[-18] ◊ La graine du Mal... ◊ [PV: Samael]

Mar 21 Avr 2015, 00:44

Melody, ma chère élève en tout cas, elle semblait devenir une élevé de choix. Il fallait dire que ce n’était pas facile d’avoir des élevés dans mon domaine. Je maitrisais le sadisme comme personne et quand certaine personne voyaient tout ce que je pouvais faire, il n’était pas rare de les voir dégouté et partir. Même chez les démons, il y avait des petites natures. Mais cette jeune demoiselle semblait par contre des plus satisfaite de notre jeu de torture… Je pouvais même présumé qu’elle prenait de plus en plus de plaisir. Peut-être même qu’un jour elle prendrait du plaisir comme moi je pouvais en prendre… Au point d’en devenir une drogue, au point que cela soit orgasmique. Parce que pour moi, il n’y avait rien de plus excitant que de torturer un être vivant. Mais évidemment mon sujet préfère était bien souvent les vierges… Si en plus c’était un ange. Rien que d’y pensé cela me donnait envie.

Toujours était-il que j’expliquais les exercices suivant à mon élève qui s’exécutait sans rechigner… Même si je savais que l’idée de mettre cette petite écharde à un endroit si intime ne lui enchainait guère… Mais si elle savait seulement ce que cela destinait à l’homme elle trouverait cela des plus amusants. Je lui expliquais d’ailleurs bien l’idée des échardes. Pour ceux qui ont déjà reçu une écharde c’est désagréable. Plus elle est enfoncé dans la chaire plus cela semble pénible. Alors imaginé dans l’organe reproducteur masculin. Plus d’érection et une douleur horrible simplement pour uriner. S’il voulait ne plus souffrir la seule solution était de couper le pénis… Un sort très peu enviable pour n’importe quel homme à mon sens… Moi-même qui étais aussi masochiste je n’espérais pas me retrouver avec ce membre en moins. Perdre un bras ou une jambe me semblait même moins pénible.

En tout cas, elle était beaucoup moins mal à l’aise pour retirer la glace morceau par morceau. Avec des morceaux de peau qui s’enlevait. J’avais mes mains sur les siennes et mon corps très proche du sienne. Je lui laissais faire le boulot, mais je tentais de l’aide un peu si cela semblait un peu trop difficile physiquement. En tout cas, si elle avait du dégout pour l’homme je n’en faisais clairement plus partie… Pas de l’homme, mais du dégout. Dans tous les cas, je savais maintenant qu’elle avait pris réellement gout au sadisme et la torture… Je ne pouvais d’ailleurs pas m’empêcher de sourire quand une fois fini elle se retournait vers moi pour m’appeler « maitre » Rien d’avec ce mot, j’avais le sentiment qu’elle m’appartenait… J’écoutais la suite de ses paroles pour ensuite prendre une petite aiguille très fine et fer.

Quand tu auras pris un peu de la bouteille, tu arriveras à sentir quand il faut laisse respirer ta proie… Car, d’une façon ou d’une autre, si tu veux que le jeu dure aussi longtemps que possible. Tu dois la ménager.

Je faisais rouler les yeux à ses derniers mots. C’était tellement étrange de dire ménager à une personne qu’on torturait…

Mais si tu veux vraiment le réveiller… A moins de connaitre un sort pour l’aider à se réveiller, je dirais que la douleur vive est méthode la plus efficace. Tu sais ce que c’est un nerf ? Grace à cette aiguille nous allons atteindre un de ses nerfs et la décharge qu’il va recevoir devrait le réveiller.

Je ne connaissais pas beaucoup cette méthode… c’était une torture qui demandait un peu trop de finesse pour moi. Pourtant, montre l’effet de ma théorie, je tournais la nuque de notre amis et plantait l’aiguille dans celle-ci. Etant petite et fine, il y avait peu de chance de mourir. Par contre son réveille lui se faisait des plus brutales. Vu qu’il se mettait à gigoter dans tous les sens une foi que j’avais réussi à toucher ce que je voulais.

Bien… on dirait que cela marche… Il est temps alors de passe à la suite… Mais avant cela je voudrai savoir… Tu veux qu’il vive ou qu’il meure ?

La question avait son importance car, en fonction de sa réponse la torture suivant allait légèrement changer. Pendant que j’attendais sa réponse, je prenais une vieille barre de fer qui se trouvait dans la cabane et je jouais un peu avec avant de lui expliquer pourquoi je voulais qu’elle me donne sa réponse :

Si tu voulais le laisser vivre, on se contenterait de le lui mettre dans son rectum bien profond jusqu’à ce que s’assoir soit une torture. Si tu sinon, je chaufferais se morceau de fer à blanc pour une fois bien enfoncer ou crame de l’intérieur.

D’une manière ou d’une autre il allait souffrir et même si j’imaginais bien que l’idée d’enfoncer cela dans l’orifice de cet homme n’était pas très plaisant. Je me disais que l’idée de faire subir en quelques sortes ce que ses hommes lui avait fait subir lui plairais… Même si quand on y pense je faisais aussi parti de ce genre d’homme en quelques sortes.

Hrp:

Dim 03 Mai 2015, 12:11

Attendre, gagner en expérience, m'entrainer… C'était toujours le même refrain, peut-importe l'activité. Tout semblait se gagner par le travail et le temps… Et que cela pouvait-il m'agacer ! Pourquoi ne pouvions-nous pas instantanément obtenir un savoir en lisant un livre ou encore mieux, instantanément ? Je voyais déjà se profiler à l'horizon les longues séances de torture que j'allais devoir effectuer avant de parvenir à un niveau correcte en la matière. Et il me fallait bien me focaliser sur tout le plaisir que cela m'apportait pour ne pas baisser les bras par pure flemmardise. Je soupirais alors, sans retenue. Le ménager ? Quel ennuie ! Je me sentais tel un chat à qui on refusait de jouer avec une pauvre petite souris.

« Hum… Il doit bien y avoir des poisons qui me permettraient d'arranger ce problème, je pense. Peut-être une qui annihile le sommeil, y compris la possibilité de s'évanouir… La personne serait alors plongée dans une sorte… d'état second… qui permettrait à son corps de ne plus ressentir la douleur quand il serait à bout… Tout en gardant la victime parfaitement consciente. La torture de l'esprit, c'est bien aussi. »

J'avais réfléchis à voix haute, perdue dans mes sombres pensées. Certains serpents et même insectes possédaient ces types de poisons. Il me faudra en récolter et le travailler. Je n'étais pas capable de confectionner de potions. Mais en revanche, m'offrir les services d'un Maître en la matière était dans mes moyens. J'étais certaine qu'en tant que cliente dévouée, certains de mes commerçants préférés n'hésiteraient pas à me rendre ce petit service, si tant est que je leur fournissais la matière première... Il me faudra retourner sous peu au Continent du Matin Calme, cela devenait presque une obligation. Et puis, j'allais aussi devoir me fournir en matériel. Lorsque l'on commence une activité, il est nécessaire de se procurer les éléments basiques à se pratique. Des aiguilles, des scalpels et autres objets contondant… Ce sera parfait.

« Oui, je connais. J'ai déjà subis cette torture il y a fort longtemps, de mon vivant. Et… Je veux qu'il vive, mais pas sans avoir été humilié et détruit. J'aimerais même l'utiliser, si cela ne te pose aucun problème, pour envoyer un petit message à la secte de feu mon mari… Qu'ils sachent que je suis toujours envie… Et bientôt prête à me venger. »

Je savais que certains de ces rats grouillaient toujours sous la cité, utilisant les femmes des rues comme de vulgaires morceaux de viandes… Ils devaient être punis, détruits, jusqu'au dernier ! Dans la douleur, les flammes et le sang ! M'avoir sous-estimée, grave erreur ! J'étais peut-être fragile, mais certainement pas sans danger pour leurs petits derrières de cochons. Et je souriais, absente, imaginant leurs visages déformés par la terreur tandis que je les découpais comme des jambons. Mais je revenais bien vite à la réalité, mes mains me picotant légèrement à force de tirer sur tous ces morceaux de glace. Sa peau était à vif, un véritable festin pour toutes les maladies, et si il ne s'en attrapait pas une, il était bien chanceux… Si tant est que l'on pouvait appeler cela de la chance…

« J'ai une meilleure idée ! Pourquoi ne pas lui brûler la peau à aux endroits que l'on a dépourvue de chaire ? Cicatrices ignobles à vie, douleur garantie, ses bras craquelleront à chaque fois qu'il fera un geste trop brusque et il risquera l'hémorragie à toute instant ! qu'en penses-tu ? »

Loin de moi l'idée de ne pas vouloir expérimenter ce que cette chose enfoncer en lui provoquera, mais je cherchais ici une souffrance bien plus visible que celle qu'une barre de fer lui provoquerait en s'asseyant. Et puis, je songeais qu'il aurait toujours la possibilité de trouver quelqu'un capable de le soulager. Non, je voulais que tout le monde puisse lire sur son corps la laideur de son esprit. Que plus personne n'ose s'approcher de lui, lui adresser la parole ! Et pourquoi pas se servir de ce tisonnier pour lui infliger milles maux ? Le priver de sa vue, de sa langue, de son ouïe ! Faire de cette homme une carcasse vide, se trainant sur terre, incapable de ressentir quoi que ce soit d'autre que la douleur ! Rien que d'y penser, j'en avais des frissons sur tout le corps !

Sam 09 Mai 2015, 01:07

Malheureusement, il n’hésitait pas une recette magique pour réussi tout à tous les coups, moi-même j’avais pris des années pour pouvoir torturer les gens sans qu’il perde connaissance instantanément. Trouver le bon rythme sentir à la première torture les limites de notre proie. Planter une lame dans le corps d’une personne sans la tuer était véritablement un art. Nul art ne demandais autant pratique et de précision que la torture. Il fallait connaitre et comprendre le corps. Presque pouvoir lui parler. Mais aussi ce qui était important c’était de savoir si notre proie pourrait repartir vivant ou en pièce détacher. J’étais un démon, j’aimais la violence et le sang et pourtant cela ne m’empêchait pas de savouré une proie qui s’en va après avoir subi d’atroce sévices. Ma chère élève savait bien de quoi je voulais parler. Elle avait peut-être perdu la tête, mais elle était revenue à la vie. La mémoire intacte les souvenirs toujours présent. Les traumatismes ne s’en font pas difficilement. Ils ne partent jamais.

Toujours était-il que pendant qu’elle émettait des idées sur comment maintenir une personne éveiller, une idée me venait en tête… Certes depuis déjà bien longtemps j’avais rarement besoin de trouver une solution pour garder une personne éveillée. Mais elle avait sans doute raison, il y avait sans nul doute un moyen de maintenir nos proies en vie, mais je doutais qu’il y aurait une solution sans une contrepartie… Pourtant, alors que je réfléchirais un peu à son idée, une venait à moi. Je n’étais pas sûr que cela soit une bonne idée, des tests devraient sans doute être effectués. Vu la particularité de la chose et ses tests ne pouvait pas être fait par moi je n’avais aucune expérience en potion. Un sorcier serait sans doute demander. Mais dans l’idée de savoir : je prenais mon épée pour m’ouvrir la paume de la main et dire :

Peut-être de l’adrénaline ou un truc du genre… Mais si le corps perd de ses sensations cela perd de son intérêt et l’adrénaline risque de rendre l’individu plus agressif. Mais si tu le mélange avec mon sang… Peut-être qu’après quelques expérience et un bon dosage du devrait trouver le produit qui permet de le garder conscient et totalement inoffensif… Si tu as une gourde ou quelques choses du gens sert toi.

Enfin bref, la suite venait et alors qu’elle finissait de retirer les morceaux de glaces sur les bras de notre ami, elle proposait une idée sur ce dernier point. Bruler à vif la chaire découverte de notre pauvre victime. Je souriais amusé. Certes l’expérience ne lui permettait pas de savoir que la perdre d’une telle quantité de chaire allait déjà le marquer visuellement. Mais, ce qui m’intéressait c’était plutôt la sensation que notre camarade allait ressentir alors je lui disais donc de manière amusé :

En réalité, il serait déjà marqué à vie à cause de la glace et de la quantité de peau perdu, mais j’aime bien l’idée Surtout sur le fait de la douleur qui va subir à cause du changement de température assez brutal. En tout cas, je vois que tu prends vraiment gout à jouer avec lui… j’ai presque l’impression que ce n’est plus simplement à cause de son sexe, mais bien par pur plaisir. Je me trompe ?... En tout cas, fais ce que tu veux de lui, c’est ton jouet. Je suis là que pour t’aider et t’indiquer la marche à suivre. Comme ferait tout bon maître pour son élève.

Bon l’aidé c’était surtout tant que j’y trouvais mon compte, mais ici je m’amusais bien donc c’était avec plaisir que je l’aiderais à bruler notre ami si elle le désirait. On pouvait croire que je jouais l’ange gardien envers elle… Ce qui n’était pas faux, mais j’avais une bonne raison pour cela. Je savais que pour avoir un serviteur fidèle, il y avait deux méthodes. Soit le torture avec violence et sadisme, soit se montrer généreux avec. Mais d’une façon ou d’un autre, l’idée était de lui faire comprendre que c’était moi le maître… Au point que je puisse lui demander n’importe quoi et qu’elle s’offre à moi corps perdu… Même si à corps perdu c’était sans doute un peu trop tôt

Lun 11 Mai 2015, 16:37

C'est vrai, ce démon avait parfaitement raison. Je m'amusais maintenant énormément et mon imagination débordait de nouvelles idées à tester sur notre cobaye. Peut-être que cela était du à ma nature de Dullahan, ou bien aux gènes de sorciers qui coulaient dans mes veines ! Mes parents étaient tous deux des magiciens, si j'en crois les maigres informations que j'avais réussies à récolter, ici et là… Mais le nom d'Eternam n'avait pas échappés aux plus anciens que j'ai pu croiser tout au long de mon périple. Une famille maudite, qui n'est ni tout à fait sorcière, ni tout à fait magicienne, avec un équilibre quasi constant d'une génération à l'autre. Toujours trois enfants, toujours tiraillés entre le bien et le mal, passant d'un camp à l'autre avec la facilité d'un spectre traversant un mur. Les sorciers… parlons-en… Ils étaient des scientifiques, des chercheurs, des hommes de mal qui cherchent sans cesse de nouvelles astuces, sorts, potions et technologies pour étendre leur puissance. C'était assez fascinant, bien que je n'aurais jamais la patiente pour rester des semaines enfermés entre quatre murs de pierres froides et grisâtres. Mais je devais avouer que bien que j'espérais pouvoir m'en défaire, être une femme totalement libre de toute attache, de tout lien, je ne pourrais jamais me défaire d'une famille qui me paraissait encore plus étendue que ce que j'avais imaginée jusqu'ici. Mais pour le moment, il était grand temps de m'occuper de notre invité, de mon jouet, et de tester si les souffrances éternelles que je voulais lui infliger étaient bien à un degré auquel je m'attendais.

« Merci du compliment ! Et tu as parfaitement raison. Du sang de sorcier coule en moi et j'ai l'impression que de torturer cette chose l'a réveillé ! Mes idées affluent à une vitesse folle, c'est incroyable ! Je n'aurais pas assez de dix cobayes pour toutes les tester ! Mais puisque tu m'offres ce porc, je vais commencer par lui infliger ces fameuses brûlures… »

Je récupérais le tisonnier qu'il me tendais, et m'approchais de ma pauvre victime ! De la bave s'écoulait de sa bouche et ses yeux semblaient se vider de leur étincelle. Il perdait la raison, mais j'allais la lui raviver ! Monsieur prendra-t-il un peu de cécité ? D'un coup d'un seul, je lui apposais la barre de métal brûlante sur ses yeux, lui arrachant un cri d'agonie encore plus splendide que les derniers ! Et je riais ! Alors, je continuais en le lui fourrant dans la bouche, lui brûlant la langue jusqu'à la glotte. Aphone, désormais, et incapable de goûter ! Se nourrir sera un enfer ! Mais je ne m'arrêtais pas là… Je n'allais pas m'arrêter là… Je pouvais faire bien pire encore… Pourquoi me contenter de brûler certaines parties de son corps ? Pourquoi ne pas le brûler en entier ! Alors, d'un rire et d'un hurlement de rage que je ne me reconnu pas, je frappais le tisonnier sur le sol, et sur les murs, déclenchant de petites étincelles, qui mirent rapidement feu à la bâtisse. Et je riais aux éclats, dans ma folie de destruction, détachant le blessé avant de devenir mon même un esprit. Et j'allais le tenir, le forcer à rester dans ce brasier.

Les flammes léchèrent le bois avec une vitesse impressionnante, et la fumée envahit en quelques minutes tout l'endroit. Je ne me souciais plus de mon mentor, je ne me souciais plus de moi. Tout ce que je voulais, c'était faire griller ce gros porc comme un vulgaire morceau de viande ! Et il geignait, incapable de parler, mais je l'empêchais de s'enfuir, de se trainer à l'extérieur. Sa peau était déjà recouverte de suie et l'air empestait l'odeur de sa chaire… Il cramait ! Mais je le voulais… vivant. Alors, je m'assurais que son cœur battait encore. Il était faible. Désormais, pas un lambeau de sa peau n'était pas recouvert de brûlures. Il était… splendide ! Un futur cadavre exquis ! Et je le sortis de la fournaise, l'extirpant de cet enfer juste à temps, avant qu'il ne meure bêtement. Mon œuvre était enfin achevée, et elle était magnifique. La cabane qui avait servit de théâtre à mon éveil tomba en ruine. Pas de traces. Merci le feu. Et je continuais à observer l'homme au sol, inconscient, en me demandant bien qu'elle pourrait être ma prochaine victime… Mais une chose était certaine, à l'avenir, elles seraient nombreuses…

Dim 17 Mai 2015, 23:46

Si je devais dire quelques choses de métaphorique sur les évènements qui venaient de se produire, je dirais que Melody était comme un petit oisillon qui venait d’apprendre à voler. Je l’avais poussé hors du nid pour qu’elle vole de ses propres ailes. Maintenant la réalité c’était surtout que je lui avais ouvert la voie à la perversion. Elle avait maintenant passé outre le fait que notre victime était un homme, outre le dégout qu’elle avait pour la gente masculine. Elle prenait juste du plaisir à faire souffrir cette personne. Mais cela n’empêchait que j’avais un peu le sentiment d’être un père qui voyait son enfant devenir grand… Enfin, sans le méli-mélo que ferraient les humains habituels évidemment. Cela-dit, l’élève était encore loin de dépasser le maitre. Il y avait une chose pour être aussi sadique que moi qu’elle n’avait pas encore bien assimiler. Elle pensait que c’était ses origines de sorcières qui se réveillait mais c’était faux. Pour moi c’était encore des paroles qui lui permettaient de se trouver une excuse une raison pour se justifier. Comme un homme capturer qui pour ne pas assumer ses crimes dirait que c’est à cause de tel ou tel personne. Il pouvait aussi m’arriver de tuer pour une autre personne, mais une chose différait de tous ses gens. C’était que moi j’assumais ce que je faisais, je le faisais parce que j’en avais envie. Par parce qu’on me l’a dit ou parce que mes parents étaient comme ça… Ce qui n’était d’ailleurs absolument pas le cas.

Je la laissais tout de même s’amuse sans lui faire de réflexion, j’avais encore quelques petites choses à lui dire et à lui apprendre, mais pour le moment je voulais la laisser s’amuser avec sa proie. Elle le torturait avec la barre de fer en feu et elle le brulait par tout ou cela était possible… Elle semblait être entre dans une frénésie que je ne retenais pas. J’aurais pourtant pu et peut-être même dû la calmer. Mais je voulais qu’elle se laisse aller, si je la freinais j’avais le pressentiment que je pouvais perdre tout ce que je venais de faire pour la pervertir. Toujours était-il je me retrouvais obliger de sortir de la cabane car, sa folie avait fait que la cabane avait pris feu. Elle avait quand même gardé assez de contrôle pour ramener le corps de notre pauvre ami hors des flammes. En tout cas tout cela montrait bien que le jeu était fini, je me plaçais à coté de mon élève pour lui dire :

Je crois qu’on verrait mieux de marcher un peu plus loin.

Je la tirais légèrement pour qu’elle me suive. Je savais qu’avec la fumer et les flammes des gens allaient arriver et je n’avais pas envie de me battre pour le moment… Surtout si on risquait d’avoir tout une troupe à affronter. Je préférais donc qu’on se mette à l’abri pour ensuite lui dire :

Crois-le ou non, je ne suis pas du genre à complimenter les gens. Mais rare son ceux qui s’habitude à exprimer tous les facettes de leurs nature. Ils sont trop habituer à faire bonne figure pour vraiment se libère. Sache d’ailleurs que ses parents auraient pu être des anges que cette nature aurait quand même été en toi. Moi par exemple mes parents étaient des humains tout ce qu’il y a de plus banals et chiants. Pourtant, je suis devenu un démon et j’ai toujours assume mes choix sans trouver d’excuse ou de raison. Je le fais parce que j’en ai envie… Tu comprends ?

Il fallait qu’elle comprenne qu’humaine, ange, sorcier, démon, qu’importe la race, les origines ou autres raisons qui pourrait faire qu’on se croit bon ou mauvais. La seule chose qui compte c’est qu’on le fait. Si on le fait ce n’est pas parce qu’on est influencé par tel ou tel chose. Mais bien parce qu’on pouvait et qu’on voulait le faire. C’était en tout cas, ce que je voulais lui faire comprendre, que le plaisir qu’elle avait eu ce n’était pas parce que ses parents étaient des sorciers ou même parce que je l’avais influencé… Voir même parce que c’était un homme et qu’elle détestait les hommes. Mais bien parce qu’elle le pouvait et qu’elle le voulait tout simplement.

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