Le Deal du moment :
Display 24 boosters Star Wars Unlimited – ...
Voir le deal

Partagez
 

 [EVENT] Partie I | La Prison

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Invité
Invité

avatar
Mar 17 Juin 2014, 00:18

De coté de Maya et Milo, le combat tournait un peu étrangement... Premièrement, Milo était comme paralysé, l’homme qui venait de lui sauver la vie n’était pas un inconnu et même que c’était l’un des personnes qui lui donnais de sueur froide... Des souvenirs pas très agréable lui revenait à l’esprit... D’ailleurs il l’observait un moment sans bouger alors que la bataille faisait encore rage dans les environs. Maya l’attrapais alors par l’épaule pour le mettre debout et le réveiller un peu et lui disait :

Bouge-toi un peu, ce n’est pas le moment de faire la sieste... Il faut rejoindre la porte, on dirait qu’elle va céder.

Oui... D’accord.

En effet, quand celle-ci sortait Milo de sa torpeur, un homme presque de la taille d’un géant était d’un animal tout aussi imposant fonçait pour détruire la porte qui semblait être à deux doigt de craquer. Mais en même temps on pouvait entendre Amelia mettre en garde sur une femme qui venait de jeter un flacon. Maya sortit alors un morceau de tissus et faisais signe à Milo de faire la même chose... Alors que mes deux compagnons retournaient au-devant de la porte un des hommes sous l’influence du flacon sans doute, tentait de sauté sur Maya... Maya aidé de Milo réussi sans trop de problème à le repousser pour continuer leur route pour se retrouver juste devant  la porte ou se trouvait Dan.

Moi je me battais toujours contre ses tentacules au niveau des douves, un jeune homme... Sans savoir qui c’était, ni qu’il venait de sauver la vie de Milo, venait me prêter main forte... Je ne discutais pas et profitait de son aide pour enfin parvenir à faire un peu sortir la bête... J’étais complétement en flamme et quand je pouvais voir le monstre plus ou moins hors de l’eau, je créais comme des tentacules de flammes qui entouraient ses tentacules pour finir par l’entourer complètement... Je voyais un homme ensuite tomber dans les douves, j’avais bien pensé à le repêcher, mais si je plongeais aussi, je serais moi-même en danger, mais finalement, c’était en créant des flammes aussi noires que la nuit sur la surface de l’eau qu’il réussit à s’en sortir... J’avais déjà entendu parler de ses flammes noires, des flammes qui ne s’éteignaient pour ainsi dire jamais... Mais je n’avais pas le temps de trop y pensé quand je pouvais voir Maya qui me lançais l’épée qu’elle avait récupéré pour me faire signe et me dire :


La porte est ouverte !

Je fonçais alors rapidement près de mes compagnons, je pouvais voir d’ailleurs que Dan avait repris sa petite taille. Pour rapidement se mettre sur mon épaule. Il était de toute façon pour le moment plus pratique d’être petit car, même si les couloirs n’était pas hyper étroit, avec le monde qui entrait cela risquait de devenir complique de circuler sans se marcher dessus. Sans vraiment se parler, on s’avançait dans les dédales de la prison. Je prenais la tête de ma petite troupe, mais sans vraiment le remarquer lors d’un passage dans les escaliers, un mur se déplaçais et me séparait de Milo et de Maya. Je me retrouvais avec d’autre gens et retrouvait même Amelia et Isiel qui semblait avoir quelques ennuis... Pire que cela, un mur faisait disparaitre Amelia qui se trouvait totalement isolé. Ayant remarqué qu’Isiel ne contrôlait plus son corps. Maya et Milo décide de mettre vite au plan en place pour ne neutralisé rapidement. Avant les ennemis, Maya voulait s’assurer Isiel qui était presque un ami ne risque plus rien... D’une jolie acrobatie, elle faisait une pirouette sur lui pour qu’il soit dos à Milo, elle le frappa de ses deux pieds sur le ventre dans le but de le poussé vers Milo qui lui tentait de lui bloquer les bras avec son bâton pendant que Maya revenait avec une corde pour l’attacher le temps qu’il puisse se contrôler.  Encore une fois sans trop se préoccuper des ennemis au alentour.

Moi, je me retrouvais avec maintenant un autre groupes, je continuais mon avancé bien qu’un peu inquiète pour mes compagnons... Je ne pouvais pas perdre de temps à les chercheurs maintenant, notre objectif était bien trop important pour cela. J’arrivais alors dans une pièce ou une petite armée de géant du nord nous attendait. Je faisais signe à tout ce qui était mes alliés de rester derrière moi, j’en flammais mes sabres pour ensuite frapper la lame sur les jointures du sol. Les flammes continuaient leurs chemins vers les géants pour exploser sous leurs pieds. Les flammes sortaient, mais les dalles aussi pour éventuellement blesser quelques géants, mais aussi et surtout pour leurs faires perdre un peu l’équilibrent. Je fonçais ensuite sabre en main à sur un des géants, je m’aidais de ma vitesse accrus pour les surprendre encore plus, je sautais et plantais sur le géant mes deux sabres, un dans chaque poumons. J’étais pour ainsi dire accrocher sur lui avant de retirer mes sabres en poussant avec mes pieds pour me retrouver en l’air. Ensuite, je faisais un tour sur moi-même pour trancher quelques géants en plus qui se trouvait dans les environs. Une fois cela, fait je prenais du recule pour voir les dégâts et surtout pour éviter de me retrouver coincé face à ses monstres.


Hrp:

882 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Mar 17 Juin 2014, 13:43





« Saleté !... Saleté !! » Pestais-je en me bouchant le nez. Malheureusement, j’en avais humé un peu, et la luxure avait le don de réveiller mon cannibalisme. Tous autour de moi me semblaient fort appétissants soudainement… je balançais ma tête de droite à gauche, ce n’était pas le moment de bouffer ! La porte se brisa et je m’avançais pour rentrer, la lave avait cessé de couler, grâce à la démone si je puis dire, même si celle-ci pensait plus à s’amuser avec tout le monde actuellement. J’eu juste le temps de me baisser pour éviter l’homme qui s’était pris une flèche dans le ventre. J’arrivais un peu en retard apparemment, puisque les Géants du Nord commençaient déjà à attaquer. Certains des prisonniers avaient été relâchés et étaient dans un drôle d’état… mmmh… ça tombait bien, puisque la démone venait d’éveiller ma faim, il fallait me rassasier ! Je m’avançai vers un homme complètement fou qui tuait avec un morceau de bois taillé, gesticulant dans tous les sens et murmurant des paroles plus qu’étranges. Me glissant derrière lui, je n’attendis pas pour planter mes dents dans son coup et lui arracher la peau. Il plaqua sa main, essayant tant bien que mal de ne pas mourir. J’avais, semblait-il, choisis le plus facile. J’avais soigneusement évité les Géants et autres beaucoup plus fort. La faim me tiraillait trop pour me battre convenablement : Saleté de démone. Dans tous les cas, je l’emportai dans un coin et dévorai une partie de son corps avant de me joindre au combat… Oui parce que je n’étais pas venu pour rien tout de même.

