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 | Description d'Adraha |

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Mitsu
♚ Fondatrice ♔

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◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005
Mitsu
Mer 14 Juil 2021, 04:52


Texte par Vanille
Perdu dans l’immensité hostile et glaciale des Montagnes de Tælora, un Royaume se dissimule aux yeux des étrangers, au point d’être invisible à ceux qui ne savent pas où le trouver, qui ignorent comment accéder à ses terres. Les Dragonniers ne souhaitent pas que des profanes marchent sur leur territoire, qu’ils soient membres d’un peuple commun ou d’un autre Empire. Grâce à une magie habile et puissante, l’Empire est indiscernable, imperceptible ; comme un secret insaisissable, une réalité indécelable, un mythe introuvable. Ne croyez pas que vous pénétrerez le Royaume d’Aïdoha par erreur ou par hasard. Seule la connaissance peut vous mener jusqu’à lui. Le chemin ne peut être appris qu’avec l’aide d’un Dragonnier, qui présentera la vérité à un novice de l’Ordre. La Capitale – Adraha – ne peut être approchée qu’à dos de Dragon et que si l’on connait déjà la route. Quant aux autres villes et villages des régions dragonnes, certains nécessitent l’assistance d’une Bête Sacrée tandis que d’autres peuvent être aborder par une marche à pied. Ceci dit, les mêmes règles s’appliquent et vos pas ne vous mèneront pas au plus petit bourg d’Aïdoha. Vos yeux refuseront de voir les passages dérobés. Vous ne les trouverez jamais. Habitués au climat froid des Montagnes, les Dragonniers savent vivre avec les vents gelés et la neige qui recouvrent continuellement la plupart de leurs terres. Vous ne bénéficierez pas de la même chance ou clémence et les températures auront raison de vous avant que vous puissiez dénicher la moindre piste sur les Cités des Dragons.

Le Royaume d’Aïdoha se compose d’une multitude des grandes Cités, de petites villes et villages, éparpillés à travers tous le territoire sans être reliés par la moindre route. Les Dragonniers ont pris l’habitude de se déplacer à dos de Dragon, un avantage considérable pour la préservation de leurs secrets. L'Empire a fait le choix de s’emparer de terres inhospitalières et sauvages, autant pour éviter la visite de curieux que pour le bien-être des créatures divines qu’ils adulent. Ne craignant ni le risque ni la difficulté, ils ont su tirer le meilleur de leur territoire. Respectueux de la nature, ils mettent un point d’honneur à vivre en harmonie avec les paysages, qu’ils se défendent de détériorer. Ils conservent jalousement des décors somptueux, les œuvres improbables de Dame Nature. La Vallée des Pics est un parfait exemple. Des pointes de glaces, hautes et acérées, s’élèvent et se tordent pour former un décor surprenant et enchanteur, meurtrier et inquiétant. Quelques hameaux se dispersent dans cette plaine, protégés des intempéries par les colonnes glacées. Grâce aux Dragons cracheur de feu et à la magie des Dragonniers, la vie est plutôt calme et paisible et les villageois ne manquent de rien. Ils mènent une existence plus douce et sereine que la plupart des regroupements de chaumières, hauts perchés dans les Montagnes. La Vallée des Pics est particulièrement utilisée pour l’élevage de bétails, pour éviter que les Dragons aient à s’éloigner et à chasser dans tout Doerelda. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, les attaques sont rares, car les Dragonniers possèdent un lien spécial avec leurs compagnons.

Il est évident – puisque Tælora est d’apparition récente – que les Dragonniers n’ont pas toujours vécu dans les Montagnes de ce continent. Depuis des siècles, ils vivaient secrètement sur une petite île au large des côtes des terres Dévastées, réputée inhabitée et inhabitable pour être entourée d’une immense chaîne de pierre volcanique, véritable muraille naturelle qui obstruait la vue. Ils ont profité de cette contrée réapparue, vierge de toute agglomération si ce n’est Port Dirælla, pour s’installer de manière plus pérenne, s’appropriant par la même un territoire plus vaste. Contrairement à ce que l’on pourrait croire, ils n’ont pas abandonné leur ancienne ville pour reconstruire ailleurs. Par une magie puissante et aberrante – d’origine divine d’après certains Dragonniers – certains bâtiments immémoriaux ont été ramenées sur les nouvelles terres. L’île reste un lieu de pèlerinage et un terrain d’entraînement privilégié pour les jeunes Dragonniers, désireux de prendre la main, loin du Royaume d’Aïdoha. La plupart des membres de l’Ordre vivent à Adraha. Les autres villes et villages sont la propriété de grandes familles qui s’illustrent dans l’agriculture et l’élevage.

