron ce mit a crier que Shizuo ce décida a ce précipiter sur lui et monter sur le lit pour prendre l’elfe dans ses bras et le serré contre lui.

    Aaron « « Ethan!! Non Ethan! Il est pas mort, laissez moi avec lui! Ethan! Je t'aime me laisse pas! » »

Il ne savait pas du tout ce qui ce passer, de qui il parler mais il le serré contre lui aussi fort qu’il le pouvait sans lui faire mal. Il avait peur, il avait peur de ce qui ce passer et du faite qu’il soit perdu dans tout cela. Qui était cette Ethan ? Pourquoi il disait qu’il n’était pas mort et sur tout pour quoi il lui disait qu’il l’aimer et le supplier de ne pas le laisser ? Cela blessa beaucoup le réprouvé qui pourtant avait confiance en Aaron, mais entendre cela et voir à quel point ça le perturbé et avec tout ce qu’il lui avait dit avant, Shizuo ne savait plu quoi penser ni quoi faire pour Aaron. Il finit par se calmer dans ses bras et il soupira soulager d’avoir au moins gagné cela. Baissant les yeux sur lui il croisa son regard embuer de larme encore et il sentit comme un craquement dans son cœur, il venait tout juste de ce déchiré face à la détresse de son compagnon. Shizuo plongea son visage dans le cou de Aaron et se mit à embrasser sa peau doucement ne sachant quoi faire d’autre pour lui que de le gardé contre lui et lui prouver qu’il l’aimer a ça façon et qu’il ne pouvait donner plus. Il aurait pourtant tout donné à son elfe, il lui aurait tout donné si seulement il avait eu de quoi, mais il n’avait rien et ça le rendait fou d’être si impuissant.

    Shizuo « Aaron… laisse-moi t’aidé, s’il te plais, laisse-moi… juste t’aidé. Je ne te demande pas autre chose, je veux juste être là pour toi. Tu es peut être faible, mais moi j’ai besoin de ça, j’ai besoin d’être fort pour toi, que tu es besoin de moi pour te protéger, j’ai besoin de servir à quelque chose mais si tu me repousse encore je ne pourrais rien faire et ça me tue. Alors parle-moi, s’il te plaît Aaron… parle-moi. »

Il ne savait quoi dire d’autre, il était perdu et sentait cette tristesse affreuse d’être inutile à la personne qu’il aimer plus que tout au monde. Il se serrait couper le bras sans hésitation pour lui et il ne lui laisser même pas une chance de le comprendre alors que c’était la première fois qu’il chercher tant à être si proche de lui et a l’aidé de cette façon. C’était la première fois qu’il se sentait blesser par les propres douleurs d’Aaron et qu’il avait peur qu’il reste seul et le repousse encore. Avec Aaron il avait enfin trouvé quelqu’un qui avait besoin de lui et c’était pour cela qu’il avait tant fait d’effort par ce que pour la première fois il avait un but dans la vie, il avait pour mission de protéger Aaron, c’était son devoir, mais si il ne le laisser pas faire il ne servait plus à rien et tout ce pourquoi il était encore là n’avait plu de sens, et ça le briser…
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Jeu 13 Oct 2011, 12:54

Qu'est-ce que c'est au fond la force? Juste un moyen de se démarquer des autres...

    Je me réveilla au moment, où le Shizuo de mon rêve me pris dans mes bras et sans vraiment en être surpris, je fus quand même dans ses bras dans la réalité. J'ouvris doucement les yeux, brouillés par les larmes, encore un peu endormis, et je croisa son regard inquiet. Je battis alors une fois des paupières pour faire couler les dernières gouttelettes de mes yeux. J'étais incroyablement calme par rapport à l'agitation qui m'avait pris il y avait quelques secondes. Seul mon cœur encore affolé trahissait mon agitation précédente. Il m'avait pris dans ses bras et j'en aurais été presque serein si mon rêve ne continuait pas à me tourmenter. Je venais de réaliser brusquement quelque chose que je m'étais sûrement caché auparavant pour me protéger. Je me considérais comme faible depuis tout ce temps parce que j'avais laissé mourir mon frère. J'étais resté dans cette maison, sans rien faire, regardant mon frère mourir sous mes yeux, impuissant, tout ça parce qu'à l'époque je n'étais pas aussi fort que lui, lui qui maîtrisait si bien la magie. Certes, il avait voulu me protéger, mais cela ne m'empêchait pas de culpabiliser. Si je lui avais prouvé avant sa mort, que j'étais fort, peut être ne m'aurait-il pas laissé dans cette maison, peut être m'aurait-il permit de combattre avec lui, peut être que j'aurais réussis à sauver mon frère.

    Bien sûr, ce n'était que des « peut être », et en plus, maintenant il n'était même plus mort. Or ma culpabilité me revenait de plein fouet, et je ne savais pas vraiment pourquoi. Est-ce que c'était parce que Shizuo était là maintenant? Le fait que je vois cette inquiétude dans ses yeux? Ça me touchait énormément qu'il s'inquiète ainsi. Je me sentais aimé plus que jamais. Mais si j'avais réussis à oublier mon frère, il y avait Shizuo et j'avais si peur qu'il se reproduise le même scénario.

    Il vint alors dans mon cou, m'embrasser, et d'autre larmes silencieuses vinrent envahir mes yeux. Je m'agrippa à lui, à son bras, à son torse pour bien le sentir près de moi. J'avais tellement peur de le perdre. Mon cerveau encore un peu engourdi par le sommeil, assimilait Shizuo et Ethan comme une même personne et j'avais presque l'impression que c'était Shizuo qui s'était fait tuer. Un subtil mélange de peur et de soulagement m'envahissait et je ne pouvais que m'accrocher à lui comme si ma vie en dépendait.

    Mon sauveur se mit alors à parler, me suppliant de le laisser m'aider, ce qui me serra le coeur encore plus. Comment pouvais-je lui dire « non », après ça? Comment pouvais-je le repousser alors qu'il faisait tant d'effort pour moi. J'étais sûrement la seule personne à qui il avait confié toute sa confiance et tout son amour depuis toutes ses années. Je n'avais pas le droit de refuser. Cependant, ce qu'il ne comprenait pas, c'est qu'il m'aidait déjà, il m'aidait en me prenant dans ses bras. Il m'aidait en vivant avec moi, en m'aimant. Il n'avait rien besoin de plus à faire, c'était moi le problème.

    Cette fois, ce fut à moi de loger ma tête dans son cou. Je voulais sentir son odeur, sa chaleur, il fallait que j'apaise mon esprit tourmenté. J'attendis quelque seconde avant de répondre, le temps que mes larmes se tarissent et de chercher ma voix tout au fond de ma gorge noué.


    « Sers-moi, sers moi encore. » dis-je d'une voix plutôt posé pour les circonstances, mais légèrement vibrante et rauque.

    Je me trouvais bien trop faible, mais paradoxalement, j'avais besoin de sentir sa force sur mon corps et temps pis si cela me faisait mal. Je voulais être plus fort et pourtant je réclamais sa force à lui. C'était peut être sa force qui me faisait me sentir fort. Je ne savais plus ce que je voulais et je me disais que peut être, ses bras auraient au moins le mérite de me ramener à la raison.

    Seulement, je savais que cette demande ne lui suffirait pas, bien que cela m'aidait déjà beaucoup. Il fallait que je trouve quelque chose à dire, mais ce n'était pas si simple. D'une part, parce que je délirais sûrement encore un peu trop et d'autre part, parce que je ne pouvais encore me résoudre à tout lui dire, j'étais encore bien trop perdu pour ça. Après un temps, j'ajoutai:


    « Tu m'aides déjà Shizuo... sans toi je... » Agrippé encore à lui, je ne finis pas ma phrase. Il y avait tellement de choses à dire, et ce n'était pas vraiment le sujet. Je ferma alors les yeux, essayant de me détendre, rassemblant mes idées pendant de nombreuses autres secondes. Il y avait peut être une chose qu'il pouvait faire pour moi, une promesse, mais je doutais que celle-ci lui plaise au final.

