Nastaé sortit de l’Océan, près du continent mystérieux. Son corps dériva volontairement jusqu’à la berge, avant de s’échouer sur la plage environnante. À peine eut-il touché le sol, qu’il repoussa l’eau de son corps et autour de lui, pour muter dans la minute et trouver l’usage de ses jambes. Une fois debout il fit apparaître un petit sac d’où il en sortit des voiles blancs. C’étaient de grands linges qu’il enroula autour de son corps, couvrant certaines parties et non d’autre, le tout étant très à l’aise à l’intérieur. Des bijoux et pierres colorés incrustés aux vêtements, sont visibles au niveau du buste et de la taille du jeune homme. Mettant ses petites chaussures, il noua ses cheveux secs d’un simple lien de cuir lâche, et se mit en route vers les falaises.

Une fois qu’il fut remonté et exposé à la vue de tous, son attitude changea réellement. Il était heureux d’être dans un endroit un minimum fréquenté, alors il était ouvert aux échanges et aux rencontres. Il était accessible. Souvent trop sur de lui, on lui avait beaucoup reprocher le fait de se donner un air supérieur qu’il disait ne pas avoir. Ayant apprit de ses erreurs, il faisait dorénavant en sorte de changer d’attitude, sans changer d’apparence.

Depuis quelques temps, il avait eu des échos au sujet du temple des Esprits. Les Aethers, le temple, le culte, les fidèles… C’était nouveau pour lui et il voulait en savoir plus, se renseigner, alors aller directement à la source des choses. L’Ondin était comme ça, il allait au but directement. Ainsi, il se retrouva devant ce bâtiment, aux grands jardins, et à la beauté incroyable. Il faudrait quelque chose comme ça dans l’Océan, ça mettrait de la couleur et ça fournirait bien la culture… Soupirant en esquissant un petit sourire quasi invisible, il avança dans l’allée le nez en l’air, avant de voir un flash roux et, sans pouvoir faire quoi que ce soit, percuta un homme. Par réflexe, Nastaé, pour éviter de tomber et de s’emmêler dans ses voiles, attrapa le type à bras le corps, se retenant ainsi sur lui.
C’était tout à fait lui ! Fidèle à lui même !

Nastaé se redressa immédiatement, et remit en place son col, avant de dire :

« Vous n’avez rien ? Je suis désolé, j’étais distrait. »

Le jeune homme avait la facheuse manie de ne pas faire assez attention. Forcément, ça créait des chocs. Cependant, il était assez inquiet et s’enquit rapidement de l'état de santé de l'homme qu'il avait percuté. Le jeune homme avait une sérieuse empathie envers les autres, et il s'étonnait que certains le considèrent comme inaccessible. Même s'il avait pris le temps de se redresser et de faire sa vie avant de lui demander s'il n'avait rien, il n'en n'était pas moins touché, contrairement à ce qu'il pouvait laisser paraitre. C'était ce genre d'opposition d'attitude qui faisait souvent poser question. Si la personne l'intéressait, il était plutôt du genre messages subliminaux, et encore c'était quand il y voyait une ouverture, sinon il se gardait bien de tout geste déplacé.

Croisant gracieusement les bras, comme si tous ses mouvements n'étaient qu'une vaste chorégraphie savament répétée, il dit avec un petit sourire aux lèvres :

« C'est la première fois que je viens ici. On m'a dit que les Aether oeuvraient pour leurs fidèles. Ca vous dit quelque chose ? »


Une légère brise passa, ce qui créa du courant d'air. Certains de ses linges dansèrent doucement, en accord avec ses cheveux encore prisonniers du lien de cuir noir.

« Aie » Quelque chose lui avait cogné le dos, ou plutôt lui était rentré de dans le faisant presque tomber, mais la reprise de l’équilibre sur lui par son assaillant du le sauver en faisant contre poids. L’ange ce retourna pour lui voir apparaitre un grand jeune homme a l’air inquiet. Est-ce qu’il n’avait rien ? Neros scruta son torse et ses bras nues avant de s’attaquer à ses jambes et de lancer tout sourire un grand « Non » Il se moquer gentiment de cette homme, mais son sourire était si pure et sincère qu’on ne pouvait imaginer autre chose venant de lui que de la joie et non de la méchanceté. Un ange pouvait-il seulement l’être ? Neros semblait avoir oublié ce sentiment. « C'est la première fois que je viens ici. On m'a dit que les Aether œuvraient pour leurs fidèles. Ça vous dit quelque chose ? » L’ange eux envie de rire, mais ce retins gentiment. Ce n’était pas pour se moquer cette fois, bien au contraire, Neros avait tendance à rire tout le temps et pour n’importe quoi. Il était simplement gai et apprécier la vie, simplement il prenait soin d’analysé les gens avant de savoir si son caractère ne froisserait personne. Sa mère était un Aether, alors il savait bien ce que c’était. Il était justement là par curiosité. Il voulait voir à quoi ressemblait d’autre Aether, ceux qui avaient libéré les pouvoirs de son père. Peut-être que lui aussi avait des pouvoir cacher a libéré. Le rouquin ricana tout seul à cette idée. C’était de bien mauvaises penser pour un ange que de guetté sa puissance. Il ne faisait qu’en rire heureusement. « Oui, on les appelle les esprits du temples. En tout cas pour ceux qui sont là. » Neros ce retourna vers le temple au haut des quelques marches qui resté à gravir pour arriver à la fontaine. « En échange de votre fidélités, il partage avec vous leurs pouvoir. J’ai eu la chance de voir de quoi était capable le pouvoir des dieux et je vous assure que c’est impressionnant. » Voir même un peu terrifiant. Son père pouvait naturellement l’être, mais avec le tigre il était devenu monstrueux. Enfin, en termes de puissance. Il ne ce permettrait pas.

« J’étais en route justement. Je peux t’accompagner ! » Le rouquin offrit son plus beau sourire au jeune homme, avant de tendre vivement une main de courtoisie. « Je m’appelle Neros et oui je suis un ange » de toute façon avec ses deux grandes ailes blanche qui pourrait en douté. « Maintenant que l’ont ce connait, je te tutoie, par ce que chez moi on est tous frères. » Alors oui, Neros avait une philosophie de vie un peu particulière. Ils étaient tous des enfants de la natures et donc tous des frères, il n'y avait pas a discuté! C’était qu’il avait était réprouvé et humain avant d’être un ange et croyez-le avec tout ce qu’il avait vécu il prôné le pied d’égalité entre tous les êtres avant tout. Certain était irrité par cette forme de naïveté du garçon, mais il ne fallait pas s’inquiéter, si Neros paraissait bien candide, il n’était pas crédule et savait encore lire dans les personne. En outre, ce jeune homme brun, un peu grand par ailleurs, paraissait de confiance. Du moins il ne ressentait aucun mal en son être, ou d’hostilité, alors il n’y avait rien à  craindre. « Allons-y » Il ouvrit la marche vers le temple. D’un pas assuré, il entra dans la fontaine avant d’arriver devant le rideau d’eau, puis il se retourna vers le jeune homme. « Si tu as peur d’être mouiller ne tans fait pas, cette eau est magique, aucune goutte ne touchera ta peau. » puis il passa sous la cascade pour rentrer dans le temple. C’était que Lucy lui avait parlait du temple quand elle y avait fait visite avec son père. Une fontaine magique, a l’eau non mouillante. Drôle d’idée, mais vue l’entré c’était plutôt bien penser. Une fois dans la grande salle c’était bien différant de ce que lui avait annoncé sa grand-mère. Pas de cerisier, pas d’arbre, juste une grande salle circulaire avec sept portes. C’était une atmosphère un peu froide, tout à fait neutre.

Attendant son compatriote l’ange regarda chacune des portes. Toutes identique, et avec sa mémoires photographique il n’avait pas beaucoup de chance de ce trompé, une fois qu’il en voyait une, il n’avait aucunement besoin de comparé. Étant plutôt du genre « adorable » avec tout le monde, Neros se tourna vers le brun et lui sourit. « Je crois qu’il nous faut choisir une porte, à toi l’honneur. »

Nastaé laissa tomber tout sentiments de doute ou de confusion quand il vit l’homme en face de lui, lui sourire de toutes ses dents. Eh bien, en voilà un homme charmant ! On lui fonçait dedans et il était content. L’Ondin le gratifia d’un petit sourire, avant de tourner sa tête vers le reste du temple en lui posant une question. Le type souriait toujours et il avait l’air très sincère. L’Ondin fut immédiatement à l’aise et n’hésita donc pas à être naturel. Nastaé n’aimait pas vraiment se cacher, mais sa nature lui dictait certaines règles, et il ne pouvait que y obéir. Les étrangers étaient tous des ennemis pour sa race, mais lorsque quelqu’un comme ça vous tombe dessus -ou plutôt le contraire- vous étiez obligé de baisser les boucliers.
Le rouquin lui répondit gaiement, en lui livrant de précieuses informations.

« Partager leurs pouvoirs ? Mais… N’est ce pas un peu… Dangereux ? »

Il n’était pas sur que « impressionnant » soit exactement le mot juste.
Le sortant de ses réflexions, l’homme lui annonça qu’il était en route pour le temple. Nastaé accueillit la proposition d’un large sourire en acquiesçant. Il adorait se munir de compagnon de route, et faire les choses à plusieurs.
Mais voilà qu’il se présenta et qu’on lui tendait encore la main. Le jeune homme détestait ce… Rite humain. Lui il prenait les mains, il les caressait, il les embrassait, il ne les… Serrait pas ! Contraint, il tendit la sienne pour la glisser dans celle de l’homme, en soutenant son regard. Au moins, il essayait d’avoir une poigne ferme mais là aussi, il ne savait pas vraiment s’il faisait bien ou pas. Cependant l’échange fut bref.

« Je m’appelle Nastaé. »

Le jeune homme décida de ne pas livrer plus d’information. Qui il était, d’où il venait, non il laissa le temps faire les choses, et si Neros le découvrait à un moment, que ce soit par hasard ou intentionnellement, eh bien advienne que pourra. Sa nature d’Ange le rassura quand même un petit peu et il lança comme ça :

« Un ange, quel plaisir. Ca fait longtemps que je n’ai pas vu Nydelia moi… Je me demande bien comment elle va. »

Ca mériterait une petite visite de courtoisie ça. Mettant tout cela dans un coin de sa tête, Nastaé suivit Neros, côte à côte, sur l’allée menant au temple.
A peine avaient-ils fait trois pas, qu’il avait déjà un problème.
De l’eau. Il y avait déjà de l’eau. Son compagnon, voyant surement la mine inquiète sur son visage, lui annonça que c’était de l’eau magique qui ne mouillait pas les êtres y passant dessous. Une source magique formant l’entrée du temple. Qui avait eu cette idée complètement sordide ? L’Ondin acquiesça et soupira en se détendant. Il était bien bête de toute façon car il faisait bien ce qu’il voulait avec l’eau.

Une fois cette porte passée, et sans encombre –à bas la transformation, et autres joyeusetés contraignantes- Nastaé découvrit un univers froid et austère. On ne faisait pas plus simple. Des murs, des piliers, des portes, le tout dans une salle circulaire. Le jeune homme toucha une mèche de cheveux qui lui tombait sur la poitrine, en observant chaque porte autour de lui. Cette endroit ne le rassurait pas. Il était rempli d’Aether, lui n’en n’avait jamais vu, mais l’atmosphère que dégageait ce hall était étrange pour lui. Il se rapprocha Ostensiblement de Neros, comme si l’Ange allait le protéger de quoi que ce soit –alors que lui même savait très bien se défendre-, au moins pour se rassurer qu’il n’était pas seul. Lorsqu’il du choisir une porte par laquelle passer, il regarda une nouvelle fois chacune d’elle avant de pointer un doigt vers une :

« Celle-là. »

S’avançant vers celle-ci, elle s’ouvrit automatiquement lorsqu’il s’en approcha. Nastaé avait choisit Fuzâil, la Révélatrice

Ce grand brun ce prénommé donc Nastaé. C’était un joli nom, le genre qu’il n’avait jamais entendu. Ca n’était pas humain, ni réprouvé et encore moins ange ça il en était sûr. Neros tiqua simplement lors ce qu’on lui parla de sa reine. Il la connaissait réellement ? C’était un grand privilège. Lui n’avait pas eu la chance de la voir encore. Les souverains rester pour lui quelque chose de très impressionnant et d’un peu inquiétant à cause de l’image de son père. Enfin, vue comme avait était Violette, son ancienne reine avant qu’il ne meurt, on ne pouvait pas dire qu’il porte une idée idéaliste des rois. Il gardait simplement une grande admiration pour ces hommes et femmes capable de tenir sur leurs épaules tout un peuple.   Lui ne se sentait ni capable, ni assez courageux pour cela. Il était un petit séraphin comme tant d’autre et cela lui suffisait bien. Nastaé choisit une porte et il si engouffra avec lui. La pièce était tout aussi froide que la précédente. « Ils ne connaissent pas le chauffage ici on dirait. » Neros en profitait toujours pour lancer une plaisanterie quand il le fallait, adorant dire n’importe quoi, n’importe quand simplement pour dire quelque chose. La pièce était grande cela-dit, les murs couverts de tissus. Enfaite il y avait des tissus par tout. On se serait crue chez un tapissier. C’était cela-dit très bien disposé. Elégant et malgré le taux important de coton au mètre carré, cela ne semblait pas sur charger mais très délicat. Qui plus est, cela avait l’air très confortable. Des sortes de canapé et sièges fait de coussin et de tissus blanc et bleu. Agréable à regarder et a touché. Oui car, Neros n’avait pas attendu qu’on l’invite pour s’allonger dans un coin qui avait particulièrement eux l’air confortable à ses yeux.

« Aussi mal polie que son père. » Une forte voix féminine résonna dans la pièce. Le rouquin ce redressa un peu avant d’être éjecter de son royale lit. Neros rit en se levant. Ce n’était pas comme si on ne le jeté pas comme ça trois fois par jour. Avec sa tendance à ce croire chez lui par tout, il avait fini par ne plus s’en faire des reproches. Peut-être même ne si était-il jamais intéresser. Ce petit incident passer l’esprit fini par apparaitre devant eux, assise sur ce qui semblait être un trône fait également de tissus, et placer en hauteur au centre de la salle. Le rouquin la détailla un instant. Jolie, brune, vêtus comme les femmes dans le désert, où il avait vécu un moment. Il supposé que c’était  normal d’être belle pour une déesse, sa mère l’était par exemple particulièrement et puis la beauté était très suggestive chez les anges. « Je suis Fuzâil, Aether de la révélation et vous vous tenez chez moi. » Son regard avait insisté sur Neros sur les derniers mots, et il lui sourit bien navré de ne pas avoir demandé avant de tester le mobilier. Regardant Nastaé, semblant bien plus sage que le rouquin, qu’elle connaissait déjà à cause de ses parents plus ou moins proche d’elle, il lui paraissait plus important de ce concentré sur l’ondin. « Alors ainsi le pouvoir des esprits vous intrigue ? Dans quel but votre curiosité vous a-t-elle conduite ici ? » « Bah maintenant qu’on en parle … » mais Fuzâil avait levé la main faisant taire Neros, qui ricana plus qu’il n’en fut vexer. Bah tien, la maitresse avait un chouhcou et ça n’avait pas l’air d’être lui. Ce tournant vers Nastaé il lui sourit. Comme il semblait ne jamais pouvoir s’arrêté de faire d’ailleurs.

L’ancien humain, jadis réprouvé était d’une naïveté bouleversante. Pour un être ayant vécu la violence d’une vie de rejet, puis la dureté des faibles, il n’avait jamais perdu son âme d’enfant. Si accrochant bec et ongle pour que personne ne lui arrache. Il fixer sans un mot le grand brun. On aurait pu penser qu’il le détailler ou l’analysé pour se faire une opinion. Simplement non, Neros ne juger les gens, même pas pour ce faire une idée d’une personne. Il était simplement curieux de cette façon de parlait. Cette simplicité, cette élégance. Il envier tant de délicatesse et de savoir vivre. Bon, il ne pouvait pas réellement ce plaindre de quoi que ce soit. Il avait était élever de façon à connaitre toute les meilleurs manières qui soit, et pouvoir se fondre au milieu des grand de ce monde sans être jeté comme un malpropre. Le seul problème c’est cas êtres éduquer à marcher droit il avait fini par trouvé amusant de zigzagué pour énerver son précepteur. Le besoin de rébellion d’un réprouvé à l’époque. On lui disait noire et il faisait blanc, riant qu’on l’enferme dans les cachots pour ne pas avoir suivi les dogmes de la maison. Alors oui, il avait une certaine fascination pour ceux qui était comme Nastaé. Il se présentait bien, parler avec distinction, seulement par fois même ça ne suffisait pas.

« Et toi alors... Es-tu là pour suivre le même chemin que ton père ? » Fuzâil c’était adresser à lui, à nouveau. Son père ? Les Aether aimer bien son père, il savait bien pourquoi. Comment les esprits du temple l’avaient manipulé. Il était là le jour de la révélation, le jour où Lucy est revenue d’entre les morts. Peut-être espéraient-il trouver en le fils du Dovahkiin la même puissance dans la quel ils pourraient puiser e jouer, pour s‘occuper dans leur longue éternité d’ennui. Neros esquissa un sourire. La joie c’était laisser aller, laissant l’amertume et l’arrogance y prendre place. « Et devenir votre chien ? » Il rit ironiquement avant de secouer la tête, ce moquant ouvertement des grands Aetheri, leurs « Dieux ». Alors fièrement et remplit d’une grande conviction, il perça le regard de l’esprit avec le sien. Soutenant ces prunelles noires des siennes émeraudes. « Celui de ma mère me parait raisonnable. » Il adoré son père, avait une grande admiration pour lui, et plus encore quand il le voyait trainer sa carcasse au milieu des vivants. Non, il ne voulait pas être comme lui, blesser au plus profond de son âme, le cœur arraché par les Dieux à force de jouer avec. Il voulait être maitre de son destin et choisir son chemin.

Utopie absurde. Il y croyait pourtant. Neros n’avait aucun courage, mais il était totalement inconscient et n’avait aucune notion du danger. Alors aussi paradoxale que cela puisse être il n’avait peur de rien. Il était déjà mort deux fois et avait survécu à chaque fois. Le monde le désirait, le monde semblait ne pas vouloir qu’il le quitte, alors à présent c’était à lui d‘imposer ses règles. Il était là pour prendre sa vie par les deux cornes. Il était là pour l’aventure, le risque et la curiosité. Il était là pour ressemblait à sa mère et son père, pas l’un des deux, les deux ! On lui parlait toujours de l’un ou de l’autre car il était vrais qu’ils étaient tous deux une face distincte de la pièce. Tout comme le yin et le yang, le feu et l’eau, ils semblaient ne pas être compatibles et leur attirance était destructrice. S’il en était le fruit alors c’était bien qu’il y avait du potentiel non ? Fuzâil sembla ne pas prêter attention à ses piques. La provocation était pourtant tout un art chez Neros. Un ange qui savait jouer lui aussi, ce n’était pas commun.