Nom : Fiorèse
Prénom : Némésia
Surnom : Némèse
Sexe : Féminin
Taille : 162 cm
Âge apparent : 18 ans
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race :  Sorcière (ex-Magicienne)
Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 3
- Charisme : 3
- Intelligence : 7
- Magie : 7
Métier : X
Activité : Prier, se morfondre et tricoter
Armes :
- dague
- Petit livre liturgique (Culte de Freya)
Particularité :

Pouvoirs de base :
- Lux in tenebris (Metum)
- Valse destructrice
- Magie des Runes
- Soin des blessures
- Changement d'apparence

Gain de niveau II :
- X

Pouvoirs :
- X

Armes :
- X

Artefacts :
- X

Formes de magie :
- Magie des Ténèbres
- Magie du Sang

Patrimoine et réputation :
- X

Nom : Funésime
Prénoms : Landrémont
Surnom : Lan
Sexe : Masculin
Taille : 175 cm
Âge apparent : 18 ans  
Ère de naissance : Ère de la Conciliation
Race : Magicien
Métier : X

Niveau : I (Niveau I à partir de 0 point)

Armes :  
- Manche de rapière
- Jeu de cartes

Spécialités :
- Agilité : 4
- Force : 3
- Charisme : 6
- Intelligence : 6
- Magie : 6

Pouvoirs :
- Umbra in Lucem (Præsidium)
- Valse créatrice
- Magie des pentacles
- Invisibilité
- Lire l'avenir

Gain de niveau 2
- X

Gain de niveau 3
- X

POUVOIRS
- X

ARMES
- X

ARTEFACTS
- X

~ Formes de magie
- Magie de la Lumière
- Magie Bleue

~ Patrimoine et réputation
- X

Particularité : Une cicatrice allant de la pommette gauche jusqu'au haut du front.

Physionomie : La première chose qu'on observe chez Landrémont est évidemment la cicatrice qui décore cruellement la face gauche de son visage. Derrière cette cicatrice et le voilage de son iris, lui donnant un aspect blanc, un accident d'Opya, ce duel typiquement magicien, qui se pratique à l'aide d'une rapière et cesse à la première touche. L'accident se produisit lors d'une confrontation entre jeunes, hélas sans la présence d'adultes qui auraient sans doute évité bien des déboires.

Blessure un tantinet gore:

La seconde chose, c'est évidemment son apparence sophistiquée, c'est-à-dire extrêmement travaillée, car, extraverti et flamboyant, il aspire à briller. À l'heure actuelle et à sa grande déception, personne ne lui a encore jamais fait remarquer qu'il était particulièrement beau ou qu'il resplendissait outre mesure. Les cheveux sel et poivre, vairons en quelque sorte, « veuch'ron » si l'on préfère, et les sourcils épilés hebdomadairement ou rasés chaque matin ; il affiche une pilosité capricieuse à entretenir, mais qu'il se fait une joie de reproduire chaque jour pour le plaisir de ses yeux, en attendant de satisfaire ceux des autres.

Ses tenues sont très variables, élevé dans une famille plutôt bourgeoise sans rouler sur l'or démesurément, il doit se conformer bien souvent aux usages et accorder ses accoutrements à ceux que sa famille portent selon l'occasion et d'après la tradition, mais il ne manquera pas d'y ajouter ses particularités. Enfant rebelle qui a fait de la subversion une marque de fabrique, il apprécie s'habiller de tenues noires parsemées par endroit de quelques touches de couleur, comme les éclaboussures de lumière qui déchirent pauvrement l'ombre immense projetée par un plafond lardé de brèches. Jamais similaires, ses tenues sont préparées avec goût et précision, chaque matin. Ce qui lui prend un temps fou. Il a évidemment des tenues de vitesse, reprenant les codes de son style personnel, et rapides à enfiler dans le cas où il y aurait une urgence suffisamment pressante pour l'empêcher de réfléchir à sa composition du jour, mais pas assez fatale pour l'empêcher de resplendir.

Les deux invariants de toutes ses tenues sont l'éternelle écharpe violette dans laquelle il enveloppe son menton, et les deux ceintures qui façonnent sa taille fine. Il accroche la première, étroite, en cuir teint, cloutée, à ses hanches, après avoir enfilé le pantalon par dessus sa chemise. La seconde, épaisse, large, en coton et en laine, tressée à la manière d'une sangle, cloutée également, il la porte au niveau du ventre, à l'endroit où les parties sont assez molles pour modeler la silhouette, donnant l'impression d'une taille de guêpe, à la manière d'un corset : en arrondissant le tour de ventre. L'ellipse du corps qui est d'ordinaire plus large sous les côtes, sur le plan frontal, se retrouve à être égalisée entre le plan sagittal et frontal ; en déplaçant les parties molles étalées de gauche à droite, vers l'avant et le centre du corps, il apparaît plus mince. Illusion sans doute vaine mais qui lui tient à cœur pour correspondre à l'idéal qu'il se fait, peut-être pas de la beauté, mais de sa beauté toute personnelle.   

Il cache dans sa botte droite, qui comporte une séparation intérieure cousue sur le côté droit, vers l'extérieur, le manche de sa rapière, celle qui le blessa, dont la lame ne fut jamais réparée ainsi qu'un morceau de métal d'un alliage relativement solide. Par soucis de sécurité et pour surprendre l'adversaire - dit-il alors qu'il n'en a jamais connu réellement -  il préfère désormais forger sa propre lame par une valse créatrice à partir du morceau de métal, chaque fois qu'il en a besoin et la retransformer en cube par une seconde valse ensuite. La lame produite par ce petit tour de magie est très souvent hasardeuse et après avoir dégainé puis rangé son arme, il est toujours au bord de la crise d'asthénie, épuisé par l'énergie dépensée. Par ailleurs, on doit toujours lui prêter une rapière de meilleure facture pour s'entraîner à l'Opya, à la fois pour économiser sa santé et surtout pour qu'il dispose d'une lame qui ressemble à une lame et non à un serpent lépreux.

Enfin, il enveloppe son bras gauche dans une longue bande de lin ou de coton, il en possède plusieurs, certaines blanches uniquement d'autres liserées de rouge. Il les enfile à la manière d'une momie pour y cacher divers effets personnels de petite taille. Ainsi, il a toujours sur son bras gauche, un certain nombre de notes écrites et une partie de son jeu de cartes, qu'il garde précieusement à portée de main droite. On compte environ cinq cachettes dans les plis et recoins de ses bandages, pour deux feuilles de notes de la taille d'une paume de main et trois cartes à jouer, ou d'un tarot tout à fait ordinaire. Il peut rentrer jusqu'à trois cartes par emplacement mais cela les rend difficiles à prendre individuellement et la manœuvre pour les sortir moins discrète, et moins célère. Outre les possibilités de triche que lui ouvrent ce petit stratagème, il est convaincu qu'au vu de ses capacités actuelles, lancer des cartes paraissant sorties de nulle part est la meilleure solution pour détourner l'attention en toute situation déplaisante et fuir, sa spécialité dans laquelle il n'excelle pas encore cependant. Effrayé par les chiens, il se dit que si un représentant sauvage de l'espèce venait à l'attaquer, il pourrait lui jeter une carte, en y attenant une lame de rasoir produite par une valse créatrice faite du clou d'une de ses ceintures, afin de blesser l'animal et protéger sa personne. Il n'a pour l'instant jamais été confronté à la situation et il n'a sans doute pas encore ni l'agilité, ni la puissance d'invocation suffisante pour réussir pareille technique.

Il faut signaler enfin qu'il dispose de larges poches, à la fois à ses vêtements et sous, avec des poches mobiles, rassemblées par une corde nouée à divers endroits de son corps. Par exemple, s'il met une robe ou un pantalon dont les extrémités latérales sont fendues, il portera des poches ordinaires, nouées à sa taille. S'il porte un pantalon déjà pourvu de poches, et large, il attachera des poches réduites à ses mollets, par deux lacets en haut et en bas de la poche, afin d'avoir un inventaire supplémentaire, accessible en retroussant la jambe de son pantalon. Toutes ces poches lui permettent d'entasser frénétiquement des objets bien souvent dénués de toute utilité, mais qu'il a à cœur de conserver plus ou moins longtemps, et si l'occasion se présentait éternellement.

Psychologie : Landrémont a tout, dans son comportement, d'un acolyte drôle. S'il était le personnage secondaire d'une histoire, il interviendrait à quelques moments choisis, apporterait une touche d'humour et occasionnellement une solution à une intrigue. Mais voilà, Landrémont ne vit pas dans le roman éponyme d'un héros dont il serait l'ami, mais bien dans la réalité (toute proportion gardée). On ne joue pas un rôle calculé et limité comme on joue sa vie mais autant le dire de suite, Landrémont est un comédien très convenable pour jouer le rôle de sa propre vie. Il aurait de toute évidence était compliqué de lui substituer un remplaçant.

Dans son rôle, il est un personnage sympathique, qui dispose à son avantage, d'une capacité à coudre à partir de pièces d'idées idiotes, des fanions de surréalités liées d'une logique toute particulière, et qui ne doit rien à la rationalité. C'est un joyeux luron qui a toujours l'air de vivre dans une dimension parallèle. Quand on le rencontre, on tombe de surprise de rencontrer un homme gentil, attentionné, présent, et relativement charismatique pour son milieu - qui jusqu'à présent ne se compose que d'adolescents moyennement développés comme lui. Mais on s'étonne bien vite davantage du monde métaphorique - ou plutôt pataphorique - qu'il tisse dans ses expressions, ses affirmations et les réponses qu'il débite à toute berzingue. Ses appréciations et le fond de sa pensée semblent être bien plus flamboyants et extravagants que ses vêtements qui déjà, ne sont pas très coutumiers des Magiciens et surtout pas de la famille de laquelle il descend.
Il a tendance à répondre à tout problème, du plus simple au plus complexe, par des solutions tarabiscotées, pour le moins hétérodoxes, habituellement baroques mais toujours surprenantes. Pour partir d'une idée et en arriver à une autre, il faut à son raisonnement des détours qui se comptent sur les doigts d'un bananier. C'est dire s'il y en a. Une main de bananes pouvant compter une vingtaine de doigts, et un régime pouvant compter une dizaine de mains, si le bananier était une créature magique qui attaque par ses doigts, cette créature serait absolument redoutable. Mais ce n'est pas le sujet.

Ce qu'il faut savoir c'est que derrière le chemin fantaisiste qu'il souhaite qu'on retienne de lui, se cache en vérité une stratégie pour ne jamais qu'on puisse croire qu'il raisonne comme tout le monde et qu'il est doué de sentiments, comme tout le monde. Derrière ce fard fantasque qui fait sans doute la couleur de sa personnalité et la raison de ses amitiés, peut-être même de l'attrait qu'il sait susciter chez les gens de son âge - l'intérêt des adultes sortis des études pour ce genre d'olibrius étant très réduit - se dissimule, pour échapper au regard des autres, un certain vide. Ce n'est pas une blessure qui s'arrogerait le monopole de ses pensées ; à peine a-t-il peut-être conscience de dissimuler son malheur derrière un humour omniprésent et une personnalité flamboyante. Mais le fait est là, il est rongé par une insatisfaction permanente supplée d'un manque complet de capacité à se projeter dans l'avenir.

Il ne se connaît pas vraiment, n'a jamais vécu pour lui-même, en est même à ignorer s'il a vraiment des envies. Il vit avant tout pour les autres et règle son existence d'après le rythme entrepris par les vies qui hantent les lieux qu'il côtoie. Ce qu'il souhaite par dessus tout, c'est exister, en plaisant, en inspirant le rire, en parvenant à faire oublier ses soucis à quelque passant. Il ne sait pas vraiment ce qu'est l'amitié, ni l'attache émotionnelle. Bien sûr, perdre quelqu'un de proche le chamboule, mais sans doute principalement par la perte d'un repaire, qui lui indiquait par sa simple existence, les chemins qu'il lui était possible d'emprunter. Cette insensibilité au premier égard se double de la conviction que les autres lui portent une estime très basse. Pour tout dire, il ne pense pas avoir la moindre importance pour qui que ce soit, et cherche à en gagner une, maladivement, par la voie qui lui a semblé la plus déserte de concurrence : l'extravagance outrancière.  

Il a forgé un véritable trait de caractère et même une certaine envie de vivre dans cette extravagance. Quand il se lève le matin avec l'envie de se lever, ce n'est pas pour accomplir une mission d'intérêt général, c'est pour avoir une expérience ubuesque, qui le satisfasse et qu'il puisse raconter ensuite pour amuser la galerie. Quand il lui vient une idée burlesque en tête, il lui est possible de trouver raisonnable de tenter de l'accomplir. Assez difficile à faire rentrer dans le rang, il se plie volontiers aux ordres auxquels il ne peut échapper mais agit, dès qu'il lui est possible, par une volonté propre et assez peu lisible. Beaucoup de ses faits et gestes ne s'expliquent pas aux yeux des gens.

Solitaire mais pas égoïste, sa limite de capacité à gérer un groupe s'établit à deux personnes.  Au de-là, il en est strictement incapable, déjà qu'il est sensiblement autonome mais sans un grand sens de la responsabilité personnelle, il n'a aucun sens de la responsabilité collective. Il lui est suffisamment difficile et pénible - dans le sens de l'effort nécessaire - de s'occuper d'une personne, à peine est-il capable de l'écouter parler de ses problèmes, sans trouver de solutions à proposer, qu'il lui est impossible de guider un groupe. Il sait se fondre dans un groupe, cultiver son grain de sel mais n'en est nullement une figure charismatique.


Histoire : Fils d'une famille moyennement nombreuse, environ quatre enfants - ça n'est pas très important et comme ça peut toujours évoluer, ne figeons pas trop les choses - il a grandit dans une condition sensiblement favorisée. Encore aujourd'hui, il est plutôt dans un milieu qui lui permet d'envisager une vie favorable et des études simples. D'un point de vue scolaire, il n'a pas une trajectoire excentrique, il suit sans facilités mais sans problèmes majeurs, une éducation moyenne sinon légèrement dans la moyenne haute. Si l'on ne regarde que sa condition sociale, on peut affirmer que c'est un magicien normal qui va entreprendre l'approfondissement de ses connaissances, sans aucune chance de réussite prodigieuse, mais sans échec magistral. Un homme très moyen si l'on veut.

Si l'on s'approche quelque peu de son histoire personnelle, on remarque une enfance plutôt heureuse, mais sans vraiment de saveur. S'il a joui jusqu'à ses dix ans, d'une situation sociale plus favorable qu'ensuite, il a pu être élevé dans une aisance qui lui permettent de n'avoir pas goûté la soif de l'inaccessible. Petit, ses désirs, relativement simples mais qui seraient apparus démesurés pour une famille plus modeste, et dont le nombre écrase largement celui des familles aisées, ont été assouvis. Cette réalité qui lui offrait simplement ce qu'il désirait a fini par créer chez lui un certain désintérêt des choses matérielles,  ou financières, puisqu'elles ne lui ont pas manqué, le chemin pour les obtenir lui semble tout à fait dénué d'épreuves, et finalement de joie quand on parvient à les atteindre.

Dès son plus jeune âge, sa famille a tenté d'en faire un prodige, dans presque toutes les matières, mais il s'est montré constamment médiocre, pour ne pas dire franchement décevant. L'Opya, ce sport de combat qui se pratique avec une rapière et sans magie, a démesurément brillé dans ses yeux dès le jour où il a pu le voir pratiqué. Lui n'a cependant jamais brillé dans cette discipline. À défaut d'être meilleur que dans une autre pratique, au moins l'Opya avait l'avantage de lui plaire, alors il s'y est exercé avec la bénédiction parentale. Malgré sa blessure, jeune enfant, qui lui a surtout valu l'interdiction durant plusieurs mois de fréquenter ses compagnons d'opya en dehors des séances supervisées par d'habiles professeurs, il n'a pas manifesté de dégoût pour ce sport. Depuis l'adolescence, il a évidemment fait part de son rejet de l'autorité et ne fréquente plus aussi assidûment les cours, préférant aller s'entraîner avec ses coreligionnaires dans un coin tranquille, mais il reste plutôt régulier, sans montrer pour le moment d'améliorations significatives.

Son histoire, dans le monde réel, palpable et matériel qui l'entoure, est infiniment banale, presque inintéressante. C'est celle d'un jeune magicien comme tous les autres, qui vit à Vervallée, dans une environnement légèrement bourgeois, qui n'est pas le premier enfant, donc pas l'héritier principal, un peu le cadet des soucis familiaux. Il a, dans un même espace et un même temps, grandi au sein d'une famille et pourtant s'est éduqué en dehors.

Ce qui est intéressant dans son histoire n'est pas à voir dans la réalité, mais dans un monde que fréquente son esprit et qui est parfaitement étranger à son corps - comme au mien et aux vôtres. Lorsqu'il a commencé à avoir dix ou douze ans, Landrémont a commencé à s'imaginer une excroissance à la réalité, sur la base des enrichissements que construit l'abstraction qu'il captait dans le langage. Par des expressions imagées, des métaphores partagées par son entourage, le monde qu'il voyait commençait à ne plus s'expliquer par des causalités observables, palpables, logiques.

Au fur et à mesure des années, il venait dans son entendement, des éléments de compréhension extravagants et très personnels. À mesure que l'existence lui apparaissait sans saveur, les éléments sous-jacents de cette excroissance prenaient leur autonomie du monde réel. Ces excentricités imaginaires qu'il débite pour le bonheur et l'amusement de ses amis, forment au fil du temps un ensemble cohérent que lui seul croit percevoir. Il semble qu'il parvienne à dissocier cet univers imaginaires et le monde réel, mais joue-t-il un rôle dans le monde réel en faisant semblant par moment de prendre au sérieux ses surréalités, ou joue-t-il un rôle en faisant semblant par moment de ne pas les prendre au sérieux ? La frontière est fine et seul lui sait.  

Cet univers, pour en donner les grandes lignes, est une vision du monde centrée sur lui-même, où il existe comme un tout, sans histoire, doté de multiples lignes de développement, évoluant dans un univers contextuel inconnu qui s'étend à sa vision petit à petit. Il a bâti cet univers imaginaire sur ses propres connaissances limitées et s'y réfère comme appui dans la vie quotidienne. Cet univers imaginaire modèle son comportement comme ce comportement a modelé l'univers. Par exemple, l'indifférence relative de sa famille envers lui, l'a mené à exclure cette famille, simplement et purement, de cet univers. Il considère et agit avec sa famille comme si elle n'était qu'un groupe chargé de s'occuper de lui, sans lien de parenté ou d'affection, outre mesure.

Son histoire, pour la résumer en une simple phrase, est celle d'un jeune homme désintéressé du monde et cherchant à comprendre l'univers par sa propre personnalité, avec tout ce que l'ignorance offre d'hypothèses extravagantes.