| | [Q] - Le Dîner de l'Apocalypse | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité | Mer 14 Oct 2020, 17:31 | |
| Le Dîner de l'Apocalypse
Objectif : Le Dieu d'Asgösth a décidé de se livrer à une petite expérience sur son île, en réunissant autour de la table de la Dame Rouge différents protagonistes qui ne pourront pas quitter la table avant la fin du dessert. Autant dire que les discussions risquent d'être mouvementées. Ce sera l'occasion de régler ses comptes, de mettre les choses à plat. Ou pas. Conséquences dans la réalité : Pas de mémoire avant la fin du rp. Ensuite, impression diffuse de vrai/pas vrai et oublie de certains éléments. Des PNJ pourront dire des mensonges également. Modalités : Entre 400 et 500 mots par personnage (faut que ça reste dynamique)
« Bien sûr. » soupira-t-elle. « La Coupe des Nations étant terminée et ton dernier jeu étant au point, il fallait bien que tu trouves une autre façon de t’occuper. » Le mari de la Dame Rouge se prit à sourire. « Je n’aime pas m’ennuyer. » confessa-t-il, tout en jetant un coup d’œil aux domestiques qui s’activaient. Ils se trouvaient dans une grande salle de réception. Des musiciens jouaient, proches de la cheminée. Le feu crépitait. La table était immense. Rectangulaire, une nappe blanche la recouvrait. Sa décoration était faite de bougies et de fleurs et le doré des ustensiles était accordé à celui de l’immense chandelier. Les assiettes étaient en porcelaine et les couverts en argent. Devant les convives, il y avait des petites boites. Celles-ci contenaient des cartes de débat, au cas où ils s’ennuieraient. Les chaises à l’assise et au dossier bordeaux, étaient particulièrement confortables. La luminosité tamisée donnait à l’endroit un aspect propice à l’intimité. Un grand miroir parcourait l’un des murs, proche d’une piste de danse qui servirait aux invités qui le désireraient après leur repas. Il fallait tout prévoir. La possibilité de dormir ici serait offerte. Sincèrement, ni Aria ni son mari ne pensaient que le dîner se terminerait bien.
« On dirait une sorte de conseil des Chefs, sans les Chefs. » susurra-t-elle, proche de l’oreille de son éternel amant. Cela faisait bien longtemps qu’elle goûtait à sa peau sans s’en lasser. Ce n’était pas normal. Sa robe, rouge, au décolleté plongeant et au tissu dorsal inexistant, faisait d’elle une hôte particulièrement visible. Elle n’était pas certaine d’avoir envie de parler durant le repas. Tout dépendrait de l’ambiance et de la conversation qu’on lui tiendrait. Contrairement aux invités, elle n’était pas condamnée à rester sur sa chaise tout le long de la soirée. Elle pourrait se lever, voire même s’en aller. C’était ainsi. Elle possédait certains privilèges. « J’espère que tu as bien étudié le plan de table. » « Plus ou moins. » « Plus ou moins ? » « Certaines places sont attribuées, d’autres non. C’est bien plus amusant ainsi. » Il ressemblait presque à un enfant, avec son sourire éclatant. Un rien l’amusait. Il riait des situations catastrophiques comme le public riait devant son comédien préféré. Il baladait les puissants et les moins puissants. Il leur faisait découvrir des choses qu’ils auraient aimé connaître. Ou pas. « As-tu organisé la prochaine Porte ? » demanda-t-elle, durant le temps qu’il leur restait jusqu’à l’arrivée du premier convive. « Elle n’est pas de mon ressort mais peut-être qu’il me laissera intervenir. Elle se déroule dans le passé. » « Tiens donc. » « Un passé proche. »
Finalement, il s’éclipsa. Sa place restait l’autre bout de table, en face de sa femme qui, elle, prit place. Il reviendrait peut-être plus tard, lorsque le moment serait propice.
