Mes récents voyages m’avaient empêchée de rester longtemps à Utopia et de par ce fait je n’avais guère eu beaucoup de temps pour moi et la ville m’était  du coup presque totalement inconnue.  J’avais l’intention de pallier à cela quand les paroles de mon maitre me revinrent une énième fois en tête. L’une des choses qu’il m’avait le plus répétée au long des dix dernières années était de tout faire afin d’être proche des personnes possédant le pouvoir au sein d’un peuples. Je me fichais quelques peu d’être ou non proche du roi cependant cela ne me coutais rien de me rendre jusqu’au palais. Une fois là-bas je verrais bien ce que je ferrais. Je m’habilla rapidement et sortis dans les rues de la ville. Je n’avais pas l’habitude de marcher la tête haute dans les rues d’une ville et je dus concentrer une bonnes partie de ma volonté pour arrêter de regarder mes pieds en me cachant pour lever la tête et découvrir les merveille d’architecture dont recelait la ville. Je marchas ainsi pendants quelques temps m’arrêtant à de nombreuse occasions pour admirer les bâtiments de la ville. Mes pas m’ammenères finalement aux portes du palais et alors que je poussais j’entrais je n’avais pas la moindre idée de ce que j’allais faire et de ce qui m’attendais.

Je m’étais à de nombreuse reprise ébahit en voyant les merveilles architectural présente dans la ville et j’avais essayée temps bien que mal d’imaginer comment aller être l’intérieur du palais. A peine avais-je poussée la porte d’entrée je compris que je m’étais trompée sur toute la ligne et que je ne pouvais pas parvenir à imaginer ne serait-ce qu’une parcelle de la beauté présente à l’intérieur. Le décor qui m’entourait dépassait en effet mon imagination et de très loin. Des cascades semblaient sortir des murs et alimentaient des canaux qui parcouraient le sol et encadraient les différents chemins. de nombreux parterre de fleurs et de plantes en tous genre étaient présents et accentuaient la sensation de fraicheur présente au sein de la pièce. En plus de tous cela de riche parures et tapis venait agrémenter le tout. La sensation d’être présente à un endroit qui ne m’était pas destiné m’envahit mais la curiosité de savoir si tout le palais était comme cela fut plus forte et au lieu de rebrousser chemin comme me la raison me l’indiquait j’avanças et montas les marches vers se qui devait probablement être la pièce ou le roi jugeait les audiences. Ici l’ambiance et la sensation de bien être ainsi que de fraicheur qui était présente en contre bas était accentuée. Je regardais tout cela avec une admiration grandissante et je ne remarqua que quelques instants plus tard que j’étais en train de déambuler dans les couloirs du palais. Un sentiment de remord m’envahit mais il fut très vite balayé à la pensée que si je ne devais pas être présente ici des gardes auraient été posté à différents endroit pour m’en empêcher.

J’étais en train de reculer pour voir plus en détail une immense fresque présente sur un des murs quand je sentis quelque chose dans mon dos. Je sursautas à ce contact inattendus et cela eu pour effet de renverser une carafe présente sur le meuble que je venais de percuter. Je m’empressa de la ramasser pour la remettre à ça place et alors que j’étais en train de la regarder afin de voir si je ça chute ne l’avait pas ébréchée j’entendis des voix dans mon dos. Je remis rapidement l’objet à sa place et me retournas vers les gens qui venait d’entrer dans la salle. La surprise m’assaillit quand je vis de qui provenait les voix. Il s’agissait du roi accompagné de  deux personnes, probablement des conseillés. La discussion qu’ils avaient devait être très importante car alors qu’ils passaient près de moi le roi continua de parler sans s’arrêter et ne daigna même pas me regarder. L’un des conseiller en revanche me vit et après avoir interpellé le deuxième il marmonna quelque chose à l’oreille du roi qui fit un lège de la main et continua d’avancer dans les couloirs du palais. Une foule de question se bouscula dans ma tête alors que les conseiller se rapprochaient de moi. Que voulaient-ils ? Sans doute me dire que je n’avais pas ma place ici et que si je ne partais pas de suite j’allais me retrouver au fond d’une cellule.  Je me concentras afin de paraitre la plus sereine  possible et quand ils arrivèrent à ma hauteur je leurs souris le plus aimablement possible. Après m’avoir regarder en détail l’un des deux pris la parole et s’adressa à l’autre « Hum oui elle feras bien l’affaire. De toute façons nous ne pouvons nous permettre d’attendre plus longtemps » « Je suis d’accord avec toi espérons juste qu’elle sache un minimum se tenir devant une foule et qu’elle connaisse les bases de la bonne conduite. » Les entendre parler de moi en faisant comme si je n’étais pas la m’énervais au plus haut point néanmoins je réussit, avec beaucoup de mal il faut bien l’avouer, de leur faire la moindre réflexion. « Excusez moi mademoiselle mais nous avons un petit problème et cela nous serez d’une grande aide si vous acceptiez de nous venir en aide. »

Sa c’était une surprise. Je m’étais attendus à bien des choses mais certainement pas à ce qu’ils viennent me demander mon aide. Je me repris rapidement et balbutia « Heu... Et bien si cela est dans mes moyens se serait avec plaisir. De quoi s’agit-il ? » A ma réponse favorable le visage du conseiller s’illumina et l’angoisse que je pouvait lire dessus disparut presque totalement. « C’est très simple dans quelques heures nous devons présenter une grande assemblée politique devant bon nombre de citoyen d’Utopia. Elle est très importante et nous ne pouvons ni la manquer ni la déplacer cependant notre problème est la. Notre porte parole est subitement tombé malade il y a peu de temps et il est dans l’incapacité de présentée cette assemblée. Et nous n’avons personnes pour le  remplacer ce qui nous met dans une situation dangereuse. »

Décidément ils avaient décidé d’aller de surprise en surprise. Et celle la était de taille. Néanmoins même si la proposition en aurait fait baver plus d’un et m’aurais permis de me faire bien voir aux yeux du rois je ne pouvais accepter. « je suis sincèrement désolée mais je crains de ne pas être la personnes qu’il vous faut. Même si j’acceptais de vous aider une fois devant les gens je serais incapable d’aligner plus de trois mots sans bafouiller ou prendre mes jambes à mon coup. » «  je crois que vous ne comprenez pas c’est vraiment extrêmement important et vous êtes la seules personnes à pouvoir nous aider. » « Quand bien même se serait le cas j’ai horreur des foules et je ne pourrais pas parler alors mieux vaut pour vous que vous mettiez à chercher une autres personnes. » « mais nous n’avons pas le temps. Et comment trouver en aussi peu de temps quelqu’un comme vous ? Vous dégagez une force et avait un charisme que peut de gens on dans cette ville. Vraiment nous avons besoin de vous. S’il vous plait. » Ils étaient décidé à ne pas lâcher l’affaire et même si j’avais peur du résultat une fois sur la scène j’avais vraiment envie de tenter l’expérience.

Je pouvais toujours accepter leur requête je les avaient informé du risque qu’ils encouraient en me prenant moi comme porte parole si il y avait un problème se ne serait donc pas ma faute. Pas directement en tous cas. « bon très bien j’accepte de tenter de vous servir de porte parole néanmoins je vous ai prévenus et si il y a le moindre soucis je ne pourrais pas être tenus pour responsable » « Oh merci beaucoup. Vraiment. Vous nous enlevez une énormes épine du pied. » « Hum par contre il y a une lège soucis. Vous ne pouvait pas vous présenter devant la foules dans cette tenues. Vous ressemblez à une paysanne. Suivez nous nous allons vous trouver de meilleur vêtements. » « Oui oui oui il a raison et pendant que vous vous habillerez nous vous expliquerons ce que vous avez à dire et en quoi consiste votre rôle. »

