Lieu du mois - Février : Un complot en eaux troubles.

Lun 04 Mar 2013, 18:59

Le miroir me renvoyait un reflet pour le moins inhabituel. De longs et bouclés cheveux roux, une frimousse parsemée de taches de rousseur, le teint très pâle, des yeux bleu saphir, un petit nez légèrement retroussé, des pommettes hautes et rebondies, des lèvres roses et minces. J'étais petit, ou plutôt petite, car en réalité, j'étais une enfant. Toute mignonne, toute jolie, je semblais avoir été sculptée avec délicatesse et douceur par un artiste raffiné. Cette apparence, qui m'avait demandé beaucoup d'efforts, n'avait strictement rien à voir avec celle que j’arborais chaque jour, et c'était peut-être cela qui me permettrait de m'en sortir.
Ne souhaitant pas épuiser mes forces inutilement, je repris ma véritable forme, aux traits plus marqués et au visage empreint de quelque chose de grave, de sérieux. Je m'observai un instant. Je n'avais plus grand-chose en commun avec le jeune humain que j'avais été jadis. La couleur des yeux et des cheveux peut-être, ou l'angle de la mâchoire.

Poussant un soupir las, je quittai la chambre. Je me rendis dans la rue. L'odeur d'iode et de poisson frais assaillit immédiatement mes narines. Pourtant, la nuit était tombée, et les commerçants, les passants et les nombreux marins avaient depuis longtemps déserté le port. Seuls quelques bateaux étaient encore à quai. Je descendis l'avenue menant à la plage, puis marchait sur plus d'un kilomètre afin de m'éloigner le plus possible des habitations. Arrivé devant l'eau écumeuse, je m'arrêtai un instant avant de m'y engager sans plus d'hésitations. J'avançai droit devant moi, jusqu'à ce que l'élément lunatique atteignît mon torse. Puisque j'avais le pouvoir de modifier mon apparence, j'avais eu l'idée de me transformer en poisson. C'était en général petit, et donc, je le pensais, plus simple à réaliser. Malheureusement, mes premières expériences dans une baignoire n'avaient pas été très fructueuses ; respirer sous l'eau par des branchies n'a rien d'instinctif pour moi. Le second soucis rencontré consistait à nager correctement. Pousser avec la nageoire caudale n'était pas un problème, mais gérer l'équilibre et la direction grâce aux nageoires pectorales, dorsale, pelvienne et anale, c'était tout autre chose ! Sans compter que dans une baignoire, il n'existe aucun courant marin.
Toutefois, j'avais décidé de ne pas me laisser abattre : je me métamorphosai, et l'océan m'engloutit tout entier.

Durant mon pénible et pernicieux périple vers la Cité Engloutie, je me remémorai les évènements qui m'avaient conduit jusqu'ici. Une nuit, dans un bar près du port, alors que je buvais tranquillement un verre d'alcool fort, une jeune femme s'était approchée et assise à la même table que moi. Elle était enveloppée d'une grande cape bleutée, et sa tête encapuchonnée. Cependant j'étais parvenu à discerner quelques uns des traits de son visage voilé par l'ombre. Elle possédait, si j'ose dire, un joli minois pourvu de deux grand yeux bruns. Elle m'avait accosté de la façon suivante :

« Vous êtes un vampire, n'est-ce pas ? »

Autant dire que j'avais été surpris par cette approche pour le moins étrange.

« Il est vrai... Je ne pensais pas que cela se voyait tant, mais puisque vous semblez l'avoir remarqué... Nous connaissons-nous ?
- Non, disons que j'ai un certain don à ce sujet. Si je me permets de vous aborder de la sorte, c'est parce que j'ai ouï dire que les vampires étaient de fameux... Enfin, nous nous comprenons, je crois. Je sais repérer ceux qui en valent la peine, et j'aurais justement besoin de...
- Désolé mais il y a longtemps que j'ai arrêté de rendre ce genre de services, madame, l'avais-je interrompue.
- Vraiment, Elros ? Et ne serait-il pas temps de vous remettre au travail ? Je veux dire, l'activité ne vous manque-t-elle pas ? »

Je me souviens avoir grondé. Mon passé, qui avait été tracé par le sang et malmené par le crime, était quelque chose que je tentais d'enterrer, toutefois plus pour me reconstruire que par remords. Était-ce une bonne chose que de me replonger dedans ? J'en doutais fortement. Néanmoins, je ne sais vraiment par quel moyen, la jeune demoiselle m'avait convaincu de reprendre, ou au moins de m'atteler une ultime fois à cette tâche pour l'aider. Nous n'avions pas discuté plus longtemps puisqu'elle avait prétexté qu'une affaire urgente requérait toute son attention, et m'avait donné rendez-vous dans une maison au fin fond de la Cité Engloutie. Le rendez-vous avait donc lieu aujourd'hui.

Je commençais à avoir de la peine à garder mon apparence marine, et à respirer de cette façon, lorsque j'arrivai aux portes de la citée. Je repris donc ma forme naturelle, et pénétrait dans l'enceinte de la ville. Cette cité, bien que je ne m'attardasse pas sur l'architecture de ses bâtiments, me parut en être une fort belle. Je me rendis à l'adresse indiquer, une petite demeure exilée du reste des habitations. J'y retrouvai la jeune femme de la fois précédente. Je souris lorsque je vis que je ne m'étais pas trompée : elle avait réellement un beau visage et de grands yeux bruns, encadré de longs cheveux d'ébène. Elle m'exposa ses conditions : je devais me faire discret, être rapide et furtif. Une fois ma tâche accomplie, il était impératif que je revinsse la voir, afin d'obtenir ma récompense, puis que je quittasse cette ville dans la plus grande hâte. J'acceptais ses exigences sans discuter. Elle me décrivit ensuite l'homme à abattre, ses habitudes et la façon dont je pourrais l'avoir facilement. Je hochais la tête, puis quittais l'endroit. Je pris l'apparence de la petite fille rousse que j'avais soigneusement préparée.

J'allai donc à Symboterium. La commanditaire du meurtre m'avait conseillé de me rendre dans ce qui servait de sortes de bureaux aux parlementaires. Elle m'avait renseigné sur l'emplacement du bureau où je devais me rendre. J'entrai dedans silencieusement, me glissant par la porte tel un chat. Devant moi, de dos et assis dans un fauteuil, il y avait un homme aux longs cheveux d'argent. Je tirai mon couteau de ma ceinture, m'approchai et lui tranchai la gorge nettement, sans qu'il eut le temps d'émettre aucun cri. Je récupérai le pendentif qu'il portait au cou. Puis j'ouvris la fenêtre, me changeai en oiseau, et prit la fuite sans plus attendre. Je repris le chemin de la maisonnée de mon employeuse. Je rentrai par une fenêtre ouverte et retrouvai ma forme humaine. Elle m'accueillit avec un sourire satisfait. Je lui tendis le collier, qu'elle s'empressa de prendre et de cacher dans une manche de sa veste.

« Je vous remercie. J'espère qu'il n'y a pas eu trop de problèmes. De toute manière, si le travail a été mal fait, je le saurai... Je prie pour vous que ça ne soit pas le cas. Voici votre récompense. C'est une bague qui vous permettra de créer comme une espèce de bulle insonorisée autour de vous. Ainsi, vous pourrez marcher, parler, hurlez, bref, quoi que vous fassiez, nul ne vous entendra. »

Tout en parlant, elle sortit d'une de ses poches une sublime bague sertie d'un saphir d'une couleur étincelante. Elle me le donna.

« N'ayez crainte, je me suis débrouillé pour ne rien déranger.
- Bien. Vous pouvez partir...
- Et tout oublier, je sais. Au revoir, madame. »

Sur ces quelques mots, je tournai les talons. La traversée de l'océan serait encore plus fatigante, mais j'étais ravi d'avoir obtenu cette récompense. Elle pourrait bien s'avérer utile un jour...

Spoiler:

Lun 04 Mar 2013, 22:57

Il est de ces jours où vous vous faites chier. Mais alors royalement chier ! Vous parcourez les terres du Yin et du Yang, sans plus d'intérêt que la lecture d'une encyclopédie traitant de la masturbation des pingouins. Et dans un élan de masochisme digne des plus grands cinglés de cette planète, qu'est-ce que notre héroïne à poils bleus trouve de mieux à faire pour palier à son ennuie ? Aller se perdre dans un des trous du cul du monde, et aquatique qui plus est, j'ai nommé la Cité Engloutie ! Cité qui a pour elle la beauté de ses environs et de son infrastructure certes. Mais quand vous êtes une vampirette de mauvais poil, les charmes citadins vous font autant d'effet que la contemplation d'une limace en pleine ascension d'un mur. Aussi on est en droit de se poser la question, qu'est-ce qui pourrait bien dès lors, sortir la jeune fille de ses humeurs ?

C'était la question existentielle de la soirée lorsqu'on vint brusquement à la rencontre de la demoiselle. Des ondins inconnus vinrent annoncer à la jeune fille qu'elle était attendu pas une personne très désireuse de la rencontrer. Le début de quelque chose d'intéressant ? Il n'y avait pas trente-six façon de le deviner et la demoiselle se rendit au lieu de rendez-vous en espérant trouver de quoi consoler l'unique moyen d'accès du coin.... Parce que ça se la pète avec une bulle magique qui permet de faire vivre la cité, mais c'est pas foutu de faire un pont ou un portail pour se rendre dans la ville sans manqué de se noyer, ou de finir trempé, hein ?! Tsssss.... Bon, elle fit contre mauvaise fortune bon cœur -oui vous pouvez vous étouffer en lisant cela- et suivit les deux langoustes à pattes vers leur mystérieux commanditaire.

Ou mystérieuse plutôt, car il s'agissait d'une femme. Elle se présenta comme était Irinna, -ouais-, la seconde en chef de la milice locale -Yuli en avait rien à péter mais d'une puissance qu'elle n'imaginait même pas- et enfin qu'elle avait un marché à lui proposer. Ha enfin quelque chose qui pourrait se révéler vaguement intéressant. Mais la jeune demoiselle déchanta rapidement. Jouer les assassins de bas étage pour des intérêts politiques ? Qui en plus ne lui apporteraient rien à elle personnellement ? Et tout ça pour...... Une bague !!! Non mais franchement elle la prenait pour un poisson clown cette morue ? Mais le pire était à venir. Car Irinna, voyant que Yulenka semblait plutôt dubitative, commença à essayer de charmer la jeune fille ! Horreur et stupéfaction, jamais la vampirette n'avait autant été heureuse de résister aux influences mentales !

Rubis réclamait vengeance, et une assiette de poisson pané pour le repas de ce soir, et Yuli fut bien tenté de réduire cette grossière femme en miettes de thon ! Qu'est-ce que c'était que ces manières ?! Surtout que ce n'était pas à elle qu'on allait apprendre l'art de la séduction ! Et en plus elle n'était pas de ce bord là ! Mais alors qu'autrefois la demoiselle aurait laissé libre court à ses penchants guerriers, sanguinaires et barbares, la vampire vicieuse et manipulatrice prenait de plus en plus le pas sur ses premiers penchant. Rubis s'y faisait plutôt bien, car il y avait quand même de l'extermination à un moment ou un autre alors.... Mais pour ce soir, Yulenka avait bien décidé de donner une bonne leçon à la demoiselle. Elle allait apprendre que ce n'était pas à une vampire qu'on apprenait la manipulation !

Aussi, elle joua les jeunes pucelles entichées, totalement sous le charme de la dame, et lui promit d'aller accomplir sa basse besogne pour ses beaux yeux -qu'elle trouvait épouvantablement hideux en réalité, le genre trop globuleux pour ne pas être malsain-. Irinna trop contente d'avoir trouvé une bonne poire pour faire le sale boulot, s'en retourna à ses occupations sans se douter quelle boîte de pandore elle venait d'ouvrir. La jeune vampire réfléchit à comment elle allait s'y prendre. Car elle était bien décidé à ce que aucun parti ne soit favorisé par son action. Son mot d'ordre serait le chaos, le vrai, le pure, le dur, celui qui n'est motivé par aucune influence politique ou quelconque envie de pouvoir. Celui qui n'avait pour aspiration que de foutre le bordel le plus complet en somme.

Le plan se dessina doucement dans sa tête au fur et à mesure qu'un sourire malsain se dessinait sur son visage. Elle savait quoi faire à présent. Elle se rendit donc au dit parlement, usant de ses illusion pour prendre les traits d'une ondine et alla s'installer tranquillement parmi la foule, ni trop loin ni trop près de sa cible. Elle attendit que cette dernière se présente et à partir de la, tout se passa très vite. Elle employa en simultanée sa magie des ombres et celles des illusions. Grâces à ces dernières, elle créa une femme encapuchonnée, et par sa magie des ombre, un pieux qui lui servirait d'arme. Elle fit surgir de l'ombre son illusion, ne laissant pas le temps à la garde de réagir, et poignarda sauvagement et mortellement le pauvre ondin qui s'écroula dans des hurlement de douleurs.

La magie des ombres avait tué, et celle des illusions allait berner. Car elle fit prendre la fuite à son illusion, qui dans sa hâte vit son capuchon se soulever "malencontreusement", révélant ainsi son visage à tous; -et je vous le donne en mille- Irinna !!! Panique et chaos à bord, la garde courait dans tout les coins à la recherche d'une meurtrière fugitive qui s'était volatilisée, et les partisans de l'ondine recherchée ne savait plus quoi faire entre suivre un comportement qui aurait du leur être normal, ou chercher à protéger leur cheffe qui semblait avoir décider d'agir sans avoir cru bon de les prévenir. Très rapidement ce fut l'effervescence puis l'émeute dans la cité. Les représentants de l'autorité qui n'étaient pas encore vérolés par Irinna luttaient contre leurs collègues corrompus, le tout dans une désorganisation la plus complète !

Et dans cette ambiance apocalyptique, que Yulenka trouvait bonne enfant, elle alla trouver Irinna là où elle aurait du l'attendre. Celle-ci était folle furieuse, et était bien décidée à régler son compte à cette peste de vampire qui l'avait roulé dans la farine ! Et en plus elle venait de présenter à elle, bouche en cœur, comme si de rien n'était, avec un plus un grand sourire ?! Elle allait la réduire en pièces et sur le champ ! Elle brandit une large dague et se rua sur la jeune vampire bien décidée à en finir avec elle. Usant de sa vitesse et de sa force décuplée, Yuli dégaina son katana et contra l'ondine avec une résistance qu'elle n'aurait pas soupçonné. Et tandis que son adversaire pestait et fulminait contre elle, notre jeune vampire à poils bleus lui rétorqua, avec un sourire narquois et un air méprisant.

-Hé bien, n'ai-je points respecté les termes de notre contrat ? Je me suis infiltré dans le parlement, j'ai réussi à ne pas me faire repérer, et j'ai tué la cible sans que l'on puisse m'identifier, et en réussissant à m'enfuir. N'était-ce pas là votre souhait ? J'ai accompli ma part du marché, maintenant, je viens récupérer mon du....

Et tout en usant de sa magie des ombres comme des tentacules, elle vint dérober la bague saphir dans la poche même d'Irinna, qui ne pouvait pas réagir sans lâcher sa garde et se mettre sérieusement en danger. L'ondine hurlait et vociférait des torrents d'insultes et de menaces à l'égard de la jeune vampire, la maudissant et lui promettant les pires tourments pour l'éternité. Chose qui ne fit qu'arracher un rire moquer à notre jeune vampire, qui non seulement toisait l'ondine, mais en plus elle prenait un soin tout particulier à saper méticuleusement sa crédibilité. Elle avait voulu jouer à la plus fine avec une vampiresse, mais la boîte de pandore lui avait littéralement péter à la gueule ! Et en plus, elle se payait le luxe de se payer ouvertement sa tête en ajoutant.

-La prochaine fois que t'essayeras de flouer une vampire, achètes toi un cerveau avant, ça t'évitera peut-être de faire une connerie qui te retombera dessus.... Ho et tu peux venir tenter de mettre tes petites menace à exécution quand tu veux sur la terre ferme, mais préviens moi quand tu aurais décider de faire courir tes écailles visqueuses sur le sol, histoire que je commence à préparer les épices pour faire des acras de morue ! Ha mais attend.... c'est pas la garde que j'entends là ? Tu devrais peut-être fuir non ? Hi hi hi hi !

Yulenka cru que la femme poisson allait s'étrangler de rage suite à ses propos, surtout qu'elle ne put s'attarder davantage, la garde arrivant belle et bien. Yulenka, ne se fit guère prier pour leur indiquer dans quelle direction elle était partie, avant d'elle même prendre la direction de la surface et de la terre ferme, après avoir semer le chaos, la destruction et un début de guerre civile sous l'eau. Sa manière d'agir lui vaudrait de verser quelques redevances à la familles des génies, mais après tout la perfidie n'était pas non plus l'affaire d'une seule race. Elle quitta donc la cité pour rejoindre la terre ferme de bien meilleur humeur. Chess qui l'avait attendu là, la vit revenir avec le sourire ce qui le soulagea grandement et lui fit plaisir. Il alla à l'encontre de sa maîtresse pour chercher une caresser et lui demanda.

Alors c'était bien cette excursion ? Tu ne t'es pas trop ennuyée ?
-Ho que non hi hi hi, c'était très animé en fait, en pleine évolution politique ! C'était très intéressant....

Chess comprit tout de suite que sa petite protégée avait encore fait des siennes, et alors qu'elle lui racontait ses exploits, il soupirait à tout va se sentant mourir chaque fois un peu plus à chaque révélation sur les bêtises qu'elle avait fait. Mais que dire ? Le mal avait été fait....

Spoiler:

Dim 10 Mar 2013, 14:37

Crys étais devant une sirène, il avait cru comprendre qu’elle se nommait Irinna , celle-ci l’avait convoqué à cet entrevu. Il y avait été emmené par deux costauds. Il n’avait eu d’autre choix que de les suivre.

Revenons un peu plus tôt, Crys venait d’entré dans La cité engloutie malgré lui, alors qu’il navigué en mer abord d’une barque il fut englouti dans un courant. Ce courent l’avait amené dans un lieu avec de l’aire sous la mer, de l’aire sous la mer c’est curieux n’est-ce pas ? Crys avait eu une suffisamment grande peur pour consulté les étoiles. Les étoiles s’était bien gardé de lui annoncé que la raison pour la quel il lui avait donné pour itinéraire ce chemin était en faite une quête qu’il lui imposait. Les étoile lui appris qu’il obtiendrait d’ici peu un nouveau pouvoir lier à un objet magique sans nul doute. Le jeun rehla en était tout content, il ne savait pas ce qui l’attendait, ni comment, ni pourquoi. Une fois dans les rue de la ville il remarquait une chose étrange l’ambiance n’était pas comme dans les autres villes, la vie ici semblait bien plus dur, mais il se rappelait vite que la dernière fois qu’il est allé en ville il n’y avait pas encore de guerre, la guerre affecte toujours les villes qui y participe d’une manière ou d’une autre. Il ne sentait pas particulièrement en sécurité dans cette ville, il se sentait épier, si bien que dans se contexte il ne remarqua pas immédiatement son erreur. Il avait intuitivement fait appelle à son don pour plonger dans l’oublie, malheureusement il avait déjà été remarqué. Il ne sait pas vraiment comment, mais deux brute épaisse l’avait prit en tenaille et lui avait gentiment demandé de les suivre sans encombre avec un voie assez menaçante. Le rhela se savait fait comme un rat et il n’allait pas s’enfuir et passé pour un malfrat, en effet en plus d’être épais et aimable comme une porte de prison ils portaient en plus une sorte d’uniforme, il semblait représenter l’ordre. Crys fut escorté dans un lieu à l’écart, à l’écart de la foule Crys aurait plus de chance de leur échappé, mais voilà seulement, il semblait y avoir de ces hommes peu appréciable tout le long de ces ruelles, Ils le firent entré pas la porte arrière d’un grand bâtiment, Crys pensait immédiatement qu’il devait être dans leur repaire. Il monté les marches des escaliers, il semblait a cris qu’il allait dans la plus haute salle. Ces personne qui l’avait amené ici devait avoir été mandaté par la personne qu’il allait bientôt voir. L’un des deux hommes ouvrit la porte, avant même que celui-ci ouvre Crys consulta les étoiles, celle-ci ne lui donna qu’un nom, Irinna. La jeune femme à la vue de ces sbires qui avait pleinement accomplie leur tache, leur rouspéta qu’elle avait du attendre, les deux fière costaux ne se faisait pas fière, ils baissée les yeux comme et tremblait devant la jeune femme. Crys sans vraiment savoir pourquoi eu un léger sourire comme pour se moquer. La jeune femme revoyait ces deux larbins à leur tache habituelle. Ils étaient seul dans son bureau, Crys avait comprit qu’une tache allait lui être demandé, mais avant même qu’elle ne puisse lui dire quoi que se soit Crys lui faisait remarqué se qu’il pensait de leur méthode.

« Irinna, vous avait des méthode plus que discutable pour quémander de l’aide » Le tout sur un ton assez assassin.

Irinna ne savait que penser d’un tel individu, il avait percé à jour la raison de sa venu un travail un plus que discutable. Bien que Crys avait montré son mécontentement, il continué à attendre les informations pour le bien de l’accomplissement de la mission qu’elle allait lui confié. Irinna se posé sans doute beaucoup de question sur l’homme qui la regardait sans la moindre émotion. Elle devait le prendre pour quelqu’un comme elle, elle avait remarqué son don pour se faire petit au milieu d’une foule et c’est sans nul doute pour cette raison qu’elle l’avait choisi.

« Si vous voulez bien que je vous explique, un parlementaire ondin va se rendre cette après-midi à Symboterium pour instaurer une loi pour déclarer l'état d'urgence et la prise du pouvoir par le Sénat. Il veule détrôné la reine Lastraé, il faudrait un meurtre public pour calmé leurs ardeurs. »

Crys consulta rapidement les étoiles sur l’incidence sur le future, il devait mourir ce jour, même si lui-même refusait de le faire. Elle trouverait quelqu’un d’autre pour sa basse besogne, puisque cela ne changé rien il pouvait aussi bien le faire lui-même, mais il ne le ferait certainement pas pour ses beaux yeux.

« Vous voulez me faire croire que vous me demander sa par patriotisme ? La vérité est que vous craigniez que le sénat dissout la milice après sa prise du pouvoir et c’est pour cette raison que vous me demandé çà. Je vous rappel que ce n’est pas dans mon intérêt de prendre le risque de passé pour un ennemi de la cité engloutie, il me faudrait au moins une motivation. »

Il n’avait pas l’intention de faire ça juste pour de l’or, Il s’agissait tout de même d’un assassina qu’il devait perpétrer. De toute façon il en savait trop pour refuser et cette personne face à lui était suffisamment puissante pour le remarquer, il n’avait d’autre choix que de ce préparé à faire se qu’on lui demandait.

« J’allais y venir pour ce grand service vous recevrait après la chose effectuer, cette bague magique, cette bague est magique elle permet d’insonorisée autour de son porteur. »

Un pouvoir à la clef, il n’avait plus le moindre doute, il allait en être ainsi le Sénateur allait mourir. L’ordre était donné, Crys avait hâte que tout cela se termine, avait récupéré toute les informations nécessaire, il fit donc signe que l’affaire était entendu, le marché est conclu, le contrat devait être honoré. Il sorti de ce bureau, de leur repaire, par la porte qu’il avait emprunté précédemment.

Il se rendit devant Symboterium, infiltré ce lieu n’allait pas être le plus difficile pour Crys, Il faisait le tour du lieu pour repéré une faille, il trouvait la faille à l’arrière du bâtiment, il y avait qu’un seul garde pour garder cette entré et personne au alentour, c’était un lieu privilégier. Crys voyer que le garde était assit sur un tabouret, en l’observant de loin, il remarquait que celui-ci buvait sans arrêt à une bouteille en verre. Il se rapprochait discrètement de l’entré en douceur, le garde trop occupé ne remarquait rien, Crys longeait le mur de l’édifice sa canne bien en main prêt à remplir son rôle secondaire. Le fracas de l’action fut suivi par le cinglant silence, Lhomme gisait au sol assommé, il restait inerte, la voie était libre le rehla en profitait pour suivre son destin. C’est dans ce grand lieu qu’il allait exécuter les ordres qu’il avait reçu, il regardait les sénateurs de loin, ils discutaient entre eux, certain d’entre eux peu bavard attendait patiemment que la séance soit ouvert. Le lieu avait été conçu pour que les voix portes, il y avait un escalier qui menait à un étage au dessus, les balcons. C’est aux balcons que crys avait terminé les préparatifs de son plan, il montait sa sarbacane les trois morceau monté les un au autre l’arme était prête, il sortait de son long manteau une fléchette celle-ci était particulièrement tranchante elle était juste ce qu’il lui fallait pour remplir don rôle. Le Sénateur qu’il attendait venait de prendre la parole, il venait au milieu de la salle pour faire entendre sa voix, mais seuls ces cris lui rendaient honneur, les cris des autre Sénateur témoin de la barbarie du geste, sa gorge perforé par l’impacte, il s’étouffait dans son sang. Crys n’était pas resté pour voir cela, mais il savait bien qu’il n’y a rien à faire contre ça il s’en allait par la ou il avait su rentré reparti comme il était venu, anonyme.

Il retourna voir celle qui lui devait, pour récupéré ce qu’il avait gagné pour laisser le chaos persisté dans ce lieu. Elle l’attendait dans son bureau, quant il entrait, elle avait le sourire aux lèvres, sans doute était-elle déjà informé par ces espions. Toujours est-il que Crys sans un mot tendait sa main, paume vers le ciel attendant rétribution. Elle lui envoyer la bague, il l’attrapait avant de retourné sur le pas de la porte, il se tournait vers elle et ils dire en cœur.

« On ne s'est jamais vue »

Spoiler:

Ven 15 Mar 2013, 16:22

Bandreux avait décidé d'explorer de nouveaux horizons. Il continuait un peu son "tour du monde", ses aventures. Il avait envie d'avoir vu chaque lieux, d'avoir découvert chaque contrées. C'était certes très ambitieux, mais c'était un peu son but de vie. Il avait encore pas mal d'années devant lui pour réaliser tout ça. Ça et bien sur devenir riche, ça il aurait bien envie. Réaliser tout types de larcins lui demandait un effort et il devait admettre qu'il ne crachera pas sur un superbe revenu afin de subvenir toute sa vie à ses besoins.
Son cheminement le menait ce jour dans la cité engloutie. Il devait admettre que c'était un lieu vraiment fascinant. On l'avait mit en garde sur les récents déboires de cette cité, il paraissait que la tension était palpable. Mais cela n'avait pas effrayé notre jeune humain.

Il déambulait donc dans les rues de la cité. On ne pouvait pas vraiment dire qu'il faisait beau ou mauvais étant donné que la cité étant engloutie sous l'eau. Cependant, pour l'instant, il n'avait pas vraiment pu observer de réelles tensions. Les habitants de la cité semblaient juste su leurs gardes, regardant un peu partout, se méfiant surtout de la milice. Voilà que pendant sa petite promenade, notre roublard passa devant un des postes de garde. Un des gardes discutait avec un ondin, leur visages semblaient graves, aussi Bandreux décida, discrètement de se cacher au coin du mur et d'écouter avec attention. Il voulait savoir de quoi il en retournait. Effectivement notre jeune humain ne fut pas déçu.
L'ondin expliquait au garde qu'il avait vu Irinna, la chef de la milice, s'en prendre à des citoyens, qui plus est, elle avait ordonné plusieurs attentats. A ces mots, le garde prit une mine sombre, on pouvait clairement sentir les tensions au sein même de la cité. L'ondin ajouta que par ailleurs, Irinna faisait commettre ses attentats par des boucs émissaires et qu'elle réapparaissait une fois l'acte commis. Cela était vraiment inquiétant. Bandreux décida alors de mener l'enquête. Pas qu'il avait un réel désir de justice, mais il voulait juste avoir le plaisir de faire tomber cette femme qui se croyait si puissante. Timoré sur son épaule sembla très bien comprendre les idées de son maître et acquiesça de la tête.

Grâce à son "passé" encore un peu présent, de roublard, Bandreux savait à qui s'adresser dans chaque ville pour obtenir ce qu'il souhaitait. Receleur, contrebandier, assassins, il avait des contacts un peu partout et cette fois ci, il allait s'en servir "a bon escient". Direction la taverne, il savait qu'un homme dénommé "Le requin blanc", contrebandier de profession, traînait souvent dans le coin, à une table, avec une choppe, c'était là qu'il s'entretenait avec les clients. La taverne qui lui servait de repère n'était pas très fréquentable aussi il fallait être motivé pour s'y aventurer, par chance, Bandreux lui était un habitué de ce genre de lieu. Il savait comment y pénétrer et surtout comment obtenir les renseignements dont il avait besoin. Un mot de passe universel pour chaque profession criminelle était fourni, ce qui permettait à la personne d'avoir accès à tout les lieux de ce genre. Comme un laissé passé, mais très contrôlé. Il n'était pas question que des membres de l'autorité mette les pieds dans les affaires des truands.

S'avançant donc jusqu'à la porte il toqua, trois fois, et prononça le mot de passe qui n'était d'autre que "bilboquet" allez savoir pourquoi. La porte lui fut ouverte et il pénétra dans la taverne. Il retrouvait l'ambiance à laquelle il était habitué. Une odeur de bière, de poisson et de sueur. La base.
Maintenant il s'agissait de trouver "requin blanc", c'était une autre affaire. S'approchant du comptoir, Bandreux posa deux trois questions au tavernier afin de trouver cet homme. Etant donné que Bandreux avait su se doter d'un grand sens du baratin et de la persuasion, cela lui était très utile dans ce genre de situation.
Du coup, il s'assit en face de "requin blanc" salut de tête silencieux avant d'entamer le coeur du sujet.

Je n'irais pas par quatre chemins, je veux la tête d'Irinna. Bandreux attaquait avec un bon coup dans le lard, mais il ne comptait pas éviter le sujet, qui plus est, dans ce lieu il savait que la trahison et le meurtre était des mots courant. Requin blanc, prit une nouvelle gorgée de sa bière, on pouvait deviner qu'il réfléchissait. S'éclaircissant la gorge, il répondit à Bandreux. Hm... Je vois. Elle est pourtant relativement crainte par ici. Qu'est c'qui vous motive ? Bandreux fronça les sourcils, mais il avait la réponse toute prête. Vengeance personnelle, ça me regarde. Maintenant il savait pertinemment le chemin qu'allait prendre la conversation, on allait parlé argent. C'était souvent le cas. On allait en venir à parler argent. C'était à ce moment que Bandreux sortait ses arguments de bluff, de baratin et de chantage. Bien. 500 pièces d'or.Dit-il en prenant une nouvelle gorgée de bière. Bandreux ne tiqua pas, il ne fallait surtout pas tiquer. Bien que c'était une belle petite somme ! Bandreux réfléchit. Il avait absolument besoin de ces informations. Il savait pertinemment que Requin Blanc savait comment se déroulait les attentats et comment il pourrait prendre en flagrant délit Irinna.Bien. C'est d'accord, mais arrangez moi une entrevue avec elle, faites lui savoir que j'ai de nouvelles armes qui pourraient l'intérésser. Requin blanc senti très fortement l'entourloupe. Cependant, il avait bien comprit qu'il valait mieux être du côté de Bandreux sur ce coup. Trop de monde en voulait à Irinna. Il acquiesça de la tête. Bandreux lui remis une bourse. Voilà 250 écus, la suite dès que vous m'aurez arranger l'entretien. Si vous m'entourlouper, je vous retrouverez, sachez le. Bandreux était très sérieux. Si il y avait bien une chose qu'il vengeait toujours c'était l'arnaque. On n'arnaquait pas l'arnaqueur.
Se levant il quitta la taverne. Il savait que Requin Blanc lui ferait passer un message dès que tout serait prêt.

Bandreux dû tout de même patienter un jour, profitant de son temps libre pour explorer la cité. Il fit quelques achats de breloques qu'il pourrait revendre plus tard à prix d'or avec un peu de persuasion. Tandis qu'il prenait son déjeuner, un mot fut déposer sur sa table, par un homme qui reparti comme il était venu. Un peu façon ninja. Terminant sa bouchée de nourriture, notre humain prit le papier et le lu. "Rendez vous au coucher du soleil à la taverne d'aigle noir" Signé I. Voilà qui était très clair et notre humain sourit. Maintenant il fallait mettre son plan à exécution, mais surtout, convaincre les gardes de ce qu'il savait et du plan qu'il avait mit en place. Il faudrait qu'ils lui fassent confiance.

Son repas terminé il prit la route du poste de garde, il lui fallait s'entretenir avec le commandant de la garde. Il obtint assez facilement une audience. Arrivant devant le capitaine, il s'assit. Le capitaine l'invita à exprimer sa requête. Bandreux lui exposa alors le problème avec Irinna, que tous connaissait sans pouvoir rien prouver puis il exprima son plan. La piéger en train d'acheter des armes à un contrebandier. Le capitaine lui fit savoir que c'était une très bonne idée car c'était en effet un délit, par ailleurs si elle exposait pendant cet achat le but des produits qu'elle achetait, c'était gagné. Bandreux sourit et continua. Il me faudrait un garde déguisé avec moi, lors de l'entretien, ainsi il pourrait témoigner. Par ailleurs j'ai fabriqué de faux papiers de "contrat de vente" qu'elle sera obligé de signé, cela confirmera donc son trafic. Le capitaine se montra clairement enthousiaste. Après tout, il n'avait finalement rien à perdre à faire confiance à Bandreux. Poignée de main, et voilà que tout se mit en place.

Bandreux rédigea les documents, prit quelques breloques magiques, son baratin habituel, et se rendit à la taverne en compagnie d'Edgar, le garde déguisé. Ces deux derniers pénétrèrent dans la taverne avec un mot de passe fourni sur le papier. Il était temps de passer à l'action. Ils aperçurent très vite Irinna, reconnaissable, entourée de deux mercenaires déguisés en miliciens. Le dialogue se lança. Bandreux se présenta et présenta le garde comme son apprenti. Il parla de plusieurs nouvelles bombes magique (qu'il inventa sur le moment) et on sentait Irinna très intéressée. Elle fut d'abord perplexe mais la qualité des mensonges de Bandreux mélangé à sa magnifique maîtrise du bluff le rendait très crédible. Il avait réponse à tout ce qui aurait pu faire découvrir n'importe quel "espion". L'acte de vente fut signé. C'est là qu'Irinna expliqua le but des nouvelles armes. Elle souhaitait frappé un grand coup. Placer plusieurs bombes dans l'assemblée du conseils et ainsi tuer un bon nombre d'hommes politique afin de prendre le pouvoir. Honnêtement ses idées étaient judicieuses, mais Bandreux n'était pas là pour ça. Une fois la réunion terminé ils conclurent d'un nouveau rendez vous afin de livrer les bombes et chacun parti dans une direction opposée.

Sur le chemin qui les conduisaient au poste de garde, Edgar félicita Bandreux pour sa maîtrise et son sang froid dans ce genre de situation, le jeune voleur en fut touché. Sa malhonnêteté avait parfois du bon !
Le poste de garde en vue, le rapport fut fait au capitaine et le plan monté. A la nuit tombé, une caisse de bombes devait être déposée dans un petit établi abandonné et caché sous de la paille. Irinna passerait une heure après chercher les bombes. Une caisse vide fut alors remplie de cailloux et déposé au lieu prévu par Bandreux et Edgar qui repartirent se cacher non loin. Un bon groupe d'une vingtaine de garde surveillaient l'établi. Chacun étaient en poste, à l'affût lorsque Irinna arriva, accompagnée de plusieurs mercenaires. Les gardes surgirent et s'en suivit un combat, Bandreux avait du rester à l'arrière. Finalement, sous le nombre de garde, le petit groupe de milicien fût arrêté ainsi qu'Irinna. Le capitaine en était très fier.

Le retour au poste de garde se fut relativement calmement, Irinna avait été assommée lors du combat pour éviter toute tentative d'évasion. Le petit groupe rebelle fut mis au cachot et le capitaine s'approcha de Bandreux. Voici pour vous, la cité engloutie vous remercie.

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