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 Sortie brutale (PV Cocoon)

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Mer 03 Avr 2013, 00:15

Vu que Bandreux était plutôt favorable à sa proposition musclée, Cocoon ne se fit pas prier. Il déglingua quelques barreaux friables, de manière à pouvoir passer sans encombres, les pieds dans l'eau. Le vil gredin avait l'air de connaitre l'endroit plutôt bien et ce fut avec une certaine agilité et dextérité, qu'ils se frayèrent un passage dans les tunnels ragoutants, des égouts de la prison.
Tout un tas de "choses" vivait la dedans, comme des rats et ragondins, mais aussi des araignées grosses comme le poing, et des chauves souris. Les types durent lever les pieds plus d'une fois, pour laisser passer bon nombre de bêtes aux yeux rouges.

Au bout de plusieurs couloirs interminables, ils arrivèrent à une grande grille, menant sur une salle étrange. Mais l'orisha reconnu à son plus grand effroi, la salle des tortures, avec les odeurs du sang plus ou moins frais, se dégageant de cette antre immonde. Il savait que des régions étaient plutôt adeptes d'infliger des tortures au premier malheureux, et lui même le pratiquait quand il était particulièrement rancunier, mais de là à mettre la sortie directement dans les égouts... Ça avait quelque chose de morbide, et plus que d'habitude.
Cocoon ne s'attarda pas non plus sur cela pendant des siècles, et fit vite abstraction de tout ce qui le dérangeait de près ou de loin. Le type savait manier l'art du crochetage de serrure. L'orisha haussa un sourcil et s'appuya contre un gros barreaux de la grille, croisant les bras. Contrairement à ce qu'il cru, la porte s'ouvrit rapidement, et ils purent pénétrer à l'intérieur. Le type derrière semblait à moitié mort de trouille.

Lorsqu'ils longèrent le tunnel, ils croisèrent des cadavres que le courant sous-terrain n'avait pu évacuer, par manque de puissance, mais les couinements chétif dans son dos commencèrent à l'agacer. Le piètre humain était surement écœuré ou tout autre chose, de voir des morts en décompositions, avec leurs corps désarticulés.
Une fois sur le sol ferme en pierre, Cocoon grimaça en voyant les espèces de machines ignobles composant la salle, mais se mit surtout en alerte pour savoir si des gardes n'allaient pas se pointer. Visiblement, personne à l'horizon.

-Dis moi, tes amis, tu es sur qu'ils sont encore tous en vie ?


Faisant glisser un doigt brun sur une table en bois mal éclairée, il effrita la poussière mêlée à quelques gouttes de sang, qui tomba à terre, en voletant légèrement. L'humain claqua la torche dans les mains du voleur, avant de vider le contenue de son estomac dans l'eau stagnante du tunnel. L'orisha croisa les bras en soupirant :

-Pourquoi l'a-t-on emmené... ?


Ce n'était pas vraiment une question à Bandreux, juste une constatation générale, émis sous forme de question. Faisant demi-tour, il se dirigea vers le porte perchée sur un perron, qui s'ouvrit sur un autre escalier, bien plus grand. Sa voix rauque émit un chuchotement :

-La voix est libre.


Le groupe était à peu près situé au deuxième sous sol, et l'ascension serait délicate. Cocoon arrêta les hommes plusieurs fois, laissant passer des gardes en "balade" au sein du donjon. Puis ils montaient, plus ils croisaient du monde et à un moment, l'orisha essaya de feinter en prenant un autre chemin sur les conseils de Bandreux, et ils arrivèrent miraculeusement derrière les cachots... Dans des espèces de latrines nauséabondes. Le nouveau eu un haut-le-cœur, et renvoya une nouvelle fois une décharge, toute droite sortie de son estomac. Il murmura alors :

-Bon, on est juste à côté des cellules... Ouvre tout ce que tu peux de ton côté.

Si ils se partageaient le travail, ils iraient plus vite et auraient moins de chance de se faire attraper.
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Ven 05 Avr 2013, 12:07

La salle de torture. Visiblement la finesse incarnée. Bandreux n'aimait pas vraiment cette salle mais à vrai dire qui aimait cela ? Il frissonna un instant bien qu'il avait toujours pu éviter ce genre de "punition", on ne pouvait pas dire qu'il était très à l'aise en ces lieux. Cocoon s'adressa à l'humain qui les accompagnait. En effet maintenant qu'ils étaient "au coeur du sujet" il était peut être temps de s’intéresser à quoi faire, disons, comment intervenir sans déclenché un réel chaos. Bandreux observait le couloirs, qui semblait très calme, tout en écoutant ce qui allait se dire. C'est alors que le signe d'un mal à l'aise certains fut très imagé. En effet l'humain qui les accompagnaient vomit, très clairement. Bandreux arqua un sourcil. Cocoon semblait tout aussi désespéré que Bandreux par l'homme qui les accompagnaient.

Bandreux revint dans la salle. Il y avait une autre porte donnant sur un escalier. Maintenant il était temps de suivre Cocoon. Ce dernier venait de dire que la voie était libre, il ne fallait pas traîner. Bandreux savait qu'ils auraient peu de temps.


Ne traînons pas, nous allons avoir peu de temps. Dit-il en chuchotant également.

Cocoon, semblait très à l'affût. Bandreux devina que les dons de l'orisha devait lui être très utile dans cette situation. Bandreux délivrait petit à petit le chemin à suivre. Une fois arriver dans les latrines qui puaient grave de la mort et une fois que leur compagnon fut remis de ses émotions, Cocoon donna une directive.
Ouvrir le plus de cellules. Oui, mais il faudrait évacuer tout ce beau monde ensuite. Cependant, Bandreux se dit que la population serait surement silencieuse, ils ne devaient pas avoir envie de croupir ici plus longtemps. Bandreux acquiesça d'un signe de tête et prit le couloir de droite en sortant des latrines. Crochet en main, le jeune voleur était prêt. Il s'approcha d'une des première cellule. L'humain du groupe l'avait suivit, afin de rassurer ses proches et de dire qu'ils étaient venu les libérer. Bandreux s'appliquait à crocheter la serrure, ce n'était pas le moment de péter son crochet. Les proches de l'humain de leur groupe commençaient à approcher de la porte, sourire aux lèvres.


Sortez vite et suivez moi, nous allons libérer les autres ! Par contre pas un bruits, nous ne devons pas nous faire repérer. Nous avons au moins l'avantage que les gardes ne viennent pas vraiment pas ici.

Ils comprirent tous clairement. Il fallait savoir fermer sa gueule. Petit à petit, Bandreux libérait les prisonniers. L'humain qui était venu avec lui rassurait chaque groupe tout en leur donnant la marche à suivre. Arrivant à la dernière cellule, Bandreux tandis l'oreille, vérifiant qu'il n'y avait pas d'agitation à l'horizon. Les prisonniers libérés étaient très silencieux. Visiblement, ils n'avaient pas vraiment apprécier le séjour au cachot. ce qui jusque là paraissait normal.
Rangeant son crochet, Bandreux prit la tête du convoi et rejoins Cocoon. Ce dernier avait visiblement fait bien plus vite que lui et Bandreux fronça les sourcils.


Je vois que tu as terminé.

Bandreux reposa son regard sur la salle de torture. Il allait maintenant falloir emprunter le chemin inverse afin de sortir de cette satané prison. Il n'en avait un peu raz le bol d'y passer autant de temps. Aussi, il prit la parole.

Je prend la tête du convoi, je vais les guider hors d'ici. Tu couvres nos arrières ?
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Ven 05 Avr 2013, 16:32

Cocoon vit Bandreux partir de son côté pour ouvrir les premières cellules. Repérant certains gardes à des dizaines de mètre d’eux, derrière murs et parois, il décida de commencer par celle du fond. C’était astreignant de devoir à chaque fois s’assurer qu’ils ne fassent pas de bruits, ou ne partent pas en courant dans tous les sens, sans faire attention à leurs pas maladroits, d’humains répugnants. Le bronzé n’avait juste qu’à poser sa main sur la serrure, pour qu’elle saute et que la porte bascule sur ses gonds pour s’ouvrir, et laisser filer les innocents. L'avantage était qu'il pouvait ouvrir toutes les portes, car il avait le taux maximal de flux magique, que cette compétence requérait.
Le type les accompagnant, tentait de rassurer ses amis, de les réunir vers la salle des tortures, sans pourtant y pénétrer, préférant attendre les ordres des deux hommes. Bandreux tenta alors de rétablir l'ordre, disant qu'il fallait tous qu'ils se tiennent à carreaux, le temps de sortir. Cependant, il fallait qu'ils fassent demi-tour et quelque chose allait clocher.

Rejoins par l'humain, Cocoon le vit légèrement blasé, avant de recevoir une réflexion un peu amère. Fronçant les sourcils, il n'y répondit pas, le laissant s'éloigner vers le groupe. Prenant une grande inspiration, il soupira, tout à coup las des évènements. L'alcool, cette nuit, avait annihilé souffrance, et douleur, mais voilà qu'il l'avait rendu las. Ouvrant la dernière porte, en la défonçant à moitié, il fit sortir les derniers prisonniers.

Citation :
Je prend la tête du convoi, je vais les guider hors d'ici. Tu couvres nos arrières ?

-D'accord.

Cocoon appréhendait très mal le fait de repartir d'où ils venaient. Il était certain que ça n'allait pas fonctionner. Le problème était qu'ils ne pouvaient pas prendre la fuite comme la veille, car avec une cinquantaine de villageois, tous n'allaient pas suivre. Il regarda en arrière, le temps que tout le monde partent, puis traversa les latrines, le dernier.

Lorsqu'ils descendirent les escaliers, et traversèrent deux couloirs, les prémonitions de l'orisha se confirmèrent.
Des gardes fouillaient les tunnels, à leur recherche visiblement. La voix de l'un d'eux résonna :

-Trouvez les ! Ils ne doivent pas être bien loin !


Cocoon s'arrêta, et sortit son épée. Les tunnels étaient assez larges et hauts pour dégainer facilement, et se battre. Le seul problème était qu'ils étaient dans un donjon, alors il serait plutôt judicieux de ne pas tuer beaucoup de gardes...
Continuant s'avancer, ils arrivèrent dans une grande salle, et en allant pour la traverser, ils tombèrent sur trois hommes de la milice. D'un coup d'oeil derrière, il ne vit personne arriver, et passa directement devant, se mettant aux côtés de Bandreux.
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Lun 08 Avr 2013, 19:20

Cocoon avait accepté, le petit convoi se mettait en route. Cependant bien sur rien ne tourne jamais comme prévu. C'est donc tandis qu'il guidait le convoi que les voix se firent entendre. Visiblement on les cherchaient. Ca sentait le fight à plein nez. Bandreux sorti alors son épée. Il aurait préféré la discrétion mais ce n'est pas vraiment discret de faire évader une cinquantaine de prisonniers !
Cela dit il ne fallait pas tuer trop de gardes. Après tout ils étaient tous en tord. Ce n'est pas en créant un réel carnage que la situation s'arrangerait, on pouvait être sur de cela. Trois miliciens apparurent rapidement devant eux tandis qu'ils tentaient de traverser la grande salle. Très vite Cocoon rejoint Bandreux, épée en main. Les deux hommes échangèrent un regard tandis que les prisonniers, très courageux, se cachaient. Il allait falloir détruire la menace.

Bandreux fit donc signe à Cocoon d'engager, ce que ce dernier fit avec une grande rapidité. Bandreux se jeta également sur un garde alternant avec combat agile, s'aidant de ses mains et coup d'épée. Cocoon était donc seul face à deux gardes. Ce qui n'avait pas l'air de lui poser réellement de problèmes. Bien qu'il lui fallait alterner les coups afin de ne pas se laisser submergé, il ripostait très bien. Mais le contre ne ferait pas tout. Bandreux évita alors un coup d'épée en se baissant, tandis que Cocoon effectuait un coup fatal à un des gardes. Bandreux évita alors un autre coup d'épée, et basculant sur le côté par un saut agile, il transperça le garde en plein dans le dos. C'était fini pour celui-ci. Mais tandis qu'il se dirigeait pour aider Cocoon, il vit se dernier tuer d'une épée dans le ventre le dernier garde. Au moins c'était clair. Et vu la distance sur laquelle l'épée énorme avait transpercé ce pauvre garde, on pouvait deviner de façon évidente que Cocoon avait le pouvoir de vous broyer d'une seule main. Easy.

