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 Leur dieu descendra des cieux. [pv Neros]

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Lun 18 Mar 2013, 17:34

« Tu comptes me dire ce que je fais ici, où tu fais encore duré le suspense ? » « Si j’invoque le droit à une discussion père-fils, ça ne marchera pas n’est-ce pas ? » Zéleph alluma sa cigarette, posant son regard sur Neros. « Hum… non. » Le rouquin en souri. Son père avait fait un long voyages de puis le Circus Brothel pour répondre à son appelle, et comme il ne lui avait pas dit de quoi il s’agissait, il comprenait sa légère impatiente. Seulement Neros était persuadé que cela intéresserait le roi, en tout cas, quand il l’avait découvert en accompagnant les autres voyageur, cela l’avait intrigué. C’était étrange et peut être que ce n’était que des fabulations d’un jeune garçon cherchant un peu de reconnaissance, ou bien un étrange hasard. Quoi qu’il en soit il avait trouvé le besoin de prévenir son père, pour peut-être aussi en profité et le voir depuis sa « transformation ». Cela avait était d’ailleurs assez étrange. Zéleph était arrivé au campement, escorté par des voyageur qui l’avait guidé à travers le désert pour qu’il puisse les trouvé, et quand il l’avait salué il n’avait fait aucune allusion, son regard n’était pas même différent sur lui, comme si rien n’avait changé. Neros avait était choqué, il ne le cacher. Il aurait cru que son père lui en aurait voulu, qu’il aurait mis une barrière entre eux puisque maintenant il ne faisait même plu partie de son peuple. Cela n’avait pourtant pas l’air de changer le faite qu’il soit son fils, et il en était soulager, bien que gêner d’avoir douté de lui. Oui, il avait était idiot d’avoir des préjuger sur les pensées de son père. Il regretté d’avoir tant eu peur de sa réaction, alors qu’il était avec lui comme il l’avait toujours était. Rien n’avait changé. Pourtant au fond il était aussi un peu déçu. Il ne se l’avouerait surement jamais, ne le verrait même peut être pas, mais il aurait voulu que Zéleph s’énerve, qu’il en veuille a Violette comme lui lui en voulait, et qu’il donne raison à sa colère, cette rancœur qui le ronger. Oui, quelque part il regretté cela. Il ne pouvait pas se plaindre de la bienveillance de son père. Après tout en arrivant il c’était intéresser aux voyageurs, il avait cherché à comprendre pourquoi il désirait rester faire sa vie ici avec eux et il l’avait approuvé, sans le dire, mais il l’avait vue dans son comportement. Zéleph avait même discuté avec Marxus. Il n’avait pas assisté à cette rencontre, mais le papy eu l’air ravis de cette entrevue, bien que le réprouvé en était sorti en bougonnant, mais rien qui ne put faire peur à Neros habituer du caractère râleur de son père.

En haut de la dune, au-dessus du campement, ils étaient seuls. Neros ayant demandé à son père de venir avec lui pour qu’il puisse enfin lui dire ce qu’il faisait ici. « Il y a une semaine j’ai accompagné un groupe qui faisait des recherche sur un petit monument trouvé au milieux de nulle part. Il y avait des pentagrammes, des hiéroglyphes, tout un dialecte inconnu qu’ils ont cherché à traduire. Quand ils ont réussi ils ont trouvé quelque chose. » Le réprouvé en avait marre d’attendre que son fils le fasse attendre, comme jouant avec ses nerfs. Neros parut comprendre son regard dur et insistant et il poursuivit sans attendre. « Il y avait écrit ceux-ci sur la porte. » sortant un petit parchemin de sa poche, il le tendit a son père qui le déplia et ce mit a lire ces mots :

Lorsque la guerre des bêtes mènera le monde à sa perte,
Le dieu descendra des cieux.
Des ailes de lumière et d'ombre se déploieront au loin,
L'âme errante ne connait aucun repos.

Il n'y a aucune haine, seulement de la joie,
Car le dieu te protège.
Héros de l'aurore, guérisseur des mondes.
Des rêves de lendemain hantent l'âme blessée.

Tout honneur est perdu,
Les ailes sont arrachées, la fin est proche.
Même si les lendemains sont vides de promesses,
Rien ne pourra empêcher son retour.
Zéleph leva les yeux vers Neros ne comprenant pas du tout où il voulait en venir. Le jeune homme sembla comprendre, et continua, prenant un étrange tact, pesants es mots pour parler au roi. « Ce dieu dont parle ce peuple, c’était un Aether comme maman. » « Et alors il y doit y avoir des dizaines d’Aetheri que nous ne connaissons pas, il y en a eu avant et il y en aura encore. » « Oui, sauf que celui-là... son nom est Zéleph. Et jusqu’à preuve du contraire ce n’est pas un nom commun. » Le réprouvé encaissa l’information, son regard ce plongent à nouveau sur la feuille, ne comprenant effectivement pas comment cette Aethers avait pu porter le même nom qu’un démon. Un nom qu’il avait entendu qu’une seul fois. Un nom maudit. Il comprenait maintenant pourquoi son fils avaient était troublé par cela lui aussi et avait trouvé le besoin de le lui dire. Pourtant ça ne devait être qu’un pur jeu du sort. En dés décennies, il y avait bien dû y avoir plusieurs Zéleph sur ces terres. Pourtant il était clair que c’était troublant de l’entendre. Zéleph, un dieu. Cela sonnet clairement faut.
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Lun 18 Mar 2013, 17:35

Zéleph était sur la dune, seul depuis un moment déjà. Il lisait et relisait ces mots sans en comprendre la signification. C’était comme une prophétie, ou un mauvais présage, qui pourtant semblait vouloir laisser l’espoir d’un futur meilleur à ceux lisant ces mots. Cela n’avait aucun sens, il le savait bien. « guerre des bêtes », « aucune haine, seulement de la joie », « vides de promesses », « rien ne pourra empêcher son retour. ». Oui il y avait comme un équilibre entre chaque phrase. Comme si l’une après l’autre elle prenait, puis rendait la lumière. Faire peur, tout en rassurant. C’était intéressant à analyser, mais ce qui déranger sur tout Zéleph c’était cette simple phrase : « Tout honneur est perdu, Les ailes sont arrachées, la fin est proche. ». Cela lui faisait froid dans le dos. Il se souvenait de la sensation de sa peau, sa chair ce déchirant, ses os s’arrachant de son dos lors ce qu’on lui avait volé son identité, ce qui faisait de lui un être des cieux. Aujourd’hui encore, il en ressentait la douleur et le manque, comme si un bras ou un pied lui manqué. C’était abominable. Peut-être aurait-il rit quand Neros lui avait avoué el nom de ce dieu, mais après avoir lu ces mots il n’avait pu s’empêcher d’avoir un ressentiment, comme si instinctivement, il se sentait proche de cette prière gravé dans la roche de sable. Est-ce que tout cela n’était réellement que coïncidence ? Le réprouvé ne pouvait s’empêcher de le croire, sûr de lui, mais quelque par cela avait éveillé sa curiosité et il ne pouvait dépasser ce feu qui c’était déclaré en lui. Plus il passait de temps à lire ce parchemin, et plu cette incendie dévasté son être, jusqu’à ce qu’il capitule et comprenne que le seul moyen pour l’éteindre serrait d’assouvir cette curiosité nouvelle.

Ce levant, le roi plia soigneusement le papier et le glissa dans sa besace magique accroché à sa ceinture. Il avait retiré son manteau en arrivant dans le désert, aimant la brulure du soleil sur sa peau dur. Il n’était pas réellement victime de l’astre, mais en ressentait sa chaleurs, et il trouvé cela grisant. Arrivé devant l’enclos des dromadaires, le roi y trouva Neros, faisant manger les animaux. « J’aimerais rencontrer ceux qui ont traduit ça. » Le rouquin acquiesça simplement, et lui intima de le suivre. Passant quelque tente, ils le firent rentrer dans une d’elle. A l’intérieur il y avait une masse impressionnante d’objets entassé. Des choses surement découvertes aux courts de leurs expéditions. Il y avait des livres et des rouleaux de parchemin, ancien ou nouveaux dans tous les coins. Cet endroit était la caverne des milles merveilleux pour tous les savant de ce monde. Cela resté pourtant sobre. Rien ici ne montrait une grande richesse, du moins, elle n’était pas exagérément étalé sur les toiles des tentes sans pour autant montré un mode de vie misérables. Zéleph apprécier la simplicité de ces gens, c’était un bon point pour son fils. Un voyageur, ayant l’apparence et les manières d’un homme d’une quarantaine d’année, vin salué le roi l’ayant revenu dès son entré dans la tente. Se courbant légèrement il se présenta. « Je suis Glad, Sir, archéologue. Puis-je vous aidés ? »

« C’est vous qui avez traduit ceux-ci, n’est-ce pas ? » Le réprouvé sortit de son sac le parchemin. Glad n’eut pas besoin de regardé pour savoir de quoi lui parlé le roi. « En effet Sir. Vous désirez en savoir plus ? » « Je dois avouer que ça m’intrigue. » « Et c’est normal, ce que nous avons découvert est étonnant. » Sourit l’homme se retournant vers sa table recouverte de ses grimoires poussiéreux, parchemins et autre outils de recherche. Le désordre régné en maitre ici, mais cela ne paraissait pas gêner Glad, ou même les autres chercheurs qui continuer leurs recherche pas le moins du monde déranger par la présence de Neros et son père. « Quand nous avons découvert cette porte enseveli sous le sable nous avons d'abord pensé à l’antre d’une ancienne guilde de voleur. La façon dont elle est disposé, dont elle ce fond dans le paysage, cacher par les sables et sa simplicité, ne fait pas vraiment pensé à un lieux ériger a la gloire d’une dieu, ou à un culte. » Zéleph regarda l’archéologue s’affairé à chercher quelque chose dans ses multiples papiers, continuant de l’écouté avec attention, prenant bien note de chaque détaille, bien que cela ne l’avance en rien sur le pourquoi du comment à propos de son nom commun avec ce dit dieu. « Ah tien, regardez ! » Glad tendit un parchemin sur lequel l’esquisse du bâtiment avait était produite. Le réprouvé le prit et observa le dessin. C’était une simple porte en pierres massives qui s’enfoncer dans le sol, ce laissant recouvrir de sable. Cela laisser imaginer que derrière cette porte il devait y avoir directement de longs escaliers creusant la terre. Il était vrais que ça faisait plus penser à la cachette d’un voleur que l’entré d’un temple de recueillement.
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Lun 18 Mar 2013, 17:36

Descendant de son dromadaire, Neros rejoignit son père devant la porte. « Elle est scellé. On n’a pas pu l’ouvrir, mais je suppose que toi tu y arriveras. » « Eviter simplement de l’abimer le plus possible. » Zéleph ne regarda même pas Glad quand celui-ci lui fit la remarque. Il était peut être brusque mais pas idiot, et il savait encore contrôler sa force dévastatrice. Du moins espérons-le. S’approchant de la porte gravée, enfoncer dans les massifs bloque de roche des sables, le réprouvé chercha une prise adéquate pour pouvoir retiré cette stèle sans faire effondrer le reste. Posant ses mains là, il réussit à la prendre en main, puis à l’arracher d’un coup sec, l’extirpent de sa place pour la poser juste a coter sous les yeux inquiet des voyageurs derrières lui. Il trouvé leurs réaction un brin exagéré. C’était comme si il tenait leur bébé dans ses bras, juste excessif comme réaction. Plus qu’avoir gardé la porte intacte, Zéleph avait sur tout ouvert le passage, sur un long corridor qui descendait de façon assez raide. Entrant dans le monument, il fut tout de suite arrêté par une petite dame, l’air contrarié. « Attendez ! Il y a peut-être des pièges. » Chuchota-elle alors comme une gamine tout excité voulant jouer au espions. Il la laissa lui passer devant et examiner les murs, le sol, avant de ce tourné vers le petit groupe et de leur signaler que tout aller bien. Ils purent enfin rentré et regardé les murs. Il y avait les même marque et écritures que sur la porte. Seulement cette fois c’était par tout, absolument par tout, même au plafond. C’était à la fois étrange et magnifique. Très impressionnant. Neros glissa ses doigts sur les gravures. Elles étaient intacte, presque absolument pas abimer par le temps et d’une précision certaine. Un travail de qualité, de vrais artistes. Zéleph n’étant pas du tout sensible à cela, et ce fichant pas mal de ce qu’il y avait écrit à l’entrée de ce temple, voulait en voir plus, il voulait savoir où menait ces escalier où l’obscurité, le manque de lumière, empêcher d’en distinguer le bout.

A peine son pied ce posa sur la première marche que tout le long des murs des sphères de magie lumineuse ce mire en marche. Glad et les autres regardèrent cela comme une merveille. « Incroyable ! La magie de ce lieu fonctionne toujours. » « Raison de plus pour faire attention. » Rappela la petite dame d’un air supérieur. Zéleph soupira et ce mit en marche sans attendre pour descendre les long escaliers, suivit de près par Neros, puis du reste du petit groupe de voyageurs. Tous s’agglutinant derrière la carrure imposante du roi, craignant que si la magie n’était pas éteinte ici, les protections entourant le temple devait toujours être en marche. La fin fut proche, et lors ce que leurs pieds touchèrent la dernière marche des bougies s’allumèrent autour deux. Des centaines de bougie incrusté dans les murs, tout le long du couloir en lignes droites, chaque mèches ce mirent a briller éclairant d’une lueur douce ce qui semblé être le seul chemin possible. « C’est magnifique. » Souffla Neros en regardant autour de lui. C’était vrais, cette ambiance avait quelque chose de mystique, le reflet de la lumière des bougies sur les hiéroglyphes gravé dans la roche donner une dimension irréel au corridor. A cet instant il était vrai que cet endroit ressemblé bien aux chemins menant à un temple, ou un lieu de culte quelconque. « Continuons. » Zéleph ne se fit pas prier et continua d’avancer, poursuivant la lumières qui semblé s’allumer au fur et à mesure de leurs pas. Ils n’en voyaient pas le bout jusqu’à ce qu’une nouvelle porte ce fasse voire. Une porte incrusté de pierres précieuse, gravé et dessiné avec plus de précision que la première, aux traits beaucoup plus grossiers. Comme des chiens affamer, les archéologues ce jetèrent dessus pour se mettre à la déchiffré, a l’analysé attentivement Le réprouvé les regarda faire sans rien dire, mais il trouvé très agacent qu’ils lui bouchent la vue. Il avait à peine pu l’apercevoir.

De ce qu’il pouvait encore voir malgré les hyènes, la double porte était massive. Il y avait de l’or et de l’acier qui la tenait, servant aux mécanismes. Il y avait beaucoup de richesse dans un espace très restreint. C’était d’ailleurs étrange un changement de décor si brutal. Passer d’une sobriété pousser à l’extrême, a une forte richesse c’était surprenant. Il y avait un grand soleil sur la porte, étalent ses rayon sur les deux pends. Zéleph était-il le dieu de la lumière, ou d’une chose ce même cela ? Tous ces jeux entre obscurité et lueur des bougies, de la magie et là se symbole. Ce n’était que des coïncidences. Après quelques minutes Glad revins vers eux, et derrière ses lunettes, il fixer un parchemin sur lequel il continuer de gribouiller frénétiquement de sa plume, l’air plonger dans ces pensées. « A en croire ce qui est écrit, c’est la suite de la prière de la première porte. » Zéleph tendit la main. « Faite voir. » dit-il assez brusquement, ce qui fit obéir le voyageurs sans plus tarder. Le réprouvé observa alors les notes.
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Lun 18 Mar 2013, 17:37

Il n’existe ni rêve ni honneur,
La flèche a quitté l'arc du dieu.
Mon âme, empoisonnée par le désir de vengeance,
A vécu dans la tourmente, et s'éteindra avec son salut.

Pour l'atteindre, nous prenons notre envol.
Le vent navigue sur la surface de l'eau,
Des rides se dessinent à sa surface.

Afin de devenir la rosée qui baigne ces terres.
Épargnant les sables, les mers, et les cieux,
Il nous offre ce sacrifice silencieux.

Il nous guidera vers le bonheur, de son don éternel.
Tout ce qui nous attend est un sombre lendemain,
Peu importe ou les vents souffleront.

Son désir est ce qui apporte la vie,
Et ton sommeil éternel, ce qui apporte notre repos.
Zéleph avait du mal à comprendre tout cela. Est-ce que ça avait un réel sens où n’était-ce que les fabulations d’homme vénérant un dieu qui les as laissé croire ceux-ci pour garder leurs foie. Il en ce voyait pas Mitsuko, avec des prières pareilles. Quand on connait les Aetheris, on a parfois du mal a pensé que cela puisse être des dieux bon et honorable. Non, ils n’en avaient aucune notion, cela allé bien au-delà du bien et du mal pour eux. C’était tout autre chose. « La légende parle de sacrifice à la fin du monde. Seulement je ne sais pas si c’est le sacrifice du dieu ou bien de ses fidèles. » « Un sacrifice humain ? » « Oui, c’est bien possible. » « Cela n’as pas de sens, ça ne sauverait personne. » « Bien sûr, mais certain Aethers prenaient plaisir à créer des cultes sacrificiel. Le plus connue et l’offre d’une vie pour une autre, ou bien pour la protection de quelqu’un ou quelque chose. Certain croyant pensé dès les offrandes forcer les Aetheri à leur être reconnaissant de leurs amours, de leurs adorations, et donc les protéger. » « C’est écœurant. » Glad leva les yeux vers le roi, un peu surprit d’un ton si froid. « Si l’on voie cela comme de l’exploitation, c’est vrais. Puise que l’on part du principe qu’un dieu, étant un dieu, vivant aux dessus des hommes, il n’a donc besoin de rien. Les offrandes et sacrifices son donc de pure amusement. Seulement par fois il est clair que ce n’est pas la divinité elle-même qui l'as demandé, mais certaine fabulations de l’homme qui cherche à se réfugier dans certaine pratique. » Quand bien même toute les explications du voyageur, Zéleph trouvé cela écœurant. C’était volé, car le seul don des fidèles étaient bien l’acceptation de ce lien entre eux et l’Aethers, ni plus, ni moins. Le réprouvé soupira, cela importait peut. Il commencé à comprendre que où ce Zéleph Aether était un sacré profiteur, où ses fidèles c’étaient un peu trop laisser aller dans leurs adoration, ce plongent dans des cultes les dépassant assez pour dévasté leurs populations. Comme lui avait appris Glad sur le chemin du temple, cette Aether avait disparu, du moins à part cette endroit on en avait aucune trace, et aucun de ses fidèles n’étaient connue à ce jours sur les terres du yin et du yang. C’était surprenant, mais il ne trouver pas cela impossible.

« Pouvons-nous entré ? » Glad ce coupa dans ses longues explications que plus personne n’écouté, en tout cas ni Neros, ni Zéleph. L’archéologue ne parut pas vexer, mais fit malgré tout une grimace. Peut-être bien ennuyait par quelque chose. « J'en doute. Il faut apparemment une certaine magie pour actionner le mécanisme. » Les invitant à le suivre vers la porte, les autres voyageurs s’écartèrent, laissant voir la porte au roi et à son fils, sur ses talons. Zéleph pu alors voir des goutes, comme vagues, et des montagnes dessiner sous le grand soleil. Il ne savait pas à quoi tout cela correspondait, si ce n’était pas enfaite qu’une simple décoration. Glad lui monta deux trace de main enfoncer dans la roche sur chacune des deux portes, remplacent toute poigner. « Il semblerait qu’il y est une sécurité qui protège ce lieu. » « La porte ne doit s’ouvrir qu’au contact de l’énergie magique des partisans de ce culte, ou de ceux qui ont érigé ce temple. » Zéleph regarda les deux mains gravé dans la pierre. Et celons-lui comme il ne fallait jamais s’arrêté à ceux genre d’obstacle, il posa ses mains ne craignant aucun retournement de situation si cela ne marcher pas. « Arrêtez ! Il pourrait y avoir une protection ! » Mais déjà le roi avait ses mains qui remplissaient parfaitement le creux formé sur les portes. Qui ne tente rien n’as rien, et cette fois-là ce fut un très bon exemple pour cette devise. Au contact de ses mains, la porte ce mit soudain a tremblé, une forte lumière sortit alors de l’embrasure, lors ce que les deux pends ce séparèrent dans un lourd bruit de roche frottant le sol et le plafond. Reculant, le petit groupe d’apprenti expéditeurs regardèrent la massive porte ce mouvoir devant eux, et s’ouvrir lentement, difficilement, amis surement. « Mais comment ? »
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Lun 18 Mar 2013, 17:38

« Quoi ? Tout ça pour ça ?! » Le ton indigné de Glad était tout à fait représentatif de la pensé de chacun.Ils avaient tous imaginer à l’ouverture majestueuse de cette porte, à cette lumière éblouissante de pureté qu’ils allaient découvrir une pièce magnifique remplit d’or et de dessins, de statue, de bougie à l’image de ce corridor. Qu’il aurait des pierres précieuses, une stèle, des sièges. En un mot le cœur d’un temple somptueux. La chute était brutal, et ils étaient tous profondément déçu devoir devant eu une malheureuse grotte humide et froide… déplorable. C’était comme attendre avec excitation un cadeau, le souffle couper par l’émotion, et être frapper de voir qu’au fond de la boite il n’y a qu’un malheureux bonbon à la réglisse. Zéleph n’aimait pas la réglisse, et encore moins les grottes troglodyte. Il faisait noir. C’était même tout à fait opaque pour dire la vérité et très étroit. Un homme seul devait ce courbé et ce glisser difficilement, peut être qu’une femme en aurait plu de facilité, dans tous les cas il était certain que c’était un bon moyen de protéger ce qu’il y avait au fond. Ou peut-être bien qu’il n’y avait rien au fond et que tout cela n’était qu’illusion. Peut-être qu’avec le temps la cave c’était effondré, forment ici des roches ronger par l’eau du sol, si loin de la surface et du soleil, qui avait creusé cette sorte de passage. « Nous nous arrêtons là. » « Vous ne voulez pas continuer ? » « Soyons honnête Neros, cette Aether ne nous intéresse pas. Il n’a rien à voir avec ce que l’on recherche et puis, ça. » Il montra la faille derrière la porte. « Montre bien que nous ne trouverons plu rien sur lui. » Glad attrapa une torche et la tendit au roi, nullement fâcher d’être ici abandonner au pied du mur. Il prit la torche du petit homme. « Au revoir sir. » Bien sûr il savait que le réprouvé aller continuer, il avait fait un long voyage pour ça, et ce n’était pas homme à ce laissé décourager par un peu de froid et d’ombre. La difficulté importait peu. Ce tournant vers Neros celui-ci fixa son père, puis les voyageurs. « Je vais rester ici. » Ils ne trouvèrent rien à en redire. Le jeune humain commencé a si faire au désert et puis il avait déjà fait le voyage plusieurs fois d’ici au campement, donc Glad n’eut pas de crainte quand a sa capacité de raccompagner le roi seul, puis avec ce même roi, il ne craignait pas grand-chose.

Les archéologues disparut Neros regarda son père qui observé la brèche. « Tu penses trouver quelque chose ? » « Non. » La réponse était simple et catégorique, mais l’humain comprit que si il n’y aller pas, le réprouvé regretterait peut être tout jours de ne pas y être allé jusqu’au bout, d’être peut être passé à côté d’une vérité dont il ne connaissait pas l’existence, peut-être même caché. Sortant de son petit sac attaché à sa ceinture, Neros sortit une carte magique. Il n’avait encore jamais utilisé pour faire cela mais c’était le moment. Il la tendit à son père. Zéleph regarda, mais ne là prit pas, ne comprenant pas. « Elle porte mon essence magique. Grâce à cela si tu as un problème tu peux m’appeler, enfin encore faut-il que tu acceptes de me donner ton essence. C’est un peu comme de la télépathie, mais à travers les cartes. » Le roi ne pensait pas en avoir besoin, mais il ne trouver pas cela inutile. « Ça marche dans l’autre sens ? » Neros sourit comprenant où il voulait en venir. « Oui, je pourrais t’appeler si je suis en danger, papa. » dit-il doucement, reconnaissant que son père pense à lui part fois ainsi, même si il était honteux d’avoir a présent plus que jamais besoin de la protection des autres. Prenant la carte, le roi regarda le petit dessin de la tête de Neros, un peu grossière, avec son nom au-dessus. C’était amusant. Son fils lui présenta une autre et il posa sa main dessus, presque instantanément la carte s’imprégna et un dessin apparut, le roi. Seulement le personnage avait les cheveux blancs et les yeux rouges, mais le nom resta le même. Neros ne posa pas de question, sachant pertinemment que son père avait ses secrets, et il le respecter. Après tout cela expliquer pourquoi lui aussi avait toujours eu les cheveux blanc, avant qu’il est cette accident laissant ses cheveux roux. L’humain remit la carte dans son paquet. « Mon nom s’illuminera si je l’actionne, et produira un bruit d’alerte. Une flèches apparaitre, pour t'indiquer quel direction suivre pour me trouvé. » « C'est comme si tu m’invoquais. » Le rouquin ria à cette boutade qui fit sourire le réprouvé. « Oui, sauf que tu prendras quelque heurs à apparaitre, au lieu de quelque secondes. » Rangent soigneusement la carte de son fils dans sa besace magique, il se tourna vers la grotte.

« Très bien, j’y vais seul. » Neros acquiesça. C‘était effectivement l’idée de départ. Le roi n’en était pas gêner, cela serrait peut être plus simple au final, car il ne serait pas gêner, ou bien ralentit. Sans vouloir faire offense à son fils, l’avoir avec lui était un plaisir, mais pas un atout. Munit de sa torche. Seule source de lumière, Zéleph entra dans la grotte, et commença à ce glissé le long de la roche couverte d’une fine couche d’humidité. Il faisait froid ici, les parois étaient même glacial, et la torche n’illuminer pas a plus d’un mètre de lui. Autant dire qu’il était plongé dans le noir et ne savait pas où cela aller le mené. Très vite Neros disparut derrière lui. L’humain seul s’assit devant la porte et disposa ses cartes en attendant son père. Il n’ay avait pas grand-chose d‘autre à faire.
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Lun 18 Mar 2013, 17:39

Ca frayé un chemin n’était pas simple. Zéleph devait jouer les contorsionnistes pour arriver à avancer entre les rochers. Par fois celle-ci lui égratigné la peau. Elle était sacrément coupante, mais heureusement il était protéger contre ça. Ce baissant, ce redressant, ce tordant sans cesse pour ne jamais en voir la fin et s’enfoncer de plus en plus dans l’obscurité et le froid. C’était assez découragent. Si c’était en effet pour décourager les pilleurs de tombes, ce genre de chemin sinueux était un piège parfait pour les esprits faibles. Le réprouvé arriva enfin au bout. Cette brèche ouvrit une sorte de cave. Au moins il pouvait respirer, étant à deux doigts de faire une crise de claustrophobie. Eclairant els alentour de sa torche, il ne voyait pourtant toujours pas le signe d’une quelconque sortie à cette enfer, ni de signe particulier en indiquer une. Le roi commencé à se demander si Glad n’avait pas raison et s’il n’y avait tout simplement plu rien après la porte qu’il venait de franchir. Il continua pourtant de s’enfoncer dans les entrailles de cette grotte, n’ayant rien à perdre. Soudain il marcha sur quelque chose qu’il sentit glisser sous son pied à une vitesse impressionnante, comme une fuite. Eclairant ses pieds il entendit un sifflement, celui d’une attaque. Levant sa flamme il eut à peine le temps de voir le serpent et ses yeux terrifiant le toisé que l’animal c’était déjà jeté sur lui. Il eut le réflexe de se protéger de son bras, s’entend les crocs du serpent entré dans sa chaire. Sous la douleur, Zéleph attrapa le corps de l’animal et l’arracha de sa prise le jetant à terre avant de lui écraser la tête avec colère. Regardant son avant-bras il soupira en soignant sa plait ouverte. Ne sentant pas de douleur particulière dans son membre et la blessure n’opposant aucune résistance aux soins, il supposa que le serpent ne lui avait transmis aucun poison. C’était déjà une bonne chose.

A cette instant Zéleph réalisa qu’il ne trouverait peut être rien de plus ici que d’autre bête trouvant sa présence ici hostile. Prêt à faire demi-tour, c’est à cet instant qu’il fit quelque chose sur le sol, près du corps mort du serpent. Comme une trace, un signe. Accroupie il rapprocha sa torche pour y voir plus clair et il vit enfin une sorte de chemin dessiné sur la roche. Il réalisa qu’il ne l’avait pas remarqué avant, ne pensant pas trouver un indice au sol, mais bien plus sur les murs, cela lui avait paru plus évidant. Ce redressant Zéleph suivit alors cette marche, comme un tracer le menant dans un petit coin de la grotte. Ce glissant dans une nouvelle faille, il tomba dans une sorte de nouvelle cave, plu petite, mais qui surtout, comportait une porte. Petite, bien moins massive que la première, a peine décoré, mais gravé également de ce dialecte inconnue qu’il avait croisé sur les deux premières entrées. Posant ses mains sur la pierre, il chercha comment il pouvait bien l’ouvrir, quand il sentit sous son doigt un bout de roche s’enfoncer.

La porte ce mit alors a vaciller, signe qu’elle aller s’ouvrir. Ce reculant un peu pour éviter la poussière de roche qui se dégager sous le tremblement de la pierre, il put enfin voir ce qu’il y avait de l’autre coter. En entrant il posa sa torche dans un coin, il n’en avait effectivement plu besoin. La salle où il mit les pieds était immense et éclairé de mile cierges et bougie aux flammes paraissant éternel. Tout était d’un blanc légèrement casser, le sol, les murs, les piliers, même les sculptures. C’était grand et magnifique, Zéleph ne savait même plu où il devait poser les pieds tant il y avait de chose qui attiré le regard. Le plus frappant pourtant était la gigantesque statue au fond, surélevé, elle surplombé toute la salle. Un homme, un Dieu ailés, tenant dans sa main un globe remplit d’une lumière étincelante. Avancent dans l’allé qui y menait, il descendit les quelque marches de marbres blanc pour finir au centre de cette salle impressionnante. Il regarda le plafond, magnifiquement construit de charpente et de pierres creusé, de peinture et de fresque. Tout ici était à la gloire de ce dieu, cette statue qui regardé la pièce, avec sur le visage une expression de profonde bienveillance, comme si il protéger tous ceux étant sous son regard. Cet endroit était profondément calme, reposant. Zéleph si trouva apaiser.

Pendant un moment le réprouvé en fit le tour, découvrant cette pièce rappelant l’architecture à la fois riche et sobre des églises. Quelque chose de simple, qui pourtant inspiré le respect, la reconnaissance a un être supérieur, un être bienveillant, ne cherchant que la protection de ce monde sans pourtant être à l’origine de ces murs.
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Lun 18 Mar 2013, 17:40

S’approchant de cierges, il les reconnue comme des cierges de prières. C’était étrange, comme si il y avait toujours quelqu’un qui venait prier ici, comme si cette endroit n’était pas du tout à l’abandon, comme l’avait laissé entendre la porte scellé de l’entré. Comme pour s’excuser d’avoir forcé l’entré, il alluma une bougie pour la placer avec les autres, trouvant en cette instant un calme, une sérénité nouvelle l’envahissant. Il était étrangement bien ici. Le temps paraissait s’être arrêté. Soudain il sentit comme un léger courant d’air, retenant un frisson, il imagina que c’était la porte qui était resté ouverte, mais non, celle-ci c’était refermer sans bruit sans même qu’il ne s’en aperçoive. Ou peut-être l’avait-il fermé, mais ne s’en souvenait-il pas ? C’était sans importance. Regardant autour de lui, il monta les marches menant à la statue, pour aller lire la stèle sous elle, recouverte d’écriture, comme une longue prière, ou peut-être les paroles de ce Dieu apparemment si adoré. Le réprouvé imagina soudain les paroles de sa chère Mitsuko gravé dans le sel, dans la roche et il en ricanait d’avance. Pour lui il serait impossible de la prendre au sérieux, peut-être par ce que parfois il ne réalisé pas tout à fait ce qu’elle était, peut-être qu’il n’arriver tout simplement pas à la voir autrement que comme il l’avait vu la première fois. Elle était si différente pourtant. Sa main se posa sur les gravures, ses doigts longent les curieuses lettres. A cet instant il ressentit à nouveau cet air autour de lui. Il n’était pas froid juste léger, et pourtant il frissonna à nouveau.

Il ressentait pourtant quelque chose d’étrange. Cet air ne pouvait pas venir de nulle part, puis quelque part il ressentait comme une présence avec lui. Petit à petit il commença à s’imaginer qu’il n’était peut-être pas seul, et cette sensation devin de plus en plus pesante lors ce qu’il se retourna pour voir au centre de la pièce une sorte de tourbillon ce formé. Ne comprenant nullement ce qui arriver, il se mit en garde, posant une main sur le manche d’un de ses sabres, près à dégainé si c’était une protection qui c’était mis en marche, comme l’avait prévenu cette archéologue un peu folle et paranoïaque. Au centre de cette petite tornade qui c’était former, il eut l’impression que quelque chose était en train d’apparaitre, mais il avait beau plisser le regard pour mieux voir, il ne distingué qu’une forme. Une forme humaine cela dit, une silhouette, peut-être même celle d’une femme apriori, vue la finesse du corps. Sortant son sabre de son fourreaux par pure précaution, il vit le tourbillon ce dissipé, et une fois qu’il put enfin voir qui venait d’apparaitre devant lui, il crue avoir changé de réalité.

« Tu comptes m’attaqué Shizuo ? » Lâchant son sabre a la seconde, celui-ci tomba lourdement sur le marbre, puis ce fut à son tour de sombré, ses genoux cognant le sol dans un bruit sourd. Il ne pouvait y croire, son regard ne lâchant pas cette silhouette, cette femme qu’il pensait ne plus jamais voir que dans ses souvenirs de mômes. Elle s’approchait de lui et il ce tendit, suppliant pour qu’on ne se joue pas de lui, pour que personne ne l’utilise contre lui, car a cette instant il était aussi vulnérable qu’un nouveau née. Il retombé à cette faiblesse, la faiblesse de ses cinq ans, incapable de bouger, figer devant l’image de sa mère et de son regard si tendre sur lui, peut-être même empathique. Elle s’accroupie devant lui comme si il avait encore cette âge où elle avait disparu, et là devant lui, il était étrange de devoir baisser le regard pour pouvoir croisé son regard. « Ne t’effraie pas mon ange. » L’était-il ? Peut-être oui, il s‘angoisser de la voir apparaitre, ne pouvant croire qu’une chose : quelqu’un l’utilisé pour lui faire du mal, quelqu’un était en train de le torturé. L’idée lui paraissait même évidente, et quand sa pensé vin a Jun, un éclaire de fureur traversa son regard. Lucy posa alors une mains sur sa joue, lui souillant avec douceur comme pour le calmé. A ce touché, cette sensation, Zéleph redescendit de sa colère, tétanisé qu’elle puisse le caressé à nouveau, qu’il puisse sentir la douce chaleur de sa peau englobé sa joue, cherchant a le rassuré comme avant. « Mais comment. » parvint-il a murmuré la voix tremblante d’émotion. Elle passa son pouce sur ses lèvres, et il vit les larmes ce formé aux coins de ses si beau yeux bleu, avant de ce jeté dans ses bras, le serrant contre elle si fort qu’il pouvait entendre son cœur battre à ce rythme si troublé que connaissait le sien. Il ferma alors ses grands bras autour d’elle et la serra du plus qu’il le pouvait, avant de réalisé qu’il pouvait lui faire mal et ce résonné. « Tu es si grand… si beau… mon fils.». Il entendait ses sanglots ce briser sur son épaules, et il en souri, si troublé et heureux de l’avoir. Oui, c’était elle, sa voix, son parfum, cette aura, c’était sa mère, son ange à lui.

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Lun 18 Mar 2013, 17:41

Ils étaient resté ainsi, serré dans les bras l’un de l’autre pendant ce qui semblai être une éternité et pourtant pour tout ce temps perdu, cela ne sembla pas encore assez pour Zéleph, ni pour Lucy qui ne paraissait jamais pouvoir se défaire de l’étreinte de son fils possessif, mais le voulait-elle seulement ? Le calme fini par s‘installer. Les sanglots de sa mère prirent fin, l’émotion trop forte c’était écoulé laissant place à un long silence qui leurs fit du bien aussi. Zéleph fini par briser cet instant, des millions de questions lui brulant la langue, il avait besoin de réponse. Comment ce faisait-il qu’elle est l’air si vivante, qu’il la sente contre lui, qu’elle soit là au creux de ses bras. « Qu’est-ce qui ce passe ? » Lucy souri en se défaisant doucement de l’emprise du réprouvé, restant pourtant là dans ses bras, elle leva les yeux vers lui, scrutant son visage comme pour y chercher les traits de son fils, pour reconnaitre cet homme qui était le sien. Ne répondant pas à sa question elle passa une main dans les cheveux noire du roi et eu fit une petite grimace. « Tu es brun ? » Il eut un sourire désolé, un peu prit sur le faite d’une bêtise dont il avait pris l’habitude de faire. Cacher sa réelle apparence dès qu’il en avait était capable. Il détourna le regard sachant très bien ce que sa mère pensé, devinant déjà ce qu’elle aller dire, pourtant quand elle posa sa main sur sa joue pour le forcer à la regardé a nouveau il ne put s’empêcher de ce laisser envahir par l’émotion. « Ne cache pas qui tu es, Shizuo. » A la fois un réconfort et un ordre, il obéi laissant sa magie ce dissipé, sa chevelure blanchit alors, ses pupille reprenant leur teinte carmin. Elle eut un sourire, et dans ses yeux il put lire ce qui lui avait tant manqué, ce plaisir, cette étincelle de bonheur, comme si elle contemplé le chef d’œuvre d’un artiste. Il avait grâce à ses yeux depuis toujours, mais il avait oublié cette sensation de bienêtre, de fierté qui pouvait l’envahir quand elle le regardé ainsi. Ses longs doigtes longèrent les trait durcit de son visage. Le poupon était loin, il était un homme à présent, bien que sous ses yeux il avait toujours l’impression d’être un gamin. Lucy resta ainsi quelque seconde, avant de lui sourire, l’air satisfaite. « Tu es beau ! » Zéleph ne put s’empêcher de rire un peu. Puis doucement il se pencha pour lui embrasser la joue. « C’est toi la plus belle maman. » Lucy rougi, l’air très contente que son fils le lui dise. Le réprouvé avait oublié ça, cette vie qu’elle dégager. L’ange parut pourtant ce moqué de lui avec un petit sourire non dissimuler en lui attrapent sa main droite et lui faisant voir son tatouage. Zéleph grimaça alors. Bien sûr, elle l’avait remarqué, comme tout chez lui, rien en passait inaperçu aux yeux d’une mère, d’une mère comme la sienne. « La plus belle ? » Cela parut la faire beaucoup rire, puis elle lui fit un clin d’œil comme une petite fille. « Il ne faudra pas lui dire alors. » Le réprouvé ne put s’empêcher de sourire, soudain heureux de l’avoir près de lui. Oui, ça ne pouvait être qu’elle, bien sûr que c’était elle.

L’ange ce leva, ce défaisant enfin de cette étreinte pour ce tourné vers l’immense statue du dieu de ce temple. En se levant le réprouvé ramassa son sabre et le rangea, puis il regarda sa mère, fixer les écritures sous l’Aether. Elle avait l’air sombre, comme si soudain la joie de l’avoir retrouvé avait totalement disparut. S’approchant d’elle, il se rendit compte qu’elle avait bien une tête de moins que lui alors qu’autre fois elle en faisait deux de plus que lui. Lucy ce tourna vers lui, l’air grave. « Shizuo, je te doit la vérité. » Cette fois Zéleph perdit également sa bonne humeur. Qu’était-il en train de ce passé ? Pourquoi elle le regardé de cette façon, si coupable, comme si elle avait fait quelque chose d’immensément grave. Le réprouvé n’aimait pas ça et une forte appréhension s’empara de lui. Elle posa ses mains sur son torse, le fixant toujours, ayant l’air de chercher ses mots. « Je t’en prie, après ça tu pourras m’en vouloir, mais ne blâme personne d’autre et laisser moi finir. D’accord ? » « Je ne comprends pas… » « D’accord ?! » Répétât-elle durement, ne pouvant laisser son fils arrêté ça. Il était arrivé jusque ici, ils c’étaient promit de le lui révéler le jour venu, et c’était enfin le cas. Devant son regard catégorique, Zéleph fini par acquiescer, prenant pourtant peur soudain, quelque chose de mauvais ce profiler et il n’aimait pas cela. « D’accord. »

Lucy parut soulager. Laissant ses bras tomber le long de frêle corps, elle se tourna doucement vers le centre de la pièce, puis s’avança vers les marches et s’y assit, soudainement plonger dans ses penser, l’air profondément malheureuse. Posant ses mains sur ses genoux, elle se mit à les fixer, les triturant distraitement. « Je sais que tu as beaucoup souffert. Je suis désolé. J’ai si souvent désiré venir t’aidé, si souvent voulu… mais je ne pouvais pas. » Il prit place à ses coter, posant une main sur son épaule, en ce penchant vers elle. « Je ne t’en veux pas, bien sûr que tu ne pouvais pas, tu étais morte. » Elle ce défi de lui, brusquement, tellement qu’il en fut choquer. Elle mettait une barrière entre lui et elle, quelque chose qui n’était jamais arrivé avant, ce détournant de lui. Pourquoi ? Cela le blessa, pourtant elle n’avait pas l’air en reste non plu, ferment les yeux pour trouver le courage de continuer. « C’est là qu’est mon crime Shizuo » Le réprouvé l’appréhenda, mais malgré cela, les mots ce répercutèrent en lui comme une pluie de pic à glace. « Je n’ai jamais quitté ce monde. » Pendant un instant, Zéleph resta paralysé, ne paraissant pas comprendre. C’était impossible, elle n’avait pas pu l’abandonner ainsi, non, pas elle. C’était impossible qu’elle l’ai laissé croire cela tout ce temps, qu’elle l’ai laissé vivre avec sa mort sur la conscience. Non, impossible. Un mot qui résonner en écho dans sa tête. Ce levant brusquement, la colère s’empara de lui, le dénie aussi. « NON ! Je tes vue mourir ! Je tes vue te vidé de ton sang. J’ai vu le vampire t’attaquer, puis partir une fois rassasier ! Je suis resté près de toi, j’ai attendu que tu te réveilles ! Non ! » Il secoué la tête frénétiquement. Il ne voulait pas le croire, jamais.

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Lun 18 Mar 2013, 17:41

« Calme toi, s’il te plait. » Zéleph était déchainer, il n’en croyait pas ses oreille, c’était insensé, impossible. Il repoussa brusquement a mère qui c’était levé, malheureuse de le voir ce braquer comme cela, de ne pouvoir finir ses explication. « Non, maintenant c’est toi qui vas m’écouter ! Je ne peux pas le croire. Toi, ma mère, tu m’a mentit ? Sais-tu comme j’ai souffert ? Comme te perdre a était pour moi un véritable enfer ? » « Par ce que tu crois que ça ne là pas était pour moi ? » « Alors pourquoi tu l’as fait ?! » Le réprouvé avait crié su fort que sa voix avait percuté les murs, laissant là sa mère tétanisé devant la colère profonde du roi. Respirant comme un buffle, le cœur piétiné, son sang battant a ses tempe, il était prés a explosé et cela fit peur à Lucy. Elle ne voulait pas cela, non, elle ne l’avait jamais voulu. Pouvait-il simplement l’écouter, l’entendrait-il, cette vérité qu’il réclamé ? Le calme retomba, du moins sur la pièce, le silence régnait entre la respiration lourde du réprouvé et celle coupé de sa mère. La tension était palpable chez l’un comme chez l’autre. Ce fut elle qui finit par briser cette paix. « Je n’ai pas choisi. Si j’avais eu le choix je serais repartit te trouvé, mais, la vérité c’est qu’ils ne mon pas laisser partir. » « Les anges ? » « Non, les enfants de Zéleph. » Cette fois le roi était réellement perdu. Il ne savait plu sur quel pied danser, ni à quel sentiment ce voué. La colère, la peur, la douleur, la rancœur, l’incompréhension, non Zéleph était plongé dans un épais brouillard qui ne paraissait ne pas avoir de fin. Lucy parut tout à fait consciente de son état, et doucement elle lui prit la main pour le tiré vers les marches et l’invité à s’assoir à nouveau avec elle.

Assit, elle garda la main du roi serré entre les sienne, elle fixa sa concentration dessus, pour ne plus perdre le fil. « Cette fois, laisse-moi finir. » Il acquiesça sans rien dire, le regard perdu dans le vague, tout comme son esprit. « Quand je me suis faite attaquer par ce vampire, j’ai cru que je mourrais, je me souviens encore de toi pleurent contre mon ventre. Je désirais plus que tout te serré contre moi et te dire que tout aller bien mais je ne pouvais faire aucun geste sentant la vie me quitter. Seulement, quand je me suis réveillé, j’étais belle et bien vivante mais tu n’étais plu là. » Zéleph leva enfin les yeux vers elle, mais elle resta fixé sur leurs mains, comme si, si elle détourné le regard elle pouvait craquer, ne pas y arriver. Il la laissa continuer, désirant plus que tout savoir ce qui c’était passer, lui qui avait cru ce jour-là, laisser son corps en pleine forets. « J’étais faible, j’avais échappé à la mort de justesse, et je suis longtemps resté dans un épais brouillard. Il m’ont promit que tu aller bien, mais que pour ton bien tu devais partir. Ils mon expliquer qui ils étaient. Les enfants de Zéleph. Ils croyaient en un dieu, un dieu qui veiller sur eux depuis des siècles et pour eux tu étais leur messie. Je n’ai pas crue que cela était vrais, c’était absurde et je voulais te voir, j’avais besoin de retrouvé mon fils. Leurs chef est alors venu me voir, il me parler souvent. Pendant mon rétablissement il passer tous les jours me posé des questions sur toi, puis sur moi, me raconté qui était leur Dieu, comme il était bon avec eux, mais je n’étais pas dupe, il y avait tant de chose qui n’aller pas dans ses récits. J’étais peut-être trop rationnel pour eux, trop incrédule. » Lucy s’amuser à masser la grande main de ce son fils, regardant sa paumes comme pour lui lire sa ligne de vie, ses doigts, ses tatouages, toujours plonger dans son récit.

« C’était un homme bon, Irvin. Un Elfe très âgé qui désiré seulement sauvé sa communauté, rassemblé les peuples, les soudés et leurs faire croire à un avenir meilleur. Les gens l’aimé, comme j’ai rarement vue des personnes aimé un seul homme, pour sa bonté et son don de lui. Il s’abandonner à sa communauté avec une telle pureté d’âme. Son combat m’a touché. Je crois qu’il m’aimé bien, qu’il a était ému par mon manque de toi, par ce qui ce passer et qu’il me devait de me dire la vérité. C’est là que j’ai su. Quelque personne était au courant au saint de leur temple, mais que des prêtes. Je pense qu’il me la dit pour que je les laisse faire, pour que j’ai confiance en eux, pour sauver tous ces gens qui avait voué leurs âme à une force supérieur qui n’existe pas. » Zéleph noté chaque mots que sa mère disait, les inscrivant un par un dans son être, voulant comprendre à tout prix. Il buvait chaque parole dite. « Car là était la vérité. Ce dieu Zéleph n’a jamais existé. C’était une pur invention une histoire faite pour rassuré les gens, pour leur donner espoir. Au début Irvin avait simplement voulu réconforté une famille de bélua, mais cette histoire a pris de l’ampleur et très vite il s’est pris lui-même dans un engrenage sur lequel il n’avait aucun contrôle. Les gens ont alors voué leurs vie à cette identité, pensant que ce dieu les protéger de tout, que c’était grâce à lui qu’ils étaient heureux ensemble. Il est vrais que cette croyance en cette même idole à était une réel façon de faire taire ces tensions, ces rivalité. Je me souviens de toute ces races différente venant prier ici, ils étaient heureux et en réalisant qu’en refusant de croire que tu étais un don de ce dieu, je pouvais briser cette union, cette amour. »

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Lun 18 Mar 2013, 17:42


Elle serra sa main dans les sienne, fermant soudain les yeux, son récit devenant douloureux. « Alors j’ai renoncé à te voir et j’ai aidé Irvin dans sa quête. Nous avions de plus en plus de fidèles et il m’avait promis que tu irais bien… Je ne savais pas où tu étais, si j’avais sue, je t’assure que je serais allé te chercher. Ton père était un monstre, il l’as toujours était. » Zéleph vit les larmes perlé aux bords de ses yeux, alors qu’elle tremblé, de douleur ou de rage il ne savait pas, mais il posa son autre main sur les sienne serrant la sienne à lui en faire mal. Elle leva les yeux vers lui et il lui sourit tendrement, tristement. Il savait au combien elle l’aimer, il était profondément désoler d’avoir douté un instant, à cause de la colère, de l’incompréhension et du choque. « Oh mon ange, j’ai participé à ce fiasco et je tes laisser seul face à la mort. Je suis une mère indigne. » « Non, ne dit pas ça. Ce n’est pas vrai. Tu l’as dit toi-même, tu ne pouvais pas savoir. » Il l’entoura d’un bras, lui embrassant le haut du crane pour la réconforté. Il comprenait a présent et ne lui en voulait pas pour avoir désirait aidé ces gens. Croyant que lui irait bien, elle avait pensé pouvoir venir en aide à ces fidèles, personne ne la blâmer. « Malheureusement, il y eu des gens qui on commencer à douter. Avec le temps, tout ce monde était trop dur à gérer. C’était pour ça qu’Irvin avait trouvé en toi la façon de stoppé tout ceux-ci, il était fatiguer, ça aller trop loin, tout aller finir par s’effondrée. Il a alors créé cette légende, cette légende dont il avait dit ne jamais vouloir parler à personne. Il leur a fait croire qu’il leur avait caché pour leur bien. Lucy et Zéleph, l’amour d’un démon et de l’ange, d’un dieu et d’une mortelle, un amour impossible. Je ne connais plu très bien l’histoire, elle a trouvé tant de dérives de puis le temps, que se souvenir de celle qu’Irvin a compté ce jour-là serrait un exploit. Dans cette histoire il y avait un enfant, dans le quel Zéleph a était enfermé, chasser par ses fidèles, chasser par les souverains de ce monde pour avoir failli à sa tâche. Aussi surprenant que cela puisse paraitre, ils l’ont crue, voyant en moi cette Lucy amnésique, et en toi ce fils dans le quel Zéleph est enfermé. » Le réprouvé resta sans voix, réalisant alors que tout ce qu’il avait crue jusque-là n’était qu’un mensonge. Qu’il n’avait jamais rien eux en lui. Cette force qu’il avait toujours sentit dans ses entrailles, cette chose terrifiante, était en réalité sa propre force. Il c’était lui-même persuadé de la véracité de cette légende, il avait crue en ce démon, mais à présent qu’il savait que ce démon était en réalité un Aether, il savait bien que c’était impossible. On ne pouvait enfermer les dieux. Ce n’était en tout cas pas les souverains qui en avaient le pouvoir.