490 mots |
| | | Aliénor Vaughan ~ Magicien ~ Niveau II ~
◈ Parchemins usagés : 581 ◈ YinYanisé(e) le : 20/12/2016 | Jeu 15 Oct 2020, 17:34 | |
| Le dîner de l'Apocalypse
« Et est-ce que je pourrai avoir des cartes en cadeau à la fin du repas ? » demanda Dagobert à l’un des domestiques qui venait d’apporter les canapés. Ils étaient différents pour tout le monde, selon les goûts de chacun. L’homme le regarda, ne comprenant visiblement pas ce que cet enfant voulait. L’enfant en question fit la moue, avant de reporter son attention sur son verre de grenadine. Ça avait l’air super bon ! Il ne remarqua même pas son changement vestimentaire, pas plus qu’il ne se posa de réelles questions sur cet endroit. Aliénor, elle, avait changé de vêtements. Lhéasse aussi. Le décolleté de sa robe était bien trop plongeant pour qu’elle eût pu en être à l’origine. Elle fixait son garde du corps avec de grands yeux, emplis d’incompréhension. On vint vite leur expliquer qu’il s’agissait d’une sorte d’expérience souhaitée par les Dieux et que tout ce qu’ils avaient à faire était de rester assis, de dîner tranquillement et d’échanger avec les différents convives. En soi, ce n’était pas foncièrement différent d’un repas mondain. Il n’y avait ni monstre ni réel risque d’après la Magicienne. Le Duc Taiji, lui, savait que les mots pouvaient avoir leur importance. Aussi, il l'observa à son tour. Il n’aimait pas sa tenue. Sa gorge était bien trop dévoilée.
Lorsqu’Aliénor perçut son regard, son expression fit comprendre à Lhéasse qu’il valait mieux donner une explication. Il s’était arrêté entre ses seins bien trop longtemps pour que ce fût convenable, même si ce n’était certainement pas ce que cette idiote était en train de s’imaginer. Il héla un domestique. « Pourrais-je avoir un châle afin de couvrir la gorge de la Comtesse Vaughan, s’il vous plaît ? » « Certainement, Monsieur. » le Sorcier reporta son attention sur elle. « Mettez-le et tenez votre langue. Je n’ai pas envie d’avoir à vous la couper. » Elle n’aimait pas quand il la menaçait, ça ne faisait que renforcer l’impression qu’elle était sa prisonnière. Pourtant, il lui laissait davantage de liberté que lorsqu’elle était liée à Niklaus. Elias était moins strict. Elle baissa néanmoins la tête et prit le tissu qu’elle enroula autour de ses épaules. Elle admira la décoration, arrêtant son regard sur une rose rouge qui se tenait juste en face d’elle. Si la Mage Blanche ne comprenait pas vraiment ce qu’elle faisait ici, son instinct lui dictait que c’était normal, que tout allait bien. Elle ne pouvait que le croire. Au moins, elle aurait sans doute l’occasion de discuter avec ses voisins, étant donné que son garde du corps n’était pas à côté d’elle mais à cinq chaises de là. « Ohé Aliénor ! Coucou ! » s’exclama Dagobert depuis l'autre côté de la table en la reconnaissant enfin. « J’ai eu une nouvelle carte dans un paquet ! Myriame la chèvre divine aux yeux d’argent ! » La jeune femme lui sourit.
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| | | Jämiel Arcesi ~ Alfar ~ Niveau II ~
◈ Parchemins usagés : 778 ◈ YinYanisé(e) le : 01/03/2019 ◈ Activité : Étudiant à plein temps ; Luthier en parallèle | Jeu 15 Oct 2020, 20:40 | |
| Le Dîner de l'Apocalypse Le regard de la Sarethi s'arrêta sur chacun des individus présent. Puis sur la pièce, la décoration, les meubles. Un domestique déposa une assiette de canapé sous son nez. Elle ne dit rien, dévisagea seulement le sous-fifre d'un regard en biais, avant de scruter avec insistance la nourriture. Premier constat : à l'évidence, elle n'était pas à Drosera. Donc, sûrement pas dans la demeure d'un Alfar. Les places en bout de table le lui confirmait. Sa main se porta vers la flûte devant elle. Alors elle se pinça la lèvre. Elle devait rêver. Ou cauchemarder plutôt. Un mélange des deux ? C'était en tout cas la meilleure explication qu'elle avait sous la main pour l'instant. Entre sa présence en ces lieux qu'elle ne connaissait pas, ces personnes qu'elle n'aurait peut-être pas voulu croiser tout de suite et sa tenue qui ne faisait pas partie de sa garde-robe. Un vêtement typique Alfar, certe. Mais ce n'est sûrement pas dans les friperie de Mornhîngardh qu'elle trouverai de tels habilles.
La Sarethi attrapa l'un des canapés devant elle. La raison lui clamait qu'elle ne devrait pas toucher à la nourriture qu'on lui servait alors même qu'elle n'avait pas la moindre idée de l'endroit où elle se trouvait ni chez qui elle se trouvait et plus encore en voyant que ces amuse-bouches qui semblaient avoir été préparés spécialement pour elle, comme ceux de son voisin avaient été faits pour lui. Mais les explications données la poussait au contraire. Il y avait certaines personnalités qu'elle n'avait pas envie de froisser, les Divins en faisaient partie. Aussi mordit-elle dans le canapé, laissant son palais se saisir de la douceur de la nappe de crème fraîche relevée par la fraîcheur des herbes hachées et l'acidité des lamelles de cornichons disposées sur le lit velouté. La jeune Alfar ferma un instant les yeux avant de les rouvrir en direction du Mage Noir. Puis de la Mage Blanche dont il avait la surveillance. Silencieusement elle souhaita le jour où la Comtesse Vaughan sera suffisamment forte pour tenir tête à son garde du corps être proche. La voix du jeune homme à ses côtés attira son regard. Il n'avait rien en commun avec la Magicienne. L'adolescente posa son menton sur le dos des ses doigts entrelacés, puis elle lui adressa un sourire. « Bonsoir. ». Elle n'avait pas la moindre idée de qui était ce garçon qui, lui, semblait connaître la Comtesse Vaughan. « Je m'appelle Èibhlin. Et vous ? ». Pas qu'elle en ait grand chose à faire. Mais les formules d'usage étaient inévitables. « Vous semblez bien connaître la Comtesse. Sans indiscrétion, qu'elle est votre relation ? » lui glissa-t-elle avec un air malicieux. Mots 444 Èibhlin arrive au dîner observe un peu puis parle avec Dagobert
Dernière édition par Jämiel Arcesi le Mer 21 Oct 2020, 21:03, édité 2 fois |
| | | Invité Invité | Jeu 15 Oct 2020, 21:49 | |
| « Il s’appelle Juste Leblanc. »
Et un, et deux, et trois c’est trop. Mais trois quoi ? Et bien, trois fois rien à vrai dire. Ce qui venait de se produire échappait à toute logique. D’un autre côté, il avait déjà éprouvé le même phénomène par le passé. Équivoque de par son processus laborieux, c’est la certitude d’avoir mis le pied dans un engrenage dangereux qui prit le relais. Les téléportations n’auguraient jamais rien de bon, même lorsque celles-ci amenaient à comparaître en face d’un banquet garni de fruits de mer. Et de saucissons. Cependant, en l’absence de visuel sur de tels plats appétissants, Deccio suspectait de viles machinations. Où était donc cachée la foutue crème aux marrons ? Et les apéricubes ? Oh, il en situa devant sa bouille. Autant pour lui. Il connaissait assez bien l’expression de la couille dans le potage pour reconnaître quand ça puait. Restait toutefois à trouver ledit potage et ceux qui endosseraient le rôle de couilles. L’endroit où il avait été trainé ressemblait à s’y méprendre aux descriptions que l’on puisait dans les contes. Des contes pour adulte où Tata Josianne envoyait valser la vaisselle sur tonton George ravi d’avoir pu adresser sa remarque raciste, mais des contes quand même.
Le Démon n’avait pas l’esprit tranquille, et pour cause, son radar a problèmes ne cessait de lui transmettre des signaux annonciateurs. Le temps à l’extérieur, fluctuant et orageux sembla émettre les mêmes réserves tandis qu’une petite voix lui cria « va t’en, va t’en ! » Elle était bien marrante elle, mais comment pouvait-il simplement faire machine arrière en flairant à ce point les embrouilles ? C’était plus fort que lui. Attiré tel un aimant, il fut incapable de décoller son joli fessier de la chaise. Une certaine pression pesante émanant des premiers invités, l’apprenti détective leva sa main pour saluer les convives. « Yo ! Je suppose que c’est bien ici le club des dépressifs ? Vu vos tronches, j’imagine que oui. » Une première pique pour détendre l’atmosphère, il n’y avait rien de tel. Près de cent ans de carrière dans la provocation, ça demandait un certain standing. Et une sacrée paire aussi, au vu des candidats. Certains visages lui étaient familiers, d’autres pas du tout. En tout cas, une chose est sûre, ils n’étaient pas là pour élire le délégué de classes. Une question brûla néanmoins les lèvres du Tentateur. « Vous n’êtes pas ici pour m’annoncer que vous êtes tous mes gosses, hein ? Rassurez-moi. Ça sert à rien, j’ai plus d’oseilles. J’ai tout dilapidé dans un haut de forme. Une vraie merveille. Le truc, c’est qu’il me va carrément pas. Du coup je l’ai accroché au sexe de ma statue de cire. Vous verriez ça. Une tuerie ! » L’être volubile savait aussi parler de ses passions souvent peu partagées. Il fallait bien commencer quelque part, qu’importe si ça menait droit dans le mur. Néanmoins, ses esgourdes interceptèrent une conversation qui le captiva subitement. Les yeux brillants, il chercha l’individu ayant mentionné une certaine carte.
494 mots (pfffiou. Et j'ai pas pu parlé à Dagobert en plus /sbaff) |
| | | Latone ~ Orisha ~ Niveau I ~
◈ Parchemins usagés : 2309 ◈ YinYanisé(e) le : 24/05/2014 ◈ Activité : Horticultrice | Jeu 15 Oct 2020, 22:02 | |
| " Vous appelez ça de la musique ? Apprenez à jouer avec vos doigts, pas avec vos gros orteils ! " Encore une fausse note et ils regretteront de s'être placé à côté de la cheminée, ces incapables.
Grogneuse, Latone se détourna de ce capharnaüm sans âme pour s'en remettre à l'analyse de cette table on ne peut plus originale. Elle notait d'emblée un très bon choix sur la vaisselle : suffisamment solide pour faire quelques victimes au préalable, assez chère pour supposer que les hôtes seront les dents à chaque éclat. Cela était presque gratifiant de consommer dans autre chose que du bois. Trop habituée à la vie montagnarde, la Bleue se présentait malgré elle dans une longue robe noire, brodée de contours blancs, dévoilant ses épaules plus carrées que la moyenne. Autant dire que Latone n'appréciait pas plus cette tenue que celle ayant épousée son existence spectrale durant des siècles. Rassemblée en une longue tresse sur le côté, sa masse capillaire accueillait quelques fleurs bleutées factices. Enfin, ses lèvres firent honneur à ses origines : un noir profond et dévorant.
Une œillade du côté de la Dame Rouge laissait supposée une certaine gêne à son égard. Latone ne comptait clairement pas en parler au beau milieu d'inconnus – du moins, sans spontanéité – toutefois, l'Orisha n'oubliera pas ce que la Démone lui avait fait subir, même en rêve ! Le concept même d'une réalité dans le sommeil lui donnait encore bien des tournis, d'où son incapacité à assimiler le fait qu'Aria Taiji ne se souviendra sûrement pas d'avoir, en outre, fessé la Fille des Chants. Tu te la prendras ta fessée.
Puisqu'il fallait se changer les idées, la jeune femme s'attarda sur le premier service. Beaucoup de canapés dans une si petite assiette, à croire qu'on savait qu'elle serait vorace. Pourtant, Latone ne mangeait pas si goulûment que cela ; au contraire, ses derniers jours à la caravane n'entretenaient guère son appétit. Trop de préoccupation, trop d'impatience dans ce grand corps. La Marcheuse attrapa la première distraction à la volée qui jaillit sous son nez, en la personne d'une espèce de pignouf horrifiée par un brin de peau juvénile. Sans aucune distinction, Latone se tourna bien comme il faut vers le Sorcier pour le héler aussitôt.
" Hé, t'as un problème avec sa gorge ? Vouvoyer ? Pourquoi faire ? Latone ne connaissait même pas ces gens et n'avait aucun respect à leur accorder ! Tu ferais mieux de tenir la tienne, de langue. Elle pourrait finir dans mon assiette, en tout petit cubes, comme ça. " L'illustration fut rendue grâce à l'un de ces fameux canapés qu'elle exhiba entre ses doigts avant de le croquer, carnassière. Au fond de ses iris, la flamme défiante brûlait toujours autant.
470 mots ~ Chronologiquement parlant, le défi "Latone rêve érotiquement d'Aria" est fait, d'où sa réaction
By Jil ♪ |
| | | Invité Invité | Ven 16 Oct 2020, 11:19 | |
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Les doigts de Dimitri étaient toujours fourrés dans le pelage du chiot qu’il avait recueilli la veille. Il lui fallut un temps pour sortir de ses pensées. Rosalyn avait critiqué son déisme et s’il n’avait pas vraiment compris la phrase qu’elle lui avait sortie, il avait saisi qu’il s’agissait d’un reproche. Il n’avait su quoi lui répondre, ni comment justifier exactement pourquoi est-ce qu’il pensait que tout était relié, d’une façon ou d’une autre. À présent, il avait les yeux sur chacun des convives. Les vêtements qu’il portait devaient valoir à eux seuls plus cher que tout ce qu’il possédait en biens matériels. Lui qui était normalement assez bavard écouta les explications en silence. Les dieux ? Quels dieux ? Il n’en connaissait pas beaucoup. Ses doigts continuèrent de s’agiter entre les poils du chien. Il avait sans doute été renversé par quelqu’un ou quelque chose. Sa peau était tuméfiée par endroit et il avait dû le soigner avec l’aide de Joshua. Ramener des animaux blessés dans une maison habitée par deux vampires n’était pas recommandé mais il ne pouvait pas les laisser et le propriétaire, un magicien, l’avait toujours fait. La transformation de sa fille n’y avait rien changé. Blanc comme un linge, Dimitri avait subi le baiser de sa sœur quelques heures plus tôt. Comme elle avait du mal à se réguler, elle avait tendance à lui retirer trop de sang et il se sentait encore un peu étourdi. Son cou lui faisait mal. Il releva la tête à la réplique d’un homme aux cheveux blonds. Dépressif ? Peut-être qu’il l’était un peu parfois, comme il avait tendance à prendre les commentaires pour lui et à ne pas comprendre le second degré ou les répliques formulées dans le seul objectif de provoquer. Après un instant de réflexions assez creuses, il finit par sourire. Il n’avait pas envie de rendre l’étranger mal à l’aise à cause de problèmes qui n’en étaient probablement pas. « Au sexe de ? »Le faux lyrienns avait ouvert grand la bouche. Ses yeux ressemblaient à ceux des merlans, après avoir été fris. Il avait l’âge des premiers émois et pas l’habitude d’entendre parler de ça. En toute honnêteté, il en discutait parfois avec ses camarades de classe, mais venu d’un parfait étranger, ça le choqua. Comme sa peau était claire, l’illustration de sa gêne y apparut avec d’autant plus de force. Celle-ci se renforça quand une jeune femme aux cheveux bleus apostropha un autre homme. S’il avait l’impression de connaître certains, il n’arrivait pas à se remémorer d’où est-ce qu’il avait bien pu les rencontrer. Finalement, il préféra baisser les yeux sur son guacamole, en essayant d'empêcher Truffe de lécher son assiette. Message 1 – 443 mots
Dernière édition par Tamina et Dimitri le Mer 21 Oct 2020, 10:36, édité 1 fois |
| | | Astriid ~ Ygdraë ~ Niveau II ~
◈ Parchemins usagés : 2603 ◈ YinYanisé(e) le : 03/04/2020 ◈ Activité : Empoisonneuse | Ven 16 Oct 2020, 12:23 | |
| Le dîner de l'Apocalypse
Mots 500 Èibhlin répond à Dagobert avant de répondre à Dorian avant de menacer Dorian et Faust en les entendant parler du chien de Dimitri
Dernière édition par Jämiel Arcesi le Mer 21 Oct 2020, 21:02, édité 2 fois
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