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 Event Juin 2015 | Groupe III | Panique dans la Cité

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Lun 01 Juin 2015, 14:39



GROUPE III
Edwina - Nydelia - Mia - Primrose - Lily-Lune - Olaf [Lully] - Ovilyn [Etincelle]

La situation connue : La terre tremble ; et peut-être n'est-ce qu'un début. Le Continent Dévasté est soumis à ces maux qui secouent les tréfonds de ses fondations. Le phénomène est inexplicable mais aspire à lever ses secrets. Tandis qu'une région entière frémit et frisonne, des flottes entières lèvent l'ancre, à la poursuite d'une rumeur, d'une promesse : celle d'une nouvelle contrée à conquérir à l'horizon. Le voyage risque de ne pas être de tout repos. Les créatures monstrueuses et marines rôdent dans les eaux, qu'elles soient profondes ou non, et sèment la mort, comme soudainement prises de folies. D'étranges statues difformes faites de pierre sont apparues un peu partout, sans que l'on comprenne ce qu'elles sont, comment elles sont arrivées là. Tout est lié c'est une évidence. Qui croirait encore au hasard ? Un nouveau mal frappe les terres du yin et du yang et ce n'est que le début.

Il y avait des cris, il y avait des pleurs. L'allégresse et la joie d'un nouveau départ s'étaient envolées, balayées par de nouvelles catastrophes. Galaad longeait les rues d'un pas pressé, le regard inquiet. De temps un autre, il aboyait un prénom. Honorine. Où était-elle ? Allait-elle bien ? Trop de questions se bousculaient dans son esprit et il voulait une réponse. Il avait besoin de savoir. Galaad était un Pirate, l'un de ses hommes à la moral légère qui passait le plus clair de son temps en mer. Pourtant, le jeune homme avait toujours pris soin de revenir à Sceptelinôst, où vivait une personne à qui il tenait plus que tout : sa petite soeur. D'ordinaire, elle l'attendait sur le Port ou traînait dans les ruelles commerçantes. Aujourd'hui, elle n'était pas là. Ce n'était guère dans les habitudes de Honorine et son frère craignait le pire. Il contemplait avec amertume les maisons délabrées, effondrées par trop de tremblements de terre, les demeures chancelantes qui ne résisteraient pas à une nouvelle secousse. Il se mit presque à courir. Qu'en était-il de la maison familiale ? Avec soulagement, il retrouva le petit chalet tel qu'il l'avait laissé mais Honorine n'était toujours pas là. « Galaad ! » s'écria une voix, mais pas celle qu'il espérait. C'était la voisine. « Ne t'inquiète pas mon cœur. » continua la vieille dame d'un temps doucereux. « Ta petite soeur est sortie. Elle avait des courses à faire. Elle est dans les quartiers du centre. » - « Presque tout est tombé, là bas ! » Il se mit à courir.

Galaad donnait l'impression d'être quelqu'un de froid, de distant et de peu commode. Ce n'était pas totalement faux mais il savait aimé les personnes qui lui était cher. Il s'était toujours très bien occupé de sa petite soeur et tâchait de faire de son mieux pour qu'elle vive décemment. S'il lui était arrivé quelque chose, il ne s'en remettrait pas. Arrivé dans les quartiers du centre, le Pirate fit face à la cohue et aux désordres. La population gesticulait dans tous les sens, consciente qu'il fallait faire quelque chose mais incapable de la moindre cohérence. Galaad ne se préoccupait pas vraiment de l'agitation. La gorge serrée, le cœur au bord des lèvres, il scrutait la scène. Les décombres recouvraient les rues, obstruant le passage. Prisonniers sous les débris, quelques personnes appelaient à l'aide. Le jeune homme resta longtemps immobile, à observer simplement. De longues et interminables minutes s'écoulèrent sans qu'il ne bouge le petit doigt. Puis il ferma les yeux, décidé. « Stop. » hurla-t-il d'une voix grave et puissante, dont il augmenta la portée grâce à ses dons pour être certain d'être entendu. Ce fut le cas. On le dévisagea, ahuri. Poings serrés, il grimpa sur du bois pour se mettre en hauteur. « Les secours ont besoin d'être organisés. Les médecins, les infirmières et les guérisseurs ainsi que toute personne ayant la moindre notion de soin doivent quitter la zone pour établir un campement de premier secours. Il y aura sûrement beaucoup de blessés il faut être capable de les accueillir vite et dans des conditions décentes. Avec les égouts, les marées et les déchets, les décombres et les cada ... » Il s'interrompit un instant. Il ne voulait pas le dire. « ... des maladies peuvent arriver. Il faut être prudent et faire le plus rapidement possible. Qu'une cinquantaine de personnes se désigne pour sortir les gens de là. » indiqua-t-il en faisant référence à ceux captifs de leur propre ville. « Que les autres rentrent chez eux et se tiennent prêt à prendre le relais quand les premiers seront fatigués. » Petite pause. « Exécution ! » vociféra-t-il. On finit par l'écoute. Dans le chaos, quelqu'un devait prendre les rênes.

Galaad manqua de tomber. La terre avait frémit, créant une nouvelle panique. Les secousses étaient de plus en plus régulières et le Pirate craignait qu'un tremblement plus fort ne survienne.

812 mots

EXPLICATIONS:

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Lun 01 Juin 2015, 20:24


J'avais confier mes fils a ma mère et a Alicia et j’étais partie il y a quelque temps déjà, essayant de retrouver des bride de souvenir. J'avais demander a Alicia où m’étais je déjà rendue pour refaire le même chemin a commencer par Megido, cette ville dans la qu'elle habiterait cette homme qui avait eu temps d'importance pour moi. Mais bien sur ca n'avait été qu'une excuse quelque part. Je n'en pouvais plus de les voir si triste, de les voire espérée chaque jours que je me souvienne de quelque chose ou quelqu'un. J'avais besoin de respirée un minimum et pour cela j'avais besoin de éloignée de ce lieu, même si je savais que j'y trouverais toujours de l'aide en cas de besoin.
Mais alors que je me dirigeais vers cette ville, j'avais rapidement sentit de fort secousses qui m'avais mise a terre tant j’étais surprise. J'avais alors attendu au sol et quand ce fut fini je me dirigeais vers la ville la plus proche pour savoir ce qu'il ce passait. Simple événement naturelle ou est ce que ca cachait quelque chose de particulier. Mes souvenirs étant trop flou, je ne savais malheureusement pas dire si ca pouvais arriver. Mais en même temps ca m'aurait largement étonner. Donc le mieux que j'avais a faire au lieu de diverger, c’était d'allée au nouvelle et pour cela Sceptelinôst serais l'endroit idéal c’était non seulement une ville ou j’étais certaine de croisée du monde, mais surtout c’était l'endroit le plus proche ou je pourrais avoir des informations.
Mais quand j'arrivais devant la ville, je ne vis qu'une champ de ruine, enfin heureusement certaine battisse tenait encore debout, mais il y avait du désespoir, de la tristesse, de la peur… toute ces émotions se lisait sur le visage des habitants. Je voulais les aider le plus possible et même si je n'avais plus de souvenir d'une quelconque connaissance en la matière, j'aidais au mieux point de vue soin. J'avais rapidement demander que l'on me ré explique comment utiliser mes pouvoirs et visiblement j'avais bien fait au vue de la situation. Mais avant de soignée, il fallait les aider a sortir des débris et ces ce que je fis.
La temps passa et j'avais l'impression qu'il y  avait de plus en plus de blesser, mais surtout on avaient du mal a savoir ce qu'il fallait faire exactement, jusqu'au moment ou j'entendis une voix qui s’adressait a quelqu'un, nous a nous tous visiblement. J'avais alors écoutée attentivement ce qu'elle disait. L'homme qui parlait avait raison nous devions nous organiser le plus rapidement possible afin de sauvée le plus de monde possible et surtout , avoir évacuer tout le monde au cas ou une nouvelle secousse se ferais ressentir. Car vu l'état des maisons, beaucoup risquerais de s'écraser sur les passants, sauveteur ou achever les pauvres victimes qui était déjà prise au piégé. De plus, il avait l'air de savoir s'y prendre pour être celui qui dirigerais.
Je me dépêchais alors de me porter volontaire pour les soins et rejoignis un groupe de personne qui avait pris la même décision que moi, pendant que nous marchions pour trouver l'endroit ou nous accueilleront tout le monde, je continuais d'aider les personnes qui se trouvais sur mon chemin, on allaient pas les laisser là simplement sous prétexte que j’étais juste affectée au soin a partir de maintenant. Une jeune femme semblait d’ailleurs totalement perdue, ne sachant pas vraiment ce qu'elle devait faire devant sa maison en ruine, mais son corps était couver d’ecchymose.

-Venez déjà avec moi mademoiselle, j'aimerais m’assure que vous n'avez rien d'interne, ensuite il vous faudra vous reposer et seulement une fois cela fait vous penserez a l'avenir, d'accord ?      

elle hocha alors la tête et me suivi. Pendant que nous marchions, je réfléchissais a ce que l'on pourraient faire pour mieux s'organiser entre nous aussi, car des blesser il y en aurait beaucoup et finalement nous n'avions pas grand-chose. J'osais alors prendre la parole.

-Il faudrait que certain d'entre nous s'occupe dans un premier temps d'allée chercher du matériel, des bandages et de l'eau clair. J'avais aussi penser a un truc au niveau de qui soignée en premier. Des bandeaux ou tout autre tissu de couleur. Une couleur pour les cas urgent, une autre pour les cas important mais pas vital dans l'immédiat et une dernier pour les cas qui peuvent attendre. Qu'est ce que vous en pensez ? Je veux bien me charger d'allée déjà chercher après une partie du matériel.      

Pourquoi est ce que cette dernière proposition me semblait familier ? Car si je l'avais déjà appliquer ? Enfin soit. Je ne savais pas qui prodiguerais des soins magique parmi nous, mais sans le savoir j'avais aussi penser a quelque chose d'autre. Il ne fallait pas trop l'utiliser, se contenter d'un bandage ou quelque chose du genre pour les simple blessures. Certes ce n'est pas agréable, mais ca nous permettrais de garder un maximum de force.
819 mots
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Mar 02 Juin 2015, 03:41

Je n’arrivais pas à y croire, alors que je m’apprêtais à retourner voir mes parents après des mois d’absence, je me retrouve à nouveau à Sceptelinôst ou un tremblement de terre terrible semblait avoir eu lieu. J’avais eu de la chance je me trouvais un peu en dehors de la cité, je n’avais donc que senti les tremblements mais fort heureusement, je n’avais rien subit du désastre… Enfin, si je n’avais rien sentit le navire sur lequel je me trouvais et qui passais non loin de la ville avait subi aussi le tremblement de terre. Des vagues assez imposante avait déstabilisé le navire qui sans couler avait subi une perce dans la coque du bateau… Sans doute un rocher ou truc du genre qui se trouvait non loin et que les vagues on révéler… La suite du voyage était donc assez simple il fallait faire escale à Sceptelinôst, le temps de faire les réparations. Et c’était là que je pouvais voir le terrible désastre qui venait d’avoir lieu… Il fallait le dire je n’étais pas une grande amoureuse de cette cité qui n’était pas très bien fréquenté et même si je savais beaucoup de chose sur la vie et la mort. Je ne pouvais pas m’empêche d’avoir un pincement au cœur pour ce qui venait de se passé. Alors, vu que j’allais devoir attendre un moment pour les réparations et que je me trouvais ici. Je savais ce que j’allais devoir faire… Aider ses gens à s’en sortir… Qu’importe si c’était des criminels ou non… Je ne pouvais pas rester sans rien faire.

Je pose les pieds sur terre alors que je sens que les tremblements ne sont pas finis… C’était moins violent, mais c’était bien présent… Mais ce que je voyais surtout c’était la cohue qu’il y avait du monde un peu partout, j’avais d’ailleurs un peu de mal à savoir qui était les soigneurs et les blesses… Je n’étais d’ailleurs même pas sur de savoir ce que je devais faire alors que je m’avançais de plus en plus dans la foule… C’était un homme qui me permettait de savoir ce qu’il fallait vraiment faire pour aider les gens… Il fallait aider au mieux possible à soigner les blessés, j’avais de la chance de ne pas être blesser et surtout d’avoir Tathar… Certes Sceptelinôst n’était pas une ville très verdoyante, mais il y avait assez de nature pour aider à soigner la douleur de ses pauvres gens… Surtout que près de là l’océan on pouvait facilement supposer qu’il y avait quelques plantes marines tel que des algues pour couvrir le manque de végétation Tout de moins c’était ce que moi et Tathar on espérait… Mais alors qu’on s’apprêtait à soigner du mieux qu’on pouvait ses gens, une voix familière sifflait à mes oreilles. Je bousculais gentiment deux ou trois personnes pour voir que c’était bien elle… Ma cousine était là, la surprise était grande, mais assez agréable contenu de la situation. Je m’avançais vers elle pour dire avant de la prendre dans mes bras

Ninie !!! Que je suis heureuse de te voir… Tu es venu aide ses pauvres gens aussi ? Rassure toi, je vais t’aider à trouver du bandage avec l’aide de Gouki cela ira vite.

Je prenais un sac improvisé que j’attachais sur le dos de Gouki j’écrivais rapidement « On a besoin de bandage et de matériel de soin pour aider les blesses. Merci de mettre dans le sac. » Quitte à chercher de demander de l’aide autant voir large et prendre tout ce qui pouvait nous être utile et pas seulement des bandages de couleur… Mais je n’avais pas fini d’envoyer mon équipe en expédition. Je regardais Ivy pour lui dire :

Ivy tu veux bien regarder dans les décombres s’il y a des gens toujours vivant coincés… Car si on peut on devrait aller les sauves aussi.

Il était possible de trouver des gens coincés dans les décombres toujours vivant mais coincé incapable de trouver un moyen pour sortir… Sans compter qu’une mauvaise manipulation et ceux-ci pouvait se retrouver écrase comme des crêpes… De plus, les tremblements ne faisaient rien pour arranger les choses. Donc Gouki était parti à toute allure avec le message et le sac chercher des bandages et du matériel de soin. Ivy elle était dans les décombres à essayer de trouver des survivants. Alors que moi, je regardais Tathar pour fusionner avec lui et pour utiliser son pouvoir Earudien pour soigner au mieux possible les blessures et la douleur des gens.


752 mots

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Mar 02 Juin 2015, 20:12

« Eorane ? ». Edwina venait de s'éveiller, couverte de sueur. Ses songes avaient été affreux. Elle avait vu les terres trembler, la mort se répandre partout. Elle avait rêvé de Jun aussi, mais était incapable de remettre le doigt sur le point qui le concernait. Cela lui reviendrait plus tard, sans doute. Pourtant, dans l'obscurité de sa chambre, elle comprit bien vite qu'elle n'était pas seule. Son reflet la regardait calmement et une seule personne dans son entourage avait le pouvoir de la copier parfaitement, jusqu'à son parfum, jusqu'à ses manières : Un Archimage secret, une femme qui était la maîtresse de l'espionnage et qui savait parfaitement tout ce qu'il se passait ici et là, jusqu'à la traîtrise de certains. Seulement, Eorane était sage et savait que tout viendrait à point à qui saurait attendre. C'était à la Reine et seulement à elle de prendre conscience de la félonie de certains et de les dénoncer au peuple. Et puis, si l'Archimage en question avait dû agir, la peine de mort aurait été appliquée. Trahir la royauté était grave, bien trop à ses yeux. De ce fait, elle restait spectatrice, une spectatrice de l'ombre. En attendant, il y avait quelque chose de plus grave. « Ma Reine, le continent dévasté s'est mis à trembler. La terre se déchire et les habitations s'effondrent comme des châteaux de cartes. Beaucoup de morts sont à dénombrer pour l'instant. Seulement, cela ne semble pas être un simple tremblement de terre... Il dure depuis bien trop longtemps et est généralisé... ». Edwina se redressa un peu plus. « Généralisé ? ». « Oui. Les villes sont dans de sales états... Et les tremblements ne touchent pas qu'une direction, qu'un point précis. Non... c'est comme si le continent entier tremblait. ». « Mais quelle en est la cause ? ». La Reine repensa à son rêve. C'était tellement étrange qu'elle ait justement songé à cela, sans rien savoir de la situation. « Personne ne le sait, tout le monde est dépassé par les événements. C'est la panique. ». Edwina repensa qu'elle avait justement envoyé Nylmord à Sceptelinôst peu de temps auparavant. « Nylmord... Il est là bas... ». Eorane parut surprise, pas tant par cette révélation mais plus par ce qui se tramait dans l'esprit de la Souveraine. « Vous ne pensez pas vous rendre là bas tout de même ? ». Edwina regarda un moment par la fenêtre, ne répondant pas. « C'est impensable voyons. Nylmord s'en sortira seul. Il est puissant et vous ne pouvez pas courir le risque de partir à l'aventure. Les Magiciens ont besoin de vous ici au cas où les choses venaient à dégénérer. ». Les yeux de l'Ultimage se reportèrent sur Neriona, comme si une autre idée venait de germer dans son esprit. L'Archimage aurait pu protester mais que dire ? Là était son rôle : elle devait remplacer la Reine quand celle-ci le demandait. « Bien, je veillerai sur les Terres de Caelum et du Lac en votre absence... ». Oh oui, elle allait le faire, et si elle pouvait remettre à leur place certains de ses semblables, elle ne se gênerait pas.

Edwina fut, après une longue conversation sur ce qu'il convenait de faire, envoyée à Sceptelinôst par la magie d'Eorane. Là bas, le chaos régnait et, curieusement, elle apparut pile poile dans le dos d'un homme qui lui donna une étrange impression. Elle resta perplexe un moment, l'écoutant parler. Il avait entièrement raison, les gens valides devaient s'organiser afin de soigner au mieux les individus qui se trouvaient sous les décombres. Seulement... elle était troublée par cet homme. Sa voix, sa silhouette de dos... Quand il eut finis, et bien que secouée par les décombres, elle fit quelques pas vers lui, posant une main sur son épaule pour le tourner vers elle, l'appelant « Frey ? ». Il ressemblait à son ancien fiancé, celui qui ne l'avait jamais aimé et pour lequel elle avait quitté l'océan, afin de le retrouver. Bien sûr, elle savait au fond qu'il ne pouvait être cet homme, car Frey était mort, mais dans un instant fugace, elle l'avait cru.

Plus loin, Nylmord venait de soulever l'un des anciens murs d'une bâtisse qui lui était tombé dessus. Blessé, l'homme usa de sa magie pour se soigner du mieux qu'il pouvait. Cependant, en vue du massacre, il devait l'épargner pour aider ceux qui s'étaient retrouvés, comme lui, dans de mauvais draps.

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Mer 03 Juin 2015, 11:13

Event Juin 2015 | Groupe III | Panique dans la Cité  1427289600-orine-nyu

Ovilyn, orine.

« Je me dois de les aider. »

Cette phrase déterminée tournoyait dans l’esprit d’Ovilyn. Elle était impressionnée par l’ardeur dont elle avait fait preuve quand son maître potentiel, un réprouvé qui était toujours attentionné envers elle, lui avait proposé de le rejoindre à Sceptelinôst pour aider la population qui était victime de séismes. Etait-ce l’expression d’une bravoure qu’elle se découvrait au fil de ses expéditions ou juste d’une insouciance de jeunesse ? Elle aimait à s’imaginer héroïne d’un roman, cette femme au fort caractère qui faisait le bien autour d’elle en écrasant les obstacles sur son passage.

« Alors ? Tu viens ? »

Le réprouvé, prêt à se téléporter, commençait à s’impatienter. Elle se hâta de le rejoindre sans plus se poser de questions et fut téléportée avec le réprouvé. … Puis, un tableau chaotique se dessina tout autour d’elle, aussitôt que la forêt du lieu précédent ait disparu. Ici, rien n’avait de sens : des gens criaient, pleuraient et couraient dans des directions inconnues. Et soudain, ressentit une secousse des tréfonds de la terre, comme un monstre apocalyptique qui ronronnait en observant son méfait. Il fallait décidément qu’elle se rende utile. Elle n’avait aucune compétence particulière, mais elle avait deux bras et deux jambes pour aider. C’était déjà ça. Ne sachant que faire et où aller, elle se tourna vers le réprouvé ; mais quand elle le regarda, ce dernier lui sourit d’un air vicieux, retira sa main de la sienne et… disparut. Tout simplement.

Au moment précis où l’orine réalisait que l’homme qu’elle commençait à aimer venait de l’abandonner à la mort, un homme passa tout près d’elle en criant. Elle sursauta et écouta ses paroles : ce dernier avait décidé de prendre les rennes pour organiser le secours des blessés. D’un air confiant, il marchait parmi les décombres, Selon lui, trois groupes distincts devaient se former : un pour les soins, un autre pour les gens coincés sous les décombres et le dernier pour… prendre le relais. Pour elle, le choix fut vite vu. Elle n’avait absolument aucune compétence en soins, et elle ne souhaitait pas s’asseoir sur ses lauriers. Enfin animée par une volonté, Ovilyn courut là où il lui semblait que des gens étaient coincés. Dès qu’elle repéra un groupe agglutiné, elle courut vers eux à toute vitesse. Le sol n’étant pas des plus praticables, Ovilyn se rendit compte qu’elle avait eu un peu trop confiance en elle quand… elle trébucha sur des planches et tomba à la renverse. Sa robe se déchira et un clou s’enfonça dans son avant-bras.

« Aïe ! »

Sonnée, elle voulut prendre appui sur les décombres pour se relever, mais rien ne tenait en équilibre, alors elle se retrouva à patauger parmi les décombres. Animée par l’instinct de survie, car rester au sol signifiait être victime de tout ce qu’il pouvait se passer, elle n’arrivait plus à réfléchir correctement. Mais alors qu’elle s’acharnait, elle se sentit soudain soulevée par des bras. Sans prêter attention à la personne qui venait de la sauver de sa panique, elle se dirigea vers les décombres où le petit groupe était toujours agglutiné, groupe qu’elle n’avait pas quitté des yeux.

Quand elle arriva et se fraya un passage parmi les habitants, elle vit qu’un enfant criait sans relâche, coincé en-dessous d’une tonne de gravas jusqu’à la hanche. Personne n’osait rien faire, appart dégager les décombres qui appuyaient sur le petit corps de l’enfant. Une femme, surtout, était agenouillée devant lui et pleurait en lui caressant les joues. C’était certainement sa mère. La vision d’une telle fatalité choqua au plus profondément l’esprit d’Ovilyn. Elle fut un moment paralysée par ses émotions, ne pouvant se détacher des larmes de la mère. Mais une énième secousse qui ramena des gravas un peu plus loin sur la hanche de l’enfant la sortit de sa torpeur, et elle réfléchit à toute vitesse à une solution. De toute évidence, il y avait trop de décombres pour tous les enlever à temps, sans oublier que cela risquait d’en ramener encore sur lui.

Ovilyn se rapprocha des décombres et tenta d’analyser tout ce qui se trouvait directement sur les jambes de la victime, et elle se rendit compte qu’une porte appuyait sur ses jambes, juste en-dessous de toute la tonne de débris. Un bout de la porte dépassait ; si quelqu’un pouvait la soulever, l’enfant pourrait être tiré en-dehors des décombres. Mais qui aurait la force de le faire ? Cela semblait impossible, car la partie en-dehors des décombres était tellement petite qu’une seule personne pouvait la soulever. Ovilyn ne voyait pas comment faire, mais peut-être que les autres le sauraient ? Prenant son courage à deux mains, elle se posta juste à côté de la porte tombée et fit des grands mouvements des bras pour réunir l’attention des autres.


« Ecoutez-moi ! Il faut soulever le coin de la porte et le tirer en-dehors des décombres ! » Tout le monde s’arrêta et la regarda avec des yeux ronds. Ne comprenaient-ils pas ce qu’elle venait de dire ? Cela lui semblait pourtant simple. « La porte, ici, bloque entièrement son corps. Si on la soulève, il sera libéré. »

« Mais c’est impossible, regardez tout ce qu’il y a au-dessus, enfin ! » Pesta un individu. Mais la mère se releva et, en séchant ses larmes, leur dit :

« Trouvez quelqu’un qui aura la force de le faire ! Ou quelque chose ! Un familier, peut-être ! Toi, surveille-le pour le protéger en cas de nouvelles secousses. Les autres, remuez-vous ! »

Surprise par l’autorité qu’imposait la mère, Ovilyn la regarda un moment, ébahie, puis se décida à aller chercher quelqu’un d’assez fort pour la soulever. A vrai dire, elle n’avait aucune idée de qui chercher et comment. De plus, sa jambe et son bras lui faisaient un mal de chien et ralentissaient sa progression. A vrai dire, elle était tellement faible que si une secousse l’obligeait à courir, elle n’en serait pas capable. Le réprouvé avait bien réussi son coup, c’était certain.

Mots: 999

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Jeu 04 Juin 2015, 14:39


« Vénus ! Est-ce que tout va bien, Majesté ? » Une toute jeune femme s'affolait, l'esprit encore retourné par la violente secousse qui avait fait trembler Sceptelinôst. « Je vais bien. » murmura Lily-Lune d'une voix douce. Dans un soupir soulagé, elle ferma les yeux ; serrant contre elle son enfant d'à peine quelques mois qu'elle tenait dans les bras. « Et toi ? Tu n'as rien, j'espère. » - « Non ne vous inquiétez pas ma Dame. J'ai juste eu … très peur. » - « Tâche d'aller au Port et de prendre le premier navire en partance pour les côtes des Terres d'Émeraude. Il faut partir. Tu n'es pas en lieu sûr, ici. » - « Mais je … » - « Ne reste pas là. Retourne à Maëlith avec le reste de l'ordre et ne revenez pas sur le Continent Dévasté. » - « Et vous ? Qu'allez-vous faire ? » - « La Cité va avoir besoin d'aide. Rejoins les autres Rindas et Yutsuki et partez. » Elle hésita, embarrassée. D'un geste anxieux, elle se frottait les mains ; les yeux glissant sur la Reine. « Vous … Enfin je veux dire … Adam … »  L'Orine baissa son regard, tendre et confus, sur son fils, qui la contemplait avec de grands yeux surpris. De ses doigts de porcelaine, elle effleura les joues du petit rêveur avant d'embrasser son front. « Je te le confie. » souffla-t-elle en le glissant dans les bras d'une Rinda soudainement blême. « Vénus … » - « Je te fais confiance, Merryl. » Le ton était plus sec. La décision n'avait pas été facile à prendre. « Yutsuki se chargera de lui dès que tu l'auras trouvé. File, maintenant. » Elle secoua frénétiquement la tête, nerveuse, avant de partir d'un pas rapide à travers les rues de Sceptelinôst. Lily-Lune l'observa quelques instants, le cœur lourd de voir Adam s'éloigner. La respiration pénible, elle étouffait un chagrin qui n'avait pas sa place mais qui peignait ses traits. Son teint de lait était encore plus pâle que d'ordinaire, les mires noires brillantes. Préoccupée, inquiète, elle tourna les talons pour se rendre à la grande place où, d'après les rumeurs, de nombreux bâtiments s'étaient effondrés.

Lily-Lune arriva aux premiers mots de Galaad. Les pensées encore ailleurs, elle peinait à agir, à décider quoique ce soit. Elle était un fantôme, un spectre aux allures enchanteresses avec son kimono de soie colorée et la coiffure aérienne de ses longs cheveux noirs. Dans la cohue, certains la bousculaient. Elle ne réagissait même pas. « Vous êtes … blessée ? » s'enquit quelqu'un. Elle releva la tête, tirée de ses songes. Dans un léger sourire, elle répondit : « Non. Navrée je suis venue aider. » - « Vous n'avez pas l'air d'aller très bien. » - « Je suis simplement soucieuse. » - « C'est normal. Merci de vouloir soutenir la ville. Vous … n'avez pas l'air du coin. » C'était le moins qu'on puisse dire. L'attention de l'Orine fut attirée par une femme qui hurlait à tout va pour que l'on vienne en aide à son enfant ; des mots qui forcément étaient prompts à faire flancher la mère tourmentée qu'elle était. Une jeune femme était partie à la recherche de quelqu'un pour sortir le prisonnier des décombres. « Ovilyn. » interpella la Vénus qui, grâce aux pouvoirs qu'elle avait développé pour son peuple, avait reconnu l'Orine en un clin d'œil. « Je vais m'en occuper. » lui dit-elle en s'approchant.  Elle tendit doucement les mains, laissant des sphères de métal argenté se créer au dessus de ses paumes. Mouvements fluides et éthérés, elles se séparèrent en plusieurs fils qui allèrent transpercer le bois, se faufiler dans la pierre. Lentement, les débris se soulevèrent, s'écartèrent, pour aller se poser plus loin. Immédiatement, la mère se précipita vers son fils, interpellant les médecins des environs pour qu'ils viennent s'occuper de lui. Lily sourit.

Lily-Lune n'avait jamais été d'une puissance physique époustouflante. Ainsi, elle préférait se tenir à l'écart des décombres, usant de sa magie bouillonnante pour dégager les carcasses des bâtiments quand c'était nécessaire grâce au métal qu'elle faisait s'insinuer dans les restes de la rue. Elle faisait en sorte que les hommes puissent évoluer en toute sécurité, stabilisant le tas de gravats au possible. Puis la Vénus aperçut la silhouette de quelqu'un, une femme qu'elle ne connaissait pas très bien en réalité mais qu'elle appréciait. « Edwina ? »

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Lun 08 Juin 2015, 18:13



GROUPE III
Edwina - Nydelia - Mia - Primrose - Lily-Lune - Olaf [Lully] - Ovilyn [Etincelle]

« Pardon ? » Surpris, Galaad se retourna pour faire face au petit brin de femme qui lui avait adressé la parole, croyant à tort voir quelqu'un qu'il n'était pas. Il eut un léger sourire, presque tendre. « Est-ce l'un de vos proches ? » s'enquit-il doucement. Ils étaient nombreux à avoir perdu quelqu'un dans les décombres, à craindre pour leur vies. « Votre ami était-il à Sceptelinôst il y a peu ? » Il ne pouvait pas savoir que Frey était mort depuis longtemps. Plissant les yeux, le pirate dévisagea avec plus d'insistance la Magicienne, dont le visage lui était plutôt familier. « Ultimage ? » murmura-t-il, hésitant tant il était étonné. « Je ne m'attendais pas à voir un membre de la Couronne ici. J'ose espérer que vous n'étiez pas présente lors des dernières secousses. Quoiqu'il en soit … » Dans un soupir, il balaya du regard les alentours, avisant l'ampleur de la tâche. « Toute aide sera la bienvenue. Et … Tiens donc. En parlant de Reine. » Il s'inclina très légèrement devant la nouvelle arrivée, dont il reconnaissait sans peine les grands yeux noirs et la silhouette fine et élégante. « Vénus. » Il scruta un instant le visage de la jeune femme, dont l'air mélancolique trahissait sa peine. Une petite couche de poussière recouvrait les longues manches de son kimono de soie. « Allez-vous bien, ma Dame ? N'hésitez pas à quérir de l'aide. Vous êtes pâle. » Il jeta un coup d'œil de chaque côté. Nydelia était dans les parages : Galaad le savait, il avait vu l'ancienne souveraine angélique lorsqu'elle avait proposé une solution pour organiser les soins. « Si vous le désirez, je … » Les petites pierres frémissaient par terre, secouées par les prémisses d'un nouveau tremblement de terre. Galaad grinça des dents. Il n'eut pas le temps de prévenir qui que ce soit. La Cité entière vacilla à nouveau. « Attention ! » s'écria quelqu'un. C'était trop tard. Nul n'eut  le temps de s'enfuir ; à peine de crier. Les grandes bâtisses de la rue qui tenaient encore debout s'effondrèrent dans un grand fracas, dans un battement de cils. Galaad attrapa les deux reines ainsi qu'une jeune femme proche, les plaquant contre lui pour les protéger des débris qui s'écroulaient. Accroupis, se protégeant comme l'on pouvait, il n'y avait rien à faire, si ce n'est patienter.

Plusieurs secondes s'écoulèrent, presque une minute qui semblait s'éterniser. Le calme revint peu à peu, sans que les secousses ne cessent réellement. Elles étaient simplement insignifiantes en comparaison au dernier tremblement. Galaad releva doucement la tête, toussotant à cause de la poussière. Il faisait noir et l'on voyait à peine plus loin que le le bout de son nez. « Est-ce que tout le monde va bien ? » demanda-t-il, sans parvenir à arrêter de tousser. Il serra ses mains sur les épaules d'Edwina et de Lily-Lune, tâchant de voir si la troisième demoiselle allait bien. « Les édifices se sont effondrés sur nous. » expliqua-t-elle, crachant ses poumons. Dans le malheur, ils avaient eu une certaine chance. Les décombres des précédentes chutes avaient empêché qu'ils soient écrasés sous les pierres et le bois. « Prenez garde. Un geste trop brusque pourrait nous être … » Il n'acheva pas sa phrase. Ce n'était pas la peine et il ne voulait pas vraiment semer la panique dans les ruines ténébreuses. Il contempla les alentours. Quelques maigres rayons de lueur perçait de temps à autre à travers les vestiges de l'immeuble. « Y a-t-il des blessés ? » Il appréhendait que certains des volontaires soient prisonniers sous une poutre, les bras ou les jambes brisés. C'était un comble. Ceux qui comptaient aider se retrouvaient eux-même sous les gravats. Galaad voulut se relever mais il n'y avait pas assez de place, et le grincement de la structure le convint de ne pas retenter l'expérience.

Quelqu'un pleurait, sanglots lointains de quelqu'un qui devait s'être cassé quelque chose. Galaad se sentait impuissant et il détestait ça. L'air devenait lourd, irrespirable. Seulement, ce n'était qu'un début car, dans le désordre, certains prenaient un malin plaisir à semer davantage de maux. C'est ainsi que Galaad se crispa, sentant la senteur délicieuse et meurtrière d'un poison volatile qu'un imbécile malveillant avait laissé tomber. « Il faut vraiment qu'on se sorte de là. » grogna-t-il. « Dans le calme. » Ce qui risquait de ne pas être facile.

740 mots

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Mar 09 Juin 2015, 11:21

Des secousses… un tremblement… les meubles qui tombent, les murs qui se fissurent… et le bâtiment qui menacent de s’écrouler. Alors qu’Olaf était tranquillement occupé à peindre dans sa chambre miteuse d’auberge, ayant enfin eu une chance de sortir une de ses œuvres dans une exposition à Sceptelinôst –qui n’était pourtant pas connue pour son sens de l’art… et voilà qu’une fois de plus, il fallait que quelque chose fasse obstacle à sa réussite ! Triste comme la pluie plus qu’apeuré par le sol qui tremble, Olaf court à l’extérieur du bâtiment. Mais alors qu’il combattait une peur qui le gagnait progressivement, elle l’envahit totalement quand il découvre tout ce qu’il se passait à l’extérieur. Il est en panique. Ce dernier se met à courir, d’abord en direction de la mer. Puis, il change d’avis et court vers l’intérieur des terres, n’ayant en tête que l’idée de ne pas s’arrêter jusqu’à assez s’éloigner de l’épicentre de la catastrophe. Toujours son pinceau à la main, il se dirige alors vers une sortie qu’il a mentalement désigné. Il essaye d’éviter les personnes qui crient et qui pleurent, n’osant jeter aucun regard autour de lui. Mais soudain, une autre secousse fait trembler la Cité et fait tomber Olaf dans un sous-sol à moitié découvert par l’effondrement de débris. Ce dernier crie alors qu’il tombe au-dessous du rez-de-chaussée et atterrit sur quelque chose de mou. Alors qu’il se relève, faisant l’inventaire de ses nouvelles égratignures, son sang ne fait qu’un tour lorsqu’il constate ce sur quoi il avait atterri : un cadavre. Celui d’une femme.

« Et dire que je pensais enfin passer une bonne journée. »


Désormais, tout cela le dépasse. Il a manqué de s’évanouir en découvrant le cadavre. Mais d’instinct, il bloque toutes ses émotions et impose une seule et unique pensée : partir. Il ne fait plus attention aux cris désespérés ni aux larmes de désespoirs d’autres victimes. Ce dernier entreprend alors de remonter, mais il s’aperçoit avec dépit que les escaliers sont entièrement recouverts des débris de la porte d’en-haut, et autres meubles s’étant écroulés. Il ne lui reste plus qu’une solution : remonter sur une planche qui fait toute la hauteur de l’étage. Elle est peut-être assez penchée pour qu’Olaf puisse s’y hisser… le vampire s’y essaye plusieurs fois, mais il glisse toujours au bout d’un seul mètre remonté. Comment peut-il espérer y arriver comme ça ?! Cette fois, la colère l’envahit et assombrit ses réflexions.

Une idée idiote lui vient alors. Il court vers les escaliers et cherche une espèce de pieu qu’il pourrait planter parmi les gravats pour lui servir de soutien. Quand il pense avoir trouvé le pied d’une table qui pourrait faire l’affaire, il le tire sans réfléchir, trop content de trouver une solution, et dès que l’objet bouge, tout le reste tombe un peu plus vers lui. Cela a le mérite de le stopper totalement dans son action. Mais quand il convient qu’il n’y a plus de danger, il réessaye et cette fois, il arrive à extraire le pied de la chaise des gravas ; mais ces derniers glissent encore et des briques viennent tomber sur le tibia du vampire, lui arrachant un cri de douleur. Il se sent vraiment idiot, cette fois. L’os est-il cassé ? Si c’est le cas, cela va être un réel problème pour survivre ici… Olaf se retourne et va jusqu’aux planches, avec peine. Puis, il réessaye ; mais sa jambe droite est maintenant bien trop faible, et il ne peut donner d’impulsion suffisante pour remonter. Cette fois, le vampire est désespéré. Il s’assoit juste à côté du cadavre et lui tripote les cheveux, tout en prenant une grande inspiration. Puis, il crie pour obtenir de l’aide, sans relâche, en espérant qu’une bonne âme finira par l’entendre. Tout seul, il n’arrivera à rien.
Alors que ce dernier demande de l’aide sans se lasser, une énième secousse survient. Cette fois, la panique s’empare de lui encore plus fortement que les autres fois, car il est piégé sous un plafond et d’autres décombres ; techniquement, tout peut lui retomber dessus ! Olaf court s’emparer du cadavre, qu’il traîne jusqu’en-dessous des planches qui lui semblaient bien tenir. Puis, il hisse la femme morte au-dessus de sa tête, et il attend en priant les Aetheri que rien ne lui retombe dessus. Mais il se met à pleurer quand il se rend compte qu’au lieu de diminuer comme les autres fois, la secousse continue à ébranler le sol et, pire, augmente en puissance, jusqu’à être pire que toutes les précédentes. La planche tombe en premier. Les gravats sur les escaliers se multiplient et envahissent la moitié de la pièce, puis soudain, Olaf ne perçoit plus aucune lumière. Des décombres l’ont maintenant recouvert.

Au bout de minutes interminables, ou des secondes, Olaf n’en a aucune idée, la terre redevient silencieuse. Cette fois, tout est silencieux pendant un moment ; puis, le vampire entend des cris étouffés. Des cris de douleur ou de peine, il ne le sait pas. Le corps toujours au-dessus de lui, le vampire ne sait que faire. S’il bouge, il a peur d’ébranler l’équilibre fragile des décombres. Mais s’il ne bouge pas, qui sait combien de temps restera-t-il ici ? Surtout qu’il n’est pas au niveau des autres… il est en-dessous…

Olaf regarde autour de lui et tente d’analyser la situation, dès qu’il arrive à maîtriser sa panique. Toute la pièce n’est pas totalement recouverte : il peut même se relever à l’intérieur. Par un miracle inconnu, quelques mètres de plafond ont tenu. En revanche, le reste de la pièce est complètement enseveli. Si par miracle quelqu’un venait à le sauver, il devrait nager dans les bouts de bois ! Ne sachant que faire, ce dernier resta dans le coin encore intact du plafond. Quand il regarda le cadavre qu’il avait utilisé, il se rend douloureusement compte qu’elle s’est fait perforer par des bouts de métal et de bois. Voilà ce qu’il aurait pu lui arriver… ce qui peut encore lui arriver. Ce qui lui arrivera, même, si une autre secousse intervient.

Cette dernière pensée achève de remotiver le vampire. Soudain secoué par un flux d’adrénaline, il court vers les escaliers recouverts de débris. Normalement, il devrait y avoir une sortie au-dessus, non ? Il a encore de l’espace libre en bas. S’il libère assez de décombres, peut-être pourra-t-il se frayer un passage vers l’air libre. Ou peut-être dérangera-t-il un équilibre quelconque et il mourra sous les gravas. Olaf rejette ses idées d’une main mentale. De toute façon, s’il reste ici éternellement, d’autres secousses auront raison de lui ; il n’a plus rien à perdre. Alors, il entreprend de libérer l’encadrement de la porte en jetant tous les gravas du dessus. Tout en besognant, il appelle à l’aide, espérant que quelqu’un d’autre tente de libérer les décombres de l’autre côté. Du moins, s’il y a encore des personnes intactes après ce dernier tremblement… rapidement, les plus petits gravas sont dégagés par les petites mains du vampire. Mais en-dessous d’eux, ce sont des trop grands débris qui ont pris place ; Olaf a tellement peu de force qu’il ne parvient pas à les faire bouger. Alors, il saute sur le sol et entreprend de libérer le dessous des grands débris, espérant les faire tomber en ébranlant leur équilibre. Cela marche pour le premier, un bout entier de mur ; il va s’écrouler sur le côté, manquant de trancher le bras d’Olaf au passage, qui l’a évité de justesse.

Sans relâche, Olaf remonte sur les escaliers et recommence son travail de fourmi. Néanmoins, à chaque fois qu'il dégage des débris, il a l'impression que ce n'est d'aucune utilité, puisque d'autres débris arrivent de la prétendue sortie. Cela semble être une tâche sans fin, comme si une montagne de gravas devait être dégagée. Olaf s'arrête et réfléchit à une autre solution en s'imaginant une montagne. Aurait-il un autre moyen d'en sortir par-dessous? Ce dernier descend et entreprend alors de chercher une sortie cachée, par un côté d'un mur donnant sur une autre cave, par exemple. Heureusement qu'il est nyctalope, car dans une obscurité pareille, il n'aurait en temps normal rien réussi à distinguer... plein d'espoirs, Olaf cherche dans chaque recoin libre de la pièce, mais il ne trouve rien. Cette fois, il est en proie au désespoir. Il appelle au secours une dernière fois et attend. Mais tout ce qu'il entend dehors n'est pas en rapport avec lui. Et pour couronner le tout, alors qu'il entreprend encore de dégager la fameuse sortie sans beaucoup d'espoirs, une odeur étrange vient titiller ses narines. Elle est tout sauf agréable et lui inspire tout sauf quelque chose de bon.... serait-ce... du poison ?! Complètement paniqué, cette fois, Olaf court vers son cadavre bien-aimé et arrache le haut de sa robe pour le plaquer contre son nez. L'odeur du sang séché le dérange quelque peu, mais elle est toujours mieux que cette odeur putride qui lui semble plus menaçant que tout.

Cela ne pourrait pas être pire.
Mots: ~1590

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Mar 09 Juin 2015, 14:28

L'homme venait de se retourner. Non, ce n'était pas Frey. Quelle idiote, comment avait-elle pu avoir cet espoir ? Son ancien fiancé était mort, tout comme Iro après lui. Seulement, peut-être que les événements récents la troublaient. Dès que le monde tremblait, la Magicienne se rappelait des précédents chaos, des êtres chers qui l'avaient accompagné dans la tourmente et qu'elle avait perdu. Elle aurait voulu que les Terres du Yin et du Yang puissent connaître la paix plus d'un siècle, que plusieurs générations n'aient pas à perdre ceux qu'elles aimaient. Mais tout ceci semblait impossible. La jeune femme devait cependant se ressaisir. Rien ne garantissait qu'il ne s'agissait pas d'un simple tremblement de terre, un peu plus long que les autres. Rien ne garantissait que la rumeur sur ce mystérieux continent dont lui avait parlé Eorane était vraie. Les dernières terres qui étaient apparues à l'horizon avaient été néfastes pour le monde. Elle ne voulait pas que cela se reproduise. Oh bien sûr, depuis qu'elle côtoyait Bjorn, le Ridere qui lui était à présent familier, il n'avait pas tenté une seule fois de la tuer, mais ce peuple avait été dévastateurs et les Archimages grinçaient des dents quand ils le voyaient passer dans les couloirs du palais. « Oui... enfin, non... c'est que... » répondit-elle en retrouvant ses esprits. Frey n'était plus de ce monde mais à quoi bon le lui avouer ? Non, il valait mieux qu'il n'en sache rien. Néanmoins, après que Galaad l'ait reconnu, ce qui eut le don d'étonner la femme crédule qu'elle était, elle finit par lui avouer doucement : « En réalité, c'est l'Archimage Nylmord que je cherche... Il doit être ici... quelque part... ». Mais où ? Là était la question.

Edwina finit par suivre le regard de Galaad, interpellée par une voix douce et majestueuse, une voix appartenant à Lily-Lune Arae, la Venus. La présence de cette dernière la rassura instantanément, comme si, à ses côtés, rien n'aurait pu lui arriver. Pourtant, la Reine était de faible constitution. Ses poignets semblaient si fins qu'un rien aurait pu les briser. Malgré la pâleur de son teint, elle demeurait magnifique, élégante et fragile à la fois. L'Ultimage sourit doucement, ayant envie de poser bien des questions à la Venus, questions qui ne franchirent jamais les lèvres de la Magicienne, la terre devenant de nouveau instable, les tremblements reprenant. Galaad les enlaça pour les protéger et le rouge monta aux joues d'Edwina presque instantanément. Elle était tellement peu habituée au contact physique que cela la gênait immensément, surtout qu'elle venait de prendre cet inconnu pour Frey. Celle qui serrait sa poitrine avec des bandages afin qu'elle ne paraisse pas trop proéminente, par honte de son propre corps, se sentit mal. Le contact physique était une véritable épreuve, bien pire que l'écroulement des bâtisses. La jeune femme ferma les yeux, sentant le parfum de la Venus à ses côtés, mélangé à celui de l'homme et celui d'une inconnue.

Une fois le moment passé, Edwina peina à faire se calmer les battements de son cœur. Elle murmura un petit « Merci » à l'attention de Galaad, mot dans lequel l'on pouvait sentir à la fois de la gêne et de la panique. Ils avaient été enterrés vivants... Il y avait bien quelques rayons qui arrivaient à passer ici et là mais comment sortir ? Ils ne le pouvaient pas. Plongée dans le noir, l'Ultimage ne put s'empêcher de penser aux conséquences que la situation pourrait engendrer. Elle allait peut-être mourir ici, elle mais pas que, tout le monde ! Où était Nylmord ? Elle se trouvait bien sotte d'être partie le sauver pour se retrouver ensuite prise elle-même au piège. La peur pénétrant son esprit avec force, elle ne sentit pas sa magie opérer, faisant renaître les morts qui avaient péri dans les éboulements, zombies qui commencèrent à déblayer, à essayer de trouver un chemin d'accès pour permettre aux individus encore en vie de retrouver la surface. La Magicienne croisa le regard d'Ovilyn. Elle n'avait pas le droit d'inquiéter les autres, même si l'odeur qui se répandait sous terre ne signifiait rien de bon. Elle lui sourit, comme pour lui montrer qu'il fallait continuer d'espérer. Seulement, la magie d'Edwina, voyant que les mort-vivants n'allaient pas assez vite, décida d'une solution plus adaptée. Ainsi, l'Ultimage disparut dans une envolée de cœurs, réapparaissant à la surface, sur un tas de gravats. La jeune femme se releva, regardant autour d'elle. Sceptelinôst semblait être une ville cauchemardesque mais il n'y avait pas un instant à perdre. Si sa magie ne se préoccupait que de la Reine, cette dernière, elle, voulait sauver ceux qui se trouvaient en dessous des gravats. Avec ses mains, elle commença à retirer les pierres, appelant à l'aide qui voudrait bien l'entendre. La Venus était en dessous ! Galaad était en dessous ! La femme dont elle avait croisé le regard était en dessous ! Elle devait les sortir de là ! Coûte que coûte !

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Jeu 11 Juin 2015, 18:42


Alors que j'allais commencer a chercher après des bandage et autre matériel utile une jeune femme s’approchait de moi et se disait contente de me voir avant de me prendre dans ses bras. Je restais alors immobile pendant ce temps. Je l'avais regarder attentivement, mais rien à faire, elle ne me disait absolument rien. '' Excusez moi mademoiselle, je… je ne sais pas qui vous étés. Malheureusement mes souvenirs sont partit avec mon ancienne vie. Mais vous m’êtes proche n'est ce pas ? Seul mes parents m'appelle ainsi. '' Je voulais lui en demander plus, lui demander ce qu'elle savait de moi. Mais je repartis directement dans mes occupations. Il y avait beaucoup de blesser et je ne pouvais donc pas me permettre d'attendre, je pouvais attendre.
Je continuais a m'occuper le plus rapidement possible de tout le blesser qui s'entassaient. Heureusement, j'avais déjà vu quelque bandage de couleur apparaître, j'avais d’ailleurs aider en en placer d'autre. À chaque fois que je passais prés d'une demeure ou autre, je veillais a n'y laisser personne et surtout à ramasser tout ce qui pourrais nous être utile. J'avais un peu de scrupule à prendre ainsi le bien d’autrui, mais j’espérais qu'ils comprendraient que l'on en avaient énormément besoin et puis, finalement c'était peut être pour eux que  tout ceci allait servir.

Mais alors que le temps passait et que l'on s'organisaient comme on pouvaient, je commençais à sentir le sol se mettre à tremblée une nouvelle fois alors que j'étais en train de m'occuper d'une jeune homme qui avait eu sa jambe cassé par un débris. Voyant les débris tomber une nouvelle fois, je me mis au dessus de lui pour le protégée, je sentis alors une pierre me tomber sur le dos, causant sur son passage une vive douleur. On attendis alors ainsi, espérant pour que ca ne dure pas trop longtemps et finalement ca ce calmais enfin. ''Ca va vous n'avez rien ? ''''Moi oui, mais vous ? '' ''Ca ira, il faut juste que nous trouvions comment vous sortir d'ici. Je reviens.'' Je me téléportais alors à l’extérieur et regardais au alentour. Tout le monde étaient encore sous le chaque de ne nouveau tremblement et tous essayaient de se relever. Mais il n'y avait pas de temps a perdre. J’appelais alors de l'aider pour aider a défaire les gravats qui emprisonnais cet homme et alors que nous allions pratiquement l'avoir sorti, j'entendis un cris. Une femme venait de hurler, à ses cotée un homme c'était relever et pourtant, comme beaucoup on étaient persuadée de le voir mort. Qu'est ce qu'il ce passait ? Pourtant il ne semblait pas vraiment hostile. Je regardais encore un moment quand je vis une jeune femme apparaître de la manière la plus étrange qui soit. En multitude de cœur rien que ca. Je la vis alors se mettre a la tâche pour dégager frénétiquement les personnes qui se trouvait là et m'approchais d'elle. '' Attendez, je vais vous aider.'' Mais alors que je commençais à dégager des pierres, je sentis une étrange odeur s'émanée d'en dessous. Inquiété, je me dépêchais alors de crée plusieurs ouverture d'air pour commencer et ensuite je m'aidais de mon contrôle de l'air pour essayer de purifier un maximum l'air qui s'y trouvait.

Finalement plusieurs autre personne vinrent a notre aide et on pu crée une ouverture suffisante pour sortir les personnes qui se trouvait en dessous. Je pu d’ailleurs constater que c'était celui qui nous avait rassemblée et une jeune femme à la beautés éblouissante que même la saleter ne savait vraiment entacher. Je tendis la main a cette dernier pour l'aider à sortir. '' Vous allée bien tout les trois ? Êtes vous blesser quelque part ? ''  
Comment est ce que l'on allaient pouvoir travailler correctement si à chaque fois que l'on se diraient que tous étaient sortit, un nouveau tremblement aurait lieu ? Ce serais une tâche sans fin, en tout cas jusqu'au moment il n'y aurait plus aucun mur qui tienne encore debout, il en avait déjà plus beaucoup. Mais même les gravats feraient les même dégâts. À mon avis il allait vite falloir trouver un endroit assez dégager pour y mettre les blesser. Mais comment faire pour ceux qui continuerait les recherches, on ne pouvaient comme même pas les abandonner sous prétexte que c'était trop dangereux quand même ? En tout cas ce n'était pas dans me attentions.


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Ven 12 Juin 2015, 00:02

Comment cela était-t-il simplement possible, Ma Ninie ma cousine m’avait oublié, si elle ne m’avait pas dit de suite pourquoi, j’aurais été véritablement vexé… Il était vrai que cela faisait un moment qu’elle et moi on ne c’était pas revu, j’imaginais qu’elle avait eu beaucoup à faire et moi qui voyageait un peu partout sur les terres du Yin et du Yang, des retrouvailles semblait plutôt difficile pour le moment. Je pensais donc que la voir ici maintenant était une chance parmi tout le malheur qui se produisait en moment. Mais voilà comme on dit, un malheur n’arrive jamais seul et cela n’aura jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui vu que je découvrais que ma pauvre cousine était amnésique. J’aurais bien voulu l’aider, mais cela n’était pas aussi important que de venir en aide à ses gens blesses ou coincé sous les décombres. Je me contentais alors de lui dire un peu triste d’après ce qui lui arrivait :

Je suis ta cousine tiens… Enfin, ce n’est pas grave, je t’aiderais à te souvenir plus tard…

Une fois cette histoire fini et aussi rassurer sur le sort de mes parents qui je l’espérais n’avait rien de grave, j’avais la ferme intention de retrouver ma Ninie pour l’aider à se rappeler. Je ne savais pas jusqu’où exactement elle avait perdu la mémoire, mais si elle se souvenait de ses parents, elle pouvait se souvenir de moi. Toujours était-il que je m’attaquais à aider le plus de gens possible, j’envoyais Gouki à la recherche de matériel pendant que Ivy allait voir si des gens étaient coincés pendant que moi je soignais au mieux de mes capacités les gens grâce à Tathar. J’avais de la chance de l’avoir dans mon équipe, même j’avais l’impression que ses pouvoirs de guérison elfique étaient relativement limite avec les dégâts et le manque de végétation qu’il y avait ici. Mais comme je le disais un malheur n’arrive jamais seul, cela semblait être surtout un enchainement de malheur vu qu’un nouveau tremblement de terre se produisait. Un immeuble me tombait alors littéralement sur ma tête.

Heureusement que même dans le malheur, la chance pouvait nous sourire, j’avais juste eu le temps de voir le chute pour que Tathar quitte mon corps pour se mettre dans mon arme, je créais alors avec une bulle d’eau pour me protéger des roches. Celle-ci n’allait pas les arrêter, mais j’espérais au moins dévié les rochers. Mais malgré tout cela, je me retrouvais coincé sous une tonne de pierre avec sans doute pas assez d’air pour tenir des jours là-dessous et puis c’était que j’étais plutôt serré… Mais bon, j’avais sans doute de la chance de ne pas être blesser. Je devais vois le côté positif et c’est ce que je faisais, je tentais donc de garder mon calme pour trouver une solution… le pouvoir de l’arme avec Tathar était hors de question « Mizu » me permettait de maitriser l’eau, mais je risquais aussi de me noyer si je ne faisais pas attention… Surtout que je n’étais pas une très bonne nageuse… Celui d’Ivy qui était Kuki aurait sans doute été plus pratique… Mais vu qu’elle n’était pas tout près de moi, je devais trouver une solution.

Et si tu utilisais ta capacité à contrôler les ombres pour déplacer les roches !?

Mais bien sûr, si j’arrive à la matérialisé cela pourrait marcher… Pourvu que j’ai assez de magie pour faire ça.

J’utilisais alors ma capacité à contrôler les ombres pour les rendre solide. J’avais plutôt du mal ce n’était pas un truc que je maitrisais encore vraiment très bien, mais je prenais un maximum de temps et j’étais aidé par Tathar qui était revenu en moi pour augmenter légèrement ma magie. Au final j’avais réussi à crée une petit fente à peine plus grosse qu’une galerie de taupe… Ce n’était pas extraordinaire, mais au moins, je pouvais voir la lumière du jour et j’allais avoir de l’air de manière constante… Mais je ne savais toujours pas comment sortir de là… Mais c’était à ce moment-là qu’une truffe humide venait d’apparaitre pour ensuite entendre une voix familière

Enfin je te trouve, quand le tremblement a eu lieu je me suis inquiète et Gouki aussi apparemment… En tout cas, j’ai l’impression que tu as besoin d’aide.

Oui alors si tu veux bien fusionner avec moi !?

Et me voilà avec l’esprit d’Ivy en moi, je criais alors pour que tout ceux aux alentour puisse m’entende :

Attention au-dessus j’arrive !

Une puissante bourrasque de vent apparaissait par le petit trou pour ensuite faire boucher les grosses pierres qui m’empêchait de retrouver la liberté. D’un bon je sautais hors de mon trou pour ensuite m’assoire comme une pierre et dire :

Pff, c’était chaud.


789 Mots

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Ven 12 Juin 2015, 18:53


Accroupie dans l'ombre et la poussière, prisonnière des décombres, Lily-Lune songeait avec une certaine amertume que la situation s'aggravait un peu plus à chaque instant. La suite promettait d'être éprouvante. Doucement, la Vénus releva la tête, accordant un léger regard à Galaad. « Merci. » lui murmura-t-elle tout bas. Il n'avait pas hésité un seul instant à être le bouclier de trois étrangères, un geste qui était tout à son honneur. Les joues rouges, elle s'écarta autant que les débris lui permettaient de l'étreinte de son sauveur, gênée par une telle proximité, mal à l'aise à l'idée qu'elle pourrait relâcher par mégarde son attention et libérer sa malédiction. « Edwina ? Ovilyn ? Allez-vous bien ? » continua-t-elle, inquiète. « Edwina ? » L'Ultimage n'était plus là. Ses lèvres se dessinèrent lentement en une expression pincée. Elle voulut fouiller dans sa robe pour attraper les quelques fioles qu'elle gardait toujours sur elle. Elle fit une petite grimace. Dans les éboulements, elle avait dû se blesser le poignet, peut-être même le casser. Elle attrapa trois petits flacons de son autre main, ouvrant les bouchons pour respirer les différents  parfums et dénicher celui qu'il lui fallait. Dans un sourire, elle secoua la minuscule bouteille qui se mit à dégager une vive lueur. Certains, aux alentours, soupirèrent d'aise, soulagés de voir plus loin qu'au bout de leur nez. L'Orine croisa lentement les bras sur ses jambes repliées, posant son menton sur ses genoux. Peut-être aurait-elle préféré rester dans le noir ; au moins elle n'aurait rien vu. Ses grands yeux noirs percevaient des choses invisibles aux autres. Elle voyait les morts, et ils étaient nombreux. Pire, leur nombre semblait augmenter de minute en minute. Pensive, elle resta longtemps sans bouger, perdue dans ses pensées. Elle fit glisser son regard sur Nydelia lorsque celle-ci lui adressa la parole, après avoir dégagé un semblant de chemin. Elle soupira, se mettant à escalader les poutres brisées pour remonter à la surface, jusqu'à attraper le bras tendu de l'Ange de sa main valide. « Merci Nydelia. Je vais bien, juste quelques égratignures. » Elle n'avait pas l'intention de se plaindre de son poignet, et personne ne remarquerait dans le désordre qu'elle avait usé de sa main droite alors qu'elle était gauchère. Elle aperçut la silhouette de la Reine Blanche, à débarrasser des gravats à tout vas. « Edwina, calmez-vous. » souffla la jeune femme à la Magicienne, en se penchant près d'elle. « Ne vous blessez pas. Les gens sortent peu à peu. » Elle lui sourit.

C'était dangereux. La Cité était trop instable et risquait de trembler à nouveau n'importe quel moment. Lily-Lune regardait les environs, préoccupée par les évènements qui s'enchaînaient. D'autres bâtiments menaçaient de s'effondrer, ils ne résisteraient pas à une nouvelle secousse. Il fallait faire quelque chose. La Vénus prit une grande inspiration en se relevant. Dans un crissement sourd, du métal alla se plaquer contre les murs des édifices encore debout. Concentrée, elle créait sa matière première ; préférant éviter d'utiliser celui des vestiges qui pouvaient maintenir toute la fragile structure en place ; la tordant en barre pour renforcer les constructions. Sans se presser, elle sécurisa autant que possible les parages, créant d'épaisses barrières qui amortiraient d'autres chutes. Lily-Lune s'interrompit dans son ouvrage, coupée par le hurlement déchirant d'une femme qui secouait un enfant d'à peine deux ans. Quelques infirmières étaient près d'elle, la mine résignée. L'une d'elle agrippa l'épaule de la mère, lui susurrant que c'était terminé. Elle cria de plus belle, insultant presque son interlocutrice, refusant d'accepter la fatalité. Lily-Lune baissa les yeux, sensible aux sujets. C'était une mauvaise idée et elle le savait. Pourtant, elle alla à la rencontre de cette femme si désœuvrée. Elle s'accroupit lentement à ses côtés, sans rien lui dire tandis qu'elle pleurait. Puis, délicatement, elle posa son doigt sur la petite bouche du bambin, pas plus soucieuse des interrogations qu'on lui lançait. Touche d'éclat et de clarté, la peau brilla l'espace de quelques secondes. L'enfant ouvrit les yeux, surpris. « Comment … » balbutia sa mère. Lily-Lune recula d'un pas, chancelante. La résurrection était un don aussi fabuleux qu'épuisant. Elle le maniait toujours avec prudence. « Vous pouvez … ramener les gens à la vie ? » On la dévisageait soudainement avec intérêt, avidité. Ils étaient beaucoup à avoir perdu un proche, autant à ne pas accepter son départ. Une petite foule encercla l'Orine, lui sommant de sauver quelqu'un. « S'il vous plait … » Lily-Lune essayait de s'en aller, encore vacillante.

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Dim 14 Juin 2015, 18:25

A mon aide, une personne que je n'aurais jamais pensé voir en vrai répondit : Lily-Lune.  Cette dernière se dirigea vers elle et à chaque pas qui les rapprochait, Ovilyn se demandait si elle rêvait.  Mais cette dernière était bien réelle, et elle prononça même son prénom. Ovilyn bégaya quelque chose d'incompréhensible puis, retrouvant à peu près ses esprits, dirigea l'orine vers l'enfant en danger. Lily-Lune s'en occupa sans aucune difficulté et la mère se précipita vers son enfant, versant cette fois des larmes de joie et de soulagement. Toute cette émotion arracha même une larme à Ovilyn. Elle voulut remercier l'orine, mais elle était déjà partie aider quelqu'un d'autre, ce qui était normal. La cité avait bien plus besoin de personnes aussi puissantes qu'elle plutôt qu'une orine sortant tout juste de son cocon familial. Alors qu'Ovilyn courait pour aller trouver d'autres personnes, une autre secousse intervint, plus puissante cette fois, et fut suivie par d'autres secousses de plus en plus dangereuses. Tout le monde s'était arrêté de courir, chacun tentant de se protéger des futures chutes des bâtiments environnants. Et soudain, l'orine entendit un bruit horrible juste au-dessus d'elle ; un bâtiment énorme allait s'écrouler sur toute la rue. Elle tenta de courir dans une direction inconnue, totalement paniquée, en criant. Mais sa fuite fut interrompue par des débris qui firent bouger les planches sur lesquelles elle courait. Elle tomba parterre et fit une roulade pour éviter le plus gros du bâtiment; néanmoins, une fenêtre vint tomber sur elle et une douleur foudroyante secoua tout son dos. Elle n'osa plus bouger jusqu'à ce que les secousses cessent totalement.

Ovilyn releva la tête légèrement. Quand elle bougea, des décombres tombèrent d'au-dessus d'elle, provoquant une nuée de poussière qui la fit tousser bruyamment. Elle entendit vaguement une voix masculine s'assurer de l'état de tout le monde, voix suivie par un mouvement qu'elle capta vaguement non-loin d'elle. Ce dernier les avertit, disant que le moindre mouvement pouvait leur être fatal, et demanda aux blessés de se manifester. Aussitôt, elle entendit des râles de certains. Etait-elle gravement blessée ? Pouvait-elle bouger ? Ou le devait-elle, au moins ?


« Je crois que je vais bien... j'espère que vous aussi... Vénus... »


Ovilyn avait hésité sur le titre à donner à sa Souveraine. Et dire qu'elle était venue pour aider des civils au péril de sa vie... et si elle mourait ici, avec Ovilyn ?! Alors qu'elle n'osait bouger, se posant une multitude de questions, une odeur étrange chatouilla ses narines. Elle n'était pas désagréable, mais l'effet immédiat qu'elle fit dans ses poumons la fit se rendre compte qu'il s'agissait de poison. Là, elle se mit réellement à paniquer. Mais soudain, elle compris qu'elles ne resteraient pas plus longtemps sous les décombres, du moins si assez de personnes venaient à l'aide de celle qui avait entrepris de retirer tout ce qui s'était effondré sur elles. Ovilyn ne pouvait rien faire. Elle tenta de retenir sa respiration et se retint de bouger ; la panique lui criait de se dégager toute seule des décombres, mais l'homme qui avait pris les choses en main le lui avait déconseillé, et il avait certainement raison. A mesure que les personnes se multipliaient pour les aider, Ovilyn voyait que la lumière se faisait plus forte et l'air plus frais. Bientôt, elle fut totalement dégagée par ses sauveteurs et respira une bonne bouffée d'air, remerciant toutes les personnes qui avaient contribué à la sortir de son linceul. Puis, elle regarda avec admiration la Vénus renforcer les rares constructions qui avaient résisté au séisme. Mais elle avait réagi au cri désespéré d'une mère. Ovilyn ne voyait pas ce qu'il se passait, mais elle eut l'impression qu'elle guérissait un enfant... ou... non, elle n'aurait pu que le guérir. La résurrection était une chose que seuls les Aetheri pouvaient provoquer ? Qu'en savait-elle, de toute façon ? Coupant court à ces questions qui ne l'aideraient pas maintenant, l'orine se précipita pour rejoindre des petits groupes qui s'affairaient à enlever des gravats, certainement pour sauver d'autres personnes.  Elle réussit à remonter quelques personnes encore vivantes, mais elle découvrit aussi un cadavre. C'était la première fois de sa vie qu'elle voyait un corps sans vie, un corps juste après que la vie l'ait quitté. Cela la choqua profondément ; plus capable de ne rien faire, elle se contenta alors de suivre le mouvement général sans ouvrir la bouche.
Mots: 820

Résumé:
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Mar 16 Juin 2015, 12:48



GROUPE III
Edwina - Nydelia - Mia - Lily-Lune - Olaf [Lully] - Ovilyn [Etincelle]

« Excusez-moi ? Vous êtes Galaad, n'est-ce pas ? » Le Pirate perdait peu à peu patience, le cœur serré à chaque fois qu'il apercevait un corps qui aurait très bien pu être celui de sa sœur. Honorine était introuvable. « Oui ? » marmonna-t-il en se retournant, jetant un coup d'œil à la femme sans âge qui lui avait adressé la parole. « Je suis navrée de venir vous importuner mais je suis très inquiète. Ma fille a disparu. » - « Désolé pour vous mais je ne sais pas si vous l'avez remarqué, vous n'êtes pas la seule dans cette situation. » Il tourna les talons. La situation s'aggravait davantage à chaque seconde, il n'avait pas de temps à perdre. « Non ! Non, attendez. Vous ne comprenez pas. Sara était près de moi il y a à peine cinq minutes. Nous étions dans les premières sorties des effondrements. Elle n'est pas sous les décombres. » - « Pardon ? » - « Elle était avec les infirmières. Elle les aidait à soigner les blessures peu profondes. » - « Est-ce que vous en êtes certaine ? » - « Évidemment ! » Galaad se mit à scruter les alentours. Dans le désordre et le chaos, il devenait difficile de capter quoique ce soit d'anormal. Pourtant, il remarqua un jeune homme qui courait à travers les poutres et les briques. Les traits tordus, il appelait quelqu'un. « Galaad ! » s'écria une voix. Malheureusement, ce n'était toujours pas celle qu'il souhaitait entendre. « Monsieur Krath. » le salua-t-il d'un air distrait. « Je suis soulagé de voir que vous allez bien, jeune homme. Avez-vous trouvé votre sœur ? » Le teint blême, il baissa les yeux sur le vieil homme. « Vous avez vu Honorine ? » - « Oui, elle vous cherchait ! » - « Quand ? » Le ton de Galaad était sec, presque brutal. « Je .. Je ne sais pas trop. Je dirai que je l'ai aperçu il y a une petite vingtaine de minutes. Ma femme dit l'avoir vu encore plus récemment. » Pourquoi n'était-elle pa venue ? Galaad se tenait dans les hauteurs, de manière à mieux superviser les recherches et les soins. Placé à un point stratégique, il était vu de tous. Comment Honorine aurait-elle pu râter son grand frère ? « Où était-elle ? » - « Avec les infirmières, d'après ma femme. » - « Merci. » Il accorda un léger regard à la Réprouvée qui cherchait sa fille. « Attendez-moi ici. » Quelque chose se tramait dans l'ombre.  Il avait cru, un instant, que la journée ne pourrait être pire. Il commençait à croire qu'il s'était trompé.

« Je suis débordée ! Si vous êtes bien portant, allez ailleurs. » Les infirmières ne lésinaient pas à la tâche. Elles étaient surchargées, dépassées et fatiguées. « Vous allez m'accorder quelques minutes. » articula lentement Galaad, loin de laisser le choix à la pauvre femme qui releva des yeux surpris sur lui. « Vous recevez l'aide de quelques jeunes, n'est-ce pas ? » - « Oui. Ils s'occupent des blessures les plus superficielles pour que les hommes de médecine et les guérisseurs ne s'occupent que des cas préoccupants. » -  « Connaissez-vous une certaine Honorine ? » - « Oui, elle était dans mon unité. Elle est partie avec une autre fille il y a quelques instants pour faire un bandage à un gamin. » - « Par où sont-elles parties ? » - « Vers l'ancienne boutique d'antiquité. » Galaad n'était déjà plus là. Il fouilla le quartier détruit avec une rage qu'il n'essayait même pas de dissimuler. Il craignait le pire. On murmurait d'étranges histoires dans la ville, à mesure que les disparitions soudaines devenaient plus fréquentes. Quelqu'un devait allégrement profiter du désordre. Galaad réfléchit un instant, hésitant quand à la marche à suivre. Tout en se répétant que c'était de loin la pire idée de la journée, il grimpa sur un bâtiment chancelant. Debout sur le toit, il clama d'une voix forte : « Plusieurs enlèvements ont été signalé. Quelqu'un ou quelque chose joue des tremblements de terre et des effondrements pour kidnapper certains d'entre nous. Soyez vigilants car je vous demande tout de même de garder votre poste. Il y a encore des centaines de personnes prisonnières, des blessés. Ces gens ont besoin de votre aide. J'aurai besoin de quelques volontaires pour partir à la chasse du responsable, de quelques désignés pour faire des rondes et veiller sur les autres. Soyez méfiants. Cela peut être n'importe qui. » Même quelqu'un qui fendrait l'envie d'aider.

770 mots

EXPLICATIONS:

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Jeu 18 Juin 2015, 23:28

Quel histoire, j’avais eu beaucoup de chance, mais cela ne semblait pas être le cas de tout le monde. Je ne savais pas si ses tremblements allaient encore durer longtemps. Si c’était le cas, il faudrait mieux fuir d’ici dans l’espoir de trouver un endroit qui ne serait pas dangereux. Car, même si je n’avais pas peur de quelques tremblement de terre, je savais que pouvait surmonter cette catastrophe naturelle toute seule. Je ne m’inquiétais pas non plus de Gouki qui était un loup rapide et malin. Il saurait se mettre à l’abri tant problème… J’étais un peu plus inquiète pour Ninie, j’étais sûr qu’elle était devenue une femme forte. Mais je me demandais si son amnésie ne risquait pas de lui cause des soucis pour se défendre… Malheureusement, je ne savais pas où elle était, j’allais donc devoir trouver un moyen pour la retrouver et m’assure qu’elle allait bien. Je savais que cela était un peu égoïste de pensé à sa sécurité alors que des gens avait sans doute plus besoin d’aide qu’elle. Mais je n’y pouvais rien, j’étais comme ça je m’inquiétais pour Ninie même si c’était elle la grande de la famille… Mais voilà, c’était ma famille et la famille c’était important.

Je me dirigeais alors vers l’endroit où j’espérais la trouve, mais je trouvais à la place un homme qui criait pour bien se faire entendre. Il disait que des gens se faisaient enlever sans raison apparente… Mais comme si c’était le moment de joué les criminel franchement, la ville était sur le point d’être rayer de la carte tellement elle avait subi de dégât, mais comme si cela ne suffisait pas, des gens s’amusait à orchestrer des kidnappings en masse… Il fallait sauver ses pauvres gens prisonnier de ses méchants. Mais comment faire… Mia réfléchirait pendant quelques instants avant d’avoir une idée qui allait peut-être pouvoir marcher. Elle se mettait alors à chercher un bâtiment encore en plutôt bon état et surtout assez haut avant de demander à Gouki de l’attendre au pied de ce bâtiment. Je fusionnais avec Tathar pour me mettre sur le toit grâce à la capacité de voler que m’offrait mon compagnon. La seconde qui suivait la séparation de nos esprits venaient celui d’Ivy qui avait des capacités qui allait me permettre de retrouver et d’arrête ses bandits. J’utilisais la vision d’aigle d’Ivy pour pouvoir voir pratiquement tout ce qui se passait en ville. Vu que j’étais en hauteur, je pouvais aisément voir une bonne partie et donc trouver les Kidnappeur.

Au bout de quelques minutes de recherche, je trouvais enfin un de ses criminels avec sa victime en main. Je sautais du bâtiment et utilisait ma faux pour amortir ma chute et donc évité de me faire mal. Une fois toucher terre, je sautais sur Gouki qui utilisait sa super vitesse pour atteindre rapidement ma cible, je conservais d’ailleurs toujours la vison d’aigle d’Ivy pour être à l’affut du moindre piège ou même mouvement suspect. A peine je voyais le criminel que je me tenais debout sur Gouki avant de sauter les deux jambes en avant pour fracasse la face de cet homme. Je sortais ensuite rapidement ma faux pour me mettre en garde, quand l’homme se relevait avec un peu de sang qui lui coulait des lèvres, je remarquais qu’il n’avait vraiment rien de bien méchant en apparence… Comme quoi, il ne faut pas se fier à un libre par sa couverture. Toujours était-il que je plaçais ma faux entre cet homme et moi pour ensuite lui dire de la façon la plus menaçante possible :


Les vilains comme toi n’ont pas leur place ici. Alors vas-t’en et je ne te fracasserais pas.

J’avais beau être sérieux l’homme donnait l’impression d’être deux fois plus grand que moi. Du coup, celui-ci ne me prenait pas au sérieux. Un combat rapide, mais intense avait alors lieu. Alors que l’homme s’apprêtait à me foncer dessus, moi je plantais ma faux dans le sol et comme une catapulte je me projetais sur lui. Pourtant, l’homme à ma grande surprise avait réussi à bloquer le coup que je lui avais porté en plein vol. Un coup de pied magistral pourtant. Mais je ne paniquais pas pour autant car, j’envoyais ensuite un coup de faux tout en utilisant la force surhumaine d’Ivy, le pauvre, il avait beau avoir bloqué ce coup-là. L’attaque était trop puissante et perfora sa défense. Par chance, je n’avais pas attaqué avec le coté de la lame. Je voulais le ramener vivant. J’utilisais donc pour fini lien du destin pour ensuite le ramener devant tout le monde. Avec un peu de chance une fois qu’il aurai repris pleinement connaissance, il nous dira pourquoi il kidnappait des gens à un moment pareil et où était ses complices.


795 mots

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Event Juin 2015 | Groupe III | Panique dans la Cité

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