Adraha, Capitale des Dragonniers, Grande Cité des Dragons, surnommée l’Unique et l’Ardente. Dissimulée dans les hauteurs célestes des Montagnes de Tælora, elle bénéficie d’un microclimat et se nimbe sous les délicats rayons du soleil, qui se reflète sur les glaces éternelles et réchauffent l’atmosphère. Elle s’organise en une dizaine de quartiers, neuf d’entre eux étant sous le contrôle d’un Drĕgana tandis que le Pendragon ou la Pandṓra possède la gestion exclusive du cœur de la Cité et bien entendu, une prise en charge globale de la Capitale. La ville s’étend autant en largeur qu’en hauteur. Loin des conventions, elle n’est pas une unité sage et compacte. D’apparence déstructurée, son architecture est néanmoins d’une logique propre au mode de vie des Dragonniers qui ont besoin de place et d’espace pour pouvoir mener une existence normale, en la compagnie encombrante des Dragons. Les quartiers sont reliés les uns aux autres grâces à des ponts de pierres, noyés sous une végétation abondante. Des plateformes de voyage permettent d’emprunter la voie des airs. Quelques échelles peuvent aussi permettre de grimper dans des rues, plus ou moins hautes. Aidés par les inventeurs de génie de Yanna, ils ont aussi de nombreux systèmes de barques ensorcelées et de cercles de téléportation. Majestueuse et prestigieuse, Adraha est éclatante, avec un style propre qui ne s’oublie pas. La démesure est le maître mot. Les allées sont immenses, les bâtiments officiels colossaux et les habitations personnelles, gigantesques. Plus qu’un goût du sensationnel, il s’agit d’une nécessité pour les Dragonniers puisque la Capitale est parcourue librement par des centaines et des centaines de Dragons.  

Le regard ne peut être qu’irrémédiablement attiré par la beauté et le monumentale de l’édifice principal de la Capitale. Véritable cœur d’Adraha, le Palais des Dragons surplombe toute la Cité et est le point le plus haut de la ville. Palace du Pendragon ou de la Pandṓra, il contient les appartements royaux de ces derniers ainsi que de grandes salles de réunion pour les discussions avec les Drĕgana et les plus belles salles de réception que l’on puisse imaginer. Adragala abrite aussi les amphithéâtres destinés au Parlement. Vertigineusement haut et imposant, il est à l’image du reste de la Cité : colossal, insensé. Les interminables escaliers qui mènent à ses portes sont entourés par deux Titans protecteurs, des figures dragonnes qui semblent s’enrouler tout autour du Palais, la gueule ouverte, grondant d’un grognement sourd, prêt à cracher l’étrange feu bleu dont on peut apercevoir quelques flammes sur la langue de pierre. Représentation de deux Dragons Légendaires qui font partie intégrante du folklore traditionnel de l'Empire, les mythes parlent de deux créatures immortelles et imbattables veillant sur Adraha, pour ne s’éveiller que lorsqu’un péril imminent menacerait les Dragonniers. Ils sont appelés les Totems de Pierre. Les Dragonniers, en tant que communauté restreinte, sont hiérarchisés presque naturellement et respectent les membres les plus hauts placés, sans que ceux-ci ne regardent les novices avec mépris. Les Dragonniers sont une nation militaire, et chaque individu est un soldat ou quelqu’un apportant son savoir-faire au service de ces derniers. Le Palais d’Adragala ne ferme pas ses portes à ceux qui ont besoin de demander audience ou à ceux qui désirent s’informer en assistant à une session du Parlement. Chacun est invité à prendre part à la société dragonne, à faire entendre sa voix.

Reconnaissable à son architecture soignée et à ses teintes noires et écarlates, la Bibliothèque Rouge est un édifice primordial aux yeux des Dragonniers, férus d’Histoire, de connaissances, de sciences et de savoir. Au fils des ans, des siècles, ils ont amassé des ouvrages aux provenances aussi diverses que variées, jusqu’à se constituer un véritable trésor à la valeur inestimable. Le moindre recueil écrit par un Dragonnier peut être trouvé dans cette Bibliothèque et, souvent, il est l’unique exemplaire signé de la plume du membre de l’Ordre. Ils possèdent les manuscrits les plus rares et précieux en ce qui concernent les Dragons. Par coutume, chaque Dragonnier est tenu à un journal sur lequel il note ses observations, ses exploits, ses recherches, ses liens avec les Bêtes Sacrées et les plus prestigieux de ces carnets – qui parfois font plusieurs milliers de pages – sont des ressources infinies pour les plus jeunes membres de l'Empire, pourvu qu’ils maîtrisent la langue des leurs l'Orahja. Les Dragonniers sont libres de parcourir à leur guise les allées de la Bibliothèque Rouge et sont même encouragés à peaufiner leur connaissance en matière de Dragons, d’armes, de techniques de combats, de stratégies, d’environnement. Seules les Vieilles Archives sont règlementées et les Veilleurs tiennent des registres stricts et se plient aux règles qui le concernent sans chercher à faire d’exception. Evidemment, les étrangers ne sont pas autorisés à entrer dans la Bibliothèque Rouge mais puisqu’ils ne peuvent même pas se rendre à Adraha, la question ne se pose même pas. Quelques Dragonniers, particulièrement érudits et vouées à l’enseignement des novices, s’emploient à recherches des livres rares et perdus pour les ajouter à la collection qu’ils possèdent déjà.

La Cité d’Adraha, en tant que nation militaire, est protégée par divers procédés magiques ainsi que d’autres bien plus communs. Pour entrer dans l’Unique, il est indispensable de passer par les Quartiers de Dùnthain, qui encerclent entièrement la ville. Ils sont constitués de remparts et de grandes tours de garde. Les Veilleurs sont omniprésents et préservent les frontières de la Capitale. Leur rôle est avant tout préventif, puisque les étrangers ne peuvent pas marcher sur les terres. La plupart de leurs interventions concerne les créatures sauvages et carnassières des Montagnes. Les Quartiers sous le contrôle du Léviathan se trouvent tout au nord. Ils sont majoritairement fréquentés par les travailleurs du fer et du cuir. Adraha n’a pas des rues délimitées avec précisions et n’importe qui peut vivre n’importe où. C’est plutôt par tradition qu’une grande partie du secteur est fréquenté par une certaine catégorie de la population, comme le Léviathan qui est particulièrement proche des forgerons et des fonctions et conséquences qui en découlent. A l’ouest de la ville, les quartiers de Milaeym s’érigent avec douceur, vastes étendues de plaine, de champ et de plantations, parsemés de jolies fermes. Grâce au climat clément dont bénéficie les environs, les Dragonniers produisent en masse des pommes et du cidre, des citrons, des oranges, des pamplemousses, de la vanille et des dattes. Les quartiers de Milaeym sont parmi les plus beaux. Les plateaux sont noyés par la végétation et les fleurs, ornés d’arches et de l’eau des rivières qui traversent Adraha. Elle est l’Unique, elle est l’Ardente, elle est la Perle des Montagnes, une étrangeté parmi la glace et les tempêtes.

Le Drĕgana Nasuada possède les quartiers des tisserands, réunissant les meilleurs artisans couturiers, capables de réaliser des pièces de velours et de satin d’une qualité époustouflante. Quelques doigts d’or tiennent des boutiques de renom dans les grandes allées, des artistes réputés qui vendent leurs tenues dans toutes les Terres du Yin et du Yang sans que les clients sachent qu’ils sont des Dragonniers. Tout à l’est, ce sont les territoires de Céowine, ceux qui sont préférés par les guérisseurs et les soigneurs. Ils s’occupent autant des soins des Dragons que ceux des Dragonniers. Leur rôle est primordial car les accidents ne sont pas rares, pour ces hommes et ces femmes qui côtoient les créatures légendaires au quotidien. Ils entretiennent des liens privilégiés avec les érudits et les philosophes des Quartiers d’Oronhir. Les villas fleuries et les allées de pavés blancs dessinent un paysage aussi bucolique que charmant qui séduit les grands esprits, regroupés autour de salons où ils se plaisent à discuter, à élaborer des propositions pour le Gouvernement afin d’améliorer encore la qualité de vie à Adraha. Il est de coutume pour Oronhir et Céowine de collaborer. Ils forment un duo efficace et peuvent accroitre leur influence en décident de projets communs, là où les autres Drĕgana préfèrent gérer leurs quartiers seul, ou tout du moins sous la seule tutelle du Maître des Dragons. La gestion de la Capitale n’est pas aisée, puisqu’elle ne s’organise pas de façon traditionnelle. Les Drĕgana doivent faire preuve d’ingéniosité et de stratégies pour parvenir à garder un bon contrôle sur leur partie de la Cité. Ils sont des hommes de terrain, qui ne restent jamais cloitrer bien longtemps entre quatre murs.  

Le culte de la Déesse Brylan prend une place importante au sein de la vie quotidienne des Dragonniers, qui se doivent de remercier leur Aether par des offrandes et des prières, elle qui a bien voulu leur tisser un lien privilégié avec les bêtes qu’ils adulent. Ce sont les Quartiers d’Opalia qui sont dédiés au personnel religieux et aux lieux sacrés où les fidèles peuvent se retrouver. Le Temple le plus important est haut perché dans une montagne, qu’il surplombe de son prestige. Comme pour éprouver la foi des Dragonniers, le Grand Temple de Brylan ne bénéficie pas du microclimat clément mais est balayé par les vents froids et soumis aux caprices des tempêtes de neige. La proximité de la roche a aussi attiré les mineurs, qui partagent les quartiers avec les religieux. Ils extraient les pierres fines et précieuses des cavités. Tout au sud de la Cité se trouvent les quartiers de Vhader, réputés pour ne jamais s’endormir. Les fêtes y battent leur plein et les tavernes sont toujours remplis. Au-delà de cette apparente insouciance, ce sont aussi les espions d’Adraha qui possèdent les rues du Vhader, qui a la gestion de ces caméléons qui hantent les lieux appartenant aux Chefs traditionnels de ce monde. Enfin, il y a les Quartiers du Nerial, centre économique de l’économie dragonne où se tiennent la plupart des boutiques. En plus d’être massivement fréquentés par les Dragonniers qui profitent du savoir-faire des leurs et des importations ramenées par les négociateurs, les marchands les plus prestigieux se font passer pour des ambulants dans les autres grandes Cités, où ils vendent leurs produits aux races.  

Le centre de la Capitale est sous la coupe du Pendragon ou de la Pandṓra. Il abrite le Palais, la Bibliothèque Rouge et tous les autres édifices officiaux de la royauté parmi lesquels on peut citer la Banque Illulia ou le Tribunal. Ces quartiers sont bien loin de ce que l’on pourrait imaginer, pour être à l’opposé des infrastructures habituelles et connues des autres capitales. Adraha est une Cité immense et démesurée, pour qui l’espace est une notion primordiale que les Dragonniers se doivent de soigner au même titre que la beauté des bâtiments. Ainsi, de vastes lacs paisibles côtoient les grands monuments. Des plaines fleuries et leur doux bruissement des eaux attendent à la sortie des domaines, comme un instant figé dans le temps. L’Unique n’a pas volé son titre, et elle n’est pas nommée de la sorte pour la raison – qui aurait pourtant été suffisante – qu’elle est la seule à abriter des Dragons de cette façon-là. Adraha est incomparable à bien des égards. Elle est un refuge aux charmes indécents, une Cité exceptionnelle au-delà de habitants qui vivent en son sein. Elle est un bijou jalousement préservé par les Dragonniers, un joyau pour les Dragons qui punissent – comme par instinct – les affronts qui pourraient être commis contre elle. Le fondateur de l'Empire, Erwann, aurait dit selon les légendes : « Je serai à l’origine d’une œuvre si grande et si belle que même ceux qui penseront en avoir découvert tous les secrets continueront à être surpris, aujourd’hui, demain et à jamais. » Il semblerait qu’il ait eu raison. Adraha n’a pas encore livrée tous ses secrets. Les femmes se plaisent à se baigner dans des sources d’eau chaude, cachées dans des grottes souterraines qu’elles sont les seules à voir. Les enfants jouent sur les plaines de plateau que les Anciens ne connaissent pas. Les trésors s’accumulent. Il reste encore tant à découvrir.

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Mitsu
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Mitsu
Mer 14 Juil 2021, 04:53



Informations


Qui peut fouler le territoire ? : Seuls les Dragonniers peuvent fouler les territoires du Royaume d'Aïdoha et la Capitale, Adraha.

Niveaux de dangerosité :

■■■■■□□□□□ : Il est assez délicat d'évaluer le niveau de dangerosité des différents territoires qui composent le Royaume d'Aïdoha. Cette région n'est assurément pas aisée à vivre. Le climat est éprouvant, glacial et mordant dans la majorité du pays. Les paysages regorgent de secrets et de mystères, et il n'est pas rare de tomber dans un piège naturel. Par ailleurs, il est peuplé par les créatures monstrueuses et carnassières des Montagnes, même si elles ont tendance à déserter à force d'être traquées par les Dragons des membres de l'Empire, qui règnent en maître. Les Dragonniers ont appris à composer avec toutes les difficultés de leurs territoires. Ils demeurent prudents, mais peuvent se targuer d'avoir apprivoiser leur région. Les principaux accidents sont dus aux plantes et à la végétation - venimeuses ou simplement hostiles - ainsi qu'aux intempéries violentes.

La Capitale des Dragons est tout aussi difficile à évaluer. Son architecture unique peut prêter à confusion et engendrer des accidents, tout comme la présence permanente des bêtes sacrées. Tout est une question d'habitude.

■■■■■■■■■■ : Pour les étrangers à l'Empire, c'est la mort. Ni plus ni moins. Cependant, il est rarissime de croiser un inconnu dans le Royaume d'Aïdoha. On ne peut s'y aventurer par erreur ou par hasard.

Saisons :

Le Royaume d'Aïdoha est au cœur des Montagnes de Tælora. Il est donc soumis aux mêmes saisons, même si elles semblent étrangement plus douces dans les territoires des Dragonniers. La Capitale - Adraha - bénéficie d'un climat beaucoup plus clément et singulier, pour être située dans des hauteurs insoupçonnables et regorger de magie divine. Elle oscille simplement entre une saison chaude, de pluie, froide et douce.

Langues : On parle majoritairement le langage commun et le dialecte des Dragonniers, l'Orahja.

Économie : Elle est fondée sur le satin, le velours, le platine, l'ambre, les pommes, le cidre, les citrons, les oranges et les pamplemousses, les dattes, les abricots, les litchis, les claymores. Les Dragonniers possèdent de nombreuses terres, qu'ils cultivent avec soin. Ils produisent en très grandes quantités et vendent à travers toutes les Terres du Yin et du Yang, qu'il s'agisse de fruits et légumes communs ou de denrées plus exotiques, propres à leur région. Ils sont particulièrement reconnus pour les claymores qui sortent de leurs forges, ainsi que pour la qualité de certains de leurs tissus et de leurs pierres. Les Dragonniers aiment les travaux manuels, et ils sont reconnus pour cela.

Monnaies : La Ezia. Il s'agit de pièces rouges et noires - bien qu'elles soient faites en or, en argent ou en bronze - façonnées par Gullingien, le Grand Dragon Noir du Vieux Gasmithië, un Dragonnier que personne ne voit jamais, enfermé dans la Banque d'Adraha. C'est du moins la légende. Ils acceptent aussi la monnaie commune et le troc.

Religions : Brylan est la Déesse Protectrice de l'Empire. Elle est la Déesse Fondamentale, dont le culte écrase tous les autres. De nombreux autres divinités sont néanmoins représentées de façon courante : Haziel ; Abigaëlle ; Eoda ; Cléophée ; Jeriel ; Dareios ; Dubheasa ; Elzédor ; Eoghan ; Kennocha ; Harabella : Freya ; Havok ; Isahora ; Odias ; Phoebe ; Raanu ; William ; Yanna.
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