    « Promets moi... Promets moi de ne pas me protéger au péril de ta vie... comme mon frère la fait... » je demanda toujours sur le même ton « J'étais faible et je l'ai laissé se faire tuer sous mes yeux... sans rien faire... Je sais que c'est lui qui m'avait ordonné de ne rien faire, comme toi tu l'aurais fait à sa place, mais j'ai du vivre sans lui pendant toute ses années. Et ce n'est pas me protéger que de mourir sous mes yeux... »

    Je fis une nouvelle pause, sentant bien que je n'étais pas vraiment très clair. Or, je ne pouvais pas faire mieux pour le moment. Je disais ce qui me passait par la tête, sans même prendre en compte qu'il ne connaissait rien de l'histoire. Peut être allait-il deviner certaines choses, mais il ne comprenait sûrement pas tout. Il fallait que j'approfondisse encore un peu, mais je ne trouvais pas les mots.

    « Si seulement j'avais été assez fort pour avoir une chance de le sauver... et maintenant il... » *ne me trouve sûrement pas à la hauteur pour venir me dire qu'il est vivant.* La fin de ma phrase ne resta que dans mes pensées et j'avala ma salive pour m'empêcher de pleurer de nouveau. Il ne fallait pas qu'il sache que mon frère était vivant, pas encore du moins. C'était déjà dur pour moi de l'admettre, alors si en plus je devais l'avouer haut et fort, je sentais que j'allais devenir complètement fou.

    « Je t'aime Shizuo... j'ai besoin de toi... de tes bras protecteur sur moi... des tes gestes si attentionné... de ton écoute... de ton soutien... mais je t'en supplis... promet moi que te ne mourra pas pour m'avoir sauvé, ne me laisse pas de cette façon, je ne le supporterais pas... ne me laisse pas tout cours... »

    Ma voix se faisait de plus en plus faible et mes mots de plus en plus espacés. J'étais maintenant tellement bien dans ses bras que je sentais la fatigue me reprendre. Cependant, je ne me rendormi pas si facilement, et pour me maintenir éveillé, je m'agrippa encore plus fort à lui, contractant mes muscles. Il avait peut être quelque chose à dire d'important, mais moi pour le moment, je ne pouvais plus rien ajouter, bien que je savais qu'il voulait sûrement savoir pourquoi je m'étais fais tabasser. J'avais évité soigneusement le sujet, mais ça n'allait sûrement pas durer.

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Sam 15 Oct 2011, 15:36


Shizuo ne voulait rien d’autre qu’aidée Aaron, que de le comprendre, c’était tout ce qui compter, mais il avait était si distant jusque-là que ça lui était difficile pourtant il continuer ses effort persuader cas un moment ou un autre l’elfe ce dévoilerait a lui. Il ne pouvait pas croire que ce qu’il lui avait dit hier c’était vraiment vrais. Il pensait qu’il avait était bien trop chambouler pour dire des choses correcte, et pourtant il ne pouvait s’empêcher de se sentir toujours vexer de son comportement. Pourtant quand il plongea son nez dans son cou, il ne put lui en vouloir encore. C’était vraiment la première fois que Aaron était ainsi et Shizuo était perdu de son coter ne sachant pas vraiment comment faire pour contrôler la situation, il avait l’impression que tout lui échapper, cette sensation insupportable d’être impuissant face à la douleur de son compagnon et il n’aurait jamais imaginé que cela aurait aussi dure à vivre pour lui. Le réprouvé continua de serré Aaron ne sachant quoi faire d’autre en le laissant pleuré autant qu’il voulait, il pouvait bien passer la journée là à mouiller son torse cela lui était égale par ce qu’au moins là il savait qu’il servait a quelque chose et qu’il l’aidé d’une manière ou d’une autre pour aller mieux ou pour au moins le soutenir. C’était tout ce que Shizuo chercher : le soutenir dans son épreuve, quel quels soit.

    Aaron « Sers-moi, sers moi encore »

Alors Shizuo le serra plus fort encore contre son torse et tans pis i il lui briser les os, il si il ne pouvait faire que ça pour lui, il donnerait au moins tout ce qu’il avait pour ça. Aaron ne demander pas la lune, alors il pouvait au moins faire ça pour lui, lui donner tout son soutien en le serrant ainsi, comme si ça vie dépendait de lui et c’était la plus grande vérité, sa vie dépendait entièrement de la sienne a présent.

    Aaron « Tu m'aides déjà Shizuo... sans toi je... »

Il avait l’air si faible dans ses bras, dans le ton de sa voix que cela brisa le cœur du éprouvé. Jamais il n’avait Aaron dans cette état a par le jour où il avait failli le tuer en repoussant son amour avec une violence qu’il regretter avoir abordé avec lui ce jour-là. Jamais il n’aurait dû être si agressif avec lui et lui avoir fait tant de mal, maintenant il regretté tout le mal qu’il lui avait fait et réalisa qu’il ne mériter pas vraiment recevoir autant d’amour lui qui l’avait souvent mit dans un état pareille à celui dans le qu’el il l’avait vu rentré… ou du moins pas loin de celui-là.

    Aaron « Promets moi... Promets moi de ne pas me protéger au péril de ta vie... comme mon frère la fait... J'étais faible et je l'ai laissé se faire tuer sous mes yeux... sans rien faire... Je sais que c'est lui qui m'avait ordonné de ne rien faire, comme toi tu l'aurais fait à sa place, mais j'ai du vivre sans lui pendant toute ses années. Et ce n'est pas me protéger que de mourir sous mes yeux... »

Shizuo ne comprenait pas vraiment ce qu’il chercher à lui dire. En réalité il ne voulait pas comprendre car cette demande était tout simplement impensable pour le grand blond. De plus il lui parler de son frère, il se souvenait vaguement que Aaron lui avait parlé de son frère mort, mais qu’est-ce que tout ça venait voir là-dedans, cela n’avait rien à voir, ou peut être que si après tout il n’en savait rien Aaron n’avait pas voulu lui dire ce qui était arrivé et pourquoi. Il ne pouvait faire que deviner et il comprenait que ça avait un rapport avec tout ça, il réalisa aussi que ce Ethan, devait être le nom de son frère qu’il ne lui avait jamais donner. Alors il l’avait perdu de cette façon ? Son frère avait simplement voulu le protéger ? Il avait raison, enfin plus ou moins, mais ce qu’il ne comprenait pas c’est qu’il savait plus qu’il ne pouvait le croire ce que c’était que de voir une personne chère son cœur mourir a sa place. Il revoyait encore le corps de sa mère en sang devant lui et lui pauvre enfant qui ne comprenait pas, la supplier d’ouvrir les yeux et venir ce blottir contre elle en lui demandant de ce réveiller alors qu’elle était morte… Shizuo ne préféra ne rien dire, il ne voulait pas répondre a cela car il ne trouver rien à dire. C’était trop dur pour lui et il ne savait pas comment Aaron prendrait sa réaction, alors dans son état il préféra le préserver de cela.

    Aaron « Si seulement j'avais été assez fort pour avoir une chance de le sauver... et maintenant il... »

Le réprouvé fronça les sourcils en serrant plus fort son elfe fragile contre lui, peut être devrait-il dire quelque chose en fin de compte et arrêter de le laisser patauger dans son malheur. Il devait faire quelque chose pour lui, mais il ne savait plus quoi dire, il était tellement perdu lui aussi, c’était vraiment une situation pour la quel Shizuo n’avait pas appris les règles de rigueur et il se retrouver comme à ses premier pas, totalement perdu dans un monde qui lui faisait peur.

