Zéleph sourit. Quelque part un peu intimidé mais sur tout amuser. Ils avaient chacun leurs visions des choses. L’autre leur paraissait parfait, et dans leurs coins ils culpabilisé de ne pas l’être assez en retour. Durant leur baiser, il l’avait enfermé dans ses bras, la serrant contre lui. Tout simplement incapable de résister au besoin de la sentir, de l’étreindre. A présent, ses mots lui semblaient obsolètes. Leurs yeux, leurs gestes parlaient deux même. Elle semblait si troublé, bouleversé, et ça le rendait heureux. Il avait cette chance, cette chance incroyable qu’elle l’aime. Elle ne pourrait jamais savoir la reconnaissance qu’il avait pour cela. Il retrouvait un semblant d’amour propre, de fierté à travers son regard. Dire qu’elle l’avait mis en garde à ce propos, qu’elle ne l’aimerait jamais comme on avait pu l’aimer. Non c’était vrais, elle l’aimait plus, bien plus et maintenant qu’il s’en rendait compte ça l’inondait de plaisir. Quoi qu’on en dise il se sentait apaisait. Son front vin ce posé sur celui de Mitsuko, respirant a grand poumons son parfum, profitant juste de l’instant a ses coté. Il n’y avait bien que quand il l’avait près de lui qu’il se sentait enfin entier, ce vide en lui donnait l’impression d’être comblé. Les yeux fermés, il voulait juste gravé ce moment. Son cœur était gorgé d’un sentiment qui le transportait. Il se rendait bien compte que sans elle il n’était plus le même. Il dépérissait. Comme une pauvre bête blesser, il attendait de sombré. Sa lumière. Sa seule lumière. C’était elle. Il n’était jamais plu fort qu’avec elle. Sa faiblesse et sa force. Ce penchant, il gravi les quelques centimètre qui les séparait. L’embrassant doucement, avec toute la tendresse dont un homme comme lui était capable. Chaque seconde avec elle était unique et sans prix. Il se sentait si léger. Avec précaution, il la colla contre lui. Ses mains sur la taille, il se leva, la portant avec lui pour la déposer sur le lit. Aucun homme ne pouvait être plus heureux que lui à cet instant. Son baiser s’approfondît légèrement à mesure qu’ils s’allongeaient. Cette endroit était modeste, et sa couche sommaire. Il n’avait rien à lui offrir de plus, et pourtant il n’y avait rien qu’elle puisse lui demandé, qu’il ne ferait. Elle était son égérie, sa fantasmagorie. Tout ce qu’il désirait était là, en elle.  

Ce retirant de sa bouche, il lui embrassa délicatement la pommette, descendant sur sa joue, puis son cou. Il la couvrait de baisait, ses bras l’enfermant contre lui comme un étau. Égoïstement il la voulait pour lui, et il cherchait à la garder à tout prix. Il avait tellement peur qu’elle disparaisse, qu’elle s’évapore. Si elle venait à partir il en serait briser a jamais. Il le savait depuis toujours, avait crue arrivé à s’en protéger, mais au final tout ce qu’il avait fait c’était ce mettre en danger, encore et encore. Seulement avec elle, il n’avait jamais était aussi heureux de risqué sa vie. C’était elle et rien d’autre. Il n’avait besoin que de ça pour vivre à nouveau. Son sourire, sa chaleur, son parfum, ses grands airs, son dédain, son rire, ses moqueries, sa beauté, et tout ce qui faisait qu’elle le rendait fou. Fou de rage, fou d’amour. Zéleph était surprit de pouvoir l’aimait encore plus qu’il ne le faisait déjà. Aucune limite ne semblait pouvoir les arrêter. C’était aussi ce qui faisait leurs forces. Au final qu’importe le malheur, ils ne pouvaient s‘empêcher de se vouloir l’un l’autre, quitte à en perdre la raison, ou même la vie.

Il sourit contre la peau délicate du coup de sa fiancée de femme. En réalité, la raison il l’avait déjà tout à fait perdu la première fois qu’il c’était agenouiller devant elle. Il aurait dû savoir qu’à partir de cet instant il souffrirait toujours d’amour. Un mal qui était plus incurable que toutes les maladies de ces terres. Zéleph se souvenait de beaucoup de chose. Seulement certaine chose restait encore floue dans son esprit. Il ne se souvenait pas de tout. Les souvenirs étaient des choses fragile et insaisissable. Il lui restait dans sensations, des impressions. Loin d’image ou de paroles, il ne lui restait que des marques dans son esprit retourné. Ce défaisant doucement d’elle, le réprouvé, de nouveau lui, ce glissa a ses coté. Ne la lâchant pas une seconde pour autant, il posa sa tête sur son oreiller et fronça un peu le nez. Il s’en fichait, des souvenirs, il s’en ferait de nouveau. Il n’y avait que ça qui comptait. Un nouveau départ, une nouvelle vie pour l’éternité qui les attendaient. « Kaazin los er » Il ne se souvenait même pas exactement de ce qui était arrivé ce jour-là, mais il savait que ce sur nom était devenu une complicité entre eux. Quelque chose qu’ils ne pouvaient partager. Oui, elle était belle, d’une beauté sans pareille et il ne parlait pas que de son enveloppé corporel. Qu’il aimait cette femme, pour tout. Si digne et à la fois si enfantine. Femme et gamine. Insupportable et adorable. Ses yeux carmin enfouit dans ce vert hypnotisant il émit un léger grognement avant ce pratiquement ce jeté sur elle. La plaquant brusquement a lui pour réquisitionné à nouveau ses lèvres. C’est qu’elle le rendait fou. SI il pouvait il ne la lâcherait plu jamais, resterait là avec elle dans ce lit pour le reste des siècles à venir. Juste lui et elle. Simplement le monde tournait toujours autour d’eux. Pourtant lui semblait l’avoir totalement oublier. Quand il prenait possession d‘elle, son monde ne tournait plu que pour elle.

* Littéralement : "Chaton est magnifique"
On peut traduire par "Magnifique chaton"