En plein combat, je me fis propulser par une femme, qui elle-même se faisait envoyer ailleurs. Un mur nous coupa des autres. Je me précipitai dessus, tapant du poing. Lorsque je me retournai, je pus voir que les adversaires étaient nombreux, et la seule chose que j’avais était des couteaux de lancers… Jetant un coup d’œil aux tableaux qui nous entouraient, je décidais d’invoquer mon don du Souffle, propre aux Alfars. Ainsi, deux autres personnes nous rejoignirent dans notre combat face aux prisonniers et autres monstres.

J’empoignai un couteau, courant vers l’un des prisonniers. Celui-ci m’attaqua avec fureur, essayant de me transpercer de son épée. L’esquivant, j’enfonçai mon couteau dans sa tête, jetant au passage un couteau dans la tête d’un autre. Avant même que je pus reprendre mon couteau, et pendant que la femme se battait contre un élémental de métal, je vis le mur se rouvrir. La femme asséna son dernier coup à l’homme et je me précipitais vers elle pour que nous sortions d’ici. Je la pris ainsi par le bras, la pressant un peu, pour nous retrouver dans l’allée principale. Regardant autour de moi au cas où un coup viendrait par derrière, je plaquai l’une de mes mains sur son flanc blessé et sur le coup qu’elle avait reçu par le Troll, j’invoquais alors ma magie blanche :


« Tu auras plus de chance si tu n’es pas blessé » dis-je en refermant ses plais et en la soulageant de la douleur

Je la laissai donc dans un état plus que respectable. Je m’avançais vers les escaliers, tentant tant bien que mal de me frayer un chemin. Les hommes et femmes des tableaux sortaient pour empêcher quiconque de passer, et j’en fis tomber quelque un avant de faire mouvoir les ronces qui grimpaient sur les murs extérieurs, maintenant les corps à terre. J’empoignai ainsi mon couteau, le plantant dans certaine tête, mais pour d’autre, je les traînai à l’aide des ronces pour les jeter dans les douves. Je me fis alors propulser par un Orque, m’éclatant contre le mur voisin. Mes ronces cessèrent tout mouvement, ne devenant que plantes maintenant qu’elles n’étaient plus sous mon contrôle. Je mis ma main contre mes côtes tout en crispant mon visage. Je me relevais tout de même, évitant l’attaque de mon assaillant. La douleur faisait battre l’adrénaline dans mes veines, et j’étais prêt à me battre pour survivre. J’évitais avec peine ses dernières attaques, avant d’essayer de lui enfoncer ma lame qui se plia… il avait la peau si dure que ça ? Sans réfléchir, je refis se mouvoir les ronces, le maintenant contre le mur avant de prendre la poudre d’escampette.

Je montai les marches à toute allure, rejoignant Elijah et son groupe. Avant qu’un mur me sépare d’eux… j’en avais rudement marre que tout ici se joue de nous. Je pris alors les tableaux et les massacrai au sol, ou je déchirais la toile avec mon couteau, d’ailleurs il ne m’en restait plus beaucoup. Certain sortirent avant que je ne m’attaque à leur toile, et j’en massacrai quelque un avant que mon copain l’Orque revienne me chercher. Il me prit par le cou avant de me plaquer contre le mur… une force impressionnante et une peau dure comme l’acier… Je ne savais que faire alors que je manquai d’oxygène. En étant conscient que je pouvais me faire écraser, je me transformais en fée, m’extirpant de sa main en passant entre ses doigts. Je repris ma forme et lui lançais un couteau dans l’œil… sa pupille ne pouvait pas être aussi dure que le reste n’est-ce pas ? La lame s’enfonça jusqu’au manche, et il s’effondra dans un bruit sourd.

Je mis ma main contre mon coup, et repris ma respiration. Il me manquait encore les peintures vivantes cela dis. Il était temps de se faire des alliées parmi les ennemies ! J’étirais mon attraction à fond avant de murmurer dans chaque oreille l’ordre de tuer Orques, Troll et peintures vivantes. La manipulation était le don que je contrôler le plus, et ils s’exécutèrent lorsque le mur se rouvrit, se jetant sur les autres qui sortaient des toiles. Je me retrouvais donc avec le groupe d'Elijah, enfin.


970



Résumé:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Jeu 19 Juin 2014, 22:40

Plaqué contre un muret à moitié affaissé, assis sur ses talons, Mickey faisait de petits bruits avec sa bouche pour faire passer le temps. Les guerriers étaient train de frapper contre la porte, il ne pouvait qu’attendre qu’ils aient fini. Derrière eux, le vacarme de la bataille faisait rage, et il entendait beaucoup de cris et de lamentations. Interloqué, il se redressa pour regarder en arrière. Ce qu’il pouvait détester quand les gens criaient. Tout le monde criait, tout le monde hurlait, c’était agaçant. Ils avaient tous peur, c’était surement ça. Enfin, ce n'était pas une raison pour lui imposer leurs beuglements porcins, mais c'était une explication. Dame Mitsuko, elle, n’avait pas peur, même pas un peu. Alors lui non plus, il n'aurais pas peur. Dès que ça avait débuté, dès que la Démone s’était élancée dans les rangs ennemis, il l’avait observée un instant, la petite fiole dans la main, encore interloqué de ce qu’elle avait provoqué chez ces hommes. Se déshabiller comme ça, c’était étrange, quand même – et puis il ne savait pas que les messieurs pouvaient se faire des bisous entre eux. De toute façon, il l’avait écouté, il s’était bouché le nez, même s’il ne comprenait pas bien en quoi ça pouvait être utile ; on ne discutait pas les ordres, ça faisait partie de la Voie. Tout ce qu’il attendait, c’était le coup de départ, le signe qu’il pouvait y aller. Étrangement, il était assez calme. Le jeune Démon observait les combats avec un certain détachement. Des païens qui affrontaient des païens. Mitsuko lui avait expliqué pourquoi on ne devait tuer que certains d’entre eux, mais il avait oublié, et ça lui semblait un peu illogique. Mais si la maitresse le disait, alors… Dans un craquement sinistre, la porte céda, et la Dame en rouge s’apprêtait à entrer dans la Prison. Le signal. Pendant une seconde, il lui sembla que les gens s’étaient arrêtés de faire du bruit pour le regarder entrer. Que la Démone l’invitait à ouvrir la voie. Que le monde l’attendait. Ses pupilles s’écarquillèrent en reflétant la folie de son vice, et il sourit largement en dévoilant ses canines acérées. Par l’ouverture béante dans la muraille, on entendait arriver les renforts, et il distingua même quelques robes au fond du couloir obscur. L’enfant passa sa langue sur ses lèvres. « Dis, Mitsuko ? Je peux les manger ? ». Bien sûr qu’il pouvait, il n’avait pas attendu tout ce temps pour se voir refuser cet honneur ; elle l’avait amené ici pour ça de toute façon. Il se mit à courir, comme il n’avait jamais couru, et fila aux côtés de la Démone, soulevant un instant le tissu de sa tenue. Sans la moindre hésitation, il s’enfonça dans l’ombre de la forteresse, et sa première victime fut bientôt à portée. Un homme d’âge moyen, un Sorcier dans une tenue cuirassée ; Mickey le vit ouvrir de grands yeux, ouvrir la bouche, mais il était déjà bien trop tard. Il avait retenu la leçon : Ne jamais laisser parler les méchants, ils pouvaient vous faire croire tout et n’importe quoi. Et il n’avait pas l’intention de lui en laisser l’occasion. Ignorant les mises en garde de son repas, il sauta, et ça commença.

Tout ce qu’il voyait, tout ce qui filait devant lui, sous ses mains et contre ses crocs, c’était la chair, encore et encore. Peau, muscle, sang, os. Cheveux, ongles, yeux. Il refermait simplement sa mâchoire, et il tranchait. Mitsuko devait être fière de lui. Elle devait être très fière pour qu’il puisse un jour être comme elle. La gorge du Sorcier n’était déjà plus qu’un cratère béant, d’où jaillissaient par intermittence les derniers litres expulsés par son cœur, et le Démon s’attaquait déjà à son visage. Il avait posé ses crocs sur la peau, écarté au maximum sa mâchoire, et pendant une seconde, il fut en mesure de baisser le regard vers celui de l’homme. C’était de l’effroi qu’il y voyait ? Il savait déjà qu’il allait mourir alors. Tant mieux. Les muscles de l’enfant s’actionnèrent, la magie vint renforcer ses forces, et l’os craqua le premier. Le crâne du soldat se rompit sur lui-même, alors que les dents blanches de Mickey se frayaient un chemin dans la chair, coupant muscles et tendon, avalant la partie inférieure du visage ennemi comme en un grotesque baiser mortel. C’était… C’était… Le garçon garda un instant l’amas de viande et d’os dans sa bouche, fébrile. C’était merveilleux ! C’était délicieux ! C’était le goût de la justice, le goût qu’avait une bonne action ; il venait de libérer le monde d’un de ces extrémistes perturbés qui voulait l’empêcher de manger à satiété. Et puis non, ce n’était pas de la peur qu’il avait lu dans son regard, c’était de la gratitude, il le savait maintenant. Aux portes de la mort, il s’était rendu compte de son erreur et il avait accepté la fatalité de son sort. Oui, il l’avait sauvé, comme il les avait tous sauvé. Voilà le goût qu’avait cette viande, le goût qu’avait cet homme. Il avala rapidement, et abandonna là le cadavre : il y avait bien plus à manger plus loin, et c’était de la chair tendre, encore vivante. La course reprit de plus belle. Deux soldats supplémentaire arrivaient, eux n’avait pas l’air content du tout de voir ce qu’il avait fait à leur ami. Mickey en était presque triste pour eux. Des âmes perdues, hagardes. Il était temps de les sauver aussi. Armé d’une lance, l’un deux fendit vers le garçon, et celui-ci fit un petit bond de côté, comme si c’était un jeu. « Raté ! À moi ! ». La Dame en rouge lui avait montré comment faire, il était sûr de pouvoir le refaire aussi ; en balançant tout le poids de son corps vers l’avant, il envoya son poing dans la poitrine de l’homme, vers son cœur. Les côtes craquèrent sous l’attaque, et il perça la chair sur quelques centimètre, mais pas moyen d’aller jusqu’à l’organe vital. « Oh zut-euh ! ». Alors que le lancier s’affaissait sur le dos en hurlant, l’enfant entreprit de finir ce qu’il avait commencé, sous le regard pétrifié du deuxième compère. Ses doigts contracté comme des serres, il frappait maintenant des deux mains le poitrail de sa victime, arrachant à chaque coup un peu plus de peau et de sang. Du muscle, des tendons, des os… La main droite du Démon s’enfonça dans quelque chose de poreux, et il lâcha un cri satisfait, dépassant à peine les hurlements combinés des deux hommes témoins et victimes de la scène. Le poumon. Il ne restait plus grand-chose. Il agrippa l’organe respiratoire à pleine poignée, et l’arracha de la cage thoracique du Sorcier. « Ouais, cool ! ». Enfin, le cœur était là. Bon, c’était une version un peu plus compliquée que l’attaque de la Dame Taiji, qui était sensée atteindre l’organe d’un seul geste, mais il avait finalement réussi, c’était le plus important. Assis sur le ventre du soldat, il s’empara finalement de son trophée, bondissant sur les derniers sursauts du mourant. « Gagné ! ». En regardant – ravi – le prochain soldat qui semblait attendre son tour, la main prostrée sur la garde de son épée sans bouger, il porta le tendre morceau de choix à ses lèvres, et en croqua une pleine bouchée. Divin. C’était tout simplement fantastique, il rendait le monde meilleur en faisant quelque chose qu’il adorait : manger. Qui aurait pu se vanter d’avoir plus grand plaisir ? Gigotant sur le cadavre déchiqueté comme s’il chevauchait un cheval de bois, il s’adressa enfin à l’autre. « Monsieur, si tu bouges pas c’est pas drôle. Bouge. ». Le dernier mot était prononcé avec un sourire fou et candide, incapable de se rendre compte de ce qu’il était en train de faire. Le regard plongé dans celui du Démon, le soldat gémit et finit par éclater en sanglots. « Non… Non, s’il vous plait, non ! Allez-y, je ne vous retiendrais pas ! Pitié ! S’il vous plait, je ne veux pas ! ». Mickey souleva un sourcil. Pourquoi est-ce qu’il disait « s’il vous plait » ? Il était là pour le libérer, c’était étrange de ne pas vouloir, tout d’un coup. Soudain il comprit. C’était ça, ça que Mitsuko voulait dire à propos des méchants. Ils lui mentaient, il voulait… Il voulait qu’il arrête de manger ! Des monstres ! « Ah non, alors. Ça, je peux pas. ». Alors qu’il sautait sur sa nouvelle cible, l’homme poussa un long cri désarticulé qui résonna dans les couloirs de la Prison, jusqu’au dehors. La Dame en rouge allait être fière, ça oui.

1447 Mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Dim 22 Juin 2014, 18:17

[EVENT] Partie I | La Prison - Page 2 Pnj_ev10


« Nous devrions partir, votre Majesté. Ils arrivent et se font de plus en plus combatifs et déterminés. » - « Ce n'est qu'une armée de mouches, la marche de la vermine qui pensent avoir une chance de renverser les bêtes et les fauves.» - « Nul besoin de mettre votre vie en péril.» - « Je ne crains rien.» - « Ils détruisent la Prison.» - « Elle sera reconstruire et ils paieront leur affront.» L'Empereur Noir prit quelques gorgées de vin et termina sa coupe, qu'il posa délicatement sur la petite table basse en face de lui. Un mince sourire aux lèvres, le Sorcier se releva. « Il est temps.» - « Je croyais que … » - « Je ne tiens guère à rester là tandis que l'on détruit ce que mon peuple a battis. Alors oui, il est temps. Temps de s'en mêler.» Les quelques Chanceliers des Ténèbres qui entouraient le Roi s'échangèrent des regards étonnés. Pour autant, ils ne bronchèrent pas et obtempérèrent. Lord, d'un geste, ouvrit brutalement les portes des couloirs. D'un pas vif et mesuré, l'Empereur Noir arpenta la Prison jusqu'à tomber sur les assaillants qui cherchaient à l'atteindre. Il ne dit rien en les voyant. À quoi bon s'adresser à ces gens ? Ils n'en valaient pas la peine. Mains croisées dans le dos, il contempla Elijah. « Depuis le temps que j'attendais ce moment … » souffla-t-il à un membre de son entourage. Lux in Tenebris était un don que le Roi des Sorciers maniait à la perfection. Une maladie de mort et de peine se répandit doucement, au fur et à mesure que l'espoir s'éteignait dans les yeux des troupes rebelles. Elijah grinça des dents, mécontent et agacé. Le nombre de ses hommes avait bien diminué, engloutis par la malice de la bâtisse ou simplement tué ; et voilà qu'il ressentait le mal des pouvoirs des siens. « L'Empereur est là ! » cria-t-il dans un dernier élan de force. Il était en première ligne. Il ne résisterait pas bien longtemps. Son épée lui glissa des main et il s'effondra à moitié contre un mur. « Tuez-le ! » continua-t-il. « Tuez-le ! » Lord s'avança doucement vers cet homme qu'il détestait tant, ce contestataire aux idées révolutionnaires. « Trop lent.» articula-t-il avec une pointe de satisfaction dans la voix. Il sortit de sa botte ce qui semblait être un grand poignard, à la lame longue, fine, ronde et pointue comme une aiguille. Puis sans se presser, il transperça la gorge d'Elijah.

« Chanceliers ! Faîtes votre devoir. Isekel, Merlfide, avec moi. » Les intéressés emboitèrent le pas à l'Empereur Noir tandis que les autres se mirent en ligne. Ils étaient sept, tous plus puissants les uns que les autres. Certains mirent en avant leurs talents de nécromanciens alors que d'autres utilisaient Metum pour rendre réel les peurs des combattants. Un autre encore se tenait un peu à l'écart, murmurant des mots noirs pour maudire les attaquants. Les morts se relevèrent pour se battre encore, même Elijah, donc les yeux blancs et exorbités faisaient froid dans le dos. Ce n'était pas très beau à voir. Les cadavres ambulants n'offraient jamais un très beau spectacle. « Chassez ces traîtres et ses imbéciles ! » clama quelqu'un, dont on ne savait trop le clan. Les paroles durent paraitre vraies et motivantes aux deux côtés, au moins. « Qu'est-ce que … » Monsieur Jack laissa s'évaporer tous ses pouvoirs et ses contrôles. Il sentait que quelque chose n'allait pas et peu à peu, il reprenait ses esprits. Le regard plein de haine, il releva les yeux sur les Sorciers, ces hommes détestables qui l'avaient enfermé pour ensuite l'utiliser. À présent que son esprit regagnait un semblant de liberté, il comptait bien se venger.

Elijah était mort. Bien qu'encore debout, il était sans volonté et contrôlé par la magie des Chanceliers qui le faisait se battre pour eux. Sans lui, les armées se voyaient désorganisées. Certains avaient vu que Lord était parti. Ils préférèrent la lâcheté et la vie, et tâchèrent de quitter la Prison pour battre en retraite, à l'instar de quelques Sorciers, présents depuis le début des affrontements. Les Sorciers avaient l'avantage : ils étaient préparés et hiérarchisés. Si quelqu'un reprenait les commandes des rebelles, peut-être que la bataille pourrait s'achever en beauté. Les Chanceliers, confiants, s'éparpillèrent dans la Prison afin de nettoyer les couloirs des malfrats qui avaient osé s'attaquer à eux.  « Aaah ! » C'était un cri de rage et de courage. Monsieur Jack bondit sur Forcas, l'un des Chanceliers des Ténèbres, pour engager un combat au corps à corps. Il savait que les Sorciers étaient des Mages puissants, qui peinaient souvent avec la force brute et physique. C'était sur ce terrain là, qu'il fallait tenter quelque chose.

800 mots

Récapitulatif :
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Jeu 26 Juin 2014, 03:24

Du coté de Maya et Milo… Une fois Isiel plus ou moins maitrisé, Un ennemi fonçait sur Maya qui prenait un puissant coup dans la figure. Milo par on ne saurait dire quel reflexe la protégeais des attaques ennemis grâce à son bâton. Il n’était pas très fort, mais il arrivait à repousser l’attaque ennemi assez longtemps pour Maya se relève et attaque à son tour. Elle prenait son arc et sortait une flèche qu’elle décochait en peine tête de leur adversaire. Ensuite on pouvait voir d’autre gens venir en renfort ce qui était une bonne chose pour Maya et Milo qui n’aurait jamais put s’en sortir tout seul… Mais surtout, Maya voulait faire une chose qui allait surprendre Milo.

Milo, on quitte la prison…

Mais, Yukina il faut la retrouver.

Je sais, mais pour le moment, je me préoccupe surtout de la sécurité d’Isiel… Alors sortons-le de la tour et avec un peu de chance on retrouvera Amelia ou même Yukina sur le chemin, mais on ne pourra pas se battre ici avec lui sur le dos…

… D’accord, tu as raison, si on le laisse ici il risque de mourir.

Ensemble, Milo et Maya prenait Isiel qu’il transportait non sans mal vers la sortie… Par chance, vu le monde qui entrait et malgré les murs qui rendait le chemin plus compliquer… Tout le gens qui se battait permettait au deux jeunes gens de voyager relativement discrètement avec l’élémental sans les bras jusqu’à la sortie.

De mon coté, c’était un peu plus compliquer, les géants du nord, me donnais du fil à retordre, j’avais des alliés qui me permettait de tenir le coup, mais ses monstres semblait être de plus en plus nombreux. J’étais alors obliger de donné sa forme adulte à Dan pour être encore un peu plus aidé dans ma tache… Finalement après une bataille acharnée, On parvenait à défaire tout ses géants, mais ce n’était pas sans quelques sacrifices… Mais le pire était que ses sacrifices semblait être vain… En effet, alors que je profitais pour reprendre un peu mon souffle, les morts semblaient revenir à la vie et je pouvais m’empêcher de dire dans un élan de rage :

Soyez maudit, sorcier !

Il y avait des centaines, peut-être même des milliers de mort dans cette maudite prison, la situation était catastrophique… C’était une situation plutôt triste et désespérante, mais Dan et moi en plus des quelques hommes qui restait, on devait éliminer tous ses morts qui revenait à la vie à cause des pouvoirs de la nécromancie. J’utilisais une grande partie de se qui me restait de magie  pour en venir à bout et pour continuer ma route… J’étais venu ici pour trouver la preuve que la culpabilité ou de leur innocence… J’arrivais alors dans ce qui devait être une chambre de sorcier et ou une série d’ouvrage et de rituel devait avoir lieu… Mais je ne trouvais rien, sauf l’apparition d’un homme qui me disait :

Qu’avons-nous là !? Une petite sourie qui se serait perdu ?

Je me retournais pour voir un chancelier des ténèbres me faire face, je tenais mes armes prêtes à attaquer, mais avant cela je lui disais :

Bien que cela me ferrais plaisir, je ne suis pas là pour faire du tord à votre espèce… Sauf, si c’est vous qui êtes les organisateurs du phénomène qui se produit… Dans se cas, je devrais vous arrêtez.

Désolé, mais nous ne somme au courant de rien.

Ça j’ai du mal à le croire…

Alors prouve-moi que je mens.

A peine avait-il dit ses paroles qu’il m’attaquait, j’esquivais de justesse sa première attaque pour contre attaquer ensuite. La lutte était terrible, mais je remarquais que même si sa magie était normalement aussi fortement diminuer pour les sorciers, celui-ci restait extrêmement puissant. Même avec L’aide de Dan sous sa forme adulte, je n’arrivais pas à prendre l’avantage, je l’avais blessé, mais lui m’avait beaucoup plus amoché… Je finissais alors avec Dan dans mes bras complètement Ko et moi qui avait l’épaule gauche déboité… Sans compte les autres blessures qui était heureusement un peu plus légère… Enfin bref, je n’avais rien trouvé et j’étais dans un sale état… La lutte n’était plus possible pour moi, je me devais de prendre la retraite, je tentais une fuite vers la porte grâce à ma vitesse et j’empêchais le sorcier de me suivre en créant une puissante vague de flammes derrière moi.

Je courais à tout vitesse j’éliminais les ennemis qui se dressais devant moi sans attendre la moindre seconde… Je devais mettre Dan et moi-même à l’abri au plus vite, je finissais par arriver sur le pont ou je voyais Maya et Milo qui venait de sortir… Ils m’expliquaient rapidement la situation qu’ils avaient vécue et qu’il avait caché Isiel quelques non loin de là… Ensuite, je demandais à Maya de m’aider à remettre mon épaule en place. Avant de l’entendre me dire :

Alors tu as trouve des preuves ?

Non, je commence à me demander s’ils sont coupable… Seulement quels autres être maléfique pourraient faire une telle chose et surtout aurait la magie suffisante ?

Je décidais ensuite d’attendre Amelia dont j’espérais qu’elle s’en sortait… La prison était devenue trop dangereuse avec ses chanceliers, ses monstres et ses morts… Je ne pouvais donc qu’attendre et espérer son retour… Pour lui rendre Isiel que Maya et Milo avait en quelques sorte sauvé. Une que cela aura été fait, on avait l'intention de partir sans tarder de se lieu maudit


Hrp:


898 mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Jeu 26 Juin 2014, 16:26

Mitsuko regardait Mickey depuis quelques secondes déjà, un petit sourire naissant sur ses lèvres. Elle n'avait guère prévu autre activité que d'enseigner quelques notions à l'enfant mais puisqu'ils avaient réussi à entrer dans la prison, pourquoi ne pas en profiter pour vaquer à une toute autre occupation que le combat ? Après tout, une chose qui lui appartenait se trouvait depuis bien longtemps entre les murs de la prison et elle comptait bien la récupérer. Aussi, avant que les prisonniers ne soient relâchés ou même que les sorciers n'attaquent, elle se dirigea vers le petit démon, le fixant avec une fierté qu'elle distillait qu'en infime quantité. Là était sa récompense mais elle ne devait en rien trop le féliciter car, sinon, il perdrait sans doute en motivation. Le conditionnement était une chose qui devait s'accomplir minutieusement. Et, puisqu'elle s'était mise en tête d'en faire un homme parfait, elle était ravie de constater que l'enfant y mettait toute son âme. La jeunesse était modulable à souhait. Il avait tout à apprendre malgré son âge avancé en réalité et l'esprit enfantin qu'il possédait permettait à la Dame de le façonner avec soin. Il serait divin et elle profiterait de lui allègrement, à moins qu'il ne devienne si digne qu'elle le considère, à terme, peut-être, comme son égal. Mais si cela devait se produire, des siècles s'écouleraient avant qu'il ne soit prêt. Ce jour viendrait. « Mickey, il se trouve qu'une 'amie' attend depuis très longtemps que je lui rende visite. Souhaites-tu m'accompagner ? ». Très longtemps était une expression tout à fait adéquate. En réalité, la démone l'avait aperçu un jour, lorsqu'elle se baladait en compagnie de Jun dans les entrailles de la prison. La femme en question ne l'avait pas reconnu mais la démone savait que chacune de ses descendantes connaissait parfaitement son visage, comme elle connaissait aussi bien les leurs. Tout était une question de logique. Son esprit dans celui de Jun, l'esprit de Jun voyageant de Taiji en Taiji, elle savait tout d'elles. Elle possédait la connaissance absolue des existences qu'avaient mené chacune de ces dernières. Pourtant, celle-ci, la grand mère de la déesse, avait échoué dans son entreprise de grandeur, tout comme la mère de la blonde. Toutes les deux étaient des hontes pour Mitsuko, une gangrène qu'elle aurait aimé voir disparaître. Mais puisque la sorcière qui demeurait encore à ce jour dans la prison était encore en vie, la première des Taiji comptait bien l'aider à rectifier le tir.

Elle finit par tourner les talons, laissant Mickey libre de ses mouvements. Il pouvait la suivre comme continuer à se battre. Il s'en sortait bien. Les leçons avaient payé et sa détermination semblait bien plus forte depuis qu'il se battait avec un objectif précis. Tant mieux. « Hum... où te caches-tu ma chère ? ». Mitsuko réfléchissait. Elle devait être dans les bas niveaux, puisqu'elle était, malgré ses échecs à s'emparer de la couronne, dangereuse. Où l'avait-elle aperçu la dernière fois, hum ? C'était décevant de voir à quel point sa mémoire lui faisait, parfois, défaut. Jadis, elle était capable de retenir absolument tout ce qu'elle voyait et tout ce que l'on pouvait lui dire, mot pour mot. Mais ce temps était révolu malheureusement. Cependant, plus les jours passaient, plus elle la sentait, cette puissance destructrice qui dormait au fond d'elle. Une fois sa lignée entièrement réunie, elle serait maîtresse d'un empire composée de femmes plus folles, méprisables et puissantes les unes que les autres. La hâte la prenait souvent mais les choses devaient être réalisées petit à petit.

« Hé bien, le temps semble avoir marqué votre visage bien plus durement que le mien. Peut-être est-ce là le prix à payer pour les traîtresses à leur sang ? J'avoue être des plus déçues par vos échecs. Mon élève semble être bien plus prometteur à son âge peu avancé que vous ne l'avez jamais été au cours de plusieurs siècles d'existence. ». La femme qui se trouvait dans la cellule leva les yeux vers Mitsuko. Elle n'était pas vieille, non, mais le temps avait marqué ses traits. Peut-être semblait-elle avoir une quarantaine d'années. Le mal qui la rongeait n'aidait pas, bien entendu. « Cependant, il me semble être des plus magnanimes. C'est pourquoi j'ai a vous offrir une seconde chance. Une chance de vous racheter de vos offenses. ». Elle s'approcha des barreaux. « Une chance, peut-être, de surpasser toutes les femmes qui vous ont précédé... ». Elle rit. « Qu'en dîtes-vous ? Je ne demande rien en échange ou, rien de bien méchant comparé aux conditions dans lesquelles vous vous trouvez à présent. ». La jeune femme qui se trouvait dans la cellule se leva, restant un instant silencieuse. Bien sûr, elle avait reconnu la démone. Ce n'était guère difficile à deviner, son portrait résidait encore sur plusieurs pièces de monnaie lorsqu'elle était née. Et puis, elle savait, simplement. C'était ainsi. « Que voulez-vous ? Mes pouvoirs ont été depuis bien longtemps scellés par les sorciers. Si je sors d'ici, jamais je ne les retrouverai. ». « Sans doute, mais si vous restez ici, vous ne sortirez jamais de cette cage dans laquelle l'on vous a enfermé. Allons, n'avez-vous donc aucun honneur ? Ne souhaitez-vous pas vous venger de l'affront que l'on a pu vous faire ? Si tel est le cas, alors vous me décevez encore plus ma chère. ». « Hum. Répondez à ma question au lieu de proférer des insultes à peine dissimulées. ». Voilà qui était mieux, bien mieux. Mitsuko sourit, ses lèvres s'étirant en un charmant sourire entendu. Elle fit d'ailleurs de ce pas apparaître un parchemin magique, usant du pacte démoniaque, avant d'expliquer la situation. « Je m'engage à vous faire retrouver votre puissance d'antan et, en échange, je souhaite acquérir votre liberté. ». En d'autre terme, elle voulait l'esclavager, pour le bien de leur nom et pour le mal de ce monde. « Refusez et une telle opportunité ne se représentera jamais plus. Peut-être même mourrez-vous aujourd'hui, qui sait ? ». « J'accepte. ». Il aurait fallu être fou pour refuser quoi qu'il en soit. « Parfait. ». Une signature apparut alors sur le parchemin sans que l'intéressée n'ait à faire le moindre geste puis Mitsuko se tourna vers Mickey. « Mon cher, j'aimerai que tu montres à la dame ô combien tes dents sont aiguisées, bien plus que la matière avec laquelle ses barreaux ont été façonnés. ». Puis, sans attendre, la démone se retira.

