| | Chasse au Konchu (pv Séléna) /-18\ | |
| |
Auteur | Message |
---|
Invité Invité | Lun 15 Fév 2016, 00:24 | |
| - Cadeau de St Valentin xD:
Séléna pinça doucement ses lèvres entre elles. Le temps lui paraissait extrêmement long. Le Réprouvé ne bougeait pas, il la regardait simplement. Elle se sentait gênée tout à coup, comme si elle regrettait un peu ses actes. Avait-elle fait quelque chose de mal pour qu'il ne dise rien ? Pour qu'il ne bouge plus ? Son regard sur elle, pourtant, avait ce petit quelque chose qui l'empêchait de partir en courant. Il la toisait de haut en bas et elle n'avait pas l'habitude d'être aussi découverte devant autrui. Elle baissa les yeux, rougissant. C'était un peu idiot après ce qu'elle venait de faire. Seulement, elle était un peu perdue. Elle ne maîtrisait rien de ce qu'il se passait actuellement. Quand elle entendit sa voix résonner, elle ne se fit pas prier. Elle préférait ça au silence et, malgré son trouble, elle voulait continuer ce qu'ils avaient commencé. Les mains de l'homme sur elle ne cessaient de l'exciter un peu plus. Il se fit plus violent, si bien qu'elle commença à paniquer, prise entre douleur et plaisir. La limite entre les deux lui semblaient si infime mais malgré la violence dont il faisait preuve, elle aimait ça. Les morsures de ses dents, recouvertes par ses baisers et la chaleur de sa langue, étaient bien vite effacées. La vigueur qui était la sienne la grisait, simplement parce qu'elle se rendait compte qu'il semblait insatiable d'elle, trop gourmand pour son propre bien. Elle aimait être l'objet de son désir et elle aimait sentir cette sensation dans son bas ventre bien que l'humidité de son entre-jambe la bouleverse. Il était à l'origine de cette réaction, c'était à cause de lui qu'elle avait chaud, à cause de lui que ses seins étaient plus lourds, que le bout de ces derniers avait pris une couleur plus foncée. Elle le voulait, lui et ses caresses, lui et ses gestes brusques. Ses doigts sous ses seins, elle inspira profondément. Elle avait cette impression étrange qui lui murmurait qu'il jouait avec elle. Ses yeux se posèrent sur le visage de l'homme pour l'observer. Elle sentait l'adrénaline la saisir, elle redoutait ce qu'il allait se passer en même temps qu'elle l'espérait. Plus que tout, elle souhaitait qu'il la touche et elle n'en pouvait plus d'attendre. Elle gémit quand sa main s'abattit sur son sein, rude, sauvage, à l'image de sa langue. Dans son esprit commencèrent à apparaître des images, des images qu'elle jugeait être des fantasmes mais qui n'étaient que le reflet d'une vie qui lui appartenait sans lui appartenir. Elle l'imaginait la plaquer contre un mur, ses mains aussi fermes qu'elles l'étaient à présent. Elle l'imaginait lui écarter les cuisses avant de venir la rejoindre brutalement.
Quand sa bouche s'écarta de la sienne, il lui semblait que ses lèvres étaient à la fois meurtries et conquises. Le regard de Shizuo la fit frissonner. Il semblait affamé. Collée contre lui, cambrée, elle pencha la tête en arrière, fermant les yeux pour laisser sa langue la goûter. Quand il arriva à ses seins, elle passa ses mains dans ses cheveux, comme si elle souhaitait qu'il ne quitte plus jamais cette partie de son corps. Ce besoin qu'elle avait de sentir sa langue sur ses tétons était incompréhensible. Elle n'avait jamais rien expérimenté de ce genre et, pourtant, elle savait que ça allait être bon. Elle frémit, se cambrant un peu plus pour lui offrir les pleins pouvoirs sur sa poitrine. Tout ce qu'elle souhaitait, qu'il la lèche, qu'il la morde, il le fit. Elle se sentait emportée par les sensations qui s'enchaînaient. Parfois, elle gémissait de douleur, d'autre fois, elle gémissait de plaisir et, bien plus que la volonté qu'il continue, son bassin cherchait le sien instinctivement. Prisonnière de l'emprise charnelle qu'il avait sur elle, elle ne pensait plus à rien si ce n'était à ses sensations et aux images qui venaient hanter son esprit.
« Ah je... ». La main de l'homme à cet endroit précis de son anatomie la fit relever la tête. Seulement, ses appréhensions se perdirent dans la phrase que prononça le Réprouvé. Devait-elle le laisser aller là ? La question traversa son esprit. Elle était mal à l'aise qu'il la touche. L'endroit était mouillé et elle se rendit vite compte qu'il était aussi bien plus sensible, gonflé de plaisir. Elle se mordit la lèvre inférieure, hésitante. Shizuo était sûr de lui, imperturbable. Ce qu'il lui promit acheva de la convaincre. Au début, c'était étrange mais elle sentit bientôt une sorte de tension qui se répercuta dans ses cuisses. C'était comme une musique qui allait crescendo. Sa respiration s'accéléra à mesure que la sensation l'électrisait. Elle n'aurait jamais pensé que... C'était nouveau, bien qu'elle l'avait expérimenté légèrement en se frottant contre son membre précédemment. Mais la chose était différente car, cette fois, elle ne contrôlait ni l'intensité ni la vitesse. Il lui semblait qu'à cet endroit là de son corps, il y avait deux sources possibles de plaisir : celle qui lui intimait de se coller à lui et celle qu'il était en train de réveiller. Bientôt, elle commença à gémir, doucement pour commencer puis de plus en plus fort, murmurant parfois le nom de son bourreau dans un souffle. Puis, arriva un moment où elle pria presque pour qu'il continue de la caresser, qu'il ne cesse pas la cadence. C'était comme si elle était sur le point d'atteindre quelque chose... c'était... presque là. Les joues rougies, l'une de ses mains descendit des cheveux de Shizuo jusqu'à son cou un peu brutalement, pour s'y cramponner. Il y avait cette raideur dans ses cuisses, dans tout son corps en réalité. Elle ne pouvait faire autrement que de se cambrer, appuyant avec ses doigts sur la peau de l'homme, de plus en plus fort alors que le son de ses cris augmentaient. Son autre main vint saisir l'un de ses seins qu'elle empoigna. Petit à petit, elle sentait que ça venait, qu'elle serait bientôt libérée de tout ceci, de la tension, de son désir, de sa folie. Son bassin venait donner des impulsions plus grandes sans qu'elle ne s'en aperçoive et elle finit par sentir ses joues s'embraser. Les lèvres entrouvertes, ses cris furent bien plus puissants, plus rauques, plus profonds, plus brutaux, la chaleur se répandant dans son corps entier. Elle se complut dans la luxure, n'en eut plus honte, souhaita un milliard d'actes obscènes de la part de l'homme, comme si un instinct plus primitif avait pris le dessus et, ce, jusqu'à ce que tout s'arrête, que la tension s'éteigne et que son corps se relâche totalement. Les cuisses tremblantes, elle ne voulait plus qu'il la touche, pas maintenant. C'était trop sensible. Elle se recula contre le tronc, sa respiration chaotique. Elle transpirait, sa vision légèrement floue. Elle se sentait fébrile et le regardait, encore sous le coup de ses émotions.
1218 mots
|
| | | Invité Invité | Lun 15 Fév 2016, 20:27 | |
| Son front se posa sur le sien. Il souri. Il pouvait deviner aisément les rougeurs du visage de Séléna, et se délecta du regard embué qu’elle lui offrait. Elle s’éveiller doucement, et il en profité pour la dévisager. En se penchant, il l’embrassa tendrement. La réalité avait toujours quelque chose de décevant, mais celle qu’il pouvait lui donner était plus sucré qu’amer. Ses doigts quittèrent son entrejambe, à regret et avec douceur. Savoir qu’il l’avait rendu si sensible, si fragile lui plaisait. La regardant à nouveau, il fit glisser ses propres doigts entre ses lèvres. Il était curieux de savoir si elles avaient le même gout. Il ricana lui même de cette idée, léchant ses doigts un par un pour les nettoyés. « Tu as bon gout. » A nouveau il se pencha, mais cette fois alla parsemer son cou de baiser éphémère pour cacher son sourire moqueur et triomphant. « La prochaine fois, je te mangerai crue. » lui dit-il au creux de l’oreille.
Zéleph avait réalisé à quel point il fut frustré quand il c’était senti soulager à la simple vue de Séléna bougeant sous ses doigts. Ses gémissements, ses cries, que des miaulements et ronronnements à ses oreilles. Délicieuse mélodie dont il n’aurait souhaité aucune fin. C’était amusant car il n’avait pratiquement rien eu à faire, elle c’était emporté et il l’avait regardé partir avec fascination. C’était comme si elle avait été possédé par le plaisir, le désir d’en vouloir toujours plus jusqu’à atteindre le paroxysme. Le réprouvé l’avait observé faire, en se délectant de son abandon. En adoration devant elle, il n’y avait pas d’autre façon de l’expliquer. Rien n’était plus excitant que de la voir de cette façon, se donner et prendre. La passion qui était en elle était déchirante, il la connaissait, mais la voir la découvrir à nouveau ça n’avais pas de prix. Zéleph avait connue la femme la plus désinhibé et brulante en Mitsuko, si Séléna n’avait que le quart de se qu’il avait connue, alors il l’idolâtrerait avec la même ferveur. Cette intensité, cette tension, jamais avant il ne l’avait ressenti. Pas même l’ombre d’une seule fois. Tout se qu’il désiré c’était retrouvé se qu’il avait perdu, même un fragment lui suffirait, désespéré comme il été.
« Tu as été parfaite. » Il envisager la possibilité, qu’une fois revenu à elle, elle le repousse et se plonge dans le déni de ses dernières minutes. Bien sur ça serait fâcheux, mais ça ne l’empêcherait pas de recommencer. Lui faire mal n’était pas un problème, la blesser un peut plus. L’entourant de ses bras, il la serra contre lui et la souleva. C’était fini pour se soir, il ne pourrait pas avoir tout se qu’il désiré d’un coup, ça ne serait même pas amusant. S’approchant de l’eau, il la posa avant de lui retiré ses vêtements, en douceur. « Tu es avec moi, tout ira bien. » Que se soit pour sa nudité ou pour se qui était déjà arriver dans cette rivière, il voulait qu’elle soit rassurée. Il voulait sur tout qu’elle ne cesse pas d’avoir confiance en lui. Retirant lui même son caleçon, il la prit pour aller dans l’eau. Elle était froide. Assez pour lui remettre certaines idées en place, pas assez pour le faire frissonner. Par contre, il savait que Séléna serait plus sensible, alors il la garda contre lui pour cette raison. Enfaite, il n’avait pas envisagé de prendre un bain de nuit avec elle pour le plaisir, il désiré qu’elle ne se sente pas mal-à-l’aise avec l’état de son corps. Lui non plu d’ailleurs n’avait pas envie de passer le reste de la nuit souillé, ni le l’lendemain.
La tenant contre lui, il fit glisser ses cheveux blonds sur une épaule, pour découvrir l’autre, et se pencha pour venir y déposer ses lèvres. « Lave toi, maintenant. » Ses bras l’entourèrent, ses mains se posant sur son ventre, il la tenait fermement contre lui, mais ne lui empêcher aucun mouvement. Zéleph essayait simplement de calmer ses propres désires et pensés. Ses mains étaient sages, caressant presque distraitement sa peau sous l’eau. Ses baiser étaient doux dans son cou, sur son épaule, par fois même sur sa clavicule et son menton. Il apprécier le moment, en oubliant presque se qu’il était supposé faire à l’origine. En ouvrant les yeux, il vit un reflet dans l’eau. Subitement il se redressa et jeta un regard derrière lui. Presque sous le choque, il resta à fixer le vide incertain. Il était persuadé d’avoir vue son visage dans l’eau. Le reflet de sa mère lui souriant. Zéleph sentait son rythme cardiaque s’accéléré. Il ne devait pas oublier certaines choses. Plus tendu, il revint à sa position initiale, mais cessa toute caresse et baiser. Il était préoccupé. Sa mère l’observé, il n’en douté pas, mais… pourquoi ne s’adressait-elle plu jamais à lui ? Que devait-il faire maintenant ? Il posa son menton sur la tête de Séléna en soupirant, resserrant son étreinte. Il avait besoin de quelqu’un, mais il n’ignoré pas que Séléna n’était pas à la hauteur pour ça. Si elle devait subir ses folie, elle en mourrait.
|
| | | | Chasse au Konchu (pv Séléna) /-18\ | |
|
Page 2 sur 2 | Aller à la page : 1, 2 | |
Sujets similaires | |
|
Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |