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 [EVENT] Partie II. Mégido

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Mar 29 Juil 2014, 17:30


Se battre, encore et toujours, ce combat ne semblait pas avoir de fin, quoi que l’on fasse à chaque fois les adversaires se relevaient, sans rien n’y aucunes blessures. Ces satanées bêtes, les Ridères, étaient totalement intouchable, rien à faire contre elles, celle-ci continuaient inexorablement d’avancer vers la citée, détruisant tout sur leur passage. Les hommes présents tenaient tant bien que mal à les repousser, les ralentir, ne faisant là que retarder l’inévitable échéance. Mais malgré tout le désespoir apparent les hommes continuaient de se battre, que ce soit pour Mégido, la survie de l’humanité, ou simplement la paye promise par les Eshus à la fin de cette bataille.
Et alors que les guerriers étaient prêts à repartir à la charge pour bloquer l’avancée des créatures, un individu opportun arriva parmi eux et pas des moindres. L’Orishala en personne d’après les dires de la femme qui dirigeait leur groupe. Les yeux cuivre du mercenaire se posèrent aussitôt sur lui, le chef des Orishas, le détaillant avec intensité. L’homme était un véritable mastodonte comparé à Kain, déjà plus grand que lui de quelques centimètres seulement, mais étonnement plus large, semblant être taillé dans un véritable roc. Et il dégageait une telle force que cela en faisait trembler l’Elémental, non pas de peur, peut-être un peu, mais plus par la soif du combat, l’envie de se mesurer à un adversaire puissant. C’était là un peu la même sensation qu’il avait ressentit lors de son combat contre l’Impératrice du tout. A la vue de l’Orishala, son sang de guerrier venait de se réveiller, plus qu’à la vue des Ridères. Mais pour l’instant l’heure était malheureusement plus à ces derniers, plutôt qu’au chef des Orishas. Celui-ci émit un plan et c’est ainsi, accompagné de ce dernier et de quelques autres individus, qui étaient au front, que Kain se retrouva à vagabonder dans la forêt à tenter d’éloigner les trois créatures de la ville.

Courant joyeusement à travers les bois proche de la citée, Hakan s’amusait comme un fou, allant parfois aider le dénommé Grey à attirer les Ridères sur eux tel un petit diablotin. Esquivant les arbres qui tombaient et les attaques de ses adversaires, tournant autour d’eux comme un véritable moustique, l’homme dragon débordait d’énergie. Mais alors qu’il continuait son petit jeu, il aperçu le colosse, qui menait leur petite course, revenir en arrière et glisser quelques mots à son acolyte avant de se diriger vers Mégido. L’homme devait certainement avoir une idée derrière la tête pour partir ainsi, ou peut-être prenait-il la fuite, mais bon il n’avait vraiment pas la carrure ni l’allure de quelqu’un qui abandonne aussi facilement.
Enfin, celui à qui le mastodonte venait de parler ce mit alors à cavaler pour rejoindre la tête du groupe, laissant Hakan seul s’occuper de distraire leurs poursuivants.
De leur côté, les personnes restant dans la forêt continuaient de courir dans cette dernière, tout en attirant les inépuisables Ridères.

Voilà qu’il courait à travers la forêt, servant d’appâts à ces stupides créatures. Jusqu’où comptait-il les attirer ? Ils ne pouvaient pas courir éternellement, il fallait trouver une solution assez rapidement sinon le combat n’aurait pas de fin. Ce que l’Orishala sembla avoir soudainement en revenant sur ses pas, direction la citée.
Et finalement, après quelques temps, un grand choc retentit dans tous les environs, un bruit sourd qui vint faire vibrer les tympans de chaque personne présentes autour de Mégido, et même plus loin encore vue la distance ou le mercenaire se trouvait à cet instant. Et l’onde arriva alors sur eux faisant voler la poussière sur son passage, ce jusqu’à venir heurter les trois Ridères de plein fouet, les faisant alors voler sur plusieurs mètres, voire plus encore. Était-ce enfin fini ? Tous les regards étaient rivés sur les trois monstres. Ceux-ci se relevèrent, comme à leur habitude, mais cette fois-ci au lieu de se diriger vers la citée, ces dernières firent demi-tour, partant, s’en allant plus loin qu’ils ne l’étaient jusqu’à être perdu de vue. Voyant cela, les cris de victoire retentissent parmi tous les combattants présents. Ils n’avaient pas put défaire les Ridères, mais ils venaient de réussir à les mettre en déroute, ce qui n’était pas rien au final.
Revenant ensuite sur Mégido, les mercenaires reçurent alors les félicitations de chacun des Eshus ainsi que leur récompense tant attendu.
Kain reçut sa part, tout comme Hakan qui, étrangement, en trouvait une certaine utilité malgré sons statut de dragon.
Et enfin, après un dernier regard en direction de la citée de Mégido, les deux compagnons reprirent la route vers Aeden.

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Dim 03 Aoû 2014, 17:45

Sa faiblesse était épuisante, arriver à s’en mépriser elle-même était affligeant. L’orgueil n’avait-il pas de limite ? Il avait dépassé sa condition d’humaine pour n’être plus que le centre névralgique de son être. Et l’Ange se sentait affreusement bien. Savourant ce sentiment qui l’avait rabaissé mais qui, lui appartenant plus que tout, l’amenait ainsi au-dessus d’elle-même, Elias ressentit les chocs de la bataille comme des résidus scintillants qui ne feraient jamais que la traverser. Tout allait bien.

Un gémissement heurta le bord de ses lèvres quand son corps fut abruptement déplacé. Ce n’était pas que le mouvement fut violent, mais des courbatures semblaient avoir envahi la moindre fibre musculaire et résonnait en d’envahissantes vibrations. Pourtant, c’était chaud et agréable.. rassurant. Comme précédemment, mais en plus concret. Il y avait vraiment une raison de ressentir cette chaleur. Des échos déplacés de voix l’atteignaient sans sens, sa conscience de la réalité était telle qui lui était encore inconcevable de ne pas finir par se réveiller. Pourtant, des dizaines de petits mots chantaient sur ses lèvres muettes. Des prénoms, comme si ne pourrait-elle bientôt plus les dire. Ça s’entremêlait trop facilement, alors lorsque ses yeux se rouvrirent, seule la chose qui comptait avait pu demeurer.

Le regard du soigneur paraissait inquiet, inquisiteur. L’Ange avait rouvert les yeux sans oser le moindre mouvement, même le plus petit tressautement de phalanges. Derrière, des sons de bataille raisonnaient encore, plus éloignés mais bien vivaces. « Ne bougez pas. » Le timbre décisif lui était inconnu, mais c’était assez hors de question. Remuant son crâne, un vertige s’en empara, forçant sa main à chercher son front pour le contenir. « Où est Cocoon .. » Fut son premier murmure. « Parti aider Azrëel. » Elias acquiesça faiblement, pertinemment sachant qu’elle n’en serait pas plus. Le médecin la força de suite à se rallonger jusqu’à ce que ses yeux s’offrent au ciel de la nuit encombré. A force de s’alourdir des pensées les plus désastreuses et noires, on en oubliait parfois les plus radieuses et simples. L’Orishala. C’était bête de réaliser brutalement sa rencontre avec quelqu’un qui n’avait rien de torturé.

Dès qu’elle eut avisée l’éloignement du médecin, Elias s’extirpa du brancard où on l’avait laissée. Le premier pas annonça immédiatement la mauvaise idée que c’était, mais rester à ne rien faire en attendant bêtement que le monde tombe en ruine .. Et quoi encore ?

Les bestioles avaient abandonné les contours de la ville. Elle y croyait à peine. Ce n’était pas une victoire, et ni une défaite. Juste un autre jour alors ? Bifurquant son regard vers l’intérieur de la ville, là où au de-là les trois autres portes devaient aussi en pâtir, une silhouette familière s’aperçut, courant vers elle.

« Pardon pour tout à l’heure. » Souffla la voix effacée de Phaël, son assurance était véritablement parti en fumé. Il est vrai que se ridiculiser face à son Souverain devait être une vraie partie de plaisir. Arquant un sourire rassurant, Elias préféra lui faire passer ce délicat épisode par un peu d’humour. « Ne t’en fais pas, je crois que tu as surtout fait bien plus impression à Théo qu’à lui. » La Déchue ne put s’empêcher de partir dans un rire incontrôlé face à la mine sidérée de l’orisha qu’elle n’avait fait qu’enfoncer un peu plus. Mais sérieusement, ils étaient encore en vie, le reste pouvait attendre. Et la jeune fille tint manifestement le même raisonnement, car rapidement son regard se déroba vers l’intérieur de la ville qu’Elias contemplait quelques secondes plutôt. Son visage se fit.. soucieux. Assez pour qu’elle lui demande ce qu’il y avait.

« J’étais repartie dans la ville et comme les choses se sont calmées, je suis revenue et en chemin, j’ai vu Cocoon qui s’y enfonçait vers l’Eorishaze. » Du moins le supposait-elle vu la direction. « Il semblait pressé … »

Jusque-là rien d’anormal, même si elle supposa que Phaël s’était attendu à voir son Souverain rester aux côtés des lignes de défense. Mais la bataille s'éloignait, il avait peut-être affaire. « Je ne penses pas qu- » Une onde de nulle part anéantit l'air. Balayée au sol dans le geste le plus instinctifs face à la déflagration de poussière qui les avait traversée, ses cheveux blonds ne firent pas un pli et ses yeux pas un de plus. « Phaël ! » Relevant son visage fané par les grains, Elias n’eut aucun mal à la repérer. Elle allait bien … Comme tout le monde en fait, d’un rapide coup d’œil.

D’abord il n’y eut qu’un chant silencieux. Se redressant bien en peine de ses derniers déboires en plus, la Déchue saisit doucement la quiétude qui s’empare des horreurs quand le danger retombe enfin. Et les murmures qui lui parvinrent quelques secondes après ne firent que confirmer cela : les créatures décharnées avaient été repoussées. Comment ? pourquoi ? Brusquement inquiète, l'alarme des yeux azurs de l’ange accrocha la ville, et plus loin son centre. Est-ce que Cocoon allait bien ? Une telle déflagration .. même si tout le monde ici semblait épargné. Elle n’avait pu venir de nulle part, et semblait au contraire avoir pris naissance là-bas. Au centre. Où Phaël était censé l’avoir vu partir. Un frisson balaya sa colonne vertébrale, mais son expression se garda inchangée. Froide, un peu trop ..

A côté, Théo, qui semblait s’être remis, accusait nombreux de paroles et des promesses de récompenses qu’il se mettait déjà à respecter. Elle ne tenait pas le moins à en recevoir, et préférait s’éclipser avant qu’on ne l’aborde. Offrant un dernier petit sourire à Phaël dont le visage n’avait jamais été aussi fière des siens, la jeune femme rattrapa rapidement ses effets et en quelques mouvements d’épaules fut en dehors des portes dont elle ne serait sortie pour rien au monde quelques heures plus tôt. Encore sous les émotions, son cœur battait follement et .. savait où se diriger.

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Ven 08 Aoû 2014, 18:29


Ce n’est pas vrai, a quoi ça servait d'avoir une armée s'ils n'étaient pas capables de faire quelque chose d'aussi simple que quelque ravins. Il devait bien en avoir un ou deux quelque part qui en était capable non ? C'était la meilleure solution à mes yeux pour ralentir leur progression. Alors certes, je râlais, car il n'en était pas capable, mais je ne l'étais pas non plus, ce qui avait tendant a m'énerver un peu plus. Tout ça à cause de cette maudite baisse de magie. Mais on n’allait quand même pas continuer à les laisser avancer de la sorte quand même ? Je ne voulais pas baisser les bras tout de suite en faite. Même si quelque part, venant de moi ça pouvait paraitre assez étrange.
En plus alors que j'étais en train de parler, j'avais senti quelqu'un me projeter sur le sol. Tournant mon regard, j'avais vu que c'était la jeune femme. Elle s’était alors redressée et m'avait proposé son aide tout en me demandant si tout allait bien. Je la toisai alors quelque instant avant de me relever toute seule sans la lâcher du regard.

-J' espère que tu n'attends pas un merci ou une quelconque reconnaissance de ma part., car autant te dire que tu peux t'assoir dessus.

Eh oui, on ne me changera pas. J'avais remarqué le projectile, mais je n'allais quand même pas admettre que je lui devais peut-être la vie. Ce n'était pas mon genre. Alors même un merci, il ne fallait pas qu'elle rêve. Je détournais alors rapidement mon attention de cette jeune femme.
Effectivement, je n’en avais rien a faire que la citée soit détruite ou non, fallait que je reste fidèle a moi même quand même. J'en serais peut-être même ravie, qui sait ? Mais en faite je voulais les stopper pour une raison personnelle. Ces créatures nous narguaient, on avait beau faire ce que l'on voulait, elle se relevait toujours sans que l'on sache comment elle faisait. Elles étaient intouchables et en plus extrêmement cruelles. Si seulement elles pouvaient être domptable se serais quand même génial, mais bon, ne filais pas rêver, vu comment elle se déplaçait, je pouvais être certaine que la première personne qui essayerait de les forcée a faire quoi que ce soit allait disparaitre comme tous les autres. Elles continuaient leur marche macabre sans se soucier de quoi que ce soit.
J'avais alors commencé à faire demi-tour quand j'entendis à nouveau l'écu parler. Enfin prononcer un mot. Voilà que monsieur Cocoon avait enfin daigné se présenter à nous, il était temps quand même. Je me demandais seulement s'il était au minimum venu avec une solution ou s'il serait tout aussi inutile qu'au conseil. D'ailleurs je ne savais toujours pas ce qu'il avait fait pendant que les siens et des étrangers avaient passé leur temps à essayer de défendre sa ville comme ils pouvaient. Irais je dire que ceux qui avait péri était de sa faute ? Oui je pourrais, mais peut être pas toute de suite. Autant voir ce qu'il nous resservait pour la suite, en espérant que sa cervelle aille une quelconque idée.
C'est alors qu'il commençait à donner ses ordres. Il voulait simplement que l'on les occupe. En faite il avait ordonner a un des siens, sans doute un autre échu d'allez dans les lignes arrière pour agir. Au début je m'étais dit que les encerclées ne servaient strictement a rien, car par la force des choses, c'est ce que l'on avait fait par moment, mais bon. Visiblement il avait une autre idée en tête. Mais j'avais rapidement compris qu'il voulait juste que l'on les occupe. Non, mais sérieusement ça l'aurait tué de nous expliquer un peu plus ce qu'il avait préparé. Je n'aimais pas quand quelqu'un s'amusait à ne donner que la moitié d'un plan. D'accord, je n'avais pas a rouspété, je devais faire le même, mais bon.
Quand il avait carrément dit qu'il attendait quelque chose pour les attirer autre part, je me demandais bien de quoi il s'agissait. On n’avait même pas pu les faire dévier d'un centimètre, alors qu'est ce qu'il croyait en être capable ? Personnellement, j'avais beau réfléchir, je ne voyais que deux choses, l'une autre chose a détruire, mais pourquoi changée alors qu'ils avaient cette ville devant eux. Et de l'autre, peut être quelque chose d'assez puissant pour qu'ils décident de s'en occuper. Mais ça franchement je ne voyais pas qu'est ce que ça pouvait être. Enfin sa petite cachoterie avait plutôt intérêt a marché, car sinon je crois que j'allais aider les rides a détruire la ville.
Je retournais alors a combat, au moins toutes ces frustrations augmentaient ma rage et je pouvais ainsi la laisser exploser, bon ça ne faisait pas vraiment de différence devant ces monstres, comme il l'avait dit, ils étaient invincibles. Mais d'une cotée au moins ça faisait de bons défouloirs. Il fallait seulement que je continue à faire attention à moi. Je n'avais pas envie de perdre la vie bêtement et puis j'avais bien envie de trouver d'un moyen ou d'un autre le point faible de ces monstres, j'étais persuadée qu'il existait.
Mais alors que tous combattaient, je remarquais soudainement que Cocoon venait à nouveau de décider de nous laisser là. Bon sang, mais qu'est ce qu'il foutait encore ? Certes ça tournait mal. Celui qu'il avait envoyé quelque instant auparavant semblait bien se débrouiller, mais c'était loin d'être suffisant, les monstres continuaient malgré tout a tout détruire et je me demandais quelque peut combien de temps il leur faudrait pour tout détruire dans les environs. Et puis est-ce qu'ils allaient s'arrêter quand la ville serait détruite ou continuerait elle jusqu'à une prochaine destination ? Les deux solutions étaient possibles et je commençais à me dire qu'il faudrait peut-être mieux que je m'en aille avant d'y laisser ma peau finalement. Mais je savais que ça lui ferait trop plaisir, même si quelque part, c'était ce qu'il venait de faire aussi, mais quelque chose me disait qu'il avait une bonne raison de faire ça. Sa fierté allait le pousser à tenter l'impossible, j'en étais persuadée.
Un grognement retient alors mon attention, Kiata venait d'être projeté un peu plus loin de moi. Elle était couverte de sang et force de constater que l'on arrivait plus à communiquer l'une et l'autre. Du coup je m'aichais d'elle rapidement. Ses pattes avaient morflé et je voyais qu'elle n'en pouvait plus. J'essayais alors de soigner au mieux quelques blessures et je lui dis d'aller rapidement se mettre à l'abri. Je ne voulais pas qu'elle continue à prendre des risques. Et pourtant, que ça soit elle ou moi, on était toutes les deux épuiser. Mais pas seulement, c'était le cas de plusieurs personnes. On ne pouvait plus utiliser la magie comme bon nous semblait et ça se voyait.
Je me repliai alors vers la ville une nouvelle fois, d'une part pour veiller a ce qu'elle soit en sécurité, c'était peut être le seul être a qui je tenais réellement, mais surtout pour souffler un peu. S'il y avait bien quelque chose que j'avais appris, c'est que ça ne servait à rien de forcer la marche et s'il fallait que je m'arrête pour souffler, autant le faire si non je me dirigeais vers une mort certaine. C'est alors qu'il se passait quelque chose que je ne compris pas.
Un bruit retentit sans que je sache réellement d'ou ce qu'il venait. De la ville ça c'était certain, mais encore ? Dans tous les cas, j'avais été attirée par un étrange mouvement en direction des monstres. Ceux-ci avaient été projetés à plusieurs mètres. Mais qu'est-ce qui s’était passée ? J'hallucinais de voir ça. Je ne sais pas qui avait fait ça, mais pourquoi ne l'avait il pas fait plus tôt bon sang ? Enfin est-ce que ça suffirait ? Car les créatures se relevaient encore. Mais alors que je m'apprêtais à essayer de trouver les responsables pour lui dire de recommencer, je remarquais qu'elles commençaient à faire demi-tour. Je ne savais pas vraiment pourquoi, mais je n'allais pas me plaindre. J'espérais seulement que c'était définitif. Quand tout fut enfin fini et que je récuse quelque soin, je m'en allais alors rapidement, je n'avais pas envie de rester ici pour le moment. J'aurai sans doute d'autres occasions de revoir ce cher Cocoon. Et puis je ne voulais plus être là si maintenant pour une raison ou une autre, ils revenaient. On ne pouvait pas être certain. Et enfin, il était peut-être temps que je rentre au palais pour avoir quelque nouvelle aussi. Fallait pas que j'oublie la nouvelle tâche qui m'était confiée non plus. Je m'arrêterais sans doute à l'auberge d'une ville que j'appréciais particulièrement avant pour bien récupérer.


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