Maintenant il fallait avancer, et rapidement. Changement de plan, ils allaient emprunter une autre sortie. Une espèce de porte de service qui servait pour les livraisons des cuisines de la prison. Mais le chemin jusque là ne serait pas simple. Les prisonniers sortaient peu à peu de leur cachettes tandis que Bandreux leur faisait signe de se rassembler. Les bruits du combat aurait surement rameuter le reste des gardes.


Dépêchez vous bordel ! Il évita de justesse de leur balancer une insulte sur leur condition. Enfin ou au moins de les traiter de sales paysans. Un truc du genre, mais moins subtil.

Bref. Il reprit donc la tête du convoi avec Cocoon à ses côtés. Les prisonniers n'avaient qu'à suivre un peu. L'humain qui les accompagnaient les avaient rejoins tandis que tous le monde avançaient rapidement.


Vous avez un plan ? Avait-il demander. Bandreux tourna vers lui un regard relativement blasé malgré la pression de survie qu'ils avaient sur les épaules. Il manqua de balancer un petit "Et ta mère elle a un plan ?!" tout en finesse mais se retint. Ce n'était pas vraiment le moment.

À ton avis ! Contente toi de nous suivre, et essayes de ne pas perdre certains de tes confrères. On a pas vraiment besoin de boulet là !

Ce n'était pas des plus gentil mais l'homme avait comprit qu'il valait mieux prendre ses responsabilités plutôt que blablater. Mais aussi qu'il fallait maintenant leur faire confiance pour la suite des évènements. Bandreux passa devant afin de traverser un couloir, il montra du doigt une porte au fond en disant à Cocoon de façon subliminale de défoncer la porte.

La porte là bas doit être fermée !
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Mar 09 Avr 2013, 14:11

Un regard s'échangea entre les deux hommes, et ensemble, ils se lancèrent à l'assaut des trois gardes. Cocoon en prit deux à lui seul, alors que Bandreux se concentra sur un. De toute manière, l'orisha préférait se faire deux costauds, plutôt que de les laisser à l'humain car, oui, ça l'embêterait de perdre cet homme. Il était certes égoïste, mais quelque chose en lui, lui disait qu'il n'avait pas fini de vivre des aventures avec cette personne, et l'idée lui plaisait bien !
Durant le combat, il n'hésita pas à observer son partenaire du coin de l'œil. Il était agile, c'était indéniable, et sa souplesse pouvait le sortir de toutes épreuves, contrairement à Cocoon. Lui il faisait mal, mais encore fallait-il qu'il frappe correctement. Cependant, les types en face de lui ne lui posèrent pas grands soucis, au contraire, et finit par empaler le second, qui tomba à terre dans un drôle de bruit. Rangeant rapidement son arme, il se doutait qu'il ne fallait pas qu'ils trainent, car les collègues de ces trois là, auraient surement entendu leurs cris d'agonies. A nouveau ils rassemblèrent tout le monde et suivirent l'humain. Il connaissait sacrément bien la prison dis donc !

L'orisha ne repassa pas derrière, ça ne servait visiblement à rien, et le commanditaire vint un peu les ennuyer. Bandreux le fit rapidement taire, et le remit à sa place, avant de désigner une porte close, au fond du couloir. Visiblement, le message était : défonce la porte. Elle était tout ce qu'il y a de plus simple, mais de plus massif : en bois de chêne, lourde, grosse, épaisse, voutée... Un porte de donjon quoi. Cocoon pouvait la déverrouiller grâce à son don qui lui permettait de faire sauter les verrous, comme ceux des cellules de prison, tantôt, mais il préféra en mettre plein les yeux. Ce type était fait de muscles, autant s'en servir non ? Arrivant vers la porte, il se tint à environ un mètre d'elle et, rapidement, donna un sacré coup de pied dedans. Un gond sauta, et vint directement percuté l'oeil du pauvre humain faiblard boulet qui les suivait, et l'autre tomba à terre, en même temps que la porte. Ecarquillant les yeux, Cocoon intima à Bandreux de le faire taire, car le type gueulait de douleur, comme un porc. Bon, la chute de ce joli meuble avait fait pas mal de raffut, mais pas la peine d'en rajouter avec des cris.

Cocoon pénétra dans la pièce vide, sans cuisiniers, aux différentes odeurs de nourriture. Ce lui disait bien de se faire un petit casse-croute, après toute cette cavale, mais il n'avait pas franchement le temps. Il fallait profiter du fait que ce n'était pas l'heure du repas, pour déserter les lieux. Malheureusement, les cuisines étaient grandes, et souvent en cul de sac. Mais des escaliers leurs indiquèrent le chemin, bien plus tôt que prévu.

-Tu sais exactement où on est par rapport à la sortie... ?


Cocoon n'avait jamais visité les lieux, alors même s'il se repérait géographiquement, et sachant où étaient les égoûts et les cellules par rapport à leur position actuelle, il n'en n'aurait pas juré pour la sortie. Surtout que là, ce devait être une porte dérobée à la con, qu'il fallait connaitre.
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Jeu 11 Avr 2013, 11:36

l'entrée dans les cuisines allait se faire sans encombre. On pouvait au moins être sur de ça. Cocoon avait un réel don pour défoncer ce qui gênait son passage. Ce qui était moins prévu, c'était l’interaction du boulet humain du groupe. Evidemment il fallait qu'il prenne un truc dans l'oeil et soit d'une grande discrétion en poussant des cris de douleur. D'accord, Bandreux pouvait concevoir que cela faisait mal, mais il valait mieux éviter de se faire tomber dessus par une trentaine de gardes.

Mais ta gueule ! L'homme ne semblait pas vraiment écouter la "recommandation subtile" de Bandreux. Aussi, ce dernier lui donna un coup sur la nuque avec le côté de sa main en balançant un magnifique : NINJA ! Et l'homme tomba à terre.

Bandreux sourit très fier. A vrai dire il ne s'attendait absolument pas à ce que cette technique marche. Le type devait être vraiment faible. Cependant cela fit sourire Cocoon ainsi que Timoré. Bandreux se retourna ensuite vers les humains qu'il devait libérer et leur fit signe de porter leur ami jusqu'à la sortie. Après cette belle action, il s'approcha de Cocoon. Observant la cuisine, il repéra rapidement les escaliers. En effet, il se souvenait à peu près où ces derniers menaient. Par contre il espérait une fois encore que rien n'avait changé. Remarque, vu l'atout-Cocoon, que Bandreux trimbalait avec lui, n'importe quelle porte fermé voir condamnée pourrait être forcée. Bandreux prit alors la tête lorsque Cocoon s'adressa à lui. L'humain regarda son compagnon d'aventure et répondit.


Oui. Nous ne sommes plus très loin, reste à voir si la voie est toujours accessible.

Bandreux n'était pas toujours très sur de lui, ou encore très doué, mais lorsqu'il s'agissait d'évasion, le vil gredin avait un très bon sens de l'orientation. Il fit signe au groupe de villageois de les suivre tandis qu'ils empruntaient l'escaliers et traversaient une nouvelle série de couloirs. Là il s'agissait de ne pas se tromper. Sachant qu'en plus le couloir principal était très encombré par toute une série de vivres, sac de farine, de blé, jambon etc. Bandreux attrappa un morceau de pain et le croqua à pleine dent tout en continuant la route.

Le groupe arriva rapidement au fond du couloir. Bandreux désigna la porte face à eux, qui semblait condamnée, étant donné qu'une large planche de bois était clouée sur le dessus, empêchant quiconque de la franchir. Bandreux fit signe à Cocoon d'utiliser sa grande force. Pendant ce temps, ce dernier surveillait que personne n'arrive. Évader un secteur de prison entier ne passait pas inaperçu.
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Sortie brutale (PV Cocoon)

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