    Shizuo « Aaron… calme toi. »
    Aaron « Je t'aime Shizuo... j'ai besoin de toi... de tes bras protecteur sur moi... de tes gestes si attentionné... de ton écoute... de ton soutien... mais je t'en supplis... promet moi que te ne mourra pas pour m'avoir sauvé, ne me laisse pas de cette façon, je ne le supporterais pas... ne me laisse pas tout cours... »

L’avait-il seulement entendu ? Si il voulait l’enfoncer avec lui dans la tristesse il était sur le bon chemin, mais Shizuo ne pouvait pas le laisser faire, il en était hors de question, il devait l’aidé à retrouver le sourire pas à ce complaire dans le chagrin et l’enfoncer avec lui dans ce trou noir. En plus cette promesse lui était impossible, il ne pouvait pas promettre alors contre son instinct, sa lui était naturellement impossible, c’était comme renier ce qu’i était au fond et cela personne ne pouvait le faire.

    Shizuo « Tu ne peut pas me demander ça… »

Shizuo soupira et fit basculer Aaron sous lui doucement pour s’allonger sur lui et l’emprisonner sous son corps, lourd et puissant. Il avait besoin de le sentir vivant contre lui, besoin qu’il sente sa chaleur et qu’il comprenne qu’il lui était impossible de promettre cela car c’était le genre de promesse que même un homme d’honneur comme lui briserait sans pouvoir rien faire contre.

    Shizuo « Tu me demande de me batter contre mon instinct, tu me demande de te regarder mourir pour pas que toi tu es à me voir mourir? Aaron te rend-tu compte de cette absurdité. Tu n’as pas était assez fort pour ton frère, mais il a fait ce qu’il devait faire, comme ma mère a donné sa vie pour la mienne, c’est ainsi et tu dois honorer ce dons au lieu d’en pleurer par ce que c’est ça qui n’est pas juste. Je sais à quel point c’est dur de ce dire qu’on a était incapable de sauver la personne qu’on aime. »

Shizuo se mit à l’embrasser tendrement d’une multitude de petit baiser pour apaiser sa peine, il ne pouvait pas lui mentir en lui faisant cette promesse, il devait lui faire ouvrir les yeux et lui faire comprendre qu’on ne pouvait choisir cela et que si une personne donner sa vie pour la sienne il fallait être digne de ce dont par ce que c’était la plus grande preuve d’amour qui soit et que cette personne ne devait pas avoir donner sa vie pour rien. Il avait mis du temps à le réaliser, mais c’était ainsi qu’il c’était mis en voyage et qu’il était devenu aussi fort, sans ça jamais il n’en serait là, il le savait bien et a présent en vivant avec Aaron il espérait au moins que sa mère était heureuse pour ça bien qu’il savait qu’elle devait la haire pour tous ces gens qu’il tuer de sang-froid.

    Shizuo « Même si je faisais cette promesse je ne pourrais Controller mon besoin de te protéger, c’est mon devoir, par ce que je préfère mourir que de vivre sans toi et puis… Si tu y tient vraiment je peux t’apprendre à te battre, mais sache qu’avec moi tu ne crains rien, tu devrais le savoir, je m’entraine tous les jours pour devenir plus fort pour toi, tu ne perdras plus jamais une personne que tu aimes, ça je peux te le promettre. »

Il lui fit un doux sourire en lui embrassant le front. Shizuo ferait tout pour ça, c’était son but dans la vie après tout, que leurs vie soit tout ce dont Aaron rêve, et pour cela il savait qu’il devait tout faire pour non seulement le protéger lui, mais les protéger eux d’eux car il savait que Aaron serrait malheureux sans lui, il n’y avait cas voir dans quel état il était à ce moment et la façon dont il le supplier. Oui, il pouvait lui promettre qu’il ne perdrait plus jamais rien, il ferait tout pour ça.
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Sam 15 Oct 2011, 22:09

Peut on considéré qu'une promesse est tenu si on a tout fait pour la tenir mais que le destin lui, ne l'as pas voulu?

    « Tu ne peut pas me demander ça… »

    A vrai dire, je m'attendais à cette réplique. J'aurais même été surpris s'il avait accepté, j'aurais sûrement même été déçu. Au moins, là ça prouvait vraiment qu'il m'aimait. Bien que j'aurais souhaité qu'il me dise un jour: « Je t'aime », chaque jour il me prouvait son amour, et c'était bien mieux que des mots. Je ne pouvais pas lui en vouloir de refuser, bien que ça me terrifiait. Je n'osais imaginer comment je pourrais continuer à vivre s'il venait à mourir pour moi.

    Il finit par bouger, se couchant sur mon torse. Il m'écrasait mais j'aimais quand il se mettait comme ça, je pouvais encore d'avantage sentir son corps sur le miens. Ensuite, il se mit à parler, cherchant des arguments pour me faire oublier cette stupide promesse. Je devais avouer qui était loin d'avoir tord. Il est vrai que je n'avais pas pensé que si c'était moi qui mourrait devant ses yeux, cela revenait au même. Et je ne l'avais pas vraiment vu sous cet angle, mais Ethan m'avait donner sa vie, et moi tout ce que j'avais fais pour le remercier, c'était m'isoler du reste du monde comme si j'avais été tué avec lui. Ces propos me serrèrent le cœur, c'était là encore une preuve de ma faiblesse. Mais maintenant que je savais que mon frère était vivant et qu'il n'était même pas venu me le dire, cet argument eut plus un goût amère qu'autre chose. Néanmoins, pour une fois j'avais l'impression que Shizuo me comprenait mieux que quiconque. Il était lui aussi passé par là avec sa mère. Je le regardais me parler avec des yeux encore brillant, un peu honteux. Pour une fois, c'était lui qui me faisait la moral, ce qui était assez troublant. Je ne savais même plus quoi dire.

    Après, il se mit à m'embrasser, comme pour me rassurer. Ce qui eut pour effet de me détendre encore plus, fermant mes yeux à moitié. Il était si doux, ce qui contrastait totalement avec les fois où il m'avait frappé sous la colère. Je me demanda alors, si après cet épisode, il allait recommencer à me battre. C'était étrange de penser ça, mais ses coups ne me dérangeaient pas vraiment. Généralement lorsqu'il faisait ça, c'est qu'il n'allait pas bien. Il exprimait sa colère qui le rongeait et si, me frapper pouvait l'aider à se sentir mieux, alors ça ne me dérangeais pas. L'amour qu'il y avait entre nous était si étrange que nous nous perdions à l'intérieur. Je disais des « absurdités » et lui il me frappait. Mais cela voulait juste dire que nous apprenions à nous connaître, que nous apprenions à aimer à notre façon.

    Ensuite, il poursuivit, cherchant d'autres arguments, mais il m'avait déjà convaincu. Toutefois, il conclut tout de même par une promesse. La promesse que jamais je n'aurais à perdre de nouveau quelqu'un que j'aimais et c'était une bien meilleure promesse que celle que je lui avais demandé. Seulement, elle me semblait bien plus dur à tenir. Personne n'était à l'abri de mourir à chaque coin de rue, juste parce qu'un pot de terre trop lourd vous ait tombé sur la tête. Or, cela me suffisait. Aucun d'entre nous deux ne viendrait à mourir, le sujet était clos. On en venait déjà à parler de notre mort alors que cela faisait si peu de temps que l'on vivait ensemble. Pourquoi fallait-il que je vois les choses aussi noir. Il était vivant, j'étais dans ses bras, pourquoi vouloir parler de choses aussi tragique? Certes, je m'étais fais tabassé, on m'avait avoué que mon frère était quelque part sur ces terres mais il existait bien comme situation pire dans ce monde cruel.

    J'étais à présent plus qu'apaisé. Shizuo m'avait ouvert les yeux et je n'avais plus peur. Je n'avais plus envie de me morfondre, voulant profiter du bonheur qui m'était offert maintenant. Évidemment, je ne pouvait oublier mon frère aussi facilement. Mais cela faisait sûrement longtemps qu'il était devenu un ange, il pouvait très bien attendre encore pour que je me préoccupe de lui. Je partirais à sa recherche quand je serais prêts. Le sommeil m'envahissait petit à petit et je me sentais partir avec mes yeux qui devenaient tout petit. Néanmoins, je trouva la force pour porter ma main sur le visage de mon compagnon afin d'effleurer sa joue.


    « D'accord. » dis-je dans un chuchotement.

    C'est tout ce que j'avais à dire. A présent je me concentrais sur son visage qui était creusé par l'inquiétude, scrutant les moindre détails. Doucement, mes doigts vinrent caresser le contour de ses yeux, descendant sur sa tempe et allèrent jusqu'à sa bouche. Je ne voulais plus qu'il s'inquiète pour moi. Il m'avait aidé, bien plus que je ne l'aurais pensé, c'est pourquoi je me montrais aussi doux. Il semblait également fatigué car le connaissant, il n'avait sûrement pas dût trouver le sommeil. Ma main prit finalement le chemin de son bras pour aller enlacer la sienne avec mes doigts. Je sentais que j'allais bientôt m'endormir pour de bon, et je ne voulais pas qu'il me laisse. Et puis lui aussi il fallait qu'il dorme un peu.


    « Ta mère... mon frère... ils ont peut être fait en sorte que l'on se rencontre de là où ils sont...encore et encore... » je fis remarquer juste avant de m'endormir pour de bon.

    Cette réplique montrait que je délirais encore un peu. Cela n'était pas vraiment possible vu que mon frère était vivant. Ou alors il me suivait sans cesse pour me soutenir sans que je ne le vois, mais cela était plutôt une hypothèse absurde. Ou bien encore, mon frère était vraiment mort et ses drows avaient menti. Je ne savais pas, je ne savais plus et j'avais bien besoin de sommeil sans cauchemar.

    Je me réveilla lorsque le soleil était déjà haut dans le ciel. Heureusement, Shizuo était encore sur moi, bien qu'il avait légèrement bougé pour ne pas trop m'écraser. Il dormait encore profondément et je vins effleurer ses lèvres avec les miennes. J'avais bien dormi cette fois-ci et je ne me sentais plus triste et désespéré. Je ne pouvais pas bouger, ne voulant pas le réveiller, mais cela ne me dérangeait pas. Je me contentais de regarder le plafond d'une expression lointaine et l'une de mes mains vint caresser très légèrement et machinalement le bras de mon compagnon. Quand il se réveillerait, il voudrait sûrement en savoir plus encore. Je n'avais pas envie d'en parler, mais il le faudrait bien au bout d'un moment. Il ne valait mieux pas qu'il y est de secret entre nous. C'est pourquoi, je chercha quoi lui dire, espérant par la même occasion qu'il ne poserait pas de questions.
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Dim 23 Oct 2011, 10:31


Shizuo voulait simplement qu’Aaron comprenne, comprenne ce que lui savait de ce genre de chose. Il était passé par le même chemin il y a bien longtemps avant lui, seulement avec le temps il avait posé une sagesse sur le sujet que Aaron n’avait pas encore trouvé. C’était peut-être à lui de le guidé, a lui de lui faire comprendre que ce n’était pas de sa faute, que son frère l’avait voulu et que d’être en colère n’honoré pas ce dons qui lui avait était fait. Shizuo sortit de ses pensées quand il sentit les doigts froids de l’elfe glisser sur son visage. Il ferma les yeux apaiser car Aaron avait l’air de c’être calmer et il se sentait mieux, son inquiétude s’envolant doucement. C’était la première fois qu’il ressentait ça a son propos, c’était très étrange et il n’avait su quoi faire mais au final il avait eu l’air d’avoir réussi et c’était tout ce qui compter pour lui, que Aaron ce sente mieux. Il sentit sa main descendre le long de son bras et puis il le laissa entrelacer ses doigts avec les sien sachant qu’il avait besoin de soutien de n’importe qu’elle genre.


    Aaron « Ta mère... mon frère... ils ont peut être fait en sorte que l'on se rencontre de là où ils sont...encore et encore... »

Shizuo eu un petit sourire, un peu triste a cette penser, mais quand il regarda Aaron pour lui répondre il vit qu’il c’était endormit. Il en fut soulager et se pencha pour déposer un simple baiser sur son front, puis, entourant sa taille de ses bras il le serra contre lui pour s’endormir à son tour ce promettant de toujours le protéger quoi qu’il arrive car il était la chose la plus précieuse qu’il procéder.

La lumière avait commencé à monter dans la pièce, mais pourtant Shizuo prit du temps à sortir de son sommeil, ce qui n’avait rien d’inhabituel au fond. Il devait être midi quand enfin Shizuo ce mit un peu à bouger, serrant plus fort encore le corps qu’il avait contre lui, entre ses bras. C’était toujours très dur pour lui, mais on ne pouvait pas vraiment lui en vouloir. Quand ses yeux s’ouvrir, il croisa directement le regard de Aaron, bien qu’il y voyait flou il sourit un peu ayant l’impression que ce qui c’était passer cette nuit n’avait était qu’un mauvais rêve, pourtant ce n’était pas si facile mais il était tellement encore dans le cocon du sommeille qu’il ne savait pas non plus très bien où il était. Il commença par s’étiré pour ce réveiller un peu avant d’embrasser Aaron pour un « bonjour » en bonne éduforme. Shizuo plongea son nez dans le cou de Aaron pour émerger en douceur ce qui n’était pas chose facile. Puis il grogna en se rendant compte petit à petit en analysant ses souvenir que ce n’avait pas était au mauvais rêve, mais belle et bien la réalité. Aaron c’était fait torturé et avait parlé de son frère puis de lui, de mort, de protection, Shizuo ne savait plus très bien où il en était mais il ressentit de la colère en revoyant l’état où il l’avait vue rentré cette nuit.

    Shizuo « Pourquoi ? Pourquoi on t’a touché? Je veux savoir pourquoi et qui Aaron ! »

Il c’était redresser planta son regard d’or dans le sien, dur, mais pourtant loin d’être agressif. Il n’en voulait pas à Aaron, ce n’était pas de ça faute, mais il voulait savoir ce qui était arrivé et il voulait aller réglé leur compte a ceux qui lui avait fait ça et qui sen tiré sans aucune punition, lui aller leur en donner une dont ils se souviendraient longtemps. Aaron n’avait pas intérêt de lui mentir, mais pour cela il ne se faisait pas trop d’idée, l’elfe devait savoir que ça n’arrangerait rien à la situation, ce qu’il fallait c’était qu’il soit honnête avec lui et il n’y aurait aucun problème, juste un peu plus de sang sur les mains du réprouvé, mais cela ne changer pas grand-chose. Il voulait aussi savoir car Aaron n’était pas du genre à avoir des problèmes, alors il voulait savoir pourquoi lui ? Et il espère que cela n’avait rien avoir avec lui, mais il se douter que c’était avec son frère, hors il était mort n’est-ce pas ? Shizuo voulait savoir… il était perdu et détester cette situation…

[HJ] Je suis désoler c'est pas long du tout éè
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Mar 25 Oct 2011, 12:50

La vérité est parfois plus difficile à accepter que le mensonge

    C'était un vrai amusement que de regarder Shizuo se lever. On aurait dit un petit enfant qui tentait désespérément de se réveiller. Il gigotait, il me serrait, il grognait comme si c'était la plus dur des épreuves et parfois j'en riais discrètement car dans ses moments, j'étais souvent à ses côtés, tel une peluche qui l'aidait à émerger. S'il savait que je me moquais de lui tous les matins, il aurait vite fait de me renvoyer dans mon appartement. Mais pour rien au monde je souhaitais que cela cesse, c'était d'ailleurs l'une des nombreuses raisons de mon amour pour lui. Seulement, ce matin, bien qu'il était plutôt midi, j'avais du mal à en rire. J'étais encore bien trop plongé dans mes pensées. Je le sentis bouger, me laissant totalement manipuler comme d'habitude, appréhendant à chaque instant ce que j'allais bien pouvoir lui dire. Au moins, tout ce temps où il mit à se réveiller me permis de réfléchir un peu plus.

    Après quelques minutes, Shizuo finit par se relever brusquement, plantant son regard dans le mien. Il voulait tout savoir et je soupira tout en détournant le regard vers la fenêtre, observant le paysage d'un air vague. Doucement, je me releva à mon tour, m'adossant contre la tête de lit puis je posa mon menton sur mes genoux que j'avais approché contre mon torse. Qu'est-ce que je pouvais bien lui dire. Il semblait tellement horrifié du sort que l'on m'avait fait que je me serai considéré comme criminel si je ne lui disais rien. Seulement dans ma tête, cela n'avait plus beaucoup d'importance. Oui, m'avait tabassé, mais ce n'était pas le plus traumatisant. En fait, je n'arrêtais pas de me demander comment cela se faisait que je n'avais jamais su que mon frère était vivant, qu'il n'était jamais venu me le dire. Je cherchais toutes les solutions inimaginable mais aucune ne tenait la route. Est-ce que je devais lui faire part de mon inquiétude ou alors devais-je lui raconter ce qui m'étais arrivé? Et puis, qu'est-ce qu'il allait faire après? Il chercherait mon frère? Il tuerait ses assassins de drows? J'avais tellement envie que tout cela soit qu'un rêve. Si je lui disais tout, c'était accepté la vérité et c'était vraiment une épreuve pour moi. J'avais une grosse boule dans la gorge, mais je finis par lâcher d'un ton tellement neutre que cela devait en être effrayant.


    « Les assassins de mon frère m'ont tabassé pour savoir où était Ethan. Je leur ai dit qu'il était mort, mais apparemment, il aurait ressuscité en ange. Ils ont ajouté que mon frère avait tué un des leur et que maintenant ils voulaient se venger une bonne fois pour toute et le tuer une nouvelle fois. Ils ont recommencé à me frapper et comme je n'étais au courant de rien, il m'ont laisser en plan. Je suppose qu'ils ne m'ont pas tué moi aussi car ils pensent sûrement que je peux les mener à lui... »

    J'avais essayé de raconter ça de manière la plus courte possible. Je ne voulais surtout pas lui raconter les détails qui l'inquièteraient pour rien. Le fait d'avouer tout cela à voix haute me refis remonter tout un tas d'émotions que j'avais réussis à taire pendant la nuit. Je sentis les larmes me remonter aux yeux plus vite que je ne l'aurais cru. D'ailleurs, je ne fis rien pour les arrêter. Des perles salées coulaient tout doucement et silencieusement sur mes joues. Moi je regardais toujours par la fenêtres comme si de rien était. Puis, tout à coup, je me tourna vers mon compagnon et je demanda d'un ton presque enfantin:

    « Ils ont mentis, hein Shizuo? Mon frère est mort, et il le restera toujours, c'est comme ça que ça fonctionne! »

    Ses quelques paroles parvinrent à me rassurer moi même. Du revers de ma main, j'essuya prestement mon visage mouillé et je me concentra de nouveau sur l'extérieur. Est-ce que Shizuo allait vouloir en savoir plus? En tout cas je ne me posais plus la question. Maintenant que j'avais déballé ce qu'il voulait savoir, je ne pensais plus à rien, comme si mon esprit refusait de fonctionner pour me protéger.


HJ: t'inquiète, moi aussi c'est pas toujours évident ^^"
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Mer 30 Nov 2011, 20:59


Cette situation était d’une tel étrangeté que Shizuo ne savait plus ni quoi faire ni quoi dire. En réalité il n’avait jamais su comment réagir dans ce cas de situation. Le genre douloureux et délicat. Le réprouvé n’avait rien de délicat et le seul sentiment qu’il éprouver à ce moment était une profonde colère, une sourde envie de vengeance. C’était sa façon d’aimer, de compatir. C’était avoir vue l’elfe dans cette état pitoyable et savoir qu’on avait levé la main sur lui qui le rendait ainsi, alors oui, c’était surement une preuve d’amour. Seulement il réaliser que ça ne suffisait pas, pour Aaron qu’est-ce que cela changerait qu’il soulager sa haine ? Rien… ou pas grand-chose, pourtant malgré cela Shizuo ne quitterait pas cette idée, c’était certain. Pourtant il était prêt à faire en sorte que Aaron ce sente mieux, il l’avait d’ailleurs prouvé en faisant des choses qui ne lui ressembler pas beaucoup et qui était réellement inhabituel. D’ailleurs il était aisé de voir à quel point le grand blond n’était pas très alaise face à ces geste d’affection et de réconfort, mais il s’efforcer de ne pas le montré avec son flegme habituel. Seulement ce n’était pas son flegme qui aller arranger les choses et en l’occurrence cela avait l’air vraiment grave au point que jamais Shizuo n’est vue Aaron dans un état pareille. En réalité en y pensant, jamais Aaron ne lui avait vraiment parlé de sa vie, il avait tout fait pour que lui parle de la sienne, lui qui ne sortait jamais un mot alors que lui ne lui avait pas dit grand-chose. Est-ce que c’était injuste ? Non, pas vraiment mais en tout cas il ce retrouvé désarmer sans tout comprendre. Il avait un frère mort, et après ? Il ne savait rien n’y de son père n’y de sa mère et pourquoi il fuyait la nature lui qui était un elfe et donc directement lier à cela ? Il se rendait bien compte qu’il y avait des coins sombres et il se sentait encore plus démunie face aux soucis de son elfe quand il réalisa cela. Ce sentiment d’impuissance profond qui faisait couler petit à petit sa colère contre la douleur de n’être pas utile à grand-chose si il n’arriver même pas à faire ce qu’il fallait pour la personne qui compté le plus à ses yeux et qu’il avait juré de protéger jusqu’à la mort. D’une façon ou d’une autre ce moment était celui qui lui permettrait peut être d’en savoir plus et de ce rattraper, mais cela ne changer pour Shizuo qui se rendait compte qu’il n’était vraiment pas fait pour être aimer et pourtant Aaron le faisait, il ne savait par quel miracle.
Enfin, ce fut le moment que choisit Aaron pour lui répondre, mais son ton le fit frissonner tellement il avait l’air indifférent a ce qu’il disait et pourtant ça n’était pas rien.
    Aaron « Les assassins de mon frère m'ont tabassé pour savoir où était Ethan. Je leur ai dit qu'il était mort, mais apparemment, il aurait ressuscité en ange. Ils ont ajouté que mon frère avait tué un des leur et que maintenant ils voulaient se venger une bonne fois pour toute et le tuer une nouvelle fois. Ils ont recommencé à me frapper et comme je n'étais au courant de rien, il m'ont laisser en plan. Je suppose qu'ils ne m'ont pas tué moi aussi car ils pensent sûrement que je peux les mener à lui... »
Il avait dit cela comme si cela ne le toucher pas, extérieur a cette histoire à la fois étrange et terrible pour l’elfe. Jamais Shizuo n’avait entendu de telles histoires. Il resta quelque secondes sans que son cerveau ne comprenne tout et pourtant une fois les morceaux du puzzle coller il fronça les sourcils. Son frère était en vie ? Réussite en ange ? Pourquoi un type qui c’était fait assassiné et qui donc a son sensée mérité d’une manière ou d’une autre de mourir avait pu devenir un ange ? Pour lui, et malgré ce que cette lumineuse race lui avait fait subir autre fois, cette race était la plus belle et la plus sainte qui soit. Hors voir des assassins aussi acharné à leur tâche pour tuer une personne même âpres leur vengeance c’était bien que cette personne n’avait pas fait que du bien dans son ancienne vie. Shizuo ne voulait pas dire que le frère de Aaron mérité ce qui lui arriver mais il avait du mal à admettre que vue ce qui arriver, il soit tout blanc. Le blond garda le silence en fixant ce pauvre Aaron si troubé qu’il en était encore plus pâle que d’habitude. Il ne pouvait rien faire encore une fois, et ne savait pas quoi faire d’autre que le prendre contre lui pour tenté de lui donner sa chaleur, mais à quoi bon ? Il savait la douleur que c’était d’avoir perdu une personne qu’on aime infiniment, mais imaginer qu’elle soit en vie et en payer les conséquences… ça non il ne pouvait imaginer le mal que cela faisait et pourtant quelque part il la jauger d’une certaine manière, plus encore face à la détresse de l’elfe face à lui. Les larmes couler sur les joues de Aaron et le réprouvé ne sut quoi faire gardant simplement le silence, incapable de faire plus que ce qu’il faisait déjà. Que pouvait-il dire de toute façon ? Cela n’aurait rien arrangé, vue les qualiter de Shizuo dans ce genre de moment, cela aurait pu même faire tout le contraire alors il ce tut jusqu’à ce que Aaron ce retourne vers lui avec un air qu’il ne lui avait jamais vue.
    Aaron « Ils ont mentis, hein Shizuo? Mon frère est mort, et il le restera toujours, c'est comme ça que ça fonctionne! »
Il n’y avait plus rien de vide dans le visage et les parole de son compagnon, au contraire il avait l’air remplit d’une nouvelle détresse, presque une panique qu’il transmit a Shizuo. Il avait l’air plus fragile que jamais, comme si Shizuo lui-même n’avait cas l’effleuré pour le briser et ça lui fit plus peur que tout. Que faire ? Que répondre de nouveau à cela ? Plus le temps avancer et plus il ne savait que faire pour lui. Comme un étau, il se sentait prit au piège. Lui il ne savait faire qu’une chose, c’était réglé les problèmes par la violence seulement là il ne pouvait pas c’était impossible et il le réaliser bien.
Le réprouvé fit la seul chose qui lui parut la plus évidente, il serra Aaron contre lui le plus fort qu’il put en prenant l’étrange perfection de ne pas le casser. Dans son esprit rien était clair et pourtant il chercha quelque chose à dire, quelque chose de réconfortant, quelque chose qui aurait pu aider Aaron ou le soutenir or c’était bien plus simple d’y croire que de le faire réellement et quand il ouvrit enfin la bouche, ce fut un désastre.
    Shizuo « Le pense-tu vraiment ? Ne serais-tu pas heureux de revoir ton frère ? »
Ce fut évidant pour Shizuo qui aurait tout donné, jusqu’à sa vie pour revoir sa mère ne serait-ce que quelque minutes seulement, or pour lui c’était définitivement impossible, le monde réalisé des miracles mais il lui avait déjà offert un ange et ne pouvait lui offrir plus. Oui pour lui Aaron était un ange, pas un vrais, mais son ange gardien, cette lumière qui l’éclairé alors qu’il était en train de sombré dans le noir et qui le ramener a la vie petit à petit. Il prit alors le visage délicat d’Aaron entre ses grandes mains abîmé par les combats et il plongea un regard qui se voulait doux et réconfortant dans le sien. Il parler lentement, presque en murmure voulant lui montré qu’il était de son coter, mais il ne comprenait pas sa réaction. Il avait aimé son frère non ? Alors pourquoi préféré qu’il soit mort plutôt que d’apprendre qu’il était peut être envie et d’avoir cette espoir pour vivre ?
    Shizuo « Je sais, peut être que ces hommes on mentit, peut être que c’est faux mais si ce n’était pas le cas ? Ne voudrais-tu pas le revoir ? »
Il laissa ses mains glisser sur le corps de son ami, jusqu’à sa t’aille et il l’entoura de ses grands bras protecteurs pour le prendre contre lui et venir lui embrasser le haut de la tête. Ça n’était pas contre lui, il chercher juste à le comprendre et a l’aidé au mieux. Pour le reste il ce chargerai de ces hommes qui s’en était pris à lui, il n’avait plus à s’en inquiéter, mais Shizuo savait que Aaron en avait conscience, jamais Shisuo ne les laisserait en vie et il ferait tout pour savoir le fin fond de cette histoire avant de leur arracher les entrailles pour avoir osé toucher à son elfe.
    Shizuo « Est-ce qu’il y a quelque chose que tu ne m’as pas dit ? Quelque chose que tu caches? Je… je ne te suis plus tu comprends? »
Il était plongé dans un floue qu’il n’arriver pas à admettre, il avait besoin d’en sortir pour se sentir moins mit à l’écart moins impuissant, aussi cela paraissait impossible si Aaron n’était pas honnête avec lui, ou du moins, qu’il l’éclaire simplement par ce qu’il était perdu.
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Ven 23 Déc 2011, 13:56

Ne plus pouvoir se contrôler

    J'avais l'impression de me désagréger de l'intérieur. Plus je pensais à mon frère, peut être vivant, quelque part, depuis tout ce temps, et qu'il était même pas venu me voir, plus le vide s'installait en moins. C'était tellement omniprésent dans mon esprit que c'était tout juste si je remarquais encore la présence de Shizuo. Ce n'est que lorsque qu'il me serra fort dans ses bras que je me souviens combien c'était lui qui avait le plus d'importance dans ma vie. Heureusement qu'il était là, sa présence me rassurait, même si je n'en avais pas l'air. Le simple fait d'avoir tout déballé avait totalement retourné mon cerveau. J'étais paniqué de l'intérieur, mon cœur battait à vive allure et j'avais l'impression de vivre un lavage de cerveau avec tout ces émotions qui affluaient. Une fois de plus, je m'agrippais à mon amant comme si ma vie en dépendait. Les larmes continuaient de glisser sans que je ne puisse rien faire contre et seul l'odeur de son cou que je respirais sans modération parvenait légèrement à me calmer, comme si c'était des vapeurs aidant à s'endormir.

    Shizuo se remit à me poser des questions et elles mirent un temps à pénétrer mon esprit retourné. Je n'entendais que ma douleur et je devais me concentrer pour comprendre ses mots, d'autant plus qu'ils semblaient ne rien vouloir dire. Est-ce que je voulais revoir mon frère? Sur le coup je trouvais cette question totalement absurde. Et j'avais envie de frapper mon amant pour avoir oser la poser. Cela faisait des années et des années que je ne voulais qu'une chose, le revoir. Et pendant toutes ces années je n'avais jamais voulu accepter cette mort. Depuis que j'avais rencontré Shizuo, j'avais enfin réussis à faire le deuil, à moins souffrir, et voilà que lui, il me posait cette question stupide! Je sentis la colère me monter dans les veines, la mauvaise colère qui me faisait regretter mes gestes et de mes mains, j'agrippais les bras de mon amant, les serrant le plus fort possible, voulant lui faire mal, comme j'avais mal. Mes sanglots furent soudainement bruyant. Tous les mots que j'avais dis, plus les questions qu'avaient posé Shizuo me faisait revivre une douleur immense du passé. J'avais l'impression que mon âme se déchirait et de l'extérieur, je devais passer pour un enfant qui fait une grosse caprice, mais c'était bien plus fort que moi. La dernière fois que j'avais été dans un état pareil, c'était quand on m'avait séparé du corps inerte de mon frère.