« Les Enfants de Zéleph ce son alors dissipé, pensant qu’un jour le fils de ce Dieu viendrait les trouvé, que la prophétie ce réaliserait et qu’ils étaient sauvé. Irvin a pu mourir en paix, et moi je suis resté ici, à attendre. J’avais peur de te retrouver, j’avais peur que tu ne veuille pas comprendre, que tu m’en veuille. J’ai eu des nouvelles de toi, certain pèlerins revenait et me raconté ton histoire, me disant que ce qu’avait écrit Irvin était vrais. Ils ton arracher les ailes, tu étais prêt à te sacrifier. J’ai eu si mal d’entendre qu’on t’avait pris cela, de savoir comment… Puis quelques années plus tard, plu personne est venu, ils ont oublié Zéleph, pendant que toi tu commencer à apprendre son existence et croire à ton tour à ce conte pour enfant. » Elle lui offrit un petit sourire, ce moquant surement de lui au fond, mais une certaine appréhension ce lisait dans son regard, et Zéleph ne put s’empêcher de soupiré. Tout ça c’était beaucoup pour lui. Alors tout ce qu’il avait crue être vrai n’était en réalité que des mensonges. Il avait basé sa vie, ses croyance là-dessus, et pour finir tout n’était que foutaises ? « Alors cette légende ce ne sont que des conneries ? Je porte le nom d’une personne inventée pour consoler les gens de leurs malheurs ? » Quelque part il était dépité de l’apprendre, déçu d’être le fruit d’une gigantesque blague. Lucy lui tapa brutalement la main. « Premièrement tu ne jures pas. Deuxièmement, tu portes le nom d’une idole qui a porté sérénité et espoir a des centaines de gens qui en avait besoin pour vivre. C’est un beau symbole. » Il grimaça. Si elle savait comme ce symbole ne lui aller pas, comme il avait pris ce nom en pensant faire référence à un démon sans foi ni loi, dangereux et terrifiant.

L’ange parut tout à fait au courant au regard qu’elle lui lança, comme entendu sur ce point, mais elle ne dit rien, serrant toujours sa main, donnant l’impression de ne jamais pouvoir la lâcher. « Tu es devenu roi n’est-ce pas ? » Il était surprit, comment pouvait elle savoir ça alors qu’elle ne sortait jamais, il y avait d’ailleurs beaucoup de chose qu’elle savait sans être sortit d’ici. Comme si elle pouvait lire en lui, elle lui sourit avec malice. « J’ai mes petit secret… » « Tu lis dans mes pensés ? » Râla-t-il, détestant particulièrement qu’on s’immisce dans son esprit. « Non, j’ai eu certain moyens pour t’observer, avoir de tes nouvelles. C’est de cette façon que j’ai réussi à ne pas sombré dans la folie, resté ici, à ne pas te chercher. Tu m’en aurais voulu si ça avait était moi qui était venu et pas l’inverse. C’était mieux que ce soit toi qui face le chemin. » « Peut-être. » Il ne savait pas trop, et de toute façon il était encore trop troublé pour penser à ce genre de chose. Pouvait-il seulement se rendre compte de ce qui lui était tombé dessus ? Tout ceux en quoi il avait crue était faut, jusqu’à la mort de sa mère. Il réalisa alors qu’au fond il n’était peut-être pas aussi maudit qu’il le pensait. Quelque part ça le rassura.
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Lun 18 Mar 2013, 17:42

« Que comptes-tu faire maintenant ? » Zéleph regarda autour de lui, ce temples était vaste, mais malgré tout elle avait vécu quelques décennies ici toute seule, enfermé, ça ne devait être fabuleux comme vie. De plus maintenant qu’il l’avait retrouvé, qu’elle était en vie, il n’aller pas la lâcher. « Tu vas encore resté là ? » Elle regarda autour d’elle, observant elle aussi les alentour. Elle connaissait cet endroit par cœur, le temple n’avait aucun secret pour elle. C’était devenu son sanctuaire, plus à elle cas ce Zéleph, dieu en carton. Elle était bien ici, les journées étaient longues, mais c’était calme, loin de la dure réalité de la surface. Elle avait fini par si faire, par apprécier le calme, cet apaisement de l’âme. Malgrés tout, ce silence, cette vie remplie de solitude. Non, ça ne lui avait pas plu. Elle si était résigner, bien forcer de resté là, dans l’ombre sans rien dire, mais si elle pouvait elle s’enfuirait. « Je ne veux pas être un poids pour toi Shizuo. Tu as fait ta vie sans moi, je comprendrais que tu veuille continuer. » Il était vrais après tout qu’elle ne voulait pas gêner son fils. Elle savait les activités qu’il faisait, elle n’était pas fière de lui à ce sujet, mais il c’était construit tout seul et ne pouvait lui reprocher ça. Après tout c’était sa faute à elle si il était tombé dans ce genre de crimes, il ne pouvait être blâmé pour ça. C’était sa responsabilité. Zéleph ria alors, ce qui la surprit sur le moment, puis il se leva en lui souriant. « Par ce que tu crois que je vais te laisser là ? Maman, on a t’en de temps à rattraper... »

Elle sourit à son tour et ce leva pour le prendre dans ses bras, collent sa tête à son torse, et il ce souvint d’où est-ce qu’il tenait ce caractère si câlin, si tactile. Sa mère l’avait toujours prit dans ses bras, embrasser a la moindre occasion, faisant de lui un vrais fils à maman, ayant un bisou à chaque petite égratignures. « Tu as donc de la place pour ta vieille mère dans ta vie ? » Le réprouvé ricana doucement. « Vieille ? Tu as l’air plus jeune que moi ! » Elle leva la tête, et lui fit un clin d’œil, complice. « Je te donnerait mon secret de beauté, si c’est la seule chose qui te dérange. » Il leva simplement les yeux au ciel, mais aux rire de l’ange, il la regarda à nouveau. Elle avait l‘air si heureuse de le voir à nouveau, et lui l’était, il ressentait un immense bonheur à l’avoir là contre lui, riante, heureuse, si vivante. Toute sa vie en était chambouler, tout son passer, sa visions des choses. Oui, son univers entier était bouleversé, et lui-même ne savait plu si il rêvé ou si il était dans la réalité. Toute ces choses apprise, ce choque de l’avoir à nouveau à lui. En réalité, il ne réalisé pas encore tout à fait. Non, il était encore dans ce nuage cotonneux qui englober son esprits, ses penses. Il était encore ailleurs, bien loin de ces terres. Tout ce qu’il demandé c’était de ne pas ce réveiller tout de suite, de gardé sa mère dans ses bars encore quelques minutes, c’était son seul désir, et pour cela il aurait tout donné. Jusqu’à son dernier joyau, jusqu’à son dernier organe, peut être son âme, même si elle n’était déjà plus à vendre.

Soudain elle redevint sérieuse, pensive. « Tu ne m’en veux pas alors ? » dit-elle d’un air grave, inquiète. Zéleph secoua la tête, grimacent un petit sourire. « Un peu je dois dire. Mais tu as était prise au pièges, et je sais comme tu aimes aider les gens, je comprends. Tu voulais simplement bien faire et tu penser que tout aller bien pour moi. Je ne peux pas être fâché par ce qu’on t’a mentit. Je suis en colère contre cette Irvin qui c’est appropriés nos vies sans la moindre permission, sous prétexte que cela sauvé des vies, préservé leurs espoirs. » Le ton du réprouvé montré bien son agacement, sa colère contre cette homme, et Lucy se tu, ne trouvant rien pour le défendre, car même si elle trouvé sa cause juste, le prix que cela lui avait couté était incommensurable. « Je ne lui pardonnerait jamais. » « Je comprends. » Elle le serra contre elle à nouveau, voulant continuer de profité de l’avoir retrouvé. Pour elle aussi c’était un soulagement de l’avoir à nouveau près d’elle, elle avait retrouvé son fils, perdu depuis si longtemps. C’était un homme maintenant, mais elle ne pouvait pas s’empêcher de voir en lui son petit Shizuo, et elle n’y arriverait probablement jamais.
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Lun 18 Mar 2013, 17:43

Dans le nouveau silence installer, l’un dans les bras de l’autre a simplement profité que chacun soit en vit, une bruit ce fit entendre. Comme une petite voix provenant de son sac. Lucy ce défi de Zéleph qui fouilla dedans et il sortit la carte de Neros. L’alerte était en marche, il l’appelait, mais il ne savait pas si c’était juste par inquiétude ou si il avait des problèmes. « Qu’est-ce que c’est ? » demanda sa mère, qui regarda cette curieuse carte parlante que tenait son fils. A cette instant Zéleph réalisa que pour ça, sa mère ne savait peut être pas. Il avait un fils, un fils plutôt grand en plus, qui n’était pas son fils de façon tout à fait normal, mais ça elle n’avait pas besoin de le savoir où elle prendrait Mitsuko pour une folle, folle qu’elle était au final, mais c’était la sienne et si lui avait acceptés ses drôles de manigance, il n’était pas sûr que sa mère apprécie. « C’est … mon fils qui m’appelle. » Lucy leva des yeux ronds sur lui, puis lui sourit l’air existé par la nouvelle. « Un fils ? Tu as des enfants ? Je suis grand-mère ? » Zéleph n’arriva pas à suivre, sa mère s’étend déjà jeté à son cou pour l’embrasser, puis le tirant par le bras pour sortir d’ici rapidement. « Aller, je veux le voir ! Je veux voir mon petit-fils ! » Puis soudain elle ce stoppa pour le regarder, d’un air qui lui fit froid dans le dos. « J’espère que tu l’as eu avec ta femme, Shizuo Stark ! » Oh il devait y avait plein de petits Shizuo lui appartenant à travers les terres du yin et du yang, et sa mère devait être au courant qu’il n’était pas un homme sage pour lui faire ce genre de regard. Si elle savait comme il n’avait pas voulu de ce gosse, comme il lui était tombé dessus un jour sans qu’il ne prévienne. Pourtant il ce défendit. « Maman ! » Elle lui jeta un regard entendu, puis lui tira à nouveau la main, pas dupe, supposant qu’il y avait quelque chose de louche à sa façon de ce justifier un peu trop simple à son gout, mais elle ne posa aucune question les engouffrant dans la grotte, pour trouver la sortie.

« Tu es sur qu’il n’y a pas une autre sortie ? » De sa mains Lucy fit apparaitre une boule de lumière pour dissipé l’ombre. « Aucune. » Ne pouvant que la croire il la suivit, faisant bien attention à l’aider à chaque paroi un peu trop étroite, mais au final avec sa carrure c’était lui qui avait plus de mal qu’elle, et elle s’en moquer presque allégrement de lui, le remerciant pourtant d’un sourire à chaque geste de sa part pour lui venir en aide. Il était mignon son fils avec elle, et elle apprécier beaucoup ces petites attentions. Un grand méchant ? Non son fils était un vrais ours, elle le savait puise qu’elle était sa mère. Il l’avait juste oublié avec le temps, mais parfois il avait l‘air de s’en rappeler, et avec elle c’était comme si rien avait changé à part que maintenant il pouvait l’écraser. Le chemin du retour parut étrangement plus court au roi, peut-être par ce que cette fois il n’était pas dans la constante attente, et l’espérance de voir une porte lui apparaitre. Quand ils finirent de sortir de cette faille, ils se retrouvèrent devant la lourde porte qui c’était étrangement refermer. Il vin alors une question a Zéleph, quelque chose qu’il avait oublié. « Pourquoi j’ai pu ouvrir la porte ? » « Par ce que tu portes mon sang. » répondit simplement Lucy en posant es propre main de ce côté de la porte. Elle s’ouvrit sans attendre, et le roi ce trouva un peu idiot d’avoir posé une question à la réponse si évidente.

De l’autre coter, quand la pierre ce mit à bouger pour ouvrir un passage, Neros ce plaça devant, l’air passablement inquiet. Cela faisait es heurs que son père était partit, il avait fini par s‘angoisser, fixant sa carte avec anxiété, ce demandant si tout aller bien pour lui, ou si il n’avait pas fini par ce perdre. « Eh bien, tu foutait quoi ? Ca fait quatre heures que j’attends, tu aurais au moins pu… » Quand l’ange apparut au rouquin, sa voix ce perdit sans sa gorge. Eblouissante, une aura l’entourait, c’était comme avoir l’apparition d’une divinité, bien qu’il en avait déjà eu plusieurs en présence de sa mère, là c’était étonnant. De plus cette ange sauta sur lui pour le prendre sans ses bars et le serré à l’en étouffer. Ne comprenant pas, il jeta un regard emplit d’interrogation a son père qui ne broncher pas derrière, alors que lui paniquer de ce faire étrangler par cette inconnue. Puis elle ce défi de lui, et ce mit a le regardé, comme faisant une inspection minutieuse. Après un instant, elle finit par froncer les sourcils, tiquant sur sa chevelure et ses yeux. Ce tournant vers Zéleph, elle fit la moue. « Ta femme est rousse ? » Zéleph faillit en avoir une attaque. « Non, Neros a eu un problème de dosage magique. » cela suffit à Lucy qui reprit son inspection, puis vin une seconde question. « Elle est humaine ? » cette fois le réprouvé ne put s’empêcher de ricané. Elle n’avait pas l’air de connaitre très bien la dernière partie de sa vie. Mitsuko lui paraissait encore inconnue. Ce n’était pas plu mal peut être. « Non… loin de là. Là encore, Neros a eu certain ennui avec la magie. Il est né réprouvé, mais il s’est attaquer a plus fort que lui. »
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Lun 18 Mar 2013, 17:44

« Bordel, mais vous comptez me dire ce qui ce passe ?! » S’agaça Neros jusque-là silencieux. Cela lui valut un coup de poing sur la tête de la part de son père. « Ne parle pas ainsi devant ta grand-mère. » Ce frottant le crane il fixa Lucy sans y croire. « Ma… grand-mère ? » Non il n’arrivait pas à y croire. Cela fit sourire Lucy de les voirs l’un à coter de l’autre. « Pas de doute c’est bien ton fils. » Elle se mit à fixer Zéleph. Quand avait-il reprit ses cette apparence ? Ces cheveux bruns et ses yeux bleus. Il suffisait d’avoir le dos tourné pour qu’il se cache à nouveau. Il vit son regard réprobateur, mais ne fit rien et elle ne rajouta rien. Elle était au moins contente qu’elle se souvienne de ses yeux, il avait pris la même teinte, c’était à son honneur et ça lui fit plaisir. Son fils était beau quoi qu’il arrive, et son petit fils n’était pas mal non plu. Elle était très heureuse. Neros la regarda, puis fixa son père, et il eut un sourire. Il avait une grand-mère non maléfique celle-là. Son père lui avait expliqué pour l’ancêtre de sa mère, et si du côté maternel cela ne le surprenait pas, du coter paternel c’était autre chose. Alors c’était elle la mère de Zéleph, ce grand criminel, ce roi despotique. Un grand sourire illumina le visage du jeune homme qui tendit les bras à sa grand-mère qui ne se fit pas prié pour y foncer. Le réprouvé leva les yeux au ciel. Ils c’étaient bien trouvé aux moins cela. « Alors tu es ma mamy ? » Lucy ce défi brusquement de lui, foncent les sourcils, l’air mécontente. « Je t’interdit de m’appeler ainsi ! » Son regard lui fit froid dans le dos, elle avait l‘air si méchante soudain, des éclairs dans ses pupilles bleu qu’il acquiesça sans rien ajouté, et comme si cela n’était que du passer elle se remit à sourire de toute ces dents. Cette femme était tout de même un peu terrifiante.

Sortant du temple, l’humain se mit à poser plein de question a cette femme qui était de sa famille, de son sang, et qu’il connaissait pourtant très peut. « Tu étais enfermé là ? » « Oui et grâce à vous je suis libre. » « Mais qui t’a enfermé ? » « Ô des fanatiques un peu fous, adeptes d’un dieu qui ne les aimer pas beaucoup. » « Ce Zéleph, c’est ça ? » « Exactement. Ce n’est pas important, parle-moi de toi, je veux tout savoir de mon petit-fils. » Neros se retrouva avec une Lucy pendu a son bras, mais cela ne parut pas le déranger au contraire. Il se mit alors à lui parler de lui, des voyageurs, de ce qu’il faisait ici, et Lucy l’écoutait avec une attention certaine, une profonde tendresse dans le regard. Plus loin, observant silencieusement la scène, Zéleph était assis dans le sable. Il était heureux, soulager d’un poids. Il avait retrouvé sa mère. Pourtant le vide de toute ces années resterait pour toujours intacte. Quoi qu’il arrive, rien ne pourrait combler ce manque qu’il avait subi tout ce temps. Quoi qu’il arrive son enfance avaient était horrible, et sa vie un calvaire.

Son regard se posa sur l’entré de ce vieux temple. Il finirait aux oublies, comme cette vieille histoire de Zéleph. Ça lui était bien égale au fond que son nom ne veuille rien dire, que cette histoire ne soit qu’un mensonge. Il était donc le seul et l’unique Zéleph qu’il n’y est jamais eux sur ces terres, et quelque part il en fut fière. C’était à lui de forger sa propre légende, il y avait quelque chose de fort dans cette image, et le message que cela envoyait lui plut. Comme peut être la vision d’un avenir qu’il pourrait construire de ses mains. Il avait encore le temps d’y penser, de se battre. Il le ferait. Il ne baisserait pas les bras puise qu’aujourd’hui il avait eu la révélation de ce qu’il était vraiment. Un anonyme, un enfant laisser, abandonner, qui c’était relever pour aller au sommet, lui seul, par sa propre force. Il en était fier. « Tu dors ? » Le réprouvé sursauta levant les yeux vers sa mère qui lui sourit avec tendresse. « Tu t’entend bien avec Neros. » Il regarda son fils prendre sa gourde fixé sur le dos de son dromadaire et en boire un peu. « Il est adorable, mais torturé cette enfant. » Son analyse était juste, mais cela paraissait être le destin de chaque enfant Stark. Lucy leva le visage, ferment les yeux sous la frappe du soleil sur sa peau. « Cela faisait longtemps que je n’ai pas ressenti ça. Le soleil, le vent, cette air pur. » Elle était libre maintenant, de nouveau vivante dans cette nature, ce monde qui l’avait oublié, a par lui.

« Je vais rester un moment avec Neros, si les voyageurs veulent bien de moi. Je vais te laisser mettre de l’ordre dans tes affaires. Neros mas dit comme ta vie était compliqué, je ne veux pas la compliqué d’avantage, et puis … les bordels tu sais, ce n’est pas ma tasse de thé. » Zéleph ce tendit. Était-ce son fils qui lui avait dit, ou bien le savait-elle déjà ? Dans tous les cas c’était très gênant. Il ne trouva rien à lui dire. Il ne pouvait pas s’en excusé, cela serrait nier la légitimité de son travail, de son plaisir, mais il ne pouvait pas non plus s’en vanter devant elle. Elle lui sourit doucement, comme comprenant son dilemme. « Je sais que tu à des besoins démoniaques, tu n’es pas qu’un ange, même si j’ai voulu t’élever de cette façon. C’est ta nature, et je tes toujours aimer comme tu es Shizuo, cela ne changera jamais, quoi que tu face. » La bonté a l’état pur, la compréhension pousser à l’extrême. Il ne mérité pas une mère pareille. Ca non, il ne la mérité pas.
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Lun 18 Mar 2013, 17:44

Neros fit monter Lucy sur son dromadaire ayant insisté, lui marcherait à coter. Balancent ses jambes sur le côté, elle avait une aisance qui surprit les deux hommes, et cela la fit sourire. Zéleph ayant suivi le groupe de voyageur en volant marcha avec Neros dans la direction du campement. Le jeune humain et l’ange discutant toujours de chose et d’autre, il écouté la discussion sans y participé. Ce qu’il y avait avec le rouquin c’était qu’il n’avait jamais peur de parler même des choses les plus sensibles. « Tu sais si tu veux retourner chez les anges, tu devrais savoir qu’ils sont en guerre. » « En guerre ? » « Les anges déchus l’on provoqué. Les raisons n’ont pas était explicitement dite, mais tout le monde ce doute pourquoi. » Lucy n’en parut pas surprise, les yeux continuellement fermer, elle profiter de l’air sur son visage protéger par un chapeau que le jeune homme lui avait donné, bien qu’il y avait peu de risque pour qu’elle attrape une insolation, elle avait simplement sourit a cette attention. « Cela fait longtemps que je ne suis pas retourné voir mon peuple, je pense que beaucoup de chose on changer de puis. » « Les anges, reste des anges. » dit simplement Neros, l’air de ne pas y croire une seconde. Elle eut un petit rire en baissant les yeux sur lui. « Je suppose. »

Cela paraissait mettre un point final à la discussion. Seulement c’était bien mal connaitre Neros qui avait tant de chose à savoir, à apprendre sur son père et sa grand-mère, qu’il parut presque en débordé d’excitation, la curiosité pousser à son extrême. « Qu’est-ce que tu as fait tout ce temps, toute seule ? » « Ô, j’ai bouquiné… » ca façon désinvolte de le dire, comme si cela n’était pas grand-chose surprit le jeune homme, mais fit sourire son père. Elle se moquer de lui et il ne le voyait pas. « Il doit y avoir une sacré bibliothèque là-bas. » « Tu n’imagines pas. » Croisant le regard de Zéleph, il lui sourit ce disant que si il la laisser avec Neros elle serait très heureuse, bien qu’il aurait préféré l’avoir avec lui, rattraper tout ce temps perdu. Seulement il était vrai qu’elle ne pouvait pas venir au Circus Borthel. Ne serait-ce que pour lui, il aurait honte de lui montrer, ce n’était pas vraiment digne des valeurs qu’elle lui avait inculqué. Il trouverait une solution. Il ne la laisserait décemment pas indéfiniment dans le désert, peu importe la gentille des voyageurs et le plaisir de Neros. De toute façon il devait trouver une solution pour sa femme, elle n’on plut elle ne pouvait pas vivre au Circus. Ce n’était pas comme si elle lui avait fait comprendre, mais il le savait bien, ce n’était pas digne d’elle n’on plut. Il c’était mis dans un sacré situation. Au final vivre chez sa femme avait était un parfait compromis, mais là il ne pouvait pas la laisser continuer à vivre dans une auberge. C’était tout de même son honneur qui était en jeu, et puis de toute façon c’était par principe. De plus quand sa fille naitra il devrait bien lui trouvé un toit décent pour ses premiers jours. C’était son rôle de rassemblé sa famille, seulement ce n’était vraiment pas simple, il n’avait pas franchement le temps de faire des visites et de regardé le marché de l’immobilier en ce moment.

Zéleph écouté distraitement les deux continuer de discuté, Neros posant des questions même embarrassante sur son enfance, mais Lucy éludé la plupart des curiosités de son fils, sans que celui-ci n’en soit vexer. Le roi était en train de redescendre sur terre. Il réalisé que sa mère était belle et bien là. Qu’elle ne l’avait jamais laissé, même si dans un certain sens ça avait était le cas, mais il n’en était pas fâché, non, il ne pouvait pas être en colère alors qu’elle était là avec lui. Maintenant il devait réfléchir à ce qui arriverait, comment il devait jongler avec toutes ces nouvelles informations et vivre avec cette nouvelle vision des choses. La discussion de Neros et Lucy prit fin quand le campement des voyageur ce fit enfin voir. L’humain arrêta de ce plaindre de son ventre gargouillant, pensant soudain à ce qu’il aller pouvoir se mettre sous la dent. Une fois le dromadaire au doux nom de dromadaire, Neros aida Lucy à descendre avant de foncer sans plus attendre sous une tente où était préparé les repas. L’ange souri à son fils. « Il me fait rire. » « Tu ne risques pas de t’ennuyait ici. » « Je l’espère bien. Après tout ce temps passé seule, la vie me manque. » Zéleph retint un rire ce disant qu’elle n’aller pas être déçu, elle aller voir la vie, et vue les tournures que prenait les choses, il imaginer qu’elle regretterait presque son Avre de paix loin dans les entrailles de la terre.
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Lun 18 Mar 2013, 17:50

« Sir, vous revoilà ! » Glad le fixer derrière ses lunettes, avant de posé son regard sur l’ange a ses coté. « Et vous êtes accompagné ? » Heureuse de voir du nouveau monde, Lucy tendit la main avec un grand sourire, qui charma tout de suite l’archéologue. En réalité son sourire pouvait surement charmer même le pire des démons de ses terres, alors cela ne surprit personne que le Glad rougisse en lui prenant la main pour lui faire un baise main. « Lucy Stark, la mère du "sir". » ce moqua-t-elle doucement, seulement quand l’homme comprit cela, il lâcha sa main comme bruler, jetant un regard paniqué au roi. Pendant un instant il avait eu certaines pensés, mais sous le regard de Zéleph il imaginer que si il touché encore à sa mère, même que la main il finirait la tête en haut d‘un mat. Le trouble passé, Glad reprit son sérieux, devant le rire cacher de Lucy, et le regard noir du réprouvé. « Mais comment est-ce possible ? Vous étiez… » « Morte, oui je sais. » L’homme ne sut quoi dire, c’était tout à fait étonnant. « Et si nous en discutions autour d’une tasse de thé ? » Glad acquiesça, un peu troublé par ces révélations. Il invita pourtant Zéleph et sa mère a entré dans une tente pour les faires s’assoir sur un tapis et leur servir une tasse chacun. Neros était là, mangent ce qui semblait être tout un plat, a lui tout seul. C’étant placer expressément à côté de lui pour être entre son petit fils et son fils, Lucy trempa son doigt pour gouter cette étrange sauce et ria. « Ca fait si longtemps que je n’ai rien gouté que j’ai l’impression que mes papilles étaient endormis. » Ce qui fit qu’elle goutta à absolument tout ce qui était a porté de main, mais ce qu’elle préférait c’était le thé. Zéleph se souvenait à peine de ce détaille, mais c’était en effet ce dont elle raffolait. Une journée sans thé paraissait être une très mauvaise journée pour elle.

En buvant le thé, Lucy raconta tout ce qui était arrivé à Glad. Les enfants de Zéleph, la quête d’Irvin, les fidèles ayant construit le temple, la croyance sur une réincarnation en son fils. Tout absolument tout, si bien que l’archéologue fasciné par cette étrange histoire de mensonge c’était mis a tout noté dans son calepin, prenant des note sur tout, même les plu petit d’ailles, n’arrêtant pas de la coupé dans son récit pour lui poser des questions, parfois historique, et Lucy lui répondait avec calme et une grande douceur, comme si le faite qu’il soit si curieux et agacent ne la gêner absolument pas. Neros et Zéleph était fasciné par autant de calme, car eux, cela faisait longtemps que Glad les avaient déjà poussé à bout avec sa politesse qui ne valait pas un galion. Une fois fini, le voyageur ferma son calepin et retira ses lunettes pour les nettoyé. « Incroyable. Cela explique pourquoi il n’était question nulle part de ce dieu. » Ayant tout ce qu’il voulait, Gad sortit de la tente laissant là ses invités, sans plus de cérémonie. Lucy fixa le pend de la tente par où il avait disparu continuant de sourire avec cette infini douceur sur ses trait. « Il est gentil. » Neros échangea un regard dépité avec son père. La gentillesse incarnée.

L’ange ce tourna alors vers Neros qui jouer avec ses cartes, regardant celle de son père, la seul qu’il avait qui avait enfermé de la magie. « Elles son surprenantes tes cartes. » « Elle permette d’enfermer l’essence magique de quelqu’un ou d’un pouvoir. » Lucy lui en prit une, la regardant, elle y inscrivit alors son essence pour la lui rendre. Neros la fixa, mais au lieu de voir l’image de l’ange et son nom y vit comme un bouclier. Voyant son air surprit, Lucy ce pencha pour lui embrasser la joue, el faisant ce redresser, encore plus troublé. « C’est un cadeau. Avec tu pourras créer un bouclier et te protéger. » Le regard du rouquin s’illumina alors, et un large sourire ce dessina sur son visage. Il prit alors soudain l’ange dans ses bras. Son tout premier sort, offert par sa grand-mère, il s’en souviendrait longtemps. « Merci, c’est génial ! Mais comment tu as fait ? » Elle haussa les épaules, d’un air mystérieux avant de le pousser. « Sort et vas t’entrainer, si tu ne le fait pas, ça ne servira à rien. » Le jeune homme, comme une enfant avec son nouveau jouer, rendit son baiser a Lucy avant de sortir plus que satisfait de ce cadeau. Il avait enfin de quoi retrouvé la magie, de quoi à nouveau faire ce qu’il aimer tant. Zéleph fini sa tasse, toujours silencieux depuis qu’ils étaient revenu. Lucy ne s’en vexer pas, elle savait qu’avec le temps il était devenu comme cela. Enfaite elle savait beaucoup de chose, voir tout, mais il était bien plus drôle de ne pas le faire savoir. « C’est tout ce qui lui manque. La magie. Il a l’impression de ne plus être lui-même. » « Et comment le sais-tu. » Elle lui fit un magnifique sourire. « L’instinct ? » Il n’était pas dupe, mais le principal c’était qu’elle avait l’air d’aimer Neros, le reste n’avait que très peu d’importance.
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Leur dieu descendra des cieux. [pv Neros]

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