Invité Invité | Sam 04 Mar 2023, 22:13 | |
| Eris Paiberym Nom : Paiberym Prénom : Eris Parents : Nasep Paiberym et Amarilys Vassea Sexe : Féminin Taille : 1m65 Âge apparent : 15 ans Ère de naissance : Ère de la Conciliation Race : Sorcier Spécialités : - Agilité : 5 - Force : 5 - Charisme : 5 + 2 = 7 - Intelligence : 5 + 1 = 6 - Magie : 5 Métier : X Activité : Musicienne Armes : - Non Particularités : Elle aime la musique et est une fan absolue de Cyrius Windsor. Pouvoirs et gains Pouvoirs de base : - Lux in Tenebris (Metum) - La Valse Destructrice - La Magie des Runes - Contrôle des émotions - Hypnose
Gain de niveau II : - X
Pouvoirs : - X
Armes : - X
Artefacts : - Liquide cristallisé : Il s'agit de la capacité de faire prendre à un liquide la forme d'un cristal. Ce cristal pourra ensuite reprendre une forme liquide.
Formes de magie : - La Magie des Ténèbres - La Magie du Sang
Liens : - Le partage de la chair, le partage des secrets (avec Stanislav) : Pratiquer Fëry ensemble a lié vos personnages l'un à l'autre. Chez chacun d'eux, un arbre magique divin va commencer à pousser, une forme d'olivier doré. Si ce dernier donne des olives de la même couleur, celles-ci ne sont pas ordinaires. En effet, en manger une permet de prendre connaissance d'un secret appartenant à l'autre. Au fur et à mesure de la croissance des arbres, le désir qui lie les protagonistes deviendra de plus en plus grand et les olives deviendront de plus en plus abondantes. De plus, en de très rares occasions, la magie de l'olivier transformera les liés en femmes pour un temps plus ou moins long.
Patrimoine et réputation : - X
Role-play Musique/!\ Attention, ce rp parle d'inceste, d'agression sexuelle et de Sorciers. « Ne bouge pas. » Il s’agissait de trois mots. Pourtant Éris n’arrivait jamais à se soustraire à ces derniers. Quand son père les lui glissait à l’oreille, son corps s’immobilisait. Elle ne contrôlait plus rien. Son esprit avait été conditionné. Alors, il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait. Généralement, il se plaçait derrière elle, l’agrippait par la taille et commençait à frotter son bassin sur ses fesses jusqu’à venir à l’intérieur même de son pantalon. Il ne se déshabillait jamais. Il se frottait toujours. Le plus souvent, il était pressé et se « contentait » de ces va-et-vient frénétiques. Sa respiration devenait lourde, chaude et humide. Il gémissait dans son cou ou dans ses cheveux, puis la laissait là, l’abandonnant à son immobilisme et à ses larmes. Lorsqu’il faisait ça dans sa chambre à elle – la plupart du temps – elle fixait le portrait de l’Empereur Noir qu’elle avait accroché à l’un de ses murs. Elle essayait d’imaginer que c’était lui, tout en sachant très bien que ce n’était pas le cas. Elle avait fini par s’habituer… à peu près. Son père ne la violentait pas physiquement, d'après elle. Il se faisait plaisir contre elle. Ça aurait pu être bien pire, se disait-elle, comme lorsqu’il avait un peu plus de temps. Là, il la touchait vraiment, faisait glisser ses doigts dans sa culotte ou entre ses lèvres. Il l’observait, mesurait ô combien elle devenait femme. Ça le ravissait. La sienne, de femme, il la trouvait de plus en plus vieille. Elle ne s’intéressait pas à lui, trop occupée à vaquer à ses occupations. Bien sûr, elle exécutait son devoir marital mais les choses s’arrêtaient là. Elle le laissait faire ses affaires en pensant à des produits radioactifs et, une fois que c’était terminé, éprouvait sans doute l’envie de les lui étaler sur le visage. Contrairement à beaucoup d’autres femmes, il n’avait pas réussi à la conditionner. Peut-être même avait-il légèrement peur d’elle parfois. Ce n’est jamais une bonne idée d’irriter une femme qui joue avec de l’acide et de la toxine botulique comme d’autres jouent avec des balles de jonglage. Il se vengeait donc de ses frustrations sur sa fille et sur quelques domestiques et esclaves. Il jouissait également d’une position confortable à son travail, avant l’évacuation de Valera Morguis. Depuis, il attendait les instructions, en profitant de l’arrêt des expérimentations pour relire les résultats de plusieurs décennies d’expériences et pour se documenter sur la nouvelle substance que les scientifiques étudiaient : cette poussière, tirée du morcellement de la Lune Noire. La guerre récente avait presque fait oublier à la population les événements précédents. Des membres de la famille royale avaient péri à ce moment-là. Ils n’étaient pas les seuls. Des bâtiments avaient été éventrés, puis reconstruits comme si de rien n’était. Pour l’heure, la victoire écrasante des Sorciers était sur toutes les lèvres et l’homme en était fier. Ça le mettait de bonne humeur et, lorsqu’il était de bonne humeur, il allait voir Éris pour sa petite gâterie. Pour l’instant, il se contentait de frottements. Étrangement, il avait peur de la mettre enceinte. Il trouverait sans doute ça répugnant que sa propre fille portât son enfant. Mais sa répugnance ne commençait qu’aux frontières de la grossesse, pas avant. Il estimait qu’il l’avait faite et qu’elle était à lui. Elle lui devait la vie alors elle pouvait bien lui donner son corps. Il l’avait conditionnée depuis toute petite à lui obéir, d’abord pour des choses classiques puis, petit à petit, pour des choses malsaines. Il adorait la soumission, le fait qu’elle n’eût pas d’autres choix. Elle ressemblait à une poupée qui n’attendait que lui. Il était certain qu’elle voulait qu’il jouât avec elle, qu’il touchât ses longs cheveux et la déshabillât et la rhabillât selon ses goûts. Pour le moment, elle restait passive. Elle recevait. Il aurait aimé qu’elle eût davantage de fesses mais ça n’avait aucune importance, finalement. Un jour, peut-être qu’il ôterait son pantalon à lui et sa petite culotte à elle. Un jour, peut-être qu’il lui donnerait d’autres ordres que celui de rester immobile. Mais chaque chose en son temps. Il devait être patient et ne pas casser son jouet adoré. Éris avait espéré, au début, que sa mère finît par apprendre les vices de son père et qu’elle lui vînt en aide. Le jour où elle les avait surpris, elle avait cru que son calvaire serait terminé. Pourtant, après avoir fixé son mari comme elle aurait pu fixer un crottin de cheval, elle avait articulé les mots suivants : « Ne soyez pas en retard pour le dîner. » et s’était retirée. À partir de cet instant, la jeune fille avait compris que personne ne viendrait jamais la tirer de son calvaire. Si elle voulait se sortir de là, elle devrait y parvenir seule. Aussi, elle se raccrochait à ce rêve fou, celui du jour où elle pourrait arracher la queue de son père et la lui faire manger. HRP
Dernière édition par Padmë Erushaära le Sam 04 Mar 2023, 23:31, édité 3 fois |
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