Kohei ne put s’empêcher de jeter un regard à ses arrières, par pur réflexe, comme s’il espérait pouvoir voir comment Aëran se débrouillait de son côté. Mais ce n’était pas le moment de baisser sa garde, d’autant plus qu’il lui fallait prêter une attention toute particulière aux Elfes que sa race semblait désirer voir périr dans cette attaque. Si Kohei ne succombait pas actuellement à ses pulsions meurtrières, il serait en train de réfléchir bêtement aux multiples raisons qui le poussaient à se battre ainsi et en perdrait sa concentration. Le côté raisonné de Kohei avait vraiment de quoi se poser des questions. Il ne savait pas tellement pourquoi il prenait part à cette bataille. Kohei n’avait aucune haine pour les autres races, même s’il ne les portait pas en son cœur. Il ne cessait pas de se dire cela. Et pourtant, en toute gratuité, il essayait de tuer ces êtres sylvestres. Et puis… que dirait Mircella ? Mais l’Elfe noir esquissa un sourire. Qu’est-ce qu’on s’en fichait alors ! Du moment qu’il y avait de quoi se battre ! Qu’il y avait de quoi nourrir sa soif de sang et de souffrance ! L’idée même d’aider les siens le réjouissait à un point inimaginable. C’était le plus beau cadeau qu’on pouvait lui offrir. Se rendre utile, tout en y mêlant le plus gros plaisir de sa vie.

Mais ses flèches avaient du mal à atteindre leur cible. Et la patience se perdait. Le blond avait juste envie de se jeter dans la bataille, de causer des blessures de manière bien plus directe, et d’arrêter de perdre son temps à viser. Ses mains en tremblaient. L’Alfar n’en pouvait plus de devoir répeter inlassablement chaque actions nécessaire pour décocher une simple flèche. C’en devenait insupportable, lui qui désirait juste bouger. Mais son regard fut soudainement arrêté sur une présence plus qu’énigmatique. Il crut apercevoir deux anges au loin, mais ne comprit pas pourquoi ils étaient là. Des renforts pour les Elfes ? Et si c’était le cas, il ne savait pas si cela le frustrait où s’il trouvait cela ridicule. Mais pourquoi ridicule ? Il n’en savait rien. Peut-être qu’il le pensait parce que justement il était frustré. Ha ha. L’Alfar ne savait vraiment pas où donner de la tête. Tout le rendait facilement irritable. Il sortait de ses gond pour n’importe quoi, juste parce qu’il n’arrivait pas à se battre correctement tant qu’il utilisait son arc. Il le replaça alors dans son dos, nerveusement, et dégaina d’une traite son épée qu’il avait bien l’intention de salir avec le sang de ces êtres ailés qui n’avaient pas leur place ici. Kohei ne voulait vraiment plus voir aucun étranger à Drosera. C’en était trop.

Discrètement, il se glissa à travers le feuillage de la forêt, arme à la main, et une fois à portée d’attaque, sans crier gare, il en attaqua un des deux, le regard froid et le geste impulsif, comme pour compenser la frustration d’avoir dû être discret. Il rêvait de crier sa hargne envers ces personnes, mais garda résolument son calme. Pourquoi même ces anges venaient ajouter leur grain de sel ? Cette histoire ne concernait que les Elfes et les Alfars. Et dire que Kohei était juste venu par curiosité… Finalement, tout l’avait refroidit. Surtout de voir les siens mourir encore… Son visage se crispa dans un rictus abominable. Il perdait le contrôle, et voulait tuer un maximum de personne, en particulier les Elfes, mais ceux-ci semblaient comme… Intouchables. Ils avaient même totalement disparut de sa vision, sous sa surprise. Les statues avaient arrêté d’attaquer, et des Alfars tombaient, et dans leur morts, de la verdure s’épanouissait dans la sombre forêt. Cette vision était insupportable. Toutes ces présences, ces morts, tout était en train de souiller la forêt des murmures. La lame de Kohei s’abattit lourdement sur l’ange face à lui. Il était tout simplement hors de question qu’il lui échappe, mais ce combat lui posait toutefois des problèmes. Rien n’était plus déplaisant qu’un adversaire qui ne se faisait pas blesser rapidement. Un autre Alfar venait de tomber. Et Kohei avait vu d’où venait la flèche. Pris d’une rage indescriptible, il coinça le garçon dans des ronces qui jaillirent du sol, le temps de détacher son attention, et dégagea les buissons d’épines qui se trouvaient entre lui et la source de l’attaque. Mais rien. Il ne voyait rien. Les Elfes devaient être invisibles… Ce n’était pas possible autrement. Puis, un tremblement se fit sentir. Une des statues se remettait à attaquer mais ne visaient aucun Elfe. Plus rien avait de sens.

On attaqua furtivement le blond. Une flèche vint se loger dans son épaule. Un gémissement de louleur s’arracha de ses lèvre tandis que la rage lui dictait de retirer violemment la flèche. Un elfe ! Il voyait un Elfe ! Son épée blessa l’ennemi au flanc, causant une assez profonde blessure, sans pour autant sembler dangereuse. Kohei avait visé le coup mortel, mais l’être sylvestre l’avait esquivé de peu. L’Alfar ne savait plus quoi faire. Ses ennemis semblaient anormalement résistants, et il ne supportait pas cette idée. Il observa l’Ange, puis l’Elfe simultanément. Il s’était lancé dans deux combats ardus. L’Elfe riposta à son tour, plantant une dague dans le bras de Kohei qu’il avait dressé par pur réflexe pour parer l’attaque. Une douleur vive se fit ressentir, et le sang coula à flot, tandis que le blond se mit à rire d’une manière incontrôlée. Un rire nerveux. Tellement nerveux. La colère et la rage insatisfaites le rendait fou. Il balaya sa lame sur l’Elfe d’une façon totalement imprévisible, puisqu’il semblait accaparé par la douleur et ses rire bisarre, et parvint à le blesser grièvement, au point de le faire tomber à terre. Kohei avait de ce fait totalement perdu notion du danger, et ne se faisait même pas à l’idée que l’Elfe pouvait se relever à tout moment. Il se dirigea alors machinalement vers le garçon des cieux, et lui murmura, le sourire dérangé et les yeux fourbes : « A ton tour. » Tout ce qui arrivait le mettait hors de lui. Ces Elfes devaient mourir.

1000 mots

Résumé :

Resume:

Les flèches ricochaient sur les armures naturelles des Elfes, ou se plantaient sans les toucher. J’essayais, tant bien que mal, de mettre à profit leurs faiblesses, et je me maudissais de ne pas contrôler le feu pour pouvoir enflammer ces foutues flèches inutiles. Certains furent blessés, d’autre tués, j’arrivais néanmoins à atteindre quelques épaules, érafler des visages, mais rien de bien extraordinaire. Près de moi, Kohei tremblait d’impatience, tandis que je ne souhaitai pas entrer dans un combat rapproché, qui me mettrait en position de faiblesse. Je le vis tout bonnement s’éloigner, et ce fut tout naturellement que je gardai un œil sur lui.

Il ne fallut que quelques minutes pour que les ennemies retournent la situation à leur avantage. La statue fut aveuglée, tandis que les elfes disparaissaient un à un dans la nature. Reculant, me plaquant contre un tronc, j’écoutais les feuilles et des blanches se briser sous leurs pieds invisibles. La statue quant à elle, visait n’importe où, et je dus changer d’arbre à mainte reprise pour ne pas mourir sur le coup. Le sol fut rapidement recouvert de fleurs dès qu’un Alfar mourrait par l’épée, repéré par l’ennemie en un rien de temps.

Je voyais de loin Kohei, toujours emporté par une colère sombre, n’essayant même pas de se protéger des ennemies maintenant introuvable. Soufflant, je me demandai ce qui m’avait attiré à lui, sans doute son comportement enfantin y été pour quelque chose, mais un jour ou l’autre, son impatience le tuera. Fronçant des sourcils, je ne pouvais le rejoindre sans me dévoiler, et je serai des points à m’en faire saigner. *Quel abruti !* Une pensée qui restait bien enfouie, même si je n’allais pas manquer de lui en faire part après être sortie vivant de ce foutoir.

Tapant du poing sur le tronc, je dégainai une flèche vers la femme qui attaquait maintenant Kohei, dévoilant alors ma position. Aussitôt, je me téléportai près de lui, et déboitai un coup de pied dans le visage de celle-ci, dont le genou était à terre. Tirant l’Alfar à moi, je le poussai pour qu’il coure, dégainant un jet de ronces pour repousser d’éventuels Elfes invisibles, raclant au passage la femme. « Téléporte-toi ! » fis-je tout en n’attendant pas sa réponse pour disparaitre et apparaitre plus loin.

Ma respiration s’était affolée, et je portais ma main sur ma bouche pour la faire taire. Je sentais que ma magie avait nettement diminué, et que j’aurais dorénavant du mal à en faire l’usage. Serrant la mâchoire, j’avais tout bonnement envie d’écraser mon poing sur les pommettes de cet imprudent. Kohei avait vraiment le don de m’énerver, j’avais l’impression d’avoir affaire à un gamin capricieux et impulsif, comme ici. Son impatience grandissant, ne pouvant pas supporter cela, il c’était jeté dans la bataille sans même réfléchir.  Soufflant tout en écoutant les bruits alentour, je ne daignai même pas regarder si l’Alfar s’était téléporté. Je ne comptais pas y aller une deuxième fois, et s’il s’avérait qu’il était en difficulté, et que je le voyais, nul doute que je regretterai de l’avoir abandonné.

Mon attention se reporta sur la statue, maintenant aveugle, ou du moins, ne faisant plus attention aux ennemies et aux alliés. J’osai un coup d’œil, mais je ne voyais pas comment régler le problème, et de toute évidence, je n’étais pas là pour ça. Les Alfars s’étaient attaqués à plus fort que cette fois-ci, où c’était jeté dans une bataille à l’aveuglette, sans savoir vraiment à qui ils s’attaquaient. Je me demandai si les Amarantes avaient quelques choses à voir avec ça, les Alfars n’ayant pas besoin d’eux pour se jeter dans une attaque-surprise contre des étrangers, des Elfes de surcroit. Là n’était pourtant pas la question, étant plutôt : devions-nous rester, et donc croire à une victoire, ou partir, la défaite étant imminente ? C’était une très bonne énigme, puisque pour le moment, nous étions dans un sale pétrin, nous étant nous-mêmes embourbés dedans. Voilà une chose à laquelle il fallait dument penser… attaquer des elfes, en étant sûre de gagner, voilà une pensée qui les a surement perdus. Le plus dérangeant étant que les Elfes allaient surement raconter tout cela de retour sur leur territoire… et même si tous meurent, nul doute que nous serions les premiers suspects.

Soufflant, j’avais presque perdu la notion du temps, plaqué contre un tronc, à attendre que le moindre craquement ou mouvement ne se fasse percevoir, pour abattre ma lame sans plus de questionnement.

752

Résumé:

Neah eut le reflexe de mettre sa main sur sa dague et de la saisir pour empêcher une lame meurtrière de lui fracasser le crâne. Coinçant cette dernière dans sa haute croisette, il eut peine à la maintenir au-dessus de lui, le temps que son adversaire se recule pour la libérer de son emprise. L'Ange n'eut pas le temps de se ressaisir et de regarder son assaillant de plus près, que son arme vint à nouveau fendre l'air devant lui, le faisant reculer pour esquiver. N'étant pas très adroit devant un caillou, son talon prit la décision de le faire chuter au sol. Ce genre de chose avait vraiment tendance à lui courir après ! Le voici désormais à la merci d'un combattant qui commençait à usé de sa magie pour mieux le dominer ; des ronces surgissaient du sol tels des serpents, Neah tentait de se débattre, mais plus elles se refermèrent sur lui, plus la douleur s'emparait de son corps, écorchant ses vêtements, faisant paraître du sang. Sa blessure au bras, due à la flèche, lui fournissait un flux de douleur supplémentaire. Un cri retentit à ses oreilles. Et ensuite, un silence mortel s'abattit sur le monde durant un instant. Il entendit quelqu'un les sommer de quitter leur cachette, suivit d'un son mat. Neah n'osait plus bouger, peu lui importait que sa position soit inconfortable, mieux valait ne pas se blesser inutilement. Observant l'Alfar de dos, tandis qu'il s'attaquait à des pauvres buissons, l'Ange tentait de le raisonner ;

— C'est du délire, bon sang ! Il faut que vous arrêtiez cette folie !

Une flèche vint achever sa phrase en heurtant son adversaire à l'épaule, tandis qu'un être sylvestre surgit de nulle part pour venir l'aider - ou tout du moins, exécuter son ennemi mortel - la magie adverse se relâcha et Neah put se libérer en gesticulant. Une fois libéré de ces saletés de ronces, l'Ange se saisit alors de son fauchard, prêt à répliquer en compagnie de l'Elfe, même s'il aurait aimé ne pas arriver à de telles extrémités. Que faire ? Qui faisait quoi au juste ? A vrai dire, il ne faisait plus attention à quoi que ce soit aux alentours depuis un moment, à force de vouloir se sauver la vie. Il avait surtout l'impression de ne pas être présent et de combattre quelqu'un. Comment pourrait-il seulement le croire ? Il fut ramené à la réalité quand l'Elfe, qui était vraiment agile, venait de planter une lame dans le bras de leur assaillant qui hurla de rage. Observant sans réaction ce même adversaire, si fourbe, envoyer valser à terre un Elfe brusquement désorienté. L'Alfar se retournait lentement vers lui, les yeux fous, appelant le sang et de le menacer de la pointe de sa lame. Neah redressa son fauchard, pointant sa lame dans la direction de ce dernier. Son corps tremblait légèrement, il savait cet adversaire plus puissant que lui, mais il ne pouvait plus reculer, désormais !

— Je t'attends !

Non. Il ne l'attendait pas du tout, mais avait-il le choix ? Ils se dévisagèrent plusieurs secondes avant qu'une autre flèche ne vint interrompre cet échange silencieux - elles adoraient surgir de nulle part, frappant au hasard. L'Ange tourna son visage pour observer l'autre personne qui voulu lui venir en aide, mais elle fut elle-même blessée avant de se retrouver prise au piège par un autre Alfar qui lui décocha un coup de pied en pleine tête ! Neah restait bouche bée face à un acharnement pareil. Il se rendit compte que le fracas des armes résonnait dans la Forêt des Murmures, la nature muette laissait place à la folie des Alfars et des Elfes qui s'entredéchiraient en ce lieu autrefois calme. Son oreille fut dérangée par le son de pas lourds, d'autres combattants elfiques s'approchaient d'eux, ce qui était à la fois une bonne et une mauvaise nouvelle - il serait aidé, mais d'autres Alfars périraient. Rapportant son attention sur son ennemi, il le fit parlementer une fraction de secondes avec cet autre Alfar, qui disparu aussi subitement qu'il était apparu. Les bruits des lames se heurtant redonnait une goutte de courage à l'Ange qui, reprenant constance, fixait l'adversaire qui lui faisait face avec plus d'intensité, une lueur de défi dans le regard. Tenant plus fermement son arme, Neah plongea son regard dans celui de son adversaire ;

— Que décidez-vous ?

Oui, que décidait-il, celui-là ? De fuir et de sauver sa vie comme son camarade, ou de le combattre pour périr ensuite ? Non, l'Ange ne se vanterait pas de savoir lui coller une belle trempe, mais les Elfes n'étaient plus si loin d'eux et nulle doute que ces derniers ne lui laisserait pas la moindre chance.

788 mots

Résumé III:

Il avait simplement quitté la ville suite à l'atmosphère qui avait changé, je ne pouvais pas le nier. Il était vrai que l'ont avaient sentit qu'il n'était plus bon d'y rester. "Je préfère les suivre, je crains qu'il ne leur arrivent quelque chose. À la limite, je trouve que c'était trop calme après leur départ, c'était comme si... comme s'ils attendaient quelque chose." Mon regard se porta alors sur eux et sur les alentours, c'était vraiment étrange comme sensation, j'espérais que je m'étais fait des idées, mais j'avais appris à mes dépends que la chance n'était pas vraiment avec moi actuellement.
Il semblait alors me reconnaitre, ce n'était pas vraiment étonnant je suppose, mais ca me m'était mal à l'aise toute ses personnes qui me connaissait sans que je ne puisse mettre un nom sur leurs visage. J'espérais que ce n'étais que temporaire, mais plus le temps passais, plus je perdais espoir.

De toute façon, on ne pu pas vraiment continuer notre conversation, un souffle fit bouger mes cheveux et quelques instant après des cris retentir, les elfes paniquèrent et je me retrouvais sur le sol. Le jeune homme venait de m'évitée une flèche de justesse. "Merci, ce n'est rien, mais vous est ce que ca ira?" je constatais avec horreur que son geste lui avait valu d'avoir la flèche qui m'était destiner dans le bras. Mais je n'eu pas le temps de faire grand chose, il était déjà partit aider les elfes. "Ielenia reste prudente, je ne veux pas que tu aille un flèche à ton tour. Ne vol qu'en dernier recours." Je ne voulais pas qu'elle prenne une flèche perdue. Personnellement je me relevai rapidement et du éviter une nouvelle sphère bleu. Je tournais alors le regard et vi qu'elle venait des statue, les flèches elles devaient venir des alfars, ils passaient à l'attaquent, mais était cette une coïncidence que les deux avaient lieux en même temps ou est ce que c'était liée?

Je me dirigeais alors invisible vers un des arbres ou j'avais vu un flèches frôler un elfe. Je grimpais alors dessus à partir des branchages les plus bas et fini par trouver deux alfars qui se trouvais là visant les elfes sans vraiment faire attention à autre chose. Je mis alors ma mains sur le tronc et la branche sur la qu'elle il s'y trouvait se plia légèrement avant de se retendre soudainement, ce qui eu pour effet d'éjecter les deux hommes. Ils regardèrent en direction de l'arbre, j'aurais espérer qu'ils croient l'arbre responsable, vu la forêt ce ne serais pas vraiment étonnant  finalement. Mais ils l'as connaissaient mieux que moi et rapidement ils bandèrent leurs arcs vers l'arbre, essayant de trouver la cause. Je descendis alors discrètement, mais par malchance je posai mes pieds sur une branche sèche. Aussi tôt une flèche me frôla la jambe et je du m'écartée.

Je m'étais alors téléportée derrière eux, ne voulant plus prendre aucun risque et grâce à des lianes, je réussi à liée un des deux alfars. Seulement le deuxième était rapide et agile et il c'était déjà éloigné. De nouveau camouflée dans la forêt, je tendais l'oreille pour essayer de le retrouver et ne pas me faire prendre par surprise. Mais je ne remarquais rien, est ce qu'il avait fui, non j'en doutais. Peut être avait il changer de cible? Sans savoir quoi exactement il valait mieux être prudent.
Seulement alors que je voulais allez vers les elfes, je vis les lianes se desserrer et j'entendis l'alfars remercier son compagnon. Ce n'était pas de chance, mais peut être pas si inattendu que ca, il était sans doute normal qu'un d'entre eux contrôle à son tour la nature. Je n'avais donc plus de temps à perdre, je devais me dépêcher de retourner prés des autres, mais avant je devais absolument neutraliser les deux hommes qui se trouvaient devant moi. J'avais alors pris mon épée et avait crée un mur de vent pour dévier les flèches qui venait à moi, je ne pouvais cependant pas niée que c'était de très bon escrimeur. Je me retrouvais alors pas très loin des elfes quand une nouvelle boule d'énergie me frôla à nouveau, seulement elle n'atteint pas sa cible mais les alfars. Je dois avouer que pour le coup j'avais eu de la chance et eu le malheur de se retrouver sur le chemin.

Je vis alors une statue viser un elfe, je fonçais alors dans sa direction et le tira dans ma direction. "Est ce que ca va?" " Je crois, merci." L'elfe reparti alors directement au combat. Je regardais alors autour de moi, plusieurs personne était venue prêter main forte à ce petit groupe, même s'ils s'en sortaient très bien, il faudrait juste que ca continue. Soudainement j'entendis la chef du groupe criée les feuilles, je la regardais interrogative avant que l'elfe que je venais d'aider me tirer dans les feuillages. Je le regardais surprise et il mit un doigt sur sa bouche pour me faire comprendre que je devais me taire.
J'attendis alors silencieusement, au début c'était calme, trop calme. *Pourquoi est ce que les statue n'attaque plus?* *Je ne sais pas, peut être qu'elle n'arrive pas à nous détecter et du coup elle reste tranquille.* Mouai, je n'y croyais pas vraiment, mais j'allais me contenter de cette explication pour le moment.
Je regardais alors dans les alentour et vis un alfars perdre patience au point de se montrée à découvert. Il sommait à l'elfe de sortir, de se montrer. Mais en guide de réponse il eu droit à trois flèche. Il s'écroula alors sur le sol et je me relevais alors pour observer le phénomène. Le sol se recouvrait de verdure, le corps se décomposa instantanément. Qu'est ce qu'il ce passait? Etait ce normal? Ca me semblait étrange, mais pas autant de ce qu'il ce passa ensuite. J'entendis alors un bruit de chute et tourna la tête dans sa direction, je vis alors un autre elfe mourir et le même phénomène se produit. Mais je n'étais pas encore le plus surprenant, une statue commençais alors à attaquer n' importe où, sans nous viser, sans vraiment viser personne d'ailleurs. La chef nous cria alors qu'un de sien avait contrôlé la statue. C'était plutôt bien jouer, mais nous n'avions pas beaucoup de temps. Aussi tôt le signal donner, je sortis des fourrés. Il nous fallait donc neutraliser les alfars le plus rapidement possible. Je ne voulais pas tuer, pour moi chaque vie était sacrée, mais ici ils attaquaient, on n'avait pas vraiment le choix non plus. Je n'allais pas risquer nos vie par simple pitié, bon je n'allais pas non plus tuer si j'avais la possibilité de l'évitée, mais bon.
Deux alfars vinrent alors vers moi et l'elfe, ce dernier engageait rapidement le combat avec l'un d'eux et je m'occupais du deuxième. Le combat s'engageais alors, je n'avais pas vraiment facile, il fallait dire que même si certain mouvement semblait normal, comme si mes mains agissait toute seul, ce n'étais pas simple, je ne me souvenais plus des entrainements que j'avais sans doute subit. La défense semblait faire partie de moi, mais l'attaque c'était autre chose. Peut être était ce par ce que c'était toujours ainsi que j'avais combattu?
Le problème c'était que me posée ce genre de question maintenant m'handicapais encore plus heureusement que l'elfe était là et à nous deux on réussi à mettre hors d'état les deux alfars. On continuais alors d'aider le plus possible de personne, je me concentrait d'avantage et utilisais un peu plus la magie qui me semblait plus innée.
Quand je pu enfin souffler un petit peu, je regardais autour de moi et mon regard se posa une nouvelle fois sur les espace vers qui était apparu. " Est ce vous ou vos armes qui permette ceci? Ou est ce que c'est quelque chose que vous ne contrôler pas?" Je voulais savoir, c'était tellement étrange. en plus, si je voulais vraiment savoir si ca venait d'eux, c'était pour ne pas rajouter quelque chose d'étrange en plus et je n'avais pas vraiment besoin de ça.

Spoiler:

Le flanc gauche de Kohei fut parcouru d’un immonde picotement tandis que le liquide écarlate s’écoulait lentement de la plaie ambiante qui s’était ouverte. La flèche qui avait causé la blessure avait filée dans le vent sans que l’Alfar ne la remarquât et il lâcha un gémissement tandis qu’il se retournait pour en trouver la cause. Et fort heureusement, l’origine de l’attaque était occupée avec un des siens. Le blond sentait la douleur parcourir tout son corps et finissait pas se rendre compte à quel point il ne se laissait guidé que par la colère de voir les siens tomber encore. Il fallait vraiment qu’il se calme, mais il n’en avait ni l’envie, ni la motivation. Tout ce qui l’enchantait en l’instant, c’était rendre les coups reçus et tuer cet ange qui lui faisait fasse, pour nul autre raison qu’il avait eu l’aire d’être du côté des Elfes. Et puis, qu’est-ce que c’était que ces histoires ? Pourquoi les Elfes se défendait-ils aussi bien ? Pourquoi Kohei en voyait-il si peu périr alors que les Alfars tombaient les uns après les autres ? Mais, alors qu’il se livrait à sa propre colère, une apparition le calma aussi sec, lui sommant de revenir à la réalité et d’écouter un minimum sa raison.

Aëran lui avait simplement dit de se téléporter, surement pour se cacher de tout ce conflit. Kohei balaya son regard sur la scène, durant quelques secondes, de nombreuses secondes qui pouvaient parfaitement lui être fatale. La voix de l’Ange brisa son observation, pour lui arracher des lèvres un « On remettra ça. » amèrement, après quoi il rejoignit le blanc. Comment pouvait-il se permettre d’attaquer les ennemis à découvert ? Kohei se laissait un peu trop guider par certains de ses instincts, et cela devenait très vite dérangeant, et surtout complétement stupide. S’il n’apprenait pas à faire fi de certain de ses ressentiments, Kohei risquait gros. Mais en même temps, il ressentait la frustration de laisser les choses en l’état, et de ne pouvoir protéger pleinement les Alfars… Kohei n’échangea pas un seul regard avec Aëran qu’il bandait déjà son arc, à l’affut de la moindre faille dans l’espoir de tuer au moins un des êtres sylvestres. Il n’y avait pas vraiment le temps de se concentrer sur autre chose que le champ de bataille, même si d’un côté il souhaitait s’enquérir de ce qu’Aëran avait fait pendant ce court moment de séparation. Il s’imaginait déjà être passé pour un insouciant, sans pour autant le regretter. Kohei ne pensait pas avoir mal agis, mais seulement bêtement. Et c’était peut-être bien le cas de tout le monde ici. Vu la faible stratégie dans laquelle leur attaque s’était centrée, peut-être n’étaient-ce que certains des siens qui s’étaient lancé dans une lutte hors de contrôle.

Un sourire parvenait presque à s’emparer des lèvres de l’Alfar lorsqu’il remarqua que plus aucun Alfar qui mourrait ne laissait la nature verdoyante s’emparer de son corps. Il souffla, rassuré que plus aucun d’eux ne mourrait de cette manière si déshonorante, et se reconcentra sur les Elfes qui semblèrent tous adopter un même comportement. Aussi rapidement qu’il ne lui était permit, il décocha une de ses flèches, prenant soin de viser en plein dans la trajectoire de la courses d’un ennemi. Touché. Il l’avait touché ! Mais il n’avait aucune idée de si cette attaque lui avait était fatale. Il souffla à la vision de l’Elfe à terre et du sang formant une flaque de plus en plus importante sous son ventre, soulagé et heureux du résultat, mais son visage ne changea pas pour autant d’expression lorsqu’il préparait une nouvelle flèche. Il regardait partout autour de lui, mais aucune cible ne semblait facile. Il baissa son arme un instant, contemplant, yeux écarquillés, leur fuite. Rengainant définitivement les armes, et portant la main au flanc dont la douleur s’était accentuée, il observa Aëran un instant. « Tout va bien ? » avant que son attention se reporte sur un Alfar non loin de là qui avait pris la parole.

Instinctivement, il le suivit, lessivé par ce qui venait de suivre. Il observa un long moment le mur qui s’était érigé entre eux et le groupe en fuite. Les Alfars les avaient attaqués, mais dans quel but ? Par pure provocation ? Par haine gratuite ? Non, les Alfars ne se laissaient tout de même pas perdre dans de telles absurdités… Mais d’un côté, il y avait Kohei qui était capable de foncer tête baissée dans le danger… A cette pensée, son visage se tourna automatiquement vers Aëran qui l’avait arrêté à temps, avant qu’une catastrophe ne se produise. Le blanc avait forcément réagit à la stupidité de Kohei. « Merci. » Son regard vide semblait ne rien suggérer, mais Aëran le comprendrait bien, Kohei le remerciait de ne pas le laisser devenir mortellement sot, (son regard se tourna encore vers le mur) mais en même temps…

818 mots

Résumé :

La manipulation était chose courante chez les Alfars, et à dire vrai, je ne m’en privais pas non plus. En somme, cette attaque que nous étions en train de perdre, n’était qu’un simulacre, où l’on avait pleinement utilisé son propre peuple comme chien galeux prêt à mordre n’importe quoi, quitte à mettre sa vie en péril pour une affaire qui n’en valait pas la peine. C’était du moins ce que je pensais, et je le gardais bien pour moi, qui n’étais pas aussi dévoué aux causes perdues que mes semblables. La forêt restait calme, et parfois, un fracassement d’arme, suivis d’une lamentation étouffée, surgissait d’un coin sans crier gare.  

Kohei venait de se téléporter également, et je lui pris la main pour qu’il se plaque contre un arbre à son tour. Mon regard ne se porta pas sur lui, j’étais assez énervé des événements sans queue ni tête qui se produisaient à l’instant, pour ne pas m’en prendre à lui maintenant. Pourtant, rien ne se laissait voir, j’avais l’impression de jouer dans une comédie, comme si tout était faux, surréaliste. Mon regard arpentait le champ de bataille, d’où les morts ne cessaient pourtant pas de tomber malgré le silence ambiant. La corde de mon arc tremblait, comme impatiente à l’idée que je puisse la lâcher. Mon corps semblait absorbé par l’environnement, ne faisant qu’un avec le monde qui m’entourait. Les Elfes, personne ne les aimait ici, mais je pensais un instant à Kohei, qui avait eu pour compagne l’une d’eux… que pouvait-il ressentir en cet instant ?

Le cri d’une des ennemies me fit sortir de mes songes, et le craquement des feuilles les rendit plus localisables. Me décollant de l’arbre, je tirai une flèche maladroite qui se logea dans une épaule, ne faisant que le ralentir. Lâchant une autre en pleine tête, je vis un mur de rose grandir devant moi, tandis que derrière, une course effrénée commençait. Lorsque kohei prit la parole, je hochai la tête sans plus de manière, il savait que de toute évidence, j’étais trop dans mes pensées pour pouvoir dire quoi que ce soit de censé.  

Un homme était maintenant avec nous, une prestance à vous couper le souffle, et pourtant ses intentions semblaient aussi mauvaises que la race en elle-même. Ne laissant rien remarquer, je m’approchai de lui, n’ayant pas vu ce qu’il avait ramassé… et peut-être était-ce mieux ainsi. Jamais je ne l’avais vu, mais au vu de son charisme et de son assurance, nul doute qu’il logeait au troisième plateau de Drosera, et ne descendait que si vraiment la situation l’exigeait. Mon visage étant de marbre, j’écoutais ce qu’il disait, et quelques mots restèrent incrustés… s’occuper des Elfes le moment venu ? Cela n’était pas de bon augure pour eux, mais je me demandais si celui-ci parlait du groupe que nous avions attaqué, ou du peuple en entier. Je n’aimais pas les Elfes, en tuer ne me faisait rien, tout comme n’importe quel peuple, mais faire une guerre pour simplement faire la guerre était pour moi totalement inutile, car la mort serait dans les deux camps, et tuer son propre peuple par fierté n’était qu’un caprice de roi, de personne qui n’allait pas se battre, mais simplement regarder de loin.

La troupe se mit en marche, et je regardai une dernière fois derrière moi : sans doute, notre peuple était déjà perdu, par orgueil, par mépris. Commençant à suivre le troupeau, je m’adressai à Kohei : « c’est normal » fis-je simplement. Je n’avais qu’une envie, c’était rentrer… et pourtant, une rage incommensurable montait peu à peu en moi, une colère qu’il faudra orienter à l’avenir pour ne pas qu’elle éclate au mauvais moment, pour ne pas se perdre dans les futilités, et si une bataille est inévitable, elle ne se situe pas en dehors des murs, mais à l’intérieur de ceux-ci. Pourtant, je n’avais que des mots, des avis, mais jamais n’avais-je encore agi, suivant mon peuple à vouloir en perdre la vie. Je n'étais malheureusement pas aveugle, mais je n’avais pas le courage ou même l’envie de faire quoi que ce soit pour essayer de changer les choses… et puis quoi, les Alfars n'étaient pas prêt à recevoir une quelconque vérité, et les haut placés y veillaient surement. Très vite, mes pensées s’envolèrent au vent, et je donnais un coup de coude à Kohei : « Viens avec moi, Shalk sera ravi » finis-je d’un air moqueur.

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Et dire qu'il n'était venu que pour admirer Drosera, cette ville à l'architecture intéressante, mais dont les rues étaient peuplées d'êtres belliqueux. Au moins, les Alfars n'avaient pas usurpé leur réputation ! Une chance qu'il eut quitté la ville avec les Elfes, quand son instinct le lui hurlait, qui sait ce qu'il se passait dans leur Capitale actuellement ? Peut-être rien. Peut-être tout. Neah ravalait sa salive, n'appréciant guère que son dernier contact avec les Elfes Noirs soit un combat aussi absurde. Pourquoi s'en prenait-il à eux ? A cause de la venue de quelques représentants d'un peuple rival ? C'était sérieux ? Pourtant, l'Ange ne pouvait que ressentir la colère sourde émanait de son adversaire tandis qu'il continuait de le dévisager, détaillant ses traits pour mieux se souvenir de lui. Cela le mit très mal à l'aise, mais en lui promettant de remettre ce combat à plus tard avant de se téléporter vers un quelconque lieu, son adversaire lui lassait la chance de ne pas connaître un funeste destin. Il eut un instant pour relâcher la pression en expirant l'air de ses poumons, mais cet endroit était encore un champ de bataille, le jeune homme ne devait pas négliger sa vigilance, surtout que des flèches tentaient encore de se venir se planter entre ses deux yeux. Neah baissa son arme, mettant genou à terre, cherchant du regard quelqu'un.

Où était cette jeune femme qui l'avait aidé et contre qui ce rustre s'était acharné ? Elle n'était pas loin de lui, assister par quelques personnes pour se relever. Il fallait dire que les coups avaient été d'une rare violence et ne l'avait laissé indemne. Neah vit alors l'Élue des Cieux se concentrer pour que sa magie soit opérante, il se rendait compte qu'il l'avait complètement oublier ! Quel honte. Il avait été prit dans le feu de l'action en tentant de défendre sa vie et celle des autres, mais de là à en oublier son ancienne souveraine. Ils avaient d'ailleurs l'impression qu'une partie des événements lui avaient échappés durant son affrontement avec cet Alfar, qu'il espérait ne plus jamais croiser de sa vie ! Où étaient ces orbes bleues qui avaient tenté des les faire exploser ? Disparues, aussi brusquement qu'elles étaient apparues ! S'approchant de la demoiselle aux cheveux de flammes, elle semblait avoir prit un méchant coup dans le visage, si son nez avait cessé de saigner, sa tête devait sans doute avoir du mal à répondre. Neah passa l'un des bras de la jeune femme au-dessus de son épaule pour l'aider à se relever, sans prendre le temps d'écouter ses protestations.

— Je vous remercie de l'avoir distrait ! Je crois qu'on ferait mieux de filer !

Alors l'Elfe qui semblait commander sa petite troupe, ordonna le repli. Se rétrogradant vers les autres Elfes du mieux qu'il put, essayant de ne pas blesser la demoiselle, il vit l'un d'entre faire un sursaut, se tenant le ventre suite à la pénétration d'une flèche. Face à leur compagnon à terre, les autres se précipitèrent pour assurer sa protection et tenter d'arrêter l'hémorragie. Sur cette action, les êtres sylvestres prirent la fuite tout en se protégeant des flèches qui ne cessaient de les harceler. Pour s'en prémunir, ils firent apparaître un immense mur d'épines, composés de fleurs rosés, stoppant ainsi l'averse qui s'abattait sur eux. Quelques Alfars courageux, ou inconscients, essayèrent à nouveau de s'en prendre à eux, mais leur sort fut de terminé en pâturages verts. Quelle ironie pour un peuple si fier ! Une fois éloigné de ce champ de bataille désorganisé et sournois, Neah laissa l'inconnue aux yeux bleus à des mains plus expertes, reprenant sa respiration avant de poursuivre sa course. Une fois certain d'être suffisamment éloigné, s'assurant de ne plus être poursuivit, une halte fut ordonnée. Certains reprenaient leurs souffles, d'autres faisaient le point sur la situation. Cette mésaventure avait été éprouvante et il s'en serait bien passé, mais il fallait voir le bon côté des choses, ils étaient en vie. Certes, de nombreuses personnes avaient péris dans cette escarmouche, mais eux, ils avaient survécus.

Une chance. Il avait eut de la chance tout du long. Tout était devenu si calme depuis quelques minutes, l'air ambiant lui semblait lourd et ses membres étaient pantelants. Neah n'y comprenait rien, mais il n'avait pas envie de comprendre une logique qui lui échappait. Encore fait-il que cela soit de la logique. Certaines races étaient de vraies infections sur ces terres, pourquoi devaient-elles être aussi violente et refuser le moindre compromis ? Était-ce trop dur d'évoluer ? Pourquoi devaient-ils agir aussi inconsciemment, sans se soucier des êtres qu'ils brisaient ? Un sourire las tirait ses traits. Ses propres pensées commençaient à lui faire peur. Un Ange pouvait-il se permettre de penser ça, après tout ?

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Résumé IV:

Resume: