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 Le mystère n'est plus, ne demeure que la cruelle vérité - Event août n°5 solo

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Jeu 03 Sep 2015, 20:39

Un chant mélodieux résonnait aux oreilles d'Alaster. Il fixait le ciel, et la foule autour de lui semblait n'avoir aucun pouvoir sur sa personne, aucune ascendance. Le Déchu était étalé sur la plage et, curieusement, il y avait ce son, cette mélodie qui l'apaisait. Il était sans doute le seul capable de l'entendre et il se doutait, quelque part, qu'il était dû à la créature des océans qu'il avait aperçu plus tôt. C'était comme irréel, comme si sa voix douce et mélodieuse retentissait dans son esprit, rien que pour lui. Que signifiait les paroles ? Il n'en avait strictement aucune idée. Cela lui semblait semblable à cette étrange missive qu'il avait reçu un peu plus tôt, une lettre à l'écriture arrondie et élégante. Il n'avait pu la déchiffrer mais l'avait gardé pour une raison mystique. Elle l'inspirait de par ses mystères, tout comme les notes qu'il écoutait. Elles avaient comme le don de le faire voyager. Il n'entendait plus les conversations des hommes, il ne voyait plus les morceaux du navire qui s'étaient éparpillés sur la plage. Tout ceci n'avait plus la moindre importance. Il pensait à cette femme, à sa chevelure de jais, à ses lèvres et, surtout, au regard qu'elle lui avait lancé. Sans doute encore sous le charme, il était très loin de l'objectif qu'il s'était fixé en venant ici, sur le Continent Mystérieux.
Je crois que nous ne sommes pas là où nous pensons être... dit un homme en observant un peu le paysage. Leur bateau avait réellement souffert après l'attaque des créatures marines et tous ici avaient été rassurés en voyant la terre apparaître soudainement, comme un signe des Ætheri. Ils avaient tous cru qu'il s'agissait du Continent Mystérieux parce qu'ils faisaient route vers celui-ci avant l'attaque. Cependant, après quelques minutes sur la plage, il leur semblait qu'ils s'étaient tous fourvoyés.
Alaster, quant à lui, se fichait royalement des discussions. Il était toujours sous emprise, fixant le ciel avec un sourire doucereux. Il n'avait même pas envie de dormir, chose étonnante. En empruntant la position couchée, normalement, il plongeait dans les bras de l'inconscience presque instantanément. Là, il était ailleurs, dans un état second qu'il ne contrôlait pas et qu'il ne cherchait pas à contrôler non plus, totalement passif.
Où sommes-nous alors ? demanda un autre homme qui, à son ton, ne paraissait plus réellement sûr de vouloir entendre la réponse. Tous ici avaient vécu des heures sombres. Beaucoup étaient blessés, mais ce n'était rien par rapport au nombre qui avait péri dans la colère de l'océan, dévorés par les bêtes, broyés par les vagues. Les hommes ne souhaitaient plus se battre, juste entendre que leur calvaire s'arrêtait ici. Pire que tout, ils avaient réellement cru être sur le Continent mystérieux, une terre promise puisqu'elle ne tremblait pas. Le fait qu'il puisse exister la possibilité d'un ailleurs avait de quoi transformer le rêve en cauchemar encore plus affreux que le précédent qu'ils avaient vécu.
Par déduction... je dirai Tælora murmura le premier, sans doute le plus instruit de tous sur ce qu'il se passait actuellement dans le monde.
Tælora ? répéta un autre, pas tout à fait sûr de comprendre. Il ne s'y connaissait pas plus que cela en géographie puisqu'il ne s'occupait que de l'entretien du navire, mais jamais de son vivant il avait entendu ce nom là.
C'est une terre encore peu connue mais je crois avoir entendu que les Sorciers s'étaient battus avec une autre race pour l'atteindre.
Mais... Elle n'est nulle part sur les cartes, j'en mettrais ma main à couper dit une femme qui avait pour habitude de naviguer. Le capitaine, quant à lui, était resté silencieux depuis le début de la discussion. C'était lui l'homme fort ici et il ne faisait aucun doute que si combat il venait à y avoir, il y survivrait. C'était un homme grand, semblant taillé dans de la pierre et ayant comme ressource la force de l'âge. Il n'était pas jeune, ni vieux, mais assez âgé pour avoir de l'expérience et pas trop pour que son corps en pâtisse. Pour le moment, il fixait simplement l'océan d'un œil expert, prenant sans doute note de la météo, de la position des nuages et de ce qu'ils auraient à affronter d'ici quelques instants.
L'île est apparue de nulle part, dit-on. Je ne sais pas si elle a toujours été là ou non. Tout est possible. Elle a très bien pu être protégée par magie des regards trop inquisiteurs jusqu'ici, répondit l'homme qui était certain qu'il s'agissait de Tælora.

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Jeu 03 Sep 2015, 23:19

Sebastian ? questionna l'un des marins avec lequel le Déchu de la colère avait sympathisé grâce au combat contre les créatures de l'océan.
Hum ? fit l'intéressé en levant les yeux vers lui. Contrairement aux autres hommes, celui-ci ne semblait pas admirer la jungle épaisse mais plus les vagues qui se jetaient sur le bord de la terre. Quelque chose par là bas le préoccupait... mais quoi ?
Est-ce que c'est normal que ton ami se dirige droit vers l'océan pour rejoindre une créature semblant venue des cieux ? La question avait été posée avec un calme étrange, comme si, finalement, celui qui l'avait émise ne se sentait pas réellement concerné par la situation. Axom était ainsi, un homme qui pensait que chacun était assez grand pour vivre sa vie comme il le souhaitait. Du moment que son chemin lui plaisait, il ne s'occupait pas de celui des autres. Il se contentait de faire des commentaires sur tout, avec une voix monocorde, un peu semblable à celle d'Alaster en réalité. Le fait est que, lui aussi, était un Déchu de la paresse. Il analysait, mais il ne fallait pas compter sur lui pour bouger le petit doigt, sauf dans de rares cas où il se piquait pour s'injecter une drogue de sa confection. Ce simple geste lui donnait la force de deux hommes, chose que Sebastian avait pu voir plus tôt, lorsqu'ils étaient encore sur le bateau. Mais, à présent, Axom se contentait de montrer du doigt l'homme en question, qui s'approchait dangereusement du bord. Le sang du Déchu de la colère en fit qu'un tour.
Alaster ! s'écria-t-il à pleins poumons. S'il avait simplement fallu proliférer son nom, les choses auraient été bien plus faciles. En réalité, ça n'eut aucun effet, le Déchu continuant à avancer dans l'eau. Pour comprendre, il faut revenir un peu en arrière. Le paresseux, sur le sable couché, était en plein extase, écoutant le chant de la Sirène. Il n'était pas le seul à l'entendre parce que le son était imaginaire, non, il était le seul à l'entendre parce qu'elle ne chantait que pour lui, dans son esprit, par télépathie. Il était facile de percer les rouages de cet esprit, souvent plongé dans une fatigue extrême, facile pour une Sirène expérimenté tout du moins. Alaster ne savait pas ce qu'elle lui voulait. Peut-être souhaitait-elle simplement le dévorer mais le chant rendait cette optique attrayante malgré tout. L'état second qu'elle lui faisait endurer avait le don de transformer les cauchemars en rêve. Il avait finis par se lever, constatant la présence de la belle Ondine au milieu de l'eau. Les vagues s'étaient un peu calmées dans son sillage et il lui semblait qu'elle l'appelait. Voulait-elle lui faire découvrir les fonds marins ? L'on disait qu'en dessous de l'océan, il y avait des cités à couper le souffle. Aussi, le Déchu ne chercha pas plus loin. Une magnifique femme, de somptueux paysage à découvrir : il ne pouvait se l'interdire. Soudain, quelque chose le plaqua au sol, lui faisant boire la tasse sans qu'il ne comprenne rien. Sebastian n'avait pas attendu, il était passé à l'action, voyant son ami totalement obnubilé par cette femme. L'Ondine, surprise, fixa le Déchu avec une forme de colère avant de sauter dans les profondeurs, ne laissant comme dernière vision que sa queue nacrée. Relevant Alaster, le colérique vérifia qu'il allait bien. Il était blessé ici et là mais ces coupures et entailles n'étaient dues qu'au naufrage.
Sérieux vieux ! C'est la deuxième fois qu'elle te fait le coup et toi, tu ne marches pas, tu cours ! Après un silence, il finit tout de même par rire. Il avait évité le pire. Pourtant, l'intéressé semblait encore dans un autre monde. Il n'était plus sous l'effet de la Sirène mais elle lui avait laissé une drôle d'impression.
Je ne sais pas Sebastian... C'est comme si elle avait essayé de me dire quelque chose, dit-il en regardant le blond dans les yeux.
Ha ha ! Je pense qu'elle a surtout voulu te noyer. C'est ça avec les femmes. Elles te regardent, tu penses qu'elles ont quelque chose à te confier et hop, elles finissent par te passer la corde au cou plaisanta-t-il.
Tu ne peux pas le savoir, tu ne fréquentes que des prostituées.
Au moins, avec elles, pas de soucis ! Je fais mon affaire et je rentre chez moi, sans me prendre la tête. En réalité Sebastian avait un vécu plus noir que cela. Il avait tué sa femme dans une crise de colère et, depuis, il était incapable de se reconstruire dans l'intimité. Il n'avait pas fait son deuil et sa culpabilité le rongeait petit à petit.

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Jeu 03 Sep 2015, 23:56

Le capitaine avait fixé la scène sans rien dire, son cœur vaillant ne pouvant subir la peur aussi facilement. Il semblait calme mais ce n'était pas le cas de la plupart des hommes qu'il avait autour de lui. La plupart d'entre eux étaient, au contraire, agités, perturbés.
C'est une fille de l'océan ! L'une de celles qui nous ont attaqué plus tôt ! Là elle est venue seule mais peut-être va-t-elle aller chercher ses semblables ? commença un marin. Et puis... au bord de l'eau comme ça, nous n'aurons aucune chance si elles reviennent pour nous attaquer de nouveau ! Nous avons perdu trop d'hommes... Regardez-nous, nous sommes à bout de souffle.
C'est vrai que faire des réparations maintenant alors que nous risquons tous d'y passer... articula mollement Axom. Mais, pour le Déchu, il ne faisait aucun doute qu'il valait mieux rester ici, tout simplement parce que bouger lui demanderait trop d'efforts. Peu avant le sauvetage d'Alaster, le capitaine avait décrété qu'il valait mieux réparer le navire pour repartir le plus tôt possible. La prestance de l'homme avait fait en sorte que l'approbation soit complète. Depuis, il était allé chercher sur le bord de la plage de quoi consolider le bateau avec deux ou trois autres hommes. Il n'était donc plus là pour maintenir la discipline et l'unanimité chez l'équipage de fortune. Avec l'apparition de la Sirène, les croyances et peurs des marins s'étaient réveillées, plus fortes que jamais. Certains, pourtant, ne pouvaient envisager de désobéir aux ordres donnés.
Le capitaine a dit que nous devions réparer le navire. Il n'y a pas à discuter plus.
Réparez ! Moi je m'en vais ! Chacun sa vie et je préfère tenter ma chance dans la jungle que sur le rivage ! Vous tous... vous avez vu ce qu'elles nous ont fait, non ? Alors je ne vous comprend pas... Comment vous pouvez rester ici ? Elles vont venir vous chercher et vous dévorer ! finit-il avant de tourner les talons. Le groupe n'approuvait pas mais, finalement, chaque homme présent ne pouvait pas vraiment lui en vouloir. Ils comprenaient l'idée. Le problème c'est que le capitaine était le chef, celui qui prenait les décisions et il avait bien plus d'expérience que tous ici réunis. S'il ne souhaitait pas découvrir les lieux, lui un expéditeur aguerri, c'est qu'il y avait une raison. Les hommes se mirent donc au travail, l'un d'eux tapotant l'épaule d'Alaster une fois que Sebastian et lui furent revenu près d'eux. Le Déchu de la paresse soupira. Il avait commencé à sécher, étendu sur le sable, mais, à présent, il était de nouveau trempé de la tête aux pieds. Le sel de l'océan avait rouvert la douleur de ses blessures qui, à présent mordait ses chairs. Il trouva tout de même quelque chose à faire, même s'il le fit de façon assez désinvolte. Il commençait à être fatigué. Néanmoins, après quelques minutes, un cri d'effroi retentit. Tous ici reconnurent la voix de celui qui venait de partir et tous surent instantanément qu'il lui était arrivé quelque chose de grave. Cela se ressent dans l'intonation, dans la façon de crier, c'est instinctif. Alaster tourna son regard vers la jungle, s'approchant de Sebastian.
Je pense qu'elle souhaitait me dire de ne pas m'aventurer par ici... Peut-être qu'elle voulait que je parte de cet endroit au plus vite... articula-t-il en chuchotant. Le Déchu de la colère, lui, pensait que son ami se fourvoyait mais, pour la forme, acquiesça tout de même. Son commentaire était loin d'être idiot, bien qu'il doute que la Sirène ait voulu lui épargner quoi que ce soit. Cependant, Tælora n'était pas un endroit sûr, ils venaient d'en avoir la preuve.
Il... il faut aller l'aider... murmura un homme, comme s'il se parlait à lui-même. C'était délicat car après le cri qui avait percé les épais branchages, personne ici ne pouvait savoir si l'intrépide était encore vivant ou non. Le capitaine surgit, essoufflé, la chemise sur une épaule. Torse nu, l'aura qui se dégageait de lui était encore plus importante. Il était revenu en entendant le bruit. Il ne lui fallut qu'un coup d’œil pour comprendre qu'il manquait quelqu'un.
Nous partons dans la forêt, tout de suite ! décida-t-il d'une voix forte. Nous avons un code d'honneur : nous ne laissons personne ! Vous auriez dû l'appliquer quand cet abruti a décidé de faire bande à part ! Maintenant, nous en paierons tous les conséquences. Mais s'il est vivant, nous le trouverons, je vous le garantis !

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Ven 04 Sep 2015, 00:29

Alaster s'était mis à courir, et le fait qu'il court était déjà un gros indice de la situation dans laquelle ils étaient. En réalité, ils n'étaient plus que cinq : le capitaine, Sebastian, Axom, un homme dont il ne connaissait pas le nom et lui. Le reste de l'équipage avait commencé à disparaître au moment même où ils étaient entrés dans la jungle, certains en silence, d'autres de façon plus bruyante. Le problème c'est que l'ennemi n'avait pas qu'un visage et, malheureusement, n'était pas toujours visible. Au début, ils s'étaient fait attaquer par une bande de créatures difformes et poilues. Cela aurait pu ressembler à des Béluas monstres mais ça n'avait aucune once d'humanité. La bestialité dominait ainsi que la cruauté, une cruauté sauvage et impitoyable. Alaster n'avait survécu qu'à cause de sa position. A ce moment là, il était en fin de file, traînant les pieds lentement en touchant doucement les feuilles et les lianes, comme s'il s'agissait d'une balade de santé. Pourtant, il avait conscience de la gravité de la situation ; c'était son corps qui ne voulait rien entendre. Son esprit était fatigué et il ne pouvait rien lui demander. Alors, quand les combats avaient commencé, en avant, il n'y avait pas participé. Les créatures avaient décimé deux hommes mais, devant les représailles de l'équipage, avaient fini par battre en retraite, emmenant néanmoins leurs victuailles avec elles. Le mal n'avait été que minime et l'on pouvait lui donner une cause, mettre un visage sur ce dernier. Le chemin avait été plus calme après ça, du moins, un certain temps. Le soucis c'était qu'ils avaient dépassé depuis longtemps la position approximative du cri qu'ils avaient entendu. Avait-il continué ou avait-il subi le même sort que ses camarades ? La question persistait, tout comme les pensées d'Alaster vis à vis de la Sirène.
Je pense que nous devrions partir, soupira-t-il. Il n'était pas bien, son péché prenant le dessus. Avancer était une véritable corvée. Sebastian tapota son épaule pour l'encourager sans rien dire pour autant. Ils étaient tous dans la même galère. Le combat avait été rude et le capitaine avait à présent une balafre sur le torse. Celui-ci comportait déjà un grand nombre de cicatrices qui prouvaient qu'il était un grand combattant. Il en avait vécu, des guerres, des duels, des défis. Pourtant, il était encore debout, devant eux, continuant à suivre un chemin qu'il créait de la lame de son sabre. Après quelques minutes, aucun autre événement néfaste n'était survenu, si bien que certains hommes se plurent à faire des plaisanteries, l'espoir de survivre les gagnant de nouveau.
J'ai hâte de dire à ma femme que j'ai foulé une terre nouvelle ! Je vais l'appeler Grégoire ! Tælora, je trouve ça bien, mais Grégoire sonnerait beaucoup mieux ! Il rit doucement, son rire résonnant comme un écho sur les lèvres de ses camarades.
Excuse-moi mais Sebastian me semble beaucoup mieux, renchérit le compagnon d'Alaster. Lui-même esquissa un sourire. Ce fut approximativement à ce moment là que les choses se gâtèrent. Le Déchu de la paresse n'était plus à l'arrière, entraîné par celui de la colère à rejoindre le milieu de la troupe. Un cri retentit, ainsi que des bruits étranges. Ces bruits, c'était ceux du malheureux qui essayaient désespérément de résister à la force inexplicable qui le tirait par les pieds en arrière. Ce n'était pas un ennemi à proprement parler... On aurait dit que la jungle était vivante. Que chaque liane, chaque plante, se liguaient contre eux. Les rangs de l'arrière furent vite décimés, les hommes attirés dans les entrailles de la terre qui les dévora, renfermant en elle leur corps et leurs gémissements de douleur et de peur. Ce fut à cet instant qu'Alaster comprit qu'il fallait courir. Le capitaine essaya bien de lutter mais il ne pouvait rien faire, seul face à cette jungle épaisse. Était-ce un mauvais sort lancé par un Sorcier ? La possibilité était tentante mais ils n'avaient pas le temps de vérifier. L'homme à la prestance imposante décida que oui, la seule solution était la fuite. Il n'avait pas de fierté mal placée. Il connaissait le danger et reculer face à une menace trop grande était un signe d'intelligence. Ils couraient donc, tous, à perdre haleine, les hommes tombant un à un comme des quilles sous l'effet d'une balle puissante. Arrivé à un point, le Déchu de la paresse s'arrêta, d'un même mouvement que les quatre hommes restant. Elle... elle était là, la Sirène de tout à l'heure, nue, magnifique. Elle sourit, étrangement...

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