|
| | Rites, Coutumes et Fêtes • Velus, Voga ahrk Lus | | |
| Auteur | Message |
---|
Mitsu ♚ Fondatrice ♔ ◈ Parchemins usagés : 36435 ◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005 | Sam 30 Aoû 2014, 00:01 | |
| Rites, Coutume et Fêtes
Les textes et les codages ci-dessous ont été créés par Zéleph S. Stark, Davina et Mitsuko. Ils sont protégés administrativement par la bannière "immuable" qui signifie qu'aucun souverain futur de la race ne pourra changer ce qui a été fait sans accord administratif préalable.
Fêtes - Lus
Le Noël de Santa Claus (Lus Santa'claus) Mois de l'année IRL : Décembre. Histoire: La légende raconte qu’un vieux pirate à la barbe blanche, et aux ailes aussi différentes que le jour et la nuit, parcourait le ciel des terres du Yin et du Yang sur son navire tiré par des rennes, voguant ainsi sur la mer de nuage à la recherche des enfants les plus malheureux. Une fois la fin de l’année arrivée, accompagné de son équipage de lutins verts, Santa Claus récompense le courage de toutes ces âmes laissées pour compte, dans un élan de générosité et de bienveillance capable de réchauffer les cœurs les plus froids. Les enfants, sachant son arrivée, lui offraient le peu de choses qu’ils avaient, le plus souvent décorant un arbre ou lui confectionnant des gâteaux. Il est dit que Santa Claus offrit un cadeau à chaque enfant, chaque année jusqu’à leur adolescence, et cela jusqu’à sa mort.
Depuis chaque année un sapin est décorée dans chaque foyer réprouvé et chez tous ceux où Santa Claus a versé son espoir. Il est alors coutume de passer la veille du passage du vieux pirate, en famille ou avec les gens que l’on aime, pour s’offrir des présents, car tel est le plus beau cadeau de Santa Claus : la chaleur des cœurs. Les foyers sont alors ouverts à tous ceux qui chercheraient un peu de chaleurs auprès du feu, à tous les enfants ayant besoin d‘un peu de pain d’épice, ou simplement à chaque être désirant partager cette nuit de fête. La générosité est le maitre mot de cette nuit communément appelée : Noël.
Traditions: La tradition veut que l’on coupe un sapin pour le décorer et que l’on face des gâteaux pour les offrir à Santa Claus. Il est aussi coutume d’être généreux avec les autres, peu importe leurs races ou les conflits. Noël est une nuit de joie ou l’esprit de Santa Claus sème l’amour en chacun d’entre nous, où il y le plaisir d’offrir et de recevoir, ou encore passer une nuit ensemble, est la seule chose qui compte. N'oublions pas la branche de gui, coutume qui veux que si deux personne se retrouvent dessous, elles doivent s'embrasser.
Autres: Cette fête est aussi fêtée par les habitants de Sceptelinôst, cité pirate où vivait Santa Claus. En cette soirée, tous les habitants se rejoignent pour faire la fête ensemble.
Fête des cultures et de la fertilité (Yamazu’Lus) Mois de l’année IRL : Mars-Avril Histoire : Autrefois rejetés et humiliés, fruits d’une union défendue, c’est en créant Lumnaar’Yuvon et en y cultivant la terre que les Réprouvés ont réussi à se créer leur identité, à s’élever au-dessus des préjugés que les étrangers leur associait. L’agriculture a donc aujourd’hui encore une grande importance dans la culture raciale. Chaque année, lors des premiers jours de Vah, une grande célébration est organisée afin d’honorer Naruu'Pogaan et Key’Jus, respectivement Zaahin de l’agriculture et de la fécondité. L’esprit de Santa’Claus est encore présent dans l’air et il est d’usage de faire preuve de générosité envers ses pairs, bonté d’âme qui saura être récompensée par la terre qui fournira à son tour mille richesses pour ceux prenant le temps de lui rendre grâce. On célèbre la fin de Krah et le début du renouveau, qui signifie le commencement de nouvelles plantations. Mais Yamazu’Lus fête toute forme de fertilité et les femmes sont également mises en avant, où l’on rend grâce à leur faculté de donner la vie. Les parents qui décident de recueillir des Kiir’Sahqon sont également félicités. Si cette fête trouve ses racines à Lumnaar’Yuvon, les agriculteurs de Gein’Draakul se sont également approprié cette célébration et il n’est pas rare de trouver des villages demandant l’aide des Zaahin pour cultiver leurs terres, bien moins clémentes et généreuses que celles de Bouton d’Or. Les célébrations sont là-bas plus rudimentaires et portées uniquement sur la fécondité des sols.
- Traditions:
- De partout dans le village, il y a de grandes "statues" faites de pailles et d’autres matières inflammables, à l'effigie des Zaahin (principalement Naruu'Pogaan et Key’Jus.) Ces statues ont été fabriquées durant Krah pour l'événement. Pour démarrer les festivités, les gens se rassemblent autour des statues et y mettent feu, ce qui éclaire tout le village pendant la nuit. Une fois que le feu est éteint, les gens ont pour habitude de récolter les cendres et de les disséminer autour de leurs champs ou de leurs maisons pour se porter chance et espérer avoir de bonnes récoltes pour l'année à venir. - Il est de coutume de donner à manger des graines aux enfants et adolescents qui obtiennent de nouveaux champs ou qui commencent à travailler la terre. Selon la population du village, c'est soit le chef du village soit un parent qui s'occupe de plusieurs enfants. Encore une fois, cette graine est censée leur apporter de la chance pour les récoltes à venir, leur donner la force de bien travailler les sols pour obtenir de bons produits. - Même si Santa'Claus est passé, l'esprit de partage règne encore et en plus d'un buffet général, certains agriculteurs qui ont eu de bonnes récoltes l'année précédente peuvent mettre à disposition quelques bocaux pour ceux qui n’ont pas forcément beaucoup de réserves. Ce n'est absolument pas obligatoire, c'est à la discrétion de chacun. Ceux qui ont "en trop" se contentent de déposer leurs produits dans un coin, et ceux qui en ressentent le besoin peuvent aller se servir et refaire un peu leur stock. Comme c'est gratuit, il est habituel que ceux qui en profitent déposent dans les jours qui suivent des cadeaux en échange (par exemple, quelqu'un qui travaille avec du bétail peut échanger des peaux avec un agriculteur à qui il a pris des légumes, ou alors quelqu'un peut laisser une petite hache toute simple en échange de la nourriture.) Même si ce n'est pas grand-chose, il faut donner quelque chose en retour, à la hauteur de ses moyens. - Même si les cultures sont à l'honneur, on célèbre la fertilité de façon générale, pas seulement celle des sols. Des couples qui espèrent pouvoir enfanter ou alors adopter un Kiir’Sahqon participent donc à une sorte de cache-cache, appelé Nir'Arz, qui se joue en duo. Un arbitre donne un premier top départ, et le premier joueur part se cacher. Un peu plus tard, un second top est donné et le partenaire part à sa recherche. Si le chasseur parvient à trouver sa cible en moins d'une heure, ça finit généralement en galipettes, dans l'espoir de voir sa famille s'agrandir (et pour ceux qui veulent adopter, même s'ils n'ont pas eux-même d'enfant, il est de coutume de dire que réussir l'épreuve est de bonne augure.) - Un peu plus tard dans la soirée, il y a une chasse de bicorne qui est organisée. Généralement, c'est la plus belle bête qui est chassée. Celui qui abat le bicorne gagne le titre racial de Lot'Ah [Grand chasseur en Zuldov]. La bête est ensuite préparée pour que tout le monde puisse en profiter durant la soirée.
Fête de l'amour (Arz'Lus) Mois de l'année IRL : Août-Septembre Explications : Arz'Lus, ou la Fête de l'Amour, est une coutume Réprouvée qui a vu le jour à Lumnaar'Yuvon avant de s'étendre aux autres territoires. Il s'agit d'une période de temps, avant les récoltes, où un Réprouvé peut défier en duel au corps à corps l'élu de son cœur afin d'obtenir de celui-ci un baiser avec la langue, voire plus si affinité. Si celui-ci refuse le duel, la honte s'abat sur lui pendant une période de temps plus ou moins longue. Il est considéré comme un lâche et la coutume veut que les autres Réprouvés lui jettent un bac de purin de Bicorne dessus. Si celui-ci accepte le duel et gagne, celui qui l'a défié devra travailler pour lui jusqu'au prochain Arz'Lus. S'il perd, il devra embrasser celui qui l'a défié. La coutume existe aussi dans les autres régions. À Stenfek, il s'agit principalement d'un duel sportif ou intellectuel, et non d'un duel au corps à corps comme c'est le cas à Lumnaar'Yuvon ou à Gona'Halv. À Sceptelinôst, il s'agit principalement de jeux de hasard ou de boissons.
Fête de la récolte (Naakar’Lus) Mois de l’année IRL : Septembre-Octobre Explications : Naakar'Lus est célébrée à la fin de la saison de Koor à Lumnaar'Yuvon. Cela veut dire que ça se situe après la fin de la récolte, quand tout le monde commence à relâcher un peu la pression vu que la plupart des productions ont été apportées en lieu sûr. La saison qui suivra, Gravuun, est très importante également puisqu'il s'agit de conserver aux mieux les produits obtenus lors des dernières récoltes et d'en vendre également. C'est pour ça aussi que des Réprouvés d'autres endroits viennent à Bouton d'Or pour Naakar'Lus. C'est à la fois une fête mais également l'occasion d'acheter des produits qui seront redistribués ensuite ici et là. De façon générale, les Réprouvés de Stenfek sont moins nombreux que les autres à venir mais, quoi qu'il en soit, c'est l'une des rares occasions où tout le monde essaye de tenir sa langue et de ne pas se montrer condescendant avec les autres. Concrètement, les Réprouvés de Lumnaar'Yuvon passent beaucoup de temps à tout préparer. Comme il y a beaucoup de Réprouvés qui viennent, il faut prévoir de quoi les faire dormir et les accueillir. La fête dure quelques jours et se passe généralement au beau milieu de plusieurs champs. Des tables sont amenées, un banquet est servi avec les produits de la région qui ont été ramassés. C'est l'occasion de faire de grands feux pour faire cuir la viande et les légumes qui vont avec, d'offrir aux enfants des ateliers pour leur apprendre à fabriquer du pain ou de l'huile, à forger des haches etc. Les Thur sont tous là comme le veut la tradition. Il y a quelques danses mais c'est assez rudimentaire et les Réprouvés sont, de toute façon, bien plus tournés vers les duels qui se déroulent. Ce sont des compétitions à mains nues. La magie est interdite. Le Réprouvé peut s'inscrire et combattre ceux de sa catégorie. Ceux qui perdent sont éliminés mais peuvent continuer à se battre avec ceux qui l'ont été aussi. On teste sa force, sa résistance, on repère les excellents guerriers de demain. C'est une fête communautaire et très conviviale. La bière coule à flot. C'est assez courant de retrouver des Réprouvés qui s'envoient en l'air derrière un bosquet. On honore les Zaahin.
Dernière édition par Anya Eorgor le Jeu 19 Sep 2019, 22:10, édité 1 fois |
| | | Mitsu ♚ Fondatrice ♔ ◈ Parchemins usagés : 36435 ◈ YinYanisé(e) le : 07/07/2005 | Jeu 19 Sep 2019, 22:09 | |
| Rites, Coutume et Fêtes
Rites - Velus
L'union éternelle (Keyronta) Traditions : Dans la culture Réprouvé, le mariage reflète la volonté de former un couple à l'image d’âme sœur. C’est une façon de prouver que contrairement à leurs créateurs anges et démons ils peuvent assumer ce qu’ils font et ce qu’ils sont aux yeux de tous, sans craindre de représailles ou avoir encore peur des jugements. Défini comme l'union de deux volontés plus que comme celle de deux corps. Cela signifie que le mariage ne peut être dissout, même par la mort. Dans le rituel qui encadre le mariage, l’union est concrétisée par un tatouage apparaissant sur la main droite de chaque partie à l’approbation d’une promesse éternelle. Ce tatouage est la représentation du Yin et du Yang, la femme possédant le Yin et l’homme le yang.
Cette marque est unique pour chaque couple. Elle marche par la magie des liens. Une fois la promesse formulée, elle se déroule comme un pacte. Inaliénable, impossible à cacher, elle est ancrée dans la chair, dans l’âme de chacun. Le tatouage réagit alors à la présence physique de chaque conjoint. Quand ils sont ensembles cela se manifeste par le tatouage qui se complète de lui-même (ex : le yang de l’homme est complété du Yin, le yin de la femme, du yang.), il scintille même légèrement quand ils se touchent et procure une certaine plénitude, un apaisement, aux deux conjoints. A l’inverse, lorsqu’ils se séparent le tatouage reste incomplet. Seulement plus les mariés sont séparés, plus le tatouage fera ressentir l’absence de son autre. Le tatouage picotera d’abord légèrement, puis commencera à brûler, pour finir par petit à petit amener à une douleur presque insupportable, mais pour en arriver à ce stade extrême, il faut être séparé depuis des années. S’ajoute à la douleur physique une torture psychique, plus son autre est loin, plus la séparation devient dure à supporter, chaque partie du tout se trouvant mal de n’être pas complète.
Une fois scellé, le mariage ne pourra jamais être annulé, et puisque même la mort n’est pas une fin pour cette union, le conjoint qui restera continuera à souffrir de la séparation, à cause du tatouage. Il existe un seul moyen de surprimer cette marque : Si le mariage n’est pas consommé la nuit de son consentement alors il n’est pas valide, le lien finit par s’effacer. Malgré tout le tatouage laisse une marque dans la chair, brûlant la peau, montrant qu’on a était incapable de tenir son engagement.
Le mariage étant symbole d’amour et de fidélité, à chaque « faux pas » qu’une des deux partie peut faire le tatouage sévira comme pour rappeler la promesse faite. Ainsi si l’homme ou la femme désire être infidèle le tatouage le fera souffrir pendant tout l’acte et refusera de s’allier à sa moitié à nouveau, cela étant la preuve pour son conjoint que sa moitié l'a trompé. Cette petite particularité a été créée pour terrifier chaque partie d’un acte charnel hors mariage. Aussi, à l’inverse les tatouages feront souffrir leurs possesseurs si ceux-là n’honorent plus leur union, car ils puisent leur force de l’union des mariés, or si ce n’est pas le cas ils subiront également dans cette situation.
La dureté de ce lien prouve qu’en contractant cette forme de mariage, les deux conjoints n’ont aucune peur de leur futur et sont sûrs de leurs sentiments, cela pour l’éternité et même dans la souffrance la plus absolue.
Autres : D'autres rites nuptiaux existent, comme la couronne de fleurs posée sur la tête de la mariée lors de la cérémonie, ainsi que beaucoup d’autres rites plus ou moins suivis, faisant parti du folklore et des coutumes.
- Déroulement du rituel:
« Aujourd’hui, est un jour unique dans la vie d’un homme et d’une femme. Aujourd’hui deux êtres vont s’engager à jamais sur le chemin de l’amour et de la promesse d’une vie éternelle passée aux côté l’un de l’autre, toujours uni. Peu importe les épreuves et les sacrifices, rien ne pourra plus jamais les séparer, même la mort. Cette union sera éternelle et indestructible. »
« Ce lien fragile qui est l’amour sera ici renforcé à jamais et de façon définitive, c'est pourquoi il y a lieu de ne pas contracter un tel engagement, ni même de l'envisager, avec légèreté ou imprudence, mais plutôt avec respect, crainte du châtiment de ce lien, et avec la pleine conscience des fins pour lesquelles le mariage a été institué. Cette institution est le sacrement par lequel les deux personnes ici présentes désirent être unies. Donc, si l'un d'entre vous connaît une raison valable qui s'oppose à leur union légitime, qu'il parle maintenant, ou qu'il se taise à jamais. »
« C’est donc à vous de faire part de quoi que ce soit qui devrait empêcher votre union, car une fois contracté il n’y aura plus de retour possible. »
« Avant que vous ne vous donniez l’un à l’autre, il est maintenant temps de donner vos vœux. »
L’homme puis la femme donne leurs vœux, puis le maitre de cérémonie lie leur main droite, celle de l’homme sur celle de la femme.
Puis l’homme doit répéter :« Moi, Prénom Nom , enfant du yang, je consens à te prendre toi, Prénom Nom, enfant du yin, comme femme. Je m’uni à toi dans la promesse éternelle de ne plus jamais être séparé de toi, et de former un tout. »
« Je lis mon âme et mon cœur aux tiens. Dans le pire, comme dans le meilleur, j’honorerai ton nom, ton être et ton corps, pour toujours. »
C’est ensuite à la femme de dire :[/color] « Moi, Prénom Nom, enfant du yin, je consens à te prendre toi, Prénom Nom, enfant du yang, comme mari. Je m’uni à toi dans la promesse éternelle de ne plus jamais être séparé de toi, et de former un tout. »
« Je lis mon âme et mon cœur aux tiens. Dans le pire, comme dans le meilleur, j’honorerai ton nom, ton être et ton corps, pour toujours. »
Les deux répètent ensuite ensemble :[/color] « Avec cette marque, inscrit au plus profond de ma chair, mon esprit et mon âme, je fais de toi une autre partie de moi sans lequel je ne pourrai exister, souffrant pour toujours d’être incomplet. »
La marque ce forme alors sur leur mains, dans une sensation de brulure intense avant que cela ce calme et les inonde d’une apaisante chaleur. La maitre de cérémonie fini le rituel.
« Vous êtes à ce jours uni devant l’éternel. »
Les mariés peuvent s’embrasser. ps :vous n'êtes pas forcés de vous marier ainsi même si vous êtes réprouvés, mais dans ce cas vous n'êtes pas considérés comme mariés aux yeux de votre peuple, vous serez comme des parias pour qui le mariage n'est qu'un passage.
|
| | | | | Rites, Coutumes et Fêtes • Velus, Voga ahrk Lus | | |
|
Sujets similaires | |
|
Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |