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 Premier fragment de la Pierre Mystérieuse (-18) [PV Myrialuna]

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Mer 29 Jan 2014, 00:45

Le rêve de la fée n'était pas des plus heureux qui soit. Elle était prise aux mains avec un combat face à face avec sa propre fille. Cybélia la regardait avec des yeux haineux alors qu'elle avait une dague à la main. Le sang coulait lentement le long du bras de la souveraine qui avait été touchée par l'arme blanche. La jeune femme ne pouvait pas croire que sa propre fille l'attaquait. Le souffle lourd et haletant, la souveraine des fées la regardait dans les yeux alors que dans sa main reposait aussi une dague. Les deux fées se toisaient du regard. L'une aux ailes azurées et l'autre aux ailes d'un noir charbon. Myrialuna la laissa recharger de nouveau et elle bloqua son attaque. Elle ne pouvait se résoudre à tuer sa fille. D'un coup de pied bien placé et avec adresse, la souveraine féerique lui envoya un violent coup en plein dans l'estomac, ce qui fit rouler la jeune femme sur le dos et ensuite sur elle-même. Son visage atterit face contre terre et elle resta allongée ainsi pendant plusieurs secondes. Finalement, la rousse daigna enfin de relever le visage et de faire face à sa mère. Ses jambes tremblaient légèrement sous son poids. La force de l'impact avait été forte. Elle était déjà affaibli par le combat qui durait depuis un très bon moment déjà. Cybélia cracha au sol du sang et regarda furieusement sa mère de ses yeux céruléens. Un sourire s'affichait alors sur les lèvres de la reine et sa voix trancha froidement. Elle lui demanda si elle était encore capable de continuer ou si elle était trop faible. La petite répondit en riant cyniquement. Elle en voulait encore. Très bien. Myrialuna allait lui enseigner tout simplement les bonnes manières. Toutefois, elle ne pouvait se résoudre à lui enlever la vie. La fée aux ailes d'ébène s'élança de nouveau sur sa reine alors que celle-ci ne fit qu'un pas sur le côté et fit un mouvement du bras et de la jambe qui accrocha les parties de son équilibre. Cybélia tomba raide et dure sur le dos. Le choc fut de trop et la petite perdit connaissance. Myrialuna en avait tout simplement assez maintenant et elle partie de là en la laissant à son propre sort. Ce n'était pas elle qui allait lui enlever la vie. Pas maintenant. Elle n'en serait pas capable. Même si quelqu'un la tuait, elle aurait terriblement mal mais elle ne se pardonnerait sûrement jamais de l'avoir tuée de ses propres mains.

Ce fut la fin du cauchemar. La jeune femme commençait maintenant à s'éveiller alors que le soleil perlait au travers de la chambre. Ses yeux bougèrent en-dessous de ses paupières et lentement, elle les ouvrit. La surprise ne manqua certainement pas de paraître sur son visage alors qu'elle n'était qu'à quelques centimètres du visage du Bélua. Son bras était étrange contre le sien. Elle ne comprenait pas vraiment ce qui se passait. Son corps se raidit légèrement alors que son cerveau marchait à plein régime. Elle se rappelait alors qu'elle bougeait quelques fois dans son sommeil. Elle avait peut-être juste cherchée à trouver un peu d'attention durant son inconscience. La fée se passa tranquillement une main dans ses longs cheveux blancs alors qu'elle tendit ses membres pour pouvoir s'étirer. Elle se redressa calmement. Myrialuna prit doucement le bras du bélua qu'elle déposa ensuite sur le lit. Elle vit alors sa gourde sur le lit et elle la prit. Elle déchira ensuite un morceau de ses pantalons. En se retournant, elle vérifia que l'enfant de Phoebe était bien endormit. Parfait.

La souveraine féerique prit calmement la gourde et mouilla le bout de son vêtement. C'était le meilleur moyen pour nettoyer son visage et son cou ainsi que le haut de son corps puisqu'il n'y avait aucune bassine ni même de source d'eau connue dans le coin. La jeune femme enleva calmement son chandail. Son dos nu faisait dos à Abel. Ses nombreux tatouages faisaient complètement le tour de son dos. Il n'y avait plus aucun espace libre de chair visible sauf quelques trous qui étaient provoqués par le style des tatouages. Myrialuna passa le morceau de vêtement mouillé contre son visage, sur ses bras, sur son ventre. Elle n'allait pas nettoyer le bas de son corps. Du moins, pas tout de suite. Elle avait certainement juste le temps de le faire avant qu'il ne se réveille. Quoi que... elle ignorait bien qu'il était déjà tout à fait réveillé.
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Mer 29 Jan 2014, 02:06


Abel fut heureux de constater que Myrialuna, bien que surprise, n’eut pas l’air de condamner leur rapprochement nocturne. Elle se déplaça un petit peu sur le lit et le bélua entendit des bruits de tissu qu’il ne comprit pas bien. Se risquant à entrouvrir les yeux, il vit que la fée avait enlevé le haut de ses vêtements et observa les tatouages qui parcouraient son dos. Il y en avait tellement… Abel aurait voulu lui demander d’où il provenait, mais il ne pouvait pas encore rompre son stratagème. La peau de la fée avait l’air si douce… Le bélua se surprit à désirer en voir plus, qu’elle se retourne et revienne contre lui. Mais il avait assez rêvé comme ça. Ce rêve se réaliserait-t-il un jour ? Peut-être, si il y mettait assez de coeur. Mais ce n'était pas le moment de penser à de telles choses.

Alia grattait le sol en bas du lit. Elle avait bien senti qu’Abel s’était réveillé et ne comprenait pas pourquoi il ne se levait pas alors qu’il faisait jour. La jeune créature n’aimait pas qu’il reste là sans bouger, elle avait déjà passé la moitié de la nuit à faire les cent pas dans la pièce, n’ayant pas besoin de beaucoup de sommeil, et elle avait hâte de quitter ce château. La vue du Ridere et les éléments de la veille n’étaient pas pour la calmer et, bien qu’elle savait très bien ce à quoi elle pouvait s’attendre en le brusquant de la sorte, la petite panthère se décida à grimper adroitement sur le lit d’un petit bond qui l’amena en une fraction de seconde juste à côté du bélua. Elle colla sa petite truffe à sa joue, ce qui décida Abel à enfin bouger.
Il se releva lentement sur le lit et, à sa grande surprise, il semblait aller beaucoup mieux. Sa tête ne lui faisait presque plus mal, et sa blessure ne semblait être qu’un mauvais souvenir. Bien qu’il n’était pas encore dans un état optimal, il allait certainement lui falloir plusieurs jours ou semaines avant de s’en remettre, Abel avait toutefois l’impression qu’il allait être un peu plus utile que la veille. Au moins il ne s’évanouirait plus en montant un escalier… Le bélua espérait que Myrialuna lui pardonnerait sa faiblesse. Il ne s’était pas vraiment montré sous son meilleur jour depuis qu’il la connaissait. Cette journée serait certainement une bonne occasion de lui prouver qu’elle ne l’avait pas sauvé pour rien. Ils allaient trouver cette pierre, et Abel était bien décidé à aider la fée jusqu’au bout.
Les membres encore un peu raides, il attrapa Alia et la caressa délicatement. Satisfaite par ce qu'elle était venu chercher, la créature se mit à ronronner et posa sur Myrialuna un regard intréigué. Mais Abel était préoccupé par autre chose.

Au fond de lui brûlait un feu étrange, serrant son cœur dans une étreinte à la fois chaleureuse et douloureuse. Son totem y était surement pour quelque chose, mais ce n’était pas là la colère qu’il avait parfois l’habitude d’exprimer. Ce sentiment n’était pas destructeur, mais il était presque plus fort que ce qu’il avait l’habitude de lui faire ressentir. Si Abel s’était habitué aux accès de rage de son totem et avait appris à les réprimer, cette sensation-là était nouvelle et difficile à contrôler.
Le bélua se retourna et posa un regard félin et intense sur la fée.
« Luna… »
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Mer 29 Jan 2014, 02:52

Le morceau de vêtement de la jeune femme frôlait tranquillement sa peau et par moment il était un peu plus rude. Elle semblait un peu réconfortée de sentir la froideur de l'eau contre sa peau chaude dans son visage ainsi que dans son cou. Les paupières closes, elle se laissait bercer par toute cette caresse qu'elle se faisait d'elle-même sur sa peau. Ses sens n'avaient pas été éveillés depuis maintes années. Une dizaine à dire vrai. Jamais quelqu'un ne l'avait touché auparavant. Jamais elle n'avait senti les mains d'hommes à nouveau ni même d'une femme pour expérimenter la chose. Jamais quelqu'un n'avait osé. La tête de la jeune femme se penchait légèrement par en arrière alors que le morceau de vêtement glissait tranquillement contre sa gorge et le haut de sa poitrine quand, soudainement, elle froissa la main et se figea net sur place. Elle avait senti du mouvement sur le lit mais la souveraine des fées n'osait même pas penser à se retourner. Elle avait laissé son chandail tomber contre le sol. La june femme croyait qu'Abel avait tout simplement bougé. Rien de plus. Toutefois, lorsqu'elle entendit sa voix, elle ouvrit les paupières. Ses pupilles semblaient même avoir prit légèrement de l'expension. Pourquoi réagissait-elle ainsi? La voix du bélua avait quelque chose de profond qui avait presque fait lever les cheveux sur la tête de la demoiselle. Penchant un peu la tête sur un côté, ses yeux bleus semblèrent dévier légèrement en sa direction sans toutefois qu'elle se retourne. Myrialuna se pencha finalement pour ramasser le morceau de son chandail qu'elle avait enlevé et elle le déposa contre sa poitrine avant de se retourner. Ses épaules nues et une partie de son ventre l'était tout autant. La jeune femme se rapprocha du bélua et elle planta son regard bleuté dans le sien. Son visage était maintenant proche du sien. Elle murmura alors:

- Avec quelle intensité tu as prononcé mon prénom...

Les yeux bleus de la fée s'encraient parfaitement avec le regardé orangé du fils de Phoebe. Un petit sourire se dessina alors sur ses lèvres. Alia n'était pas très loin mais la souveraine s'en faisait peu pour le moment. Seul Abel semblait avoir prit une importance. De sa main libre - celle qui ne tenait pas le morceau de vêtement contre sa peau nu en-dessous, la fée porta la main contre le bras du bélua et calmement, ses yeux azurés dévièrent pour prendre en compte qu'il avait déjà reprit de la forme. Il semblait en bien meilleur état. Même en le touchant, la fée le remarquait. Déjà qu'en le voyant ce matin en se réveillant à ses cotés, la jeune femme l'avait remarqué. Elle retourna ensuite son regard vers le visage du jeune homme. Lentement, elle attrapa l'une de ses mèches de cheveux et elle l'entoura autour de son index avant de le relâcher.

- Quel regard intense... si je peux me confier un minimum à toi... cela fait une dizaine d'années que personne m'a touché. Même un câlin. Mis à part une jeune fille qui m'est très chère.

Elle parlait évidemment de sa fille mais elle ne désirait pas avouer tout de suite au bélua qu'elle était la mère de deux enfants et dont l'une des deux avait déjà essayé de la tuer. Myrialuna le regardait au plus profond de ses yeux alors qu'elle se tenait assez proche de lui. L'odeur de chacun était mélangée à l'autre et ils ne cessaient de se regarder l'un à l'autre. Myrialuna était pour le moment sur place, sans être capable de bouger davantage. La seule chose qui ne cessait pourtant de bouger en sens involontaire, c'étaient ses yeux puisque ceux-ci ne pouvaient pas rester totalement en place mais ils restaient toujours au niveau du regard de l'homme.
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Mer 29 Jan 2014, 04:28


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Mer 29 Jan 2014, 21:00


Le regard de la fée ne quittait pas la lueur orangé des yeux d'Abel. Elle n'avait pas sortie ses ailes pour éviter de les abîmer. Il était facile de briser l'une des ailes d'une fée. Celles-ci étaient si douces et si fragiles. Dans l'apparence et dans la réalité, on ne pouvait se tromper. La jeune femme était captivée par le regard du bélua qu'elle ne vit même pas le reste des évènements. Myrialuna sentit au dernier moment son dos touché le drap du lit sur lequel ils étaient couchés un peu plus tôt. Ils ne se connaissaient même pas, mais quelque chose en elle s'était éveillé. Quelque chose d'enfoui depuis bien longtemps. Une ardeur qu'elle n'avait pas vu depuis longtemps maintenant. Elle sentit ses poignets au-dessus de sa tête, ce qui comprenait qu'elle n'avait plus aucune emprise sur le seul morceau de tissu qui couvrait sa poitrine. Puis, celui-ci glissa lentement de sa peau pour se retrouver à ses côtés. La jeune femme ressentait la chaleur du fils de Phoebe à travers même son chandail. L'homme aux instincts animales fonca alors sur le cou de la fée. Les yeux de la jeune femme se fermèrent et son corps entier se tendit sous une onde électrique qui avait traversé tout son corps. Myrialuna ressentait une sensation peu commune qu'elle n'avait ressentit que peu de fois dans le passé. Un léger soupire de plaisir s'était échappé du fond de sa gorge jusqu'à franchir ses lèvres. Les mains de la fée parcourèrent doucement ses épaules et glissèrent jusqu'au milieu de son dos. Sans même prendre la peine de lui retirer son chandail, ses ongles déchirèrent les morceaux de tissu qui le recouvrait et elle le jeta plus loin. Toutefois, elle ne ferait sûrement pas la même action pour ce qui était de son pantalon. Elle aimait sentir ses lèvres contre sa peau, toutes ces sensations qui parcouraient son corps comme des ondes électriques. Chaque onde était la bienvenue, propulsant toujours une chaleur de plus en plus intensive au creux de son ventre et qui se propageait lentement dans le reste de son corps. Elle approcha alors ses lèvres de l'oreille gauche du bélua et elle murmura doucement:

- Et que comptes-tu me faire..?

Le plaisir charnel était un plaisir qu'elle avait découvert il y avait une dizaine d'années. Même personne ne l'avait jamais embrassé sur les lèvres avant ses 20 ans. Avant qu'elle ne rencontre le sorcier lors de cette sortie pour artistes à Drosera. La souveraine des fées s'accrocha doucement au dos du fils de Phoebe et elle détourna la tête pour qu'il relâche son cou et le regarda dans les yeux pendant un petit moment. Un petit sourire s'était installé sur ses lèvres. Un léger rictus qui en disait pourtant long malgré son apparence. Lentement, l'une de ses mains remontait le long de son échine jusqu'à atteindre la base de sa nuque et elle laissa sa main glisser dans sa longue chevelure brune. Ses yeux céruléens se plantaient de nouveau dans son regard à l'étrange lueur sauvage. Abel semblait être un homme bon mais avec un côté plutôt sombre. C'était en quelque sorte ce qu'elle était elle aussi. Ils semblaient se ressembler sous plusieurs formes. La jeune femme serra légèrement ses doigts contre les cheveux du bélua et elle l'approcha un peu plus d'elle. Ses lèvres frôlaient à peine les tiennes et elle sourit un peu plus. Alors que tous les deux se regardaient dans le fond des yeux, la fée décida de rompre ce moment pour plaquer le bélua contre elle. Ses lèvres rencontrèrent alors celles charnues et chaudes du jeune homme. Elle referma une partie de l'un de ses bras contre lui, déposant sa main à plat contre le centre de son dos.
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Jeu 30 Jan 2014, 01:59


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Jeu 30 Jan 2014, 03:12


Le baiser d'Abel était ardent et fougueux, rendant Myrialuna folle dans tous ses sens. Son visage avait prit une légère teinte rosée plus foncée alors qu'elle s'emparait toujours de ses lèvres. Lentement, puis soudainement plus rapide, leurs lèvres ne cessaient de s'entrelacer dans une danse des plus endiablées. Sa main contre son dos se resserra un peu plus alors qu'elle sentait sa chaleur contre elle. La fée avait complètement enlevé son chandail. Elle ressentait à présent toute la chaleur qu'il dégageait. Son torse nu contre sa poitrine et son ventre. Elle ressentait son coeur battre au travers de sa peau. Elle ouvrit légèrement ses lèvres contre celles du bélua alors que ses paupières étaient toujours fermées. Elle se délectait tout simplement d'un contact rapproché, intime et sensuel avec un autre homme. La fée était restée fidèle et accrochée durant toutes ces années. Abandonnée de nouveau et cette fois-ci libre comme l'air, elle s'abandonnait à un homme qu'elle ne connaissait presque pas, mais qui, pourtant, semblait l'attirer au plus près de lui. Abel la surpassait de sa taille. Il n'était certes pas difficile de voir qu'il la dominait en ce moment précis. La fée ne semblait pas être contre cette initiative. L'homme se laissait aller à ses pulsions et la jeune femme laissait lentement aller les siennes. La voix du fils de Phoebe raisonna tel un écho ardent aux oreilles pointues de la blonde qui était toujours couchée sur le dos, en-dessous de lui.

Les doigts d'Abel glissèrent lentement contre la peau de son cou et divièrent calmement vers son ventre. Un violent frissson parcourut alors tout le corps de la fée. La belle ouvrit les paupières pour regarder le visage du jeune homme. Elle voyait toujours cette lueur animale au fond de ses yeux. Elle percevait cette sensation bestiale qui émanait de cet homme. Ils se connaissaient à peine et, pourtant, ils étaient tombés dans les bras l'un de l'autre. Sans demander leur reste, les deux amants s'étaient enivrés de l'essence charnelles l'un de l'autre et avaient cédés à leurs désirs le plus profond. Myrialuna aurait pu refuser de se livrer physiquement à Abel mais son désir était tout autant intense que celui de l'homme au totem de la panthère. C'était quelque chose qu'elle voulait, qu'elle désirait. Luna ne lui aurait certainement pas avoué mais elle le pensait, le ressentait.

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Jeu 30 Jan 2014, 04:40


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Ven 31 Jan 2014, 00:49

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Ven 31 Jan 2014, 15:38


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Mar 25 Fév 2014, 18:01

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Jeu 27 Fév 2014, 19:27


Abel aurait donné cher pour que ce moment dure éternellement, pour que jamais ils ne quittent cette chambre où ils ne faisaient qu’un. Le corps de la fée, le rythme de sa respiration haletante et les gémissements qu’elle poussait lui enlevèrent les dernières forces qui cherchaient encore à résister. Le bélua s’abandonna son corps et son âme à Myrialuna, tâchant de lui faire voir toute la passion qui l’animait. Ses mains serraient délicatement les poignets de la fée et son regard avait peine à se détacher du sien. Les yeux bleus de la fée et son visage blanc continueraient d’apparaître dans ses rêves pendant des semaines entières. Abel n’avait jamais rien vécu de tel. Luna n’en était certainement pas à sa première aventure, mais le bélua était bien décidé à lui faire oublier tous les autres. Il voulait qu’elle ne pense plus qu’à lui et au plaisir qu’il lui apportait.
L’entendre prononcer son nom de cette manière était si agréable. Sa voix était belle et sensuelle à la fois, et lui laissait voir qu’il était parvenu à ses fins.  Contre elle il se sentait bien, il se sentait vivant comme jamais il ne l’avait été auparavant.

Ses mouvements qui avaient été lents et amples s’accéléraient alors que les cuisses de la fée se refermaient autour de lui. Son sexe pouvait à présent pénétrer plus profondément en elle et Abel ne manqua pas d’en profiter pour lui procurer encore plus de plaisir. Le bélua n’avait pas ressenti autant de plaisir depuis bien longtemps, et lorsque la fée chercha à défaire ses poignets d’entre ses mains, il ne parvint pas à l’en empêcher et se retrouva bientôt contre elle. Le contact de sa poitrine contre son torse et de tout son corps à présent collé au sien le rapprocha un peu plus de l’extase qu’il sentait arriver. Le totem d’Abel lui envoyait des pulsions sauvages qui lui donnaient envie de la prendre sans la ménager, tant qu’elle aimerait ça. Le goût de ses lèvres qui se mêlaient aux siennes était absolument délicieux et il l’embrassa avec passion, n’acceptant de s’éloigner de son visage que pour la laisser souffler quelques secondes. L’un de ses bras à présent libres vint se placer dans ses cheveux tandis que l’autre descendit lentement sur le côté de son corps jusqu’à atteindre ses cuisses qu’il serra entre ses doigts. Le bélua perdit complètement la notion du temps, se concentrant sur les réactions de Luna pour tenter de trouver ce qui lui procurait le plus de plaisir.

Quelque chose sembla soudain faire briller son regard et Abel sut qu’il avait trouvé ce qu’il cherchait. Les mots de la fée lui confirmèrent ce qu’il avait entrevu et il continua ses va-et-vient jusqu’à sentir les ongles de la fée se planter dans son dos et le plaquer contre elle un instant avant qu’un immense cri de jouissance ne sorte de sa bouche. C’était un son magnifique pour le cœur du bélua et l’entendre hurler ainsi de plaisir lui fit un bien fou. La fée avait l’air heureuse, il était parvenu à lui offrir un beau moment et c’était déjà une grande victoire à ses yeux, car il n’aurait plus été capable de tenir bien longtemps tant le corps de la fée l’excitait. Il la laissa reprendre ses esprits en calmant ses ardeurs durant quelques secondes, caressant le corps de Myrialuna avec amour, avant de se pencher à nouveau sur elle en souriant, collant ses lèvres contre les siennes l’espace d’un instant. Il n’eut besoin que de quelques coups de bassin pour sentir à son tour le plaisir monter en lui telle une vague déferlant dans son corps, impossible à arrêter.
«Luna…. »
Abel voulu dire quelque chose mais il ne fut pas capable de finir sa phrase qui se transforma en un long gémissement qu’il ne chercha pas à retenir.

Le bélua laissa doucement retomber son corps contre celui de la fée, tentant de reprendre son souffle. Sa respiration était haletante et ses sens avaient du mal à se remettre de l’explosion de plaisir qu’il avait ressenti. Ses yeux se tournèrent vers ceux de la fée, cherchant dans son regard le moindre signe qui lui prouverait qu’elle avait apprécié ce moment autant que lui.
Le corps d’Abel glissa sur le côté et il posa sa tête contre l’oreiller avant de passer lentement sa main sur le ventre et les seins de la fée dans une caresse pleine de tendresse.
« Myrialuna… Tu es merveilleuse. Je ne veux plus te laisser sortir de ma vie… »
Le bélua aurait voulu lui dire qu’il l’aimait. Il en était convaincu, mais il voulait attendre d’être sûr qu’elle avait les mêmes sentiments pour lui. Son regard se perdit dans le bleu de ses yeux alors qu’il continuait ses caresses avec amour.
Ressentait-elle pour lui la même chose qu’il ressentait pour elle ?
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Ven 07 Mar 2014, 02:13


L'intensité que la fée avait éprouvé auprès de lui n'était pas possible à d'écrire. Elle ressentait, dans son corps, des vibrations qu'elle n'avait pas connue depuis très longtemps. Une légère sueur semblait perler au creux de son dos. Ses pupilles étaient toujours légèrement dillatées et elle reprenait graduellement son souffle. De petites tremblements se situaient toujours au niveau de ses bras ainsi que de son ventre. Toutefois, les plus grands se trouvaient au niveau de ses jambes. Elle était heureuse, tout simplement. Une nouvelle fois, elle était comblée. Elle semblait flotter sur un petit nuage imaginaire. Ses paupières s'étaient refermées. Elle se reposait ainsi pendant deux ou trois minutes avant d'ouvrir à nouveau ses yeux et de se redresser sur le lit. La quête pour la pierre venait soudainement de lui revenir en tête. Luna et Abel s'étaient abandonnés l'un à l'autre sans toutefois se préoccuper de la pierre mystérieuse qu'il devait trouver. Même si elle était une fée, les jugements sur son peuple étaient infondés. Elle le prouvait pas ses agissements et sa volonté. Elle avait retrouvé une sensibilité et un besoin de son corps qu'elle n'avait pas senti depuis de nombreuses années. La jeune femme sentait une flamme qui renaissait dans son corps, dans son estomac. Abel était un homme charmant et remplit de surprises. Elle se promit qu'elle le reverrait dès que possible quand leurs chemins allaient se séparer après avoir trouvé cette fameux pierre. Elle ne pouvait rester à côté des sentiments qui se développaient dans son coeur, dans son âme. QUelque chose l'attachait maintenant au bélua. Ce lien allait au-delà d'un simple attachement physique. Les paroles du Bélua la firent sourire. Doucement, elle déposa un baiser sur son front, descendant ensuite celui-ci contre ses lèvres.

- Je ne souhaite pas non plus que tu sortes de ma vie Abel. Merci pour ce merveilleux moment. Je ne l'oublierais jamais. Toutefois... une quête nous attend. Trouvons cette pierre et partons de cet endroit. Les dangers pourraient arriver à tout moment et tu n'es pas complètement rétablit. Tu pourrais davantage risquer ta vie.

Myrialuna s'était levée et elle avait enfilé ses vêtements. Alors qu'elle s'appuyait contre le mur, elle le traversa littéralement pour se retrouver sur le dos. Elle avait heurté la dalle avec violence et elle vit un moment des étoiles qui dansaient devant elle. Se redressant en douceur, la souveraine se frotta calmement le derrière de la tête et redressa les yeux sur l'endroit qu'elle venait de trouver. Une porte secrète? Eh bien, en voilà une surprise! Les yeux céruléens de la fée se tournèrent vers sa gauche et elle recula vivement. Myrialuna venait d'apercevoir une ombre passer directement sous ses yeux. La fée redressait alors le menton et s'approchait un peu plus dans l'endroit qui était plutôt sombre. Une lueur semblait briller un peu plus loin. Comme si quelque chose de scintillant s'y cachait. Elle savait qu'elle n'avait pas besoin de se retourner puisqu'Abel devait certainement s'être habillé en vitesse pour accourir près d'elle dès qu'elle était tombée.

- Tu vois ce qui scintille là-bas? L'objet semble caché dans un emplacement plus petit. Je vais devoir me rendre plus petite pour pouvoir aller l'attraper.

Sans dire un mot de plus, la souveraine rapetissait maintenant sa taille à une trentaine de centimètres. Myrialuna jeta un coup d'œil vers le bélua avant de faire sortir ses ailes céruléennes et de s'envoler vers l'entrée. Cela lui prit deux bonnes minutes avant de ressortir et de grandir de nouveau. Ses ailes bleutées et luminescentes étaient maintenant visibles dans son dos. La jeune femme tenait entre ses mains une boîte en velours noir, dont une légère lueur s'en dégageait.

- Tu penses que nous avons finalement trouvés la pierre que nous recherchions? Qu'elle était cachée derrière ce mur qui paraissait si normal pour nous tromper? Que tout cela n'était qu'une illusion pour nous faire perdre la tête?

Après tout... le propriétaire souhaitait-il vraiment qu'on lui dérobe un tel objet? La jeune femme allait rajouter quelque chose quand le sol semblait se mettre à vibrer sous ses pieds. Il était temps de partir d'ici ou ils risquaient une fois de plus leur vie.
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Jeu 13 Mar 2014, 20:04


Abel avait du mal à réaliser que ce qui venait de se passer était réellement arrivé. C’était tellement beau et inattendu qu’il se demandait s’il n’avait pas rêvé toute la scène, s’il n’était pas encore allongé quelque part au milieu du château en train d’agoniser à cause de sa blessure. Mais Myrialuna semblait bien réelle devant lui, reprenant peu à peu sa respiration. Le bélua avait la tête qui tournait légèrement, le plaisir mêlée aux efforts qu’il avait fait se mêlaient dans une fatigue presque agréable, un sentiment de plénitude qu’il n’avait pas ressenti depuis bien longtemps. C’était comme si plus rien n’avait eu d’importance durant une demi-heure, et qu’à présent la réalité le rattrapait peu à peu.
Abel regarda Myrialuna se rhabiller avec une pointe de déception. Après tout, il le fallait bien… Il enfila don sous-vêtement et son pantalon et jeta un œil amusé à son chandail qui était en bien piteux état. Le bélua se pencha pour le ramasser et s’en servit pour l’attacher autour de son ventre, venant dissimuler la cicatrice que lui avait laissé la lame des rideres. Le bandage de fortune laissait une grande partie de son torse nu, mais après ce qu’ils venaient de faire Abel ne risquait pas d’avoir froid.

Lorsque Myrialuna lui rappela qu’elle était là pour trouver la pierre, il eut du mal à comprendre de quoi elle lui parlait tant les récents évènements avaient relayé cette quête au fond de son esprit, mais elle avait raison, ils allaient devoir s’y remettre et essayer de trouver ce que la fée était venue chercher. Alors qu’il se demandait où quelqu’un pouvait bien avoir envie de cacher une telle chose, il entendit un bruit sourd et se retourna en toute hâte pour voir que Myrialuna avait littéralement traversé le mur pour venir tomber dans ce qui semblait être un renfoncement caché. Le bélua ne comprenait pas bien ce qui venait de se produire, mais il délaissa ses ajustements de son bandage pour venir se précipiter vers la fée, espérant qu’elle ne s’était pas blessée en tombant.
« Est-ce que ça va ? »
Visiblement elle allait bien, même si elle avait semblé sonnée durant quelques instants. Mais bien vite, son regard avait été attiré par quelque chose d’autre, et Abel se pencha pour essayer d’apercevoir ce qui éveillait tant sa curiosité.

Dans l’obscurité, le bélua eut du mal à apercevoir ce qui lui montrait la fée, mais cela ressemblait à un petit objet. Il devait avoir de la valeur pour que son propriétaire le garde dans un tel endroit. Il ne pouvait s’empêcher de penser aux dizaines d’aventuriers qui étaient passés par ici, qui avaient peut-être dormi à quelques mètres à peine de là sans jamais se rendre compte de quoi que ce soit. Et voilà que le hasard le leur offrait. C’était presque trop beau et Abel ne put s’empêcher de faire preuve de méfiance lorsque la fée se mit à rétrécir. C’était la première fois qu’il voyait quelqu’un faire cela, mais il ne fut pas surpris, car on disait que les fées ne faisait que quelques dizaines de centimètres en général, et que Myrialuna était bien plus grande. Il avait compris depuis un moment que la jeune femme pouvait modeler son apparence, ce qui s’avérait bien pratique dans des cas comme celui-ci.
« Fais attention à toi. »
Abel fut saisi d’une certaine appréhension lorsqu’il la vit s’engouffrer dans l’entrée, il ne pouvait pas la suivre ici, et il espérait que la zone n’était pas piégée. Les minutes qui suivirent lui parurent très longues, mais finalement la fée ressortit avec une petite boite noire. Le bélua poussa un soupir de soulagement en la voyant s’approcher.
Alors qu’elle reprenait lentement sa taille normale, la petite boite qu’elle tenait intrigua Abel, mais bientôt un grondement sourd se fit entendre, comme si un pan entier du château venait de s’écrouler près d’eux.

Il ne fallut pas longtemps au bélua pour comprendre qu’ils ne gagneraient rien de bon à trop tarder ici, et il s’élança à travers pour ouvrir la porte, jetant un regard vers la fée.
« Allons-nous en, tu regarderas ce qu’il y a dedans quand nous serons dehors ! »
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Ven 14 Mar 2014, 02:04

Myrialuna ne pensait pas trouver la pierre dans le château des cavaliers sans tête. Elle se serait attendue à la trouver à l'extérieur. Comme quoi même le plus simple était aussi le plus difficile. Si elle avait quitté le château, elle n'aurait certainement jamais mis la main sur le coffre qui détenait la pierre mystérieuse. Elle ne savait même pas à quoi celle-ci ressemblait. Le sol tremblait maintenant sous les pieds des deux jeunes gens. Il fallait sortir d'ici où ils allaient être... en fait, la souveraine ignorait ce qui pouvait se passer si ils restaient ici. Le château ne pouvait pas vraiment s'effondrer sur eux... Cela devait sûrement être un piège si jamais ils restaient dans cet endroit. Myrialuna s'était avancée vers Abel afin de le suivre. Elle eut juste le temps de lui prendre les épaules et de se jeter vers l'arrière pour éviter qu'une lance ne le poignarde en plein coeur. Plus tard les remerciements. Il n'était plus question de rester dans cet endroit. La jeune femme cria tout fort: - Agrimpes-toi! Et elle empoigna fermement le bélua au niveau du coude et l'entraîna littéralement vers la fenêtre. D'un bond en compagnon du jeune homme, la reine défoncait maintenant la vitre, la faisant éclater en milles et un morceaux. Grâce à ses pouvoirs magiques sur la nature et tout celle-ci entourant cet endroit, elle créa de grandes lianes qui arrêtèrent leur descente tout droit à la mort si elle n'avait pas eu ce pouvoir. Le contrôle de la nature était franchement bien intéressant. Et surtout utile. L'aterrissage avait été plutôt doux. Les longs cheveux blonds de la jeune femme étaient en bataille. Doucement, elle remit ses cheveux derrières ses petites oreilles pointues. Elle s'était assurée que le bélua avait bien aterrit avant de doucement rappeler les lianes à leur terre mère. Ses yeux suivirent le mouvement et elle s'assura même que les lianes déposent Abel sur ses pieds ainsi qu'elle-même. Elles finirent enfin par regagner la forêt ainsi que la terre. La fée se retournait à présent vers le bélua.

- Les portes sont souvent traites. Surtout dans ce genre d'endroit. Et encore plus lorsque tu oses venir dérober un objet de cette puissance. Cela me sera plutôt utile. Je pourrais faire vivre tout ce dont j'ai envie pendant un court instant. Statut, dessin, etc. N'est-ce pas formidable?

Un doux sourire ornait les lèvres rosées de la fée alors qu'elle ouvrait lentement le coffret. La pierre était bien là, brillante. Elle semblait avoir quelques couleurs qui bougeaient mystérieusement sans cesse, comme si cela n'était qu'un flot continue. Myrialuna l'a prit doucement entre l'une de ses mains. Sans même prendre le temps d'utiliser son pouvoir pour la première fois, elle ressentait la puissance magique qui s'en dégageait. Elle prit donc soin de la remettre dans son coffret. Elle allait pouvoir l'étudier une fois qu'elle serait rentrée. Ses yeux bleus se redressaient maintenant sur le visage d'Abel. Il fallait partir. Elle devait rentrer avant que le soleil ne se couche. La jeune femme s'approcha donc du bélua. Doucement, ses doigt vinrent caresser sa joue avec tendresse. Myrialuna osa même venir déposer un doux baiser sur ses lèvres.

- Je n'aime jamais les au revoir. Mais je te promet que nous nous reverrons un jour et même bientôt. Le temps semblera long, mais crois-moi il sera court. Nos chemins se recroiseront très bientôt. Je ne t'oublierais pas, crois-moi. Portes-toi bien Abel et si jamais l'envie te prend, envoies-moi une lettre. Prononce tout simplement mon nom et elle trouvera son chemin. Je ne crains rien pour toi puisque je sais que tu sauras te défendre. Tu es un homme qui est remplit de ressources dont on ne pourrait imaginer. Quelqu'un aux tendresses uniques teintées d'une certaine sauvagerie. Ne m'oubllie pas. Merci énormément pour ton aide. La découverte de la pierre a été si facile et si difficile à la fois. La simplicité est quelques fois... si troublante.

Tendrement, elle lui prit le visage entre ses mains et embrassa tendrement ses lèvres avant de redresser la tête vers le ciel et de voir son dragon qui atterrit sur le sol à ses côtés, le faisant légèrement trember. Elle grimpa sur son dos. Dans un dernier signe de la main, elle lui disait au revoir et les deux compagnons ailés s'envolèrent dans les cieux à la destination de sa maison qui était aussi sa boutique. Au fond d'elle-même, elle savait les sentiments qu'elle commençait à éprouver pour le bélua. Toutefois... elle avait eu peur que cela soit trop tôt pour tout lui dire. La prochaine fois, elle ne laissera pas une telle chose lui échapper...


Note de fin:
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Premier fragment de la Pierre Mystérieuse (-18) [PV Myrialuna]

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