    Ce n'est que lorsqu'il demanda ce que je cachais que étrangement, je sentis ma colère s'évaporer doucement. Shizuo ne voulait pas m'enfoncer, juste m'aider. Seulement j'avais peur de dire la vérité. Pas parce que je ne lui faisais pas confiance, bien au contraire, juste parce que cette vérité était plus douloureuse que tout. Mais ma raison et la détresse de Shizuo était la pour me pousser à la dire. Peut être bien que cela m'aiderait. Et puis d'un autre côté, c'était comme si je n'avais pas la choix, il fallait que je sorte cette douleur de mon corps. Mes sanglots envahissaient la pièce, les tremblements secouaient mon corps encore fatigué, néanmoins, je réussis à prononcer quelques mots, entrecoupé de sanglots:


    « Si....Je veux le voir... c'est mon désir le plus cher depuis que je l'ai vu mourir... Mais... lui... il ne veux pas me voir... sinon... il serait venu...non? »

    Malgré cet aveu, j'avais encore beaucoup de mal à me calmer. Mes larmes avaient complètement mouiller le torse de Shizuo. Je finis tout de même, par une mystérieuse force, à lever la tête pour croiser son regard emplie de détresse et seul cette vision plus douloureuse que tout réussis à me calmer un peu. Mes sanglots cessèrent, bien que ce ne fut pas le cas de mes tremblement et de mes larmes.

    « Pourquoi voudrais-je le revoir si lui ne le veux même pas Shizuo... Je voulais juste réussir à l'oublier moi... Pourquoi on m'annonce ça maintenant alors que j'étais enfin heureux avec toi... »

    A ces mots, je revins fourrer ma tête dans le cou de mon amant, pour ne plus à avoir à le regarder dans les yeux. Je pleurais et tremblais encore est toujours, me demandant quand est-ce que ça irait mieux. Peut être bien qu'il y avait une explication logique, peut être que mon frère ne m'avait tout simplement pas retrouvé, peut être avait-il perdu la mémoire. Mais moi j'avais l'esprit trop pessimiste, et traumatisé pour pouvoir me faire cette réflexion rassurante. Dans ma tête, Ethan ne m'aimait plus, et j'avais perdu des années de ma vie à penser à lui, à souffrir pour rien...
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Dim 19 Fév 2012, 13:06

« N’oublie Jamais »

« Un amour excessif est un amour coupable. »

Tout ce que voulait Shizuo c’était que Aaron soit heureux, ou du moins qu’il vive sans souffrir. Il ne savait quoi lui donner de plus que sa protection et son affection quand il arrivait à la trouvé, mais savoir qu’il n’avait pas réussi à accomplir sa mission lui faisait mal. Il en savait si peut sur Aaron au fond, il avait un frère, mort, il était un elfe qui avait fui sa maison et son milieux naturel. Pour finir lui qui était si peut bavard et qui détesté parler de lui en avait dit beaucoup plus sur sa vie personnel que son petit elfe. De plus il était perdu par tout cela et furieux de ce qui était arrivé. Il n’aurait jamais imaginé qu’on puisse s’en prendre à Aaron de cette façon, c’était complétement incongrue à ses yeux et pourtant cela avait bien était le cas. Le réprouvé ne savait quoi trop faire face à cette situation et il ne savait quoi dire à Aaron qui était si troublé par la révélation de son frère vivant. Ce qu’il ne comprenait pas c’était la colère de l’elfe contre son frère, il était en vie et lui il lui en voulait ? Pourquoi une telle réaction ? Shizuo avait vu chez Enki et Lison leur réaction face à leur retrouvaille et si il y avait eu de la colère c’était sur tout l’inverse qu’il avait vue.
    Aaron Si....Je veux le voir... c'est mon désir le plus cher depuis que je l'ai vu mourir... Mais... lui... il ne veux pas me voir... sinon... il serait venu...non ?
Le réprouvé comprit la situation. C’était assez logique, mais Aaron n’avait pas l’aire de comprendre que l’inverse était surement vrais aussi. Son frère devait avoir peur de sa réaction, il devait même vouloir le protéger vue ce qui venait d’arriver, ou encore pensait-il que son frère était passé a autre chose et que c’était mieux ainsi, il y avait tant d’explication a tout cela. Shizuo n’était pas très bon en relation humaines mais il avait assez vécue de situation pour connaitre quelque scénario à ce genre de situation. Il n’osa pourtant lui dire quoi que ce soit. Aaron était dans un tel état, tremblant, pleurant, Shizuo était perdu et désemparé, absolument pas alaise dans cette situation. L’elfe ce redressa et il put croisé son regard, il était tellement sombre de douleur que pour la première fois réellement Shizuo ressue un coup dans la poitrine, son cœur ce brisa et il perdit la parole.
    Aaron Pourquoi voudrais-je le revoir si lui ne le veux même pas Shizuo... Je voulais juste réussir à l'oublier moi... Pourquoi on m'annonce ça maintenant alors que j'étais enfin heureux avec toi...
Là, il ne savait plu si il devait réellement lui dire ce qu’il pensait ou non, si il le blesserait en étant honnête ou en gardant ça pour lui. Aaron revins ce lover contre le réprouvé et il serré ses bras autour de lui en soufflant pour prendre son courage à deux mains, quelque part tout ça le dépasser mais il ne pouvait fuir, c’était son devoir à présent de prendre soin de lui.
    Shizuo Ecoute, Aaron. Je pense que tu n’es pas juste avec ton frère. Il peut avoir des centaines de raisons pour les quel il n’est pas venue, tu ne peux pas le juger pour cela. Imagine comme ça peut être dur pour lui.
Shizuo réfléchit un peu a comment lui dire pour ne pas encore plus l’enfoncer dans sa douleur. Lui qui avait tendance à ne pas réfléchir quand il ouvrait la bouche prenait une grande concentration pour y penser. C’était un effort pour lui, un vrais effort.
    Shizuo Peut-être veut-il te protéger ? Ou regarde, peut-être qu’il pense a juste titre que tu es passé a autre chose et que tu n’as pas besoin d’avoir un nouveau trouble dans ta vie… Aaron, calme toi et comprend que si toi tu es bouleversait lui aussi doit l’être de s’empêcher de te voir, mais je crois qu’il a surement une bonne raison. Ne le juge pas, laisse lui le bénéfice du doute.
Il laissa son nez venir s’enfouir dans les cheveux de son elfe serrant son corps contre le sien, oubliant qu’avec sa force il pouvait le briser.
    Shizuo Ne gâche pas cette chance, il est en vie, s’il te plait profites en.
Pour lui c’était une vrais torture car il aurait tout donner pour que sa mère soit en vie et aujourd’hui qu’il voyait un miracle s’accomplir il ne pouvait pas laisser Aaron ne pas en profité, ne pas voir la chance incroyable qu’il avait. Il le suivrait dans ses choix, mais il ne pourrait pas admettre qu’il renonce à cela, jamais !

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Sam 31 Mar 2012, 12:05

L'amour triomphera toujours

    J'étais plus que jamais désespéré mais heureusement que Shizuo était là, à me serrer dans ses bras, qu'il m'aimait avec ses gestes sinon je n'ose imaginer comme j'aurais encaissé tous ses derniers évènements. Mes paroles étaient évidemment purement égoïste mais c'était plus fort que moi, la douleur me faisait dire des choses que je n'aurais jamais dites en temps normal. D'ailleurs, lorsque je m'étais fais tabasser, je m'étais promis de ne rien dire à Shizuo je savais que sa mère était morte et qu'il aurait tout donner pour être à ma place. Je n'avais pas voulu qu'il me croit égoïste et pourtant, j'avais fait tout le contraire. Quand je suis rentrée et que je l'ai vu là inquiet, me suppliant de lui dire ce qu'il s'était passé, je n'avais pas pu faire autrement que de tout lui avouer, oubliant totalement les promesses que je m'étais faîtes.

    Maintenant qu'il était là, à me dire que ce n'était peut être pas la faute de mon frère s'il n'était pas venu me voir, qu'il y avait des tas de raisons pour ça, c'était comme si je recevais une grosse gifle de sa part. Une gifle oui, mais pas une gifle qui vexe, une gifle qui remet à sa place, qui fait qu'on devient tout honteux juste après. Plus Shizuo m'avançait des arguments, plus mon souffle devenait silencieux, plus tout mon corps se paralysait. Je réalisais petit à petit ses paroles et petit à petit je réalisait que j'avais été égoïste de dire ça. D'un autre côté, j'en été vraiment soulagé de savoir que, oui, peut être, mon frère n'était pas maître de cette situation. Oui, Shizuo avait forcement raison, Ethan était sûrement dans l'incapacité de me retrouver. A cette idée, mon cœur se calma et j'osai de nouveau relever la tête vers mon amant, les yeux encore plein d'émotions mais cette fois ce n'était plus du désespoir mais bel et bien de l'espoir.


    « Tu crois? Tu crois qu'il m'aime toujours? » Je fis une petite pause, réalisant que m'a question était des plus absurde. Bien sûr qu'il avait raison! « Enfin... oui... tu as raison... je... je suis désolé... je suis trop égoïste. Mon frère m'aime... il m'as toujours protégé... Il faut... Il faut que je le retrouve... Il vont le retrouver... pour le tuer de nouveau... »

    Je ne savais toujours plus ce que je disais. Tout s'embrouillait dans ma tête encore une fois... Mes bras serraient le corps de mon amant encore et toujours. Mon souffle était rapide tel un mélange de soulagement et de panique. Il fallait que je me calme, je m'en rendais bien compte au fond de moi.

    Alors doucement, je réussis à m'appaiser, à apaiser mon cœur qui n'en pouvait plus d'être malmené depuis plus de 24heures avec toutes ses émotions. Doucement, je me dégagea de l'étreinte de mon amant pour le regarder comme un enfant regarde son amoureuse.

    « Je t'aime » dis-je d'ans un souffle. C'était sortit tout seul, mais c'était comme la conclusion de mon cœur. « Je... je sais plus ce que je dis. Je ne veux pas que tu souffre aussi... pour moi...Je suis désolé. »

    D'un revers de main, j'essuyai les dernières gouttes de larme qui étaient encore dans mes yeux. Mon cœur s'était allégé, mais ce n'était pas encore ça. Il fallait absolument que je reprenne contenance. J'étais un homme, j'avais déjà déçu ma famille en pleurant pendant des jours mon frère, il ne fallait absolument pas que je recommence avec Shizuo qui faisait tout pour me calmer alors qu'il ne faisait ça avec personne d'autre. Je fini par approcher mon visage du siens afin de lui voler un doux et léger baiser d'amour. Puis, je revins me rassoir en face de lui, baissant la tête un peu encore honteux, ne disant plus un mot.

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Sam 31 Mar 2012, 14:07


Shizuo n’était pas bien fière de lui sur tout dans cette situation. Ce n’était vraiment pas son truc de réconforter les autres mais en même temps comment aurait-il fait autrement ? Il n’aurait pas supporté laisser Aaron ainsi dans cette état sans même l’aidée a ce soigné ou a ce sentir mieux. Il n’était pas comme ça. Il avait beau être insensible sur beaucoup de chose, là il ne pouvait rester sans rien faire. Ainsi il serré l’elfe dans ses bras espérant que cela lui faisait du bien. Il ne disait rien quand a la souffrances qu’il ressentait alors que le brun se plaignait de son frère vivant, qu’aurait-il donner pour que sa mère soit en vie qu’il là revois ou non, peut lui importer, mais il savait que cela était impossible, elle était belle et bien morte. Aaron avait une chance, une énorme chance mais il n’avait pas l’air de s’en rendre compte et il y avait de quoi ce mettre en colère, seulement le réprouvé était incapable de faire cela maintenant. L’elfe était encore chamboulé il supposé que c’était normal après tout. Aaron ce redressa et Shizuo planta son regard dans le sien. Il était si fragile qu’il avait l’impression qu’il pouvait le briser entre ses bras.
    Aaron Tu crois? Tu crois qu'il m'aime toujours ? Enfin... oui... tu as raison... je... je suis désolé... je suis trop égoïste. Mon frère m'aime... il m'as toujours protégé... Il faut... Il faut que je le retrouve... Il vont le retrouver... pour le tuer de nouveau...
Qu’est-ce qu’il pouvait lui dire ? Il n’en savait rien. Shizuo n’avait pas le droit de l’empêcher de chercher son frère pour le sauver, mais cela ne l’empêcher pas de ne pas être d’accord. C’était un faite en cherchant son frère Aaron ce mettait en grand danger et ça il avait du mal à l’avaler. Il ne pourrait rien contre ces hommes qui s’en était pris à lui et rien ne disait que si il lui retomber dessus cette fois ils le laisseraient en vie. C’était un dilemme pour le réprouvé, lisser son elfe retrouvé son frère au risque de se faire tuer, ou l’en empêcher et ce faire haire pour les siècles à venir ? Le réprouvé était perdu et ne savait vraiment pas quoi dire ni quoi faire.
    Aaron Je t'aime
Shizuo eu un frisson. Il détester cette façon qu’il avait de le regardé en disant ça, il ne se sentait pas bien, troubler et affaiblit. C’était insupportable a ses yeux, mais aussi grisant. Le réprouvé dévia alors son regard ne pouvant le soutenir. Pourquoi lui faisait-il toujours subir ça ?
    Aaron Je... je sais plus ce que je dis. Je ne veux pas que tu souffre aussi... pour moi...Je suis désolé.
Il c’était séparé de lui et Shizuo sentit l’agacement le prendre, jusqu’à ce qu’il sente les lèvres du brun sur les sienne. Lors ce qu’il ce recula il soupira ne pouvant cet mettre en colère contre cette être fragile et blesser, pourtant il en avait une forte envie.
    Shizuo Arrête d’accord ?! Que je soufre pour toi ou non ça revient au même alors arrête de me faire cette tête de gamin perdu ça m’énerve.
Il n’avait pas pu s’en empêcher, mais l’elfe n’avait pas l’air de se rendre compte. Shizuo souffrait tous les jours, c’était un être torturé qui ne vivait pas un jour sans avoir mal au souvenir de son passer et il venait lui dire qu’il était désolé qu’il soufre pour lui ? Qu’est-ce que ça changer ? Un peu plus ou un peu moins c’était pareil. Shizuo se leva et s’approcha de ses armes pour les attacher autour de sa taille.
    Shizuo Je ne vais pas te laisser chercher ton frère seul, je vais y aller et crois-moi si je croise ceux qui s’en sont pris à toi ils se souviendront de mon visage.
La fureur ne s’estompé jamais chez lui, sur tout la rancœur. Il voulait sa vengeance et si en plus il pouvait aidée Aaron alors il foncerait tête baisser. Il n’avait pas peur des conséquences qu’importe après tout il n’avait pas peur de ce prendre des coups, il n’avait rien à perdre dans cette histoire.
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Can't it be a nightmare ? [pv Aaron]

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