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 | | Mer 13 Juin 2012, 13:15 | |
| Depuis, pile un an Jadis avait vu ses parents adoptif mourir. Pour leurs rendre un hommage, elle décida d'aller prier.
C'était la première fois de sa vie que Jadis allait entrée dans le monument religieux * Mais, que vais-je bien trouver dans ce lieu. Tout le monde dit que personne ne voit la même chose une fois à l'intérieur* Pensât-elle. Elle hésita un instant, de peur de trouver des horreur, puis poussa la porte. Une fois à l'intérieur elle ferma les yeux un instant, tant la lumière était forte. Lorsqu'elle ouvrit les yeux elles s’écria dans ses pensées * Hein ! Comment est ce possible ? Mois qui aime tant l'hiver, dans une église je trouve un véritable désert ! * En effet, Jadis se trouvait comme en plein désert. En fait cela viens de son cœur, car Jadis ne sait pas mais malgré son amour pour l'hiver son cœur est un vrais désert.
Au milieu de se désert elle se dit, pris par surprise, * Tiens! qu'est ce que se miroir fait en plein milieu de ce désert, que je doit être la seule à voir.* Elle s'approcha de se miroir, et en voyant son reflet, elle émit un sourire. En fait sa nouvelle apparence, c'est à dire son apparence de cœur, elle la trouvait bien plus belle que sa vrai apparence. Elle était toujours une femme, mais sa peau blanche comme neige, avait prie une couleur chocolat. Aussi, sa chevelure blanche était devenue verte. Et enfin, sa robe blanche s'était transformée en un magnifique drap de soie rose, enroulé autour, d'elle.
Au bout d'un moment, alors qu'elle s'observait dans la miroir, un voie d'homme sembla l'appeler "Qui est là ? Et que me voulez vous ? " Demanda t-elle alors. Elle observa autour d'elle et ne compris pas d'où la voie pouvait venir. De plus n'ayant pas de réponse elle dit "HouHou! Il y a quelqu'un ? " Aucune réponse ne lui viens aux oreilles. Agacée elle s'exclama " Montrez vous donc à la fin ! Si c'est un jeu ce n'est pas drôle!"
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| | Dim 24 Juin 2012, 16:13 | |
| Le monument religieux était un endroit finalement plutôt sympathique pour un être comme moi, sûrement le moins croyant de ce monde. A chaque fois que je venais, il y avait quelque chose de différent, comme si l'endroit ne pouvait comprendre ce que je voulais, ce que je ressentais, ne pouvait simplement définir l'essence du coeur que je portai ou tout simplement, peut-être étais-je trop changeant ou encore, en tant que génie, peut-être que le lieu s'adaptait plus à la personne qui s'y trouvait en ma compagnie qu'à moi. Je concluais pour finir que cela venait du pouvoir de fissure qui aspirait les désirs et les peurs des victimes et peut-être que dans un tel endroit, ceux-ci se projetaient et se matérialisaient.
C'est ainsi que je me retrouvai dans un désert, endroit peu commun, je ne m'y aventurai jamais, je détestai la chaleur. Mais cette femme, pensait sûrement autrement car il s'y retrouverait, du moins dans son coeur. Un miroir reflétant ce qu'elle était, mes sourcils fronçaient face à une scène simpliste. Je m'approchai d'elle, d'une démarche gracieuse et enjouée tout en sifflant : " Miroir, miroir, suis-je la plus belle.. des plantes vertes ? " puis je rigolai à la vue de sa coiffure. Il était indubitable que le bleu rendait bien mieux que le vert.
Tournant autour d'elle, dissipé avec la poussière d'un sable volage, j'étais partout à la fois mais quelque part, j'étais surtout derrière le miroir, peut-être étais-je miroir.
" Comment ça, ce n'est pas drôle ? Tous les jeux sont drôles, même les plus malsains. Je m'amuse d'un rien à vrai dire, je suis bon public. Dans votre rêve d'un grand désert de sable blanc, vous auriez pu prévoir une oasis et un petit cocktail ! C'est qu'on s’assoiffe dans un coeur aussi aride que le vôtre ! " et je riais encore, les mains sur le miroir qui, étrangement, ne me reflétait pas.
Puis, prenant du sable entres mes mains, je le laissai s'écouler entres mes mains, observant cette femme noire et verte, un mélange qui me faisait penser à un gros gâteau pâtissier dont la fraîcheur serait plus que discutable.
Puis le sourire aux lèvres, je lui dis sur un ton léger et bon enfant qu'il était " Étrange pour un lieu de prière de se regarder dans une glace. C'est propre à notre race, la race humaine. Même dans la prière, on pense à sa petite et misérable personne. On veut prier pour les autres, mais on pense avant tout à nos causes désespérées. Peut-être est-ce pour cela que tout est aussi aride autour de vous. Vous ne voulez vraiment pas y planter un palmier ou deux puisque nous sommes noyés dans vos stéréotypes ? Au moins, ça égayera le tout ! "
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