La situation au cœur de la prison semblait des plus instables. Elle pouvait le sentir. Des prisonniers avaient été relâchés et la puissance des sorciers se répandait sur n'importe quel individu que leur magie croisait. Elle n'avait pas l'intention de subir les effets de ces dons morbides, surtout pas devant son élève. « Vous là ! ». L'esprit se retourna, se demandant si la femme à la chevelure rubis lui parlait réellement ou non. Il était rare de croiser des vivants possédant le don de voir les morts, encore plus de communiquer avec eux. Se retournant pour ne voir que le vide, il répondit néanmoins, à tout hasard. Il n'y avait que deux possibilités de toute façon, soit la démone était folle, soit elle l'apercevait réellement. « Oui ? ». « Vous devez connaître les lieux mieux que personne n'est ce pas ? J'aimerai hum... comment le dire décemment ? Sortir par derrière, si cela est possible. ». « Il n'y a nulle sortie de la sorte. Néanmoins, si vous possédez des ailes, je peux sans doute vous aider. L'un des précédents rois avait aménagé une salle avec une fenêtre. Déjà qu'il ne dormait pas beaucoup, alors ne pas voir la lumière du jour l'affectait particulièrement. Le ciel n'est jamais bien dégagé par ici mais prendre l'air est déj... ». « Oui je me doute. C'est très intéressant. Je serai ravie de revenir écouter vos récits épiques lors d'un moment propice à la chose. Néanmoins nous sommes plutôt pressés présentement. ». « Suivez-moi. ». Ces esprits, il fallait toujours les rappeler à l'ordre. Il est vrai que, dans un sens, ils n'avaient nul soucis à se faire. La réalité du monde ne les atteignait pas, ils pouvaient donc prendre le temps nécessaire pour discuter de tout et de rien et observer minutieusement n'importe quelle scène. Mitsuko fit un signe de la main à Mickey et sa huitième descendante alors que l'esprit reprenait. « C'est amusant qu'il y ait autant d'action dans la prison. Je suis mort ici il y a bien longtemps. Cependant, j'adore rester en ce lieu, cela me rappelle des souvenirs et les gens qui y sont enfermés depuis plus ou moins longtemps sont particulièrement attachants. Tenez, la dernière fois j'ai... ». Ils étaient arrivés, la fenêtre assez grande pour qu'ils puissent s'envoler aisément. La démone sourit, tout en lui coupant la parole. « Merci beaucoup ! ». Rien ne servait de menacer les morts après tout. Usant de sa superforce, elle s'en servit pour pouvoir porter l'autre Mitsuko, s'envolant pour quitter le lieu de tous les cauchemars. Oh... à moins que ce ne soit l'endroit où elle habitait qui porte ce titre mieux que nul autre ? Qui sait ?

1526 mots

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Ven 27 Juin 2014, 16:46





Cette bataille avait commencé plutôt mal et continué dans un fiasco des plus total. Si je ne compris pas tout à ce qu’il venait de se passer, je compris vite qu’Elijah était mort. Les Rebelles se voyaient donc désorganiser, et je ne vous fais pas part de la frayeur lorsque celui-ci s’est levé, manipulé par un sorcier, pour se battre contre nous. J’envoyai donc tous ceux que je manipulais sur les morts vivants ou encore essayant d’atteindre la troupe ennemie qui avançait doucement vers nous. Dans tous les cas, la seule pensée cohérente qui flottait dans mon esprit était la fuite… de toute évidence, je n’avais personne qui m’était cher ici, je pouvais bien tous les abandonner que ma conscience n’en serait point atteinte. Descendant les escaliers, je fis vite rattraper par un homme dont la fierté aurait bien fait de l’étouffer !

« Lâche ! Bats-toi pour tes idées au lieu de fuir pour ta pitoyable vie ! » Me cria-t-il

Je souris en lâchant un petit rire. Je n’étais pas un guerrier : la loyauté, se battre pour des idées… je ne connaissais pas tout cela, je n’ai jamais été un justicier et j’ai toujours été au-dessus de cela, car dans le fond, je n’y croyais pas du tout, si la justice existait vraiment, il n’y aurait pas en ce moment même des tas de massacres dans ce monde, à commencer par celui-ci :

« Tu trouves que j’ai la tête d’un guerrier plein d’honneur ? Je ne me mêle pas des guerres qui ne touchent pas mon peuple, je suis venu ici pour faire un massacre, et c’est exactement ce qui se passe. Je suis satisfait, donc je m’en vais. »

D’un certain point de vue, c’était franchement dur à entendre, mais je ne préférais pas me voiler la face, après tout, j’aimais le sang versé. Je descendis donc les marches, évitant de justesse un mur qui voulait m’enfermer dans cette prison. C’était assez compliqué de s’échapper: à l’intérieure il y avait encore les géants, les prisonniers et les sorciers, mais dehors, il y avait toutes les bestioles qui traînaient et attendaient que nous sortions. Nous étions tous débordés par nos ennemies.

C’était une bien mauvaise idée de venir ici, même si cela avait ravivé quelque chose en moi, peut-être l’appel de la guerre et du sang ? Dans tous les cas, avant même de mettre un pied dehors, je fis face à quelques prisonniers bien déterminés à me barrer la route. Je soufflai, pourquoi ne fuyaient-ils pas eux aussi ? Malheureusement, je n’avais pas envie de me battre, et j’étais prompt à utiliser quelqu’un d’autre pour le faire à ma place. Je sautai alors sur le dos d’un géant et murmurai à son oreille. Sa tête se tourna vers les prisonniers qui déglutir difficilement. Sans vraiment réfléchir, il abattit sa masse sur ses alliés qui s’écrabouillèrent sur le sol. C’était une bonne chose de fait, et je décidai donc de partir avec lui. Je montai sur ses épaules et lui ordonnai de me faire sortir d’ici en un seul morceau, à ce moment précis, je remercier le ciel de m’avoir donné le don de la manipulation.

Je pense que l’on ne vit qu’un homme sur les épaules d’un géant du nord essayant de sortir de cette prison. Il abattit sa masse à tout va, c’était limite lorsqu’il ne touchait pas l’un des rebelles qui pestaient en me regardant méchamment. Lorsque nous fûmes enfin dehors, je soufflai une nouvelle fois en me rappelant que le pont c’était brisé sous la lave… en sommes, aucun moyen de sortir sans un pont rudimentaire… Je descendis de ses épaules en passant ma main dans mes cheveux, et tout en me tournant vers lui :


« Désolé, je vais devoir te laisser là… c’est dommage, tu me faisais une bonne monture. »

J’invoquai les ronces qui vinrent s’entrelacer, puis elles m’attrapèrent par les bras. Mon visage se crispa lorsque les épines s’enfoncèrent, mais je les laissais me transporter jusque de l’autre côté. Le géant reprit alors ses esprits, et me lança sa masse au loin. Je l’évitai de justesse, mais avant de partir, je repris mon arc, l’armai avec une flèche trouvée dans le corps d’une bestiole, et lui décochai une flèche dans l’œil. Il s’effondra dans un amas de poussière. Il était temps de rentrer et de tourner la page.

731 sous word toujours



résumé:
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Ven 27 Juin 2014, 20:23

Avec un petit cri de satisfaction, le Démon retomba sur son postérieur, recouvert çà et là de sang et d’autres fluides vitaux. Sa dernière victime n’avait opposé qu’une résistance faible à son assaut – ce qui n’était pas si mal, en soi, il avait donc comprit au moment de mourir que c’était pour son bien. Puisqu’au final, Mickey ne faisait ça que pour eux. Certes, il en profitait pour se goinfrer, mais honnêtement, qui aurait refusé de joindre plaisir et devoir ? Les trois cadavres étripés, défigurés et déchiquetés à ses pieds étaient là pour en témoigner ; c’était un enfant sage, et qui mettait surtout beaucoup de cœur à l’ouvrage, voilà tout. C’était d’ailleurs assez éreintant. Il ne s’en était pas rendu compte sur le moment, mais il avait un peu mal dans les muscles, le souffle court et essuyait en permanence la sueur rougie par l’hémoglobine qui lui coulait dans les yeux. Pas facile d’être un héros. Quand on lui en racontait les exploits, il imaginait mal les personnages des contes souffrir autant, qui voulait voir Grognak le Barbare faire une sieste après une bataille, ou Tunivia l’Agile faire des étirements ? Mais il allait falloir s’y faire, songea le jeune enfant, en brandissant l’avant-bras à moitié dévoré d’un des hommes ; il n’était plus chez les petits, et il n’y avait pas de répit pour les sauveurs. Il tint la pose quelques secondes de plus avant de porter son trophée à sa bouche. Il léchait la viande morte comme on ôte le sucre de ses doigts après s’être gavé de confiseries. Seulement lui ne s’en contentait pas : il rongeait la chair des os à la manière d’un esquimau dont on ne garde que le bâton. Rapidement, il se retrouva ainsi à jouer avec le squelette proprement nettoyé, jusqu’à ce qu’il ne remarque qu’elle avançait vers lui.

Mickey laissa tomber son reste d’ennemi, sur le point de se dresser en un simili de garde-à-vous, avant de glisser sur un morceau de tronc cérébral inopiné. Scandaleux. L’être humain était quand même un des mets les plus salissants. Pourtant il se reprit bien vite, et sourit timidement, comme pour attendre son verdict. Et il ne fut pas déçu. Ce n’était qu’un regard pour la femme en rouge, mais il vint atteindre le jeune Démon en plein égo. Elle était… Fière de lui ! Il avait réussi à la rendre fière de lui ! « Guilleret », ou « Heureux » étaient des mots bien trop simples pour traduire l’émotion qui traversa le garçon à cet instant. Voilà ce que ressentait un Héros ! La fierté des siens, l’admiration des plus faibles ! Certes, il n’avait plus qu’à trouver les plus faibles, mais ça viendrait. En attendant, il n’aurait jamais pu dire non à la femme qui l’avait guidée sur le droit chemin, son modèle, son idéal. « Oh oui, ma Dame ! ». Et lui de lui emboiter le pas, avant d’hésiter brièvement : « Est-ce que je dois lui prendre quelque chose à grignoter ? ». En montrant du doigt l’un des morceaux de chair en charpie, il prit conscience d’une chose qui allait commencer doucement à le hanter. Et si cette viande n’était pas assez bien pour elle ? Et lui, d’ailleurs, devait-il se contenter de manger les sous-fifres ? Si une chose était sûre, c’est que les riches, les chefs et les personnalités importantes avaient toujours meilleur goût. Jamais aussi bon goût qu’un enfant, bien sûr, mais un peu de savon et une alimentation variée pouvaient faire tellement pour la saveur d’un homme. Il n’en était peut-être pas encore digne, cela dit. Mitsuko, elle, l’était. Oh oui, elle méritait de s’offrir le cœur d’un roi ou d’un dieu, s’il le fallait. Une idée éclata dans son esprit, à la manière de la foudre au-dessus de l’océan. Mais oui ! Voilà, c’était ça qu’il lui fallait ! En offrant à sa maitresse le cœur d’un dieu – d’un Æther, comme disaient les grands – elle serait forcément contente ! Et puis une divinité, ça devait forcément être bon. Un peu comme le meilleur de tous les poulets, ou la meilleure sardine du monde, mais version « être humain ». Tout en marchant derrière la Dame en rouge, il fit une moue concernée ; Oui mais un dieu, c’était surement dur à trouver, et puis on lui avait toujours dit qu’ils avaient plein de choses à faire, alors il allait falloir le convaincre de se laisser manger. Ou le tuer. Mais là était toute la question : Ça se tue facilement, un immortel ?

La question demeurait, et quoi qu’il puisse en penser, Mickey ne pouvait s’accorder que sur un point : Il n’y connaissait pas grand-chose en « Ætheri ». Mitsuko, elle, devait savoir. Il se promit de lui demander, le moment venu. Ils s’enfonçaient dans la Prison, le jeune Démon en profitant pour faire des grimaces aux étranges personnes derrière les barreaux, qui n’hésitaient pas à crier des propos plus ou moins flatteurs à sa maitresses. Il ne comprenait pas tout, mais ça n’avait pas l’air gentil du tout. Cependant, en voyant que la Dame n’y prêtait pas attention, il l’imita en gonflant légèrement la poitrine. En son for intérieur, il ne pouvait que se demander pourquoi les deux femmes ne s’étaient pas données rendez-vous au Manoir. C’était quand même plus convivial, et surtout, personne ne criait au Manoir. Il détestait les cris et les hurlements. Lorsque finalement ils débouchèrent sur une nouvelle cellule, et que sa maitresse se mit à parler, il s’immobilisa, deux pas en retrait. C’était très malpoli d’interrompre une conversation entre deux grandes personnes, il le savait. La dame de l’autre côté des barreaux n’avait pas l’air dans son assiette. Très concentré sur l’étude qu’il faisait de son visage et des similitudes que celui-ci présentait avec celui de sa protectrice, il entendit à peine ce qui ressemblait à un nouveau compliment à son égard. Dans le doute, il se contenta de sourire largement, ravi. Pas la peine d’y songer, il ne se reposerait pas sur ses lauriers. Il avait l’intention de rendre au centuple ce que Mitsuko lui avait offert, l’illumination. Aussi lorsqu’elle l’invita à faire la démonstration de ses talents, il n’hésita pas une seconde, et s’avança. La tâche n’avait rien de compliqué, de surcroit. Il mordit la porte de la cage à plusieurs endroits, amassant le métal mâché dans sa joue à la manière d’un hamster – il ne fallait pas faire attendre sa maitresse, il aurait tout le temps de déglutir plus tard. Quand l’amie de la Dame fut enfin libre, il sourit, la bouche pleine, et avala d’un bloc, avec un claquement de langue de satisfaction. Sauver une demoiselle en détresse, c’était définitivement le travail d’un Héros. Des étoiles pleins les yeux et ses vêtements couverts de sang en pleine coagulation, il suivit les deux femmes, jusqu’à la petite pièce où ils prirent leur envol en cœur, Mickey jetant un dernier regard au bâtiment dans son dos, un peu déçu d’avoir à cesser l’amusement aussi tôt. Il aurait surement d’autres occasions, après tout.

1181 Mots
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

avatar
Ven 27 Juin 2014, 22:57


Je ne savais pas vraiment comment j'allais faire pour combattre un tel adversaire. Contrairement a moi qui maitrisais la terre, lui pouvait aussi crée son élément et le contrôler sans aucun problème, certainement avec une meilleure maitrise que moi. Mais je ne devais pas abandonner, je devais continuer a combattre, pour Isiel, je savais qu'il était quelque part, pas dans son état normal, du coup j'avais peur pour lui, ce qui était assez normal non ? Mais pour le moment je devais régler ce petit problème. Un autre homme était avec moi, je l'avais percutée quelque instant auparavant et ça me rassurait de ne pas me savoir seul, mais bon ça ne changeait pas vraiment grand-chose quand je vis qu'il y avait tous ces monstres.
Je reculais alors le plus loin possible, hors de question que j'utilise mon épée contre lui, je me doutais qu'il pourrait la retournée contre moi et le problème, c'est que je n'avais plus de flèche avec moi. Cependant, perdre du temps à réfléchir à une solution n'était pas vraiment une solution et pour cause, un géant risqua de me donner un nouveau coup que j'esquivais de justesse. Cependant, ça pourrait nous être utile finalement. C'était une idée complètement suicidaire, mais je savais qu'elle pouvait marcher, je savais juste que non seulement je n'avais droit qu'à un seul essaie, mais surtout, si je venais a échoué, il serait certain que je viendrais a perdre la vie.
Je courus alors vers l'élémental, qui avait déjà préparé sa nouvelle attaque, prête j'essayais de l'esquiver, même si ce n'était pas vraiment réussi, une nouvelle blessure viens se rajouter a celle déjà existante. Je fis alors un peu marche arrière et j'eus enfin ce que je voulais. La première créature qui m'avait attaquée commençait a me charger, je me mis alors a courir et quand j'arrivais près de l'élémental de métal, ce dernier eu juste le temps de balancer une pointe avant de devoir faire un bon sur le cotée. La pointe atteigne sa cible... enfin plutôt une cible de substitution, pendant que moi, prenant mon épée et m'approchant de lui au sol, je lui plantais dans la gorge.
L'homme qui était avec moi c'était alors approcher et je l'avais sentit posée ça main sur moi et aussi tôt, mes blessures se refermerez, je le remerciais alors chaleureusement, sur le coup je lui devais certainement beaucoup, car je ne savais pas combien de temps j'aurais encore tenue dans cet état. Je pris alors quelque temps pour réfléchir, je commençais à me dire qu'il valait peut-être mieux sortir d'ici, mais d'abord, il fallait que je retrouve mon ami. J'espérais vraiment qu'il était encore en vie, car je ne me pardonnerais jamais s'il venait à mourir ici, ce serait simplement de ma faute et déjà que je savais que mon tempérament pouvait nous mettre en danger, ça je ne nous le pardonnerais jamais.
Finalement, j'entendis la voix du meneur nous annonçant que l'empereur noir était arriver, je me dirigeais alors vers la voix, j'arrivais juste au moment ou ce dernier tuais le « guide », une rage folle s'emparait de moi, mais quand je vis les corps se relever, je compris que ça allait empirée, certaine personne d'on je sentais la puissance restait là, pendant que d'autre s'en allait avec l'empereur. Espèce de raclure qui laisse les autres faire la salle besogne. Je repris alors mon épée et je du malheureusement achever quelqu'un qui venait de se relever. Je ne savais pas vraiment comment faire, car certains n'avaient plus de coeur, du coup par instinct je visais les gorges.
Epuisée je continuais à chercher quand soudainement je vis d'autres sorciers, ceux-ci étaient accompagnés d'un bruit de chaine. Il ne me fallut pas longtemps pour comprendre de qui il s'agissait, mes anciens maitres étaient là ? J'avais un peu du mal a la croire, mais bon, pourquoi pas après tout. J'en pouvais plus je ne pouvais pas restée là il fallait que je m'en aille tout de suite. L'adrénaline m'aida alors et je commençais à courir, essayant au mieux d'éviter les pièges de cette fichue prison. Plus je courais plus j'avais l'impression que je ne sortirais jamais de cet endroit. En plus ceux qui avait perdu la vie qui revenait, mais pas de la manier d'on on pouvait espérée.
Mais finalement je la vis, la sortie était devant moi et je me retrouvais dehors. J'hésitais a me retourner a l'intérieur pour retrouver mon ami, mais une voix m'attira a l'extérieur, en cherchant un peu, je remarquais Yukina et ses amis, mais surtout, je pouvais apercevoir Isiel qui était avec eux, visiblement ligoter. Je poussais alors un soupir de soulagement en courant dans leur direction, lui sautant au cou une fois que je fus près de lui.

- oh, je suis soulagée que tu n'ailles rien. Je suis vraiment désolée. C'est vous qui l'avez aidé, je vous remercie, vraiment. Ca va, rien de grave tout le monde ?

Tous portaient quelque marque des combats passée, mon regard se porta sur la prison, je détachais alors mon ami, certaine qu'il était redevenu lui même. Ce ne serait pas aujourd'hui que j'aurais mes réponses, ni même ma vengeance sur ce peuple infâme, mais je ne perdais pas espoir, un jour ils payeront pour ce qu'ils ont fait.

Spoiler:
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


Revenir en haut Aller en bas
 

[EVENT] Partie I | La Prison

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

 Sujets similaires

-
» Toute prison a sa fenêtre (Event. Mission VIII / Shawn Goldrun)
» [Event 2015] Tel le sable entre nos doigts, il s'effrite quand il craint la prison.
» ¤ Event Partie II : Groupe IV ¤
» [EVENT] Partie I. Avalon.
» ¤ Event Partie II : Groupe V ¤
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Les Terres de Sympan :: Zone RP - Océan :: Continent Devasté - Ouest :: Nementa Corum-