Nom : L'une des rares Raagus encore vivante.
Prénom : Son véritable prénom reste inconnu, il a depuis longtemps été oublié, même au sein de la famille.
Surnom : Elle se fait appeler Vulpina. Et c'est tout.
Titre : La Cartomancienne
Sexe : Une femme aux charmes fatals.
Âge : Plusieurs siècles d'existence, que l'on peut tour à tour deviner derrière les traits d'une vieillarde ou ignorer, cachés sous l'apparence d'une femme trentenaire.
Ère de naissance : l’Ère du fléau des Maudits.
Race : Le cœur pourri des Sorciers.
Métier : N/A

Niveau : II [Niveau I à 116 points de RP]

Armes :
- Une broche à cheveux dont les pics sont imprégnés de son poison;
- Une lame fine et petite.

Spécialités :
- Agilité : 5
- Force : 5 + 1 + 1 + 1 + 1 = 9
- Charisme : 8 + 1 + 1 + 1 = 11
- Intelligence : 7 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 2 = 14
- Magie : 8 + 1  + 1 + 2 + 2 + 1 + 10 + 1 = 26

Pouvoirs :
- Lux in Tenebris - Maledicendum
- La Valse Destructrice
- La Magie du Sang
- Changer d'apparence
- Télékinésie

Niveau II : Lire dans les pensées.
Niveau III : N/A
Niveau IV : N/A
Niveau V : N/A

~ Quêtes

POUVOIRS
- Poison

Spoiler:

- Éternité du phœnix

Spoiler:

ARMES
-N/A

ARTEFACTS
-N/A

~ Evènements

POUVOIRS
- Création de l'Encre
- Contrôle de l'Encre
- Paralysie - permet de paralyser un ennemi durant un post [sur PNJ, ou avec accord du PJ]
- Paroles Glacées - lorsque votre personnage ressent de l'animosité envers son interlocuteur, toutes les paroles qui sortiront de sa bouche paraîtront violentes et glaçantes. Si vous avez des statistiques hautes en magie et en charisme, elles seront accompagnées d'un souffle givré, accentuant l'effet que vous êtes dangereux et agissant sur la personne comme tel, lui donnant l'impression de geler sur place.
- Confession - capacité d'obtenir la vérité à une question posée, ou qu'une personne admettre avoir commis un péché envers une autre [utilisable une fois par RP].
- Changement - permet de changer ses vêtements à volonté, peu importe où l'on se trouve et selon les limite de l'imagination.
- Le Souffle du Précurseur - il s'agit d'une Autorité de Vaès au sein de l'Eyjasandr. Elle vous permet d'avoir un caractère et une approche décelant les brèches au sein d'une race animale [au choix et à prendre à la validation]. Chaque espèce possède sa dangerosité, ses caractéristiques et ses particularités, certaines sont dociles, d'autres indomptables. Cette capacité vous permet de comprendre les règles élémentaires de cette dernière, permettant de vous adaptez à elle, de générer une confiance mutuelle. Les membres de celle-ci seront moins enclins à vous fuir, vous menacer ou vous craindre, ils deviendront des compagnons, ou des alliés en cas de danger. Attention, néanmoins, en cas d'agression envers un membre de la race avec volonté de lui nuire, le Souffle se retournera contre vous et vous deviendrez la cible de ladite race. Vous serez marqué et dès qu'un de ses membres vous croisera, il cherchera à vous nuire.
- Immunité aux sorts mentaux
- Traverser la matière

ARMES
-N/A

ARTEFACTS
- Le jouet bavard : Il s'agit d'une poupée ou d'une peluche à l'effigie de Nefraïm que votre personnage a reçu d'un mystérieux "L" dans un joli paquet enroulé de rubans. L'objet est très bien réalisé et semble hypnotiser assez son possesseur pour qu'il ne souhaite en aucun cas le jeter. Quoi qu'il en soit, parfois, il se met à parler, répétant mot pour mot ce que la personne qui est représentée dit à l'instant T.