Je n’eus pas le temps de répliquer quoique se soit que le premiers conseiller tournas les talons et s’engouffra dans les couloirs. Le deuxième quand à lui me pris par le bras et m’emmenas à sa suite. Quelque minutes plus tard je débouchas dans une nouvelle salles. Au premier coup d’œil je crus qu’il s’agissait d’un débarras. Mais en y regardant mieux je me rendis compte qu’il s’agissait en réalités d’une salle de couture. Au milieux des morceaux des tissus, des mannequins et des morceaux des vêtements non finis se tenait une femmes. Enfin elle ne se tenait pas vraiment au milieu de la dévastations ambiante elle était occupée à courir partout et à récupérer les morceaux de tissus qu’elle pouvait encore utiliser. Je m’approcha d’elle à la suite des deux conseillers. « Bonjours Adria désolée de vous déranger dans votre travail mais nous avons une requête de la plus haute importance pour vous. La jeune femmes ici présente vas être notre porte paroles pour l’assemblée de toute à l’heure néanmoins comme vous pouvez le constater elle ne peut se présenter à la foule dans cette tenues. Elle aurait vite fait de se faire huer et mettre à la rues. » « Hum ah oui oui c’est catastrophique mais je ne peux rien pour vous. Pas avant que la cérémonie soit passée en tous cas. J’ai encore plusieurs tenues à préparer et ni le temps ni les matériaux nécessaire pour tous faire. »

Je n’écoutas pas la conversation plus longtemps sachant déjà qu’ils allaient trouver une solution. Tout comme ils m’avaient convaincu de leur servir de porte parole. Je regardas un instant la femme, qui aux dires du conseiller s’appelait Adria, s’affairer tout en répondant aux conseiller qu’elle n’avait pas le temps. La situation d’Adria était-elle que je ne pus m’empêcher de sourire. Elle était déjà condamnée à me fournir une robe et m’aider à me préparer et à voir sa tête elle le savait elle aussi. Laissant de coté se spectacle je déambulas dans la pièce. Si je devait porter une robe pour parler autant en chercher tout de suite une qui me plaise.

J’avais déjà regardée plusieurs vêtements, tous plus beau les un que les auters, mais aucun ne me convenait vraiment. Je ne me connaissais pas ces gouts de luxes mais je risquais d’y prendre gout s’y jetais amenée à côtoyer ce milieux plus tard. Je pensais à tous cela quand un reflet rouge attiras mon regard. Il provenait d’un mannequin à moitié caché par un portant en bois. Je m’approchas et après avoir déplacé ce qu’il cachait je tombas sur mon bonheur ; Il s’agissait d’une longue robe blanche. Des grenats étaient enchâssé  sur le col est ils étaient bordée d’autres pierres précieuse plus petites. Dans la robe était incrustée un grand nombre de perle qui reflétaient la lumières et lui donnait toute un éventail de teinte de couleur différentes. Deux anneaux en or blanc finement ouvragé étaient posés sur une table à proximités et à coté d’eux un collier lui aussi en argent était présent. Il était assez fin et en son centre était incrustée une émeraude.

Je regardais cette ensemble en étant dévorée par l’envie. Il était magnifique mais je savais que jamais je ne pourrais porter quelque chose comme cela. Une seules des bagues valait plus chère que toute l’argent que je possédais. Je pensais à tous cela et à l’opulence dans laquelle devait vivre le rois quand soudain une voix me fit sursauter. « Bon je dois vous trouver une robe pour la cérémonie alors choisissez en une rapidement que je puisse la mettre à votre taille. Vous pouvez prendre celle que vous voudrez. » Il s’agissait d’Adria et comme je m’y attendais les deux conseillers avaient réussi à la faire plier. Ça dernière phrase me comblais de bonheur mais avant de choisir je voulais être sur de pouvoir faire mon choix. « je peux choisir n’importe laquelle ? Cela n’as aucune importance ? » Cette fois c’est l’un des conseillers qui pris la paroles. « Oui oui faites donc nous avons convenues de vous la donner à la fin de la représentation. Ce sera notre cadeau de reconnaissance si vous préférez. » « Bon et bien j’aimerais beaucoup avoir celle-ci si c’est possible » dis-je en me retournant devant l’objet de mes convoitises. « Bon une bonne chose de faites allez suivez moi je vais la mettre à votre taille et pendant se temps ils vont vous expliquer ce que vous allez avoir à dire durant l’assemblée. »

Je passa les deux heures qui suivirent à essayer la robe et à écouter les conseiller me débiter bon nombre de conseille aux sujet de la réunion. Je savais déjà tous ce qu’il me disait à propos du comportement que je devais avoir sur l’estrade mais j’ai préféré ne rien leur dire. Au bout de ces deux heures je me dirigea vers la salle ou aller avoir lieu l’assemblée. Cette fois ci je n’eus pas besoin de courir et même si j’avais du le faire saurait été impossible à cause de la robe. Devant la salle les conseillers me donnèrent les dernières indication et m’expliquèrent que j’aurais devant moi un feuille ou serait marquer tous les point importants que j’avais à dire. Il me restais quelques minutes avant de devoir monter sur scène et je les passa les yeux fermé cherchant un moyen de garder mon calme et de ne pas faire d’erreur. Maintenant que je savais vraiment sur quoi portait l’assemblée je ne devais pas faire d’erreur.

Quand ils me firent signe d’entrer c’est avec la tête haute que je le fit et je m’installas fièrement devant le pupitre. J’inspiras profondément et je commença mon discours « chers citoyen et citoyenne d’Utopia si le rois vous a donné rendez-vous ici aujourd’hui c’est dans le but de vous parler de l’avenir de la citée et de ces objectif qu’il a pour nous dans le futur. Je vais commencer par placer les Humains par rapport aux récents événement qui ont fait trembler le monde. Comme certain le savez sans doute il y a peu un nouveau continent à était découvert. » Contre toute attente mon discours se déroulait sans encombre et les mots sortaient de ma bouche sans aucun soucis. Bien que je me sois plusieurs fois retournée vers les conseillers aux début de mon discours plus le temps passer et plus mes coups d’œil furtif étaient rare jusqu’à devenir inexistant à la fin de mon monologue.

Lorsque j’eus finis l’un des conseiller pris ma place et entrepris de répondre aux maximum de questions des citoyens. Se ne fut que lorsque je m’assis et me détendit que je sentis le regard du roi quitter mes épaules pour regarder la salles. Au bout de deux heures l’assemblée pris fin et les gens quittèrent la salles.je la quitta aussi mais j’attendis que les conseiller eurent finis de parler avec le rois pour leurs poser mes propres question. Ce qu’ils contaient faire avec le continent de glace ne me convenait pas et pour m’y être déjà rendus je connaissais les dangers auxquels ils allaient exposer des dizaines de personnes. Après quelque instant l’un d’eux vint vers moi « merci beaucoup pour se que vous avez fait j’ignore se que nous aurions fait sans vous. » « Vous ne devez rien tenter à propos des terres gelées C’est un endroit bien trop dangereux et » « Madames nous vous sommes très reconnaissant de ce que vous avez fait mais si nous avions besoin de vos conseil nous vous l’aurions fait savoir » « écoutez les humains sont peut très peu et vous voulez risquer la vie de plusieurs d’entre juste pour » « Vos divagations ne m’interresse pas et notre rois non plus je vous remercie encore une fois de ce que vous avez fait mais nous n’avons plus besoin de vous maintenant. Vos vêtements sont devant la porte vous pouvez disposer. Merci » A ces mots il me tournas le dos et retournas vers le roi me laissant seules.

Je sortis en trombe de la salles et arracha mes vêtement des mains de la servante qui me les tendaient. J’étais furieuse. Ils me demandaient mon aide et une fois cela finis il me congédiais comme une moins que rien. Je fulminais non seulement à cause de leur comportement mais aussi à cause de moi même. Je n’aurais jamais du accepter. A cause de cela des Humains allez mourir et notre races déjà faible aller encore s’affaiblir. J’entra chez moi et après avoir passer mes nerf sur les meubles et les murs je m’assis sur mon lit. Bien. Très bien. Ils ne voulaient pas m’écouter ? ne faire attention à mes avertissement ? Et bien dans se cas nous verrions bien qui a tord dans le futur.

Mais je sais déjà que ce n’est pas moi.