~ Intrigues
-N/A

~ Formes de magie
- La Magie des Ténèbres
- La Magie du Sang

~ Couronnes
-N/A

~ Doubles nationalités
Le Spectre de la Dame :
Échelon I
- Un masque enchanté qui permet de dissimuler ses émotions;
- Une lame secrète qui rend invisible.

~ Patrimoine et réputation
- Esclave Maudit

Spoiler:

- Un serviteur squelettique aux os plaqué d’or et d’ivoire
- Cinq poules, trois moutons et une vache

~ Autres
- Influencer les décisions
- Une armure intégrale, capable de figer ses adversaires un court instant.
- La maison de poupées

Spoiler:

- Tourmente |

Spoiler:

- Le livre des rumeurs : Il s'agit d'un petit livre qui répertorie toutes les rumeurs juteuses des Terres du Yin et du Yang. Il se met à jour tout seul régulièrement, à condition d'être dans un environnement magique.
- La tenue rouge de Quetzalcoatl : Il s'agit d'une tenue composée d'un long manteau, bottes, gants, pantalon serré et chemise. Elle vous tiendra toujours au frais lorsque vous la portez, peu importe les températures chaudes autour de vous et peu importe si des morceaux de votre peau sont dénudés. Elle est rouge et dorée, dans un tissu inconnu mais qui rappelle du cuir animal. Son style rappelle quelque peu la mode Sorcière, Elfique ou Magicienne mais les nombreux symboles tribaux qui la recouvrent empêchent de lui mettre une étiquette précise. Elle vient d'une mode inconnue, qui a piqué ses inspirations partout dans le monde. La tenue activera en vous des effets secondaires quand vous la portez, qui sont reliés aux symboliques Chamaniques : [Le rouge est associé à la passion, plus généralement aux sentiments forts. Il peut symboliser l'amour, donc la fidélité qu'une personne éprouve pour une personne, il peut également témoigner d'une réelle passion pour une activité, un lieu, etc. Un rouge foncé englobe la colère, une puissante envie de vengeance ou de vaincre à tout prix. Un rouge très vif montre les sentiments d'amour. Selon donc les nuances qu'on accorde au rouge, il peut symboliser la stabilité ou l'instabilité, à se rapprocher des autres ou au contraire à se détacher d'eux.]
Le Baiser de Sympan - il s'agit d'une chevalière - illustration - prenant la taille exacte de l'annulaire de son possesseur, il est surmonté d'un saphir. L'ouvrage est d'une qualité exquise. Existant en quelques exemplaires créés au début de l'Ère de la Conciliation, ce dernier possède trois particularités. La première, c'est que la pierre précieuse est capable d'éclairer les endroits sombres et varie d'intensité selon le danger qui peut se trouver devant vous. La seconde, c'est qu'elle peut également embrouiller l'esprit de ceux écoutant celui l'ayant au doigt, cela peut autant chambouler une personne proche, que perturber un adversaire, qui se sera plus prompt à faire une erreur [PNJ, ou entre PJ en respectant vos statistiques]. Son dernier ensorcellement lui doit son nom. Quiconque possédant cette bague et offrant un baiser à la personne qu'il aime réellement sera capable de créer autour d'eux une bulle insondable, les protégeant d'oreilles indiscrètes, pour une durée dépendant de la magie. Si les deux personnes s'aiment réellement, ils ne peuvent se mentir l'un à l'autre dans cette dernière et peut donc révéler quelques secrets dissimulés. Si deux porteurs d'une bague se rencontrent, les effets s'annulent. La magie n'est pas utilisable par les Humains, mais fonctionne sur eux si le possesseur est leur Ange Gardien.

Particularités : Réincarnée en Shiva | Protégée de Nostradamus.

Physionomie : Il fut un temps où Vulpina possédait la richesse, la puissance, l'intelligence mais surtout la jeunesse et la beauté. Une époque où elle était capable de faire succomber tous les hommes qu'elle convoitait, où ses prétendants se seraient damnés pour l'un de ses baisers, et où elle hantait les rêves de ceux qu'elle croisait. « Le charme d'une femme est son arme la plus fatale » lui répétait sans cesse sa génitrice, et tant qu'elle le put encore, elle usa de toute sa beauté pour s'obtenir les faveurs des plus avantagés.
Mais le temps passa, imposant sa malédiction sur son corps. La peau lisse et douce laissa place aux rides et aux tâches de vieillesse. Ses longues jambes fines, avec lesquelles elle se déplaçait gracieusement, ne purent bientôt plus la porter sans l'aide d'une canne, empêchant ses trébuchements. Son ventre plat devint gras avec les années, et sa poitrine galbée subit les affres de la gravité. Ses épaules qui lui donnaient un port altier, se voûtèrent. La sorcière vieillissait.
Sa longue chevelure d'un noir ébène, lisse et soyeuse, se parsema de blanc, jusqu'à ne devenir qu'une chevelure blanche et rêche. Vulpina, devant son miroir, les peignait dans un dernier instant de coquetterie, les attachant en d'élégants chignons, tressés et décorés de perles. Ses yeux d'un marron sombre, presque noir, se blanchirent également suite à la cécité, entourés de ridules sur les coins. Ses lèvres peintes d'un rouge carmin tombèrent, n'ayant plus la force ni l'envie de faire de sourire charmeur.
Pourtant il lui arrivait de retrouver, le temps d'une soirée, son apparence d'antan, enfilant son apparence passée comme un costume. Pourtant, même lorsqu'elle tentait de combattre le temps qui file, Vulpina n'était que l'ombre d'elle même,un fragment de la beauté qu'elle détenait autrefois.
Finalement, elle abandonna cette coquille, investissant le corps d'autres Raagus. Elle devint tour à tour blonde, brune ou rousse, petite ou grande, belle ou laide, femme ou homme. Encore dans ces moments, il lui arrive d'essayer de retrouver son apparence d'antan, sans grande réussite néanmoins.

Psychologie : Femme fière et orgueilleuse, Vulpina déteste être contredite ou que l'on remette sa supériorité en question. Sa volonté fait office de loi et elle aime que l'on obéisse à ses ordres sans broncher. S'il fut un temps où elle possédait quelques fidèles concédant à céder à ses caprices, la tuerie qu'elle orchestra parmi les siens les firent disparaître. Femme sanguinaire, elle n'hésite pas à trancher les têtes et aime régler ses conflits dans le sang et la douleur. Lors de sa première vie, elle fut d'ailleurs recherchée après avoir été reliée à plusieurs meurtres. Se sentant invincible, elle ne craint pas de mourir et ses actions frôlent parfois le suicide. Elle n'en reste pas moins calculatrice et manipulatrice, et sait monter des complots qui pourraient rivaliser avec ceux des alfars. Vaniteuse, elle aime se sentir adulée et ne supporte pas le mépris ou le dédain, qu'elle n'hésite pourtant pas à utiliser elle-même. Autoritaire et impatiente, peu parviennent à la supporter. Pourtant, lorsqu'elle le veut bien, elle sait se construire un visage charmeur, des manières douces, et parvient à charmer ceux près à l'écouter. Susceptible et égoïste, elle est en plus rancunière et ne tolère pas l'infidélité, sans pour autant se montrer loyale envers quiconque. Elle apprécie l'art et l'éloquence, presque tout autant que les jeux d'intimidation. Son propre caractère se retrouve parfois légèrement altéré par ses réincarnations, les traits de ses hôtes réapparaissant parfois aléatoirement.

Histoire :
La femme entra dans la salle avec fracas, laissant les deux battants de la porte claquer contre les murs. "Mylenna" chantonna-t-elle. De sa démarche féline, elle s'avança dans le salon. Sa robe était maculée de sang, celui de ses victimes. Son visage avait également été éclaboussé par le massacre qu'elle avait commis. S'approchant de la fenêtre, elle joua avec le couteau qu'elle tenait entre ses mains. "Voyons, je sais que tu te caches ici. Si tu ne me fais pas perdre mon temps, je te promets de ne pas te faire souffrir." Cruel sourire. "Enfin pas trop." Une silhouette apparut dans son champ de vision. "Ah, te voilà enfin." Se retournant, elle posa son regard aussi froid que de l'acier sur la femme qui se tenait devant elle. Ses mains tremblaient sur le manche d'une hache qu'elle tenait maladroitement. "Tss Tss." D'un simple mouvement de la main, la meurtrière désarma sa future victime, envoyant l'arme qu'elle pointait sur elle à l'opposé de leur position. Un autre moulinet du poignet lui permit de manipuler les vêtements de sa cible, la plaquant au mur derrière elle. "Pas de ça avec moi. Tu sais que ça ne sert à rien." La femme essaya de se débattre. "Diana ! Je sais que tu es là ! Réveille-toi !" La dénommé Diana partit dans un grand rire moqueur. "Mais Diana nous a quitté depuis longtemps, ma chère. Il est vain d'essayer de la ramener parmi nous." "Vous... Vous ne perdez rien pour attendre ! Je vous tuerai de mes mains !" Le sourire de Vulpina s'évanouit, aussitôt remplacé par une moue dégoûtée. "Toi ? Et qu'espères-tu exactement ? Tu penses vraiment être de taille pour m'affronter ? Tu rêves les yeux ouverts, ma pauvre." La sorcière attrapa les tisonniers posés près de la cheminée. Détruisant la matière, elle les modela grossièrement en arcs, avant des les envoyer l'un après l'autre se ficher dans le mur, maintenant la prisonnière en place : l'un lui bloqua la gorge, les deux autres les poignets. "Voilà qui est mieux." Détournant son attention, la femme se dirigea vers la commode où elle se servit un verre de vin. "Même si je les trouve insupportable, je dois reconnaître que les magiciens font un vin délicieux." Elle s'installa sur le canapé face à sa descendante. "Tu sais, de mon temps, les Raagus étaient tous doués pour quelque chose. Moi-même, j'excellais dans le meurtre." Un sourire rêveur traversa ses traits tandis qu'elle repensait à certain de ses exploits. "Ils m'appellaient même la cartomancienne, à l'époque." "Pourquoi faites-vous ça ? Pourquoi vous en prendre à nous ?" "N'est-ce pas évident ? Je déteste voir les nôtres tomber aussi bas. Vous n'êtes qu'une bande d'incapables. Il est hors de question que je vous laisse continuer à entacher notre nom sans agir." Vulpina frotta une tâche de sang qui avait séchée sur son visage. "J'ai presque fini ma tâche. Tu étais la dernière sur ma liste mais... Je vois que la famille s'est agrandie grâce à toi. Félicitation. Et où se cachent ces petits morveux que tu as mis au monde ?" Pour toute réponse, la nouvelle mère cracha sur le sol. Vulpina soupira. "Très bien. Je les trouverai moi-même." D'un geste de la main, elle enfonça plus profondément l'était qui tenait la gorge en place. La tête tomba sur le sol, tranchée. Vulpina but le vin qui lui restait puis lâcha le verre qui s'éclata en mille morceaux sur le sol.

La sorcière se releva. Alors qu'elle allait faire demi-tour, ses yeux s'écarquillèrent sur la lame qui l'avait transpercé de part et d’autre. Du sang coula le long de son menton. Le sien, cette fois-ci. Haineuse, la femme tourna la tête pour voir le visage de son meurtrier. "Toi..." Un rictus déforma le visage de Diana. "Je te retrouverai." C'était une promesse autant qu'une menace. La lame se retira de sa chaire et Vulpina s'effondra sur le sol, le souffle rauque. La vie s'échappait peu à peu de son corps. Elle n'était pas inquiète. Elle savait qu'elle aurait sa vengeance, un jour ou l'autre.

Noms : Dementiæ par son père, Gandr par sa mère. Épouse Liddell.
Prénoms : Sylbille, Suzane, Eris.
Titre : Élue des Portes, Isemssith.
Titres raciaux : Ibeji Parnímkà (La Jumelle du Troisième Œil ) [angélique]; Darka'Mri'Tuor (Chasseur aux Ailes d’Ébène) [chamanique]
Sexe : Même si la grâce n'est pas là, il s'agit bien d'une demoiselle.
Âge : Trente-trois ans marqués par la rancœur et l'amertume.
Ère de naissance : Renaissance du Dieu-Roi | Première partie
Race : Contrairement à sa jumelle, Sylbille a hérité des gènes de sa mère et est donc une Orisha.
Métier : Chasseuse [Rang II]

Particularités : Mariée à Raeden [Fiche] – Membre des Corvus Aeris – Annulaire gauche sectionné.

Niveau : II [Niveau I à 116 points de RP]

Armes :
- Une Spatha (épée courte)
- Un Tomahawk

Spécialités :
- Agilité : 10 + 2 + 1 + 2 = 15
- Force : 10 + 1 + 2 + 1 + 1 + 5 + 1 = 21
- Charisme : 6 + 1 + 2 + 1 = 10
- Intelligence : 7 + 1 + 1 + 1 = 10
- Magie : 5

Pouvoirs :
- Saäba'Lohu
- Nesh'Baäsa
- Hanha'Thü
- Le gène de protection

Spoiler:

- Nëkh oehkiü

Spoiler:

Niveau II : Soigner les blessures
Niveau III : N/A
Niveau IV : N/A
Niveau V : N/A

~ Quêtes

POUVOIRS
- Faris

Spoiler:

- Création de la musique
- Cornes de Bicorne : Une fois par lune, le personnage peut demander à n'importe qui de l'embrasser. Si cette personne ne le fait pas, deux cornes de Bicorne poussent sur sa tête.

ARMES
- Une arbalète
- Un fléau Lourd
- Un bouclier

ARTEFACTS
-N/A

~ Evènements

POUVOIRS
- Frisson de la Révélation : Lorsque votre personnage est observé, un petit frisson l'avertit. Il ne sait pas par qui si la personne n'est pas présente mais ça lui permet d'agir en fonction, de changer de comportement etc.
- Les portes : Il s'agit du pouvoir de se téléporter aux portes via un halo de lumière qui apparaîtra à la demande. Les portes ne sont pas toujours les mêmes, elles ne mènent pas toujours aux mêmes endroits non plus mais, en règle générale, elles envoient vers des lieux qui seront soit utiles à l'individu, soit dans lesquels une intrigue importante sur les Terres du Yin et du Yang sera en cours.
- Anesthésie - permet d'avoir un effet anesthésiant sur une partie du corps pour une durée dépendant de votre magie et de votre force
- Imaginaery - pouvoir permettant de générer des armes [une arme tous les cinq points de magie, votre capacité à les maintenir dépend de votre agilité et leur puissance de votre force]
- Un pouvoir permettant de créer des appâts afin d’attirer les monstres.

ARMES
- L’Obole

Spoiler:

- Un bâton de combat
- Une armure lourde en cuir de Ghogglahk, résistante et souple.

ARTEFACTS
- Une mandoline.
- Une chevalière représentant une plume d’hibou et une plume d’Ange qui permet d’être reconnu à travers le monde comme étant l’un des gagnants de l’Épreuve angélique.
- Le Médaillon de la Reconnaissance : il s’agit d’un médaillon représentant une tête de loup, une hirondelle ainsi qu’un éclat de glace, qui vous donne un droit de passage sur l’Île Maudite.
- La Corne des Échos : lorsque l’on souffle dans cette corne, les animaux aux alentours ont subitement un horrible mal de crâne, la force et la durée du mal équivalant à la Force et à la Magie du souffleur. Le son renvoyé par la corne étant à une fréquence que seuls les animaux ou les personnes extrêmement sensibles peuvent percevoir, la majorité des gens ne sera pas affectée par les effets de la corne.

~ Intrigues
-N/A

~ Formes de magie
-La Magie de l’Enclave
-La Magie de Jade

~ Couronnes
-N/A

~ Doubles nationalités
- Double Nationalité Réprouvée | L'invocation du divin chaos [X] Sul Vulon [] Pruzah Aus []

~ Patrimoine et réputation
- Popularité nationale Orisha (x2).
- La popularité nationale Ange.
- Une maison dans les quartiers moyens d'Avalon.
- Une habitation dans Mégido.

~ Autres
- Fusion avec le Feu
- La boîte de chocolats d'Asmodée

Spoiler:

- Le coffret chocolaté

Spoiler:

- La tente de luxe

Spoiler:

- Une petite boite en bois, joliment ouvragée qui fournit un repas par jour.
- Les sources thermales : À chaque fois que le personnage dit "J'aimerais un bain chaud", il se retrouve plongé au cœur d'un endroit inconnu. Il s'agit d'un grand chalet, composé de chambres et d'espaces communs. Au centre de ce dernier existe un petit jardin au cœur duquel se trouvent des sources thermales. Comme il se situe en haut d'une montagne, il peut s'exercer à différentes activités. Une fois en bas de la piste, il est automatiquement reconduit en haut. Pour sortir de l'endroit, il doit embrasser quelqu'un sous le gui qui se trouve dans le salon principal. Tant que le personnage ne trouve pas comment sortir, il y reste enfermé. Ce gain ne peut amener que ceux qui le possèdent ainsi qu'un accompagnateur. Il envoie à Asgösth sans que personne ne le sache et il s'agit de magie divine. Le temps passe plus lentement dans le chalet et y rester quelques siècles équivaut à quelques jours ailleurs.


Physionomie : Sylbille dénoua les nombreuses tresses qu’elle avait porté lors de sa chasse, pour ne pas être gênée. Ses cheveux lisses et d’un noir aussi profond que le jais tombèrent en cascade le long de son dos, s’arrêtant juste en-dessous de ses reins. L’orisha n’avait jamais été très coquette, sans doute ne le deviendrait-elle d’ailleurs jamais, mais elle avait toujours pris grand soin de sa chevelure, héritée de sa mère. Fatiguée par la longue journée qui s’était écoulée, elle fit rouler ses épaules pour essayer de calmer ses muscles endoloris. Sans doute beaucoup d’hommes trouveraient dans sa physionomie une musculature trop abondante, trop masculine, pas assez gracieuse pour une femme : Sylbille se moquait de cela. Elle avait toujours apprécié ce corps puissant qui lui permettait de parcourir les pistes de ses proies, et jamais un jour ne regrettait-elle d’avoir développé ses muscles. Cela ne l’empêchait en rien de posséder des courbes généreuses et appréciables pour tout homme luxurieux. Sans doute certains trouveront dommage que son époux n’ait pas à cœur d’en profiter. Soupirant, la brune commença à se dévêtir, laissant tomber sur le sol ses fourrures et autres accessoires. Bien loin des tenues de soirée qu’elle se voyait obligée de porter lors de retrouvailles familiales ou d’apparitions mondaines, ses vêtements quotidiens préféraient le confortable au beau, l’utile au superflu. Chasseuse dans l’âme, elle n’avait jamais été attirée par les robes de bal, et avait développé un certain mauvais gout. Nue, l’orisha prit place devant sa coiffeuse. Elle retira l’anneau de mariage de son annulaire droit, contrairement la coutume. Malheureusement, sa main gauche était incapable de la porter, pour la simple et bonne raison que le doigt avait été sectionné. Relevant la tête face à son miroir, la jeune femme aperçu sa peau basanée parsemée de marques blanches, reliquats de ses combats quotidiens avec des créatures dangereuses. Elle n’y prêta aucune attention, se concentrant sur son visage. Ses traits étaient fins et harmonieux. Elle possédait les marques de ceux qui sourient et rient beaucoup. Comme chacun des siens, ses yeux étaient de couleurs différentes : l’un bleu clair et le second marron foncé. Sur son front, le troisième œil luit d’une teinte pourpre.

Psychologie : Il y a des gens dont la bonne humeur semble contagieuse. Des gens qui, d’un sourire, apaisent les cœurs et embellit la journée. Sylbille fait sans aucune doute partite de ces personnes. Joviale et chaleureuse, l’orisha semble toujours se montrer de bonne humeur, le sourire aux lèvres, les yeux rieurs et la bouche prête à lancer une boutade. Altruiste, elle se soucie du bien être de ses proches et aime remonter le moral de ceux qui se laissent aller. On la décrit généralement comme une personne généreuse et bienveillante, serviable et loyale. Energique et dynamique, on la voit rarement se poser plus de quelques minutes sans bouger, même lors de ses repas : elle est obligée de s’occuper les mains à un moment donné ou de se dégourdir les jambes. Sans être naïve, elle aime croire en la beauté de l’humanité et aime laisser une chance à chacun. L’orisha est d’une honnêteté tranchante, parfois trop. Ayant grandit dans une famille où le paraitre primait sur l’être, elle apprit vite à détester ces manières hypocrites qu’elle rencontrait lors des soirées mondaines. Si la diplomatie qui vient avec l’âge lui aura appris à garder ses pensées pour elle lorsque cela pouvait éviter un conflit, son impulsivité et son impatience reviennent parfois au galop, lui faisant échapper quelques paroles acerbes. Chasseuse hors pair, elle aime son métier par-dessus tout et y privilégie beaucoup de temps.
Parfois, il lui arrive de préférer se retrouver seule et elle s’isole, laissant sa malédiction prendre le dessus et la laissant en larme, dénuée de toute pensée positive.

Histoire : L’homme bascula sur son flanc, collant son corps nu contre celui de son amante. « A quoi penses-tu ? » La femme esquissa un sourire, gardant son regard hétérochrome rivé sur le plafond. « A tout et rien à la fois. » Le luxurieux ne sembla pas satisfait de cette réponse, bousculant tendrement celle à ses côtés. « Allez, tu peux me le dire. » La jeune femme soupira et se redressa. Même si les siens étaient désormais débarrassés de cet appel pour la liberté, son éducation avait fait d’elle une femme libre, qui détestait se sentir oppressée. Elle n’aimait pas se sentir forcée et l’on obtenait généralement le contraire de ce que l’on cherchait d’elle lorsque l’on s’y prenait ainsi. Pourtant, cette fois-ci, elle sentit que parler pourrait lui faire du bien. Son époux, avec qui elle partageait habituellement ses tourments, était désormais trop occupé à s’occuper des ailes blanches pour rentrer auprès d’elle. Elle n’était sans doute pas toute innocente non plus dans leurs longues séparations : son travail lui prenait beaucoup de temps et elle n’était pas souvent à la maison, voyageant entre les différentes contrées où on l’envoyait chasser. « Je pense… à ma famille. A ma sœur déchue dont on me réclame la vie, mais que je suis incapable de fournir. » Les coutumes des siens n’était pas exactement des plus tendre. Sybella devenue Sulfr, elle devait périr. La trahison qu’elle lui avait infligée en l’abandonnant et en retournant auprès de leur père, assassin de leur mère, avait finit d’éveiller son désir de vengeance. Pourtant, une part d’elle regrettait l’ancienne époque et souhaiterait enterrer la hache de guerre. « Je pense à mon mari, dont l’obsession pour une autre ne me rend pas insensible. » L’amour de Raeden pour l’Ultimage n’avait jamais été un secret pour Sylbille, qui avait accepté cela il y a bien longtemps. Pourtant, les années passant, elle avait fini par nourrir une certaine amertume, non pas à l’égard de son époux mais envers l’origine de ses désirs. « Je pense à mon fils, que j’aimerais voir plus souvent, à la chasse qui m’emmènera encore loin de tout. Et… Quoi ? » Tournant la tête, elle avait aperçu le regard morne de son partenaire. « Moi qui m'imaginais que tu repensais à notre nuit de folie. » La brune esquissa un sourire moqueur. « Allons, nous sommes à Avalon. Il n’est pas bien compliqué de trouver partenaire satisfaisant. Tu ne fais simplement pas partie de mes amants les plus remarquables. »  Le déchu haussa les sourcils, un air peu crédule sur le visage. « Oh vraiment ? Sans doute est-ce pour cela que tu es, encore une fois, venu à moi ? » « Je viens vérifier s’il y a la moindre amélioration mais…non. Je devrais sans doute changer. » « Oh oui, sans doute devrais-tu faire ça. » « Dans le doute, je vérifie juste une dernière fois avant de partir pour de bon. » Se penchant, un air malicieux sur le visage, elle scella à nouveau ses lèvres sur celle du déchu, relançant les festivités.